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  • Attentats sanglants au Sri Lanka

    Attentats sanglants au Sri Lanka

    Les
    échos de la tragédie, qui vient de frapper le Sri Lanka et qui a ouvert les
    dernières éditions des journaux informatifs du monde entier, ne sont pas prêts de s’éteindre. Les
    morts et les blessés se comptent par centaines, les bilans officiels continuant
    d’être partiels. Les autorités ont décrété l’état d’urgence dans tout le pays,
    après les explosions déclenchées simultanément dans plusieurs églises
    catholiques, pendant le service religieux du dimanche pascal, ainsi que dans
    plusieurs hôtels de luxe, pleins de touristes. La plupart des attentats
    terroristes ont frappé la capitale sri-lankaise, Colombo.

    A Washington, le
    Département d’Etat américain a émis un nouvel avertissement de voyage
    concernant le Sri Lanka, mettant en garde contre des « groupes
    terroristes » qui continuent de fomenter des attaques dans le pays
    sud-asiatique où vivent environ 1,2 millions de chrétiens catholiques, sur une
    population de 21 millions, dont la majorité est de confession bouddhiste. La
    diplomatie américaine a indiqué comme cibles potentielles les lieux
    touristiques, les aéroports et autres terminaux de transport, les galeries
    commerçantes, les lieux de culte. Sur la toile de fond des incertitudes et de
    la situation dramatique, des leaders politiques et religieux du monde entier
    ont condamné les attentats terroristes. Selon le secrétaire d’Etat américain,
    Mike Pompeo, ces attentats « démontrent à
    nouveau la nature brutale de terroristes radicaux dont le seul but est de
    menacer la paix et la sécurité ». Plusieurs ressortissants américains et
    britanniques comptent parmi les victimes des attentats de dimanche, que le
    Foreign Office a qualifié d’horribles. La Russie a transmis un message de
    condoléances aux Sri-Lankais et s’est dite prête à fournir toute l’aide
    nécessaire aux autorités du pays. Le président de la Turquie, Recep
    Tayyip Erdogan, a parlé d’ « une agression contre l’humanité »,
    tandis que le président de l’Etat d’Israël, Reuben Rivlin, considère que
    l’attaque contre une religion est une attaque contre toutes les religions du
    monde. Le Pape François, qui a officié la messe pascale au Vatican, a exprimé
    sa tristesse, alors que le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a
    condamné les violences et affirmé que les lieux de culte devaient être protégés.

    En Roumanie, le président Klaus Iohannis a souligné qu’il fallait défendre la
    liberté du culte et de la foi, et la première ministre Viorica Dăncilă a
    déclaré, dans un communiqué, sa compassion pour le peuple du Sri Lanka. Le
    ministère des affaires étrangères de Bucarest a ouvert une cellule de crise,
    après les attentats, dans le contexte de la présence au Sri Lanka d’un groupe
    de lycéens roumains, qui y participaient à un échange d’expérience. (Trad.
    Ileana Ţăroi)

  • 21.04.2019 (mise à jour)

    21.04.2019 (mise à jour)

    Attentats – Au
    Sri Lanka, plusieurs explosions dans des églises et des hôtels de la capitale,
    Colombo, ont tué plus de 200 personnes dont 35 ressortissants étrangers, et ont
    blessé 450 autres, en ce dimanche de Pâques catholiques. Le premier ministre sri-lankais,
    Ranil Wickremesinghe, a condamné les attaques, assurant que son gouvernement
    prenait des mesures pour maîtriser la situation. Le Pape François a exprimé sa
    tristesse face à « ces graves attentats » et s’est dit « proche
    de toutes les victimes d’une si cruelle violence ». Le président de la
    Roumanie, Klaus Iohannis, a condamné les attaques du Sri Lanka, affirmant que
    la liberté religieuse et la foi devaient être protégées. A son tour, la cheffe
    du gouvernement roumain, Viorica Dăncilă, a fermement condamné les attentats
    sanglants de Colombo. Le ministère des affaires étrangères de Bucarest a
    informé que les autorités sri-lankaises n’avaient pas notifié l’ambassade de
    Roumanie concernant la présence de citoyens roumains parmi les victimes des
    explosions de ce dimanche. Le Sri Lanka est un pays d’Asie du sud dont la
    population est majoritairement de confession bouddhiste. Sur les 21 millions
    d’habitants, les chrétiens catholiques ne sont qu’environ 1,2 millions.

    Rameaux – Les chrétiens orthodoxes roumains, majoritaires, et les grecs-catholiques
    ont célébré dimanche les Rameaux, qui rappellent l’entrée de Jésus Christ à
    Jérusalem, avant sa crucifixion. Le dimanche des Rameaux ouvre la dernière
    semaine du Carême de Pâques, la Semaine Sainte, qui remémore les moments les
    plus dramatiques de la vie de Jésus. A l’occasion des Rameaux, on a souhaité la
    fête à près de 1,4 millions de Roumains, qui portent des prénoms de fleurs. Ce
    dimanche également, les fidèles catholiques et protestants ont célébré Pâques,
    la Résurrection du Seigneur, la plus grande fête de la chrétienté. Au Vatican,
    le Pape François a célébré la messe du jour sur la Place Saint Pierre et il a prononcé
    son traditionnel message pascal Urbi et Orbi. Le Souverain Pontife y a parlé des violences en
    Libye, des réfugiés syriens au Liban et en Jordanie, des enfants pris dans le
    conflit au Yémen, de la souffrance des gens qui vivent le conflit dans l’est de
    l’Ukraine, ainsi que du peuple vénézuélien, frappé par la crise.






    Message – Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a souhaité « Joyeuses
    Pâques » à tous ses compatriotes qui ont fêté la Résurrection du Christ, ce
    dimanche; il a aussi souhaité « Bonne fête du nom » à tous ceux qui
    portent des prénoms de fleurs. La première ministre Viorica Dăncilă a transmis,
    elle aussi, un message aux fidèles chrétiens orthodoxes, où elle souligne que
    la Semaine Sainte qui commence est une période de solidarité avec les plus démunis.
    Mme Dăncilă a également souhaité aux Roumains, qui ont célébré Pâques, ce
    dimanche, de la santé, de la paix et du bonheur.


    Sécurité – En Roumanie, plus de 10.000
    policiers ont été présents dans les rues pour les Rameaux orthodoxes et les
    Pâques catholiques, pour que les personnes qui ont participé aux événements
    occasionnés par la fête soient en sécurité. Selon l’Inspection générale de la
    Police roumaine, les actions visaient à prévenir et à dissuader tout ce qui
    pourrait affecter la tranquillité de ces jours de fête, mais aussi une
    intervention rapide en cas de problèmes. 8000 gendarmes ont assuré l’ordre
    public en ce dimanche des Rameaux et des Pâques catholiques. Pour fluidifier le
    trafic, mais aussi pour prévenir des événements routiers malheureux, les
    policiers sont aussi munis de 300 radars mobiles et reçoivent l’aide de l’Inspection générale de l’aviation.

    Frontières – Les autorités douanières de Roumanie et de la République de Moldova
    ont mis au point un paquet de mesures qui permettent de fluidifier le passage
    de leur frontière commune pendant les fêtes pascales : un nombre
    supplémentaire d’agents des douanes, l’utilisation de toutes les voies de contrôle,
    des actions coordonnées avec les structures territoriales de police aux
    frontières. La Police aux frontières de Roumanie a sollicité à ses homologues
    de Bulgarie et de Hongrie d’augmenter, si nécessaire, le nombre de leurs
    personnels, aux termes des accords sur le contrôle en commun des frontières. Les
    Roumains qui travaillent à l’étranger sont en train de rentrer au pays pour les
    fêtes pascales. Les postes-frontières sont congestionnés ces jours-ci, et des
    agents supplémentaires ont affectés pour fluidifier la vérification des
    documents de voyage. Plus de 4000 policiers aux frontières travailleront tous
    les jours pour assurer un contrôle efficace de la frontière roumaine.

    Marine – Le
    bâtiment hydrographique HMS ‘Echo’ de la marine britannique est arrivé, ce
    dimanche, dans le port roumain de Constanţa (à la mer Noire), pour une escale
    de quatre jours, a informé l’Etat-Major des Forces navales roumaines, dans un
    communiqué de presse. A cette occasion, les représentants de l’équipage auront
    des entretiens avec les experts de la Direction hydrographique maritime de
    Constanţa, ainsi qu’avec les autorités publiques, civiles et militaires de la
    ville. La présence du navire britannique HMS ‘Echo’ en mer Noire fait partie
    des mesures prises par l’OTAN pour assurer la sécurité des alliés sur le flanc
    oriental, dans le cadre des engagements de défense collective.

    Météo – En
    Roumanie, le temps sera plutôt instable dans les prochaines 24 heures, et des
    pluies tomberont sur le nord-ouest et le centre du pays. Lundi, les
    températures maximales se situeront entre 10° et 22°.

  • April 8, 2019 UPDATE

    April 8, 2019 UPDATE

    Reactions — The completion of the Revolution file and the submission of the indictment to court have generated various reactions from Romanian politicians. President Klaus Iohannis hailed the completion of the investigation in this file and its submission to court, considering it a very important step towards establishing the truth in this case. The opposition National Liberal Party and the Save Romania Union party also hailed the prosecutor general’s announcement. The Liberal leader Ludovic Orban said that the completion and submission to court of the revolution file after 30 years could be a good thing if the result is the punishment of culprits. On the other side of the political spectrum, the Social Democratic Party in the ruling coalition showed indignation at the fact that prosecutor Augustin Lazar, whom they suspect of collaboration with the former political police, is the one to send to court this controversial file. The president of the juridical committee in the Chamber of Deputies, Social Democrat Nicusor Halici, believes the truth about the events of December 1989 should have been found out earlier.



    Luxembourg — The Eastern Partnership is, according to Romania, one of the most important policies at EU level, said Monday the Romanian foreign minister Teodor Melescanu at the end of the meeting of the Foreign Affairs Council in Luxembourg. One of the topics tackled by the participants was the situation in Afghanistan, since the EU wants to get more involved in finding a political solution to it. The Eastern Partnership was launched in 2009 with the purpose of consolidating political association and economic integration of 6 partner states from Eastern Europe and South Caucasus — Armenia, Azerbaijan and Belarus – that have partnership agreements with the EU and Georgia, the Republic of Moldova and Ukraine that have already concluded association agreements.



    Motion — The Romanian Senate postponed for Wednesday the debate and vote on a simple motion filed by the opposition Liberal Party and Save Romania Union party against justice minister Tudorel Toader. The vote had been scheduled for Monday but, due to the absence of several senators, the quorum could not be reached. The document signatories say the tensions that emerged within the justice system could be defused if the current justice minister stepped down. They also say that the coming into force of the modifications to the Criminal and Criminal Procedure Codes through an emergency ordinance is impacting Romanias legal system, running against the recommendations of the European institutions. On March 20th, the Chamber of Deputies rejected another simple motion against the justice minister.



    Vandalism — The Romanian government has condemned the recent acts of vandalism perpetrated in the Jewish cemetery in Husi (eastern Romania), following which many funerary monuments were destroyed, and reiterated its firm commitment to fighting anti-Semitism and the incitement to anti-Semitism. In the context of Romania’s holding the presidency of the Council of the EU, promoting the efficient fight against racism, intolerance, Xenophobia, populism and anti-Semitism and discouraging the hate speech is one of the central topics on Romania’s agenda for consolidating cohesion across the EU. Last week President Iohannis condemned the anti-Semitic gestures and actions of the past days and called on the competent authorities to take appropriate action to combat such actions. (update and translation by L. Simion)

  • 05.04.2019 (mise à jour)

    05.04.2019 (mise à jour)

    Réactions – Le président roumain,
    Klaus Iohannis a condamné les gestes et les actions antisémites commis en
    Roumanie, ces derniers temps, et il a demandé aux autorités compétentes de
    réagir avec fermeté. Un communiqué officiel de l’Administration présidentielle
    rappelle que la Roumanie s’était fait remarquer comme un modèle régional réussi
    en matière de préservation de la mémoire de l’Holocauste, de prise de
    conscience juste du passé, de lutte contre l’antisémitisme, le négationnisme,
    la xénophobie, la haine, le racisme et le populisme, ainsi que par ses efforts
    pour décourager le discours de haine. Antérieurement à la publication de ce communiqué, le
    président de l’Etat d’Israël, Reuven Rivlin, avait
    réagi contre la récente dégradation intentionnelle de quelque 70 pierres
    tombales, vandalisées au cimetière juif de la ville de Huşi (est de la
    Roumanie), un acte antisémite considéré comme un des plus graves commis en
    Europe cette année. Dans le même temps, le président israélien a parlé des
    actions du gouvernement de Bucarest contre l’antisémitisme et la xénophobie. La
    presse israélienne cite le président de la Fédération des Communautés juives de
    Roumanie, Aurel Vainer, qui a déclaré que de tels
    événements de nature antisémite ne pouvaient pas être tolérés et qu’ils
    affectaient la démocratie en Roumanie. L’ambassade des Etats-Unis à
    Bucarest a clairement condamné la récente dégradation intentionnelle du
    cimetière juif de la ville de Huşi et considère que cette action était une
    attaque contre la communauté juive, mais aussi contre la diversité de la
    société roumaine.






    Visite – En
    visite en Slovaquie, à l’invitation du chef du gouvernement de Bratislava,
    Peter Pellegrini, la première ministre roumaine Viorica Dăncilă a déclaré que
    échanges commerciaux entre la Roumanie et la Slovaquie avaient dépassé, pour la
    première fois à la fin de 2018, le seuil des trois milliards d’euros. Les
    pourparlers s’étaient axés sur le développement de la coopération bilatérale
    dans plusieurs domaines, dont l’éducation, l’énergie, la culture, les affaires
    intérieures, l’administration publique, le tourisme, la protection de
    l’environnement, la santé et l’agriculture. Le premier ministre slovaque,Peter
    Pellegrini, a exprimé son espoir d’assister à une intensification des bonnes
    relations commerciales et politiques qui existent entre Bratislava et Bucarest.
    Les deux hauts dignitaires se sont rencontrés dans la ville de Banska Bystrica,
    où la première ministre roumaine a déposé une couronne de fleurs Place de
    l’Insurrection nationale slovaque. Mme Dăncilă s’est ensuite rendue dans la
    ville de Zvolen, où sont enterrés plus de 10.000 soldats roumains, tombés
    pendant les combats pour la libération de la Tchécoslovaquie de sous
    l’occupation nazie.
















    Initiative Bucarest 9
    – Le ministre roumain de la Défense,
    Gabriel Leş, a participé, à Varsovie, à la réunion des ministres de la Défense
    des Etats membres de l’Initiative Bucarest 9 (B9). Co-organisée par les
    ministères polonais et roumain de la Défense, la réunion regroupe des
    responsables des pays membres de l’Initiative- la Bulgarie, la République
    Tchèque, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Roumanie, la
    Slovaquie et la Hongrie, de l’OTAN et du Département américain de la Défense.
    Selon un communiqué du ministère roumain de la défense, les ministres ont discuté
    de la contribution des Etats B9 au renforcement de la posture de découragement
    et de défense, notamment pour ce qui est de la mise en œuvre cohérente et
    parfaitement opérationnelle de la Présence alliée avancée sur le Flanc oriental
    de l’OTAN. En marge de la réunion de Varsovie, le ministre roumain, Gabriel Leș
    a eu un entretien avec son homologue polonais, Mariusz Błaszczak, au cours
    duquel il a souligné le rôle majeur des deux pays, en tant qu’Etats porteurs de
    l’Initiative B9, dans la réalisation d’une position unitaire des alliés
    orientaux, qui soit soutenue conjointement, afin de l’inclure à l’agenda de
    l’Alliance atlantique. Par ailleurs, M. Leşa rencontré les
    militaires roumains du Détachement de défense antiaérienne ‘Les scorpions bleus’,
    du Groupe de combat de l’OTAN, disloqué en Pologne.










    Réunion
    – Une réunion informelle des ministres européens des
    Finances se déroule vendredi et samedi, à Bucarest, dans le contexte de la
    présidence roumaine de l’UE. A l’agenda de ce vendredi figurent la réunion de
    l’Euro-groupe, en présence des ministres des Finances de la zone euro et la
    première session de travail de la réunion informelle des ministres des Finances
    et des gouverneurs des banques centrales, présidée par le ministre roumain de
    tutelle, Eugen Teodorovici. Les membres de l’Euro-groupe ont examiné des
    questions liées à la situation du secteur bancaire dans la Zone Euro, à
    l’inflation et au taux de change, ainsi qu’à la situation en Grèce.
    A ce dernier sujet, le président de l’Euro-groupe, Mario Centeno, a fait savoir
    que le rapport concernant la Grèce avait permis de constater qu’Athènes avait
    fait les pas nécessaires pour obtenir une nouvelle aide financière de près d’un
    milliard d’euros de la part de l’Union européenne.










    Consultations -
    Le président roumain Klaus Iohannis a envoyé une lettre aux présidents des
    partis politiques parlementaires où il invite les partis politiques à des
    consultations sur le thème de la justice, les 11 et 12 avril prochain. Jeudi,
    le président Iohannis avait envoyé une lettre au Parlement, dans laquelle il
    précisait les sujets d’intérêt national qui feront l’objet du référendum prévu
    le 26 mai, simultanément avec les élections européennes.


    Vote
    – Les députés européens ont voté un projet législatif qui conditionne les
    financements communautaires à l’Etat de droit et à la lutte efficace contre la
    fraude et la corruption, indique un communiqué issu par le Parlement de
    Bruxelles. Aux termes de ce document, la Commission européenne sera chargée
    d’établir « les déficiences généralisées concernant l’Etat de droit »
    et décidera des mesures à prendre, dont la suspension des paiements ou la
    diminution du préfinancement. Sa décision sera appliquée uniquement après avoir
    été approuvée par le Parlement européen et par le Conseil de l’Union européenne.














    Tennis – A Piatra-Neamţ (nord-est), les équipes de tennis de Roumanie et du Zimbabwe sont à égalité
    après le premier jour de leur rencontre de Coupe Davis, comptant pour le
    premier tour du Groupe 2 de la zone Europe-Afrique. Dans les premiers matchs de
    simple, Marius Copil a perdu devant Benjamin Lock, tandis que Dragoş Dima a
    obtenu la victoire devant. La Roumanie et le Zimbabwe se sont déjà rencontrés
    en dans la compétition de Coupe Davis, à Harare, en 2000,
    lorsque les Roumains se sont imposés au score de 3 à 2.




    Météo – La
    météo apportera des températures assez élevées en Roumanie, samedi, quand thermomètre
    affichera entre 10° et 22° en milieu de journée.



  • Reactions to President Macron’s proposals on reforming the EU

    Reactions to President Macron’s proposals on reforming the EU

    Creating a ‘European preference’ line in terms of competition, protecting the political life from external interference and cyber attacks, setting up a European Security Council that should also include Great Britain and revising the Schengen agreement are some of the proposals made by the French President in an op-ed called ‘For a European renaissance’ which was published in multiple European newspapers on Monday evening.



    President Macron suggests that, by the end of 2019, a conference should be organized together with representatives of the European institutions and of the member states, which should tackle the changes necessary for the new political project. As regards Brexit, President Macron believes that the main problem is not the UK’s membership to the EU but the lies and irresponsible statements made, which might destroy the European project.



    In another move, Emmanuel Macron believes that a ban should be put on the funding of the European political parties by foreign powers as well as all on the online incitement to hatred and violence. In relation to migration, President Macron says the Schengen free movement Agreement needs to be revised. He also advocates the creation of a European defense and security treaty meant to define the obligations of each state in terms of defense, in close relation with NATO, which should entail an increase in military expenses, the activation of the mutual defense clause and a European Security Council which should also include Great Britain. On social rights, Macron proposes a ‘social shield’ guaranteeing the same pay in the same workplace and a minimum wage appropriate to each country and discussed collectively every year.



    Reactions to Macron’s proposals were not late to appear. In Bucharest, PM Viorica Dancila said she was eager to read President Macron’s plan which Romania, as president of the Council of the EU, welcomes, given its concern for the future of Europe. The leader of the ruling Social Democratic Party in Romanian Liviu Dragnea said that Romania should support the organization of a Conference for Europe, a project in which it should take an active part. The proposals of the French President were received with reticence by the Romanian MEPs.



    The Liberal Norica Nicolai claimed Macron’s message was an electoral move, while Marian Jean Marinescu representing the European People’s Party group believes Macron’s project is nothing but a publicity stunt. In exchange, the president of the European Council Donald Tusk hailed the reforms that call for an enhanced cooperation for what Macron termed as the ‘renaissance of Europe’ and the president of the European Commission Jean Claude Juncker praised Macron’s firm commitment to identifying and meeting the European challenges.

  • A la Une de la presse roumaine 26.02.2019

    A la Une de la presse roumaine 26.02.2019

    «Le gouvernement a
    battu en retraite concernant l’Ordonnance gouvernementale d’urgence n° 7» titre Jurnalul.ro. Adevarul.ro donne davantage de détails sur les réactions des magistrats du parquet à l’égard de l’approche gouvernementale. Ziarul financiar.ro s’intéresse, une fois de plus, à l’actualité du marché de l’emploi en Roumanie.



  • De l’Etat de droit aux fonds européens

    De l’Etat de droit aux fonds européens

    A une ample majorité, le Parlement européen a
    voté la proposition de règlement de la Commission européenne par laquelle un
    pays de l’Union peut rester dépourvu de fonds européens si ses pouvoirs publics
    mettent en danger l’Etat de droit. Une telle mesure avait été évoquée avec
    insistance, sur la toile de fond des dérapages autoritaristes des gouvernements
    libéral de Hongrie et conservateur de Pologne. Le cabinet et la majorité de
    gauche de Bucarest ont également été visés par des critiques dures des
    institutions européennes et de la majorité des députés européens. Ils
    considèrent comme des écarts à l’Etat de droit une partie des modifications
    apportées aux lois de la Justice et à la législation pénale, la manière dont le
    pouvoir tente de remplacer les chefs des principaux Parquets et l’intervention
    disproportionnée des forces de l’ordre au grand meeting antigouvernemental
    d’août dernier. La proposition de règlement prévoit que la Commission européenne, assistée d’un groupe d’experts
    indépendants, puisse décider si l’Etat de droit est mis en danger dans l’un des
    pays membres, que ce soit par voie de justice ou par l’absence de mesures
    appropriées de lutte contre la fraude et la corruption. La Commission devra par
    la suite proposer des mesures censées sanctionner l’Etat défaillant, en
    fonction de la gravité des écarts constatés.

    Les sanctions peuvent être la
    réduction ou l’arrêt complet des virements de fonds européens en direction de
    l’Etat défaillant.La décision de
    la Commission ne pourra être appliquée qu’après avoir reçu l’aval du Parlement
    européen et du Conseil des ministres. L’Etat visé a l’obligation de continuer
    les paiements aux bénéficiaires de fonds européens du budget national, si
    l’argent en provenance de l’UE est bloqué. L’eurodéputé roumain Marian Jean
    Marinescu, du groupe des populaires, a voté pour cette proposition, mais il
    affirme qu’elle doit être améliorée : « C’est difficile quand on vote pour quelque
    chose qui pourrait avoir des implications sur son propre pays. Dans le même temps,
    il faut respecter certains principes. Il est évident que les fonds européens
    doivent respecter absolument toutes les règles. Au moment où il y a des
    défaillances au sujet de l’Etat de droit, il peut y avoir des implications sur
    le budget, bien entendu. Et c’est pourquoi je crois qu’en fin de compte un tel
    règlement doit exister, mais il doit être amélioré, donc maintenant, il y a des
    éléments dans sa forme qui doivent être ajustés. Il faut qu’il existe une
    proportionnalité entre la peine et le fait, comme partout.
    », a-t-il affirmé.


    La députée
    européenne Norica Nicolai, de l’ALDE, s’est opposée à cette proposition ;
    elle s’explique : « La grande majorité des Etats membres plus
    récents, mais non seulement, mais aussi l’Espagne, le Portugal, l’Italie,
    craignent que leurs gouvernements ne soient le sujet d’une formule abusive que
    la Commission peut promouvoir dans la suspension des fonds. Promouvoir un
    acte réglementaire qui n’impose aucun
    critère objectif d’appréciation et laisser à la portée de fonctionnaires de la
    Commission européenne d’analyser les situations de violation de l’Etat de
    droit, sans définition, sans critères, c’est inacceptable. »
    , a-t-elle déclaré.



    Jusqu’à l’adoption, le
    règlement doit parcourir un itinéraire compliqué et doit être adopté à
    l’unanimité par les chefs d’Etats et de gouvernements. Cette proposition figure
    dans le projet de budget européen pour l’exercice financier 2021-2027. (Trad. : Ligia Mihăiescu)

  • Réactions concernant les allocations pour les enfants roumains

    Réactions concernant les allocations pour les enfants roumains

    La
    Commission européenne a réagi à la décision de l’Autriche de lier, à compter du
    1er janvier, le montant des allocations pour les enfants
    non-résidents des ressortissants étrangers travaillant sur son territoire au
    coût de la vie au pays de résidence de l’enfant. Selon l’Exécutif
    communautaire, cette mesure, qui touche aussi les allocations des enfants
    roumains restés dans leur pays d’origine, contrevient à la législation
    communautaire. La Commission européenne précise qu’en
    principe ces sommes ne peuvent pas être ajustées. La décision prise par Vienne
    pourrait donc constituer une discrimination des contribuables aux systèmes
    nationaux d’assurances, qui s’attendent à recevoir des bénéfices identiques,
    quels que soient leur nationalité et le lieu où vivent les enfants.

    Environ 14.000
    enfants roumains sont concernés par la nouvelle formule pour calculer leurs
    allocations, les montants étant réduits de moitié. Bucarest aussi s’est
    prononcé contre cette mesure qu’il juge discriminatoire. Le chef de la
    diplomatie roumaine, Teodor Meleşcanu, a fait savoir que le gouvernement
    envisage la possibilité de saisir la Cour européenne de Justice, accusant la
    nouvelle loi autrichienne de ne pas respecter le Traité de l’Union européenne.

    Dans une déclaration à Radio Roumanie, le ministre roumain du Travail, Marius
    Budăi, a souligné à son tour que les ressortissants européens devaient
    bénéficier d’un traitement égal dans les Etats membres où ils travaillent, leur
    droit à la libre circulation étant un droit fondamental de l’UE et du marché
    unique. « Nous partons du principe des
    bénéfices égaux pour des contributions égales. Les travailleurs roumains
    d’Autriche paient les mêmes contributions que les travailleurs autrichiens.
    Nous examinerons la situation à la Commission européenne et nous verrons
    quelles mesures seront à prendre en ce sens. Le 25 octobre 2018, date de
    l’approbation de la modification législative à Vienne, nous avons remis au
    Parlement autrichien une lettre où nous exprimons notre mécontentement, nous
    avons eu deux échanges avec Mme la commissaire Marianne Thyssen et nous verrons
    quelles mesures s’imposeront dans la période à venir. Il est clair que nous
    devons défendre les droits des Roumains qui résident en Autriche et dont les
    enfants se trouvent en Roumanie. »
    , a-t-il précisé.


    Le
    ministère pour les Roumains du monde informe lui aussi qu’il traite cette
    situation en priorité et attire l’attention que cette modification législative
    ne concerne pas uniquement les ressortissants roumains, la question devant être
    abordée au niveau européen. La décision des autorités de Vienne se trouvera
    ainsi à l’agenda des réunions organisées par le ministère pendant la présidence
    roumaine du Conseil de l’UE. (Trad : Ileana Ţăroi)

  • 05.01.2019 (mise à jour)

    05.01.2019 (mise à jour)

    Réactions – Le ministre roumain des Affaires Etrangères, Teodor Melescanu, s’est dit surpris par les affirmations d’un responsable allemand, de l’avis duquel, pendant le mandat de la Roumanie à la présidence du Conseil de l’UE, c’est le président Klaus Iohannis qui doit se trouver à la tête des débats et non pas la première ministre Viorica Dancila. Ces propos appartiennent à Bernd Fabritius, chargé au sein du gouvernement fédéral allemand des minorités nationales et des ethniques allemands établis à l’étranger. Selon le chef de la diplomatie roumaine, celui-ci n’a pas la qualité institutionnelle pour faire de telles affirmations. D’ailleurs ce type de jugements ne tiennent des compétences d’aucun responsable étranger, souligne encore la diplomatie de Bucarest. Tout cela dans le contexte où, Bernd Fabritius, originaire de Roumanie, avait affirmé pour RFI que la seule chance pour que le mandat de la Roumanie ait du succès était que le président Iohannis s’en charge. Ces déclarations surviennent sur la toile de fond de disputes politiques de plus en plus fortes entre le chef de l’Etat, lui aussi membre de la communauté allemande de Roumanie, et le gouvernement de la coalition au pouvoir, un cabinet qui ne cesse d’être accusé de corruption et d’incompétence tant en Roumanie qu’à l’étranger. Notons aussi qu’à compter de ce 1er janvier Bucarest assure la présidence tournante semestrielle de l’UE, avec un agenda bien difficile dominé par le Brexit, par les négociations sur le futur budget pluriannuel de l’Union ou encore par les élections au Parlement Européen.

    Diaspora – Le ministère chargé de la relation avec les Roumains de la diaspora se penche en priorité sur la situation des ressortissants roumains concernés par une décision des autorités autrichiennes sur l’augmentation des allocations des enfants des citoyens européens travaillant en Autriche en fonction de leur pays d’origine. Le ministère de Bucarest estime que cette mesure ne tient pas compte du « principe de l’égalité et de la non-discrimination», soit les valeurs communes sur lesquelles repose l’UE. A son tour le ministère roumain du Travail et de la Justice Social a exprimé son inquiétude à cet égard. « La position nette de la Roumanie est que les travailleurs européens doivent être traités de manière égale dans les Etats membres où ils déroulent leur activité », affirme aussi le ministre Marius Budai. La décision sur l’augmentation des allocations payées par l’Etat autrichien aux citoyens européens dont les enfants sont restés au pays d’origine a été adoptée par le Parlement de Vienne en octobre dernier, entrant en vigueur au 1er janvier 2019.

    Orchestre – Du 6 au 16 janvier, l’Orchestre national symphonique de la Roumanie, avec Cristian Măcelaru au pupitre, effectuera sa première tournée aux Etats-Unis. Au programme : 7 concerts, à la Palm Beach, Miami et Fort Myers, à Detroit et New Jersey. Le point culminant sera le concert prévu au Lincoln Center de New York, dont l’invité spécial sera le fameux trompettiste Wynton Marsalis. Notons que l’Orchestre national symphonique de la Roumanie réunit les plus grands artistes roumains. Il a une activité très riche tant en Roumanie qu’à l’étranger, avec des concerts donnés à Linz, Salzburg, Chisinau, Genève, Paris, Lyon ou Bruxelles.

    Météo – Il fait froid ce weekend en Roumanie et il neige sur l’ouest, le nord et par endroits sur le centre du pays. Dans les 24 prochaines heures, les températures maximales iront de – 6 à -1°. Par ailleurs, le temps est extrêmement défavorable ces jours-ci en Grèce, en Bulgarie et en Serbie, met en garde le ministère roumain des AE. En Bulgarie, une alerte orange est en vigueur dans le nord en raison des chutes abondantes de neige et du vent très fort. En Grèce l’on enregistre des températures polaires, des chutes massives de neige et de rafales de vent allant jusqu’à 105 km/h ainsi que des vagues géantes hautes de plus de 12 m en Mer Egée. La Serbie aussi est concernée par des alertes jaune et orange à la neige.

  • 31.12.2018 (mise à jour)

    31.12.2018 (mise à jour)

    Présidence – Pour la première fois depuis son adhésion à lUnion européenne en 2007, la Roumanie assumera, au 1er janvier 2019, la présidence tournante semestrielle du Conseil de lUE. Les priorités de la présidence roumaine sappuient sur quatre piliers : lEurope de la convergence, lEurope de la sécurité, lEurope en tant quacteur global et lEurope des valeurs communes. Au cours de son mandat, la Roumanie devra gérer plusieurs dossiers difficiles, tels le Brexit, le budget pluriannuel pour la période 2021-2027, une stratégie cohérente concernant la migration et laccroissement du rôle global de lUE. Le site officiel de la présidence roumaine du Conseil de lUE, « romania2019.eu », a été officiellement lancé. Il est disponible en roumain, en anglais et en français et contient des informations utiles pour les journalistes, les experts en affaires européennes et le grand public.



    Message — Le président de la Roumanie, Klaus Werner Iohannis, a transmis, ce lundi, un message à l’occasion de la Nouvelle année. Il y exhorte les Roumains à profiter de l’opportunité représentée par le mandat à la tête de l’UE à partir du 1er janvier 2019 « pour prouver que la Roumanie s’implique fermement dans la consolidation du projet européen ». La première ministre Viorica Dăncilă a affirmé, dans son message pour le Nouvel an, que la Roumanie est prête pour assurer la présidence du Conseil de l’UE. C’est un projet de pays qui doit unifier les institutions de l’Etat, les forces politiques et la société civile, a-t-elle ajouté. En 2019, aux côtés de son cabinet, elle continuera à prendre « les décisions correctes pour la Roumanie », a souligné la première ministre, précisant que l’objectif de l’Exécutif de Bucarest était très clair : «une croissance économique soutenable et des investissements majeurs qui engendrent un meilleur niveau de vie pour un nombre aussi grand de citoyens que possible ».



    Réactions — Le ministère roumain des AE a demandé à l’Ambassade de Russie à Bucarest de mettre à jour les informations historiques dont elle se sert, soulignant que le passé des relations bilatérales ne doit pas laisser la place à des spéculations et à des opinions non fondées. Cet appel survient dans le contexte où, dans un message sur Facebook, l’ambassade russe a déploré le fait que dans la presse occidentale et roumaine apparaissent souvent des articles censés dénigrer les soldats de l’Armée Russe, alors que ceux-ci auraient libéré de fascisme les pays de l’Europe Centrale et de l’Est. « Des critiques antisoviétiques et antirusses tentent de manière insistante de persuader les gens que l’Armée Russe a été une bande de brigands et de violeurs sans pitié », lit-on dans le post de l’ambassade russe. Pour sa part, la diplomatie roumaine insiste sur le fait que ce message n’a pas la rigueur adéquate à un débat académique. Plus encore, il existe une commission formée d’historiens russes et roumains capables d’analyser l’histoire des relations bilatérales. Pour rappel, les troupes russes ont envahi la Roumanie à la fin de la Seconde Guerre mondiale et n’ont pas été rapatriées avant 1958. La dictature communiste instaurée par les Russes a duré jusqu’en 1989.



    Attaques — La Commission européenne qualifie d’« inacceptables » les attaques personnelles à l’adresse de la cheffe de sa représentation à Bucarest, Angela Cristea, a déclaré, lundi, la porte-parole de l’Exécutif européen, Mina Andreeva. Elle a ajouté que l’ambassadrice de l’Union à Bucarest devait être traitée avec le même respect que la Commission européenne traite l’ambassadeur roumain à Bruxelles. La réaction de Bruxelles survient après les affirmations parues dans la presse ces derniers jours. Le président du Conseil national du PSD (au pouvoir), Mihai Fifor, a soutenu que le chef de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, aurait une perception « totalement déformée » à l’égard de ce qui se passe en Roumanie à cause d’Angela Cristea.



    Journalistes — Le nombre des journalistes et des employés des médias tués pendant l’exercice de leur métier a augmenté en 2018 à 94 par rapport à 82 en 2017, a fait savoir ce lundi la Fédération Internationale des Journalistes. Parmi eux, 84 journalistes, caméramans et techniciens ainsi que 10 membres du personnel média, dont deux chauffeurs et des officiers de protection. Certains ont été assassinés, d’autres ont été visés en tant que cibles directes, d’autres encore ont perdu la vie dans des attentats à la bombe ou dans des échanges de feux. C’est l’Afghanistan qui a été l’endroit le plus dangereux pour les journalistes en 2018, constate la même étude.



    Préparatifs – Plus de 25.000 fonctionnaires du ministère roumain de lIntérieur sont mobilisés pour assurer lordre public pendant les mini-vacances du Nouvel An. Près de 9.000 agents de police auront pour objectif de prévenir et de combattre les événements susceptibles de nuire à la sécurité des citoyens. 4900 sapeurs-pompiers assurent des missions de prévention et d’intervention en situations d’urgente ces jours-ci. Un hélicoptère de lInspection générale de laviation, à bord duquel se trouvera aussi un policier, aura pour mission de survoler les zones les plus fréquentées. Une attention accrue sera accordée à la protection des participants aux 125 événements publics, où sont attendues plus de 300.000 personnes. Les shows les plus importants auront lieu à Bucarest, Braşov, Sibiu et Cluj. Dans la capitale, une fête en plein air sous le titre « Le Réveillon Centenaire » est offerte par la Municipalité, une dernière manifestation consacrée l’anniversaire des 100 ans de la Roumanie moderne. Au programme : des interprètes connus en Roumanie et dans le monde et un impressionnant feu d’artifices.



    Tennis – La joueuse de tennis roumaine Sorana Cîrstea (84 WTA) sest qualifiée dimanche dans les huitièmes de finale du tournoi WTA de Shenzhen (en Chine), grâce à la victoire devant la Polonaise Magda Linette, en deux sets 6-3, 6-3. Sorana Cîrstea devra affronter mardi la Française Pauline Parmentier. Et c’est le même jour que la Roumaine Monica Niculescu joue dans les 8e de finale de la même compétition contre Jelena Ostapenko de Lettonie.


  • Reactions to the proposed Fiscal Code revision

    Reactions to the proposed Fiscal Code revision

    The announcement made on Tuesday by the Romanian Finance Minister Eugen Teodorovici, that the Government is planning to bring major changes to the Fiscal Code starting 2019, changes that are to be adopted through an emergency decree before the end of 2018 has had the effect of an earthquake. Among the new provisions is a cap on natural gas prices for a three-year period, a 3% tax on turnover and a tax on banking assets seeking to cap the interbank ROBOR interest rates at a reference level of 1.50 percent.



    Minister Teodorovici: “Both partners must win: the financer, which is the bank and the one that gets the financing. On the one hand, there are the companies in Romania, which unfortunately pay higher costs as compared with other companies from other countries, given that the country risk is invoked in their case. Then there are also the natural persons.”



    Reactions to the finance minister’s announcement have started pouring soon after. First, there is a group that supports Minister Teodorovici’s measures and part of it is the Alliance of Liberals and Democrats (ALDE), a junior partner in the ruling coalition. Its leader, Calin Popescu Tariceanu, has said that the banks in Romania must invest the money they receive from the citizens in the economy of the host-country, something that they do not do at present. Moreover, the ALDE leader went on to say, banks prefer to invest their money in government bonds, that are also financed by the state, which means it is money collected from the taxes paid by the citizens.



    Then there is the group that opposes the new fiscal measures, that includes President Klaus Iohannis, the right-of-center parliamentary parties and the business environment, whose opinion is that these measures will create chaos in economy. While the Romanian Energy Regulatory Authority says the measures to be taken through an emergency decree will not trigger an increase in the price of energy and gas for household consumers in the upcoming period, the head of state, Klaus Iohannis, contradicts it.



    Klaus Iohannis: “The over-taxation of companies in the energy sector is intended. The only result that we can anticipate is that we will all have to pay more for electricity and gas. Decision makers in the telecommunication field have said this measure will surely affect them too, which means we will have to pay more for telephony and Internet. And this is only the beginning, because all companies use electricity, fuel and telecommunications, so, in short, everything will be more expensive.”



    From banks to big energy and IT&C companies and from associations of Romanian and foreign investors to economic analysts, all have warned that these additional taxes will affect companies and will be ultimately paid by the citizens. The first signal in this respect came from the Bucharest Stock Exchange, whose main index on Wednesday saw the biggest fall since the economic crisis of 2008.


  • A la Une de la presse roumaine 17.12.2018

    A la Une de la presse roumaine 17.12.2018

    La presse électronique de ce début de semaine reproduit les les idées centrales du discours de Liviu Dragnea devant le Conseil national des sociaux-démocrates roumains, mais aussi les réactions à chaud des leaders des partis d’opposition. Egalement, dans la presse en ligne: le cas d’une jeune femme harcelée sur internet par un ex petit ami et les réponses surprenantes des policiers à la plainte qu’elle avait déposée; la météo hivernale bien capricieuse de ce weekend; la conclusion du Championnat européen de handball féminin.


  • A la Une de la presse roumaine 29.11.2018

    A la Une de la presse roumaine 29.11.2018

    Dans le discours prononcé à la séance solennelle du Parlement consacrée au Centenaire de la Grande Union, le président Klaus Iohannis a critiqué la
    coalition au pouvoir, rapporte le site d’informations
    « Hotnews.ro ». « Une classe politique désunie au moment de l’anniversaire »,
    titre Romania libera. Adevarul publie des réactions à la récente proposition du ministre roumain des finances de limiter à 5 ans le droit des ressortissants roumains de travailler dans un autre Etat membre de l’Union européenne.



  • Reactions to the European documents on Romania

    Reactions to the European documents on Romania

    Tuesday’s vote on the resolution issued by the European Parliament and the release of the Cooperation and Verification Mechanism report by the EC, both equally critical of the performance of the Power in Bucharest, have fuelled the already heated debates and polemics on the Romanian political scene. The European assessments are like two bad grades for the current governance, says President Klaus Iohannis, a consistent critic of the cabinet made up of the Social Democratic Party and the Alliance of Liberals and Democrats.



    Klaus Iohannis: “These multiple changes and intentions to change the justice laws and the Criminal Codes have drawn public attention in a negative way. These things are extremely detrimental to Romania. Obviously, these two documents are practically telling us that Romania slipped back to the point it was 11 years ago, before joining the union.”



    Her back against the wall, the Social Democratic Prime Minister, Viorica Dancila says Romania should not be judged by the documents drafted somewhere else and promises that her cabinet will respond.



    Viorica Dăncilă: “Let us not judge Romania now only based on certain criticism, some more or less real and realistic resolutions, based on certain things that some people are saying. We will respond to those things.”



    The leader of the Social Democratic Party and the strongman of the coalition, Liviu Dragnea, believes, in his turn, that beyond any resolutions and CVM report, other issues are important to Romania, such as healthcare and education. In turn, the leader of the Alliance of Liberals and Democrats, the junior party in the ruling coalition, Călin Popescu-Tăriceanu, believes the CVM report is not objective and he accuses the European Commission of having politicised it.



    Călin Popescu-Tăriceanu: “The Commission steps into an unjustified political area, because the report is mainly a technical instrument and I’ve lately seen a series of political approaches which cast doubt on the way in which the Commission is working with the member states. I don’t believe the Commission could question the options made by the member states regarding some domains which don’t fall in what we can call the logics of subsidiarity.”



    In exchange, the leader of the National Liberal Party, in opposition, Ludovic Orban, is accusing the Power of pushing Romania to the outskirts of the continent.



    This standpoint is also shared by the President of the Save Romania Union, Dan Barna: “This government has managed to take Romania to the periphery of Europe. Now, we are clearly and explicitly behind Bulgaria as well, and the next step is outside Europe. This government should step down and we are calling for the resignation of this government. Liviu Dragnea and the Social Democratic Party are currently dragging Romania out of Europe, we are also lagging behind Bulgaria, with nobody left behind us.”



    The leader of the People’s Movement Party, Eugen Tomac, also says that after it has never synchronised itself with Brussels, the current government has got a red card from the community leaders.

  • A la Une de la presse roumaine 02.10.2018

    A la Une de la presse roumaine 02.10.2018

    Les propos sévères à l’égard de la Roumanie, tenus par le vice-premier ministre de la Commission européenne, Frans Timmermans, au débat de la Commission LIBE du Parlement européen, sont rapportés par tous les quotidiens roumains. Même chose pour les premières réactions de hauts représentants du pouvoir de Bucarest, que les journaux citent en détail.