Tag: Rosia Montana

  • 14.01.2013 (mise à jour)

    14.01.2013 (mise à jour)

    Immigration — Les Roumains du Royaume Uni n’abusent pas du système de prestations sociales, ils y contribuent, a souligné l’ambassadeur roumain à Londres, Ion Jinga, dans un article publié dans l’édition en ligne du Daily Telegraph. Il a souligné que la Grande Bretagne n’est pas l’unique pays de l’UE qui s’inquiète au sujet de l’abus d’aides sociales. Ion Jinga a cité en ce sens un récent rapport de la Commission européenne publié par le Financial Times qui n’a pas trouvé de preuve concrète démontrant le fait que les immigrants de l’UE utilisent les prestations sociales du Royaume-Uni plus que les autres habitants du pays. Selon ce rapport, a affirmé Jinga, sur les 120 mille Roumains qui habitent au Royaume-Uni, seuls 1,4% reçoivent des aides sociales.



    Finances — La Commission européenne critique les autorités de Bucarest pour la manière déficitaire par laquelle elles ont conçu la première version de l’accord de partenariat pour l’absorption des fonds européens pour la période 2014 — 2020. L’exécutif communautaire estime que la stratégie de la Roumanie au sujet de l’accès aux fonds structurels est entre autres dépourvue de vision stratégique et trop floue. Bucarest a promis de prendre en compte les estimations de Bruxelles.



    Economie — La croissance économique enregistrée en 2013 par la Roumanie a été de près de 3%, dépassant les prévisions du gouvernement, dans les conditions d’une relance de la consommation au quatrième trimestre, a déclaré ce mardi pour Bloomberg le ministre roumain délégué au budget, Liviu Voinea. Il a précisé que la précédente lettre d’intention envoyée par le cabinet de Bucarest au FMI et la nouvelle lettre qui sera débattue ce mois devraient recevoir l’aval du Comité de direction de cette institution financière internationale au printemps 2014. A la fin de l’année dernière, le président roumain Traian Băsescu avait refusé de signer la lettre d’intention en raison d’une dispute en marge de l’accise sur les carburants. Une mission du FMI est attendue à Bucarest au cours de la seconde moitié du mois de janvier.



    Exploitation minière — Le ministre roumain de la culture, Gigel Ştirbu, a déclaré ce mardi devant la Commission de culture du Sénat de Bucarest que le ministère qu’il dirige ne sera pas d’accord avec l’exploitation des mines d’or de Roşia Montană tant qu’il n’a pas la certitude que le patrimoine culturel de la région sera préservé. Il a également affirmé détenir une étude réalisée par des spécialistes britanniques à la demande du Ministère roumain de la culture concernant la possibilité que Roşia Montană soit inscrite sur la liste du patrimoine universel de l’UNESCO. L’éventuelle exploitation des minerais aurifères de Rosia Montana (au centre de la Roumanie) en utilisant des technologies à base de cyanure a déclenché vers la fin 2013 d’amples protestations aussi bien dans le pays qu’à l’étranger.



    Droits humains — Le président de la Roumanie, Traian Băsescu, sollicite à la mission de l’OSCE en République de Moldova (pays ex-soviétique à population majoritairement roumanophone) et aux autres institutions responsables d’intervenir afin d’assurer à tous les élèves moldaves la possibilité de choisir librement le roumain comme langue d’étude. Cette demande fait suite aux pressions exercées par les autorités de la région séparatiste pro-russe de Transnistrie sur les écoles où l’on enseigne en roumain. Les comptes d’un lycée ont été bloqués, ce qui risque d’en paralyser l’activité. Le président Băsescu estime que les actions répressives dirigées contre le corps enseignant, les parents et les élèves de ces écoles sont inacceptables et constituent une violation des droits de l’homme. Rappelons que la Transnistrie est sortie de facto de sous le contrôle de Chisinau en 1992, au bout d’un conflit armé qui a fait plusieurs centaines de morts et qui s’est achevé après l’intervention militaire russe.



    Visite — La visite, effectué la semaine dernière à Bucarest par l’émissaire du gouvernement américain, la sous-secrétaire d’Etat Victoria Nuland exprime la profonde inquiétude se Washington à l’égard de l’Etat de droit en Roumanie, a déclaré mardi le président roumain Traian Basescu, lors d’une conférence de presse. Il a précisé que, par les déclarations et la législation, l’actuel pouvoir exécutif et la majorité parlementaire de Bucarest continuent d’attaquer l’indépendance de la justice, ce qui pourrait entraîner une longue période d’isolement du pays sur le plan international. Le président de la République a également affirmé qu’en décrédibilisant la justice, la Roumanie risque de faire un pas en arrière, au niveau de l’an 2000, lorsque plusieurs questions avaient été soulevées sur le respect des «critères de Copenhague» requises pour l’adhésion à l’UE.



    Sondage – Le taux de confiance des Roumains dans l’UE a augmenté de 7% en 2013 par rapport à 2012, pour se chiffrer à 46% de la population du pays, malgré les campagnes médiatiques et politiques négatives. La hausse la plus significative a été enregistrée parmi les jeunes de 15 à 30 ans, ou ce taux a augmenté de 10% jusqu’à 57%, selon un sondage réalisé par Gallup. Au niveau européen, des baisses significatives ont été enregistrées notamment dans les pays ayant bénéficié de l’aide financière de l’Union : Portugal, Espagne, Chypre et Grèce. Au pôle opposé se trouvent le Luxembourg, l’Allemagne et la Belgique.



    Culture – Les Roumains célèbrent mercredi, la fête de la culture nationale. Le 150e volume de la collection Oeuvres fondamentales du poète national Mihai Eminescu sera lancé à l’Académie roumaine. Récitals de poésie, concerts, expositions de peinture et de livre comptent également parmi les évènements organisés en Roumanie et à l’étranger, notamment à Sofia, Paris, Berlin et Stockholm. Marquée depuis 2011, la Journée de la culture nationale est organisée le 15 janvier, date de naissance de Mihai Eminescu.


  • Rückblick auf die wichtigsten innenpolitischen Ereignisse des Jahres 2013

    Rückblick auf die wichtigsten innenpolitischen Ereignisse des Jahres 2013

    Rumäniens Politbühne



    Das Kohabitations-Abkommen zwischen Staatschef Traian Băsescu und Ministerpräsident Victor Ponta ist gegen Ende des Jahres gescheitert. Dazu trug insbesondere die Novellierung des Strafgesetzbuches bei. Die bedeutendste Änderung ist, dass der Staatschef, die Parlamentarier und die Freiberufler keine Staatsbediensteten mehr sein werden. Daher kann gegen sie wegen Korruption, Bestechung und Interessenkonflikt nicht mehr strafrechtlich ermittelt werden, noch werden sie für erwiesene Taten bestraft werden können. Die Parlamentarier brachten Argumente und zwar, dass sie gewählt und nicht ernannt sind, dass sie keine Arbeitsverrtäge unterzeichnet haben, dass sie sich nicht der Rechte eines Staatsbediensteten erfreuen und dass sie keine Erbgüter verwalten. Nachdem der Staatschef und der Oberste Richterrat, sowie auch die Botschaften einiger westlichen Staaten die kontroverse Novellierung des Strafgesetzbuches kritisiert haben, sind die Menschen auch auf die Strasse gegangen. Staatschef Traian Basescu und Politikanalytiker sind der Meinung die EU-Kommission werde die Novellierung des Strafgesetzbuches negativ im künftigen Justiz-Fotschrittsbericht widerspiegeln. Auch in der Regierungskoalition USL kam es zu Auseinandersetzungen. Dafür sorgte insbesondere der Gesetzentwurf über die Begnadigung und Amnestie einiger Strafen.



    Der Schengen-Beitritt, ein schwer erreichbares Ziel



    Rumänien und Bulgarien sind auch 2013 nicht dem Schengen-Raum beigetreten. Das obwohl anfänglich der Beitritt der beiden Staaten zum grenzkontrollfreien Raum für März 2013 geplant war. Beim Treffen des Justiz-und Innen-Rates vom Dezember in Brüssel haben Rumänien und Bulgarien eine politische Erklärung abgegeben. In dieser äusserten die beiden Staaten ihre Enttäuschung und erklärten es gebe keinen konkreten juristischen Grund für die Verzögerung. Bukarest und Sofia beteuerten wieder, sie hätten alle Beitritts-Kriterien erfüllt. Beim Treffen haben die Innen-und Justizminister der EU kein Betrittsdatum festgelegt. Deutschland, Holland, Frankreich und Grossbritanien äusserten sich gegen den Schengen-Beitritt Rumäniens und Bulgariens. Grund dafür sei eine mögliche schwer kontrollierbare Migrationswelle.



    Umstrittene Projekte Roşia Montană und Pungeşti lösen Proteste aus



    Das umstrittene Goldabbau-Projekt im mittelrumänischen Roşia Montană hat 2013 heftige Debatten ausgelöst. Die geplante Gold und Silbergewinnung in Roşia Montană wird von deren Gegnern als eine Bedrohung für die Umwelt und für die archäologischen Stätten in der Region bezeichnet. Die Methode der Zyanid-Auslaugung, die bei der Goldgewinnung benutzt werden sollte wird bestritten. Zudem würde man die Stollen von Römerzeiten zerstören. Auch die Lizenzgebühren von 6 % werden als klein empfunden. Das Projekt befindet sich seit 15 Jahren in Standby. Laut Vertretern des kanadischen Investors – Roşia Montană Gold Corporation — würde die Investition mehr als 2000 Arbeitsplätze schaffen, Rumänien wesentliche Gewinne im wirtschaftlichen Bereich bringen und eine saubere Umwelt garantieren. Der Sonderausschuss des Parlaments hat Monat November den Gesetzentwurf, der die Förderung in Roşia Montană regelt, abgelehnt.



    Gewaltsame Proteste rief die im ostrumänischen Pungeşti vom US-Konzern Chevron geplante Schiefergasgewinnung hervor. Projektgegner äu‎ßern sich gegen die möglichen Folgen der Förderung mit der Methode des sogennanten Fracking. Das hydraulische Fracking beeiträchtige die Qualität des Grund-und Oberflächenwassers. Kritiker fürchten zudem, dass durch Bohrungen für Schiefergas Erdbeben ausgelöst werden. Der US-Konzern versicherte erneut, er werde Bohrungen ausschlie‎ßlich anhand konventioneller Methode gemä‎ß den Oktober 2013 von den rumänischen Behörden erhaltenen Bohrgenehmigungen durchführen lassen.




    Das Kabinett Ponta verbindet zwei mal die Verabschiedung eines Gesetzes mit Vertrauensfrage im Parlament



    Die regierende sozialliberale Union Monat hat im April die Gesetzesvorlage zur Rückerstattung des während Kommunismus enteigneten Eigentums eingeleitet. Im November hat die Exekutive die Vertrauensfrage für den Gesetzentwurf zur Dezentralisierung im Parlament gestellt. Die wichtigsten Vorschriften der neuen Gesetzvorlage beinhalten eine so weitgehende Rückerstattung wie möglich, aber nur den ehemaligen Eigentümern oder deren Nachfolgern, die Gewährung der Entschädigungen in Jahrestranchen und die Besteuerung des Erwerbs von Anspruchsrechten mit 85%. Für die bereits ausgestellten Entschädigungstiteln sollen die Zahlungen innerhalb von fünf Jahren, ab 2014 erfolgen. Für die neu zu bearbeitenden und noch nicht gelösten Akten soll das Geld auf sieben Jahren gestaffelt, beginnend mit 2017 ausgezahlt werden. Victor Ponta sagt, dass die Experten des Europäischen Gerichtshofes für Menschenrechte mit dieser Staffelung einverstanden waren.



    Au‎ßerdem sieht der neue Gesetzentwurf eine reduzierte Zeitspanne von 10 Jahren vor, in der die rückerstatteten Gebäude, die als Schulen, Krankenäuser und Kulturanstalten dienen, ihren derzeitigen Zweck beibehalten müssen. Die bukarester Exekutive hofft, dass das neue Gesetz zur Rückerstattung, ein für alle Mal das Problem lösen wird, das die rumänsiche Gesellschaft schon seit über 6 Jahrzehnten bekümmert. Bis jetzt hat der rumänische Staat den ehemaligen Eigentümern Entschädigungen in Höhe von 5 Milliarden Euro ausgezahlt und müsste noch weitere 8 Milliarden zahlen.



    Die Dezentralisierung betrifft hauptsächlich sieben Bereiche: Landwirtschaft, Bildung, Kultur, Gesundheitswesen, Umwelt, Tourismus sowie den Bereich Jugend und Sport. Laut dem Gesetzentwurf sollen die Institutionen die derzeit von Zentralmacht koordiniert oder finanziert werden unter direkte Koordinierung oder Finanzierung von Lokalbehörden gebracht werden. Die Polizei, die Agenturen für soziale Dienstleistungen und die Häfen bleiben ferner der Zentralmacht untergeordnet. Die Immobilien, insbesondere Grundstücke und Bauten werden hingegen von Dezentralisierungsgesetz betroffen. Lokalbehörden wie Kreisräte sollen des Weiteren den Organisierungsplan in Institutionen beschlie‎ßen, die von nun an unter ihrer Koordinierung stehen. Das Gesetz wurde von der mitte-rechtsgerichteten Opposition scharf kritisiert.



    Das Internationale Musikfestival George Enescu



    Das Internationale Musikfestival George Enescu” brachte in Rumänien Konzerte, Rezitale und Aufführungen. In diesem Jahr beteiligten sich in Bukarest berühmte Ensamles wie Royal Concertgebouw aus Amsterdam, das Akademieorchester Santa Cecilia aus Italien, die Staatskapelle aus Berlin, sowie Saint Martin in the Fields aus England. Radu Lupu, einer der grö‎ßten Pianisten der Welt, erfreute uns mit seiner Präsenz. Im Wagnerjahr wurde zum ersten Mal in Rumänien “Der Ring des Nibelungen“ gespielt. Der Erflog des Festivals ist auch dem Publikum zu verdanken. Verkauft wurden über 120.000 Karten, darunter mehr als 20.000 im Ausland. Radio Rumänien ist schon seit dem Anfang des Festivals, genauer gesagt seit 55 Jahren, Konproduzent. Der rumänische Rundfunk hat in diesem Jahr 63 live Sendungen ausgestrahlt: Beiträge, Reportagen und Interwieus.



    Spielfilm Child’s Pose von Călin Peter Netzer mit Goldenem Bären ausgezeichnet



    Die Stellung des Kindes gewann auch den Preis “Aleksandar Sasa Petrovic” beim Festival der Autorenfilme in Belgrad und wurde ebenfalls mit dem Preis des internationalen Filmkritiker-Verbandes ausgezeichnet . Der Film wurde als eine Radiografie der rumänischen zeitgenössischen high-class beschrieben. Der Film wiedergibt die Traumen der Kinder, die an zu viel Elternliebe ersticken. Es geht um eine pathologische Mutter – Sohn Beziehung, um den Ödipus-Komplex, um eine freudsche Beziehung. Darauf fusst der ganze Film. Alles was rund um diese Geschichte, vom Unfall bis Korruption stattfindet, entwickelt sich im Hintergrund. Natürlich geht es um die rumänische Realität, so wie ich und Razvan sie gesehen und gefühlt haben, als wir das Drehbuch geschrieben haben und wie sie eigentlich ist. Ich bin der Meinung, die Geschichte wurde auch von den Kritikern in Berlin gut empfangen, weil sie universell gültig ist. Über die Korruption kann ich behaupten, dass nicht nur in Rumänien korrupte Personen leben. Alle Länder konfrontieren sich mit diesem Problem. Dank der Implizierung in diesem Kino–Projekt, und nicht nur, wurde Ada Solomon im Dezember in Berlin, mit dem europöischen Preis für Koproduktion – Prix Eurimages ausgezeichnet. Die Filmproduzentin Ada Solomon ist eine bedeutende Persönlichkeit des rumänischen und europäischen Kinos.

  • Cette année, en Roumanie

    Cette année, en Roumanie

    La scène politique de Roumanie



    Le pacte de cohabitation convenu par le président Traian Băsescu et le premier ministre Victor Ponta sest transformé en échec vers la fin de lannée 2013, les modifications au Code pénal comptant parmi les points de désaccord. Les députés ont essayé dy introduire principalement une disposition supprimant le statut de fonctionnaire public du chef de lEtat, des parlementaires et des professions libérales, qui, de ce fait, nauraient plus fait lobjet denquêtes ni de sanctions pour abus de fonctions, corruption, trafic dinfluence ou conflit dintérêts.



    Cette intention a été désapprouvée par des institutions telles la Présidence de la République et le Conseil supérieur de la magistrature, ainsi que par des ambassades de plusieurs Etats occidentaux ; la rue nest pas restée indifférente non plus à ces modifications controversées, des protestataires sétant à nouveau rassemblés au centre de Bucarest.



    Le calme nest plus présent ni au sein de lUnion sociale-libérale, au pouvoir, dont les deux co-présidents, social-démocrate et libéral, se sont contredits sur des sujets divers, tels le projet de loi de lamnistie et la grâce de certaines peines de prison; cela pointe du doigt des fissures de plus en plus visibles dans les rangs de la coalition gouvernementale.




    Ladhésion à Schengen – objectif difficile à réaliser



    Prévue pour mars 2011, ladhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à lespace de libre circulation nest devenue réalité ni en 2013. Dans une déclaration commune présentée au Conseil Justice – Affaires intérieures tenu à Bruxelles en décembre, Bucarest et Sofia ont exprimé leur déception et insisté sur le fait quil nexiste aucune raison juridique concrète dun nouveau report, les critères de lacquis Schengen ayant été remplis. A Bruxelles, les ministres de lIntérieur et de la Justice de lUE nont pas arrêté de date pour cette admission. LAllemagne, la France, les Pays-Bas, le Royaume Uni se sont opposés à louverture de lespace de libre circulation à la Roumanie et à la Bulgarie, quils craignent voir se transformer en sources de migration difficile à maîtriser.



    Protestations contre les projets d’exploitation des ressources de Roşia Montană et de Pungeşti



    Le projet controversé de lexploitation aurifère à base de cyanures de Roşia Montană (centre) est devenu en 2013 un sujet dintérêt public de premier-plan. La quantité de cyanures utilisée est une des inquiétudes de ceux qui craignent des effets négatifs irréversibles sur lenvironnement. Les critiques du projet accusent aussi la redevance de seulement 6% versée à lEtat roumain et limpact sur les vestiges historiques de la zone. Selon la compagnie canadienne Roşia Montană Gold Corporation, qui essaie de mettre en oeuvre lexploitation depuis 15 ans, la Roumanie gagnerait économiquement, lenvironnement serait plus protégé, et le patrimoine culturel archéologique serait mis en valeur. Une commission parlementaire spéciale chargée dexaminer tous ces aspects a rejeté en novembre le projet de loi proposé par le gouvernement pour réglementer lexploitation de Roşia Montană.



    Dautres mécontentements et protestations ont eu pour objet lexploration, par la compagnie américaine Chevron, des gaz de schiste à Pungeşti, dans lest de la Roumanie. Les opposants critiquent la procédure technique de la fracturation hydraulique qui pourrait, affirment-ils, polluer la nappe phréatique et provoquer des tremblements de terre. Chevron a promis dutiliser uniquement des technologies conventionnelles, conformément aux avis délivrés en octobre 2013 par les autorités roumaines.




    Engagement de la responsabilité gouvernementale sur la loi de la restitution des immeubles et de la décentralisation



    Le gouvernement Victor Ponta, au pouvoir depuis un an, a engagé sa responsabilité deux fois — en avril, sur la loi des remises en possession des immeubles confisqués par le régime communiste -, et puis en novembre, sur la loi de la décentralisation. Dans le premier cas, devant les élus nationaux, le premier ministre a présenté des excuses à tous ceux ayant souffert à cause des confiscations. La loi dit que toutes les demandes de remise en possession seront solutionnées jusquen 2017, la priorité allant être donnée aux restitutions en nature ; pour toutes les autres situations, des dédommagements seront versés, tandis que les droits en litige seront taxés. LEtat roumain a déjà versé 5 milliards deuros de dédommagements aux anciens propriétaires et doit encore verser 8 autres milliards.



    Pour ce qui est de la décentralisation, celle-ci sapplique aux soins de santé, à lagriculture, à lenvironnement, à la culture – à lexception des salles de cinéma -, à la jeunesse, au sport et au tourisme. Le projet de loi replace des institutions gérées ou financées par le pouvoir central sous la houlette des pouvoirs locaux. La police, les agences chargées des prestations sociales, les salles de cinéma et les ports continueront de faire partie des structures centrales. Lopposition de centre – droit a fortement critiqué cette loi.




    Le Festival Enescu



    Bucarest et plusieurs autres villes de Roumanie ont accueilli, en septembre, la 21e édition du Festival international de musique « George Enescu » – un des festivals les plus prestigieux dEurope. Durant un mois, les amoureux de la musique classique ont eu lembarras du choix, parmi de nombreux concerts, récitals, spectacles dopéra et de danse, conférences et ateliers de composition. Les orchestres et les chœurs de Radio Roumanie, instituions médiatique qui a fêté en 2013 son 85e anniversaire, sont montés sur les scènes du Festival Enescu. Le festival, qui a lieu tous les deux ans, a été fondé en 1958, en hommage au génie du grand compositeur roumain George Enescu.




    Récompenses pour le film « La position de lenfant »



    Le long-métrage « La position de lenfant” » du réalisateur Călin Peter Netzer a décroché lOurs dor au Festival de film de Berlin, auquel sest ajouté plus tard le prix « Aleksandar Sasa Petrovic », au Festival du film dauteur de Belgrade. La production de Călin Peter Netzer parle avec émotion, dramatisme mais aussi avec humour de la relation parents – enfants, de lamour sur protecteur des parents et de ses effets sur la personnalité des enfants. Le film est en même temps une radiographie des « nouveaux-riches » de la société roumaine, qui parle de trafic dinfluence et de petite corruption dans ses institutions essentielles et de leurs extensions dans lensemble du système économique et social de la Roumanie contemporaine. La productrice de « La position de lenfant », Ada Solomon, sest vu décerner le prix européen de la coproduction – Prix Eurimages, lors de la remise des prix de lAcadémie européenne de film, à Berlin, en décembre. Ada Solomon est considérée comme une personnalité importante du cinéma roumain et européen.




    2013 — année exceptionnelle pour la joueuse de tennis Simona Halep



    Si, en 2013, la Roumanie na pas brillé dans les sports déquipe, au contraire (la nationale tricolore a raté, par exemple, la qualification à la Coupe du monde de football du Brésil), dans les sports individuels un nom se détache, celui de la joueuse de tennis Simona Halep. La WTA la désignée la sportive ayant enregistré le progrès le plus impressionnant en 2013, avec six tournois gagnés et une 11e place au classement mondial. Selon la WTA, Simona Halep a de belles chances de rejoindre les deux autres Roumaines à avoir figuré au Top 10 des meilleures joueuses du monde – Irina Spîrlea (numéro 7 mondial en 1997) et Virginia Ruzici (numéro 8 mondial en 1979). (trad. : Ileana Taroi)

  • Abgeändertes Bergbaugesetz ablegehnt

    Abgeändertes Bergbaugesetz ablegehnt

    Der Gesetzentwurf verbietet den Einsatz von Technologien bei Gewinnung von Bodenschätzen, die sich auf die Umwelt negativ auswirken, verpflichtet dennoch zur Anwendung fortgeschrittener Abbaumethoden. Die Fraktion der National-Liberalen (die in der Sozialliberalen Union mitregieren) hat für das Gesetz gestimmt. Der Abgeordnete Răzvan Mironescu ist der Ansicht, es sei gut sowohl für die Bürger des Landes als auch für die rumänische Wirtschaft: Wir versuchen somit die illegalen, unmoralischen und gefährlichen Praktiken in der Bergbauindustrie zu entmutigen und der sicheren, wirksamen und nutzbringenden Gewinnung von Bodenschätzen durch den Einsatz neuester Technologien Vorschub zu leisten.“



    Die Opposition kritisierte hingegen die Novellierung des Bergbaugesetzes. Einer der Abgeordneten, die dagegen stimmten, ist der Liberaldemokrat Lucian Bode: Dieser Gesetzentwurf gibt der Regierung grünes Licht, Steuern auch auf Quellwasser einzuführen. Die Exekutive wird bald auch dafür eine Abgabe durchsetzen. Mit den Abänderungen zum Waldbestand sind wir auch nicht einverstanden. Das Bergbaugesetz dient nicht den Interessen unseres Landes.“ Der unabhängige Abgeordnete Vasile Oajdea bekräftigte ebenfalls, das Bergbaugesetz entspreche nicht den Interessen Rumäniens und der rumänischen Bürger: Das ist ein gefährliches Gesetz. Es vertritt nicht die Interessen des Einzelnen, es garantiert nicht das Besitzrecht, es dient hingegen den Interessen ausländischer Konzerne und deshalb soll es nicht angenommen werden.“



    Neulich berichtete die Bukarester Tageszeitung România Liberă“, dass die neuen Abänderungen des Bergbaugesetzes auch das geplante Bergbauprojekt im mittelrumänischen Roşia Montană betreffe. Selbst wenn es keinen genauen Bezug zum umstrittenen Projekt gibt, regelt der Gesetzentwurf die Gewinnung von Gold und Silber von besonderem öffentlichem Interesse“. Im besagten Gesetzentwurf werden derartige Initiativen als Projekte bezeichnet, die zur Gewinnung von mindestens 5 Tonnen Gold im Jahr“ führen. Das einzige Projekt, das in diese Kategorie eingerordnet werden könnte, ist Roşia Montană. Das kanadische Unternehmen Gold Corporation, das die Förderrechte hat, schätzt das Potential der Mine auf 15 Tonnen Gold im Jahr.



    In der Hauptstadt Bukarest und im mittelrumänischen Klausenburg blockierten Umweltaktivisten und Vertreter der Zivilgesellschaft, Gegner des abgeänderten Bergbaugesetzes den Sitz mehrerer öffentlicher Institutionen. Das besagte Gesetz gebe Bergbauprojekten wie Roşia Montană grünes Licht, sagen die Demonstranten. In Bukarest protestieren seit dem Monat September jeden Sonntag Projektgegner gegen den geplanten Einsatz von Zyanid bei der Förderung von Goldvorkommen in Roşia Montană und derartige Projekte, die mit einer Zerstörung von historischen und archäologischen Stätten, Flussumleitungen und Zwangsenteignungen zusammenhängen.

  • Rejet de la Loi des mines

    Rejet de la Loi des mines

    En tant que forum décisionnel, la Chambre des Députés a rejeté le projet de modification de la Loi des mines le lendemain de son rejet au Sénat. Ce projet stipulait, entre autres, que les exploitations de Roumanie ne pouvaient pas utiliser des technologies affectant l’environnement mais les obligeait, en même temps, d’utiliser les méthodes d’exploitation les plus avancées. Le groupe parlementaire du Parti National Libéral, formation faisant partie de la coalition au pouvoir, a soutenu le projet. Le député Ràzvan Mironescu estime que le texte est bénéfique tant pour les citoyens que pour l’économie: « Notre démarche est de nature à décourager les pratique illégales, immorales ou dangereuses de l’industrie d’extraction et favoriser l’exploitation sure, efficace et profitable des ressources naturelles de notre pays en utilisant les technologies les plus récentes de chaque domaine. »



    En échange, le projet de modification de la Loi des mines a été la cible des critiques des partis d’opposition. Parmi ceux qui ont voté contre il y a eu le député du Parti Démocrate Libéral Lucian Bode: « Dans ce projet législatif, ni même l’eau de source, malheureusement, n’échappe aux impôts du Gouvernement. Une redevance en est comprise. Nous ne sommes pas d’accord, non plus, avec les amendements qui portent sur le fond forestier, aux voies d’accès et ces exemples pourraient continuer. »



    La Loi des mines ne sert pas les intérêts de la Roumanie et des Roumains — a affirmé le député Vasile Oajdea pour continuer: «Selon nous , cette loi est dangereuse. Elle frappe les intérêts du citoyen simple, ne garantit pas le droit à la propriété, même plus, elle sert les intérêts des étrangers, des grandes corporations et, pour cette raison, je penses qu’elle ne doit pas être adoptée. »



    Récemment, le journal ROMANIA LIBERA expliquait que les nouvelles stipulations du projet de la Loi des mines devrait couvrir également, l’activité de Rosia Montanà. En dépit du fait qu’aucune référence explicite n’y existe vis-à-vis de cette exploitation du centre du pays, ni même dans le titre — remarquait le journal- le projet réglementait de façon implicite l’extraction des minerais d’or et d’argent « d’intérêt publique particulier » définies comme « projets par lesquels on extrait chaque année au moins cinq tonnes d’or ».



    Or, une seule exploitation fait partie à 100% de cette catégorie — celle de Rosia Montanà où la société canadienne GOLD CORORATION estime un production annuelle de 15 tonnes en utilisant une quantité impressionnante de cyanures. Tant à Bucarest qu’à Cluj Napoca( ouest) plusieurs institutions publiques ont été occupées par les militants écologiques et par les représentants des organisations civiques qui s’opposaient au projet de la Loi des mines, appréciant que celui-ci donne le feu vert à des exploitations telles Rosia Montanà.



    Depuis septembre dernier, chaque dimanche, au centre de la capitale ont lieu des manifestations des opposants du projet minier afin de contester les préconisées activités d’exploitation dans la zone des monuments archéologique , de détournement de cours d’eau ou d’expropriations forcées…(trad. : Costin Grigore)

  • Respingerea Legii minelor

    Respingerea Legii minelor

    For decizional, Camera Deputaţilor a respins proiectul de modificare a Legii minelor, după ce, cu numai o zi înainte, el fusese respins şi de Senat. Între altele, proiectul prevedea că în exploatările din România nu pot fi folosite tehnologii care afectează mediul înconjurător, dar obliga, totodată, la utilizarea celor mai avansate metode de exploatare.



    Grupul parlamentar al PNL, formaţiune din coaliţia la putere, a susţinut proiectul. Deputatul Răzvan Mironescu apreciază că el este bun atât pentru cetăţeni, cât şi pentru economie. Demersul nostru este de natură să descurajeze practicile ilegale, imorale sau periculoase în industria extractivă şi să favorizeze exploatarea sigură, eficientă şi profitabilă a resurselor naturale ale ţării noastre, folosind cele mai noi tehnologii disponibile în fiecare domeniu.



    În schimb, proiectul de modificare a Legii minelor a fost ţinta criticilor partidelor din opoziţie. Printre cei care au votat ‘împotrivă’ s-a numărat deputatul PDL, Lucian Bode: În acest proiect legislativ, nici apa de izvor, din păcate, nu scapă de impozitarea Guvernului. Se introduce o redevenţă inclusiv pentru aşa ceva. Nu suntem de acord nici cu amendamentele care se referă la fondul forestier, la drumurile de acces şi exemplele ar putea continua.



    Legea minelor nu serveşte interesele României şi ale românilor – a afirmat şi deputatul independent Vasile Oajdea: Este o lege, după părerea noastră, periculoasă. Ea loveşte în interesele cetăţeanului simplu, nu garantează dreptul la proprietate, mai mult, serveşte intereselor străinilor, a marilor corporaţii şi, din acest motiv, cred că nu ar trebui adoptată.



    Recent, ziarul România Liberă explica că noile prevederi din proiectul Legii minelor ar fi trebuit să acopere şi activitatea de la Roşia Montană. Deşi nu exista nicio referire explicită la această exploatare din centrul ţării, nici măcar în titlu — nota publicaţia — proiectul reglementa, implicit, extragerea minereurilor auro-argentifere “de interes public deosebit”, definite drept ‘proiecte prin care se extrag anual cel puţin cinci tone de aur’. Or, o singură exploatare se încadrează 100% în această categorie — cea de la Roşia Montană, unde firma canadiană Gold Corporation estimează că va exploata 15 tone de aur anual, folosind o cantitate impresionantă de cianuri.



    Atât la Bucureşti, cât şi la Cluj Napoca, mai multe instituţii publice au fost ocupate de militanţi ecologişti şi reprezentanţi ai unor organizaţii civice, care se opuneau proiectului Legii minelor, apreciind că acesta dă undă verde unor exploatări precum cea de la Roşia Montana.



    Din septembrie, în fiecare duminică, în centrul capitalei au loc proteste ale opozanţilor respectivului proiect minier, pentru a contesta preconizate activităţi de exploatare în zona monumentelor arheologice, devierea de cursuri de apă sau exproprieri forţate.

  • Die Woche 18-22.11. 2013 im Überblick

    Die Woche 18-22.11. 2013 im Überblick

    Regierung hat die Vertrauensfrage für das Dezentralisierungsgesetz im Parlament gestellt



    Die Bukarester Exekutive hat die Vertrauensfrage für den Gesetzentwurf zur Dezentralisierung im Parlament gestellt. Die Dezentralisierung betrifft hauptsächlich sieben Bereiche: Landwirtschaft, Bildung, Kultur, Gesundheitswesen, Umwelt, Tourismus sowie den Bereich Jugend und Sport. Laut dem Gesetzentwurf sollen die Institutionen die derzeit von Zentralmacht koordiniert oder finanziert werden unter direkte Koordinierung oder Finanzierung von Lokalbehörden gebracht werden. Vizepremierminister Liviu Dragnea fügte hinzu, den Angestellten besagter Institutionen sollen ferner dieselben Gehaltsbedingungen gewährt werden.



    Die Polizei, die Agenturen für soziale Dienstleistungen und die Häfen bleiben ferner der Zentralmacht untergeordnet. Die Immobilien, insbesondere Grundstücke und Bauten werden hingegen von Dezentralisierungsgesetz betroffen. Lokalbehörden wie Kreisräte sollen des Weiteren den Organisierungsplan in Institutionen beschlie‎ßen, die von nun an unter ihrer Koordinierung stehen. Es ist das zweite Mal wenn das Kabinett Ponta die Verabschiedung eines Gesetzes mit einer Vertrauensfrage im Parlament verbindet. Dasselbe Verfahren leitete die regierende sozialliberale Union Monat April im Fall der Gesetzesvorlage zur Rückerstattung des während Kommunismus enteigneten Eigentums ein.




    2014 Haushalt unter Parlamentsdebatte gestellt



    Die rumänischen Regierungsvertreter haben die Vorlage für den Staatshaushalt 2014 fertig gestellt. Die Urkunde wurde unter Parlamentsdebatte gestellt. Der Haushalt geht von einem Defizit von 2,2% des BIP und einem Wirtschaftswachstum von wiederum 2,2% aus. Die Exekutive schätzt, dass die Haushalteinnahmen, dank der getroffenen Ma‎ßnahmen, um rund 5% steigen werden. Das meiste Geld soll dem Ministerium für Regionalentwicklung und Öffentliche Verwaltung zukommen, aber auch der Umwelt, den Finanzen, der Landwirtschaft und dem Ministerium für Europäische Fonds. Auch der Gesundheitshaushalt ist grö‎ßer.




    Erfreulicherweise werden auch die Assistenzärzte eine Lohnerhöhung erhalten. Au‎ßerdem, sollen auch die jungen Lehrer besser bezahlt werden. Die Opposition ist unzufrieden mit der Verteilung des Geldes. Der ehemalige liberal-demokratische Finanzminister Gheorghe Ialomiţianu bewertet den Haushalt 2014 als einen Haushalt der Armut.




    Das Europäische Parlament dem EU-Finanzrahmen für 2014-2020 und der Gemeinsamen Agrarpolitik zugestimmt



    Nach Monaten schwieriger Verhandlungen hat das Europäische Parlament am Mittwoch den langjährigen EU-Haushalt für 2014-2020 gebilligt. Die Obergrenze des mehrjährigen Finanzrahmens wurde auf 960 Milliarden Euro festgelegt, dennoch sind für die tatsächlichen Zahlungen nur 908 Milliarden Euro vorgesehen. Das bedeutet fast 3,5% weniger als in den sieben Jahren zuvor. Der neue europäische Finanzrahmen setzt den Akzent auf vernünftige Investitionen, erklären Europaabgeordnete. Genau wie in den Jahren zuvor, gehen mehr als zwei Drittel des Haushalts an Landwirtschaft und die Kohäsionspolitik zur Unterstützung benachteiligter Regionen. Weniger Geld will die Europäische Union in den kommenden sieben Jahren hingegen für Bereiche wie Innovation, Forschung und Infrastruktur ausgeben.




    Der europäische Kohäsionsfonds wurde wesentlichen Änderungen ausgesetzt. Der Fonds soll von nun an, den EU-Staaten mit einem Brutto-Inlands-Produkt unter 90% des EU-Durchschnitts 66 Milliarden Euro zur Verfügung stellen. 7,25 Milliarden Euro sollen demnah ab 2014 Rumänien zugeteilt werden. Der Kohäsionsfonds sieht zudem Finanzhilfe für die Anwendung erneuerbarer Energien in Wohnungen vor. Diese Woche hat das Europaparlamenmt au‎ßerdem der Gemeinsamen Agrarpolitik zugestimmt. Die Strategie soll bis 2020 den Umweltschutz in den Mittelpunkt stellen.



    Mit Priorität und Konsequenz sollen zudem die finanzielle Unterstützung von Kleinlandwirten und die gerechte Zuteilung von EU-Finanzmitteln verfolgt werden. Das Europaparlament hat zudem die Umsetzung der Regel N+3 fur Rumanien und die Slovakei gebilligt – so das Ministerium fur EU Fördermittel. Dank der Massnahme hat Rumanien noch ein Jahr zur Verfügung, die EU-Fonds die fur 2011/2012 zugeteilt wurden, abzuschöpfen.




    Goldabbau-Projekt in Roşia Montană von parlamentarischem Sonderausschuss abgelehnt



    Nach monatelangen Protesten gegen das umstrittene Goldabbauprojekt im westrumänischen Roşia Montană wurde der betreffende Gesetzentwurf von einem parlametarischen Sonderausschuss abgelehnt. In Bukarest, anderen Gro‎ßstädten Rumäniens und sogar im Ausland finden seit Monat September weite Protestaktionen statt. Gegner des Projektes protestierten gegen den geplanten Goldabbau mittels Zyanid. Die Befürworter des Vorhabens versprechen die Schaffung von Arbeitsplätzen und rund eine Milliarde Dollar für den Staatshaushalt Rumäniens, was den Abgaben für den Abbau an den Staat entspricht.




    Rumäniens Aussenminister in Chişinău



    Der rumänische Aussenminister Titus Corlăţean ist am Diestag in Chişinău mit seiner moldauischen Amtskollegin Natalia Gherman und mit Ministerpräsidenten Iurie Leancă zu Gesprächen zusammengekommen. Auf der Agenda der Diskussionen standen die bilaterale Kooperation, insbesondere im Energie, – Infrastruktur, – Bildungsbereich, sowie im Sektor der medizinischen Notversorgung. Die konkreten Ma‎ßnahmen, die Rumänien zur Unterstützung der Republik Moldau auf ihrem europäischen Weg trifft kamen zudem zur Sprache.



    Der rumänische Aussenminister bekräftigte die Unterstützung Rumäniens zur EU-Integration seines Nachbarlandes und fügte hinzu, Bukarest und Chişinău werden 2014 eine enge Zusammenarbeit entwickeln, um dieses Ziel zu erreichen. Am 28. und 29. November soll Republik Moldau bei der Ostpartnerschaft in Vilnius das Assoziierungs-und Freihandelsabkommen mit der Europäischen Union unterzeichnen. Bei Gesprächen in Chişinău zeigte sich der rumänische Aussenminister von dem Erfolg der bevorstehenden Vernandlungen in Vilnius überzeugt.




    Rumäniens Fu‎ßball-Nationalelf hat WM-Qualifikation verpasst



    Rumäniens Fu‎ßball-Nationalmannschaft hat am Dienstag die Qualifikation für die Weltmeisterschaft kommendes Jahr in Brasilien verpasst. Das Team von Victor Piţurcă kam im Rückspiel des Playoffs gegen Griechenland nicht über ein 1:1 Unentschieden hinaus. Im Hinspiel hatten die Hellenen sich zu Hause in Piräus mit 3:1 durchgesetzt. Rumänien beteiligte sich seit 1998 an keinem Welttournier mehr und spielte seit 2001 kein Play-Off, als es gegen Slowenien ausschied.




    Internationale Buchmesse “Gaudeamus” in Bukarest eröffnet.



    Die internationale Buchmesse Gaudeamus — das Buch zum lernen”, die jedes Jahr von Radio Romania veranstaltet wird, findet zwischen 20.-24. November in Bukarest statt. An der 20. Buchmesse Gaudeamus beteiligen sich über 400 rumänische und ausländische Verlage und Druckereien, Bildungseinrichtungen, Medienunternehmen, Kulturzentren und -institute, Buchversand-Unternehmen, Multimedia-Einrichtungen, literarische Agenturen, Nichtregierungsorganisationen im Kultur- und Erziehungsbereich, Fachverbände, Buchhandlungen und Bibliotheken. Gaudeamus gilt als die wichtigste Buchmesse in Rumänien und eine der zehn besten europaweit. Unter dem Motto “Cool Nordic Bukarest”, ist dieses Jahr die Gruppe der skandinavischen Länder (Dänemark, Finnland, Island, Norwegen und Schweden) Ehrengast der Buchmesse Gaudeamus”.


  • Rumänischer Senat lehnt Goldabbauprojekt Roşia Montană ab

    Rumänischer Senat lehnt Goldabbauprojekt Roşia Montană ab

    Roşia Montană wurde zum ersten Mal im Jahr 131 in Dokumenten erwähnt und liegt auf dem grö‎ßten Goldschatz Europas. Heute sind wir die Zeugen des Streits zwischen den Anhängern des Goldabbauprojektes und den Gegnern, die sich aus ökologischen Gründen widersetzen und seit 12 Wochen in Bukarest und in anderen Städten protestieren. Die Protestdemonstrationen führten dazu, dass der parlamentarische Sonderausschuss den Gesetzentwurf am 11. November abgelehnt hat. Die rumänischen Senatoren haben ihrereseits den Gesetzentwurf zurückgewiesen. Nur die Liberaldemokraten stimmten für das Goldabbauprojekt. Der Vorsitzende der Sozialdemokratischen Fraktion im Senat, Ilie Sârbu, hat bekanntgegeben, der Bericht des Sonderausschusses Roşia Montană sei bei der Generalstaatsanwaltschaft eingereicht worden.



    Der Bericht wurde der Generalstaatsanwaltschaft zugestellt. Es ist besser für alle, die sich von Anfang an, beginnend mit dem Transfer, involviert haben. Es geht um Taten, die ausgeübt und geheimgehalten wurden. Die Zeit vergeht, doch die Straftaten bleiben. Wir sollen wenigstens die Genugtuung haben, dass ein Fall gelöst wurde.“



    Die Erklärung folgte den Offenlegungen der Sozialdemokratischen Abgeordneten Gabriela Firea, Mitglied des Sonderausschusses. Firea erklärte, die Rumänen müssten wissen, dass die Abbaulizenz für dieses Projekt 1998 von dem Liberalen Radu Berceanu, dem damaligen Industrieminister, gewährt wurde.



    Es war ganz einfach. Der ausländische Mehrheitsaktionär hat von dem rumänischen Aktieninhaber die Lizenz übernommen. Die staatliche Beteiligung, die Aktien wurden von 33% auf 19% abgestuft.“



    Die Schlussfolgerungen des Sonderausschusses wurden von dem Vorsitzenden der Kommission Darius Vâlcov präsentiert. Das Projekt decke nicht alle komplexen Forderungen des Abbauprojektes. Darius Vâlcov behauptet, eine Analysierung der alternativen Varianten für die staatliche Beteiligung sei unbedingt notwendig und gab als Beispiel andere Staaten. Das Goldabbauprojekt in Roşia Montană könnte der rumänischen Wirtschaft 5,2 Milliarden Dollar bringen. Rumänien würde somit zum wichtigsten Goldproduzenten Europas werden.

  • Senatul respinge proiectul Roşia Montana

    Senatul respinge proiectul Roşia Montana

    Atestată documentar din anul 131 şi situată pe cea mai mare cantitate de aur estimată din Europa, Roşia Montană rămâne împărţită între cei care vor ca în zonă să înceapă exploatarea cu cianuri a zăcămintelor şi cei care se opun din raţiuni ecologiste şi care, de 12 săptămâni, protestează în Bucureşti şi în alte oraşe.



    Acţiunile opozanţilor nu au rămas fără ecou, iar pe 11 noiembrie Comisia parlamentară specială a respins proiectul în forma venită de la Guvern. Senatorii români au respins, la rândul lor, proiectul de lege privind unele măsuri aferente exploatării minereurilor auro-argintifere din perimetrul Roşia Montană, în acest sens exprimându-se în plen reprezentanţii tuturor grupurilor parlamentare, cu excepţia democrat-liberalilor, din opoziţie.



    Tot în Senat, liderul grupului social-democrat, Ilie Sârbu, a anunţat că raportul comisiei speciale pentru Roşia Montană a fost trimis Parchetului General: Pentru liniştea celor implicaţi în ceea ce a însemnat acest proiect, de când s-au făcut transferurile şi până astăzi, raportul a fost trimis la Parchetul General. Dacă nu pentru mai mult, măcar pentru aceste fapte care s-au săvârşit şi care erau secretizate. Timpul trece, dar nu trec şi dosarele penale, ele rămân acolo, aşa că măcar această satisfacţie s-o avem, că am făcut lumină într-un caz.”



    Anunţul a venit după o serie de dezvăluiri făcute în parlament de social-democrata Gabriela Firea, membră a comisiei speciale, care a afirmat că românii ar trebui să afle că licenţa de exploatare pentru acest proiect a fost acordată în 1998, iar cel care a făcut acest lucru este democrat-liberalul Radu Berceanu, ministru al industriilor în acea perioadă.



    Gabriela Firea: Pur şi simplu, s-a transferat licenţa cu titlu gratuit de la acţionarul minoritar român către acţionarul majoritar străin. De asemenea, participaţia statului, acţiunile au fost diluate de la 33% la 19%.”



    Concluziile Comisiei speciale au fost prezentate de preşedintele acesteia, Darius Vâlcov, potrivit căruia proiectul nu acoperă toate cerinţele complexe privind cadrul desfăşurării activităţii de exploatare a resurselor minerale în România. Darius Vâlcov consideră, de asemenea, că este necesară analizarea unor scenarii alternative de stabilire a redevenţelor şi a participaţiei statului în cazul exploatărilor miniere, având în vedere exemplul altor state.



    În condiţiile actuale, exploatarea minieră din Munţii Apuseni ar aduce economiei româneşti 5,2 miliarde de dolari, iar România ar deveni principalul producător de aur din Europa.

  • 19.11.2013 (mise à jour)

    19.11.2013 (mise à jour)

    Livre – Coup d’envoi mercredi à Bucarest de la Foire internationale du livre Gaudeamus, organisée chaque année par la radio publique roumaine. Plus de 400 maisons d’éditions roumaines et étrangères participent à cette 20e édition du plus important salon du livre de Roumanie, qui figure également parmi les 10 premiers d’Europe. Y participent aussi entreprises multimédia, agences littéraires, ONGs culturelles et éducationnelles, associations professionnelles, librairies et bibliothèques. Au programme de cet évènement figurent lancements de livre, conférences et projections de films, ainsi que différents ateliers créatifs. Les invités d’honneur de cette année sont les cinq pays nordiques : le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège et la Suède, réunis sous le slogan « Cool Nordic Bucharest ».



    Décentralisation – Le gouvernement de Bucarest a engagé mardi sa responsabilité sur le projet de loi de la décentralisation. Les secteurs visés sont la santé, l’agriculture, la protection de l’environnement, la culture (à l’exception des salles de cinéma), les programmes pour la jeunesse, le sport et le tourisme. Le premier ministre Victor Ponta a affirmé que cette loi simplifierait et rendrait plus efficace l’administration. Il a également précisé que l’impact sur le budget serait neutre, car les institutions décentralisées seront accompagnées des tranches budgétaires déjà allouées. Le PDL (en opposition) a annoncé sa décision de contester cette loi auprès de la Cour constitutionnelle.



    Rosia Montana – Le Sénat roumain a rejeté mardi le projet de loi sur lexploitation minière de Rosia Montana et le développement des activités minières en Roumanie. La décision est intervenue suite au rapport dune commission parlementaire spéciale. lacte réglementaire a un caractère organique, le for décisif étant la Chambre des Députés. Rappelons que le projet de l’exploitation de l’or et de l’argent à base de cyanures à Rosia Montana a été vivement critiqué par les ONGs environnementalistes qui protestent depuis plusieurs mois déjà à Bucarest. Par ailleurs, la société canadienne Rosia Montana Gold Corporation, engagée dans ce projet, affirme que par l’exploitation du gisement de Rosia Montana, la Roumanie deviendrait le principal fournisseur d’or d’Europe



    Economie – Le premier ministre roumain Victor Ponta regarde avec confiance la poursuite avec succès des réformes économiques en Roumanie. Dans une interview accordée à la chaîne américaine de télévision CNBC, le haut responsable roumain a précisé que les autorités de Bucarest poursuivront la coopération avec les bailleurs de fonds qui ont soutenu le pays pendant la crise financière. Le premier ministre roumain a rappelé qu’en 2013, la Roumanie avait enregistré la croissance économique la plus importante de l’UE, de 1,6%, et qu’elle devrait afficher 2,2% vers la fin de l’année en cours. Par ailleurs, Victor Ponta a admis que la Roumanie devrait parcourir un long chemin de réformes structurelles et que l’adhésion à la zone euro se produirait entre 2018 et 2020.



    Soutien – Le premier ministre de la République de Moldova, Iurie Leancă, a remercié la Roumanie du soutien constant à l’agenda européen de Chişinău. Le chef du gouvernement moldave a reçu mardi le ministre roumain des affaires étrangères, Titus Corlăţean, l’entretien portant sur des projets bilatéraux prioritaires, notamment dans le secteur énergétique, ainsi que sur les mesures concrètes de soutien au parcours européen de la République de Moldova. La visite à Chisinau du chef de la diplomatie roumaine Titus Corlăţean a eu lieu à la veille du Sommet du partenariat oriental de Vilnius où la Moldova doit signer les accords d’association et de libre échange avec l’UE.



    Défense – La Roumanie est particulièrement intéressée à intégrer son industrie de défense au système européen. C’est ce qu’a déclaré le ministre roumain du domaine, Mircea Duşa, lors d’une rencontre mardi à Bruxelles, avec ses homologues européens. Il a précisé qu’il s’agit de plus de 25 entreprises roumaines qui déroulent des activités de production dans ce secteur. Mircea Duşa a également mis en exergue la contribution de l’armée roumaine à la stabilisation de la situation au Mali et à l’opération anti-piraterie au large de la Somalie.


    Le

  • 19.11.2013

    19.11.2013

    Livre – Coup d’envoi mercredi à Bucarest de la Foire internationale du livre Gaudeamus, organisée chaque année par la radio publique roumaine. Plus de 400 maisons d’éditions roumaines et étrangères participent à cette 20e édition du plus important salon du livre de Roumanie, qui figure également parmi les 10 premiers d’Europe. Y participent aussi entreprises multimédia, agences littéraires, ONGs culturelles et éducationnelles, associations professionnelles, librairies et bibliothèques. Au programme de cet évènement figurent lancements de livre, conférences et projections de films, ainsi que différents ateliers créatifs. Les invités d’honneur de cette année sont les cinq pays nordiques : le Danemark, la Finlande, l’Islande, la Norvège et la Suède, réunis sous le slogan « Cool Nordic Bucharest ».



    Décentralisation – Le cabinet de Bucarest engage aujourd’hui sa responsabilité sur le projet de Loi de la décentralisation devant les chambres réunies du parlement de Bucarest. Ce moment sera précédé par une séance extraordinaire pendant laquelle les élus nationaux analyseront les amendements déposés. La santé, l’agriculture, l’environnement, la culture, la jeunesse, le sport et le tourisme sont les domaines qui font l’objet de la décentralisation. Le Parti Démocrate-libéral d’opposition a annoncé qu’il contesterait la loi à la Cour Constitutionnelle. C’est pour la deuxième fois que le cabinet du premier ministre social-démocrate Victor Ponta engage sa responsabilité sur un projet de loi. En avril, la même procédure a été utilisée pour l’adoption de la loi de la récupération des propriétés confisquées par le régime communiste.



    Rosia Montana – A Bucarest, le Sénat examine aujourd’hui le projet de loi sur l’exploitation minière de Rosia Montana et le développement des activités minières en Roumanie. Rappelons qu’une commission parlementaire spéciale a déjà rejeté ce projet. Le projet de l’exploitation de l’or et de l’argent à base de cyanures à Rosia Montana a été vivement critiqué par les ONGs environnementalistes qui protestent depuis plusieurs mois déjà à Bucarest. Par ailleurs, la société canadienne Rosia Montana Gold Corporation, engagée dans ce projet, affirme que par l’exploitation du gisement de Rosia Montana, la Roumanie deviendrait le principal fournisseur d’or d’Europe.



    Economie – Le premier ministre roumain Victor Ponta regarde avec confiance la poursuite avec succès des réformes économiques en Roumanie. Dans une interview accordée à la chaîne américaine de télévision CNBC, le haut responsable roumain a précisé que les autorités de Bucarest poursuivront la coopération avec les bailleurs de fonds qui ont soutenu le pays pendant la crise financière. Le premier ministre roumain a rappelé qu’en 2013, la Roumanie avait enregistré la croissance économique la plus importante de l’UE, de 1,6%, et qu’elle devrait afficher 2,2% vers la fin de l’année en cours. Par ailleurs, Victor Ponta a admis que la Roumanie devrait parcourir un long chemin de réformes structurelles et que l’adhésion à la zone euro se produirait entre 2018 et 2020.



    Visite – A Chisinau, le ministre roumain des Affaires Etrangères, Titus Corlatean doit présenter aujourd’hui des mesures concrètes de soutien au parcours européen de la République de Moldova. Les pourparlers se déroulent sur la toile de fond des préparatifs pour le Sommet du partenariat oriental de Vilnius, où la République de Moldova devrait signer des accords d’association et de libre échange avec l’UE. Le responsable roumain sera reçu par le président moldave Nicolae Timofti, avant de rencontrer le premier ministre Iurie Leanca.



    Foot – L’équipe nationale de foot de Roumanie doit rencontrer ce soir à Bucarest la Grèce dans le match retour de son barrage de qualification à la Coupe du Monde 2014. Dans le match aller, joué la semaine dernière au Pirée, la Grèce s’est imposée sur le score de 3 buts à 1. Le dernier tournoi mondial joué par la Roumanie a été celui de France en 1998.

  • La semaine du 11  au 16 novembre 2013

    La semaine du 11 au 16 novembre 2013

    L’exécutif de Bucarest a approuvé le projet du budget d’Etat 2014



    Le gouvernement roumain a approuvé le projet du budget d’Etat pour 2014, qui sera débattu avant d’être voté par le Parlement. La construction budgétaire proposée par l’exécutif de centre gauche s’appuie sur une croissance économique de 2,2% et un déficit de 2,2%. Plus de la moitié de ce budget total d’environ 50 milliards d’euros, sera alloué aux salaires, retraites et indemnisations sociales. Le montant pour les investissements se chiffrera à environ 6% du PIB. Le projet du budget prévoit aussi une indexation de 3,76% des retraites, la majoration du SMIC à environ 200 euros et l’introduction d’une bourse mensuelle de 40 euros accordée aux internes en médecine et pharmacie. L’Education nationale bénéficiera de fonds supplémentaires d’environ 300 millions d’euros qui aideront à achever les travaux d’infrastructure financés par des fonds européens. Les salaires des enseignants débutants et des maîtres assistants universitaires augmenteront également de 10%. Afin de soutenir ces dépenses, le cabinet table sur une meilleure collecte des impôts et sur la réduction de l’évasion fiscale. L’opposition critique le document adopté par l’exécutif de Bucarest. Le leader démocrate libéral Vasile Blaga affirme qu’il s’agit d’un budget de l’involution économique qui touchera notamment le milieu des affaires et qu’en fin de compte les Roumains perdront de l’argent. Le premier ministre Victor Ponta a demandé à ses partenaires du gouvernement à faire preuve de solidarité dans la prise de décisions afin de respecter les engagements prévus dans les accords avec les bailleurs internationaux.



    Le projet de la loi de la décentralisation a été approuvé par le gouvernement



    Cette semaine, le gouvernement a également approuvé le projet de loi de la décentralisation sur laquelle il engagera sa responsabilité devant le Parlement, la semaine prochaine. La santé, l’agriculture, l’environnement, la culture, la jeunesse et le sport — voilà quelques domaines dont les compétences et les attributions, une fois la loi appliquée, feront l’objet de cette décentralisation. Le même projet de loi transfère aux pouvoirs locaux la responsabilité de l’autorisation et de la classification dans le domaine du tourisme, les clubs et espaces destinés aux activités sportives, les colonies de vacances pour les élèves ainsi que les institutions ayant des attributions territoriales dans le domaine de la pêche. Selon le vice-premier ministre Liviu Dragnea, la décentralisation ne comporte pas de dépenses supplémentaires. «Suite à ce processus de décentralisation, quelque 14 mille personnes travailleront dans les institutions décentralisées. Ceux, qui travaillaient jusqu’ici dans les institutions appartenant jusqu’ici aux ministères, seront eux aussi transférés aux institutions décentralisées, soumises au contrôle des autorités locales. »


    Liviu Dragnea a précisé que la police, les services sociaux, les ports et les salles de cinéma ne feraient pas l’objet de la décentralisation.



    Les actions de la compagnie Romgaz — cotées en Bourse à Londres et à Bucarest



    Les actions de la compagnie Romgaz — le plus grand producteur et fournisseur de gaz naturels de Roumanie — ont été cotées en bourse, pour la première fois et le même jour à Londres et à Bucarest. Présent dans la capitale britannique, le premier ministre Victor Ponta a déclaré son espoir que d’autres compagnies d’Etat de Roumanie entreraient sur le marché de transactions international. Victor Ponta : « En nous appuyant sur cette histoire à succès, j’espère être de retour ici l’année prochaine avec Hidroelectrica, Electrica et d’autres compagnies publiques roumaines. J’espère aussi que cela enverra aux investisseurs étrangers le message le plus important, celui que la Roumanie est ouverte au monde et que nous sommes prêts à utiliser notre potentiel qui n’a pas été mis en valeur jusqu’à présent. »



    Le projet de l’exploitation aurifère de Rosia Montana a reçu l’avis négatif de la commission parlementaire spéciale



    Le projet de loi sur l’exploitation aurifère cyanurée de Rosia Montana initié par le gouvernement de Victor Ponta sera envoyé au Parlement avec l’avis négatif de la commission parlementaire spéciale. Le projet minier sera mis en place au terme d’une nouvelle loi qui établira les critères généraux pour toutes les exploitations minières de Roumanie. Malgré l’avis négatif, le rapport de la commission a été salué par la compagnie RMGC qui souhaite développer le projet de Rosia Montana, peut-on lire dans un communiqué de presse où l’investisseur canadien se dit impatient de voir adopter les nouvelles prévisions. La commission parlementaire spéciale a été créée suite aux manifestations sans précédent organisées par les militants écologistes qui dénoncent les conséquences négatives d’un tel projet sur l’environnement et la santé.



    Protestations dans l’Education et la Santé



    Des milliers d’étudiants de Roumanie ont manifesté dans plusieurs centres universitaires du pays pour demander notamment l’octroi de 6% du PIB à l’éducation, à compter de l’année prochaine. Par ailleurs, sur la liste de leurs revendications ont figuré également une majoration de 30% de la subvention qui leur est attribuée pour le logement et les repas et l’augmentation des bourses. Les étudiants dénoncent le fait que le sous-financement de l’éducation a entraîné la majoration d’une série de taxes et la fusion de plusieurs facultés. Leurs protestations bénéficient de l’appui de plusieurs enseignants et élèves. Ceux derniers ont porté des banderoles durant les classes en signe de solidarité avec les étudiants. Par ailleurs, la Fédération sanitaire SANITAS a annoncé organiser le 25 novembre une grève d’avertissement dans le système sanitaire, avant de déclencher la grève générale à partir du 28 novembre. Les syndicalistes demandent, entre autres, l’allocation d’un budget d’au moins 6% du PIB à ce secteur, une loi des salaires spécifique au système, des conditions de travail améliorées et la démission du ministre de la Santé, Eugen Nicolaescu. La Caisse nationale d’assurance maladie la Sécurité sociale affirme que le budget 2014 permettra le bon fonctionnement du système et l’amélioration des soins médicaux…(aut. : Ioana Stancescu, Alex Diaconescu, Ileana Taroi, Dominique)


  • Die Woche 11.11.-15.11.2013 im Überblick

    Die Woche 11.11.-15.11.2013 im Überblick

    Die Regierung in Bukarest hat den Haushaltsentwurf für 2014 angenommen




    Die Regierung in Bukarest hat am Donnerstag den Haushaltsentwurf für 2014 angenommen. Das Dokument soll weiter vom Parlament gebilligt werden. Für das Jahr 2014 wird ein Wirtschaftswachstum von 2,2% und eine Inflation von 2,4% eingeschätzt. Der Währungskurs Leu-Euro sollte bei 4 Lei und 45 Bani liegen. Darauf fu‎ßt der Haushalt Rumäniens, erklärte der rumänische Ministerpräsident Victor Ponta. Unser Land erzielte in diesem Jahr das grö‎ßte BIP nach 1989. Am Ende der zweitägigen Verhandlungen hat man Folgendes schlussfolgert: aus einem Gesamtwert von rund 230 Milliarden Lei (rund 500 Millionen Euro) werden 216 Milliarden aus Steuern und Gebühren kommen. Die Differenz von 14 Milliarden bedeutet Schulden, also ein Haushaltsdefizit von 2,2%. 40 Milliarden werden der Verwaltung zugeteilt. 6 Milliarden wurden für die Subventionen in der Landwirtschaft geplant. Die für Investitionen zugeteilte Summe wird sich im Jahre 2014 auf 40 Milliarden Lei beziffern, das bedeutet 6% des BIPs. 120 Milliarden gehen zu den Löhnen, Renten und Sozialhilfen. Die Renten werden um 3,76% steigen. Der Mindestlohn wird in zwei Etappen bis auf 900 Lei (rund 200 Euro) erhöht. Die Assistenzärzte und -apotheker werden ein Monatsstipendium von 670 Lei (150 Euro) bekommen. Dem rumänischen Gesundheitssystem wurden für das Jahr 2014 30 Milliarden Lei zugeteilt. Der rumänische Premierminister Victor Ponta sagte, die Regierungspartner sollten sich solidarisch verhalten, damit die Verpflichtungen gegenüber der internationalen Kredigebern erfüllt werden können.




    Die Regierung will Vertrauensfrage für Dezentralisierungsgesetz stellen




    Am Donnerstag hat das Regierungskabinett endlich den Gesetzentwurf über Dezentralisierung angenommen, und auch bekanntgegeben, es werde nächste Woche im Parlament die Vertrauensfrage dafür stellen. Laut Ministerpräsident Victor Ponta soll das Dezentralisierungsgesetz am 1. Januar 2014 in Kraft treten. Die ersten Bereichen, in denen mit dem Inkrafttreten des neuen Gesetzes die ministeriellen Zuständigkeiten und Befugnisse dezentralisiert werden sind Gesundheit, Landwirtschaft, Umwelt, Kultur, Jugend und Sport. Ferner sollen die Kommunalverwaltungen auch die Autorisierung und Klassifizierung der touristischen Infrastruktur, die Sportanlagen und Sportklubs, die Ferienlager für Schüler und Studenten, sowie die Einrichtungen mit territorialen Befugnissen im Fischereibereich übernehmen. Es war zu erwarten, dass ein so gro‎ßes Projekt auch mit erheblichen Kosten verbunden ist, aber Vizepremier Liviu Dragnea sagte, der Dezentralisierungsprozess würde keine zusätzliche Kosten fordern:




    Durch den Dezentralisierungsprozess werden etwa 14.000 Angestellte in dezentralisierten Einrichtungen arbeiten. Das hei‎ßt, da‎ß die Angestellten, die bis jetzt in ministeriellen Einrichtungen arbeiteten, ihre gesamten Rechte auch in den von den Kommunalbehörden verwalteten dezentralisierten Einrichtungen behalten.”




    Die Polizei, die Agenturen für soziale Dienstleistungen und die Häfen werden vom Dezentralisierungsgesetz nicht betroffen, sagfte noch Vizepremier Liviu Dragnea.




    Romgaz, das grö‎ßte rumänische staatliche Gasunternehmen, wurde an den Börsen in London und Bukarest gelistet




    Am Dienstag wurden gleichzeitig an den Börsen in London und Bukarest die Aktien von Romgaz, dem grössten Gasproduzenten und –lieferanten in Rumänien, gelistet. Ministerpräsident Victor Ponta, der an dem Ereignis in der britischen Hauptstadt teilnahm, bezeichnete es als einen historischen Augenblick für Rumänien. Der Augenblick sei historisch gewesen, meinte Victor Ponta, denn Romgaz war das erste rumänische staatliche Unternehmen, das im Rahmen einer solchen internationalen Operation gelistet wurde. In London sagte Victor Ponta, er hoffe, dass auch andere staatliche Unternehmen aus Rumänien auf den internationalen Markt kommen werden:




    “Basierend auf diese Erfolgsgeschichte hoffe ich nächstes Jahr hier auch mit Hidroelectrica, Electrica und mit anderen staatlichen Unternehmen zurück zu kommen. Ich hoffe, das wird den ausländischen Investoren die wichtigste Botschaft senden, dass Rumänien gegenüber der Welt offen steht und wir bereit sind das bis jetzt nicht ausgenutzte Potential zu benutzen.”




    Das Goldabbauprojekt Roşia Montană ist von dem Sonderabschuss des Parlaments abgelehnt worden




    Der Sonderausschuss des Rumänischen Parlaments hat am Montag den Gesetzentwurf der Regierung zurückgewiesen, der grünes Licht für die Goldgewinnung für das Bergbauprojekt in Rosia Montana in den Westkarpaten Rumäniens gab. Der Bericht des Ausschusses bewertet hauptsächlich das besagte Projekt und den Goldabbau mithilfe des Zyanids, mit negativen Auswirkungen auf die Umwelt. Die Parlamentsabgeordneten schlagen au‎ßerdem die Veröffentlichung der bisher Geheimen Abbaulizenz vor. Dadurch soll man erfahren, wer in der Vergangenheit Druck ausgeübt hat, damit die Lizenz an die Gesellschaft Rosia Montana kostenfrei übergeben wird. Man empfiehlt au‎ßerdem die Erarbeitung eines neuen Rahmengesetzes für die Goldgewinnung in Rumänien.




    Unzufriedenheit und Proteste im Ausbildungs- und Gesundheitssystem




    Tausende Studenten haben diese Woche gegen die Position der Regierenden gegenüber der Ausbildung protestiert. Die protestierenden Stundenten fordern, dass 6% des BIP für Ausbildung zugewiesen werden. Weitere Forderungen der Studenten sind die Erhöhung der Subvention für Stundenteheime und für Kantinen um 30% und die Erhöhung des Stipendienfonds. Viele Hochschulprofessoren unterstützten die Forderungen der protestierenden Studenten; zahlreiche Schüler schlossen sich den Studentenproteste an, indem sie im Unterricht wei‎ße Bänder trugen. Der delegierte Minister für Universitärstudien Mihnea Costoiu versicherte die Studenten, dass die von ihm geführte Institution alle Bemühungen unternimmt, um deren Situation zu verbessern und um den Zugang zu einem hochqualitativen Bildungssystem, innerhalb der Haushaltseinschränkungen, mit der sich Rumänien konfrontiert, zu gewährleisten.


    Die Angestellten vom rumänischen Gesundheitssystem werden am 25. November einen Warnstreik und am 28. November einen Generalstreik antreten – so die Gewerkschaften aus diesem Sektor. Die Regierung hat keine Lösungen gefunden, was zu Unzufriedenheiten führte. Die Angestellten fordern den Rücktritt des Gesundheitsministers Eugen Nicolaescu, die Zuweisung von 6% des BIP für das Gesundheitssystem, ein neues Entlohnungsgesetz, spezifisch für diesen Bereich und bessere Arbeitsbedingungen. In den letzten Wochen organisierten die Gewerkschaften vom Gesundheitssystem mehrere Protestdemonstrationen und Mahnwachen vor dem Sitz der Regierung und des Gesundheitsministeriums.



  • Retrospectiva săptămânii 10/11 – 16/11/2013

    Retrospectiva săptămânii 10/11 – 16/11/2013

    Executivul român a aprobat proiectul bugetului de stat pe 2014



    Guvernul de la Bucureşti a aprobat proiectul bugetului de stat pe anul viitor, iar documentul va ajunge în Parlament pentru dezbatere si adoptare. Construcţia bugetară se bazează pe o creştere economică de 2,2% şi pe o inflaţie de 2,4 procente. Din bugetul total, estimat la 230 de miliarde de lei (circa 50 de miliarde de euro), mai mult de jumătate sunt pentru salarii, pensii şi asistenţă socială. Suma alocată investiţiilor va ajunge la 6% din PIB. Sunt cuprinse în buget şi cheltuielile legate de indexarea pensiilor cu 3,76%, creşterea salariului minim la 900 de lei, în două etape, şi acordarea unei burse lunare de circa 150 de euro medicilor şi farmaciştilor rezidenţi. Educaţia primeşte fonduri suplimentare – 300 de milioane de euro pentru finalizarea lucrărilor începute pe fonduri europene în infrastructura şcolară. De asemenea, vor creşte cu 10% salariile profesorilor debutanţi, ale preparatorilor şi asistenţilor universitari. Pentru susţinerea acestor cheltuieli, Guvernul se bazează pe îmbunătăţirea colectării banilor, reducerea evaziunii fiscale şi creşterea încasărilor. Opoziţia critică bugetul adoptat de executiv. Liderul PDL, Vasile Blaga, consideră că este un buget al involuţiei economice, care va afecta mediul de afaceri şi va scoate mai mulţi bani din buzunarul românilor. Premierul Victor Ponta le-a cerut partenerilor de guvernare să fie solidari în luarea deciziilor pentru a respecta angajamentele luate în faţa creditorilor internaţionali.




    Proiectul legii descentralizării a fost aprobat de guvern



    Executivul a aprobat, în această săptămână, şi proiectul legii descentralizării, pentru care îşi va asuma răspunderea în Parlament săptămâna viitoare. Actul normativ prevede că sănătatea, agricultura, mediul, cultura, tineretul şi sportul sunt principalele domenii ale căror competenţe şi atribuţii se vor descentraliza. Vor trece în administrare locală şi autorizarea şi clasificarea în turism, cluburile şi bazele sportive, taberele şcolare, precum şi instituţiile cu atribuţii teritoriale în ceea ce priveşte pescuitul. Vicepremierul Liviu Dragnea spune că procesul nu presupune cheltuieli suplimentare. Liviu Dragnea: Prin aceste proces de descentralizare, aproximativ 14.000 de oameni vor lucra în instituţiile descentralizate, adică cei care lucrau până acum în instituţii deconcentrate, care erau în subordinea ministerelor, pleacă cu toate drepturile pe care le au în acest moment la instituţiile descentralizate, care vor fi în subordinea autorităţilor locale.” Liviu Dragnea a mai precizat că Poliţia şi agenţiile de prestaţii sociale nu vor intra în procesul de descentralizare. El a mai anunţat că nu vor fi transferate autorităţilor locale nici porturile, nici clădirile cinematografelor.




    Acţiunile companiei Romgaz au fost listate, în paralel, la Bursa de la Londra şi cea de la Bucureşti



    Acţiunile companiei Romgaz – cel mai mare producător şi furnizor de gaze naturale din România – au fost listate, la începutul acestei săptămâni, pentru prima dată, în paralel, la Bursa de la Londra şi cea de la Bucureşti. La evenimentul din capitala Marii Britanii a participat şi premierul Victor Ponta care şi-a exprimat speranţa că şi alte companii de stat româneşti vor putea fi tranzacţionate pe piaţa internaţională. Victor Ponta: Bazându-ne pe această poveste de succes, sper ca la anul să revenim aici şi cu Hidroelectrica, Electrica şi alte companii publice româneşti. Şi sper că acest lucru le va da investitorilor străini cel mai important mesaj, că România este deschisă către lume şi suntem gata să ne folosim potenţialul care nu a fost valorificat până acum.”




    Proiectul privind Roşia Montană a primit aviz negativ din partea comisiei parlamentare speciale



    Proiectul de lege privind exploatarea auriferă cu cianuri de la Roşia Montană, iniţiat de guvern, va fi trimis plenului, după ce a primit aviz negativ din partea comisiei parlamentare speciale. Proiectul minier din Apuseni se va face printr-o nouă lege, care va stabili criterii generale pentru exploatările miniere din România. În pofida avizului negativ, raportul comisiei este apreciat de compania Roşia Montană Gold Corporation, care doreşte dezvoltarea proiectului, într-un comunicat de presă investitorul canadian exprimându-şi speranţa că noile prevederi vor fi adoptate cât mai repede. Comisia parlamentară specială a fost înfiinţată în urma protestelor de stradă organizate luni de zile, în fiecare duminică, de militanţii ecologişti, care au avertizat asupra efectelor pe care le-ar avea pentru mediu tehnologia cu cianuri.




    Nemulţumiri în sistemele Educaţiei, respectiv Sănătăţii



    Câteva mii de studenţi au ieşit în stradă în mai multe centre universitare din România cerând alocarea a 6% din PIB pentru învăţământ, creşterea subvenţiei pentru cămine şi cantine cu 30% şi creşterea fondului de burse. Studenţii spun că universităţile, în contextul unei subfinanţări a educaţiei din România, au fost nevoite să crească o serie de taxe, să comaseze grupe şi facultăţi. Mulţi dintre profesori le susţin revendicările, iar o parte dintre elevi au susţinut protestul prin purtarea unor banderole la orele de curs. Nemulţumiri sunt şi în sistemul de sănătate. Federaţia sindicală SANITAS a anunţat că pe 25 noiembrie va fi grevă de avertisment, iar din 28 noiembrie grevă generală pe termen nelimitat. Sindicaliştii cer, printre altele, alocarea a cel puţin 6 procente din PIB pentru sănătate, o lege a salarizării specifică sistemului, asigurarea unor servicii prompte şi de calitate pentru pacienţi, dar şi demisia ministrului Eugen Nicolăescu. Casa Naţională de Asigurări de Sănătate susţine că bugetul pe anul 2014 va permite buna funcţionare a sistemului şi îmbunătăţirea calităţii serviciilor către pacienţi.

  • 12.11.2013 (mise à jour)

    12.11.2013 (mise à jour)

    Schengen – La Roumanie et la Bulgarie n’accéderont pas à l’espace Schengen le 1er janvier 2014, a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, lundi soir sur la chaîne française de télévision LCI. Dans une interview accordée en septembre à la radio publique bulgare, M Barroso a affirmé que les deux pays remplissaient les critères d’adhésion à Schengen et qu’ils pourraient devenir membres sous peu. L’adhésion des deux pays de l’UE à l’espace de libre circulation a été bloquée en septembre 2011 à la demande de la Finlande et des Pays-Bas qui dénonçaient la corruption à Bucarest et l’absence d’actions concrètes de lutte contre le crime organisé à Sofia.



    Romgaz – La Roumanie reviendra l’année prochaine à Londres avec d’autres compagnies publiques, a déclaré ce mardi le chef du cabinet de Bucarest, Victor Ponta. Il tenait ces propos au premier jour de la cotation à la bourse londonienne des actions Romgaz, mises en vente simultanément à la bourse des valeurs de Bucarest. Plus grand producteur et fournisseur de gaz naturel de Roumanie Romgaz est la première entreprise publique roumaine cotée à la bourse de Londres. L’Etat roumain avait vendu fin octobre 15 % des actions Romgaz contre plus de 390 millions d’euros, par une offre initiale à la bourse.



    Protestations – Les élèves et les étudiants de Roumanie vont protester à nouveau mercredi contre le sous-financement de l’éducation nationale. Les élèves, qui porteront des banderoles blanches, se joindront, après les classes, aux protestations estudiantines prévues dans les grands centres universitaires du pays. Les étudiants réclament notamment l’octroi de 6% du PIB à l’éducation, à compter de l’année prochaine. Ils demandent aussi l’augmentation du financement de base des universités. Parmi les revendications des élèves figurent la majoration des allocations, la dotation adéquate des établissements d’enseignement, le remboursement intégral des frais de transport pour ceux qui font la navette, la révision des curricula et du contenu des manuels scolaires.



    Transports – Les transporteurs routiers de Roumanie ont menacé mardi de déclencher une série de protestations en décembre au cas où le ministère des Transports ne trouve pas de solution aux problèmes de la branche. Parmi eux : l’état précaire de l’infrastructure routière, la fiscalité exagérée, les nombreux changements de législation et le manque d’appui à l’activité des transporteurs. Les protestations annoncées au mois de mai ont été suspendues à la suite des engagements assumés et signés par la direction du ministère des Transports, rappellent les représentants de la confédération nationale routière. Ils affirment avoir décidé d’organiser une protestation nationale en décembre parce que le ministère n’a pas tenu ses promesses.



    Fonds européens – A la fin de l’année en cours, le taux d’absorption des fonds européens se chiffrera à 30%, a déclaré mardi à Bucarest le ministre chargé de ce domaine, Eugen Teodorovici, lors d’un colloque. Il a précisé qu’actuellement la Roumanie enregistre un taux d’absorption de 26%. Le responsable roumain a estimé qu’en 2015 la Roumanie intégrerait 80% de l’allocation financière de l’UE. Par ailleurs, selon Eugen Teodorovici, la Roumanie a besoin de davantage de cohérence et de détermination afin d’attirer des financements communautaires.



    Rosia Montana – Le projet de loi élaboré par le gouvernement au sujet de l’exploitation aurifère de Rosia Montana, dans le centre de la Roumanie, sera présenté au Parlement de Bucarest qui devrait en décider. Ce lundi, le projet a reçu l’avis négatif de la commission parlementaire chargée de ce dossier, qui accuse notamment les risques écologiques qu’implique l’exploitation des réserves d’or à avec des cyanures. La société canadienne initiatrice du projet de Rosia Montana espère que le Parlement de Bucarest adoptera cette législation au plus tôt afin de pouvoir démarrer l’exploitation dans la première moitié de l’année 2014.