Tag: pollution

  • Romania Gets Environmental Infringement Notice

    Romania Gets Environmental Infringement Notice

    The European Parliament has recently adopted draft legislation increasing the share of waste to be recycled, as global economy is becoming more and more polluting. The share of waste to be recycled is to rise from 44% today to 70% by 2030. For packaging materials, such as paper and cardboard, plastics, glass, metal and wood, MEPs propose an 80% target for 2030, with interim 2025 targets for each material.



    The question arises, however, if member states have the capacity to conform to these new targets. Romanias representatives are rather sceptical. MEP and member of the European Peoples Party Marian-Jean Marinescu said:



    Marian-Jean Marinescu: “As a citizen, I want this percentage to rise because we all want to live in a cleaner environment. At the same time, however, we must consider the possibilities, and be realistic, while trying to do more.



    Referring to the situation in Romania, MEP and member of the Progressive Alliance of Socialists and Democrats Maria Grapini notes that:



    Maria Grapini: “The problem is that on the one hand, Romania lacks the technology and investment in recycling technology, and on the other, it lacks the budget to be able to make these investments. I also believe that 2025 is a very close deadline for these targets, which are really high.



    “The problem of waste is very important, we have to address a number of infringements. We must adapt our model for economic development to a greener model, said the former minister for the environment, waters and forests Cristiana Pasca-Palmer at the end of her term. The new occupant of the post Daniel Constantin has announced that the European Commission has launched 10 infringement procedures against Romania because of its environmental problems:



    Daniel Constantin: “Three cities are currently facing an infringement procedure due to the high level of pollution, namely Bucharest, Iasi and Brasov. We are working with the respective local administrations to deal with the procedure. Unfortunately, most of Romanias problems in relation to the European Commission have to do with the environment. We have failed to meet many of the deadlines and commitments we have made, which has led to the launch of 10 infringement procedures against us, which means we are being monitored in these areas. Our problems are mainly to do with two large categories: waste and pollution.



    Romania is already facing a trial at the Court of Justice of the EU over its non-compliant waste deposits, and risks being penalised.

  • Le cerveau endommagé

    Le cerveau endommagé

    Le génie créateur de lhomme ne trouve son égal que dans lintelligence destructrice de ce même être. Depuis une centaine dannées, la société humaine se développe dans linsouciance évidente de lavenir de notre espèce et de celui de la Terre. Le progrès général époustouflant, amorcé à lépoque de lindustrialisation et accéléré tout particulièrement à partir des années 1950, sappuie sur un gaspillage effréné des ressources de la planète, avec des effets dramatiques sur lenvironnement, sur notre quotidien et sur notre propre biologie. Si la visibilité des dégâts sur les deux premiers a poussé les classes politiques à agir, tant bien que mal, la dégradation de nos corps, entraînée par les pollutions en tous genres, semble ne préoccuper que le monde de la recherche. Et pourtant… confrontés aux résultats de leurs études et expérimentations, des chercheurs prennent la parole pour tirer la sonnette dalarme, car les dégats des produits chimiques ne nous affectent pas tous de la même manière, les femmes étant le plus exposées.



    A loccasion de la Journée internationale de la femme, Valentine Gigaudaut et Ileana Taroi parlent de létau parfumé des produits chimiques qui se resserre autour des femmes avec Barbara Demeneix, auteur du livre “Le cerveau endommagé”, spécialiste des hormones thyroïdiennes, directrice du département Régulations, développement et diversité moléculaire du Muséum national dhistoire naturelle de Paris, lauréate de la médaille de linnovation du CNRS en 2014 et avec Rhoda Şerban, secrétaire générale du Collège juridique franco-roumain de Bucarest.




  • Mesures environnementales

    Mesures environnementales

    Les autorités roumaines devraient présenter une alternative au timbre d’environnement, qui se retrouve parmi les 102 taxes supprimées à compter du 1er février dernier. Quels qu’aient pu être ses avatars au fil des années, la taxe en question a considérablement limité le risque pour la Roumanie de devenir le cimetière de tacots de l’Europe. Selon le Registre automobile roumain, suite à l’élimination du timbre d’environnement, on a assisté à l’accroissement sensible du nombre de demandes d’immatriculation de voitures d’occasion, achetées à l’étranger. Résultat, de plus en plus de vieilles voitures polluantes et une circulation routière moins sûre, compte tenu de l’ancienneté de ces véhicules.

    Le ministre de du domaine, Daniel Constantin, a expliqué que le nouveau système, censé remplacer le timbre d’environnement, non seulement ne représentera pas un impôt supplémentaire pour le citoyen, mais il visera à diminuer le nombre de véhicules polluants. 11 programmes devraient être financés en 2017 notamment par le biais du Fonds pour l’environnement.

    Parmi eux, les programmes « Le Tacot » et « Tacot + », « l’Habitation verte » et « Habitation verte + ». Daniel Constantin: Le timbre d’environnement a été éliminé. Il est important de vivre dans un milieu environnant beaucoup plus propre. Ensemble avec d’autres institutions, nous comptons mettre en place un système moderne permettant d’une part d’éviter aux citoyens des taxes supplémentaires, d’autre part d’avoir des véhicules de moins en moins polluants, surtout dans les agglomérations. Il s’agit donc d’un système européen, moderne, que nous avons conçu de sorte à contenter tout le monde et à atteindre nos objectifs en matière d’environnement.

    Daniel Constantin a rappelé que la capitale, Bucarest, et deux autres grandes villes roumaines, Braşov et Iaşi, sont concernées par une procédure d’infraction à la législation européenne en raison de la qualité de l’air. Il a également fait savoir qu’un nouveau décret gouvernemental devrait être promu la semaine prochaine, l’Exécutif envisageant une croissance graduelle de la collecte sélective des déchets jusqu’à atteindre le taux de collecte de 50%, assumé par la Roumanie à l’horizon 2020 : « Sur la quantité totale de la collecte, le recyclage devrait tourner autour de 20% pendant la première année, ce qui nous permettrait de réduire la quantité de déchets portés à la déchetterie et d’atteindre notre objectif européen en matière de recyclage. Après cela, il faudrait augmenter de 10% chaque année la quantité de déchets recyclés. Cette chose, tout à fait normale d’ailleurs, nous aurions dû la faire il y a longtemps. »

    La Commission européenne a saisi la Cour de justice de l’Union européenne d’un recours contre la Roumanie en raison de ses décharges illégales, qui auraient dû être fermées ou modernisées avant 2009. Malgré certains progrès, la Roumanie, qui compte toujours 68 décharges non conformes, risque de se voir infliger une amende par la Cour de justice.

  • Limitations pour un air plus pur

    Limitations pour un air plus pur

    Près d’un demi-million d’Européens meurent chaque année à cause des maladies provoquées par les millions de tonnes de gaz et de particules rejetées dans l’atmosphère suite aux activités humaines : à commencer par le dioxyde de souffre, qui arrive dans les pluies acides qui détériorent les bâtiments et brûlent la végétation et jusqu’aux particules microscopiques qui peuvent provoquer des maladies respiratoires et cardiovasculaires. Et cela même si tout au long des dernières décennies, les émissions polluantes ont considérablement baissé dans de nombreux pays.

    Les coûts de la pollution sont estimés à 330 – 940 milliards d’euros par an, somme qui inclut aussi les dégâts économiques directs de 15 milliards d’euros en raison des jours de travail non effectués, 4 milliards d’euros de frais de santé et 3 milliards d’euros de profit en moins engendrées par la faillite des cultures et un milliard d’euros de dégâts sur les bâtiments, selon les chiffres de la Commission européenne.

    Tenant compte de tous ces aspects, les décideurs politiques ont constamment cherché des solutions. Une d’entre elles pourrait être, selon les députés européens, la constitution de seuils maximum plus stricts dans les pays européens pour ce qui est des principales émissions polluantes de l’atmosphère. Réunis à Strasbourg, les eurodéputés ont débattu et voté une nouvelle directive dans le domaine qui établit des objectifs nationaux de réduction des émissions pour cinq facteurs polluants de l’air avant 2030, par rapport à 2005 : dioxyde de souffre, oxydes d’azote, composés organiques volatils non méthaniques, ammoniaque et autres particules fines en suspension, c’est-à-dire la poussière fine produite par les véhicules, le transport maritime et respectivement la suie provenant de la combustion interne des moteurs.

    Selon l’Agence européenne de l’environnement, ces polluants proviennent de différentes sources, telles le chauffage, l’industrie, les transports, l’agriculture ou bien la production d’électricité. Le Parlement européen a accepté que le méthane soit exclu de la proposition définitive même si celle-ci ne le spécifie pas. De l’avis des spécialistes, même si le méthane existe dans l’atmosphère dans de concentrations moindres que le dioxyde de carbone, il est responsable pour 18% de l’effet de serre généré par les activités humaines.

    « La réduction de la pollution s’impose parce qu’elle représente le principal facteur environnemental qui produit des décès au niveau de l’UE » a souligné devant le plénum du Parlement européen, le rapporteur Julie Girling. «Le contexte politique a connu un changement dramatique ces trois dernières année, le thème de la qualité de l’air devenant un sujet sensible à l’agenda public, suite notamment au scandale Volkswagen et du problème des rejets dans des conditions de trafic réel. Peut-être qu’il s’agit aussi du fait que nous nous sommes finalement rendu compte que ces 10 dernières années tous nos efforts avaient été ciblés sur le dioxyde de carbone, négligeant ainsi la qualité générale de l’air », a ajouté Julie Girling.

    Julie Girling: « Nous savons déjà depuis un certain temps que l’Europe doit entreprendre quelque chose pour dépolluer l’air et cette prise de conscience est un pas important. C’est une partie de la solution nécessaire pour améliorer la santé de nos citoyens. La pollution de l’air est la principale cause des décès dus à l’environnement dans l’UE. Plus de 400 mille personnes meurent prématurément et beaucoup de personnes sont vulnérables et ont besoin de médicaments et d’hospitalisation. La pollution atmosphérique touche également l’environnement par les dépôts acides. En décembre 2013, la Commission européenne a publié la directive sur la qualité de l’air et a fixé des objectifs pour réduire les émissions d’ici 2030 dans tous les Etats membres. A mon avis, c’est un problème que l’on doit résoudre au niveau de l’UE, la contamination de l’air ne connaissant pas de frontières. Je pense que de meilleurs règlements visant la qualité de l’air sont nécessaires et on doit les promouvoir. »

    « Il s’agit là d’une urgence de santé publique et entre 2020 et 2030 nous améliorerons les résultats de 50%. Ce qui signifie que 200 mille personnes ne mourront plus prématurément chaque année, ce qui est d’une importance capitale » – soulignait encore le rapporteur Julie Girling, en juillet dernier, après le vote de la Commission Environnement. Une certaine flexibilité dans le respect des limites fixées est prévue, mais uniquement dans certaines conditions. Ainsi, par exemple, si pendant une certaine année, un Etat membre n’a pas pu respecter ses engagements en raison d’un hiver très rude ou d’un été très sec, le pays en question pourra calculer la moyenne de ses émissions annuelles pour l’année en cours, l’année précédente et l’année à suivre.

    En même temps, les Etats membres sont appelés à introduire dans leurs programmes nationaux de contrôle de la pollution atmosphérique des mesures applicables à tous les secteurs économiques concernés, y compris l’agriculture, l’industrie, les transports routier et naval interne, mais aussi le chauffage des logements. « Je pense que ce vote est un pas dans la bonne direction. Ce n’est pas la solution parfaite, mais elle marque le début d’un long chemin à parcourir pour améliorer de manière significative la santé de nos citoyens » – a ajouté le rapporteur européen. Selon le commissaire européen à l’énergie et au climat, Miguel Arias Canete, les résultats auxquels on a abouti sont une grande réussite, ayant des effets positifs sur la santé des Européens. Ils permettront d’éviter la moitié des décès prématurés et certaines maladies d’ici 2030. Ces mesures non seulement seront bénéfiques pour les citoyens, mais elles ouvriront également la voie à l’application de la version amendée du protocole de Göteborg, ce qui aura un impact sur les pays touchés et sur la pollution transfrontalière. (Trad. : Alex Diaconescu, Dominique)

  • New restrictions for cleaner air

    New restrictions for cleaner air

    Almost half a million Europeans die every year because of diseases caused by the emission of millions of tonnes of gases and particles released into the atmosphere as a result of human activities, from sulphur dioxide, which causes the acid rain that damages buildings and kills plants, to very small particles that may cause respiratory and heart diseases.



    This is despite the fact that emissions have been reduced significantly in most countries in recent decades. The costs caused by pollution are estimated at 330-940 billion euros a year, including direct economic damages of 15 billion euros accounting for lost work days, 4 billion euros accounting for healthcare costs, 3 billion euros accounting for losses caused by damaged harvests and 1 billion euros accounting for damage affecting buildings, according to data published by the European Commission.



    Taking all these aspects into account, decision makers have begun to look for solutions. One solution, in the opinion of European parliamentarians, is to set much stricter ceilings for the main air polluters.



    The MEPs meeting in Strasbourg debated and voted on a new directive in the field establishing national objectives on the reduction of emissions for five air polluters by 2030 compared with 2005, namely sulphur dioxide, nitrogen oxide, non-methane volatile organic compounds, ammonia and fine suspended particles, the fine dust created by road vehicles and maritime travel and the soot released through burning known as “black smoke”.



    According to the European Environment Agency, these polluters originate from different sources such as heating, industry, transport, agriculture and energy production. Parliament has, however, accepted for methane to be excluded in the final proposal, even though this is not specified in the directive, said the British rapporteur. According to experts, even though methane is in much lower concentration than CO2 in the atmosphere, it is responsible for 18% of the man-made greenhouse effect.



    Reducing pollution is a must because it is the main environmental cause of death in the EU, rapporteur Julie Girling told Parliament. She said that the political context has changed dramatically in the last three years, and air quality has gone to the top of the public agenda, especially after the VW scandal and the issue of emissions in traffic. She also said that the focus on CO2 may have kept focus away from air quality.



    As early as this July, after the vote in the environment committee, she said that this was an emergency in public health, and that results would be improved by 50% between 2020 and 2030. That means that every year over 200,000 people will not lose their lives prematurely, which is paramount. There is, however, a certain flexibility, but conditional. For instance, if a country cannot live up to its commitments in a given year because of a particularly heavy winter or a very dry summer, that country can average out its emissions for that year with the one before and the one after.



    At the same time, member states are urged to include in their national air pollution control programs measures applicable to all relevant economic sectors, such as agriculture, industry, road and domestic water transportation, as well as home heating. According to the rapporteur, reducing pollution is paramount, as it is the main environmental cause of death in the EU, and would lead to a significant improvement in peoples health.



    The European Commissioner for Climate Action and Energy Miguel Arias Canete has stated that the outcome that has been achieved is a great health-related success in the European Union, in terms of preventing 50% of early deaths and a number of ailments by 2030. In addition to the benefits brought by these measures to people, they also open the way to apply the revised Gotteborg protocol, relevant to cross-border pollution.

  • Bus électriques à Cluj

    Bus électriques à Cluj

    Le trafic routier, l’activité industrielle et les travaux de construction sont les principales sources de pollution atmosphérique dans les grandes villes roumaines. Afin de réduire la pollution de l’air, à partir de 2017, la ville de Cluj Napoca, dans le centre du pays, mettra en circulation des bus électriques. Cluj Napoca devient ainsi la première ville de Roumanie à bénéficier de moyens de transport publics efficaces et écologiques. Ces bus ne polluent pas l’air et, après un chargement de 3 heures seulement, ils peuvent parcourir 250 km. L’acquisition de ces véhicules est en cours.

    La porte-parole de la municipalité de Cluj Napoca, Iulia Perşa, explique : « La municipalité de Cluj Napoca envisage d’acheter des bus électriques pour réduire la pollution de l’air. Un nouvel appel d’offres sera lancé, le précédant ayant été annulé. Un nouveau cahier des charges sera élaboré, contenant les caractéristiques des futurs bus électriques et les conditions d’achat. L’ancien appel d’offres prévoyait un accord cadre sur 3 ans pour l’achat de 30 bus, le coût total s’élevant à 71 millions de lei. La plupart des fonds proviennent du gouvernement suisse, en vertu d’un programme de coopération bilatérale. Les bus sont équipés de systèmes de chargement rapide en moins de 10′ pendant la journée et de chargement lent pendant la nuit, aux stations terminus. Ils sont climatisés et permettent l’accès des personnes handicapées ».

    Ce projet n’est pas le seul à être financé à Cluj par le programme de coopération roumano-suisse. Deux autres projets de protection de l’environnement s’y ajoutent.

    Iulia Perşa : « En effet, il y a tout d’abord ce projet visant à remplacer les anciens bus Diesel par des bus électriques. Un autre concerne la réhabilitation thermique des écoles et des lycées de la ville et le troisième la modernisation du réseau d’éclairage public et du système d’éclairage de deux bâtiments appartenant à la mairie en utilisant la technologie LED. »

    L’utilisation des bus électriques apportera au budget de la ville des économies de 70 mille lei par an.

  • Bucarest à I’Velo

    Bucarest à I’Velo

    La capitale roumaine est une des agglomérations urbaines les plus polluées d’Europe, avec une densité de voitures trop importante pour la taille de ses artères, souvent bloquées par le trafic. La bicyclette est une des solutions à portée de main pour répondre à ces défis. Voilà pourquoi l’Association Green Revolution – la révolution verte – a pris les choses en main et a créé à Bucarest aussi un système de location de bicyclettes – I’Velo. Après Timisoara (ouest) et Cluj (centre-ouest), la capitale devient ainsi la troisième ville roumaine à se doter d’un tel service.

    Où trouve-t-on les I’Velos ? Corneliu Belciug, directeur des programmes de l’Association Green Revolution, nous renseigne : « Le système est similaire à ceux des autres grandes capitales européennes et vient compléter le réseau de transport public. Nous avons plusieurs points de location, situés sur les grandes places bucarestoises – Victoriei, Revoluţiei, Universităţii, Romană – mais aussi sur le boulevard Barbu Văcărescu. Une autre station sera mise en service prochainement, Place Charles de Gaulle. Ces six points de location font partie du projet pilote que nous avons démarré. Ils se trouvent au croisement de grandes artères, à proximité de nœuds importants du transport en commun, car l’usager de ce dernier utilise beaucoup la bicyclette aussi, pour échapper aux contraintes du trafic au centre-ville ».

    Pour utiliser le système vous devez juste vous munir d’une carte I’Velo. Les 210 bicyclettes peuvent être louées 24 heures sur 24, quelle que soit la saison, sans oublier toutefois de les retourner à une des six stations, à la fin de la période de location. Corneliu Belciug : « La carte ressemble à une carte bancaire habituelle et elle peut être obtenue auprès des centres I’Velo des parcs de Herastrau et de Tineretului, où vos données personnelles seront enregistrées dans nos bases de données. Vous allez choisir aussi un des trois abonnements que nous proposons – quotidien, mensuel ou annuel. Les jeunes de 16 à 25 ans, de même que les retraités, bénéficient de réductions de 25%. La carte en question vous permet d’utiliser les bornes électroniques de chaque point de location. Vous composez votre code secret choisi au préalable et vous choisissez le vélo. Il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un moyen de transport. Vous pouvez l’utiliser durant 30 minutes avant de le rendre à une autre station I’Velo. Une autre location n’est pas possible avant 30 minutes de stationnement. Le système est donc simple – 30 minutes d’utilisation, 30 minutes de pause et cela 24 heures sur 24, 365 jours par an ».

    Un jour avec I’Velo coûte 2,2 euros (10 lei), un mois vaut 7,8 euros (35 lei), tandis qu’un abonnement annuel s’achète à quelque 22 euros (100 lei). Si vous dépassez les 30 minutes réglementaires d’utilisation, le système vous fera payer des suppléments allant de 90 centimes d’euro (4 lei) pour 30 minutes, 1,8 euro (8 lei) pour 60 minutes ou 4,5 euros (20 lei) pour 90 minutes. Bon pédalage !

  • La qualité de  l’air à Bucarest

    La qualité de l’air à Bucarest

    La poussière abonde elle aussi dans la ville, ce qui ne fait qu’accélérer la pollution de l’air. D’ailleurs en raison de l’air extrêmement pollué de trois grandes villes roumaines (Bucarest, Iasi, Brasov) et de l’absence d’un plan concret pour résoudre ce problème, la Commission européenne a démarré la procédure d’infraction à la législation communautaire visant la Roumanie.

    Les ONGs environnementalistes demandent aux autorités de mettre en marche les équipements de suivi de la qualité de l’air, de réduire le trafic automobile et de veiller au respect des normes environnementales sur les chantiers bucarestois. La ministre de l’Environnement, Cristiana Pasca Palmer, admet que Bucarest se confronte à de graves problèmes de pollution et que les capteurs qui suivent la qualité de l’air sont très anciens.

    Ecoutons Cristiana Pasca Palmer :A Bucarest, le réseau national de suivi de la qualité de l’air ne fonctionne pas comme il devrait pour de nombreuses raisons, et ceci depuis plusieurs années. Afin de réaliser un suivi correct, une station devrait analyser au moins trois types de polluants. A Bucarest, sur les 8 stations de surveillance, seulement 2 sont vraiment fonctionnelles pour les trois types de polluants, les autres sont plus ou moins fonctionnelles. C’est vrai, cette année, nous avons utilisé une ligne de financement mise à notre disposition par l’Administration du Fonds d’Environnement, qui vise à mettre à jour ce réseau national de suivi de la qualité de l’air. Le budget s’élève à 35 millions de lei, soit près de 8 millions d’euros, dont près de 700 mille euros sont alloués à la ville de Bucarest. Donc nous nous attendons à mettre en marche ce réseau avant la fin de l’année et à voir ainsi certains résultats concrets. C’est à dire que nous nous attendons à un meilleur suivi de ces types de polluants. La situation est un peu meilleure à Brasov, donc nous espérons recevoir un message positif afin de mettre fin la procédure d’infraction à la législation communautaire concernant cette ville. A Iasi les choses avancent assez lentement, tout comme à Bucarest, puisque chaque mairie doit réaliser une étude d’impact censée déterminer une série de mesures visant à améliorer ou au moins à maintenir la qualité de l’air. A Bucarest, nous sommes arrivés à l’étape où cette étude est finalisée, et désormais les mesures figurent dans un plan d’action alors qu’à Iasi, cette étude est en train d’être réalisée.

    Selon une recherche de l’Officie européen de la statistique, Eurostat, rendu publique cet été, sur les habitants des capitales de l’UE, ce sont les Bucarestois qui se sont déclarés en 2015 les plus mécontents de la qualité de l’air. Seuls 22% des Bucarestois ont déclaré qu’ils étaient satisfaits de la pureté de l’air qu’ils inspirent. En Europe, le classement est mené par Vienne, Helsinki et Dublin. 88% des habitants des trois capitales européennes ont déclaré être satisfaits de la qualité de l’air. Malheureusement, Bucarest se trouve au pôle opposé. (Trad. Alex Diaconescu)

  • La « Maison verte » rouvre ses portes

    La « Maison verte » rouvre ses portes

    Interrompu il y a cinq ans, le programme gouvernemental « Maison verte » vient d’être relancé cet été afin d’améliorer la qualité de l’air, de l’eau et du sol par la réduction de la pollution générée par la consommation de bois et d’autres combustibles solides pour le chauffage et l’obtention de l’eau chaude ménagère. Le gouvernement souhaite également stimuler l’emploi de systèmes qui utilisent des sources d’énergie renouvelable, non polluantes.



    Le programme « Maison verte » est relancé cette année avec une ligne de financement de plus de 34 millions d’euros et selon les premières estimations, environ 15.500 personnes physiques pourraient en bénéficier. S’y ajouteront associations de propriétaires, mais aussi institutions publiques, hôpitaux, écoles et universités.



    Le programme « Casa verde clasic » propose de financer des investissements dans la rénovation thermique des immeubles avec des matériaux tels le chanvre, la laine et la laine de roche. Par ailleurs, le programme « Casa verde plus », dispose de 10 millions d’euros destinés à financer des projets utilisant des matériaux écologiques, des systèmes de toits verts et de gestion de la consommation d’énergie ainsi que des systèmes d’éclairage éco.



    Ce qui plus est, une autre dizaine de millions d’euros sera destinée à ceux qui avaient conclu des contrats en 2011 dans le cadre du précédent programme « La maison verte ». Celui-ci finançait entre autres l’installation de systèmes de chauffage utilisant l’énergie renouvelable qui étaient censés compléter, sinon remplacer entièrement, les chaudières classiques.



    Hormis la diminution de la pollution et la baisse des factures d’énergie, le projet prévoit également d’autres avantages selon la ministre de l’environnement, Cristiana Pasca Palmer. « Ce marché n’en est qu’à ces débuts en Roumanie et par le biais des mesures que nous venons d’adopter je veux stimuler le business dans ce secteur. L’utilisation accrue de matériaux de construction écologiques créera un marché compétitif et j’espère qu’elle mènera aussi à l’apparition de nouveaux emplois », a également précisé Cristiana Pasca Palmer, la ministre roumaine de l’environnement, des eaux et des forêts. (trad. : Alex Diaconescu)

  • Le scandale des déchets

    Le scandale des déchets

    La Roumanie n’est pas la déchetterie de l’Europe! 16 transports illégaux contenant près de 300 tonnes de déchets ont été arrêtés le mois dernier lors des contrôles douaniers. 13 d’entre eux provenaient d’Allemagne, les 3 autres venaient d’Autriche et de Hongrie. La loi stipule que seuls les déchets verts valorisables peuvent entrer en Roumanie. Les 300 tonnes de déchets figuraient dans les documents comme recyclables et destinés à l’industrie textile.

    En réalité, il y en avait toute sorte de résidus, y compris des déchets médicaux très dangereux. Six opérateurs économiques auraient dû les entreposer dans des déchetteries de Roumanie, notamment du sud-est du pays. Une de ces firmes devait se charger à elle seule de 40% de la quantité totale. La Roumanie a le triste renom d’être une destination attractive pour ce genre d’opérations. Et pour cause. Alors que dans d’autres pays l’entreposage des déchets revient à 80 euros par tonne, en Roumanie il ne coûte rien.

    La situation changera à partir du début 2017, affirmait la ministre roumaine de l’environnement, Cristiana Paşca Palmer, tout en soulignant la nécessité d’accroître la vigilance et de durcir les contrôles à la frontière. Cristiana Paşca Palmer: « Je voudrais que tous les opérateurs économiques entendent bien ce message: la Roumanie n’est pas la déchetterie de l’Europe. Tant qu’il y a une législation en la matière, il faut l’appliquer strictement. On ne peut importer que des déchets conformes aux normes en vigueur, à savoir recyclables, sinon tout est illégal ».

    Cristiana Paşca Palmer a confirmé sans équivoque qu’il s’agit d’une affaire illite, dont les ramifications d’étendent à travers l’Europe. Et elle d’avancer l’hypothèse que les transports illégaux interceptés en juin ne soient que le sommet de l’iceberg. Les déchets qui devaient entrer illégalement en Roumanie ont été rapatriés dans leurs pays d’origine. Quant aux sociétés roumaines qui ont essayé d’enfreindre la loi, elles font l’objet de poursuites pénales. Par ailleurs, le renouvellement du parc automobile compte lui aussi parmi les mesures censées protéger l’environnement. Le programme connu sous le nom de « Rabla » (« Le tacot ») semble être un succès.

    Tout propriétaire d’un vieux véhicule qui amène son tacot à la casse reçoit une prime pour l’achat d’une voiture neuve. Sur le montant total du programme pour l’année en cours, qui s’élève à 220 millions de lei (soit l’équivalent de près de 50 millions d’euros), 75 millions de lei sont destinés au programme « Tacot plus ». Ce dernier s’adresse aux Roumains désireux d’acheter des automobiles 100% électriques ou hybrides. Une partie de cet argent devrait servir à financer le réseau de bornes de recharge pour ce type de véhicules. Le ministère roumain de l’environnement estime qu’en 2016 grâce au programme « Le tacot », quelque 20 mille voitures polluantes seront mises hors d’usage. (trad Mariana Tudose)

  • A la Une de la presse roumaine 08.06.2016

    A la Une de la presse roumaine 08.06.2016

    Aujourd’hui le gaz roumain est sous la loupe non seulement de la presse mais aussi de la Commission européenne. Autre sujet ce mercredi : « La loi antitabac, modifiée par le Sénat». Et puisque les résultats du récent scrutin municipal sont toujours très débattus par les Roumains, la presse en ligne publie un article intitulé « L’héritage toxique de Bucarest », énumérant les défis à relever par la nouvelle maire de la capitale.



  • Le Gala Green Business Index

    Le Gala Green Business Index

    Cette année, 260 entreprises présentes en Roumanie s’y sont inscrites. Ce classement est l’unique instrument gratuit d’évaluation de la performance environnementale sur base d’indicateurs inspirés des normes internationales dans 7 domaines spécifiques à la protection de l’environnement : développement durable, gestion des ressources, impact sur l’environnement, management des déchets, bâtiments et espaces verts, achats verts et transports.

    La 5e édition de cette prestigieuse compétition vient de s’achever et une vingtaine de compagnies ont été récompensées de prix. Ninel Lazar, manager du projet Green Business Index, a loué les progrès enregistrés par ces entreprises et leur a recommandé de poursuivre leurs activités de protection de l’environnement : « C’est réjouissant de voir qu’un taux impressionnant d’entreprises ont amélioré substantiellement leurs performances par rapport aux années précédentes. Cette année, près de 73% des entreprises évaluées utilisent des instruments ou des éléments de design écologique pour leurs produits. Par rapport à l’année dernière, 34% des entreprises ont réussi à réduire de plus de deux tiers leur consommation d’eau. Plus de la moitié ont réduit leurs consommations énergétiques par rapport à l’année 2014, mais les opportunités sont immenses parce que seules 36% de ces sociétés font un audit régulier de leur consommation énergétique. 66% des compagnies n’utilisent pas de substances dangereuses en tant que matières premières, 40% des sociétés ont réduit leurs émissions de gaz dans l’atmosphère, également par rapport à l’année précédente. Un peu moins de la moitié ont réduit les quantités nettes de substances polluantes déversées dans l’environnement par les eaux usées et près de 38% n’utilisent pas les décharges comme solution de management des déchets non-ménagers. »

    Lors de l’édition de cette année du classement Green Business Index, la banque ProCredit Bank a obtenu le plus important score aux catégories management de déchets et achats verts. Gabriela Ercàu, responsable du département Energie verte chez ProCredit Bank : « Nous visons trois directions de gestion des activités environnementales. La première est un système de gestion interne. Nous avons mis en place un suivi centralisé des indicateurs de consommation du papier, de l’énergie, des carburants, de la chaleur, afin d’optimiser la consommation sans pour autant péricliter nos conditions de travail. Pour tous les types de déchets, nous avons conclu des contrats de recyclage avec des firmes spécialisées pour chacun de nos sièges. De plus, quand nous sélectionnons nos fournisseurs, nous cherchons à conclure des partenariats avec des entreprises qui mettent en œuvre les mêmes principes et qui peuvent être certifiés, comme par exemple par le certificat ISO 14001. Le but de cette démarche est l’achat d’équipements et de solutions efficaces du point de vue énergétique et écologique. Là, je mentionnerais l’utilisation de véhicules avec des émissions réduites de CO2, l’achat de papier recyclé et de systèmes d’éclairage à base de LEDs. Le deuxième critère est l’administration des risques environnementaux dans le processus d’octroi des crédits. Il s’agit d’une analyse approfondie de toutes les activités économiques qui impliqueraient des risques environnementaux ainsi que le rejet des demandes de crédit déposées par les entreprises impliquées dans des activités jugées dangereuses pour l’environnement et qui figurent sur la liste d’exclusion de notre institution. La troisième direction est celle des crédits qui soutiennent le développement économique durable. Dans le cas des PMEs et des fermiers, ce type de financement contribue à augmenter la performance des affaires dans l’utilisation des technologies modernes et efficaces, qui soutiennent en même temps la protection de l’environnement. »

    Le gagnant des catégories « Impact sur l’environnement » et «Transport durable » a été la société KPMG Roumanie, qui a également décroché des prix pour le management des déchets et le développement durable. Geta Diaconu, directrice des Services environnement et durabilité, a précisé que vu que la compagnie KPMG propose des services de conseil dans ce domaine, elle doit absolument résoudre ses propres problèmes environnementaux : « Avant de conseiller ses clients sur la gestion leur affaire d’une manière durable et écologique, il faut d’abord que nous appliquons nous mêmes des mesures similaires. Nous avons décidé, il y a plusieurs années, d’être plus attentifs aux questions environnementales et d’appliquer les principes écologiques, même si notre activité est limitée aux bureaux. Dans le domaine des transports nous avons décidé de réduire nos émissions polluantes et nous mettons à la disposition de nos salariés des minibus parce que nos bureaux se trouvent à Baneasa, dans la banlieue nord de la Capitale. Nous les encourageons également à utiliser le vélo et j’avoue que moi-même je suis fan de cyclisme. »

    DHL International est la société roumaine la plus performante en matière d’environnement en 2015. C’est pour la 4e fois que ses représentants montent sur la scène du Gala des prix Green Business Index. Les atouts de cette compagnie de transport en messagerie sont l’expérience et l’appui du groupe DHL qui bénéficie de l’expérience acquise dans tous les pays où celui-ci est présent. L’objectif stratégique de la compagnie, qui a également été adopté par sa filiale roumaine, est la réduction de 30%, jusqu’en 2020, des émissions de carbone par rapport à l’année 2007. Comparée à l’année dernière, la baisse des émissions de carbone a été de près de 20%, ont déclaré les responsables de la compagnie en tête du classement Green Business 2015.

    Raluca Fişer, présidente de l’ONG Green Revolution se déclare satisfaite du résultat de la compétition de cette année et invite les entreprises à participer à la prochaine édition, celle de 2016. « Il existe des entreprises, tant des multinationales que des PMEs, qui ont enregistré des performances en matière d’environnement, qui ont souhaité d’un côté évaluer leur situation et de l’autre voir où elles se situent par rapport aux autres compagnies ayant participé à cette compétition. Je peux vous dire que cela n’a pas été simple. Peut-être que nous avons simplifié un peu la structure et la formule de calcul mais les questions sont adaptées à toutes les normes internationales. Une nouvelle directive européenne d’évaluation non-financière entrera en vigueur l’année prochaine, et le projet Green Business Index souhaite aider les entrepreneurs roumains à améliorer les performances écologiques de leurs sociétés. Pour conclure, on peut affirmer que les entrepreneurs roumains ont commencé à se rendre compte de l’importance des performances environnementales qui sont liées aux résultats financiers et que les performances dans le domaine s’améliorent d’une année à l’autre. » a déclaré Raluca Fişer, présidente de l’ONG Green Revolution. Rappelons-le, cette association est la première ONG d’écologie urbaine de Roumanie dont l’objectif est la mise en œuvre des mesures sur lesquelles repose la construction d’une ville verte.

  • A la une de la presse roumaine – 16.10.2015

    A la une de la presse roumaine – 16.10.2015

    Sujets divers dans la presse nationale ce
    vendredi matin. Les journaux évoquent les enjeux autour des gisements d’hydrocarbures
    découverts dans les périmètres de la Roumanie en Mer Noire, l’arrestation de l’ex-premier
    ministre moldave Vlad Filat et la pollution de l’air à Bucarest.



  • 02.10.2015

    02.10.2015

    Volkswagen – Les autorités de Bucarest en charge du domaine automobile analysent les conséquences de l’affaire Volkswagen sur la Roumanie. Le géant allemand de l’automobile a reconnu avoir installé sur certains véhicules dotés de moteurs diesel des dispositifs censés truquer les résultats des tests de pollution. Selon le chef du département pollution et conseil technique du Registre automobile roumain, les voitures du groupe allemand seront rappelées au moment où l’autorité allemande d’homologation enverra des informations concrètes relatives aux véhicules concernés. Les autorités de Bucarest n’excluent pas la possibilité de demander au Groupe Volkswagen des dédommagements pour les taxes de pollution payées par les propriétaires roumains qui sont évidemment inférieures à la réalité.

    Chisinau – Le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, a averti qu’il existe des forces qui souhaitent arrêter ce pays ex-soviétique de son parcours vers l’UE. Le conflit en Ukraine voisine et les embargos imposés par la Russie aux produits moldaves ont directement influencé le cours des événements internes, a déclaré le président moldave lors d’un message relatif de la situation sociale et politique de Chisinau. Timofti a reconnu que les protestations antigouvernementales étaient générées par le mécontentement à l’égard de l’activité des institutions publiques et de certains dignitaires et averti qu’elles risquaient d’être utilisées par des forces néo-soviétiques qui viseraient à profiter de la situation actuelle. Annonçant l’octroi par l’exécutif de Bucarest d’un crédit de 150 millions d’euros à la République de Moldova, le premier ministre roumain, Victor Ponta, a averti que les forces politique pro-russes pourraient s’emparer à nouveau de la République de Moldova. A compter du 6 septembre, une vague de protestations a eu lieu dans la capitale moldave sur la toile de fond de la détérioration de la situation économique et de plusieurs scandales de corruption impliquant des personnes au sommet du pouvoir pro-occidental de Chisinau.

    Paris – Le président français François Hollande reçoit vendredi à Paris son homologue russe Vladimir Poutine avec lequel les désaccords sur la Syrie sont nombreux. Les premiers bombardements de l’aviation russe mercredi, visant officiellement le groupe jihadiste Etat islamique (EI), ont été accueillis avec scepticisme par Washington et ses alliés, qui soupçonnent la Russie de s’en prendre aux opposants de son allié Bachar al-Assad sous couvert de lutte contre le terrorisme. Occidentaux et Russes divergent sur les cibles choisies par Moscou en Syrie. D’après la Défense russe, le groupe Etat islamique a été visé par trois séries de frappes dans la zone d’Idleb (nord-ouest) a Hama et Homs (centre). Les objectifs: des dépôts d’armes, un camp d’entraînement et des postes de commandement. Mais selon les Américains, les Européens et des rebelles syriens, l’action russe se concentre sur des groupes d’opposants armés qui menacent le régime de Damas, et pas exclusivement sur le Daech.

    Tennis – Les joueuses roumaines de tennis Irina Begu et Monica Niculescu se sont qualifiées vendredi dans la finale de double du tournoi WTA de Wuhan en Chine. Dans les demi-finales, les sportives roumaines ont vaincu le double Andrea Hlavackova/Lucie Hradecka de la République Tchèque.

    Tennis de table – Les joueuses roumaines de ping-pong Elizabeta Samara et Bernadette Szöcs se sont qualifiées aux 16e de finale de l’épreuve de simple du Championnat européen de tennis de table d’Ekaterinbourg en Russie. Andrei Filimon et Ovidiu Ionescu sont également inscrits dans la compétition double messieurs. Rappelons-le, la Roumanie a remporté l’argent par équipes, après avoir perdu la finale face à l’Allemagne.

  • 01.10.2015 (mise à jour)

    01.10.2015 (mise à jour)

    Volkswagen – Les vendeurs de voitures Volkswagen, Audi, Skoda et Seat ne peuvent plus commercialiser en Roumanie leurs automobiles diesel se trouvant en stock. La mesure a été adoptée par les autorités de Bucarest jusqu’au règlement de la situation des autos qui risquent d’être doté de moteur diesel équipé d’un logiciel permettant de tricher aux tests anti-pollution. La semaine dernière, le Registre Automobile Roumain avait annoncé être en train de vérifier si les véhicules auxquels il avait accordé des certificats d’homologation pour les émissions polluantes étaient dotés de dispositifs de manipulation de ces émissions. Le Registre a demandé à la représentation de Volkswagen en Roumanie une liste de tous les types d’automobiles équipées de ces dispositifs. Récemment Volkswagen a annoncé avoir mis au point un plan de réparation des automobiles diesel en question.

    Météo- Le temps s’améliore en Roumanie où l’on s’attend à une hausse des températures dans les 24 heures à venir. Les maximales iront de 16 à 22 degrés.