Tag: Sibiu

  • Le Festival International de Théâtre de Sibiu

    Le Festival International de Théâtre de Sibiu

    Le Festival International de Théâtre de Sibiu est probablement l’événement du genre le plus important de Roumanie et le troisième en Europe pour ce qui est de son ampleur, après ceux d’Edimbourg et d’Avignon. L’édition de cette année se donne pour but de poursuivre la tradition d’une offre culturelle au plus haut niveau. Dix jours durant, l’ancienne cité des Saxons dans le sud de la province de Transylvanie se transforme en une scène immense, grâce à des artistes venus des 4 coins du monde. Les événements ont lieu dans une soixantaine dendroits, dont places publiques, églises, sites historiques mais aussi salles de spectacle traditionnelles.



    Chaque édition du Festival a un thème généreux, celui de cette 21e édition étant «Unicité en diversité ». Prévu du 6 au 15 juin, l’événement réunit 2 500 artistes et invités de 70 pays. A l’affiche figurent 350 spectacles de théâtre, de danse, de musique, représentations de rue, de cirque, expositions, ateliers de lecture, conférences. En effet, les organisateurs proposent un véritable marathon d’événements uniques, qui, hormis les spectacles de théâtre, prévoit aussi des projections de films et lancements de livres.



    A noter, parmi les points dorgue, la présence de l’écrivain, acteur et réalisateur libanais, Wajdi Mouawad, avec son spectacle fétiche «Seuls», mais aussi avec le film tiré de sa pièce «Incendies», nominé aux Oscars 2011 dans la section « meilleur film étranger » ou encore la sculpture monumentale «Luminarium Mirazozo», qui pourra être admirée sur la Grande Place de Sibiu. Inspirée de l’architecture islamique et gothique, le Luminarium est une structure gonflable, censée procurer au public une série d’expériences extrasensorielles à l’aide des jeux de lumière sur des formes géométriques colorées ou transparentes.



    Enfin, de nouvelles étoiles seront attribuées sur l’Allée des Célébrités de Sibiu, conçue selon le modèle du célèbre Walk of Fame hollywoodien. La liste des étoiles sera entre autres complétée par le metteur en scène, acteur, réalisateur et écrivain britannique, Peter Brook, le danseur et chorégraphe roumain, Gigi Caciuleanu ou Martin Hochmeister, fondateur du premier théâtre de Sibiu. Selon le directeur du Festival, Constantin Chiriac, les événements déroulés dans le cadre de cette 21e édition respectent le principe des vases communicants; on s’attend à ce qu’ils confirment la vocation humaniste de la ville de Sibiu, capitale européenne de la culture en 2007. (trad.: Alexandra Pop)

  • 06.06.2014 (mise à jour)

    06.06.2014 (mise à jour)

    Corruption — La Cour d’Appel de Bucarest a décidé vendredi d’arrêter pour 30 jours l’homme d’affaires Dan Adamescu accusé d’avoir donné des pots-de-vin. Cette décision n’est pas définitive pouvant être contestée. Classé deuxième dans le top des Roumains les plus riches, Adamescu a graissé la patte de deux juges en échange de solutions favorables des dossiers d’insolvabilité des sociétés où il est actionnaire. Par ailleurs, le vice-président de l’Autorité Nationale de L’Energie et un directeur de ENEL, important distributeur d’énergie électrique ont été placés en garde à vue par les procureurs de la Direction Nationale Anticorruption pour avoir offert et perçu des pots-de-vin et pour trafic d’influence. Dans d’autres dossiers, les procureurs ont retenu le chef de la Direction d’infrastructure et de services publics de la mairie de Bucarest accusé, entre autres, de faux, abus en service et trafic d’influence ainsi que l’ex-directeur général de la Régie de Transports de la capitale pour abus en service qui aurait produit un préjudice de quelques 820 000 euros.



    FMI — Une mission conjointe du FMI, de la Commission européenne et de la Banque mondiale se trouve à Bucarest jusqu’au 16 juin, pour une troisième évaluation de l’accord de précaution signé avec la Roumanie, l’automne dernier. Aujourd’hui, les représentants des bailleurs de fonds internationaux ont des entretiens avec des officiels des Ministères de la Santé et des Finances ainsi qu’avec ceux de la Banque centrale. Les responsables roumains et internationaux essaient de trouver à cette occasion des solutions pour la mise en œuvre d’une baisse de 5% des cotisations à la sécurité sociale payées par les employeurs. La mesure devrait entrer en vigueur au 1er juillet prochain. Suite aux discussions cette semaine avec les représentants des créanciers internationaux, le gouvernement roumain a approuvé les mesures visant à rendre plus efficace le secteur ferroviaire roumain.



    Théâtre — Coup d’envoi aujourd’hui à Sibiu, au centre de la Roumanie, de la 21e édition du Festival International de Théâtre — le plus important de Roumanie. 10 jours durant, des centaines d’événements animés par 2500 artistes de 70 pays transformeront la ville en une scène immense — spectacles de théâtre, de danse et de musique et de cirque, représentations de rue, défilés, ateliers de lecture et conférences sont prévus. Le thème de l’actuelle édition est «Unicité en diversité ». Le Festival de Sibiu est considéré comme le troisième événement de ce type au monde, après ceux d’Edimbourg et d’Avignon.



    Tennis — Après la qualification jeudi soir pour la finale du tournoi de Rolland Garros, la joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, grimpera sur la troisième position du classement mondial, quel que soit le résultat du match contre la Russe Maria Sharapova, prévu samedi. En demi-finale la Roumaine s’est imposée en deux sets devant l’Allemande Andrea Petkovici. C’est pour la première fois que Simona, élue joueuse qui a le plus progressé en 2013, accède à une finale d’un tournoi de Grand Chelem. La dernière joueuse de tennis de Roumanie s’étant qualifiée pour la finale d’un tournoi de grand chelem a été Virginia Ruzici en 1980, toujours à Roland Garros, un tournoi qu’elle avait remporté en 1978.



  • Internationales Theaterfestival in Sibiu beginnt am Freitag

    Internationales Theaterfestival in Sibiu beginnt am Freitag

    Das Internationale Theater-Festival in Sibiu ist wahrscheinlich das komplexeste Festival, das jährlich in Rumänien organisiert wird. Und es ist das drittgrö‎ßte Festival für darstellende Künste in Europa, nach dem Internationalen Festival im schottischen Edinburgh und dem Festival im französischen Avignon.



    Die diesjährige Auflage des Festivals in Hermannstadt setzt die Tradition eines kulturellen Angebots vom feinsten fort. Zehn Tage lang wird die alte Burg der Siebenbürger Sachsen zur riesigen Bühne, mit Künstlern aus allen Ecken der Welt, die ihre Aufführungen an über 60 Veranstaltungsorten präsentieren: darunter Marktplätze, Kirchen, historische Stätten und klassische Theatersäle. Jede Auflage des Festivals findet unter einem Motto statt, diesmal hei‎ßt es “Einheit in Vielfalt”.



    Das diesjährige 21. Festival in Sibiu findet zwischen dem 6.-15. Juni statt. Daran beteiligen sich 2500 Künstler und Gäste aus 70 Ländern. Auf dem Programm stehen 350 Darbietungen: Theateraufführungen, Tanzdarbietungen, Musikkonzerte, Stra‎ßenaufführungen, Zirkusshows, Ausstellungen, Lesungen und Konferenzen. Die Auflage 2014 gleicht einem Marathon einzigartiger Veranstaltungen. Neben den Theateraufführungen haben die Veranstalter eine Reihe von Filmvorführungen und Buchpremieren geplant.



    Das Festival wird mit dem Film “Die Frau die singt” eröffnet, der 2011 für den Oscar in der Kategorie Bester fremdsprachiger Film nominiert wurde. Das Drehbuch zum Film basiert auf einem Drama des libanesischen Schriftstellers, Schauspielers und Regisseurs Wajdi Mouawad, der bei der Eröffnungsveranstaltung in Sibiu anwesend sein wird. Dabei wird er ein Podiumsgespräch mit dem bekannten rumänischen Theaterkritiker George Banu führen. Eine weitere ungewöhnliche Darbietung ist das Ausstellungskonzept “Luminarium Mirazozo” am gro‎ßen Ring in Hermannstadt, das dem interaktiven Spiel mit Licht und Farbe gewidmet ist. Das Konzept ist aus der islamischen und gothischen Architektur inspiriert und beinhaltet eine aufblasbare Struktur, an der das Publikum eine Reihe von au‎ßersinnlichen Wahrnehmungen experimentieren kann. Diese beruhen auf dem auf farbige oder durchsichtige geometrische Flächen projizierten Lichtspiel.



    Nicht zuletzt sollen neue Sterne auf der Allee der Persönlichkeiten eingeweiht werden — nach dem Vorbild des Walk of Fame in Hollywood. Zum ersten Mal werden die Sterne von Peter Brook, Gigi Căciuleanu, Martin Hochmeister (dem Gründer des ersten Theaters in Sibiu), Krystian Lupa, Radu Stanca und Peter Stein in Hermannstadt erstrahlen. Laut Angaben des Festivaldirektors Constantin Chiriac, werden die Veranstaltungen der 21. Auflage nach dem Grundsatz kommunizierender Gefä‎ße stattfinden. Besucher können erwarten, dass das Programm die humanistische Berufung der europäischen Kulturhauptstadt von 2007 hervorheben wird.

  • The International Theatre Festival in Sibiu

    The International Theatre Festival in Sibiu

    The International Theatre Festival in Sibiu is perhaps the most complex annual festival taking place in Romania and the third largest of its kind in Europe after Edinburgh and Avignon. For ten days this year, the old Saxon settlement in central Transylvania becomes a huge open-air stage, with artists coming from all corners of the world and events taking place in 60 different locations across the city, including public squares, churches, historical sites and conventional performance spaces.



    Now in its 21st year, the festival unfolds between the 6th and the 15th of June and brings together 2,500 artists from 70 different countries, as well as 350 theatre performances, dance and music shows, street performances, circus shows, exhibitions, readings and conferences, all of which are held under the motto Uniqueness in Diversity. Apart from theatre, the programme of the festival this year also includes film screenings and book launches.



    One of the highlights of the festival is the presence of the Lebanese writer, actor and director Wajdi Mouawad, whose film “Incendies” received an Oscar nomination in 2011 in the best foreign film category. He will have an open dialogue with Romanian theatre critic George Banu. Another attraction this year is a sculpture entitled Luminarium Mirazozo based on the interplay between light and shadow. Inspired by Islamic and Gothic architecture, this is an inflatable structure providing visitors with a multisensorial experience created by the light shining coloured or transparent geometric surfaces.



    Last but not least, new stars will be added to Celebrity Walk, modelled after Hollywood’s Walk of Fame: British theatre director Peter Brook, Romanian choreographer Gigi Caciuleanu, Martin Hochmeister, the founder of the first theatre in Sibiu, Romanian theatre director and set designer Krystian Lupa, Romanian playwright and theatre director Radu Stanca and German theatre director Peter Stein. In the words of Constantin Chiriac, the director of the Sibiu Theatre Festival, this year’s events are organised according to the principle of communicating vessels. It is to be expected, therefore, that they will reconfirm the humanist vocation of a city which in 2007 received the title of European Capital of Culture.

  • Festivalul Internaţional de Teatru de la Sibiu

    Festivalul Internaţional de Teatru de la Sibiu

    Festivalul Internaţional de Teatru de la Sibiu reprezintă, probabil, cel mai complex festival anual din România şi cel de-al treilea festival de artele spectacolului din Europa, ca amploare şi dimensiune, după Festivalul Internaţional de la Edinburgh (Marea Britanie) şi Festivalul de la Avignon (Franţa).



    Ediţia din acest an îşi propune să continue tradiţia unei oferte culturale la cel mai înal nivel. Timp de zece zile, vechea cetate a saşilor din sudul Transilvaniei se transformă într-o scenă uriaşă, cu artişti din toate colţurile lumii, care prezintă evenimente în peste 60 de spaţii, intre care pieţe publice, biserici, situri istorice, dar şi săli clasice de spectacol. Fiecare ediţie a festivalului se desfăşoară sub genericul unei teme generoase.



    La a XXI a ediţie, care are loc, anul acesta, între 6-15 iunie, participă 2.500 de artişti şi invitaţi din 70 de ţări. Ei vor prezenta 350 de spectacole de teatru, dans, muzică, reprezentaţii de stradă, circ, expoziţii, spectacole-lectură, conferinţe, toate puse sub genericul “Unicitate în diversitate”.



    Ediţia 2014 a programat un maraton de evenimente unice care include, în afara reprezentaţiilor de teatru, un program de filme şi lansări de carte. Se remarcă, în deschiderea Festivalului, prezenţa libanezului, scriitor, actor şi regizor, Wajdi Mouawad, cu filmul “Incendii”, nominalizat la premiile Oscar 2011, pentru cea mai bună peliculă străină. El va purta un dialog la scenă deschisă cu reputatul eseist şi teoretician de teatru român George Banu.



    O altă experienţă inedită o constituie construcţia expoziţională dedicată jocului interactiv cu lumini şi culori: “Luminarium Mirazozo”, amplasată în Piaţa Mare din Sibiu. Inspirată din arhitectura islamică şi cea gotică, aceasta este o structură gonflabilă, proiectată sa ofere publicului o serie de experienţe extrasenzoriale, derivate din jocul luminilor pe suprafeţe geometrice colorate sau transparente.



    Nu în ultimul rând, în cadrul festivalului vor fi atribuite noi stele pe Aleea Celebrităţilor – gândită după modelul cunoscutei Walk of Fame hollywoodiene. Astfel că, la Sibiu, vor străluci, pentru prima dată, stelele celebrilor Peter Brook, Gigi Căciuleanu, Martin Hochmeister (fondatorul primului teatru din Sibiu), Krystian Lupa, Radu Stanca şi Peter Stein.



    Aşa cum declara directorul Festivalului, Constantin Chiriac, evenimentele din cadrul editiei a XXI a se vor desfăşura pe principilul vaselor comunicante; e de aşteptat că ele vor reconfirma vocaţia umanistă a Sibiului, ales, de altfel, în 2007, capitală europeană a culturii.

  • Regierungskrise: Sozialdemokraten und Liberale können sich nicht einigen

    Regierungskrise: Sozialdemokraten und Liberale können sich nicht einigen

    Die regierende Sozialliberale Union (USL) steht vor ihrer Auflösung. Die Streitigkeiten zwischen den Sozialdemokraten und den Liberalen, den wichtigsten Parteien der Union, waren schon letztes Jahr sichtlich. Jetzt hat aber die Krise die Regierung erreicht. Seit zwei Wochen versucht der Liberalen-Chef Crin Antonescu erfolglos den sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Victor Ponta zu überzeugen, den Liberalen Klaus Johannis, den Bürgermeister von Hermannstadt/Sibiu, zum Innenminister und Vizeministerpräsidenten zu ernennen. Politanalysten zufolge verspreche sich der Anführer der Liberalen durch diese Ernennung, über die Tätigkeit des Ministerpräsidenten besser informiert zu werden. Das wäre auch der Grund, warum Ponta Johannis nicht zum Minister ernannt hat. Die Liberalen sind auch nicht mit dem Vorsto‎ß Pontas einverstanden, den zusätzlichen Posten eines weiteren Vizeministerpräsidenten für die Konservative Partei einzuführen.



    Die Liberalen haben die Ernennung von Interimsministern verweigert. Folglich haben Ministerpräsident Ponta und sein Parteikollege, der für Energie delegierte Minister Constantin Niță, zeitweilig die Leitung des Finanzministeriums und des Wirtschaftsministeriums übernommen. Die Ämter sollen laut dem Protokoll der Sozialliberalen Union von Liberalen bekleidet werden. Darin sieht der Liberalen-Chef Crin Antonescu einen Versuch Pontas, der legitimen Regierung der Sozialliberalen Union ein Ende zu setzen. Ministerpräsident Victor Ponta versuche zusammen mit den anderen mitregierenden Parteien, der konservativen Partei PC und der Nationalen Union für den Fortschritt Rumäniens UNPR, eine Regierung der sogen. Sozialdemokratischen Union (USD), die vor kurzem gegründet wurde, zu bilden. Sollte die Lage bis Montag nicht geklärt werden, werde die Liberale Partei ihre Minister aus der Regierung zurückziehen und den sofortigen Rücktritt einer Regierung der Sozialdemokratischen Union fordern.



    Der Premier erklärte, er wolle weiter die Allianz mit den Liberalen aufrecht erhalten. Er habe keine Absicht, zurückzutreten. Sollte die PNL ihre Minister aus der Regierung zurückziehen, werden derzeit amtierende Minister die offenen Ministerstellen interimistisch übernehmen. Ponta erklärte, er werde das Gesetz befolgen und 45 Tage auf eine Rückkehr der Liberalen warten.



    Staatschef Traian Băsescu, ein politischer Gegner der beiden Partei-Chefs und der Sozialliberalen Union, forderte die beiden auf, auf ihre Eitelkeit zu verzichten und schnell eine Lösung der Regierungskrise zu finden. Das Land brauche angesichts der instabilen Lage in der Ukraine eine funktionsfähige Regierung. Die postkommunistische Geschichte zeigt jedoch, dass ein Kompromiss unwahrscheinlich ist. Sogar die erfolgreichsten politischen Allianzen und Koalitionen haben dem Druck unterschiedlicher Interessen nicht standhalten können. Die Sozialliberale Union hätte – den Absichten ihrer Gründer zufolge – mindestens bis 2016 halten sollen. Man hätte damit Zeit gehabt, wichtige Projekte wie die Verfassungs-Novellierung und die Verwaltungsreform zu Ende zu bringen. Die Sozialliberale Union scheint aber ihrer Auflösung immer näher zu kommen.

  • Nachrichten 12.02.2014

    Nachrichten 12.02.2014

    Bukarest — Die Anführer der regierenden Koalitionsparteien haben am Mittwoch die Verhandlungen über die Zusammensetzung der neuen Regierung fortgesetzt. Der Vorschlag des sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Victor Ponta sieht einerseits die Ernennung des liberalen Bürgermeisters von Hermannstadt, Klaus Johannis, zum Innenminister und Vize-Ministerpräsidenten vor. Die Regierung sollte allerdings vier Vize-Ministerpräsidenten haben, die alle vier Parteien der regierenden sozialliberalen Union vertreten. Die Liberalen äu‎ßern sich hingegen lediglich für die Ernennung von Johannis als Vize-Ministerpräsident und Innenminister. Nebem dem Geschäftsbereich Inneres, sind auch die Finanzen, Gesundheit und Wirtschaft derzeit unbesetzt.




    Bukarest — Der rumänische Automarkt wird derzeit mit einer katastrophalen Situation konfrontiert. 11 Gebrauchtwagen werden für jedes verkaufte neue Auto ins Land gebracht. Dies erklärte heute der Vizepräsident der Gruppe Dacia Renault und Präsident des Verbands rumänischer Automobilhersteller Constantin Stroe beim Geschäftsforum Frankreich-Südosteuropa, das in Bukarest stattfindet. Dacia Renault und Ford haben im Vorjahr in Rumänien nur 20.000 Autos aus einer Gesamtproduktion von 410.000 Autos verkauft. Die rumänischen Exporte haben jedoch eine bemerkenswerte Entwicklung verzeichnet, und die ersten Exportmärkte Rumäniens sind Frankreich, Deutschland, Algerien und die Türkei. Im Vorjahr wurden über 360.000 Ford und Dacia Renault-Wagen exportiert, 2004 belief sich der Wert der Exporte besagter Automarken auf 16.000. Der Vorstand der französischen Gruppe Renault kündigte allerdings an, er habe nicht vor, sich aus Rumänien zurückzuziehen. Renault inverstierte bislang in Rumänien über 2 Milliarden Euro. Die Entwiclung der rumänischen Infrastruktur sei jedoch wesetlich für die künftigen Projekte des franzöischen Automobilherstellers, so Renault-Vorstand anschlie‎ßend. Die Erklärung erfolgte nachdem der rumänische Präsident Traian Băsescu davor warnte, sollte der Korridor 4 nicht finalisiert werden, dann könnte die französische Gruppe das Automobilwerk im südrumänischen Pitesti schlie‎ßen.




    Bukarest – Rumäniens Aussenminister Titus Corlăţean hat das Votum von Mittwoch der Kommission für bürgerliche Freiheiten, Justiz und Innenangelegenheiten des Europäischen Parlaments für die Visaliberalisierung für moldauische Staatsangehörige begrüsst. Die Aufhebung soll nur für die Inhaber eines biometrischen Reisepasses gelten. Titus Corlăţean forderte von Europaabgeordneten, das EU-Assoziierungsabkommen mit der Moldaurepublik durch eine Dringlichkeitsverordnung zu ratifizieren, bevor die Abstimmung im Europaparlament am 25. Februar statfindet. Die europäischen Bestrebungen Chisinaus werden auch von Frankreich unterstützt, das durch Minister für Europaangelegenheiten Thierry Repentin die schnellstmögliche Aufhebung der Visumpflicht für moldauische Bürger forderte.

  • 15.10. 2013 (mise à jour)

    15.10. 2013 (mise à jour)

    Financement — La Commission européenne a repris ce mardi les paiements envers la Roumanie suspendus jusqu’il y a une semaine. Ceux-ci sont destinés aux projets financés par le biais du Programme opérationnel sectoriel «Croissance de la compétitivité». L’annonce a été faite mardi à Bruxelles par Shirin Wheeler, la porte-parole du commissaire européen chargé de la politique régionale, Johannes Hahn. Elle a précisé qu’il s’agit de 196 millions d’euros, dont le paiement avait été bloqué en décembre 2012. Cet argent ira notamment aux projets en vue dans les domaines de l’énergie et de la recherche, ainsi qu’aux PME.



    Privatisation – La vente de la compagnie ferroviaire roumaine de fret CFR Marfa, à capital d’Etat, reprendra à zéro après que la Commission de privatisation et le Groupe ferroviaire roumain, ayant remporté l’appel d’offre initial, ne sont pas arrivés à un accord visant le transfert des actions vers cette société privée. Considérée comme un objectif stratégique du Cabinet de Bucarest, la privatisation de CFR Marfa compte parmi les principaux engagements assumés par le gouvernement devant les experts du FMI et de l’UE, dans les deux accords de précaution conclus en 2011 et 2013. Toutefois, le processus a été en passe d’échouer à maintes reprises vu le faible intérêt des investisseurs et les contestations formulées par les très peu nombreux participants à l’appel d’offres à l’égard de la procédure.



    Négociations – Le ministre roumain de la Santé, Eugen Nicolaescu, s’est dit surpris par les protestations des personnels médicaux, tandis que syndicats et autorités négocient la nouvelle loi des salaires du secteur. Il n’y a aucun conflit entre les parties, a estimé le responsable. Depuis lundi, la plupart des salariés du système sont en grève japonaise pour affirmer leur mécontentement à l’égard des réformes proposées par le ministère. Ils exigent qu’au moins 6% du PIB soient alloués à la santé, ainsi que l’élaboration d’une loi leur garantissant l’indépendance professionnelle. Les personnels médicaux roumains menacent de faire la grève générale en novembre, si aucun accord n’est trouvé.



    Nomination – L’économiste Andrei Gerea, 45 ans, chef de file des députés du Parti national libéral (numéro deux de l’Union sociale-libérale, la coalition au pouvoir en Roumanie) a été désigné pour prendre le portefeuille de l’Economie. Il devrait ainsi remplacer son collègue Varujan Vosganian, qui a démissionné de son poste après que le Parquet près la Haute Cour de cassation et de justice a demandé à la chambre haute du Parlement de Bucarest son feu vert pour déclencher des poursuites pénales à son encontre. Varujan Vosganian est accusé de complot et sape de l’économie nationale. L’intérim au ministère de l’Economie est assuré par le titulaire des Finances, Daniel Chitoiu.



    Energie – Plusieurs projets énergétiques impliquant la Roumanie figurent sur une liste de la Commission européenne comportant près de 250 projets prioritaires pour l’infrastructure de transport énergétique transeuropéenne pour la période 2014-2020. Selon le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Oettinger, la Commission devrait allouer près de six milliards à leur mise en œuvre dans les sept prochaines années. Il s’agit, entre autres, du projet de gazoduc reliant la Bulgarie à l’Autriche via la Roumanie et la Hongrie.



    Séisme – La Roumanie est le pays de l’UE le plus exposé aux séismes, les experts évaluant à 4 milliards 400 millions d’euros les dommages maximaux estimés pour un tremblement de terre puissant, a fait savoir Nicoleta Neagu-Rosca, directrice générale de PAID, le consortium de compagnies autorisées à délivrer des assurances couvrant les risques de catastrophes naturelles. Ces évaluations prennent en compte un séisme comparable à celui de mars 1977, à savoir supérieur à 7 sur l’échelle de Richter. Considérée comme la plus importante de l’histoire récente de la Roumanie, cette secousse a fait plus de 1500 morts, la plupart des Bucarestois, les dégâts se montant à quelque deux milliards et demi de dollars.



    Film — Poursuite à Sibiu (au centre de la Roumanie) du Festival du film documentaire Astra. Au programme de ce mardi, la première de la production « Le Combinat » (The Unit), en présence de l’auteure, Maria- Cătălina Andrieş. La projection de Drill Baby Dril, de Lech Kowalski, a été suivie par une session de questions–réponses avec la participation du réalisateur. La présente édition du festival enregistre un record d’inscriptions: 1350 films de plus de 70 pays des 6 continents et des centaines d’auteurs et des professionnels du domaine.

  • Nachrichten 15.10.2013

    Nachrichten 15.10.2013

    BUKAREST: Der Verkauf der Gütersparte der rumänischen Bahn, der CFR Marfa, ist vorerst gescheitert. Der Privatisierungsausschuss und der Gewinner der Ausschreibung, das Bahntransportunternehmen GFR, konnten sich hinsichtlich der Übertragung der Aktien in Privatbesitz nicht einig werden. Die Privatisierung der CFR Marfa gilt als strategisches Ziel der Regierung in Bukarest. Rumänien hatte sich im Zuge des mit dem IWF unterzeichneten Darlehensabkommens verpflichtet, die mehrheitlichen Aktienpakete einiger Staatsbetriebe zu veräu‎ßern, insbesondere im Transport-und Energiebereich. Das Privatisierungsverfahren bei der CFR Marfa schien bislang stets fragwürdig. Grund waren zum einen das schwache Interesse der Investoren und zum anderen die Beschwerden über das Verfahren an sich. Mehr Einzelheiten nach den Nachrichten.



    BUKAREST: Der Ökonom Andrei Gerea von der Liberalen Partei ist für das Amt des Wirtschaftsministers vorgeschlagen worden. Der 45-Jährige leitet derzeit die liberale Gruppe der Abgeordneten im rumänischen Parlament. Gerea würde damit den Ex-Minister Varujan Vosganian ersetzten, ebenfalls Mitglied der mitregierenden national-liberalen PNL. Vosganian war zurückgetreten, nachdem Staatsanwälte des Obersten Gerichtshofes beim Senat einen Strafverfolgungsantrag gegen ihn gestellt hatten. Den Geschäftsbereich Wirtschaft leitet während dieser Übergangsphase der Finanzminister Daniel Chitoiu.



    BUKAREST: Gesundheitsminister Eugen Nicolăescu hat sich am Dienstag von der Protestaktion der Angestellten aus dem Gesundheitswesen überrascht gezeigt. Über das neue Entlohnungsgesetz werde bereits verhandelt, erklärte er. Aus Sicht des Ministerium, gebe es keinen Arbeitskonflikt, so Nicolaescu. Am Montag waren die meisten Angestellten in einen symbolischen Streik getreten, da sie mit den Reformvorschlägen des Ministers unzufrieden sind. Sie fordern mindestens 6% des BIP für die Gesundheit und ein Gesetz, das ihnen berufliche Unabhängigkeit garantiert. Ferner drohten sie mit einem Generalstreik kommenden Monat.



    BRÜSSEL: Die Europäische Kommission hat die Auszahlung von Subventionen an Rumänien für die Projekte des operationellen Programms “Unternehmerische Initiative und Innovation” (EIP), innerhalb des Rahmenprogramms für Wettbewerbsfähigkeit und Innovation (CIP), wiederaufgenommen. Dies gab am Dienstag in Brüssel Shirin Wheeler bekannt, die Sprecherin des EU-Kommissars für Regionalpolitik, Johannes Hahn. Dezember 2012 hatte die Europäische Kommission besagte Auszahlungen für Rumänien in Höhe von 196 Millionen Euro eingefroren. Das Rahmenprogramm für Wettbewerbsfähigkeit und Innovation (CIP) richtet sich hauptsächlich an kleine und mittlere Unternehmen (KMU), unterstützt innovative Aktivitäten (einschlie‎ßlich Öko-Innovation), sorgt für einen besseren Zugang zu Finanzierung und bietet in den Regionen Unterstützungsdienste für Unternehmen an.



    BUKAREST: In Sibiu/Hermannstadt läuft bis zum 20. Oktober der Internationale Film Festival “Astra” 2013. Bei der 20. Ausgabe des einmaligen internationalen Filmfestivals in Osteuropa für Nicht-Fiktion Filmen werden dieses Jahr 1350 Streifen aus mehr als 70 Ländern vorgeführt. Bis einschlie‎ßlich Sonntag beteiligen sich an dem Filmfestival in Sibiu/Hermannstadt hunderte Filmautoren, Regisseure und Persönlichkeiten der Kinowelt.

  • 14.10.2013

    14.10.2013

    Grève- Les salariés du système de santé de Roumanie sont entrés en grève de type japonais. Il n’y aura donc pas d’arrêt de travail mais jusqu’à mercredi ils porteront des banderoles, en signe de protestation contre le sous-financement de ce secteur. Les syndicats de la santé n’excluent pas la possibilité de déclencher la grève générale en novembre.



    Projet — Les détracteurs du projet d’exploitation aurifère de Rosia Montanta au centre de la Roumanie ont organisé de nouvelles manifestations à Bucarest et dans d’autres villes à travers le pays. Ils réclament l’annulation du projet législatif de régulation de l’exploitation des minerais d’or et d’argent et du contrat passé avec la compagnie canadienne Rosia Montana Gold Corporation, ainsi que l’interdiction de l’utilisation des cyanures et l’inscription de la zone de Rosia Montana au patrimoine mondial de l’UNESCO. Une commission parlementaire spéciale devrait soumettre son rapport au Législatif, avant le 20 octobre prochain.



    Privatisation – Ce lundi expire le délai accordé au Groupe Ferroviaire Roumain pour payer les 170 millions d’euros restants de la valeur totale du paquet majoritaire d’actions racheté à la compagnie publique de fret ferroviaire CFR Marfa. Le GFR a sollicité au Ministère des transports de s’investir au plus vite dans le processus de privatisation, en mettant en garde contre le risque de ne pas y aboutir, puisque le vendeur n’a pas rempli ses obligations contractuelles. Le GFR, qui affirme que ses intérêts ont été lésés, se dit pourtant prêt à collaborer pour qu’une solution légale y soit trouvée. Le Groupe est le gagnant de l’appel à candidatures organisé en juin ; il a offert 202 millions d’euros en échange des 51% des actions et s’est en outre engagé à investir quelque 204 autres millions d’euros. Aux termes de l’accord de précaution conclu avec le FMI, la Roumanie est tenue de vendre les paquets majoritaires d’actions de certaines entreprises publiques, opérant notamment dans les secteurs des transports et de l’énergie.



    Réunion — La ministre roumaine de l’environnement, Rovana Plumb, participe ce lundi à Luxembourg, à la réunion du Conseil environnement de l’UE. Les participants débattront en marge de la proposition de modification du règlement communautaire relatif aux transferts de déchets. Par ailleurs, la présidence du Conseil doit soumettre à ce forum la forme finale du règlement concernant les émissions de CO2 des voitures, en vue de la prochaine conclusion d’un accord en la matière.



    Festival – Coup d’envoi, ce lundi, à Sibiu, au centre de la Roumanie, de la 20e édition du Festival du film documentaire Astra. Une semaine durant, seront projetés plus d’une centaine de films racontant des histoires d’intérêt général, depuis les controverses en ligne jusqu’aux manifestations contre l’exploitation des gaz de schiste en Pologne et aux Etats-Unis. Cette année, les organisateurs proposent aussi des films de collection, signés par des réalisateurs célèbres, ainsi que des cours dispensés par des auteurs primés lors des précédentes éditions du festival. Une section spéciale de cet événement, Astra Film Junior, est consacrée aux élèves.

  • Sibiu – antico borgo medioevale

    Sibiu – antico borgo medioevale

    Attestata nei documenti già dal 1191 come prepositura, dal 1321 come civitas e dal 1366 sotto il nome di Hermannstadt, l’odierno toponimico tedesco, la città di Sibiu, capoluogo dell’omonima provincia della Romania centrale, conserva perfettamente l’atmosfera di borgo medioevale.



    Una delle più antiche attrattive è la Torre del Consiglio, che difendeva una delle porte d’ingresso, nei pressi dell’edificio che ospitava il Comune di Sibiu, secondo quanto viene citato da documenti risalenti al 1324.



    Un altro simbolo della città è il Ponte delle bugie, un gioiello in ghisa, eretto prima del 1771 e ricostruito nel 1859. Al nome sono legate varie leggende, ognuna col suo fascino, di cui una racconta che, siccome era il primo ponte di Sibiu non costruito sui pali, era chiamato anche “ponte disteso”, la traduzione della parola sassone “lugenmarchen”, che significava anche “bugia”. Cosicchè si diceva che, se uno avesse raccontato una bugia mentre ci passava, allora il ponte sarebbe crollato.



    Secondo un’altra leggenda, i commercianti della Piazza Piccola venivano buttati dal ponte se ingannavano i clienti, cosicchè Sibiu diventò famosa per l’onestà dei suoi commercianti. Però, la più grande credibilità ce l’ha una leggenda che racconta che il Ponte delle bugie era un posto di passeggio prediletto per le giovani coppie di Sibiu, ma anche dei cadetti dell’Accademia Militare. Molte promesse che venivano fatte su questo ponte non erano poi necessariamente rispettate.



    Sibiu è anche la città dove, il 25 febbraio del 1817, veniva inaugurato il Museo Brukenthal, il primo aperto in terra romena, grazie alle collezioni del barone Samuel von Brukenthal. Oltre al Museo delle collezioni d’arte del Palazzo, include anche il Museo di Storia Nazionale, il Museo della Farmacia, il Museo della Caccia August von Spiess.



    “Il Palazzo Brukenthal e le collezioni del barone rappresentano il nucleo della collezione del museo dei nostri giorni. Il museo custodisce collezioni preziose, in nove edifici, tra cui cinque sono palazzi costruiti in diverse epoche. Il Palazzo Brukenthal è sede di gallerie di pittura europea, uno dei più importanti monumenti di arte barocca in Romania. Il palazzo era stato concepito come residenza per il barone e le sue collezioni. Il giro inizia al primo piano, con l’atmosfera del XVIII-esimo secolo delle sale di ricevimento. Vengono ancora mantenute la carta da parati in seta originale, la tela dipinta o il cartone decorato con motivi orientali, le stufe di ceramica portate da Vienna e i medaglioni dorati scolpiti in legno di tiglio. Le mostre “Arte Medievale in Transilvania” e “Tappeti anatolici” presentano la prevalenza locale dell’arte devozionale e l’interesse decorativo tedesco, introducendo la raffigurazione della pittura tedesca e austriaca nella collezione di pittura europea. Il secondo piano del palazzo ospita collezioni di pittura fiamminga, olandese e italiana. Il Museo di Brukenthal era l’unico in Romania che vantava nelle sue collezioni opere di Tiziano, Van Dyke e Memling. Anche i cortili interni del palazzo sono stati aperti alle visite, con cartografie o sculture della Transilvania dei secoli XIII-XIX, e una mostra gotica. Collocata accanto al palazzo, la Casa Blu custodisce la mostra d’arte romena, mentre il museo d’arte viene ospitato dalla Casa Altemberger, già sede del Comune. Da scoprire assolutamente il Museo di storia naturale, in stile del tardo Rinascimentale italiano. Aperto in un edificio risalente al 1568, il Museo della farmacia presenta la struttura di una farmacia d’epoca. Il Museo di caccia August von Spiess è il primo del genere in Romania”, spiega Maria Tudorie, responsabile marketing del Museo Brukenthal.



    Sempre a Sibiu vengono organizzati lungo l’anno dei festival diventati tradizionali, come quello internazionale di teatro, di jazz, di musica rock, di cinema o di arte lirica.

  • „Mozart Steps“ – eine fulminante Aufführung in Hermannstadt

    „Mozart Steps“ – eine fulminante Aufführung in Hermannstadt

    Ich bin extrem glücklich! Gigi Căciuleanu strahlt so viel Freude am Leben aus, er hat eine solche Fähigkeit, zu schenken, wie ich noch nie in meinem Leben gesehen habe! Und die Vorführung ist absolut phantastisch! Dieses »Mozart Steps« ist sehr reichhaltig, beinhaltet mehrere Lektüre-Ebenen. Die Schöpfungen von Căciuleanu haben eine sehr raffinierte Eigenschaft. Ich wei‎ß nicht, wie er das macht, aber er schafft es, dich tiefgründig zu berühren. Auch für diejenigen, die mit solchen Aufführungen nicht vertraut sind, ist es unmöglich, keinen emotionellen, visuellen, ästhetischen oder jedwelchen anderen Schock zu erleben. Wenn ein Schöpfer sich gezwungen fühlt, sich zu erklären, ist die Kontruktion irgendwie nicht vollendet. Ich war immer dieser Ansicht. Von Gigi Căciuleanu brauche ich bei dieser Aufführung keine Erklärung. Alles ist schön erhoben und gestaltet, mit so viel Tiefsinn und so vielen Nuancen.“.



    Mit diesen Worten hat Simona Şomăcescu, die ehemalige Primaballerina der Nationalen Oper in Bukarest, ihre Gefühle gleich nach der Aufführung beschrieben. Es handelt sich dabei um die Premiere der Tanztheater-Aufführung Mozart Steps“, einer Produktion des National-Theaters Radu Stanca“ in Sibiu/Hermannstadt. Diese Aufführung eröffnete die neue Saison und markierte auch den 225. Jahrestag der Gründung des ersten Theaters in Sibiu.



    Mozart Steps“ wurde vom Choreographen Gigi Căciuleanu kreiert. Ausgangspunkt war die Musik der ersten beiden Bände des Albums Mozart in Egypt/Mozart in Ägypten“ des Musikers Hughes de Courson und des ägyptischen Professors Ahmed al Maghreby. Die beiden haben eine Fusion zwischen dem Werk von Mozart und den Klängen, Rhythmen und der zeitgenössischen ägyptischen Musik spezifischen Instrumenten geschaffen. Ihre Schöpfung ist ein wahres Musik-Phänomen.



    Gigi Căciuleanu beschreibt die Musik:



    Es ist Mozart gesehen von den Augen, oder besser gesagt gehört mit den Ohren der orientalischen Musik. Und, das wird sie wundern, manchmal ist diese aus Ägypten stammende Musik unserer Musik aus der Maramuresch, aus Siebenbürgen sehr ähnlich — die Karpatenhorn-Musik, die Flöte-Musik. Daran dachte ich, als ich dieses Album hörte. Es ist ein speziellerer Mozart. Mozart ist für mich ein Musik-Genie und einer der ersten Europäer. Er hat auf deutsch und auf italieniesch geschrieben. Er ist eine Art Shakespeare der Musik, der uns von einem Land zum anderen geführt hat. Die Musik ist in meinem Gedächnis und in meinem Körper und ich habe lange Zeit gewartet, nachdem diese Musik auf den Markt gekommen war. Ich habe das Album gekauft und dachte lange an die Musik. Und jetzt habe ich die Chance bekommen, in Sibiu dieses Mal mit Schauspielern zu arbeiten. Es gibt keinen Tänzer in dieser Aufführung.“



    Es stimmt. In Mozart Steps“ spielen Schauspieler von der rumänischen und der deutschen Abteilung des Radu-Stanca“-Theaters sowie Studenten der Schauspiel-Abteilung der Lucian-Blaga“-Universität in Sibiu. Gigi Căciuleanu spricht über sie:



    Sie sind alle geborene Tänzer. Ich habe entdeckt, dass sie viel Talent haben. Für sie ist es eine schwere Aufführung, weil es um Tanzen geht, man muss den Raum füllen, es gibt Energien, die maximal dosiert werden müssen. Glauben Sie aber nicht, dass es sich nur um eine Tanz-Show handelt. Es ist eine Aufführung, in der im wahrsten Sinne des Wortes vornehm getanzt wird, in der die Bewegung und die Gruppe die Hauptrolle haben. Deshalb hei‎ßt es auch Tanz-Theater, weil die Regie wie eine Choreohraphie organisiert wird. Ich wollte nicht, dass sie wie Tänzer und Ballerinen ausschauen. Im Gegenteil, ich wollte, dass sie ihre Körper als normale Menschen zeigen, also ein Mann und eine Frau, so wie diejenigen, die auf dem Stuhl sitzen und uns zuschauen. Das lag mir sehr am Herzen. Und es ist immer mein Anliegen. Auch mit Tänzern versuche ich das zu erreichen.“



    Auch das Publikum hat die bemerkenswerte Leistung der Tanz-Schauspieler gepriesen. Darunter die Choreographin Simona Şomăcescu, ehemalige Primaballerina der Nationalen Oper in Bukarest:



    Hätte mich jemand mit verbundenen Augen in den Saal geführt, hätte man mir nicht gesagt, wo ich bin und wer vor mir steht, hätte ich nie geglaubt, dass sie eigentlich Schauspieler sind. Vergessen wir nicht eines: Gewöhnlich sagen wir ja, er hat es geschaftt, die Schauspieler zu bewegen. Das stimmt nicht. Man braucht einen Sinn dafür, einen musikalischen Instinkt. Du bringst einen Schauspieler nicht allein dazu, seine Arme und Beine zu bewegen. Du brauchst eine Intuition der Bewegung, eine Intelligenz der Bewegung, eine musikalische Intuition — wie man mit Intelligenz die Bewegungen durch den eigenen Körper filtert und aneinanderreiht. Mit dieser Fähigkeit wird man geboren.“



    Eine Tanz-Schauspielerin, die das Publikum sehr beeindruckt hat, war Diana Fufezan. Sie arbeitete zum ersten Mal mit dem Choreographen Gigi Căciuleanu zusammen.



    Als ich erfahren habe, dass ich für das Projekt selektiert wurde, war ich so glücklich wie selten, weil ich schon beim Vorsprechen aus seiner Art und Weise, zu sprechen, gespürt habe, dass ich verstehe, was er möchte. Welche die grö‎ßte Herausforderung war? Alle waren Herausforderungen. Es ist wie der Seiltanz, wie uns Gigi Căciuleanu immer sagt. Ich muss zugleich meine Kraft und meine Zerbrechlichkeit bewahren. Es gab Momente, in denen ich gespürt habe, dass ich es physisch nicht mehr aushalte, aber ich habe meine Zähne zusammen gebissen und bin weiter gegangen. An einem Abend habe ich mit Florin bis eins Uhr nachts geübt — wir bleiben zusammen mit Gigi nach den Proben, nach 10 Uhr abends. Das hat uns damals zur Erschöpfung gebracht. Ich habe dann eine Befreiung gespürt und ab dem Moment wusste ich, dass ich alles tun kann.“



    Wer sich fragt, warum im Titel der Show das Wort steps“ erscheint, erhält von Gigi Căciuleanu eine Antwort:



    Weil der Schritt das Raum-Dynamik-Element ist, das wir alle gemeinsam haben. Das erste Kettenglied sowohl eines Tanzes als auch eines einfachen Spazierganges.“



    Die Tanztheater-Schow Mozart Steps“ soll auch ins offiziele Programm des Internationalen Theaterfestivals in Sibiu 2014 aufgenommen werden.



    Audiobeitrag hören:



  • Le site rural de Biertan

    Le site rural de Biertan

    On y retrouve donc le plan et l’architecture traditionnelle de ces agglomérations, avec néanmoins des nuances caractéristiques. Sise à 80 km Est de la ville de Sibiu et à une vingtaine de kilomètres des villes de Sighişoara et de Mediaş, la commune de Biertan est mentionnée pour la première fois dans un document officiel en 1283. Adriana Stroe, historienne de l’art à l’Institut national du patrimoine, a étudié lévolution de Biertan. « En 1572 se produit un événement déterminant pour la place que Biertan allait occuper parmi les communes issues de la colonisation saxonne de Transylvanie. Cette année-là, le pasteur de Biertan a été élu évêque de l’Eglise luthérienne et la commune devient, pour près de trois siècles, le centre de la vie spirituelle et politique des Saxons transylvains. Un autre événement important, mais pour la structure et l’aspect de la commune, a lieu à la fin du 18e siècle, lorsque des édits impériaux autorisent les Roumains, les Hongrois et les Roms à construire leurs églises et habitations dans les communes saxonnes. Biertan s’est ainsi enrichi d’un quartier roumain autour de l’église orthodoxe et d’un quartier rom, au bout des deux principales rues de la localité.



    Biertan se trouve dans une zone de collines, excellente pour la culture de la vigne. D’ailleurs, à l’époque de la colonisation saxonne, la contrée était connue sous le nom de «Weinland – Pays du vin ». Les habitants de Biertan étaient donc des agriculteurs, des viticulteurs et des éleveurs. Ces occupations ont eu une influence visible sur l’architecture des maisons, explique l’historienne Adriana Stroe. «Le village a deux rues importantes, sur les terrasses du ruisseau qui le traverse, d’un côté et de l’autre de la colline où s’érige l’église fortifiée. Au nord de l’église se trouve la Place autour de laquelle sont bâtis l’hôtel de ville, l’école, l’ancienne salle du conseil, l’ancienne auberge, l’ancien orphelinat évangélique, le presbytère évangélique et ses annexes; cette distribution des principaux bâtiments à proximité de l’église évangélique est caractéristique des communes de la colonisation saxonne de Transylvanie. De nombreux immeubles d’habitation de Biertan datent de la fin du 18e — début du 19e siècle, et certains, érigés sur la Place et autour d’elle, gardent des parties construites aux 16e et 17e siècles. Les fronts de rue continus, formés de maisons avec cave à l’accès facile depuis la rue, pour une manipulation plus simple des fûts de vin, à rez-de-chaussée surélevé et pignon brisé, alternent avec de hautes murailles en briques. La commune de Biertan, plus que dautres, garde de nombreux fronts de rue dont les façades sont ornées de lucarnes et médaillons ovales, dinfluence baroque. La décoration dorigine baroque est également présente à lintérieur des maisons, les pièces voûtées ou les plafonds en stuc donnant une image de la vie différente de celle offerte par laustérité et lesprit pratique dautres zones de colonisation saxonne.



    La localité de Biertan est dominée par léglise fortifiée érigée en haut dune colline ; cest un élément architectural spécifique des villages et des villes saxonnes de Transylvanie. Adrian Stroe. « Léglise a été construite sur les fondations dune autre, remontant à 1402, et dont on a gardé le chœur; la nef date du premier quart du 16e siècle, lannée 1522 étant inscrite sur larc triomphal. Des travaux de rénovation ont été menés dans la seconde moitié du 18e siècle, comme en témoignent les accents baroques apportés à lintérieur. Lenceinte intérieure, construite sur une autre, plus ancienne, existait déjà en 1468. La fortification a été étendue au cours du 16e siècle. Cest une église du gothique tardif. Les portails sont remarquables, notamment le portail ouest, avec un pilier médian, décoré des armoiries du roi Vladislav II et du gouverneur Ioan Zapolya, et le portail de la sacristie, construit en 1515, avec des éléments décoratifs de la Renaissance. A lintérieur de léglise se trouvent des objets dorigine, tels lautel et les bancs du chœur (issus de latelier de Johannes Reichmuth de la ville de Sighişoara voisine), la chaire (en style gothique avec des éléments Renaissance, créée par Ulrich de Braşov) et la porte de la sacristie avec des marqueteries et un astucieux mécanisme de fermeture. Léglise était entourée de deux enceintes fortifiées, concentriques, et une troisième, partielle, à louest, au sud et à lest. Lenceinte intérieure garde quatre tours et un bastion ; au sud, “la tour des Catholiques” est embellie de peintures murales du 16e siècle, au nord-est “la tour mausolée” abrite les pierres tombales de pasteurs et évêques qui ont officié dans léglise de Biertan. »



    Aujourdhui, la commune de Biertan est un site rural inscrit au Patrimoine mondial de lUNESCO. Lémigration massive des Saxons, commencée dans les années 1970, a entraîné une perte de lesprit authentique du site. Récemment, des travaux de restauration traditionnelle de plusieurs habitations ont été ouverts à Biertan. (trad.: Ileana Taroi)

  • City Break în România

    City Break în România

    Lipsa timpului liber şi stresul cotidian şi-au pus de-a lungul timpului amprenta şi asupra turismului, creându-se astfel un nou concept, acela de city-break. Câteva zile dedicate unei destinaţii turistice noi îţi pot încărca bateriile pentru o nouă săptămână de lucru.



    România a încercat în ultimii ani să-şi adapteze oferta turistică acestei cerinţe moderne şi iată ce a reuşit: Cosmin Marinof, reprezentant al Asociaţiei Naţionale a Agenţiilor de Turism din România (ANAT): ”Sibiul este deschizătorul de drumuri, fiind primul oraş românesc ales drept Capitală culturală europeană în 2007, şi de atunci, city-breakurile în România au devenit produse turistice din ce în ce mai interesante, atât pentru români, cât şi pentru străini. După Sibiu au urmat şi alte oraşe, cum este Braşov şi, mai nou, Bucureşti. Bucureştiul este, în special vara, plin de străini care îşi petrec timpul la terasele din Centrul Vechi şi, bineînţeles, vizitează capitala. Tot Sibiul a fost primul oraş din România în care s-a organizat o piaţă de Crăciun oficială, acesta fiind urmat apoi şi de alte oraşe, precum şi Bucureştiul. Cele mai bune perioade pentru a vizita un oraş, după părerea noastră, sunt primăvara şi toamna. Top trei cele mai vizitate oraşe din România sunt Braşov, Sibiu şi Cluj, urmate îndeaproape de Sinaia şi Sighişoara. Top trei al preferinţelor turiştilor noştri este format din oraşe istorice, precum Braşov, Sibiu şi Sighişoara. Un preţ mediu pentru două nopţi de cazare cu mic dejun, într-unul din aceste oraşe este de 230 lei de persoană, adică aproximativ 50 de euro. Acestea sunt câteva din recomandările pe care le putem face, atât pentru turiştii străini, cât şi pentru cei români.”



    Străinii care locuiesc în state membre ale UE şi care ne-au vizitat cel mai mult ţara au fost, potrivit unui raport făcut la sfârşitul anului trecut, vecinii din Ungaria şi din Bulgaria, reprezentând 32,3%, respectiv 19,7% din totalul turiştilor străini din România. Vecinii din Ungaria vizitează cu predilecţie zonele din vestul României şi regiunile cu populaţie majoritară maghiară. Vecinii bulgari, în schimb, par interesaţi de oraşe, ei venind în România în special pentru afaceri. Printre alte ţări din top se numără Germania, Italia şi Polonia, cu 9,5%, respectiv 7,2% şi 7,1% din totalul turiştilor stăini ce vizitează România.



    De asemenea, anual, circa 100.000 de străini sunt interesaţi de serviciile de sănătate, cea mai mare parte a lor vizitând staţiunile balneare. Cea mai mare parte a turiştilor interesaţi de acest segment ajung la Covasna şi la Herculane pentru a se trata de probleme cardiovasculare şi pentru a beneficia de tratament împotriva reumatismului. Cele mai multe solicitări privind turismul balnear vin din Israel, Germania şi, mai nou, Italia.



    Cum s-a adaptat România acestei cereri şi ce altceva mai cuprinde oferta de tip city-break, ne spune tot Cosmin Marinof, reprezentant ANAT: O tendinţă care se remarcă în ultima vreme este creşterea şi dezvoltarea hotelurilor de tip wellness şi spa, şi tot Transilvania este prima care se dezvoltă şi în direcţia asta, apărând astfel numeroase hoteluri în partea de vest a României, dar şi în jurul oraşului Târgu Mureş sau în Mediaş, ceea ce cred că poate fi o atracţie pentru turiştii străini. Nu în ultimul rând, putem primi turişti străini pe litoralul românesc, sub formă de city break, pentru cluburile de aici, în special din staţiunea Mamaia.”



    Pentru cei interesaţi, operatorii turistici pot vinde pachete turistice făcute la cerere, incluzând transportul cu avionul, transferuri la hotel, cazare, excursii opţionale sau vizitarea de obiective culturale sau turistice, precum şi participarea la diverse evenimente sportive sau culturale.

  • Spectacole la Festivalul internaţional de teatru de la Sibiu (reluare din 22.06.2013)

    Spectacole la Festivalul internaţional de teatru de la Sibiu (reluare din 22.06.2013)

    Au trecut 20 de ani de când am pornit cu 3 ţări şi 8 spectacole, la prima ediţie a festivalului. Şi iată am ajuns la ediţia 20, cu 350 de evenimente, 66 de spaţii de joc, 70 de ţări participante şi aproximativ 60 de mii de spectatori pe zi. Este o cifră care plasează Festivalul Internaţional de Teatru de la Sibiu pe poziţia onorantă locul 3 în lume după Edinburgh şi Avignon”.


    Declaraţia îi aparţine lui Constantin Chiriac, directorul festivalului şi al Teatrului Naţional Radu Stanca” şi sintetizează procesul de creştere, de maturizare a evenimentului care a făcut din Sibiu o adevărată capitală europeană a culturii, dar şi a turismului.



    Ediţia aniversară a FITS, desfăşurată între 7 şi 16 iunie, a prezentat publicului o coproducţie realizată în cadrul proiectului european Oraşe pe scenă/ Cities on Stage/ Villes en Scene” şi care va fi prezentată în 2014, în programul oficial al Festivalului de la Avignon şi în stagiunea Teatrului Naţional din Bruxelles. Este vorba despre spectacolul Solitaritate”/ Solitarity”, creat de Gianina Cărbunariu cu actorii Teatrului Radu Stanca”. Dramaturg şi regizor extrem de apreciat, tânăra Gianina Cărbunariu este şi membru fondator al grupului dramAcum — o platformă pentru dezvoltarea şi promovarea dramaturgiei româneşti. Tema centrală a proiectului Oraşe pe scenă” este aceea a convieţuirii în spaţiul urban, în marile oraşe de astăzi.



    Gianina Cărbunariu: Eu, de obicei, îmi fac interviuri, cercetez în arhive înainte de a începe să lucrez la un spectacol. De data aceasta, cercetarea nu a fost atât de extinsă, pentru că aveam deja cumva temele în cap. Subiectele pe care le-am ales sunt subiecte deja discutate în spaţiul public. M-a interesat foarte mult felul în care în ultimii ani discursul politic devine din ce în ce mai radical în direcţia învinovăţirii celui care nu e eficient, celui care nu e destul de competitiv. Foarte mult în ultimii ani au fost intervenţii de genul: cine nu munceşte, nu merită nici să mănânce … Ce ne facem totuşi cu cei care muncesc şi nu câştigă? Eu nu prea am auzit această întrebare. Mi se pare că în vremurile acestea de criză încercăm să găsim ţapi ispăşitori. Şi ceea ce e şi mai grav este că acest discurs ajunge la noi şi că ni-l însuşim şi începem şi noi în viaţa de zi cu zi să căutăm ţapi ispăşitori în jurul nostru. Şi asta mi se pare foarte periculos, apropo de toleranţă şi de modul în care convieţuim în oraşe. Aceste probleme nu sunt doar ale României, sunt ale întregii Europe acum.



    Un spectacol care a adus o atmosferă specială în festival a fost “Scene din viaţa insectelor — mister psihedelic muzical”, de Karel şi Josef Capek, pus în scenă de Victor Ioan Frunză la Centrul Cultural pentru UNESCO “Nicolae Bălcescu”. “Scene din viaţa insectelor” este o fabulă contemporană despre iniţierea omului în moarte, o poveste despre fragilitate şi supravieţuire, spusă de cinci tineri actori. Directorul de scenă Victor Ioan Frunză:


    E un text care m-a preocupat de multă vreme. Pe mine m-a atras faptul că în forma aceasta esopică a textului sunt cuprinse foarte multe realităţi — genul acesta al misteriilor medievale (gen dramatic medieval, engl. “medieval mistery”) nu a mai revenit în preocupările oamenilor de teatru, dar, abordându-l, descoperi cât de importantă e o anume formă de didacticism în teatru. Şi am văzut şi după reacţia publicului faptul că o anumită zonă de naivitate care marchează textul ajunge foarte bine la spectator şi-l ajută să înţeleagă lucruri care, dacă ar fi spuse în mod direct, poate că ar fi mai brutale. Reducţia aceasta la insecte ne ajută să vedem mai bine ce probleme avem, dar şi ce perspective sumbre ne aşteaptă. Ca orice alt spectacol, nu oferă soluţii, dar pune nişte apăsate puncte de suspensie şi cred că asta e important.



    Unul dintre invitaţii marcanţi ai celei de-a XX-a ediţii a Festivalului Internaţional de Teatru de la Sibiu a fost compania Sasha Waltz & Guests, care a împlinit şi ea 20 de ani de la înfiinţare şi care anul acesta a fost numită ambasador cultural al Uniunii Europene. Spectacolul prezentat publicului a fost Continuu”, despre care Harriet von Froreich, reprezentanta companiei, a declarat:


    Pentru Sasha Waltz este tot timpul foarte important să lucreze pe principiul dialogului — ceva comun cu festivalul de anul acesta. Tipic pentru munca ei sunt proiectele de dialog, în care relaţionează nu doar cu alţi artişti, dar şi cu clădiri speciale sau locuri speciale. Spectacolul Continuu” a evoluat din două astfel de proiecte de dialog. Acestea s-au desfăşurat în 2009 la Neues Museum, Berlin, şi Maxxi, Roma. Cele două coregrafii au fost create în raport cu specificul spaţiilor respective, deci a fost un dialog real cu clădirile în care au avut loc. Apoi a venit ideea adaptării acelor două spectacole pentru scenă, pentru a putea fi prezentate în turnee internaţionale şi aşa s-a născut Continuu”. Ideea spectacolului Continuu” este că spaţiul este şi el protagonist în spectacol, la fel ca şi muzicianul. Percuţionistul invitat se implică foarte mult şi fizic în spectacol, pentru că e nevoie de foarte multă energie pentru a interpreta acea muzică. Pentru Sasha Waltz este esenţial să fie exprimată această energie, această dinamică a muzicii.



    Potrivit directorului Constantin Chiriac, ediţia a XX-a a FITS a fost o ediţie care a arătat că Sibiul este un dialog, un oraş care are forţa să-şi arate orgolios frumuseţea, mândria şi capacitatea de a organiza astfel de evenimente comparabile cu cele mai importante din lume. În acealaşi timp, un oraş care are capacitatea de a duce mai departe proiecte. Cel mai important este faptul că această ediţie construieşte la modul cel mai elocvent ceea ce înseamnă mâine, că nimic nu este rupt din context şi că există o continuitate a succesului, a capacităţii de a te afla acolo sus, pe creasta valului. Şi faptul că putem să facem o astfel de performanţă în acest joc atât de greu şi de periculos cred că este cea mai importantă demonstraţie.



    Iar motto-ul finalului festivalului, declarat de directorul Constantin Chiriac, este, bineînţeles: “Astăzi construim mâine”.