Tag: Roman

  • Rumänien auf dem Pariser Buchsalon: Über 50 neue Titel vorgestellt

    Rumänien auf dem Pariser Buchsalon: Über 50 neue Titel vorgestellt

    Rumänien, so wie Sie es nie gelesen haben“/La Roumanie, comme vous ne l’avez jamais lue“ — unter diesem Motto stand zwischen dem 16. und dem 19. März die rumänische Präsenz auf dem Pariser Buchsalon. Auf dem Messestand des Rumänischen Kulturinstituts wurden über 50 aktuelle Titel ausgestellt. Die lebendige Literaturszene Rumäniens präsentierte sich auf der internationalen Buchmesse mit über 20 Veranstaltungen. Der Schriftsteller Basarab Nicolescu und Louis Monier, einer der Erfinder der Alta-Vista-Suchmaschine, präsentierten das Album Les Roumains de Paris“ / Die Rumänen in Paris“, erschienen im Verlag Éditions Michel de Maule. Doina Lemny stellte ihre neusten Titel vor: den Briefwechsel zwischen dem rumänischen Bildhauer Constantin Brâncuşi und dem französischen Maler Marcel Duchamp, erschienen im Verlag Éditions Diletca, sowie Brâncusi et Marthe — ou l’histoire d’amour entre Tantan et Tonton“ (den Briefweschel zwischen dem rumänischen Bildhauer und der schweizerischen Tänzerin Marthe Lebherz, erschienen im Verlag Fage Éditeur).



    Auf dem internationalen Buchsalon präsentierte das Rumänische Kulturinstitut auch den jüngsten Roman der moldauischen Schriftstellerin Tatiana Ţîbuleac, der in französischer Übersetzung im Verlag Éditions des Syrte erschien: L’Été où maman a eu les yeux verts“ / Der Sommer, in dem meine Mutter grüne Augen hatte“. Der kleine, aber aussagekräftige Roman setzt eine Prosaautorin in der europäischen Literaturszene durch, von der ich die grö‎ßten Erwartungen habe“, schreibt der Literaturkritiker Radu Vancu über den Roman, der im Verlag Cartier erschien. Über die französische Übersetzung ihres Romans, sagte die Autorin:



    Die französische Übersetzung meines Werkes habe ich nicht nur aus Stolz erwartet. Ich möchte sehen, wie diese osteuropäische Geschichte vom französischen Publikum wahrgenommen wird. Auch die Wahrnehmung durch das brasilianische Publikum weckt meine Neugier, denn bald soll der Roman auch ins Portugiesische übersetzt werden. Weitere ausländische Verlage haben sich ebenfalls bereit gezeigt, den Roman zu veröffentlichen. Jede Übersetzung verleiht meinem Werk ein neues Leben und das bewegt mich sehr. Als ich diese Geschichte zu schreiben begann, wusste ich, dass sie die Form eines Romans annehmen wird. Es handelt sich um die Geschichte einer Frau, die ich vorigen Sommer kennenlernte. Sie hat mich stark beeindruckt. Beim Schreiben stellte ich fest, dass ich nicht mehr aufhören konnte und dass verborgene Ideen, die ich im Kopf hatte, in dieser Geschichte eine Stimme bekommen können. Dann habe ich mir gesagt: Ich muss weitermachen. So viele Sachen wollte ich schon lange zum Ausdruck bringen, hatte aber nie die Gelegenheit. Dieses Buch hat mir die Chance gegeben. Nachdem ich das Buch fertigschrieb, fühlte ich, dass dieses Buch zu schreiben und all diese Sachen zum Ausdruck zu bringen, mir gut getan hat.“




    Die ausgebildete Journalistin lebt seit 2008 in Frankreich. Der Roman Der Sommer, in dem meine Mutter grüne Augen hatte“, der in Paris spielt, habe ihr die Chance gegeben, ein neues Leben zu beginnen. Wir haben die Autorin gefragt, wie sie ihr Verhältnis zu ihrer Muttersprache beurteilt:



    Die rumänische Sprache habe ich, im Gegenteil zu meinem Heimatland, nie verlassen. Selbst wenn ich auf Rumänisch geschrieben habe und das Rumänische als meine Muttersprache betrachte, kann ich sagen, dass ich es erst jetzt besser verstanden und vertieft habe. Jetzt, zehn Jahre seitdem ich mein Heimatland verlassen habe, kann ich sagen, dass ich meine Muttersprache mehr liebe. Mein Heimatland Republik Moldau habe ich eigentlich nie hinter mir gelassen, ich wollte aber, dass meine Romane nicht dort spielen und nicht mehr um moldau-bezogene Themen kreisen. Uns steht als Schriftsteller eine Vielfalt an Themen zur Verfügung.“




    Der Theaterkritiker George Banu hat auf der internationalen Buchmesse mit Marie-Noëlle Semet über seinen Roman Les Portes au coeur de l’intime“ gesprochen. Die rumänische Version des Bandes ist voriges Jahr im Verlag Nemira erschienen. 2015 jährte sich der Geburtstag des Dichters Gellu Naum zum 100. Mal. Das Rumänische Kulturinstitut widmete dem Dichter auch eine Lesung: Gellu Naum 100.

  • Le Salon du livre d’apprentissage Gaudeamus

    Le Salon du livre d’apprentissage Gaudeamus

    Pour la 24 ème édition du Salon International du Livre d’apprentissage- Gaudeaumus- les Maisons d’Editions Casa Radio ont lancé de nouveaux titres intégrés dans 5 collections déjà célèbres: la Fonothèque d’Or, les Spectacles de la poésie, les Lectures à l’ombre, la Bibliothèque de poésie roumaine et la Bibliothèque de la radio. Concrètement, il s’agit de cinq décennies de poésie roumaine avec au micro, les poètes Ana Blandiana, Nina Cassian, Serban Foarta, George Cosbuc et G. Topirceanu, les créations des deux derniers étant récitées par deux noms de top de la poésie roumaine contemporaine:Ioana Nicolaie et Florin Iaru. Pour ceux d’entre vous épris de la poésie d’Ana Blandiana, les Maisons d’Edition Casa Radio ont lancé le 24 mars 2017, un jour avant que la poétesse ne fête son 75ème anniversaire, le livre audio Elle est libre, cette fleur? qui propose une sélection de poèmes lus par Ana Blandiana elle-même, entre 1965 et 2017.

    Ana Blandiana: Je voudrais vous parler un tout petit peu de la Fonothèque d’Or et de mes poèmes qui y figurent. Avant que je rêve d’en faire partie un jour, j’avais l’habitude, du temps de ma jeunesse vécue à Oradea, de passer pas mal de temps à écouter la radio. Je l’écoutais beaucoup, beaucoup plus qu’à présent et à chaque fois que j’y entendais un enregistrement issu de la Fonothèque d’Or, j’avais la certitude d’avoir accès à ce qu’il y avait de mieux sur les ondes. Des années plus tard, M. Emil Buruiana, de Radio Roumanie Culture, m’a invitée un jour dans un studio d’enregistrement. Cela m’a énormément touchée, tout en me provoquant un retour en arrière du temps où je n’étais qu’une fidèle auditrice de toutes ces émissions. Quel qu’eût été la direction de la radion-qu’on me sympathisât ou pas- j’ai adoré tous ces moments de grâce passés dans les studios d’enregistrement de la Fonothèque d’Or. Ce furent là des moments à même de créer une sorte de vide historique. Du coup, j’ai choisi de faire inclure dans la Fonothèque d’Or tous ces poèmes à moi que je voudrais voir perdurer comme dans une sorte d’arche de Noé.

    Nommé président d’honneur de la dernière édition du Salon du livre Gaudeaumus, le dramaturge et journaliste, Matei Visniec a précisé, lors l’ouverture, que la Roumanie s’avérait extrêmement compétitive en matière de culture. M. Visniec a également tenu à féliciter les organisateurs pour avoir choisi la Commission européenne en tant qu’invité d’honneur de la toute récente édition. La Roumanie a une chance et cette chance-là est plutôt culturelle, a lancé le dramaturge Matei Visniec lors du débat L’Europe du théâtre et des écrivains- la circulation des valeurs artistiques en tant que fondement européen.
    Lors d’un débat auteur/lecteurs organisé au stand des Maisons d’Editions Polirom, Matei Visniec, a précisé: Moi, j’aime bien tous les genres littéraires. Ils sont comme des enfants pour moi et je les aimes tous, soit-il roman, poésie, essais ou théâtre. La poésie m’a aidé à grandir, le théâtre a contribué à ma formation, tandis que le roman, lui, a oeuvré à ma diversification. Une des raisons pour lesquelles j’ai choisi d’écrire des romans a été mon désir d’échapper à tous ces intermédiaires dont j’avais besoin à chaque fois que je voulais faire connaître mes pièces au public. Je pense aux directeurs de théâtre, aux metteurs en scène, comédiens ou scénographes. Leur simple présence, tellement nécessaire, a commencé à m’inquiéter lorsque je me suis aperçu que je dépendais entièrement d’eux. Moi, j’adore écrire, mais puisque je n’aime pas les intermédiaires, j’ai décidé de me consacrer aux romans justement pour avoir une relation directe avec le public.

    Le roman Ainsi faut-il que l’herbe pousse sur nous de Augustin Cupsa figure parmi les derniers titres parus aux Maisons d’Edition Humanitas, de Bucarest. Lancé lors de la récente édition du Salon du livre Gaudeamus, dans la série des Ecrivains roumains contemporains, le roman place son action dans la banlieue de Craiova ville du sud de la Roumanie, et raconte l’histoire d’un groupe qui s’adonne au braconnage de plusieurs espèces d’oiseaux vendus par la suite, illégalement, en Italie. Mis dans la bouche de Pisica, le Chat, le plus sensible des enfants, les événements finissent par atteindre des dimensions dramatiques. L’histoire est un prétexte pour s’attaquer à des thèmes profonds tels la culpabilité, l’obsession de s’évader dans une Italie idéalisée, la foi, la solitude, l’érotisme.

    L’essayiste Doru Căstăian : Augustin Cupsa figure parmi les meilleurs romanciers du moment ou du moins parmi les meilleurs que j’ai lus. Si je ne me trompe pas, il lui a fallu plus de deux ans de documentation avant de s’attaquer à l’écriture de ce roman. Le livre émane un sentiment de fragilité et de chaleur en contraste avec cette cruauté qui persiste et enveloppe l’histoire comme une sorte d’atmosphère. Personnellement, je voudrais contredire ceux qui croient que la violence reste tout le temps aux aguets comme si elle était prête à jaillir. Moi, je dirais plutôt que dans le cas de ce roman, les personnages perçoivent la violence comme faisant partie de leur univers ; c’est un des ingrédients essentiels de ce monde tel qu’il est imaginé par Cupsa. Je suis persuadé que des catégories entières de lecteurs raisonneront avec lui. C’est mon cas, d’ailleurs, surtout que je suis originaire de la ville de Galati (sud-est) et j’ai mené une vie comparable à celle des protagonistes de Cupsa. Je fais partie d’une génération qui, à force de jouer librement en bas des immeubles, a fini par se former à l’école de la vie. Du coup, on connaît très bien l’univers décrit dans ce roman. En revanche, je me demande s’il demeure accessible aux enfants de nos jours. Et pour cause : j’ai remarqué récemment des arbres plein de mirabelles. Or, du temps de mon enfance, on les cueillait toutes. Pire : on les troquer : on en donnait un poing de mirabelles mûres en échange de trois vertes.
    (trad. Ioana Stancescu)

  • Neuer Roman von Florin Chirculescu als Sensation gefeiert

    Neuer Roman von Florin Chirculescu als Sensation gefeiert

    Für viele Literaturkritiker gilt der Roman Der Streik der Sünder“ als einzigartig in der rumänischen Literaturlandschaft. Das 1000-seitige Werk dreht sich um die Geschichte zweier Ärzte, der eine lebt im derzeitigen Bukarest, der andere im Jahr 632. Also das marode Gesundheitswesen Rumäniens gegenüber den orientalischen Düften.



    Einzigartig ist hierbei auch, dass der Autor zum ersten Mal das Buch mit seinem bürgerlichen Namen unterzeichnet, während seine bisherigen Werke unter dem Pseudonym Sebastian A. Corn erschienen sind. Florin Chirculescu unterschreibt allerdings seinen neuesten Roman nicht nur als Schriftsteller, sondern auch als Thorakalchirurg des Universitätskrankenhauses Bukarest. Der Arzt habe laut eigener Angaben den Band als journalistischen Bericht schreiben wollen, nach der drei Jahre langen Arbeit, sei aber ein Roman entstanden:



    Am Anfang wollte ich einen informationsreichen journalistischen Bericht schreiben, dessen Ausgangspunkt die unglücklichen Ereignisse in unserem maroden Gesundheitsbereich darstellen sollten. Das Ganze hat sich aber in eine andere Richtung entwickelt, weil die Figuren, die ich trocken und mit einer gewissen Distanz beschreiben wollte, mit dem Ablauf der Handlung ihr eigenes Leben bekommen haben. So habe ich auch verstanden, dass das soziale Problem, mit dem ich mich befassen wollte nur den Ausgangspunkt für die Beschreibung der gesamten Situation im heutigen Rumänien darstellen könnte. Ich habe nicht lange überlegt, bevor ich mich entschied, ein Bild Rumäniens zu malen, eines Balkanlandes, dessen Schicksal von seiner geographischen Lage stark beeinflusst wurde. Ich habe meine Ruhelosigkeit in Bezug auf die Zukunft meines Landes zum Ausdruck gebracht. Der Roman enthält also eine starke soziale Komponente, die vom Leben als Ganzes nicht getrennt werden kann. Es handelt sich um das politische Leben und um den kulturellen Hintergrund meiner Gestalten. Aus dieser Sicht kann ich jetzt behaupten, dass sich mein Werk von einem journalistischen Bericht in einen Roman über Rumänien umgewandelt hat und im Anschluss sogar darüber hinaus gegangen ist, denn es befasst sich mit aktuellen Themen in Bezug auf Toleranz und die Fähigkeit, Andersdenkende zu akzeptieren.




    In Buchrezensionen wird Der Streik der Sünder“ als mehrstimmiger Roman beschrieben, in dem die Gegenwart als Synonym der Krise und der Korruption vorkommt und in dem der Autor die Vergangenheit des Orients und die Anfänge der modernen Medizin miteinander verschmilzt. Laut dem Autor sei das Buch auch durch das Bedauern nach dem Verlust einer Mentalität entstanden. Florin Chirculescu:



    Ich bin im kommunistischen Rumänien aufgewachsen. Als ich vor der Wende ein Jugendlicher war, bedeutete mir die Hippie-Bewegung Flower Power sehr viel und ich kann sagen, dass sie auch heute meinen Lebensstil prägt. Diese Bewegung bedeutet nicht, sich ständig querzusetzen und sich stets beweisen wollen, dass man besser als die anderen ist und dass man immer Recht hat. Ganz im Gegenteil, die Vertreter dieser Bewegung wollen die anderen und ihre Standpunkte akzeptieren, was leider in der heutigen Gesellschaft ziemlich selten vorkommt. Das trifft nicht nur auf die rumänische Gesellschaft zu und ich spüre eine gro‎ße Angst vor mangelnder Toleranz. Wegen erbitterter Menschen, die andere Meinungen nicht gelten lassen, entstehen folgenschwere Ereignisse. Es reicht, einen Blick zurück in die moderne Geschichte Rumäniens und Europas zu werfen.“




    Sein Prosadebüt gab Florin Chirculescu 1993 in einer in den neunziger Jahren populären Science-Fiction-Zeitschrift: JSF. Als junger Schriftsteller wurde er mehrmals ausgezeichnet: Rund 40 Preise erhielt der Prosaautor, darunter den europäischen Preis für Debüt bei der SciFi Convention Eurocon in Glasgow im Jahr 1995 und zwei Jahre später den gro‎ßen Preis des Verlags Nemira.

  • Buchmesse Gaudeamus 2017: Rundfunkverlag stellt Hörbücher aus Archiv zusamm

    Buchmesse Gaudeamus 2017: Rundfunkverlag stellt Hörbücher aus Archiv zusamm

    Für die 24. Auflage der Internationalen Buchmesse Gaudeamus — Bücher zum Lernen“ hat der Verlag des rumänischen Rundfunks Casa Radio“ für Hörer und Leserschaft neue Titel in der Reihe Goldenes Radioarchiv“ vorbereitet. Darunter die Serien Schauspiel der Gedichte“, Lektüre im Dunkeln“, Bibliothek der rumänischen Dichtung“ und die Radio-Bibliothek. Anders gesagt, Gedichte aus fünf Jahrzehnten von Ana Blandiana, Gedichte von Nina Cassian, Poesie von Şerban Foarţă, der die Werke von I.L. Caragiale in Gedichte umschreibt, und zwei Dichter, die in der Schule unterrichtet werden, George Coşbuc und George Topârceanu, deren Gedichte von zwei gro‎ßen zeitgenössischen Dichtern, Ioana Nicolaie und Florin Iaru, vorgelesen werden. Ist die Blume frei? Im Rundfunk vorgetragene Gedichte (1965-2017)“, ein Buch und eine Doppel-CD, vorbereitet von Ana Blandiana, ist eine Sammlung von 115 Gedichten. Es sind Aufnahmen aus dem Goldenen Radioarchiv, die in den letzten fünfzig Jahren ausgestrahlt wurden. Die letzte Aufnahme stammt vom 24. März 2017, einen Tag bevor die Schriftstellerin 75 Jahre alt wurde. Ana Blandiana bei der Präsentation der CD:



    Ich möchte Ihnen in erster Reihe etwas über das Goldene Radioarchiv sagen, über den Ort, wovon diese Gedichte stammen und wie sie dorthin gelangt sind. Bevor ich den Traum träumte, Teil des Goldenen Radioarchivs zu werden, als ich jung war und in Oradea lebte, hörte ich Radio. Ich hörte viel Radio, viel mehr als jetzt, und immer, wenn ich die Aufnahmen aus dem Goldenen Radioarchiv hörte, schienen sie mir das Höchstwertigste im Radio zu sein. Später, als mich Herr Emil Buruiană vom Kultursender des Rumänischen Rundfunks Radio România Cultural mich zu Aufnahmen bat, war ich sehr aufgeregt, weil ich mich an das Gefühl, das ich beim Hören dieser Sendungen hatte, erinnerte. Ich freute mich sehr, dass es diese Momente gab, in denen wir für das Goldene Radioarchiv aufnahmen. Ich würde sie mit einem Vakuum der Geschichte vergleichen. Ich habe die Gedichte ausgewählt, die ich mir wünschte, in eine Art Arche Noah übernommen zu werden.“




    Der Ehrenvorsitzende der Buchmesse Gaudeamus 2017, der Dramatiker und Journalist Matei Vişniec, erklärte bei der Eröffnung, dass Rumänien auf kultureller Ebene sehr wettbewerbsfähig ist. Zudem begrü‎ßte er die Wahl der Europäischen Union als Ehrengast der Messe. Rumänien hat eine Chance und das ist die Kultur“, erklärte Matei Vişniec im Rahmen der Debatte Das Europa des Theaters und der Schriftsteller — die Bewegung der künstlerischen Werte als Fundament Europas“. Beim Stand des Verlags Polirom diskutierte der Schriftsteller auch mit den Lesern. Matei Vişniec:



    Einer der Gründe, warum ich Romane schreibe, ist, dass die Gattungen für mich wie Kinder sind, ich liebe sie alle — Dichtung, Essay, Roman, Theater. Mit der Dichtung wuchs ich auf, das Theater formte mich, der Roman diversifizierte mich. Es gab aber eine Zeit, in der ich Romane schrieb, aus Frust, dass meine Stücke Vermittler brauchen, um ans Publikum zu kommen. Sie brauchen einen Intendanten, einen Regisseur, Schauspieler, Bühnenbildner. Und diese Vermittler begannen mich zu beunruhigen, mir gefiel die Idee nicht, immer von ihnen abhängig zu sein. Deswegen schrieb ich Romane, um eine direkte Verbindung zwischen mir und den Lesern zu schaffen.“




    Einer der jüngsten Bände in der Reihe Rumänische zeitgenössische Schriftsteller“ des Humanitas-Verlags ist der Roman von Augustin Cupşa Aşa să crească iarba pe noi“/ So soll das Gras auf uns wachsen“. Dieser wurde auch auf der Gaudeamus-Messe präsentiert. Die Roman-Figuren von Augustin Cupşa, die Herwanwachsenden Edi, Pisică, Tobă, die Gebrüder Mânzu und Tomi leben am Rande der südwestrumänischen Stadt Craiova und beschäftigen sich mit der Wilderei von Vögeln, die sie dann illegal nach Italien verkaufen. Die Geschehnisse werden von Pisică, dem empfindlichsten unter den Kindern, erzählt und zeigen eine dramatische Dimension, die auch die tiefen Themen des Buches offenbaren: das Schuldgefühl, die Obsession, in ein idealisiertes Italien zu flüchten, der Glaube, die Einsamkeit, die Entdeckung der Erotik. Der Essayist Doru Căstăian über den Roman So soll das Gras auf uns wachsen“:



    Augustin Cupşa ist einer der besten Schriftsteller heutzutage, zumindest einer der besten, die ich gelesen habe. Ich habe gehört, er habe sich zwei Jahre lang für dieses Buch dokumentiert. In diesem Buch gibt es Zerbrechlichkeit, Herzlichkeit und zugleich eine Grausamkeit, die alles verhüllt. Ich würde aber nicht sagen, dass diese Grausamkeit immer irgendwo hinter der Hauptbühne wacht und darauf wartet, ans Licht zu kommen. Es ist eine in der Welt sehr natürlich gelebte Gewalt, es ist eine der Haupt-Zutaten und -Würze der Welt, die Augustin beschreibt. Es gibt ganze Leser-Kategorien, die die im Buch beschriebene Welt perfekt verstehen werden. Ich hatte ein ähnliches Leben wie das Leben der Figuren von Augustin Cupşa. Ich gehöre vom Alter her dieser Leser-Kategorie an. Zudem habe ich in Galaţi gelebt und hatte ein Leben, das mit dem Leben der Figuren von Augustin Cupşa vergleichbar ist. Unsere Generation, die zwischen Wohnblöcken aufgewachsen ist, da wo wir anders als aus Büchern die wichtigen Dinge im Leben gelernt haben, kennt die Welt in diesem Buch sehr gut. Ich wei‎ß nicht, ob diese Welt auch den Kindern von heute zugänglich ist. Daran dachte ich, als ich die Kirschpflaumen im Baum faulen sah. Bei uns war es unmöglich, dass sie im Baum blieben, es gab einen regelrechten Kirchpflaumen-Handel. Für eine Handvoll roter Kirschpflaumen bekamst du drei Handvoll grüner.“

  • Românii vor putea opta pentru cartea de identitate electronică

    Românii vor putea opta pentru cartea de identitate electronică

    Guvernul a aprobat în ședința de astăzi un proiect de Lege pentru modificarea şi completarea unor acte normative care cuprind dispoziții privind evidența persoanelor și actele de identitate ale cetăţenilor români prin care se asigură premisele necesare punerii în circulație a unui nou document de identificare electronic.





    Despre cartea electronică de identitate (CEI)


    Cartea electronică de identitate (CEI) va permite titularului autentificarea în sisteme informatice ale Ministerului Afacerilor Interne și în sisteme informatice ale altor instituții publice sau private, precum şi utilizarea semnăturii electronice, în condițiile legii. CEI va facilita astfel accesul cetățeanului la diverse servicii electronice (bancare, fiscale, sociale, financiare etc.), cu efecte majore privind simplificarea relației cu autoritățile publice, creşterea calității şi accesibilității serviciilor publice.



    CEI va respecta cerințele Comisiei Europene privind securizarea documentelor în contextul combaterii terorismului, al migrației ilegale, al traficului de droguri și de persoane, cărțile de identitate actuale fiind realizate cu tehnologie din anii 90.


    Noul document de identificare va oferi cetățenilor garanții suplimentare de securitate, iar instituțiilor de drept public sau privat, certitudinea că persoana care prezintă actul de identitate este titularul datelor de identificare înscrise pe respectivul document.


    Proiectul de lege aprobat astăzi prevede posibilitatea cetățeanului de a opta pentru eliberarea unei cărți electronice de identitate, cu sau fără imaginea impresiunilor papilare a celor două degete arătătoare, sau a unei cărți de identitate simple, fără CIP. În cazul minorilor, la solicitarea părinților sau a reprezentaților legali, se introduce posibilitatea eliberării unei cărți de identitate simplă sau electronică, indiferent de vârsta copilului.


    CEI va permite, printre altele, autentificarea în Platforma informatică a sistemului public al asigurărilor sociale de sănătate pentru a dovedi calitatea de asigurat a titularului. Noul document de identitate nu va conține date medicale, ci doar datele de identificare ale titularului. Cardul de sănătate își încetează valabilitatea în momentul emiterii către titular a unei cărți electronice de identitate. Pentru persoanele care nu vor solicita eliberarea unei cărți electronice de identitate, se vor emite în continuare carduri de sănătate, în aceleași condiții din prezent.



    Totodată sunt stabilite termene, diferențiate, de valabilitate a actelor de identitate, în funcție de vârsta titularului, în scopul surprinderii modificărilor fizionomiei titularului.

  • Le Prix Goncourt 2017 –  le choix de la Roumanie…

    Le Prix Goncourt 2017 – le choix de la Roumanie…

    Le Prix Goncourt – le choix de la Roumanie vient d’être attribué au roman « Un certain M. Piekielny » de l’écrivain français François-Henry Désérable. Réuni à Bucarest sous la présidence d’honneur de l’auteure Leila Slimani, prix Goncourt 2016 pour son roman « Chanson douce » et de Magdalena Marculescu, directrice éditoriale des éditions Pandora M – Trei, le jury étudiant représentant 7 grandes université (publiques) de Roumanie – Bucarest, Cluj, Iasi, Timisoara, Craiova, Brasov et Sibiu – a justifié son choix par, entre autres « la qualité littéraire exceptionnelle » du roman de François-Henry Désérable, distingué parmi les 15 œuvres de la liste Goncourt de cette année.

  • „Omar und die Teufel“: Dichter Dan Ciupureanu erntet Erfolg mit Romandebüt

    „Omar und die Teufel“: Dichter Dan Ciupureanu erntet Erfolg mit Romandebüt

    Der rumänische Autor Dan Ciupureanu gab sein Debüt im Jahr 2014 mit dem Gedichtband Efectul calmantelor“ (Die Wirkung der Beruhigungsmittel“). Der im Verlag Vinea erschienene Band erhielt den Lyrik-Debütpreis der Literaturzeitschrift Tiuk!“. Ein Jahr später erschien sein zweiter Gedichtband, Liderul grupei mici de la grădiniţa de stat nr. 2“ (Der Anführer der kleinen Kinder im Staatskindergarten Nummer 2“), der für verschiedene Literaturpreise nominiert wurde.



    Voriges Jahr erschien in seiner Wahlheimat Frankreich der Gedichtband Les jeux paralympiques“ (Die paralympischen Spiele“), dieses Jahr feierte Dan Ciupureanu mit dem Roman Omar şi diavolii“ (Omar und die Teufel“) sein Debüt als Prosaschriftsteller. Im Vorwort des im Verlag Polirom erschienenen Romans schriebt der Schriftsteller Radu Aldulescu: Omar ist eine denkwürdige Gestalt. Mit der Entwicklung der Gesichte wird klar, dass er nirgendwo auf der Erde hingehört, dass seine Heimat und unsere Heimat, die Heimat der Leser, anderswo ist. Diese versteckte Andeutung wird langsam zur Offenbarung, eine Offenbarung, die sich durch eine ausgezeichnete poetische Begabung verstärkt. Wie in jedem Roman, der im Zeichen einer visionären Gabe steht, neigt diese persönliche Geschichte dazu, die Geschichte einer ganzen Generation zu werden.“ Wir haben den Autor gefragt, wie er den Übergang von Lyrik zu Prosa empfunden hat. Dazu Dan Ciupureanu:



    Im Laufe der Zeit habe ich mehrere literarische Gattungen ausprobiert, ich wollte sogar Dramatiker werden. Prosa hatte ich auch vorher ausprobiert und jedes Mal meinen Freunden gezeigt, was ich geschrieben hatte. Ich war jedoch nie zufrieden mit dem Endergebnis. Letztendlich habe ich aber eine Formel gefunden, die mich als Künstler zufriedenstellt: den Roman. Nachdem ich diesen Roman geschrieben habe, fühlte ich mich in erster Linie, als ob ich mit mir selbst gewettet und gewonnen hätte. Für dieses Buch zu arbeiten, war für mich wie eine Therapie, als ob ich mich durch Schreiben vom Übel befreit hätte. Die positive Reaktion meiner Leser sowie die positiven Pressestimmen geben mir Vertrauen, weiterzumachen.




    Die Hauptgestalt Ian kann sich an die Gesellschaft nicht anpassen. Für ihn gilt das Anderssein als die einzige Möglichkeit, in seinem Leben dauerhaft das Glück zu erreichen. Dan Ciupureanu spricht über die Hauptfigur seines Romans:



    Ian ist ein aufmüpfiger Teenager, der in seiner Heimatstadt Craiova in Rumänien lebt; Omar ist — wie es sich am Ende herausstellt — sein Spitzname, den er später in einer Klinik in Paris erhält. Somit spiele ich auf einen der stärksten und einflussreichsten Kalifen des Islam an. Man sagt, dass selbst der Teufel von Omar flüchten wollte. Diesen Spitznamen erhält Omar von einer schizophrenen Patientin, die glaubt, dass sie Stimmen von Teufeln hört. Ian ist der einzige, dem es gelingt, sie davon zu befreien, deswegen kriegt er von ihr den Spitznamen Omar. Was die Teufel angeht, das ist eine reine Metapher, ich beziehe mich auf die Dämonen in uns.“




    Der Roman »Omar und die Teufel« ist pure Autofiktion in einem atemberaubenden Tempo, die die Echtheit der rohen Kunst aufweist und nicht zuletzt rückwirkend als gewonnene Wette mit der Literatur gilt“, schrieb der Prosaautor und Literaturkritiker Ovidiu Nimigean über den Debütroman von Dan Ciupureanu.

  • The Museum of Dacian and Roman civilization in Deva

    The Museum of Dacian and Roman civilization in Deva

    The town of Deva is located in the southwestern part of the country, close to the former ancient capital of Dacia in the Orastie mountains. The area is rich in historical evidence of civilizations cross-fertilizing in Dacia, so theres no wonder that the town of Deva plays host to the main building of the Museum of Dacian and Roman Civilization.



    The building housing the museum is the Magna Curia palace, whose past is also rich in historical events. In late 16th century, the captain of the Deva fortress garrison started to build a house. In time, the building turned into a real official palace, and all throughout the years had a couple of owners, among whom Transylvanias ruling princes Gabriel Bethlen, Gheorghe Rákóczi I, and the governor of the province in the 18th century Ioan Haller. After Transylvanias unification with the Romanian Kingdom, Magna Curia became a property of the Romanian state. Since 1938, the building has hosted the Museum of the Dacian and Roman Civilization, one of Transylvanias oldest museums. With details on that, here is museographer and spokesperson for the museum Daniel Iancu:



    Daniel Iancu: “The foundation of the museum in Deva is closely linked to attempts made in the first and the second half of the 19th century to rescue and capitalize on the historical evidence of the past. The first museum to be set up in the region was, as you may know, the Brukenthal Museum in Sibiu, opened in 1817. Then the museum in Cluj followed, in 1859, and later, in 1880, the Hunedoara History and Archaeology Society was founded, which, in turn, set up the museum as one of its sections. Therefore, our museum is also one of the first such initiatives in Transylvania and in Europe. Our museum has several sections, sections you can find in the main building in Deva, but also elsewhere across Hunedoara county. We have buildings in Orastie, where you can find the ethnography and traditional craftsmanship section, then there is the archaeology section in Sarmizegetusa, where you can also find the Ulpia Traiana Sarmisegetuza site, we also have the Avram Iancu house in Baia de Cris, we have the complex of monuments in Tebea, we have the ethnography and local history museum in Brad, as well as the Aurel Vlaicu museum compound in the locality with the same name, nearby Geoagiu.



    The heritage these buildings house is varied, with items dating as far back as the pre-historic age, the Dacian and Roman times, and going through the medieval and modern age. Some of those items are displayed in the main building in Deva.



    Daniel Iancu: “First of all, I should mention the Lapidarium exhibition, with items dating from pre-historic times, but mainly from the Dacian age. We have stone objects found in the Dacian fortresses in the Orastie mountains, but not only there. There are items found in the sites of Ulpia Traiana, Germisara, Aquae. There are also items dating from the medieval and post-medieval times up until the modern age. There is also an exhibition displaying items from the treasury of the Deva museum. There are the most representative silver and gold items dating from prehistoric times up until the 18th century. The collection includes pieces of jewelry, gold and silver coins, necklaces, bracelets.



    On display in an adjoining room one can find the latest and most famous archeological find: the bronze matrix discovered in 2013 on the premises of the site of the former Dacian capital Sarmisegetuza Regia. It is a one-of-a-kind item, dating from the period before the Roman conquest of Dacia, as experts concluded, after studying the item until 2015, when the conclusions were published in a volume.



    Daniel Iancu: “No similar item has been found in the entire Dacian area or in other neighboring areas across Europe. In many ways, it is linked to the Mediterranean and the Hellenistic-Roman area, yet it also has some Northern-Pontic characteristics. From this point of view, it is an eclectic object. On it you can see representations of animals living on the territory of todays Romania, but also animals from other geographical areas, such as elephants, rhinoceros, hippopotamuses. The matrix is believed to have belonged to a jeweler who, sometime in the 1st century BC, came from the Mediterranean region and settled in the capital of the Dacian kingdom. He must have thought commissions for his work were easier to get there.



    So all those who want to get better acquainted with the archaeological and ethnographic richness of Hunedoara County and Hateg Land can start their journey in Deva, in the Magna Curia palace housing the Museum of Dacian and Roman Civilization.


    (translated by: Eugen Nasta)

  • Românul rănit într-o explozie în Spania se află în afara oricărui pericol

    Românul rănit într-o explozie în Spania se află în afara oricărui pericol

    Un român a fost rănit în explozia produsă în Spania, la un centru de reciclare a uleiului industrial, în Arganda del Rey. Incidentul s-a soldat cu 30 de victime, dintre care trei grav şi alţi 27 au suferit răni uşoare. Potrivit Ministerului de Externe, românul se află în afara oricărui pericol.

    Ambasada României la Madrid are în atenție incidentul produs la data de 4 mai 2017 la o unitate industrială de prelucrare a deșeurilor din localitatea Arganda del Rey și a întreprins încă de la început demersuri pe lângă autoritățile competente, pentru a verifica dacă au fost afectați cetățeni români, arată Ministerul de Externe.

  • Max Blecher – la dissection de la maladie

    Max Blecher – la dissection de la maladie

    Redécouvert depuis peu de temps par les critiques littéraires et par les lecteurs, l’écrivain Max Blecher est rapidement devenu un nom important pour le public amoureux de littérature, tant par la valeur de son œuvre que par sa destinée tragique. Né en 1909 à Roman, Blecher apprend, à 19 ans, qu’il souffre de tuberculose osseuse, le mal de Pott. Suite à cette maladie incurable, l’écrivain a passé les dix autres années de sa vie immobilisé au lit ou dans des sanatoriums roumains et étrangers, avant de s’éteindre à 29 ans. Ses expériences liées à la maladie, et non seulement, figurent dans ses romans « Aventures dans l’irréalité immédiate » et « Cœurs cicatrisés » ainsi que dans l’ouvrage posthume « La tanière éclairée ».



    Son nom était déjà bien connu des cercles littéraires, car Max Blecher avait débuté en 1930, dans la revue « Bilete de papagal » dirigée par le poète Tudor Arghezi et il était associé à l’avant-garde. Quoique immobilisé à cause de la maladie, se trouvant parfois à des centaines de km du pays, Max Blecher a publié de manière assez intense tant des vers que de la prose. Il a également entretenu une correspondance avec des hommes de culture roumains et étrangers tels que les avant-gardistes Geo Bogza, Ilarie Voronca et Saşa Pană, mais aussi avec André Breton et André Gide.



    Sa souffrance, connue de son vivant, a également marqué la manière dont ses écrits ont été perçus. Les questions suivantes se posent : dans quelle mesure son destin tragique a-t-il influencé son accueil par la critique, mais aussi par les lecteurs, et dans quelle mesure ses écrits sont autobiographiques ou vont au-delà de cette caractéristique.



    Doris Mironescu, auteure du livre « La Vie de M. Blecher. Contre la biographie », essaie de fournir quelques réponses : « En fait, que fait Blecher, en étant parfaitement conscient de cela ? Ses livres sont, en partie, autobiographiques, ce sont des journaux de sanatorium ou en dehors du sanatorium. Mais ce côté autobiographique est beaucoup modifié et transformé en quelque chose de différent. Il y a, dans une certaine mesure, une sorte d’identification sentimentale avec l’auteur et cela peut en quelque sorte influencer son choix comme auteur de prédilection ou comme héros littéraire. Mais cela ne suffit pas. L’identification avec un auteur ne peut pas suppléer à la valeur d’une œuvre…



    La fable biographique aide, dans une certaine mesure, à accueillir l’œuvre, dans le sens qu’elle inculque aux lecteurs de toutes les époques une volonté d’être du côté de l’auteur. C’est bien ce qui s’est passé avec Blecher. Les chroniqueurs qui lui étaient favorables à l’époque de l’entre-deux-guerres ont l’impression de faire un acte de justice. La même chose se répète en 1970, lorsque Blecher est réédité. Les critiques roumains le récupèrent. Tous veulent le sauver de l’agression de l’oubli qui l’avait recouvert pendant 30 ans, qui avait écarté ce grand écrivain de la littérature roumaine. S’il y a une influence de la biographie de Blecher sur sa réception, elle n’est pas professionnelle, mais c’est bien qu’elle existe ».



    Les personnages principaux des livres de Max Blecher, qui apparaissent comme un alter-ego de l’auteur, semblent percevoir la réalité sous l’angle de la maladie, mais cette perception n’est nullement viciée par la pathologie, elle est extrêmement originale et indépendante de la maladie. Blecher, comme Emanuel, son personnage de « Cœurs cicatrisés », par exemple, regarde autour de lui avec une grande soif de vivre, en dépit de sa maladie, remarque Marieva Ionescu, un des rédacteurs récents de l’œuvre de Blecher : « Le regard du narrateur des romans de Blecher est un regard très attentif. Il considère le tout d’un œil de poète. Emanuel, le héros de Cœurs cicatrisés, est attentif à tout ce qui se passe autour de lui, à commencer par les objets, les gens, son propre corps, ses sensations, la nature… Il regarde d’abord comme un étranger ce monde du sanatorium, puis il commence à s’identifier peu à peu aux autres patients. »



    Max Blecher a essayé de participer — tant que la maladie le lui permettait — aux questionnements sociaux et politiques de son époque. Doris Mironescu, chargée de cours :: « Blecher participe à la vie politique de son époque. Ce côté existe dans une moindre mesure dans sa littérature, mais elle existe dans la correspondance. Toute cette quantité de nouvelles informations qui se sont fait jour sur Blecher este immense. Tout cela nous donne une image quelque peu corrigée sur Blecher, peut-être moins pure que nous ne le pensions. Blecher était un homme de son temps. »



    Combien Blecher était intéressé par les idées de son époque, on peut le voir aussi dans le film réalisé par Radu Jude en 2016 et inspiré de son œuvre, Cœurs cicatrisés. Les lecteurs étrangers peuvent également entrer dans l’univers de Max Blecher grâce aux traductions en français, anglais, italien et aussi en polonais. (trad. : Ligia Mihaiescu)

  • Barbara Abel, plume aiguisée

    Barbara Abel, plume aiguisée

    Le magazine littéraire de RRI réalisé en partenariat avec la Librairie Kyralina de Bucarest accueille une rencontre de Barbara Abel, figure de marque du polar francophone, avec le public de Roumanie. Avec Valentine Gigaudaut, directrice de Kyralina, et Andrei Popov de RRI, elle parle de roman policier au féminin, au masculin et tout court, en avant-première à la parution de la version roumaine de son roman « L’instinct maternel ».


    Lécrivaine sest d’ailleurs trouvée à Bucarest dans le cadre du programme sur polar belge en Roumanie, déroulé par la Délégation Wallonie Bruxelles à Bucarest, dont le chef, Eric Poppe, a levé le voile sur les nouveautés 2017 de ce projet. Cette émission est enregistrée en public.





  • „Ana, mon amour“ seit dieser Woche in rumänischen Kinos zu sehen

    „Ana, mon amour“ seit dieser Woche in rumänischen Kinos zu sehen

    Ana, mon amour“ hat auf der 67. Berlinale den Silbernen Bären für Schnitt erhalten. Der rumänische Spielfilm erkundet die heilende und zugleich zerstörerische Dynamik einer Liebesbeziehung. Drehbuchautoren sind — neben dem Regisseur Călin Peter Netzer — Iulia Lumânare und Cezar Paul-Bădescu, der Spielfilm basiert auf dem Roman des letzteren, Luminiţa, mon amour“.



    Als er den Roman für den Film adaptiert und die Darsteller gesucht habe, habe sich der Regisseur allerdings vor die grö‎ßte Herausforderung gestellt gefühlt, sagt Netzer. Wir haben den Drehbuchautor Cezar Paul-Bădescu gefragt, worin die grö‎ßten Unterschiede zwischen seinem Roman und dem Spielfilm bestehen:



    Als ich den Roman geschrieben habe, wollte ich die Welt um uns herum richtig wahrnehmen und eine Kritik an dieser Welt zum Ausdruck bringen. Was mich besonders interessierte, war, wie die Gesellschaft mit nervösen Erkrankungen umgeht. In unserer heutigen Welt halten sie viele für befremdlich. Psychisch Kranke werden heute stigmatisiert. Darüber hinaus war für mich von gro‎ßem Interesse, zu erfahren, welche Lösungen die heutige Gesellschaft für solche Probleme und im Allgemeinen für persönliche Probleme anbietet. Die Lösungen ziehen wirklich ins Lächerliche. Die zwei Hauptgestalten versuchen, ihr Problem zu überwinden, und ziehen dafür die Lösungen heran, die ihnen die Gesellschaft zur Verfügung stellt. All diese Rezepte zum Glücklichsein, zum Gesundsein, zum Erfolghaben erweisen sich hingegen als sinnlos und vergeblich. Im Drehbuch legte jedoch Călin Peter Netzer den Fokus weniger auf die Au‎ßenwelt, auf den Kontakt mit der Gesellschaft, und mehr auf die innere Welt, auf die persönliche, psychische und vor allem psychoanalytische Seite.“




    Vor der Uraufführung in Rumänien haben die Hauptdarsteller Mircea Postelnicu und Diana Cavallioti verraten, dass sie sich an einen Psychotherapeuten gewendet haben, um besser in die Rolle zu schlüpfen. Das Drehbuch habe sehr stark auf die Hauptdarstellerin Diana Cavallioti gewirkt:



    Meine Reaktion auf die ersten 10-15 Seiten des Drehbuchs: Ich legte es einfach beiseite. Ich sagte mir, das wäre zu viel für eine einzige Figur. Dann habe ich es ausgelesen. Am Anfang hatte es mich wirklich erschrocken, ich wollte nicht mehr daran denken, ob ich es schaffe oder nicht. Ich habe die Herausforderung angenommen, denn ich wollte es ausprobieren, und daher war das kein Thema für mich mehr, ob ich es schaffe oder nicht.“




    Für den Hauptdarsteller Mircea Postelnicu, der im Film die Rolle von Toma bekleidet, war Ana mon amour“ ein langer Weg, an dessen Ende eine Entdeckung stand“:



    Die Rolle hat mich zur Selbstbeobachtung gebracht und mir dabei geholfen, mich mit meinen Gefühlen und Gedanken abzufinden. Der Film hat mir dabei geholfen, meine eigenen Grenzen abzubauen und meine Ängste loszulassen. Nicht zuletzt bin ich mir dank dieses Films bewusst geworden, wo diese Ängste herkommen.“




    Ana mon amour“ ist der vierte Spielfilm von Călin Peter Netzer. Seine Produktion Maria“ wurde im Jahr 2003 auf dem Filmfestival in Locarno geehrt, Die Goldmedaille“ erhielt 2009 beim Internationalen Filmfestival in Thessaloniki den Silver Alexander“-Preis und der Kassenschlager Die Stellung des Kindes“ (deutscher Titel: Mutter und Sohn“) gewann 2013 den Goldenen Bären auf der Berlinale. Ana, mon amour“ ist ein Projekt der Produktionsfirmen Parada Film, Augenschein Filmproduktion und Sophie Dulac Productions.

  • „Ana mon Amour“: Neuer Film von Călin Peter Netzer bei der Berlinale 2017

    „Ana mon Amour“: Neuer Film von Călin Peter Netzer bei der Berlinale 2017

    2013 wurde der rumänische Regisseur Călin Peter Netzer für sein Familiendrama Mutter & Sohn“ mit dem Goldenen Bären ausgezeichnet. In seinem neuen Werk untersucht er die Dynamik der wichtigsten Beziehungen im Laufe eines Menschenlebens. Ana, mon amour“ ist die Analyse einer Liebesgeschichte, ein untypischer Einblick in die kritischsten und zärtlichsten Momente in der Entwicklung eines Liebespaares. Das Drehbuch dazu schrieben Călin Peter Netzer, Cezar Paul Bădescu und Iulia Lumânare, als Grundlage diente Cezar Paul Bădescus Roman Luminiţa, mon amour“. Es sei allerdings Netzers Film, der lediglich von meinem Roman ausgegangen ist“, betont Bădescu. Wir fragten den Schriftsteller nach seinem ersten Eindruck nach der Vorführung des Films.



    Es ist seltsam, denn obwohl ich wusste, was in dem Film passiert, war ich nach der ersten Vorführung völlig von der Rolle. Es ist ja auch ein Film, der sich in den Zuschauer hineinarbeitet. Der Zuschauer wird eingeladen, sich zu erforschen, das eigene Sein zu erkunden und sehr, sehr tief zu graben. Der Film erzählt eine völlig andere Geschichte als der Roman. Der Regisseur Călin Peter Netzer hat einen anderen Ansatz gewählt, er hat versucht, etwas anderes zu verfolgen als ich im Roman. In der Tat ist die Ausgangsbasis dieselbe. Kurz zusammengefasst, handelt es sich um eine Liebesgeschichte mit einer Zutat, die daraus einen Sonderfall macht: eine Nervenkrankheit. Und diese Erkrankung, auch wenn sie eine leichte Form annimmt, wirkt sich auf die Beziehung zwischen den beiden aus. Das ist nicht eine Verfilmung des Romans, das Drehbuch und der Film haben lediglich meinen Roman als Ausgangspunkt. Als wir das Drehbuch schrieben, hat Călin Peter Netzer einige Szenen aus meinem Buch ausgewählt und die haben wir dann in ein Drehbuch verwandelt. Schlie‎ßlich haben wir daraus Geschichten gewoben, die sich aber nicht im Buch wiederfinden und vor allen Dingen Călins Geschichten sind.“




    Diana Cavallioti ist dem breiten Publikum für ihre Rolle im zweiten Teil des Spielfilms Erinnerungen aus dem goldenen Zeitalter“ und den Auftritten in den TV-Serien Einen Schritt nach vorne“ und Eine verrückte Woche“ bekannt. Zum ersten Mal arbeitete sie mit Călin Peter Netzer zusammen. Im Interview mit Radio Rumänien berichtete sie über ihre Erfahrung.



    Es war eine erschütternde Erfahrung. Ja, die Dreharbeiten haben lange gedauert, auch die Proben waren relativ lang, etwa drei Monate, und sie waren so intensiv, dass es am Ende bei mir Spuren hinterlassen hat. Ein halbes Jahr war ich mit »Ana, mon amour« beschäftigt, von morgens bis abends, sieben Tage die Woche. Eine solche Rolle zu konstruieren, bedeutet, dich in recht schwierige Situationen zu versetzen. Und vor allem die Art und Weise, in der ich mit dem Regisseur des Films, Călin Peter Netzer, gearbeitet und all die Dinge, die ich im Vorfeld für den Film gemacht habe, etwa, dass ich zur Psychotherapie gegangen bin. Das waren Dinge, die einen völlig aus der letzten, winzig kleinen Komfortzone rei‎ßen. Und ich glaube, dass es diesem Film gelungen ist, unseren ganzen Komfort zu erschüttern. Und das ist auch gut so.“




    Neben den Hauptdarstellern Diana Cavallioti und Mircea Postelnicu spielen in Ana, mon amour“ auch Adrian Titieni, Vlad Ivanov, Carmen Tănase, Vasile Muraru, Tania Popa und Igor Caras Romanov mit. Für Mircea Postelnicu war es aber die erste Hauptrolle in einem Spielfilm, wie er selbst berichtet.



    Ich konnte aus dieser Erfahrung nur Positives mitnehmen, vor allem das von Călin angeschnittene Thema und seine Herangehensweise waren entscheidend. Auch für mich waren es glückliche Begegnungen, mit Călin, mit Iulia, mit Diana, und auch mit dem Thema an sich. Für mich hat der Film sehr viel bedeutet und ich habe gemerkt, dass er einige Ventile geöffnet hat, die bei mir seit Langem geschlossen waren, hier meine ich den psychoanalytischen Teil der Geschichte. Würde ich die Geschichte zusammenfassen, würde ich sagen, dass es um eine etwas ungesunde und gar kranke Beziehung geht, denn sie basiert vor allem auf Projektionen, Gedanken, die sowohl von Ana als auch von Toma genährt werden, und damit eine völlig ungesunde Grundlage für ihre Beziehung schaffen. Es handelt sich um eine Art Erkundungsreise der beiden Hauptfiguren, die auf der Suche nach einem Gleichgewicht und der Rückbesinnung auf die Grundlage der Beziehung und die Wahrheit dahinter sind. Und diese Geschichte wird allmählich zu deiner eigenen Erkundungsreise, einer Suche in dir selbst. Es geht um eine Suche und eine Reise, auf die die beiden Charaktere geschickt werden, und über Wege, die jeder finden muss, um zu Antworten und einem Gleichgewicht zu finden.“




    Ana, mon amour“ ist Călin Peter Netzers vierter Spielfilm. Davor führte er bei drei anderen erfolgreichen Filmen Regie: Maria“ (2003), beim namhaften Filmfestival in Locarno ausgezeichnet, Die Ehrenmedaille“ (2009), ein Film, der den Silver Alexander in Thessaloniki gewann und eben Mutter & Sohn“, der den Rekord als grö‎ßter Box-Office-Erfolg der letzten 15 Jahre brach. Ana, mon amour“ ist eine Produktion von Parada Film in Zusammenarbeit mit der Augenschein Filmproduktion (Deutschland) und Sophie Dulac Productions (Frankreich).

  • Roman „Innenraum Null“ von Lavinia Branişte: Die Tragik des Alltäglichen

    Roman „Innenraum Null“ von Lavinia Branişte: Die Tragik des Alltäglichen

    Der Roman, der den innerlichen Aufruhr einer jungen Frau in einem scheinbar normalen Alltag schildert, hat sich bereits einer gro‎ßen Zahl guter Rezensionen erfreut. Der Prosaautorin Lavinia Branişte ist es in ihrem jüngsten Roman gelungen, was einige Schriftsteller nach einer lebenslangen Karriere nicht schaffen: eine Figur auftauchen zu lassen, die als Hauptdarstellerin in manchen ihrer Bücher vorkommt und in gewisser Weise mit Henry Chinaski von Bukowski vergleichbar ist. Auch in ihrem Roman lässt die junge Schriftstellerin den Eindruck entstehen, dass ihr das Schreiben sehr leicht fällt, als ob sie in ihrem Tagebuch den Alltag beschreiben würde. In Wirklichkeit handelt es sich hingegen um eine akribische Arbeit und hinter dem leichten, unverwechselbaren Stil ihrer Prosa stecken Unruhen, ein innerer Aufruhr und eine persönliche Sicht auf Literatur. Der Literaturkritiker Bogdan-Alexandru Stănescu sagte über den neuen Roman der Prosautorin, er sei nicht sicher, ob es sich um einen Roman oder um Kurzprosa handelt, er würde eher sagen, es geht um die Karte eines Territoriums, das die Schriftstellerin sorgfältig und obsessiv abbildet.



    Die Hauptfigur des Romans ist Cristina, die in einem ganz normalen Alltag lebt. Die Drei‎ßigjährige wei‎ß nicht mehr, ob sie ihren Freund liebt, und will ihren aktuellen Job kündigen, aber dessen wird sie sich nur dann sicher, wenn die Firma, wo sie beschäftigt ist, pleitegeht. Interior zero“ (Innenraum Null“) zeigt uns, wie das Leben an uns vorbeigeht und wie der einfache Weg schwere und unerwartete Folgen haben kann, sagt Lavinia Branişte.



    Die junge Prosaautorin gab ihr literarisches Debüt mit einem Gedichtband, später schrieb sie zwei Kurzprosabände und ein Kinderbuch. Wie sie dazu gekommen ist, einen Roman zu schreiben, erläutert Lavinia Branişte:



    Ich habe immer eine Leidenschaft für Kurzprosa gespürt, diese Leidenschaft habe ich eigentlich immer noch und so hatte ich mir auch diesen Band vorgestellt: als Kurzgeschichte. Dann habe ich die Inhaltsteile miteinander verknüpft und merkte, wie gut sie zueinanderpassen. Die Geschichte ist mir während eines Chat-Gesprächs mit dem Dichter Vasile Leac, einem Freund von mir, eingefallen. Er befand sich zu jenem Zeitpunkt in Deutschland, um Lauch und Kürbisse zu ernten. Ich habe ihn um seine exotische Erfahrung beneidet und war mir sicher, dass er sie aufs Papier bringen wird. Das Motto meines Romans ist eigentlich ein Teil unseres Gesprächs, genauer gesagt, eine Frage meines Freundes an mich: Kann es sein, dass wir das Leben nicht verstehen? Es hat mir gefallen, wie er die Frage zum Ausdruck brachte, und so ist mir eingefallen, ein Buch darüber zu schreiben, wie wir das Leben nicht verstehen. Damals war ich selber mit der Situation konfrontiert, in der ich mich gut und erfüllt fühlte, aber es erschrak mich, ehrlich gesagt, dass das Sich-Wohlfühlen und das Erfüllt-Sein nur von au‎ßen so aussieht. Es war mir auch nicht klar, ob ich mir etwas anderes wünschen sollte oder nicht.“




    Im Roman Innenraum Null“ ist keine Übereinstimmung gültig, sagt der Literaturkritiker Ovidiu Pop. Lavinia Branişte schildert diese Tragik in den alltäglichen Dingen. Es ist genau dieser scheinbar normale Alltag, der im Innenraum abläuft, der dem Roman seine Überzeugungskraft verleiht, fügt der Literaturkritiker hinzu.

  • Simenon par Simenon

    Simenon par Simenon

    Nous accueillons un enfant de la littérature. C’est quelqu’un qui porte un nom très sonore mais qui, dit-il, n’est surtout pas « le gardien d’un temple ». A la Librairie francophone Kyralina de Bucarest, John Simenon, fils de Georges Simenon, auteur repère de la littérature belge et mondiale -, a parlé, avec le public roumain, dhéritage dans tous les sens du terme, mais surtout littérature et roman policier. 2016 était d’ailleurs l’année du polar belge en Roumanie, un programme déroulé par la Délégation Wallonie Bruxelles à Bucarest. Le chef de cet organisme, Eric Poppe, était également de la compagnie pour évoquer – au micro de Valentine Gigaudaut, directrice de Kyralina, et dAndrei Popov – ce programme dans le cadre duquel John Simenon sest trouvé dans la capitale roumaine.