Tag: QSL

  • QSL-cards for 2018

    QSL-cards for 2018

    Located at the heart of the country, Alba Iulia delights travellers with the abundance of historical monuments, testimonies of its centuries-old past.



    On December 1 this year we will celebrate 100 years since an assembly was held on a plateau near the Alba Iulia medieval citadel, with representatives of all Romanian provinces voting for the union into a new nation-state.

    Photos: Alba County Council, Ştefan Baciu, Marius Ceteraş.























    Alba Iulia – The First Gate of the Citadel

    Alba Iulia – The Second Gate of the Citadel

    Alba Iulia – The Obelisk of Horea, Cloşca and Crişan

    Alba Iulia – The Orthodox Cathedral

    Alba Iulia – The Roman-Catholic Cathedral

    Alba Iulia – The Former Trinitarian Monastery

    Alba Iulia – The Ruins of the Roman Camp

    Alba Iulia – The Third Gate of the Citadel

    Alba Iulia – The Fourth Gate of the Citadel

    Alba Iulia – The Vauban- type Citadel

    Alba Iulia – The Statue of Michael the Brave

    Alba Iulia – The Union Hall


  • QSL mars 2018 – L’Obélisque de Horea, Closca et Crisan

    QSL mars 2018 – L’Obélisque de Horea, Closca et Crisan

    A l’entrée de la forteresse d’Alba Carolina, tout près du 3e portail, on arrive à l’obélisque consacré à Horea, Cloşca et Crişan – les chefs de la révolte paysanne de Transylvanie de 1784. En fait, le monument a été construit pour marquer les 150 ans écoulés depuis l’exécution de Horea et de Closca.

    Un peu d’histoire si vous permettez : en 1784, les paysans de Transylvanie – roumains, hongrois et saxons vivant et travaillant sur les domaines des nobles et de l’Etat – aux côtés des mineurs des Monts Apuseni et du Marmures, de maîtres artisans et même de prêtres – toutes ces catégories sociales donc se révoltent contre les conditions de vie et les abus des nobles. Selon le site spécialisé historia.ro, qui cite à son tour des statistiques du 18e siècle, à cette époque-là, les nobles comptaient pour 6,7% de la population totale de la Transylvanie. En fait, un quart de la population de cette province historique roumaine était formée de paysans asservis. Par conséquent, la révolte a été une conséquence directe des relations extrêmement tendues entre les nobles d’origine hongroise et la population asservie, formée de Roumains pour la plus grande partie.

    Les protestations avaient commencé bien avant la révolte, note le même article, et des représentants des paysans s’étaient rendus à plusieurs reprises à Vienne pour présenter leurs plaintes à l’empereur. Parmi eux, Horea, un Roumain né dans une famille de paysans serfs. Il s’est rendu 4 fois à Vienne, la dernière fois étant reçu par l’empereur Joseph II, fils de l’impératrice Marie-Thérèse. Horea lui a transmis une pétition dans laquelle les paysans dénonçaient les trop nombreuses taxes qui leur avaient été imposées et avouaient que ceux qui s’y opposaient étaient le plus souvent emprisonnés.

    La révolte a éclaté au moment où un groupe de paysans se dirigeant vers Alba Iulia fut arrêté de force par des troupes des nobles. Dirigés par Closca, ancien soldat dans l’armée impériale, les paysans ont attaqué les manoirs de la région. D’autres ont suivi leur exemple. Horea fut celui qui a formé des groupes dirigés par des capitaines et rédigé un programme exprimant leurs doléances. Quelles doléances ? Que les nobles quittent à jamais leurs domaines et qu’ils paient des taxes comme le reste du peuple et que leurs terres soient partagées par ordre impérial entre les simples citoyens.

    Des négociations ont lieu entre les commandants militaires impériaux et les leaders de la révolte, des armistices sont conclus, Vienne envoie d’importants effectifs militaires en Transylvanie et en Hongrie pour gagner du temps, Horea incite les paysans à attaquer à nouveau, avant la défaite finale, le 7 décembre 1784. Horea demande à ses troupes de se retirer. Entre temps, une commission impériale conduit des interrogatoires pour apprendre les origines de la révolte, alors que l’empereur lui-même demande que les leaders de l’insurrection paysanne soient « exécutés de manière spectaculaire » devant la foule à titre d’exemple, lit-on sur historia.ro. Deux semaines durant, Horea et Closca ont été portés, enchaînés, à travers les villages transylvains. Ils ont été roués le 28 février 1785. Un autre chef connu de la révolte paysanne, Crisan, s’était pendu en prison le 13 février. Bien que la cour impériale ait continué les réformes sociales en Transylvanie, permettant aux paysans serfs de changer de domaine ou de se marier sans avoir l’accord des nobles, ces mesures n’ont pas été mises en œuvre pendant longtemps. Les paysans serfs de Transylvanie deviennent libres à peine en 1848.

    C’est pour commémorer ce moment si important de l’histoire de la ville d’Alba Iulia et de la Transylvanie que fut érigé l’Obélisque de Horea, Closca et Crisan, en 1935, soit 150 ans après les événements racontés. Un monument impressionnant par ses dimensions, car haut de 20 m et donc visible à plusieurs de km de distance. Il fut inauguré le 14 octobre 1937, en présence du roi Carol II et de son fils Michel Ier, qui avait à l’époque le titre de « grand voïvode d’Alba Iulia ».

    Sur la façade ouest, au-dessus de la porte en fer forgé, sont sculptées en relief les frontières de la Grande Roumanie, avec au milieu le portraits de Horea, Closca et Crisan. Sur la façade est de l’obélisque, une statue de grandes dimensions représente la déesse Victoire, ailée, tenant dans la main une couronne de lauriers destinée aux trois leaders de la révolte.

    Le monument est réalisé en style Art déco, un courant artistique qui marie éléments géométriques et floraux, avec la ligne gracieuse du corps humain. C’est peut-être le monument public le plus important construit ces 100 dernières années en Roumanie.

  • Qsl février 2018 – Le deuxième portail d’entrée dans la citadelle Alba Carolina

    Qsl février 2018 – Le deuxième portail d’entrée dans la citadelle Alba Carolina

    Pour entrer dans la cité d’Alba Iulia, une citadelle construite en style Vauban, c’est à dire en forme d’étoile, il faut franchir 3 portails. Le premier, nous l’avons découvert il y a deux semaines. Le second se trouve sur la deuxième ligne de défense de la cité. Partiellement démoli en 1937, pour permettre à la municipalité d’effectuer des travaux de réhabilitation sur l’Obélisque Horea, Closca et Crisan, le 2e portail a été par la suite reconstruit. Aujourd’hui il figure, évidemment, dans le circuit touristique qui fait découvrir aux visiteurs les trois portails d’accès dans la citadelle. La forme actuelle de ce 2e portail est en fait le résultat d’un ample projet de restauration finalisé en 2009. Avant, seuls quelques piliers rappelaient aux visiteurs l’existence de ce monument. Lorsqu’il fut reconstruit, sur les piliers centraux on a repositionné les atlantes qui avaient veillé jusque là l’entrée au Musée national de l’Union, à l’intérieur de la cité. Il s’agit de deux statues réalisées dans l’antithèse spécifique du style baroque: un jeune homme, à gauche, et un homme adulte, à droite. La partie supérieure du portail est décorée de statues de lions, chacun portant un bouclier montrant l’emblème de l’empereur de Vienne à l’époque où la cité avait été construite. Enfin les piliers délimitent trois voies d’accès : deux rues piétonnes et un chemin carrossable. Voilà donc pour la carte QSL du mois de février. (Trad. Valentina Beleavski)

  • QSL janvier 2018 – Le premier portail de la forteresse d’Alba Iulia

    QSL janvier 2018 – Le premier portail de la forteresse d’Alba Iulia

    Alba Iulia est une citadelle construite en style Vauban, c’est à dire en forme d’étoile. Pour y accéder il faut franchir trois portails. Le premier est à retrouver du côté est de la forteresse. Il ressemble à un arc de triomphe avec trois entrées. Il fut bâti en blocs de pierre sculptée et en calcaire. Ses deux façades sont décorées de bas-reliefs représentant des scènes mythologiques.

    Dans la partie supérieure du portail, sur un piédestal, on voit les armoiries de l’Empire des Habsbourg, l’aigle bicéphale couronné. D’un côté et de l’autre on reconnaît les statues de Mars, le dieu de la guerre, et de Vénus, la déesse de l’amour et de la beauté. D’autres de symboles mythologiques se font remarquer au – dessus des arcades latérales. A gauche – Enée le fondateur mythique de Rome, et à droite – Hercule affrontant Antée. De l’autre côté de la façade de ce premier portail d’accès dans la citadelle d’Alba Iulia, on retrouve, à gauche, le même Hercule tuant le lion de Némée, alors que la statue se trouvant à droite représente Persée tenant la tête de Méduse.

    Toute cette construction a été restaurée entre 2001 et 2005. Actuellement elle fait partie d’un des itinéraires touristiques de la citadelle intitulé « Le circuit des Portes de la Cité ». A visiter absolument si vous êtes de passage en Transylvanie.

  • Hörerpostsendung 25.2.2018

    Hörerpostsendung 25.2.2018

    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI!



    Zunächst ein kleiner Nachtrag zum Welttag des Radios 2018 und den zugesandten Beiträgen. Unser Hörer Herbert Jörger (aus Bühl, Baden-Württemberg) schickte uns nach dem Funkbriefkasten vom vergangenen Sonntag seine Gedanken zum Thema:



    Auch ich möchte noch ein paar Bemerkungen zu dem World Radio Day machen. Ich finde es für sehr gut, dass auch die UNO an die Radiohörer gedacht hat. Die Sportsendungen von der Winter-Olympiade werden in Deutschland von den meisten über das Fernsehen angeguckt. Nur in der Dritten Welt dürfte es heute üblich sein, die Sportberichte live am Radio mitzuerleben.


    Ich erwarte von den ausländischen Radiostationen, über Volk, Kultur und das Land informiert zu werden. Radio Rumänien International kommt auch grö‎ßtenteils diesem Wunsch nach.


    Teilweise werden die Hörer heute auch rauschfrei über das Internetradio informiert. Zu meinen beliebten Sendungen gehört hierbei auch das Hamburger Hafenkonzert. Die Gründungsväter haben beim Ausruf des World Radio Day noch gar nicht an die Weiterentwicklung des mobilen Rundfunks und der Handys gedacht, über das auch Radioempfang möglich ist. Mit herkömmlichen Geräten ist daher Radioempfang kaum noch möglich.



    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Jörger. Nun, das Thema, das Sie ansprechen, sorgt gerade bei Kurzwellenfreunden für viel Unmut. Viele finden es bedauerlich, dass die Mittel- und Langwelle in Deutschland flächendeckend abgeschaltet wurde. Und ich kann das verstehen, denn nicht nur in Deutschland sind das vielgepriesene Internet und die Hochgeschwindigkeitsnetze nicht überall ausgebaut; und die Möglichkeit, Internetradio übers Handy zu empfangen, ist auch eine Kostenfrage. Da müsste man gro‎ßzügige Datenpakete vom Mobilfunkanbieter haben, und in Deutschland ist das nach meinem Wissen nicht immer kostengünstig.




    Wie auch immer die Zukunft des Radios sein wird — unsere Hörer halten uns die Treue, und zwar seit Jahrzehnten. So etwa meldete sich erneut Peter Vaegler (aus Stralsund) mit folgenden Zeilen per E-Mail:



    Liebe Freunde in Bukarest,



    Im Januar habe ich es leider nicht geschafft, eines Ihrer Programme zu hören, aber gestern hat es wieder einmal geklappt. Die Hörerpostsendung ist immer sehr aufschlussreich, weil dort viele Fragen gestellt werden, die mich auch oft interessieren. Es war natürlich sehr informativ, dass Fasching/Karneval in Rumänien keine gro‎ße Tradition hat. Ähnlich ist es aber auch in Deutschland; hier im Norden sind es nur einzelne Orte, die Karneval usw. feiern.



    Ich habe gerade gesehen, dass mir noch einige QSL-Karten der Vergangenheit fehlen. Ich hoffe, in diesem Jahr mehr Zeit zu haben, damit ich die eine oder andere Karte noch erhalten kann, zumal es in diesem Jahr 50 Jahre her ist, dass ich meine erste QSL-Karte von Ihnen erhielt. Ich würde mich daher wieder sehr freuen, wenn der folgende Bericht wieder mit einer QSL-Karte bestätigt wird. Es ist nicht nötig, sich damit zu beeilen; lieber mehrere Karten gleichzeitig schicken, um Portokosten zu sparen.




    Seit mindestens 50 Jahren ist uns auch unser österreichischer Hörer Paul Gager treu, der abwechselnd in Wien und im Burgenland daheim ist. Folgende Zeilen schickte er uns in einem Postbrief, der au‎ßerdem Ausschnitte aus österreichischen Zeitungen und Magazinen enthielt:



    Liebe Radiofreunde im schönen Bukarest!



    Die Zeit vergeht ja wie im Flug und nun ist es auch schon über 50 Jahre her, dass ich Ihre immer interessanten und unterhaltsamen Sendungen mitverfolgen darf.



    Einige Zeitzeugen davon sind wunderschöne Diplome, QSL-Karten und Wimpeln von RRI, die in meiner Sammlung wegen ihrer Besonderheit einen Ehrenplatz bekommen haben. Eine meiner ersten QSL-Karten überhaupt ist von RRI aus dem Jahre 1973.



    Nun wäre es vermessen von mir, auf weitere 50 Jahre RRI-Hören zu hoffen. Aber einige Jährchen auf der analogen Kurzwelle kommen vielleicht doch noch zusammen. So Gott will und die rumänische Rundfunkbehörde bzw. die Verantwortlichen von RRI.



    Mit freundschaftlichen Grü‎ßen


    Paul Gager




    Das Thema QSL-Karten ist fast schon zum Leitmotiv geworden. Josef Robl, ein weiterer Stammhörer aus Österreich, merkte in einer vor wenigen Tagen gesendeten E-Mail kurz an:



    Sind Empfangsberichte überhaupt noch erwünscht, oder haben Sie meine monatlichen Empfangsberichte nicht erhalten, ich sende diese immer als Anhang der E-Mail.



    QSL-Karten habe ich schon lange keine mehr bekommen, aber gerade diese kleinen Geschenke würden die Freundschaft zu RRI erhalten und eine Motivation zum Schreiben meiner monatlichen Empfangsberichte sein.




    Und Reinhard Schumann (der uns aus Schweden schrieb) nahm Bezug auf einen Funkbriefkasten an einem Sonntag, als ich von zahlenmä‎ßig geringem Postverkehr sprach:



    Am Sonntag habe ich Ihre interessante Sendung in einer sehr guten Empfangsqualität gehört. Schade, dass zum Funkbriefkasten so wenige Empfangsberichte eingingen. Vielleicht liegt es daran, dass die Hörer auf der Kurzwelle eine QSL-Karte haben möchten. Wenn es vom Sender aus finanziellen Gründen schwierig ist, diese zu bestellen, so sollte man vielleicht über eine andere Form im Funkbriefkasten darüber diskutieren!




    Ihnen allen vielen Dank für Ihre Rückmeldungen, liebe Freunde. Selbstverständlich sind Empfangsberichte noch erwünscht, die Auswertung der Empfangsbedingungen sind vor allem für unseren technischen Dienst interessant. Für mich ist allerdings Feedback zu unserem Programm interessanter, denn nur so können wir erfahren, was wir besser machen könnten, und ohne dieses Feedback fällt eben auch der Funkbriefkasten dünner aus.



    Zu den QSL-Karten habe ich leider noch keine Neuigkeiten. Ich schaue jede Woche in unser Intranetz, ob denn eine neue Serie zunächst zumindest in virtueller Form vorhanden ist — bislang war der betreffende Ordner leer. Aber auch im vergangenen Jahr wurde die Serie für 2017 erst Ende Februar oder Anfang März verlegt und gedruckt. Au‎ßerdem scheint die Dame in der Postbearbeitungsstelle ihren Krankenurlaub verlängert zu haben, denn in diesem Jahr habe ich sie noch nicht erblickt. Sobald ich etwas Neues erfahre, werde ich Sie hier informieren.



    Und jetzt möchte ich noch etwas richtigstellen: Im Funkbriefkasten vom 21.1.2018 hatte ich eine Frage unseres Hörers Frank Helmbold beantwortet, der sich dafür interessierte, ob der Sender Antena Satelor mit Programmen für rumänische Landwirte auch per Kurzwelle zu empfangen sei. Ich hatte damals die Frage mit Nein beantwortet, da nach meinem damaligen Wissen der Sender nur auf Langwelle senden würde. Nun, da lag ich falsch, denn unser Hörer und leidenschaftliche Wellenjäger Alexandru Bușneag, der ebenfalls in Deutschland zu Hause ist, ist da besser informiert und schickte mir per E-Mail folgende Info:



    Radio Antena Satelor (was soviel wie Dorfantenne hei‎ßt) sendet sehr wohl einmal in der Woche auch auf Kurzwelle, und zwar auf den Frequenzen der rumänischsprachigen Programme von RRI für die rumänische Diaspora. Das Programm hei‎ßt übersetzt Der Heimat fern“ und wird immer sonntags von 16 bis 17 Uhr MEWZ auf 9810 und 11975 kHz ausgestrahlt. Wieviel Wortbeiträge und wieviel Musik dabei gesendet werden, wei‎ß ich nicht, aber nachdem es sich wie gesagt um ein Programm für die rumänische Diaspora handelt, dürfte wohl auch einige Volksmusik dabei sein.



    Nächste Woche möchte ich wieder ein paar Hörerfragen beantworten, die ich mir in letzter Zeit aufgeschrieben habe. Doch bevor ich mich für heute verabschiede, verlese ich noch die Namen der Hörer, die uns diese Woche geschrieben haben:



    Einen Postbrief erhielten wir von Paul Gager aus Österreich. Weitere Briefe lagen in der Ablage, und ich lese sie mir bis nächsten Sonntag durch. E-Mails und Feedback im Online-Formular erhielten wir bis vergangenen Freitagabend von Ratan Kumar Paul (Indien), Josef Robl (A) sowie von folgenden Hörern aus Deutschland: Tilo Lindner, Ekna Ekner, Lutz Winkler, Michael Willruth, Beate Hansen, Herbert Jörger, Gerd Brüschke und einem Nutzer des Feedbackformulars, der mit dem Nickname Thal unterzeichnete.




    Audiodatei hören:




  • QSL décembre 2017 – La cité de Malaiesti

    QSL décembre 2017 – La cité de Malaiesti

    Cette citadelle a été bâtie au XIVe siècle par une famille de nobles, la famille Sărăcin. Son but était de protéger la zone contre les différentes attaques. Au début, seule une tour de défense servant aussi d’habitation fut construite. Puis, elle fut entourée de murs d’enceinte. Quatre bastions y furent rajoutés plus tard. On disait que la cité était trop petite pour faire face à une attaque plus dure. Son rôle défensif était plutôt local, pour les conflits entre les nobles de la région. C’est plutôt bizarre, mais la fortification n’est mentionnée dans des documents écrits que deux siècles plus tard, en 1613 ; plus aucun des héritiers de la famille qui l’avaient construite n’était alors en vie. A commencer par le début du XVIIe siècle, la cité est oubliée et tombe en ruine. La citadelle de Mălăieşti est le premier monument médiéval du département de Hunedoara complètement restauré après la chute du communisme. Elle attire les visiteurs qui viennent découvrir les beautés naturelles du Parc national de Retezat et se passionnent aussi pour l’histoire. Voilà pour notre dernière QSL de 2017, que vous allez recevoir bientôt en échange de vos bulletins de réception de décembre. (Trad. Valentina Beleavski)

  • QSL-картки за 2018 рік

    QSL-картки за 2018 рік

    Алба Юлія є унікальним, насиченим історією містом Румунії. Розташоване воно в центрі країни і щороку приваблює все більшу кількість туристів, передусім завдяки численним історичним пам’яткам, що свідчать про його тисячолітнє минуле.



    1 грудня 2018 року виповнюється 100 років з дня, коли в місті Алба Юлія волею народу, що зібрався неподалік середньовічної фортеці, здійснилося об’єднання всіх румунських історичних провінцій в єдину державу.

    Тому Всесвітня служба Радіо Румунія вирішила присвятити Алба Юлії цьогорічну колекцію QSL-карток.






















    Алба Юлія – періші ворота фортеці

    Алба Юлія – другі ворота фортеці

    Алба Юлія – обеліск Хорії, Клошки і Крішана

    Алба Юлія – Православний собор

    Алба Юлія – Римо-католицький собор

    Алба Юлія – колишній монастир трінітаріїв

    Алба Юлія – руїни римського каструму

    Алба Юлія – треті ворота фортеці

    Алба Юлія – четверті ворота фортеці

    Алба Юлія – фортеця в стилі Вобан

    Алба Юлія – памятник Міхаю Хороброму

    Алба Юлія – зал Обєднання


  • QSL novembre 2017 – La cité de Deva

    QSL novembre 2017 – La cité de Deva

    Au cours des âges, des voïvodes, des princes, des comtes et des duchesses l’ont dirigée tour à tour. Elle a été offerte en cadeau, vendue ou bombardée. Tous les nobles y ont laissé leur trace : un nouveau mur de défense, une pièce, une nouvelle salle de bal ou même un étage tout entier. Ils ont souhaité qu’elle ne soit pas utilisée uniquement pour la défense et pour des rencontres occasionnelles, mais aussi comme habitation. Et pas un logement quelconque, c’était même une demeure de luxe. Aujourd’hui, ses ruines sont visibles de loin, grâce à sa position stratégique, au sommet d’une colline qui domine la Vallée de la rivière Mureş et la route principale qui relie la Roumanie au centre et à l’ouest de l’Europe. La citadelle a été bâtie au XIIIe siècle, mais les traces d’habitation y sont beaucoup plus anciennes : il y a des découvertes qui datent du néolithique ou de l’époque du bronze. La première attestation documentaire qui fait référence à la cité de Deva remonte à 1269.

    Actuellement, la citadelle de Deva est restaurée à hauteur de 50%. Deux enceintes sont achevées, et une troisième commencera à être rénovée l’année prochaine. Dans le courant de l’année, plusieurs compétitions de vélos ont été organisées sur la colline de la citadelle, et à l’avenir, des concours d’orientation touristique sont également prévus. Elle accueille beaucoup d’événements : un festival international de jazz, une colonie internationale de sculpture et des défilés de mode. (Trad. Ligia Mihaiescu)

  • QSL octobre 2017 – Le Palais de Mogosoaia

    QSL octobre 2017 – Le Palais de Mogosoaia

    Construit en 1702 en style brancovan, le Palais de Mogoşoaia est un mélange d’éléments vénitiens et ottomans, un édifice très bien conservé. En fait, il s’agit de tout un complexe architectural bâti sur un grand domaine dans la proche banlieue de la capitale roumaine. Son principal bâtiment est le palais lui-même, construit par le prince valaque Constantin Brancovan. Les appartements de la famille princière se trouvent au premier étage, accessible directement depuis le jardin par le biais d’un escalier extérieur qui montait vers un balcon de la façade. Les chambres des domestiques se trouvaient au rez-de-chaussée, alors qu’au sous-sol il y a une cave dont le plafond est formé de 4 dômes. L’autre façade du palais donne sur un lac. Elle a aussi un charme à part, grâce à sa loggia d’inspiration vénitienne, avec trois arcades.

    Situé dans une véritable oasis de verdure, au bord d’un lac et entouré d’arbres, ce palais abrite actuellement le Musée d’Art Branconvan. Au 19e siècle, ce domaine fut racheté par la famille des boyards Bibescu, descendants de la famille princière des Brancovan. La famille Bibescu y fait venir des maîtres français et allemands pour restaurer le bâtiment. Le prince Nicolae Bibescu y fait construire aussi la villa Elchingen pour son épouse, la princesse Helene Ney d’Elchingen.

    Plus tard, en 1912, le prince George Valentin Bibescu offre le palais comme cadeau à son épouse, Marthe Bibesco, poétesse et écrivaine connue. Une fois de plus, le palais tombé en ruine est transformé à l’aide de l’architecte en chef de Venise, Domenico Rupolo, en lieu de rencontre pour les soirées culturelles organisées par Marthe Bibesco. Quelques décennies passent et, en 1945, elle fait don du palais à l’Etat pour qu’il soit inclus sur la liste des monuments classés. A compter des années 1950, le palais accueille la section « Moyen Âge » du Musée national d’art, alors que la villa Elchingen devient le siège de la Maison de Création des Ecrivains.

    Tout comme ces deux bâtiments, le parc qui les entoure est lui aussi un véritable joyau d’architecture paysagiste. Entre le palais et le lac, la haie forme un petit labyrinthe. Plus loin, à l’ombre de grands pins, se trouve la chapelle où sont enterrés tous les membres de la famille Bibescu.

    De nos jours, le Palais de Mogoşoaia est un endroit aimé et visité des Bucarestois. C’est l’endroit idéal pour pique-niquer avec les enfants, dans la nature, loin du bruit de la capitale. On y organise aussi des concerts de musique classique ou bien des événements en tout genre, même des fêtes de mariage. A visiter absolument si vous êtes de passage à Bucarest. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Hörerpostsendung 19.11.2017

    Hörerpostsendung 19.11.2017

    Herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI!



    Auch vergangene Woche erhielten wir erneut nachträgliche Reaktionen zum Hörertag am 5. November. Doch heute möchte ich ein paar Zuschriften erwähnen, die wir Anfang des Monats erhalten hatten, deren Verlesung ich aber aufgrund des Hörertags verschieben musste.



    Ein Hörer aus Niedersachsen meldete einen ausgezeichneten digitalen Empfang und schilderte seine Erfahrungen mit SDR und DRM. Folgende Zeilen erhielten wir per E-Mail von Frank Helmbold (aus Rotenburg/Wümme):



    Sehr geehrte deutsche Redaktion,



    nachdem ich nochmals einige Erfahrungsberichte und Anleitungen im Internet gelesen hatte, kann ich jetzt einen Erfolg vermelden: Es ist mir gestern gelungen, mit SDR# und DREAM zum ersten Mal eine Sendung in DRM zu empfangen!



    Von einigen wenigen Aussetzern abgesehen war der Empfang einwandfrei und entsprach sogenannter “Ortssenderqualität”. Ich hatte Ihnen ja vor kurzem in einem anderen Empfangsbericht darüber berichtet, dass ich mit einiger Skepsis an das Thema herangegangen bin. Aber wenn man ein paar Regeln bei den Einstellungen beachtet und die Software in der richtigen Reihenfolge startet, funktioniert alles einwandfrei und ist reproduzierbar.



    Ich habe mehrere Ausschnitte aus der Sendung mit dem eingebauten Recorder des Programms SDR# (als Audio-Datei, aber digital) gespeichert und konnte diese jetzt beliebig oft mit dem Programm DREAM wiedergeben. Während der Wiedergabe kann man gleichzeitig mit dem Programm No23-Recorder eine Umcodierung von WAV auf MP3 vornehmen. (WAV-Dateien sind zu gro‎ß für den E-Mail-Versand). Der Recorder darf allerdings erst gestartet werden, wenn die Wiedergabe mit DREAM schon läuft, sonst ist die MP3-Datei am Anfang beschädigt.



    Gern höre ich auch rumänische Musik, vor allem die typische Volksmusik. Das Programm gestern mit der Vorstellung der leider schon so früh verstorbenen Sängerin Valeria Peter-Predescu war daher ganz nach meinem Geschmack.



    Es wäre nett, wenn Sie meinen Empfangsbericht per E-Mail mit einer “elektronischen QSL-Karte” bestätigen könnten.



    Mein Standort: am Stadtrand der Kleinstadt Rotenburg (Wümme), flaches Gelände, zwischen Bremen und Hamburg.




    Lieber Herr Helmbold, vielen Dank für das Feedback und für das Mitteilen Ihrer Erfahrung mit dem digitalen Empfang. Die meisten RRI-Hörer sind allerdings immer noch eher skeptisch, was DRM anbelangt. Das hängt auch damit zusammen, dass die digitalen Empfänger einerseits noch relativ teuer sind und dass andererseits vor allem in bestimmten ländlichen Regionen die Internetversorgung nur spärlich ausgebaut ist.



    Von Niedersachsen geht es weiter nach Oberbayern, und zwar nach Schongau, wo Reinhard Schumann zu Hause ist. Folgende Zeilen erhielten wir Anfang des Monats per E-Mail von Herrn Schumann, der uns analog empfing, allerdings nicht in seinem Heimatort, sondern in Schweden, und der Rumänien vor einigen Jahren auch bereist hat:



    Liebes Team von Radio Rumänien,



    nachstehend erhalten Sie von mir einen Empfangsbericht vom 31.10.2017 mit Sangean ATS 909x mit Teleskopantenne, in Schweden gehört. Ich habe auch andere Sendezeiten und Frequenzen ausprobiert, sehr guter Empfang. Senden Sie von Rumänien aus und mit welcher Sendeleistung? Ist ja spannend.



    Ich war vor ca. 6 Jahren mit dem Auto in Rumänien über Österreich, Ungarn, Hermannstadt etc. Ich bin auch am Königlichen Schoss vorbei gekommen, auch dort in der Nähe übernachtet und Pausen gemacht, Mittagstisch, war alles sehr gut und nette Leute getroffen, immer an den neuen Autobahnbaustellen entlang, Bukarest gestreift und war dann ca. 3 Wochen in Constanta am Schwarzen Meer, immer Sonne pur in der Vorsaison in Mamaia.



    Herzliche Grü‎ße und einen schönen Tag!




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Schumann. Gerne beantworte ich Ihre Frage zum Standort unserer Sender und zur Sendeleistung:



    RRI verfügt insgesamt über sechs Sender: drei in Ţigăneşti (nördlich von Bukarest) mit einer jeweiligen Sendestärke von 300 kW (wobei 50 kW allein für DRM zur Verfügung stehen); zwei weitere Sender stehen in Galbeni bei Bacău im Nordosten Rumäniens mit ebenfalls 300 KW Sendestärke (für digitale Ausstrahlungen werden wiederum 50 kW genutzt) und ein weiterer, 100 kW starker Sender strahlt aus Săftica (bei Bukarest) aus. Dieser Sender arbeitet mit einer sogenannten log-periodisch rotierenden Antenne und 50 kW sind auch hier für DRM reserviert. Mit der Umrüstung auf DRM, die bis zum Jahr 2009 abgeschlossen worden war, wurden die Sendeanlagen modernisiert und auch die analoge Sendetechnik generalüberholt. Zuständig für die Wartung und den Betrieb der Sendestationen ist die staatliche Gesellschaft RADIOCOM.




    Einen guten Empfang meldete gleich nach dem Hörertag auch unser Stammhörer Siegbert Gerhard aus Frankfurt am Main:



    Liebe Freunde von RRI,


    lieber Sorin,



    mit der beigefügten PDF-Datei sende ich einige Empfangsberichte und Anmerkungen zum RRI-Programm. Ich bin immer wieder sehr begeistert, wie gut RRI über die analoge Kurzwelle zu empfangen ist. Ausgezeichnete Frequenzplanung und prima Arbeit aller RRI-Techniker, denen hiermit auch einmal sehr gedankt sei.



    Die Teilnahme am RRI-Hörertag 2017 habe ich diesmal verbummelt. Die hervorragenden Beiträge der RRI-Hörer aus aller Welt haben mir dennoch sehr viel Informationen und Einschätzungen vermittelt. Vielen herzlichen Dank an alle Teilnehmer.



    Im November-ADDX-Kurier wie auch schon öfter im Funkbriefkasten waren Deine Statements zu lesen, dass es wohl nix mehr wird mit RRI-QSL-Karten. Das finde ich sehr schade, denn ich habe Eure motivschönen QSL-Karten immer gerne gesammelt. Wenn jeder in der deutschen Redaktion etwas mit anpacken könnte?




    Lieber Herr Gerhard, vielen Dank für Ihre Zeilen. Ich habe schon vergangenen Sonntag den Stand der QSL-Zustellung erläutert, tue es aber gerne erneut: Wir verschicken auch in diesem Jahr QSL-Karten, sie sind gedruckt und versandbereit und einige Hörer haben schon einzelne Karten erhalten. Allerdings haben wir erneut ein Personalproblem, denn unsere einzige Arbeitskraft in der Postbearbeitungsstelle ist wegen einer Nachbehandlung der Beschwerden im Rückenbereich erneut bis Ende Januar 2018 in Krankenurlaub.



    Das Mitanpacken in der Redaktion haben wir auch in der Vergangenheit besprochen und sind zum Schluss gekommen, dass es kaum machbar ist. Zum einen haben wir aufgrund der redaktionellen Aufgaben und anderweitiger Beschäftigungen kaum Zeit dafür, zum anderen wäre das langfristig keine Lösung. Nicht, dass wir uns zu gut dafür halten würden. Aber dann könnte der Vorstand von ganz oben auf die Idee kommen, dass eine Postbearbeitungsstelle eh nicht nötig ist, die Stelle einfach wegrationalisieren“ und dann auch andere Aufgaben, die wenig mit redaktioneller Arbeit zu tun haben, auf uns abwälzen. Und schon jetzt haben wir genug Papierkram und administrative Aufgaben zu erledigen. Ich befürchte daher, dass wir mit der derzeitigen Situation weiterleben müssen. Es werden also noch QSL-Karten, auch von 2016, sofern noch vorhanden, zugeschickt, allerdings wird es auch dieses Jahr Verzögerungen geben.




    Zum Schluss noch die Zeilen von Lutz Winkler, unserem Stammhörer aus Schmitten im Taunus, die wir ebenfalls Anfang des Monats per E-Mail erhalten haben:



    Liebe Freunde der deutschen Redaktion in Bukarest,



    der vorletzte Monat des Jahres 2017 ist angebrochen — mit Nebel und Regen. Nasstrüb und kalt — alle Adjektive des Novembers haben sich an den ersten Tagen dieses Monats schon gezeigt.



    Der Garten ist winterfest und im Haus gibt es auch nicht so viel zu tun — da bleibt eher Zeit, sich dem Hobby zu widmen und Radio Rumänien International wieder einen Empfangsbericht und einen kleinen Hörerbrief zu senden. Die Nachrichten über die QSL-Karten-Versendung klingen ja gut — hoffen wir, dass die Karten auch verschickt werden.



    An dieser Stelle meinen herzlichen Glückwunsch zum 89. Jubiläumstag des rumänischen Rundfunks. Wie wurde denn im Funkhaus mit den Mitarbeitern gefeiert?



    Der November ist ja ein Monat, an dem man sich über die Endlichkeit der Lebenszeit Gedanken macht. Ein Gedenken an die Verstorbenen des letzten Jahres sollte uns noch einmal auch unsere Grenzen ins Bewusstsein bringen. Und so ist der Gang über den Friedhof auch im November für uns noch einmal Tradition. Obwohl: dort werden immer weniger Menschen beerdigt. Viele wollen den Angehörigen nicht zu Last fallen — oder haben gar keine Angehörigen und lassen sich in einem Friedwald bestatten. Obwohl es in Deutschland eine recht strenge Regelung für die Bestattung gibt, ist die Bestattung auf einem Friedwald für viele die beste Alternative. Welche Bestattungsregelungen gibt es eigentlich in Rumänien?



    So — nun möchte ich mich zwar nachdenklich, jedoch nicht traurig von Ihnen für dieses Mal verabschieden. Das angehängte Foto ist in der Drachenhöhle in Syrau entstanden. Die Drachenhöhle besitzt zahlreiche sehenswerte Sintergebilde. Besonders bemerkenswert ist eine 50 Zentimeter lange Sinterfahne namens Gardine“.



    Ich wünsche Ihnen alles Gute, viele Grü‎ße an alle in der Redaktion!




    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Winkler, und Gru‎ß zurück! Feiern zum Rundfunktag gibt es schon seit Jahren nicht mehr, dafür fehlt dem Sender schlicht das Geld. Früher wurde an einem Freitag um den 1. November herum immer eine Party für Rundfunkangestellte und Gäste im Foyer des Konzertsaals veranstaltet, Freibier und Tanzgelegenheit gab es nach Herzenslust, aber das ist inzwischen passé.



    Und nun zu Ihren Fragen zur Bestattung: Nach meinem Wissen sind Bestattungen im Wald oder an sonstigen Orten au‎ßerhalb von Friedhöfen oder Urnenhallen (sog. Kolumbarien) in Rumänien nicht gestattet. Das Begräbnis war früher mit vielen sozialen und kirchlichen Regeln verbunden. So war prinzipiell die Kremation (also Feuerbestattung oder Einäscherung) bei allen Kirchen in Rumänien verpönt — und das ist heute noch so: Bei Menschen, die eine Einäscherung in ihrem letzten Willen verfügt haben, weigert sich die jeweilige Kirche, einen Geistlichen für die Bestattungszeremonie zur Verfügung zu stellen. Und in konservativen Kreisen wird auch heute noch die Einäscherung nicht gern gesehen. Es war früher meistens auch nicht möglich, jemanden ohne einen Priester zu Grabe zu tragen. Und die Totenwache dauerte bei Christen in der Regel drei Tage, nach der Klärung der Todesursache durch den Gerichtsmediziner durfte man die Leiche des Verblichenen drei Tage lang zu Hause behalten, bevor es zum Friedhof ging. Bei Menschen jüdischen oder muslimischen Glaubens ist das bekanntlich anders: Der oder die Tote muss schon am nächsten Tag, in höchst seltenen Ausnahme in 48 Stunden beerdigt werden. Ende letzten Jahres wurde aber die einschlägige Gesetzgebung abgeändert. Jetzt muss man die Leiche binnen 36 Stunden zu einer Kapelle oder einem sonstigen genehmigten Ort wie einem Leichenschauhaus bringen, bevor die Vorbereitungen für die Bestattung getroffen werden können. Au‎ßerdem wird es den Angehörigen freigestellt, ob sie eine Beerdigung oder eine Kremation wünschen, ob sie eine Zeremonie mit oder ohne Gottesmann bevorzugen. Die neuen Regelungen stie‎ßen allerdings auf Kritik seitens der Kirchen und in konservativen Kreisen.



    Liebe Freunde, das war’s für heute. Ganz zum Schluss noch die Posteingangsliste:



    Postbriefe lagen diese Woche nicht in der Ablage. E-Mails und Online-Nachrichten erhielten wir bis einschlie‎ßlich Freitag von Paul Gager, Josef Robl und Georg Pleschberger (A) sowie von Anna und Bernd Seiser, Martina Pohl, Marco Hommel, Jonas Sell, Fritz Andorf, Michael Lindner, Calvin Knott, Yannick Böke, Hans Kaas und Beate Hansen (D).




    Audiobeitrag hören:




  • QSL septembre 2017 – La citadelle de Costeşti

    QSL septembre 2017 – La citadelle de Costeşti

    Il s’agit en fait d’un ensemble de citadelles et fortifications situé dans les Monts Sureanu, dans les Carpates Méridionales, dans le centre-ouest de la Roumanie. Un ensemble connu aussi sous le nom de cités daciques des Monts Orăştiei. La citadelle de Costeşti fut bâtie sur la colline haute de 561 m appelée tout simplement Cetăţuia – la petite citadelle. Elle avait le rôle de défendre un village se trouvant au pied de la colline et servait de résidence aux rois daces de la zone. Elle avait aussi une autre mission : défendre la route qui menait à la capitale de la Dacie, Sarmizegetusa Regia. D’ailleurs, la citadelle de Costeşti est une des 6 forteresses daciques des Monts Orăştiei bâties au 1er sicèle av. J.-C. afin de défendre le pays contre l’invasion romaine. Elles sont actuellement incluses au patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Le mur de défense n’entourait pas complètement la colline. Il avait été construit uniquement sur les côtés où l’accès à la cité était facile. Inspiré des constructions similaires de Grèce, la cité a été toutefois adaptée aux conditions naturelles spécifiques aux Monts Orăştiei. Un type de mur baptisé Murus Dacicus – le mur dacique. Par endroits, il avait des bastions dont le rez-de-chaussée servait de dépôt pour les armes et les provisions. Son étage servait d’habitation et de position de lutte pour les soldats qui défendaient la citadelle. Derrière le mur, il y avait aussi des plates-formes de combat. Si les ennemis franchissaient tous ces systèmes défensifs, ils devaient encore casser une porte qui permettait l’accès à une pente raide vers le plateau supérieur de la cité. La citadelle de Costeşti a été détruite en l’an 102, pendant la première guerre daco-romaine. Elle fut tout de suite reconstruite pour être détruite une nouvelle fois, cette fois-ci définitivement, et abandonnée en l’an 106 après la conquête de la Dacie par les Romains. Aujourd’hui il ne reste plus que des ruines de ce qu’était jadis une véritable forteresse dacique. (Trad. Valentina Beleavski)

  • QSL-картки ВСРР

    QSL-картки ВСРР

    Дорогі друзі,


    Якщо ви бажаєте стати членом
    нашого КЛУБУ ВIРНИХ СЛУХAЧIВ і отримати QSL-картку, вам потрібно надіслати рапорт про приймання нашої передачі, який можна заповнити
    безпосередньо на нашій веб-сторінці – www.rri.ro.

    Якщо протягом 12 місяців поспіль ви надішлете по одному
    рапорту, то отримаєте Диплом Клубу вірних слухачів ВСРР. Водночас,
    якщо бажаєте поповнити свою колекцію QSL-карток, випущених нашою радіостанцією в
    попередні роки/місяці ви можете це зробити зараз.

    Ми вирішили
    надати своїм слухачам можливість отримати одну або, за бажанням, декілька QSL-карток попередніх років/місяців, у
    межах наявного запасу. Для цього необхідно надіслати по одному правильно
    заповненому рапорту про прийом Української служби ВСРР і вказати яку або які QSL-картки бажаєте отримати. Нагадаю, що в 2017 році ми присвятили колекцію QSL-карток замкам і
    фортецям Румунії.




    Чекаємо ваших листів і рапортів.

  • Hörerpostsendung 22.10.2017

    Hörerpostsendung 22.10.2017

    Nächsten Sonntag stellen wir die Uhren auf Winterzeit um und damit wechseln wir auch die Frequenzen für die analoge und digitale Ausstrahlung unserer Programme auf Kurzwelle. Daher möchte ich auch heute zu Beginn die neuen Frequenzen durchsagen, denn für die Hörer ohne Internetzugang wäre das die letzte Chance, sie rechtzeitig zu erfahren. In der Zeit vom 29. Oktober 2017 bis einschlie‎ßlich 24. März 2018 können Sie unsere deutschsprachigen Sendungen nach Mittel- und Westeuropa wie folgt empfangen:










    Uhrzeit (UTC): Frequenz (kHz): Zielgebiet:
    07.00 — 07.30 7345; 9770 DRM Mittel- u. Westeuropa
    15.00 — 16.00 6040; 7330 Mittel- u. Westeuropa
    19.00 — 20.00 6180; 7235 DRM Mittel- u. Westeuropa




    Selbstverständlich strahlen wir nach wie vor auch einen Livestream im Internet aus, den Sie mit unseren Apps für Android und iOS auch auf Ihren Handys ansteuern können, und auf unserer Homepage gibt es Podcasts zum Nachhören. Leider haben die Entwickler unserer Webseite es nicht geschafft oder beabsichtigt, auch Podcasts zum Herunterladen und späteren Anhören anzubieten, dafür gibt es aber die Webseite radio360.eu, wo Podcasts diverser Auslandssender in englisch und deutsch bis zu jeweils zwei Wochen zurück zum Anhören oder Herunterladen angeboten werden.



    Und eine weitere Ankündigung möchte ich loswerden: Wie jedes Jahr begehen wir am ersten Novembersonntag den Hörertag bei RRI, den wir zusammen mit unseren Hörerinnen und Hörern anhand eines bestimmten Themas gestalten. Unser diesjähriges Thema für den Hörertag am 5. November 2017 lautet: Fake News und Medienvertrauen auf dem Prüfstand. In den letzten Jahren ist das Vertrauen der Menschen in die Medien gesunken. Von dem Phänomen betroffen sind in einem kleineren oder grö‎ßeren Ausma‎ß sowohl die Printmedien als auch der Rundfunk, also Radio und Fernsehen, und zwar gleicherma‎ßen im privaten und öffentlich-rechtlichen Bereich. Die Ursachen sind vielfältig: Es gibt zum einen die Nähe mancher Medien zur Politik und Wirtschaft, die Jagd nach Sensationsnachrichten und kommerziellen Inhalten, journalistische Patzer und zum anderen den immer grö‎ßer werdenden Einfluss der sozialen Netzwerke. Und wenn wir schon beim Thema sind, muss auch von den sogenannten Fake News die Rede sein, das hei‎ßt von den Falschmeldungen, die meistens über die sozialen Netzwerke zum Zwecke der Manipulation von Massen verbreitet werden.



    Für den Hörertag 2017 bei Radio Rumänien International erwarten wir also mit gro‎ßem Interesse Ihre Antworten auf die Frage Wieviel Vertrauen haben Sie noch in Medien?“.



    Ihre Antworten können Sie uns schriftlich per Post, E-Mail, Fax, im Internetformular oder via Facebook zusenden. Wenn Sie uns Ihre Meinung mündlich mitteilen möchten, können Sie uns auch im Vorfeld aufgezeichnete Audiodateien direkt per E-Mail zuschicken, falls Sie diese technische Möglichkeit haben.



    Und noch einige administrative Neuigkeiten habe ich parat. Eine gute Nachricht ist, dass die QSL-Serie für 2017 doch noch gedruckt wurde und die QSL-Karten somit versandbereit sind. Es handelt sich dabei um Burgen und Festungen in Rumänien, und zwar aus verschiedenen Epochen, die von der dakisch-römischen Antike bis zum Mittelalter reichen. Ich werde demnächst die Bilder und die Vorstellungstexte der QSL-Karten von Januar bis September auf unserer Homepage veröffentlichen. Die weniger gute Nachricht ist, dass kein Geld mehr für unseren freien Mitarbeiter Mihai Stoicescu vorhanden ist, folglich wird er sich nicht mehr um die QSL-Zustellung kümmern. Die Dame in unserer Postbearbeitungsstelle hat aber diese zusätzliche Aufgabe freiwillig übernommen, und ich habe ihr die Liste mit den einzelnen Hörern fehlenden QSL-Karten zugeschickt. Ich kann allerdings nicht garantieren, dass für 2016 alle Karten noch auf Lager sind; ob und wie effizient die Dame die Rückstände aufholen wird, das wird sich in den nächsten Wochen und Monaten zeigen.



    Und jetzt endlich zu Hörerzuschriften. Von Andreas Pawelczyk aus Mannheim erhielten wir in den vergangenen Wochen mehrere E-Mails. Hier eine Zusammenfassung:



    Sehr interessant fand ich Ihre Sendung, die sich mit der Gemeinde Snagov beschäftigte. Der Ort hat etwa 7000 Einwohner und liegt 40 km nördlich von Bukarest. Die Gemeinde liegt übrigens am gleichnamigen See. Die berühmteste Sehenswürdigkeit ist im Ort eine kleine Kirche aus dem 16. Jahrhundert. Diese Kirche liegt mitten auf der Insel eines Sees. Der Legende nach soll dort Vlad Ţepes in dieser Kirche begraben sein. Das Komische ist, dass es im Jahre 1931 eine Öffnung des Grabes gab und das Grab leer vorgefunden wurde. Nun, viel Spa‎ß beim Besichtigen des Ortes.


    Hoch beeindruckt war ich von einem Ihrer Beiträge über die Tischtennisspielerin Adelstein-Rozeanu. Sie gehört zu den ganzen gro‎ßen Rumänen, auf die Rumänien stolz sein kann. Geboren wurde sie 1921 und gestorben war sie 2006 in Haifa, Israel. Sie ist mit 17 WM-Titeln die erfolgreichste Tischtennisspielerin der Welt, und das bis heute. Mit 9 Jahren begann sie bereits Tischtennis zu spielen. Bereits mit 15 Jahren wurde sie 1936 erstmals rumänische Meisterin. Bis 1957 einschlie‎ßlich gewann sie alle rumänischen Meisterschaften. Im Einzel wurde sie 1950 Weltmeisterin und verteidigte den Titel anschlie‎ßend noch fünfmal hintereinander. Die erfolgreichste WM war für sie die von 1953, in der sie in allen Wettbewerben die Goldmedaille gewann. 1950 bis 1960 war sie dann auch Vorsitzende des rumänischen Tischtennisverbandes. Von 1960 bis 1962 gewann sie dann auch noch dreimal die israelische Meisterschaft. Sie wurde mehrmals ausgezeichnet. Sie bekam unter anderem die höchste Auszeichnung im rumänischen Sport und im Jahre 2001 wurde sie sogar Ehrenbürgerin der Stadt Haifa. Allerhand, was dieses Mädel und die spätere Frau so alles konnte! Jetzt sind wir Hörer wieder um einiges klüger geworden.



    Der Empfang Ihrer Sendungen ist bei mir in Mannheim-Rheinau immer bestens. Ich möchte Ihnen zum jetzigen Herbst einige Aphorismen zusenden, die ich als Bereicherung der Hörersendung ansehe. Sie lauten:



    1. Oktoberhimmel voller Sterne


    hat warme Öfen gerne. (Deutsches Sprichwort)



    2. Fällt das Laub zu bald,


    wird der Herbst nicht alt. (Bauernweisheit)



    Ich wünsche unseren Hörern und der Redaktion einen schönen Herbstbeginn!




    Vielen Dank für das Feedback und für die freundlichen Worte, lieber Herr Pawelczyk. Die Kirche auf der Insel in Snagov habe ich vor einigen Jahren besichtigt. Das Grab ist allerdings nicht offen und drinnen in der Kirche darf man auch nicht fotografieren. Ob der berüchtigte Fürst Vlad der Pfähler tatsächlich dort ruht, sei daher dahingestellt, es ist wohl eher eine Legende, denn über den Tod des kriegerischen Herrschers wei‎ß man bis heute nichts Genaues. Die Kirche ist aber ein richtiges Kleinod, die natürliche Umgebung absolut idyllisch und die umliegenden Gärten werden von Mönchen und frommen älteren Frauen bewirtschaftet. Bis vor einigen Jahren konnte man die Insel nur mit dem Boot erreichen, die Mönche zogen wohl die Abgeschiedenheit vor und es gab keinen organisierten Tourismus — man musste einfach einem Einheimischen etwas Geld zustecken, um mit dem Boot rübergebracht zu werden. Seitdem es eine Brücke gibt, scheint der Tourismus etwas zugenommen zu haben. Ich kann mich erinnern, dass während meines Besuchs auch eine Gruppe Australier mit Reiseführer da war.



    Immer wieder finden auch ehemalige Hörer zu uns. So etwa meldete sich unlängst ein Hörer, der uns zuletzt vor der Wende geschrieben hat. Andreas Binzinger (aus Münster) hinterlie‎ß uns folgende Botschaft im Internet-Formular:



    Sehr geehrte Damen und Herren, ich habe sehr lange nicht geschrieben — damals waren Sie noch Radio Bukarest –, höre Ihre interessanten Sendungen aber immer noch sehr gerne — besonders Beiträge über die rumänische Kultur und über Land und Leute. Ich würde mich sehr über weitere Informationen, einen Sendeplan und natürlich auch eine QSL-Karte freuen.



    Vielen Dank für das Feedback, lieber Herr Binzinger, es freut uns, dass Sie uns immer noch die Treue halten.



    Lutz Winkler ist im hessischen Schmitten (Taunus) zu Hause. In seiner E-Mail vom September hatte ich ein paar Zeilen übersehen:



    In der Reihe Pro Memoria berichteten Sie über die Exilrumänen in der Zeit des Kommunismus. In der Sendung speziell über Ion Raţiu. Mich würde interessieren, wie das kommunistische Regime mit den Kritikern umgegangen ist. In der DDR gab es ja das Mittel der Ausbürgerung und des Freikaufs durch die Bundesrepublik. Gab es solche Dinge auch in Rumänien?



    Vielen Dank für Ihre Fragen, lieber Herr Winkler. Ausbürgerung und Freikauf gab es auch im kommunistischen Rumänien. Unangenehme Kritiker, insbesondere Schriftsteller, wurden — sofern nicht unter Hausarrest gestellt oder inhaftiert wurden — auch ausgebürgert, viele reisten nach Frankreich oder in die USA aus, so etwa der Schriftsteller Paul Goma, der 1977 mit einer Unterschriften-Aktion gegen das Ceauşescu-Regime für Wirbel sorgte. Eines Freikaufs durch die Bundesrepublik konnten sich allerdings zunächst überwiegend deutschstämmige Bürger erfreuen. Über Jahrzehnte lie‎ß das kommunistische Regime Familien der Siebenbürger Sachsen und der Banater Schwaben gegen gro‎ßzügige Bezahlung durch die Bundesrepublik Deutschland ausreisen. Auch mit Israel machte der Warschauer-Pakt-Staat dieses Geschäft, wenn es um die Ausreise rumänischer Juden ging. In den 1970er und 1980er Jahren wurde der Freikauf“ zur wichtigen Bedingung der endgültigen Ausreise aus Rumänien — auch die rumänischstämmigen Ausreisewilligen konnten von ihren im Ausland lebenden Verwandten freigekauft werden.



    Über das Geschäft mit den Rumäniendeutschen, auf das sich das kommunistische Regime in Rumänien und die deutsche Bundesregierung einlie‎ßen, haben wir vor einigen Jahren ausführlich in Pro Memoria berichtet. Im Mai 2014 veranstaltete das Auslandsbüro der Konrad-Adenauer-Stiftung (KAS) in Bukarest eine Fachkonferenz mit dem Titel Die geheimen Abkommen — Geschichte der unterstützten Emigration der Rumäniendeutschen“. Bei der sehr gut besuchten Konferenz konnten sich die Teilnehmer ein lebhaftes Bild über einen sehr interessanten und kritisch diskutierten Teil der deutsch-rumänischen Geschichte machen. Die Geschichte des Freikaufs Deutscher aus Rumänien während des kommunistischen Regimes durch die Bundesregierung wurde unter anderen von dem leitenden Unterhändler, Heinz Günther Hüsch, und von der Leiterin der Abteilung Investigationen im Nationalrat für die Aufarbeitung des Securitate-Archivs, der Historikerin Germina Nagâţ, dargestellt und diskutiert. In Pro Memoria brachten wir Anfang Juni 2014 unter dem Titel Das Geschäft der kommunistischen Securitate mit der Familienzusammenführung einen ausführlichen Bericht in zwei Folgen über die Konferenz, an der ich übrigens als Dolmetscher in der Kabine mitwirken durfte. Der Beitrag ist immer noch auf unserer Webseite nachzulesen, allerdings ist aus einem mir nicht bekannten Grund die Audiodatei mit O-Tönen von der Konferenz von der Webseite verschwunden.



    Zeit für die Postliste. Briefe lasse ich mir für kommenden Sonntag wieder in die Hand drücken. E-Mails erhielten wir bis Freitagnachmittag von Hans Kaas, Martina Pohl, Bernd Seiser und Michael Willruth (alle aus Deutschland) sowie von Shariful Islam aus Bangladesch.




    Audiobeitrag hören:




  • Hörerpostsendung 18.6.2017

    Hörerpostsendung 18.6.2017

    Nach längerer Zeit meldete sich wieder ein Hörer aus Österreich, der uns immer noch die Treue hält, auch wenn er nicht mehr so oft wie früher in unsere Programme reinhört. Harald Süss hinterlie‎ß uns folgende Nachricht im Online-Formular:



    Gerne höre ich hin und wieder Ihre deutsche Sendung. Ich würde das gerne noch öfter tun, aber aus Zeitgründen ist das mir leider nur eingeschränkt möglich. Auch ich sammle QSL-Karten aus der ganzen Welt und natürlich auch von RRI. Ich arbeite auch am Dokumentationsarchiv Funk in Wien mit, wo unter anderem Rundfunk-QSL-Karten gesammelt und eingescannt und veröffentlicht werden. (Link: www.bcqsl.org) Ist die Einschränkung der QSL-Karten-Versandes auch auf andere Sprachredaktionen zu übertragen? Ich habe gerade einen Bericht an die spanische Redaktion versandt. Es ist wirklich schade, wie verantwortliche Dienststellenleiter oder Direktoren mit dem Thema Kurzwellenradio umgehen. Ich kann als Leiter des österreichischen Kurzwellenklubs ADXB mit Gewissheit sagen, dass Kurzwellenrundfunk für viele noch eine Bedeutung hat und eine Unabhängigkeit von Netztechnologien wie Internet als Vorteil aufweist. In diesem Sinne schicke ich die besten Grü‎ße nach Bukarest, wo ich schon vor vielen Jahren die Gelegenheit hatte, die Stadt zu besuchen.



    Beste Grü‎ße


    Ihr Hörer Harald Süss aus Strasshof an der Nordbahn in Niederösterreich




    Lieber Herr Süss, herzlichen Dank für Ihr Feedback. Dem Dokumentationsarchiv Funk in Wien verdanken wir übrigens die virtuelle Vervollständigung alter QSL-Serien aus der Zeit vor der Wende und aus den Frühneunzigern, die aus unserem Hause an die Hörer gingen. Sie sind im Abschnitt Nostalgieecke auf unserer Homepage abgebildet. Die Einschränkungen in der QSL-Zustellung betrifft alle Redaktionen, denn generell wird an allen Ecken und Enden gespart. Ich wei‎ß nicht, wie das andere Redaktionen handhaben, aber beispielsweise ist die Zukunft unseres freien Mitarbeiters, der die QSL-Karten für die Hörer ausfüllt, ungewiss. Sollte ab Juli kein Geld mehr vorhanden sein für seine ohnehin nur symbolische Entlohnung, wird es auch niemanden mehr geben, der diese Arbeit macht.




    Um QSL-Karten und anderes mehr geht es auch in der nächsten Hörerzuschrift, die wir per E-Mail aus Deutschland erhalten haben. Fritz Andorf ist in Meckenheim (NRW) zu Hause und schickte uns vergangene Woche seinen monatlichen Empfangsbericht:



    Lieber Sorin Georgescu, liebe Redaktionsmitglieder,



    es geschehen offenbar noch Zeichen und Wunder, denn zu meiner gro‎ßen Überraschung habe ich wieder einmal Post aus Bukarest erhalten, und zwar die QSL-Karten für Mai und Juli 2016, verpackt in einem gro‎ßen DIN-A-5-Umschlag mit bunten Briefmarken beklebt, darunter ein schönes Foto von einem Braunbär im Nationalpark Ceahlău. Der gro‎ße Umschlag erforderte sicher höhere Portogebühren, jedenfalls ist das bei uns so (1,45 € statt 0,70 € für einen normalen Inlandsbrief, die Auslandsgebühr ist deutlich höher). Vielleicht ist das ja in Rumänien anders.



    Die QSL-Ansichten zeigen wieder schöne Architektur: die Metzgerbastei in Baia Mare und das Nationaltheater in Klausenburg.



    Natürlich bin ich beim Anblick dieser schönen Gebäude nun doch sehr begierig auf die restlichen Motive dieser schönen QSL-Serie. Daher schlage ich vor, mir die noch fehlenden Karten einfach blanko, also ohne Namen und Bestätigungsdaten zu schicken. Das spart eine Menge Arbeit, Portokosten fallen natürlich auch dabei an. So bitte ich um Zusendung der noch ausstehenden Karten für folgende Monate des Jahres 2016: Februar, Juni, August, September, Oktober, November und Dezember. Für 2017 sind wohl keine neuen QSL-Karten zu erwarten, auch wenn die Hoffnung zuletzt stirbt“.



    Herzlichen Dank auch für die ausführliche Antwort auf eine Zuschrift von mir im Funkbriefkasten am 26.03.



    Heute habe ich wieder einmal auf den Tatort“ im Fernsehen verzichtet und das Abendprogramm von RRI eingeschaltet. Wie Sie sehen, kommt auch die Abendfrequenz hier im Rheinland hervorragend herein.



    Die Radio-Tour-Rubrik über die Reiseziele an der Schwarzmeerküste war offensichtlich eine Wiederholung vom 14.03., aber gleichwohl wurden dabei wieder Urlaubsgefühle wach.



    Der Funkbriefkasten hat offenbar auch nicht mehr genügend Stoff, da heute drei Minuten mit Musik des Ensembles Imago Mundi“ aufgefüllt werden mussten. Sonst wird ja relevante Musik in der Regel im Anschluss an den Funkbriefkasten gespielt. Im Übrigen war diese Musik doch sehr gewöhnungsbedürftig und so gar nicht nach meinem Geschmack. Aber ich habe die Erfahrung bei unseren Abo-Konzerten in der Kölner Philharmonie gemacht, dass derartige Musik doch sehr interessant ist, wenn man die Ausführenden vor sich hat. Im Radio würde man sie dagegen schnell abschalten.



    In Sozialreport ging es unter anderem um die unterschiedliche soziale Situation in den Bukarester Stadtbezirken. Könnten Sie bei Gelegenheit einmal die Gliederung der Hauptstadt mit den Besonderheiten der einzelnen Stadtbezirke vorstellen?



    Übrigens fiel mir heute der mir unbekannte Moderator Alex Gröblacher auf. Er sprach sehr gut, etwas langsamer als andere und ganz unaufgeregt. Ist er neu in der Redaktion?



    Doch soweit für heute.



    Herzliche Grü‎ße aus dem sommerlich gewordenen Rheinland


    von Ihrem Fritz Andorf




    Lieber Herr Andorf, vielen Dank für Ihr stets ausführliches Feedback. Zunächst zu den QSL-Karten: Ich finde es auch schade, dass Sie nur zwei QSL-Karten im gro‎ßen Umschlag erhalten haben. Dabei hatte ich mir die Mühe gegeben, aus den E-Mails des vergangenen Jahrs eine vollständige Liste mit Hörern und den ihnen jeweils fehlenden QSL-Karten zu erstellen, eben damit die Hörer alles auf einmal zugeschickt bekommen und damit auch wir Porto sparen können. Leider scheint meine Arbeit für die Katz gewesen zu sein, denn offenbar ist unsere Postbearbeitungsstelle einfach nicht imstande, systematisch zu arbeiten. Ich vermute daher, dass bereits früher ausgefüllte QSL-Karten einfach mal verschickt wurden, denn auch andere Hörer haben gemeldet, jeweils 2-3 Karten erhalten zu haben. Und damit die Verwirrung komplett ist, scheint die Dame auch die Anordnung der QSLs in ihrem Schrank durcheinandergebracht zu haben. Auf unserer deutschen Webseite ist der Metzgerturm in Baia Mare als QSL Nummer 9 angeführt, das Nationaltheater in Klausenburg als QSL Nummer 12. So war das auch Anfang des Jahres 2016 festgelegt und ich habe die Anordnung gewissenhaft respektiert, als ich die Texte für die Webseite übersetzte. Doch auf der Webseite in Rumänisch sind die Karten 11 und 12 vertauscht, in der englischsprachigen Variante steht wieder die richtige Reihenfolge und auf der französischen Webseite ist eine völlig andere Reihenfolge zu sehen, die sich mir nicht erschlie‎ßt. Die anderen Sprachvarianten habe ich erst gar nicht mehr gecheckt, denn dieses Chaos wächst mir langsam über den Kopf und es ist nun mal wirklich nicht meine Aufgabe, den Mist anderer aufzuräumen. Vermutlich haben die Kollegen der französischen Redaktion die Reihenfolge entsprechend der Anordnung der Karten im Schrank der Poststelle abgeändert. Ich werde daher Ihre Anregung befolgen und dem Kollegen Mihai Stoicescu sagen, Ihnen eine komplette Blanko-Serie, falls noch vorhanden, zuzuschicken, und dann können Sie die Karten selbst ausfüllen — in welcher Reihenfolge, das bleibt ganz Ihnen überlassen. Es tut mir wirklich leid, lieber Herr Andorf, aber mehr kann ich aus meiner Position nicht bewirken. Auf der rumänischen Homepage sind mittlerweile auch die QSL-Karten Nummer 1 bis 5 für 2017 abgebildet und beschrieben, ich habe mich aber vorerst mit der Übersetzung der Texte zurückgehalten, solange nicht sicher ist, ob die Karten noch gedruckt werden und ob wir überhaupt noch auf unsere Aushilfskraft Mihai zählen dürfen.



    Zu den Bukarester Stadtteilen bzw. –bezirken werde ich in einer der nächsten Sendungen etwas sagen.



    Und der Kollege, dessen Stimme Sie nicht kannten, hei‎ßt Alex Gröblacher — den Namen hat er einem österreichischen Gro‎ßvater zu verdanken — und er ist gar nicht so neu bei uns. Er hat bereits seit Mitte der Neunziger bei uns in der Redaktion gearbeitet, damals stellte er sich allerdings als Alex Niculescu vor und er hat jahrelang die DX-Sendung gestaltet, später die Sendung Thematik Medien“. Ab 2001 war er eine Zeitlang freiberuflich tätig, dann hat er einige Jahre für den Inlandssender România Actualităţi gearbeitet und seit Ende 2015 ist Alex wieder bei uns. Heute ist er u.a. für die Rubrik Vernetze Welt“ zuständig, in der es um die multimediale Medienwelt des 21. Jh. geht.



    Und schlie‎ßlich zum Funkbriefkasten von vergangener Woche: Da ging es nicht darum, die Zeit irgendwie aufzufüllen, sondern ich wollte zugegebenerma‎ßen ein bisschen uneigennützige Werbung machen für das Ensemble Imago Mundi, dessen Musiker mir persönlich bekannt sind. Die Musik dürfte natürlich nicht jedermanns Geschmack sein, denn sie ist alles andere als Mainstream. Aber für Kultur, die heutzutage ohnehin eine Nischenexistenz führt, sollte schon Platz sein in den Programmen der öffentlich-rechtlichen Sender. Und weil nicht wenige Hörer gesagt haben, dass unser Sonntagsprogramm etwas wortlastig sei, dachte ich mir, dass ein bisschen Musik im Funkbriefkasten nicht schaden kann.




    Ein anderer Hörer fand die Musik spannend und veranlasste ihn, mehr über den Bildhauer Constantin Brâncuşi zu erfahren, dessen Skulpturen die jüngsten Kompositionen des Ensembles inspirierten. Folgendes schrieb uns Andreas Pawelczyk aus Mannheim per E-Mail:



    Gut hat mir Ihre Sendung zu Herrn Brâncuşi gefallen. Er ist ja zur Zeit auch auf den rumänischen Briefmarken abgebildet. Geboren wurde er am 19. Februar 1876 in Hobiţa, Rumänien, und gestorben ist er am 16. März 1957 in Paris. Er gilt als ein rumänisch-französischer Bildhauer. Seine Werke werden der Avantgarde in der bildenden Kunst zugeschrieben.



    Als Brâncuşi im Alter von 81 Jahren starb, hinterlie‎ß er neben einem Werk von 215 Skulpturen auch 1299 Fotografien. Ein Werk aus grau-blauem Marmor — Der Vogel im Raum“ — hatte bei einer Versteigerung den höchsten Preis einer Skulptur, nämlich 27 Mio. US-Dollar eingebracht. Eine hölzerne Skulptur hatte bei einer Versteigerung sogar 29 Mio. US-Dollar eingebracht.



    Ihm zu Ehren gab es auch eine rumänische Banknote aus dem Jahre 1991. Es war die 500-Lei-Banknote.



    Auf alle Fälle: Brâncuşi ist eine rumänische Grö‎ße.




    Vielen Dank für Ihre Rückmeldung, lieber Herr Pawelczyk. Da schon die Rede von der Skulptur Der Vogel in Raum“ war und Ihnen die letzten Sonntag gesendete Musik offenbar zugesprochen zu haben scheint, bringe ich zum Schluss das gleichnamige Musikstück von und mit dem Ensemble Imago Mundi. Zuvor jedoch geschwind die Postliste:



    Postbriefe erhielten wir von Christoph Paustian, Erhard Lauber, Heiner Finkhaus, Thomas Jeske, Werner Schubert und Peter Möller (alle aus Deutschland).



    E-Mails bzw. Feedback im Internet-Formular erhielten wir bis Samstagnachmittag von Harald Süss, Josef Robl und Paul Gager (aus Österreich) sowie von Anna Seiser, Hans Kaas, Fritz Andorf, Andreas Pawelczyk, Beate Hansen und Calvin Knott (alle aus Deutschland).



    Ganz zum Schluss nochmals die Hinweise auf die Konzerttermine des Ensembles Imago Mundi in Österreich: Am 22. Juni, 19:00 Uhr, im Minoritensaal, Graz, Mariahilferstr. 3, und am 23. Juni, 19:00 Uhr, im Bank Austria Salon im Alten Rathaus, Wien, Wipplinger Stra‎ße 8. Die Konzerte werden mit Hilfe des Rumänischen Kulturinstituts in Wien organisiert, der Eintritt ist frei, allerdings nur im Rahmen der verfügbaren Sitzplätze.



    Wie die Musik des Ensembles Imago Mundi klingt, erfahren Sie gleich in der folgenden Kostprobe, einem Fragment aus dem Stück Bird in Space“ (Der Vogel im Raum“), das von der gleichnamigen Skulptur des weltweit bekannten Bildhauers Constantin Brâncuşi inspiriert ist. Sorin Georgescu sagt an dieser Stelle danke fürs Zuhören und überlässt Sie den Klängen von Imago Mundi.




    Audiobeitrag hören:




  • Hörerpostsendung 7.5.2017

    Hörerpostsendung 7.5.2017

    Herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI! Heute möchte ich vorrangig aus Postbriefen zitieren, die uns in den vergangenen Wochen zugeschickt wurden und die ich — durch Ostern und 1. Mai bedingt — erst vergangene Woche in die Finger bekommen habe. Dabei geht es in erster Linie um Empfangsbedingungen im jeweiligen Zielgebiet und erneut um QSL-Karten.



    Von Wolfgang Waldl aus Wien erhielten wir gleich zwei Postsendungen, die auf Mitte April datiert sind:



    Ihre Sendung kann ich auch weiterhin auf der neuen Frequenz 9600 gut empfangen, allerdings ist der Empfang manchmal durch Fading gestört und das bedingt dann Antennen-Anpassung, was das Aufnehmen (ohne Kontrolle) erschwert.



    Die Nachrichten betreffend QSL-Karten sind bedauerlich, aber mich erinnert das an das Ende von Radio Bulgarien (Deutscher Dienst). Auch da wurde zuerst an eine finanzielle Beteiligung durch die Hörer gedacht (es gab sogar ein Konto in Deutschland). Auf einmal war alles aus!



    Natürlich könnten Sie für QSL-Karten einen Obolus verlangen, das würde auch funktionieren (z.B. 5 Euro pro Stück inkl. Porto). Der Schwachpunkt ist die Person, die die Briefe öffnet, wenn darin der Obolus steckt.



    Radio Tirana hat nun auch seinen KW-Dienst eingestellt. Die Sendungen waren in letzter Zeit sehr schlecht zu empfangen.



    Ein Lichtblick ist Radio DARC, das jeden Sonntag von 11-12h MEZ auf 6070 aus Moosbrunn bei Wien (woher immer die KW-Auslandssendungen des ORF kamen) sendet (100 kW). Das Programm ist gut gestaltet, mit viel Oldie-Musik, guten Berichten aus der Welt der Amateurfunker, Historischem, Funkwettervorhersage, technischen Erklärungen (z.B. über Störquellen) und Hörerbeiträgen. Wirklich hörenswert!



    Ihr Programm höre ich nach wie vor sehr gerne. Neben dem Funkbriefkasten sind es vor allem die europäische Presseschau und die historischen und kulturellen Beiträge, die mir gefallen.




    Und wenige Tage später traf auch eine Postkarte von Herrn Waldl ein:



    Es geschehen noch Wunder! Heute trafen 2 schöne QSL-Karten mit Bestätigungen vom Mai und Juli 2016 ein. Herzlichen Dank! Chi va piano, va sano, va lontano. (Italienisches Sprichwort.) Alles verziehen! Alles prima! Grü‎ße aus Wien!




    …schreibt zum Schluss unser Hörer aus Wien. Das italienische Sprichwort hei‎ßt wörtlich Wer langsam geht, bleibt gesund und kommt weit“ und hätte diverse deutsche Entsprechungen, etwa Gut Ding will Weile haben“, Wer langsam geht, kommt auch zum Ziel“ oder Dem Geduldigen laufen die Dinge zu, dem Eiligen laufen sie davon“. Zu den angesprochenen Themen werde ich gleich etwas sagen, zuvor möchte ich aber noch aus anderen Hörerzuschriften zitieren, die Ähnliches enthalten.




    Aus der Schweiz meldete sich Sandro Blatter mit einem Postbrief vom 15. April:



    Ich habe in einer der letzten Sendungen Informationen über die Probleme mit den QSL-Karten gehört. Egal ob es noch 2017 QSL-Karten auf Papier gibt, werde ich nachträglich ab dem 1. Januar 2017 auf E-QSL-Karten umsteigen. Ich denke auch, dass Sie damit weniger Arbeit haben. Dann kann ich die ausgefüllte E-Karte herunterladen und ausdrucken. Das ist immer noch ein toller Service, den die Mitarbeiter von RRI machen. Danke!



    Wenn es aber möglich ist, würde ich gerne noch die 2016 komplett als Papier-QSL-Kartenseite haben. Dazu lege ich Ihnen die Kurzinformationen von den Monaten Mai bis Dezember 2016 bei. Ja, die letzte erhaltene Karte stammt tatsächlich vom April vergangenen Jahres.




    Und schlie‎ßlich aus Deutschland meldete sich im April ebenfalls zweimal unser Hörer Werner Schubert per Post:



    Liebe Redaktion in Bukarest,



    wird mal wieder Zeit für einen Empfangsbericht.



    RRI ist — es war auch nicht anders zu erwarten — auch im Sommer wie immer gut zu hören. Im Luftkurort Oberaudorf bei meinem Bruder sowieso, da habe ich oft überhaupt keine Störungen. In Grafing stört der Wohnblock immer, kleinere Sender kann ich da gar nicht empfangen. Dazu gehört RRI aber sicher nicht.



    Ich bin zwar kein QSL-Sammler, freue mich aber dennoch über jede Bestätigung. Bringt eigentlich die Beilage von Rückporto (z.B. IRCs) etwas? Könnte das den Versand von Briefen an die Hörer trotz Sparprogramm ermöglichen?




    Liebe Freunde, vielen Dank für das Feedback. Um noch einmal in Kürze auf die ganze QSL-Geschichte einzugehen: Die QSL-Zustellung war im vergangenen Sommer urlaubsbedingt ohnehin verzögert, wie schon seit vielen Jahren, seit dem wir nur noch eine einzige Mitarbeiterin für die Post aller Redaktionen haben. Im Herbst dann erkrankte die Dame und kam erst nach drei Monaten wieder zurück zur Arbeit. Und just im Dezember 2016 wurden uns dann die Ausgaben für Porto gekappt. Aus diesem Grund haben die meisten Hörer QSL-Karten für vergangenes Jahr bis höchstens April erhalten und dann gar nichts mehr. Zwar standen noch Briefe und Pakete mit den Hörerquizpreisen versandbereit, doch konnten sie bislang wegen des Sparzwangs nicht verschickt werden. Und die QSL-Karten für 2017 sind noch nicht gedruckt, denn auch dafür haben wir kein Geld. Es gibt sie nur als virtuelle Bilder, aber nicht als e-QSLs, also als Dateien, in die man seine eigenen Empfangsdaten eintragen und dann samt Bild herunterladen kann. Da hat Herr Blatter aus der Schweiz etwas missverstanden. Das wäre eine Aufgabe für unsere Multimedia-Redaktion, wenn denn die QSL-Serie 2016 tatsächlich die letzte gewesen sein dürfte. Dennoch meldeten einige Hörer, dass sie inzwischen doch einiges erhalten haben, so etwa Herr Waldl, dann auch Herr Robl aus Österreich, der zwar sein Treuediplom, nicht aber die ausstehenden QSL-Karten erhalten hat. Und auch Herr Georg Schafheitle aus Deutschland bedankte sich im April für ein paar QSL-Karten, ohne zu präzisieren, welche es waren. Nun, ich vermute, dass unsere Postdame vorhandene IRCs verwendete, um zumindest einige Postsendungen aufzugeben, denn Geld für Porto hatten wir auch im April nicht. Doch generell sind IRCs keine Lösung, um damit auch die Frage von Herrn Schubert zu beantworten, denn sie sind in Rumänien unüblich, in Bukarest nimmt sie eine einzige Post — da ist der Aufwand grö‎ßer als der Gewinn.



    Dass die Hörer selber für Porto spenden, wie Herr Waldl anregt, wäre ebenfalls mit einigem Aufwand verbunden. Denn das Problem wäre nicht, dass jemand das Geld entwendet — kleine Spenden für unsere Kaffeekasse, etwa einen 1-Dollar-Schein, manchmal sogar einen 5-Euro-Schein, haben wir schon öfters bekommen, auch wenn der Brief in der Poststelle schon geöffnet worden war. Problematisch wäre der Arbeitsaufwand, Buch darüber zu führen, denn jeder Spender würde natürlich gerne wissen, was mit seinem Geld geschieht. Und für diese zusätzliche Arbeit haben wir Redakteure keine Zeit, und eine offizielle Spendenaktion über ein Konto erfordert auch eine Genehmigung vom Vorstand und eine ständige wirtschaftliche Überprüfung. Und bei den derzeitigen Sparzwängen (einige Redaktionen sind beispielsweise stark unterbelegt) ist das QSL-Problem von RRI so ziemlich das Letzte, worüber sich die Führungsetagen des Rumänischen Rundfunks Gedanken machen.



    Ich habe dennoch eine gute Nachricht, die ich allerdings auch durch eine weniger gute relativieren muss. Die gute Nachricht ist, dass wir vergangene Woche endlich einen provisorischen Etat für Porto zugewiesen bekommen haben. Die schlechte Nachricht ist: Ich wei‎ß nicht, in welcher Höhe der Betrag ist und folglich für wieviele Postsendungen das Geld reicht. Auch ist die Dame in unserer Postbearbeitung nicht gerade für Systematik in ihrer Arbeit berühmt. Ich habe zwar mit Hilfe der Hörer gewissenhaft Listen über die jedem Hörer fehlenden QSLs erstellt, doch waren einige Postsendungen schon seit mehreren Monaten versandbereit, und ich bezweifle, dass die Dame jetzt die bereits zugeklebten Umschläge öffnet, um weitere QSL-Karten hinzuzufügen. Es ist also möglich, dass Sie in den kommenden Wochen doch etwas von uns erhalten, es müssen aber nicht zwangsläufig alle QSL-Karten drin sein, die sie vermissen.




    Zeit für die Postliste. Postbriefe und Postkarten erhielten wir von Wolfgang Waldl und Wolfgang Gargitter (A), Sandro Blatter und Stefan Kälin (beider aus der Schweiz — der zuletzt genannte Hörer schickte uns einen Zeitungsartikel über die Unterstützung der schweizerischen Gemeinde Einsiedeln für den Wiederaufbau eines ausgebrannten Feuerwehrgebäudes in der rumänischen Gemeinde Cristian bei Kronstadt) sowie von Werner Schubert, Erhard Lauber, Christoph Paustian, Heiner Finkhaus, Hans-Peter Themann, Ulrich Wicke und Georg Schafheitle (alle aus Deutschland).



    E-Mails erhielten wir bis Freitagnachmittag von Burkhard Müller, Heinz Günter Hessenbruch, Andreas Pawelczyk und Hansjörg Biener (D) sowie von Georg Pleschberger (A).



    Das Internetformular nutzen Paul Gager (A) sowie Ralf Bender und Tom Schwarz (beide aus D).




    Audiobeitrag hören: