Radio România Internațional

Tag: Sibiu

  • Noël en Roumanie

    Noël en Roumanie

    Vous aurez droit à des vacances reposantes, entourés de paysages à couper le souffle mais qui vous feront aussi découvrir des traditions anciennes liées à cette période de l’année. Les agences de tourisme abondent déjà en offres de tels séjours. Quel est le budget recommandé pour passer les vacances de fin d’année en Roumanie? Qu’est-ce que vous pourrez faire une fois arrivés sur place? Réponse tout de suite.



    Carmen Pavel est la présidente d’une agence de tourisme qui fêtera l’année prochaine 25 ans d’existence. Elle nous assure que la variété des destinations et des activités vous déterminera sans doute à choisir la Roumanie: «Nous avons des offres pour toutes les catégories d’âge et pour tous les types de touristes : ceux qui souhaitent se détendre, qui aiment les SPA et le bien-être, mais aussi pour les touristes actifs qui souhaitent pratiquer les sports d’hiver. Nous avons même des offres pour les passionnés de shopping».



    Côté hébergement, pendant les fêtes de fin d’année, Carmen Pavel recommande les gîtes ruraux: «Je vous proposerais une de mes régions préférées : Bran, une zone riche en traditions. En optant pour un mini séjour dans un gîte de Bran ou des communes qui l’entourent, vous serez plus proches de la vie authentique du village roumain. Vous entendrez des cantiques de Noël, vous goûterez aux plats traditionnels, vous découvrirez les coutumes et les danses traditionnelles et vous pourrez admirer des costumes populaires. Les célébrations commencent quelques jours avant Noël et finissent à Ste Jean, le 7 janvier. En plus, les Roumains aiment faire la fête, donc vous allez beaucoup vous divertir. A part Bran (au centre de la Roumanie), je vous recommande la Bucovine (dans le nord-est), où les traditions sont différentes. Il en va de même pour le Maramures (dans le nord) et la Transylvanie. Mais j’ai commencé par Bran, car cette région est étroitement liée à l’histoire de Dracula, un mythe très populaire à l’étranger».



    La publication espagnole El Mundo a réalisé ce mois-ci le classement des villes roumaines ayant les plus beaux marchés de Noël. Parmi elles: Sibiu, une superbe ville située au cœur même de la Roumanie, qui organise cette année le marché de Noël le plus grand du pays, ouvert jusque début janvier. Par contre, le sapin de Noël le plus haut et le plus spectaculaire de Roumanie est à retrouver dans le centre historique de la ville de Baia Mare, dans le nord du pays. Ce fameux sapin haut de 33 mètres est entouré de maisonnettes en bois où l’on peut se procurer du vin chaud et des produits du terroir. Pas loin, il y a deux patinoires en plein air.



    Quel budget pour un séjour dans ces alentours? Diana Olaru, manager d’un hôtel 4 étoiles situé à 10 minutes en voiture du centre ville de Baia Mare, nous donne un exemple: « Un séjour de 4 jours et 3 nuitées tout compris qui commence le 23 décembre coûte 880 lei (soit 220 euros environ) par personne. Le paquet comporte repas, hébergement et une visite du centre historique de la ville et des principaux objectifs touristiques de la zone, à savoir: le monastère Barsana, le cimetière joyeux du village de Sapanta, unique dans le monde, ou encore le Mémorial des victimes du communisme de la ville de Sighetu Marmatiei. On ne saurait pas non plus oublier les traditions et les cantiques qui animeront le repas festif de Noël. »



    Tout cela, à découvrir au Maramures, dans l’extrême nord de la Roumanie. Pour sa part, Diana Păşcuţ, responsable de marketing d’un grand tour-opérateur, nous lance une invitation dans la région de Bucovine: « A notre avis, la Bucovine est la zone la plus belle à visiter à l’occasion des fêtes de fin d’année. La nature y est magnifique sous la neige et nous avons de très belles traditions et coutumes. Les paquets touristiques de 4, 5, 6 jours comportent l’hébergement, le repas de fête et la participation aux coutumes de Noël. Les touristes ont également accès à la zone SPA et au bassin d’eau salée de l’Hôtel de Gura Humorului. Les prix vont de 1.300 lei (soit quelque 300 euros) par personnes pour 3 nuitées dans une chambre double, jusqu’à 2.000 lei (soit environ 450 euros) par personne pour un séjour de 6 nuitées. Nous vous attendons en Roumanie — très belle visite à faire au moins une fois dans sa vie. »



    Que vous choisissiez de vous loger à Bran, à proximité du château de Dracula ou dans d’autres régions historiques du pays, riches en traditions et coutumes, comme le Maramureş ou la Bucovine, ou encore dans une des stations de montagne, les tour opérateurs vous promettent un Noël de rêve en Roumanie !


    (Trad. : Valentina Beleavski)

  • Google Cultural Institute: Kulturelle Einrichtungen und Artefakte online

    Google Cultural Institute: Kulturelle Einrichtungen und Artefakte online

    Seit einigen Wochen ist Rumänien Mitglied des Google Cultural Institute, das Kunstwerke und Sehenswürdigkeiten aus aller Welt im Internet präsentiert. Im Google Cultural Institute finden die Interessenten Kunstwerke, Sehenswürdigkeiten und Welterbestätten sowie digitale Ausstellungen, die Geschichten hinter den Archiven von Kultureinrichtungen auf der ganzen Welt erzählen.



    Das
    Google Cultural Institute     ist ein virtuelles Museum, das sich vorgenommen hat, den Internetnutzern Millionen Artefakte vor die Augen zu bringen. Google hat sich mit Hunderten von Museen, Kultureinrichtungen und Archiven zusammengeschlossen, um die Kulturschätze der Welt online zu präsentieren. Ein Team engagierter Google-Mitarbeiter entwickelt Tools, die dem Kultursektor ermöglichen, mehr von seinem vielfältigen Erbe online zu präsentieren und für alle zugänglich zu machen.



    Ende November hat sich auch Rumänien dem Google Cultural Institute angeschlossen. Das Nationale Bauernmuseum in Bukarest, der Nationale Museenkomplex Astra“ und das Nationale Brukenthal-Museum in Sibiu/Hermannstadt, der Rumänische Architektenverband, die Stiftung Pro Patrimonium“, der Verband Folklore ohne Grenzen“ präsentieren nun ihre Sammlungen online im Rahmen des Google Cultural Institute und bieten den kulturinteressierten Internetnutzern Zugang zu Meisterwerken des rumänischen Kulturerbes.



    Bei der Lancierung des Google-Projekts in Rumänien erklärte der Generaldirektor des Bukarester Bauernmuseums, Virgil Ştefan Niţulescu, warum er sich diesem Projekt angeschlossen hat:



    Als unser Museum eingeladen wurde, sich an diesem Projekt zu beteiligen, antwortete ich sofort mit ‚ja‘, fast ohne darüber nachzudenken. Und das nicht nur, weil ich Vertrauen zu Google habe und ihn als Suchmotor jeden Tag im Internet benutze, sondern auch weil ich davon überzeugt bin, dass wir alle, Einrichtungen, Behörden, Unternehmen, Gesellschaften, zur Verwirklichung eines ansonsten unerreichbaren Traumes beitragen können. Zusammen können wir ein virtuelles Museum zusammenstellen, wie ein Mosaik aus unzähligen einzelnen Steinchen. Das ist auch unser Endziel: unser Kulturerbe dem Publikum zugänglich zu machen. Gleichzeitig gewinnen wir auch neue Besucher für unsere Museen: Wer die Exponate erst im Internet kennenlernt, wird mit Sicherheit neugierig, sie auch in natura zu besichtigen. Als die ersten virtuellen Museen im Internet erschienen waren, hatten die Museumskuratoren gewisse Befürchtungen, dass sie keine Besucher mehr in den Museen haben werden. Die Menschen wollen aber unmittelbare Kunsterfahrungen erleben, und echte Kunsterlebnisse hat man nur vor den konkreten Ausstellungsstücken.“




    Dan Bulucea, Country Manager bei Google Rumänien, sagte, man habe alle rumänische Einrichtungen eingeladen, sich dem Google Cultural Institute anzuschlie‎ßen. Nicht alle haben aber positiv reagiert; manche Kultureinrichtungen sind immer noch zurückhaltend. Dan Bulucea mit Erläuterungen über das Google Cultural Institute:



    Das Google Cultural Institute ist eine Online-Plattform, die das Kulturgut der Menschheit im Internet allen Nutzern leichter zugänglich macht. Im Google Cultural Institute finden die Interessenten Kunstwerke (Gemälde, Skulpturen, Zeichnungen, Fotografien), Sehenswürdigkeiten und Welterbestätten sowie digitale Ausstellungen, die Geschichten hinter den Archiven von Kultureinrichtungen auf der ganzen Welt erzählen. Das ist ein weltweites Phänomen, wir haben bereits 600 Partner aus 60 Ländern, und ab heute haben wir auch 7 rumänische Partner, die Kulturschätze aus Rumänien der ganzen Welt präsentieren. Wir freuen uns sehr über dieses Projekt, das wir als guten Anfang betrachten. Wir stellen nur die die Technik zu Verfügung. Wir besitzen nicht die notwendigen Kenntnisse, um ein Museum so zu präsentieren, wie eine solche Einrichtung es verdient, aber mit unserer Technik haben die Besucher der virtuellen Museen nicht nur die Möglichkeit der Besichtigung, sondern auch die Möglichkeit einer Interaktion mit den Exponaten. Mehr noch: Die virtuellen Museen sorgen für den Schutz der Ausstellungsstücke, die auf diese Weise keinen Risiken ausgesetzt werden.“




    Simon Rein, Programm-Manager bei Google Cultural Institute, sagte uns, wie Google Cultural Institute entstanden ist und wie es sich weiterentwickelt hat:



    Die Idee des Google Cultural Institute ist, zum Beispiel, dass wir in Bukarest Kunstwerke aus den Museen in Tokyo besichtigen können, und umgekehrt, dass die Leute in Tokyo rumänische Kunstwerke kennenlernen können. Google Cultural Institute hat sich vorgenommen, das Kulturerbe und die Kulturschätze der Welt allen Internetnutzern zugänglich zu machen. Wir entwickeln moderne technische Lösungen, damit die Kultureinrichtungen ihre wertvollen Exponate online ausstellen können. Das Google Cultural Institute hat drei Projekte, die parallel laufen. Google Art Project ist eine Zusammenarbeit mit den Museen der Welt, das Archive Projekt ist eine Partnerschaft mit Archiven und Stiftungen und das World Wonders Projekt bringt moderne und antike Welterbestätten online mit Street View, 3D-Modellierung und anderen Google-Technologien. Februar 2011 lancierten wir das Google Art Project; damals hatten wir 17 Partner. Einen Monat später schloss sich das Nelson-Mandela-Archiv an, und damit starteten wir unser Archive Project. Im November 2012 beteiligte sich auch der erste rumänische Partner an unserem Projekt: es war das rumänische öffentlich-rechtliche Fernsehen. Im Juni 2013 stellten wir unsere einzelnen Projekte in eine neue Online-Plattform für Archive und Kunst zusammen: das Google Culture Institute. Heute starten wir ein neues Projekt in Rumänien, mit 7 Museen und Archiven, die ihre wichtigsten Exponate, etwa 800 Fotos in hoher Auflösung, im Internet ausstellen. Es wurden 7 virtuelle Ausstellungen geschaffen, und wir bieten virtuelle 3-D-Rundgänge durch drei rumänische Museen.“




    Im Google Culture Institute können die Internetnutzer Exponate aus dem Brukenthal-Museum in Sibiu/Hermannstadt besichtigen, wie zum Beispiel den Mann mit blauer Mütze“ von Jan van Eyck, einmalige Volkskunstgegenstände von den Sammlungen des Bukarester Bauernmuseums, komplette Bauernhöfe vom Museum der Traditionellen Volkskultur Astra“ in Sibiu und interessante Elemente des au‎ßereuropäischen ethnographischen Raumes vom Museum für Welt-Ethnographie Franz Binder“ in Sibiu. Zu besichtigen im Google Culture Institute sind auch die au‎ßergewöhnliche Strohgeige, die im Landkreis Bihor gespielt wird, die Wassertalbahn, eine schmalspurige Waldbahn in Vişeu de Sus (Oberwischau), Kreis Maramureş, die Villa Golescu in Câmpulung, Kreis Argeş, oder die Kreationen des Architekten Ion Mincu, vor allem das Haus Mincu, der Sitz des rumänischen Architektenverbandes. Drei Kultureinrichtungen in Sibiu/Hermannstadt können direkt von der Plattform Google Culture Institute durch Street View besichtigt werden: das Brukenthal-Palais, das historische Museum Altemberger Haus“ und das Naturgeschichtsmuseum.

  • Târguri de Crăciun în România

    Târguri de Crăciun în România

    Cumpărăturile de Crăciun sunt mare prilej de bucurie, iar sacul Moşului nu se umple niciunde mai bine decât în târgurile de profil. Prin urmare, facem prima oprire chiar în centrul României, la Sibiu. Târgul de Crăciun din Sibiu este un proiect cultural iniţiat de Biroul Ataşatului Social al Ambasadei Austriei în România, dr. h. c. Barbara Schöfnagel, în parteneriat cu municipalitatea sibiană. Expozanţii au venit din peste 20 de judeţe ale ţării. Veţi găsi diverse obiecte de artizanat sau decoraţiuni de Crăciun. Nu lipsesc nici dulciurile cu forme de fructe pralinate, castanele coapte, prăjiturile şi torturile de casă, specialităţile din gastronomia românească şi ungurească şi, bineînţeles, vinul fiert. Andrei Drăgan Răduleţ, managerul evenimentului spune că a primit multe fotografii din partea vizitatorilor, aprecieri şi comparaţii cu multe dintre târgurile de acelaşi fel din Europa. La deschidere, Piaţa Mare s-a dovedit cam mică şi neîncăpătoare. Mulţi oameni vin pentru că se aşteaptă în fiecare an la ceva mai interesant decât în anul precedent. Avem şi responsabilitatea de a nu ne dezamăgi vizitatorii. Până acum am reuşit să nu dezamăgim. Iluminatul festiv a fost pe măsura aşteptărilor. Căsuţele şi modul în care au fost amplasate le-au răpit vizitatorilor multe ore din programul lor. Există spectacole care sunt concentrate pe sfârşitul de săptămână. Chiar pe site-ul evenimentului, targuldecraciun.ro, cu versiunile în limbile română, engleză, franceză şi germană, se poate vedea ce spectacole sunt programate. În restul timpului, între 10.00 şi 21.00, toate căsuţele sunt deschise.”



    Târgul de Crăciun din Sibiu împreună cu Asociaţia We Help sunt şi anul acesta parteneri ai programului ShoeBox”. Prin acest program, oricine poate dărui un cadou de Crăciun copiilor cu o situaţie materială dificilă. Conceptul presupune ca donatorul să ofere unul sau mai multe cadouri cu un volum rezonabil, care să încapă într-o cutie de pantofi, de aici şi denumirea ShoeBox”. Cutiile trebuie să fie frumos ambalate şi prezentate la centrul de colectare nesigilate, pentru a fi sortate în funcţie de viitorul destinatar. Aici sunt repartizate pe categorii: băiat sau fată, cu vârsta cuprinsă între 2 — 18 ani. Andrei Drăgan Răduleţ, managerul târgului de Crăciun din Sibiu, ne-a vorbit însă şi despre un alt proiect, demarat în urmă cu trei ani, ajuns acum la o formulă extinsă. E un pachet de city break care pleacă de la 45 de euro de persoană pentru două nopţi, de vineri până duminică. Se poate alege dintre 12 unităţi de cazare din centrul oraşului, de la pensiune de trei stele până la hotel de patru stele plus. Pe lângă cazare, sunt incluse şi transferurile de la aeroport sau gară şi un tur ghidat în centrul Sibiului. Acesta se termină în Târgul de Crăciun şi include o urcare în cunoscutul Turn al Sfatului. Am inclus o şedinţă de relaxare la un bazin istoric, Baia Populară. Turiştii au parte şi de o degustare de vin fiert şi de un voucher cadou, cu care-şi pot achiziţiona un suvenir din cadrul târgului. Este un pachet complet pe care l-au achiziţionat în fiecare an peste 500 de turişti. Ei au ocazia să viziteze unele dintre cele mai tinere târguri de Crăciun, comparabile cu celelalte, la nivel european. Nu se vor plictisi în Sibiu, vor fi şi bine primiţi, atât în târg cât şi în oraş. Suntem obişnuiţi cu turiştii şi ne dorim mult să le facem o şedere plăcută. Astfel, cei mici, cei mari, vor avea toţi parte de o vizită reuşită şi cred că, în această parte a anului, Sibiul e o destinaţie cu care nu se poate da greş.”



    Anul acesta, chiar în centrul Bucureştiului, în două zone simbol ale capitalei, Parcul Cişmigiu şi Piaţa Universităţii, în perioada 29 noiembrie — 28 decembrie, are loc târgul oficial de Crăciun al Bucureştiului, numit Bucharest Christmas Market. Evenimentul se înscrie în reţeaua celor mai importante târguri de Crâciun din Europa şi este dedicat tuturor categoriilor de public, intrarea fiind liberă. În colţul de decoraţiuni veţi găsi globuri, coroniţe, ghirlande. Dulceţurile, siropurile, mierea, magiunul se găsesc în zona Fabricat în România”. Nu lipsesc nici preparatele tradiţionale. Iar în zona Dulce de Crăciun” vă puteţi delecta cu turtă dulce, plăcinte aburinde, covrigi rotofei şi cozonaci dolofani. Iar asta nu e nicidecum tot, spune Ema Stoica, unul dintre coordonatorii proiectului. Avem o zonă dedicată copiilor. În preajma bradului este amplasată Căsuţa lui Moş Crăciun, unde cei mici se pot întâlni cu Moşul şi cu spiriduşii acestuia. Tot acolo se găseşte un carusel şi, la fel ca la ediţiile precedente, în cadrul târgului se desfăşoară campania umanitară Dăruieşte, fii mai bun, şi tu poţi fi Moş Crăciun”, organizată de Primăria Municipiului Bucureşti, prin Creart, în parteneriat cu SOS Satele Copiilor România. Prin această campanie ne propunem să adoptăm o atitudine proactivă pentru rezolvarea problemelor cu caracter social. Se poate achiziţiona o cărticică, a cărei lansare a avut loc de curând. Se numeşte Vrajă, Vis, Valentina şi-un dichis”. Se pot dona jucării şi cărţi, iar tot acolo există şi un brăduţ al dorinţelor, unde prin donaţii, visele copiilor se pot împlini. Tot la Bucharest Christmas Market aveţi posibilitatea de a asculta artişti de renume, din toate genurile muzicale, pe o scenă amplasată în Piaţa Universităţii. Ne bucurăm şi vă îndemnăm să fiţi alături de noi, să alegeţi Bucureştiul ca destinaţie de Crăciun şi, evident, să vizitaţi Bucharest Christmas Market.”



    În vestul României, în Timişoara, târgul de Crăciun a ajuns la cea de-a opta ediţie. Iar anul acesta avem parte de o ediţie specială. De ce? Aflăm de la Dan Diaconu, viceprimarul municipiului. Este un târg cu tradiţie, care, din punctul nostru de vedere, poate fi una dintre atracţiile turistice ale Timişoarei în această perioadă de sărbători. Este un târg cu un iluminat artistic de excepţie, în Piaţa Victoriei, în centrul Timişoarei, într-o ambianţă feerică. Pe lângă oferta bogată de produse, turiştii se vor putea bucura şi de un program artistic de excepţie. N-am să vă ascund că, pe de altă parte, într-un mod fericit, anul acesta, târgul de Crăciun se suprapune şi peste manifestările dedicate aniversării a 25 de ani de libertate în Timişoara, oraşul de unde a pornit revoluţia română din 1989. În Piaţa Victoriei vom avea un număr important de manifestări care cred că vor aduna foarte multă lume, fie că vorbim de concerte, fie că vorbim de alte manifestări artistice.”


    Până data viitoare, când vă aşteptăm cu noi destinaţii, drum bun şi vreme frumoasă!

  • Jurnal românesc – 7.11.2014

    Jurnal românesc – 7.11.2014

    Preşedintele Autorităţii Naţionale Române pentru Restituirea Proprietăţilor, George Băeşu, afirmă că punerea în aplicare a Legilor fondului funciar se va încheia în următorii trei ani, în timp ce soluţionarea problemelor legate de aplicarea Legii 10 privind retrocedarile va dura încă şase-şapte ani, din cauza numărului mare de dosare, peste 40.000. În ce priveste Legea 290 privind acordarea de despăgubiri sau compensaţii cetăţenilor români pentru bunurile proprietate a acestora, sechestrate, reţinute sau rămase în Basarabia, Bucovina de Nord şi Tinutul Herţa, Băeşu a spus că şi aplicarea acesteia se va încheia în cel mult trei ani.




    România domină Topul celor mai mari 100 de companii din Europa de Sud-Est, realizat de SeeNews. Anul trecut, numărul companiilor româneşti prezente a fost de 53, în creştere faţă de 2012. Firmele româneşti şi-au consolidat poziţia şi în ierarhia celor mai profitabile companii din Europa de Sud-Est, ocupând patru din primele cinci locuri. Companiile din sectorul petrolului şi gazelor naturale continuă să domine acest clasament, 29 de firme din sector fiind incluse în top.




    Toate maşinile produse în acest moment în Europa, chiar şi automobilele de lux au cel puţin o piesă produsă în una din cele mai mari şi vechi fabrici din Sibiu, aflată printre primii cinci exportatori ai României. Fabrica produce componente auto pentru piaţa europeană şi internaţională, care se regăsesc, fără excepţie, în fiecare din maşinile care se produc în Europa, în acest moment. Firma din Sibiu, sută la sută românească, produce aproape exclusiv pentru export, deşi înainte de 1990 producea doar pentru piaţa internă. Produsele ei ajung în 23 de ţări, de pe trei continente. Cifra de afaceri a companiei a atins 105 milioane de euro, din care exportul reprezintă 75%.



    În urma succesului celei de-a doua ediţii, desfăşurată în februarie 2014, Asociaţia Romanian Union of Students din Marea Britanie continuă proiectul de mentorat “RBC Mentorship Scheme”. Evenimentul va avea loc pe 22 noiembrie, la sediul Ambasadei României din Londra. Ediţia din februarie a reunit peste 140 de studenţi, mentori şi voluntari români. Spre deosebire de ediţia trecută, în noiembrie anul acesta studenţii români vor avea ocazia să se informeze cu privire la oportunităţile disponibile atât în Marea Britanie cât şi în România, fie că sunt sub formă de internship-uri, funcţii permanente sau antreprenoriat şi start-up.Evenimentul va consta în trei sesiuni având ca scop să inspire, să încurajeze şi să îndrume studenţii români pe calea spre o carieră reuşită.




    Cu binecuvantarea Bisericii Ortodoxe Ucrainene, Voievodul Moldovei, Ştefan cel Mare şi Sfânt va fi introdus în calendarul Bisericii Ortodoxe din Ucraina. Dupa cum informeaza deputatul Ion Popescu, Presedintele Uniunii Interregionale “Comunitatea Romaneasca din Ucraina”, Sfântul Sinod al Bisericii Ortodoxe Ucrainene şi-a dat acordul introducerii în calendarul Bisericii Ortodoxe canonice din Ucraina (supusa, canonic, Patriarhiei Moscovei) incepand cu anul 2015, a pomenirii Sfantului Stefan cel Mare pe 2 iulie ,stil vechi , respective 15 iulie, stil nou. Acest fapt aduce o mare bucurie in sufletele romanilor ortodocsi din Ucraina, care in aceste timpuri grele raman alaturi de biserica canonica, pastrand credinta stramoseasca si limba materna, mentinand vie si memoria etno-confesionala ca Neam Crestin » afirma deputatatul citat de Romanian Global News.

  • City breaks en Roumanie

    City breaks en Roumanie

    Quelques jours dans une destination touristique sont à même de recharger vos batteries pour une nouvelle semaine de travail.



    Mais la Roumanie est-elle prête à satisfaire à cette exigence moderne ? Réponse avec Anca Şerban, tour-opérateur : « Afin qu’une ville se prête aux city breaks, elle doit remplir certains critères, liés à l’accessibilité, aux attractions et aux possibilités d’hébergement. Peut-être bien que les attractions existaient depuis un certain temps, quant à l’accessibilité, cela posait encore problème jusqu’à un certain moment, mais plus maintenant. En ce moment, il existe une multitude de vols directs des compagnies à bas coûts et des vols de ligne qui relient les villes européennes à celles de Roumanie, à des prix tout à fait abordables ».



    Selon les statistiques, la principale raison de présence des étrangers en Roumanie pendant la première moitié de l’année ont été les affaires, la participation à des congrès, conférences, cours, foires et expositions (concernant 57,9% du nombre de touristes). Les voyages privés arrivent en deuxième position, avec 42,1% du nombre total de touristes, leurs dépenses représentant 35,7% de l’ensemble. Les voyages à des fins privées comprennent vacances, shopping, événements culturels et sportifs, visites d’amis ou de la famille, soins médicaux, fêtes religieuses ou autres.



    Voyons quelles sont les villes qui suscitent l’intérêt des visiteurs. Anca Şerban répond : « C’est surtout Bucarest, Sibiu, Cluj et Timişoara qui intéressent les touristes, la capitale étant la plus attrayante. Là, il se passe en permanence des choses qui tentent. Les spectacles d’opéra sont un point d’attraction important, à Bucarest, mais aussi à Cluj et à Timişoara. Il ne faut pas oublier non plus les jeunes, et là, Bucarest est très recommandé et de plus en plus demandé pour ses boîtes de nuit très animées. Si l’on pense à Sibiu, il y a là-bas une vie culturelle intense, avec un riche agenda culturel, où la collaboration entre les pouvoirs locaux et les tours-opérateurs est perceptible. On peut considérer Cluj sous l’angle de l’année 2015, quand il sera Capitale européenne de la jeunesse. Il est sûr que ce titre va attirer une série d’événements consacrés aux jeunes et de nature à susciter l’intérêt des visiteurs étrangers ».



    Chaque année, une centaine de milliers de touristes s’intéressent aux stations balnéaires de Roumanie, notamment à Covasna ou Herculane les Bains, où ils soignent leurs problèmes cardiaques et rhumatismaux. La plupart des touristes étrangers qui choisissent la Roumanie comme destination de santé viennent d’Israël, d’Allemagne et plus récemment d’Italie.



    A en croire les statistiques, les touristes étrangers nous ayant rendu visite durant la première moitié de l’année en cours ont déboursé une moyenne de 600 euros chacun par séjour. Il serait donc utile d’apprendre auprès de Anca Serban à combien se monte le tarif d’un city break en Roumanie : « Si l’on pense à Bucarest, hé bien, je pense que les tarifs tourneront autour de 238 euros par personne dans une chambre double pour un séjour de deux nuitées, dans un trois étoiles au centre ville, avec soirée folklorique et tour de ville inclus et transport aérien. Si le touriste préfère un cinq étoiles, le prix du séjour grimpera vers 268 euros. C’est un prix attractif et compétitif qui s’applique aussi dans le cas des autres destinations de Roumanie ».



    La Roumanie participe au Salon mondial du tourisme de Londres qui s’avère une excellente occasion pour les opérateurs roumains de faire connaître leurs offres. Anca Serban a également des idées censées faire de la Roumanie une destination encore plus privilégiée : « Une idée serait d’inclure la Roumanie dans le classement Lonely Planet des dix meilleures destinations pour 2015. Ce serait certainement une méthode pour accroître l’intérêt vis-à-vis de notre pays. A l’heure où l’on parle, l’Occident ne voit pas la Roumanie comme une possible destination de vacances, surtout en raison d’informations pas toujours favorables en ce qui nous concerne. Heureusement qu’une fois arrivés sur place, les touristes sont carrément fascinés par ce qu’ils découvrent et donc la publicité qu’ils nous font une fois de retour chez eux s’avère toujours la plus crédible et efficace des pubs ».



    Et puisque l’automne et le printemps sont toujours les meilleures saisons pour découvrir une ville, n’hésitez pas à vous adresser aux agences de tourisme afin de réserver dès maintenant votre séjour à destination de Roumanie aux tarifs dégriffés ! (trad. Ligia Mihaescu)

  • Nachrichten 04.11.2014

    Nachrichten 04.11.2014

    BUKAREST: Die Regierungskoalition hat am Dienstag ihre Strategie zur entscheidenden Stichwahl festgelegt. Der Präsidentschaftskandidat der linksgerichteten, regierenden Wahlallianz Sozialdemokratische Partei — Fortschrittspartei – Konservative Partei (PSD-UNPR-PC) und amtierender Ministerpräsident Victor Ponta hat erklärt seine erste Option für das Amt des Premiers sei Calin Popescu Tariceanu, sollte er die Präsidentenwahl am 16. November gewinnen. Călin Popescu-Tăriceanu ist der amtierende Sentatsvorsitzende und hat selbst an der Präsidentenwahl teilgenommen. Er bekam im 1. Wahlgang 5,36 % der Stimmen. Andere mögliche Ministerpräsidenten im Fall eines Siegs seien Florin Georgescu, Vizegouverneur der rumänischen Notenbank und George Maior, der Chef des rumänischen Inlands-Informationsdienstes SRI. Pontas Gegenkandidat, der bürgerliche Klaus Iohannis gab seinerseits bekannt, dass er keine Verhandlungen mit seinen Rivalen in der ersten Wahlrunde führen werde, um sich in der Stichwahl ihre Unterstützung zu sichern. Der Vorsitzende der nationalistischen Grossrumänienpartei Corneliu Vadim Tudor und der Ex-Chef des rumänischen Auslands-Informationsdienstes SIE, der Unabhängige Teodor Melescanu, die 3,68 %, beziehungsweise 1,08 % der Stimmen bekommen haben, kündigten ihre Unterstützung für Victor Ponta an. Im ersten Wahlgang erzielte Ponta 40,44% der Stimmen, während der liberale Iohannis 30,37% der Stimmen erreichte. Die Wahlbeteiligung erreichte 53,17 %. Mehr dazu nach den Nachrichten.




    BRÜSSEL: Im Jahr 2015 sei in Rumänien ein Wirtschaftswachstum um 2,4% und 2016 um 2,8% zu erwarten, so die Europäiche Kommission in ihrer Herbstprognose. Ferner soll das Haushaltsdefizit dieses Jahr auf 2,1% zurückgehen und im kommenden Jahr wieder auf 2,8% steigen. 2016 sei ein neuer Rückgang des Haushaltsdefizites zu erwarten, fügt die Europäische Kommission hinzu. Die Prognosen deuten auch auf ein leichtes Wachstum der Inflation in den kommenden zwei Jahren an. Die Arbeitslosenquote sei gesunken und dieser Trend soll andauern. Die Herbstprognose der Europäischen Kommission deutet ebenfalls dieses Jahr auf ein Wirtscaftswachstum um 0,8% im Euroraum und um 1,1% im kommenden Jahr an. Die Inflation im Euroraum soll dieses Jahr angesichts der langsamen Wiederankurbelung der von der Finanzkrise stark betroffenen Staaten dieses Jahr 0,5% und 2015 0,8% verzeichnen, zeigt ferner die Europäische Kommission in ihrem jüngsten Bericht.




    BUKAREST: Das rumänische Aussenministerium und das Zentrale Wahlbüro haben am Dienstag nach Lösungen um weitere Probleme bei der Abwicklung der Präsidentschaftswahlen zu vermeiden, gesucht. Der rumänische Aussenminister Titus Corlăţean schlug vor, dass die eidesstattliche Erklärung, die ausgefüllt werden muss, den Wählern, schon im Voraus im Internet zur Verfügung gestellt wird. Diese sollte dann vor dem Vorsitzenden des Wahlbüros unterzeichnet werden. Zugleich könnte die Zahl der Wahlkabinen in den Wahlbüros ergänzt werden. Der scheidende Präsident Traian Basescu hat infolge des Skandals um die überfüllten Wahllokale im Ausland die Rücktritte von Au‎ßenminister Titus Corlăţean und Diaspora-Minister Bogdan Stanoevici gefordert. Diesen könnten schwerwiegende Defizite bei der Planung des Wahlvorganges im Ausland angehängt werden. Wegen der fehlenden Materialien und der geringen Anzahl der geöffneten Wahllokale sei vielen Rumänen im Ausland der Urnengang verweigert worde, so Staatschef Traian Basescu. Ministerpräsident Victor Ponta erklärte dass der Ausenminister Titus Corlatean und sein Team ihre Ämter aufs Spiel setzen, wenn am 16. November in der Stichwahl nicht alle wahlberehtigten Rumänen ihre Stimme abgeben können. Hunderte Auslandsrumänen konnten am Sonntag ihre Stimme nicht mehr abgeben, nachdem vor den Wahllokalen in London, München, Chisinau und Stuttgart lange Schlangen gebildet wurden und die Verlängerung der Öffnungszeiten nicht bewilligt wurde. Ausreichend Stempel und Formulare waren auch nicht vorhanden. In Paris und London kam es zu spontanen Protesten, in der französischen Hauptstadt musste die Polizei eingreifen

  • Facilities for cyclists

    Facilities for cyclists

    Riding a bicycle is a pleasant way of spending time, and in the past years it has been seen as a healthy activity, which helps people stay in good shape. Many articles in glossy or wellness magazines recommend this activity with promising headlines such as: “Driving a bicycle helps you burn out calories”, “Cycling charges you with energy” or “Riding a bicycle tones your muscles”. If you are one of those who ride a bike to work, besides the fact that you benefit from an effective and handy means of transport, you have the chance of relieving yourselves from stress and many other advantages.



    The city of Sibiu, in central Romania is now home to the first restaurant that gives a 10% discount to those who go there by bike. Radu Coica, the manager of the restaurant, explains where the idea came from:



    “The idea actually reflects a growing trend in Sibiu, which started in 2007, when bicycle lanes started being built in the city. Following that measure, the number of bicycle lovers has grown, and there are many events and clubs that support bike riding. So, to promote bike riding as well, we thought of something to bring bikers to us. We opened the restaurant this spring and we thought it was a good idea for those who like to exercise, so we tried to come up with a practical combination, to include healthy food, will less fats, and even vegetarian food. Now that winter is about to settle in, the number of cyclists reaching the historical centre will probably diminish. However, the pedestrian area is quite large, including Hued Square, Small Square, Big Square and the Balcesu area, so riding a bike to the historical centre and the surrounding area has become quite convenient for many inhabitants of the city.”



    As most restaurants only provide free parking for bikes, this one allures you with a 10% discount. Right from the very entrance to the restaurant, a board with a cyclist drawn on it announces the promotion, so there are bicycles parked in front of that restaurant every day, their owners sitting relaxed and enjoying a tranquil atmosphere, as well as the 10% discount. Both citizens of Sibiu and tourists who rent bikes are happy to see their bills smaller and to have a safe place to park their bikes.



    Radu Coica tells us what bikers usually order:



    “Those who burn calories riding their bicycles are willing to have more substantial meals. And there are also those who, apart from exercising, also want light meals. We haven’t focused on a special menu for bikers, our menus are quite diverse and combine Romanian cuisine with international elements. We have pizza and pasta, particularly for the young, as well as bean soup in bread bowl or Transylvania-style goulash served in bread bowls. We take great pride in our deserts: our floating island reminds our clients of their childhood, and we are one of the few places that serve boiled dumplings. There are people who come here specially for this desert.”



    Radu Coica told us that, although this is not the only initiative of this kind, a lot of people came and took photos of the restaurant sign and voiced their surprise. They say they are tempted not necessarily by the discount itself, but rather by the concept. And still, our interlocutor told us he feels part of a larger trend:



    “There are companies that support bicycle riding, even the Evangelical Church supports it, and the church employees get bonuses depending on the number of kilometers they ride each month. There are a lot of projects run jointly with the City Hall and the County Council, which has recently built a bike lane connecting the city to the villages of Rasinari and Poplaca. It is a bike lane where the young people of Sibiu can be safe outside the city, which is a rare occurrence in Romania.”



    The city of Sibiu has more than 71 km of bike lanes, the most popular of them being the one in the Dumbrava Forest, where the number of bikers has increased substantially. There is also another pub in Sibiu that uses bicycles for promotion purposes. The Bicicleta French Pub has three bikes, painted in the colours of the pub, hung on the front wall, but the pub does not offer bike riders any discounts.



    Although the life of bike riders is improving across the country, with 60 km of lanes in the western city of Timisoara or 100 km in the capital Bucharest, many bikers still complain that some lanes are not properly marked, and that in smaller cities they are absent altogether. Therefore, any initiative to support cycling, anywhere in the country, is highly appreciated.

  • Astra Film Festival et Astra Junior

    Astra Film Festival et Astra Junior

    Pour voyager au plus profond de l’être humain, le film documentaire est un outil idéal. Il l’est à ce point que des festivals lui sont dédiés dans le monde entier. La Roumanie en a le sien, Astra Film Festival, arrivé cette année à sa 21e édition. Depuis six ans, un Astra Film Festival — Junior, dont nous allons parler avec Maria Span, rédactrice au Département Astra Film du Complexe national musée Astra de Sibiu, impliquée dans l’organisation du « Junior ».





    Egalement avec nous Laura Dumitrescu, reporter culturel pour le site filmreporter.ro . Elle a suivi une partie des documentaires présentés à l’édition de cette année du Festival Astra de Sibiu et écrit des chroniques pour le site. Voici ses impressions.




  • Vorfahrt für Radler

    Vorfahrt für Radler

    Radfahren ist eine angenehme Freizeitbeschäftigung, die in den letzten Jahren auch als optimale Sportart zum Fitbleiben gilt. Viele Artikel in Hochglanz-Illustrierten oder Wellness-Zeitschriften empfehlen das Fahrradfahren mit vielversprechenden Titeln wie Radfahren verbrennt Kalorien“, Radfahren lädt Ihre Batterien mit Energie auf“, Radfahren kräftigt die Muskeln“ usw. usf. Eines ist mindestens sicher: Eine tägliche Runde auf dem Drahtesel“ stärkt nicht nur das Herz und die Gefä‎ße, sondern es gibt auch kaum eine Sportart, die die Gelenke entlastet und sie gleichzeitig beweglich erhält — das ist eine ideale Vorbeugung gegen Gelenkverschlei‎ß.



    Wer jeden Tag zur Arbeit radelt, hat ein wirksames und leicht zu parkendes Transportmittel, vermindert den Alltagsstress und genie‎ßt auch weitere Vorteile. Zum Beispiel: In Sibiu/Hermannstadt wurde neulich das erste Restaurant eröffnet, in dem Radfahrer eine 10%-Ermä‎ßigung bekommen. An der Tür des Restaurants Kulinarium, am Kleinen Ring, befindet sich ein Plakat mit einer Fahrradfahrer-Silhouette drauf. Die Aufschrift ist einladend: Wer mit dem Fahrrad hierher kommt, hat 10% Ermä‎ßigung“. Der Restaurantmanager Radu Coică erzählt, wie er auf diese Idee gekommen ist:



    Die Idee ist nicht so neu — sie entstand 2007, als in Sibiu die ersten Fahrstreifen für Radler markiert wurden. Mehr Fahrradspuren brachten auch mehr Radfahrer in die Stadt, es wurden Aktionen zur Förderung des Radfahrens gestartet und Fahrrad-Clubs gegründet. Wir wollten auch diese Initiativen unterstützen und überlegten uns eine Aktion für Radfahrer. Im Frühjahr eröffneten wir unser Restaurant, und wir dachten, dass die Idee einer Ermä‎ßigung für Radfahrer gar nicht so schlecht sei. Leute, die Rad fahren und fit bleiben wollen, möchten auch gesund essen, und daher schlagen wir unseren radfahrenden Kunden unter anderen auch fettreduzierte und vegetarische Gerichte vor. Die Fu‎ßgängerzone in Sibiu ist ziemlich gro‎ß — dazu gehören der Huet-Platz, der Gro‎ße Ring, der Kleine Ring, die Fu‎ßgängerstrecke Bălcescu, und deshalb ist Radfahren in der Hermannstädter Altstadt für immer mehr Leute interessant geworden.“




    Während viele Lokale nur freie Fahrradparkplätze anbieten, haben Fahrradfahrer im Restaurant Kulinarium 10% Ermä‎ßigung. Am Eingang, an einer Tafel mit der schon erwähnten Fahrradfahrer-Silhouette, befinden sich die Tagesangebote. Jeden Tag stehen mehrere Fahrräder vor dem Restaurant. Die Drahtesel“-Besitzer entspannen sich an den Tischen, genie‎ßen die angenehme Atmosphäre, eine köstliche Mahlzeit und… die 10% Ermä‎ßigung. Die Gäste sind au‎ßerdem froh darüber, dass der Fahrradparkplatz absolut sicher ist. Was bestellen normalerweise die Fahrradfahrer? Radu Coică antwortet:



    Die Fahrradfahrer verbrennen normalerweise viele Kalorien. Manche haben gro‎ßen Hunger und wollen etwas Deftiges essen. Andere wiederum achten auf ihre Figur und wollen nach dem Radfahren eine leichtere Mahlzeit zu sich nehmen. Wir haben keine speziellen Fahrradfahrer-Menus, sondern bieten verschiedene Gerichte aus der rumänischen und der internationalen Küche an. Pizza und Pasta haben wir immer auf der Speisekarte, sie sind bei jungen Leuten sehr beliebt, aber wir bieten zum Beispiel die leckere Bohnensuppe im Brotlaib an (ein rundes Brot mit dicker Kruste wird ausgehöhlt und mit Bohnensuppe gefüllt) und auch siebenbürgischen Gulasch im Brotlaib. Auf unsere Desserts sind wir besonders stolz; wir verwöhnen unsere Kunden mit ‚lapte de pasăre‘ (deutsch Schnee-Eier, oder Schneenockerl mit Kanarimilch) und mit ‚papanaşi fierţi‘ (deutsch Topfenknödel oder Topfennockerl), die gekocht werden, und nicht gebraten, wie in den meisten Restaurants. Viele Gäste kommen extra zu uns, um die gekochten Topfenknödel zu genie‎ßen.“




    Das ist nicht die einzige Aktion zugunsten der Fahrradfahrer in Sibiu/Hermannstadt, aber viele Leute kommen speziell zum Restaurant Kulinarium, um sich mit dem Werbeplakat zu fotografieren. Es geht ihnen nicht unbedingt um die 10% Ermä‎ßigung, sondern um die Idee. Das ist aber nur eine von vielen Aktionen zum Fördern des Radfahrens. Radu Coică:



    Es gibt bei uns Unternehmen, die das Radfahren unterstützen. Auch die Evangelische Kirche in Hermannstadt fördert das Radfahren; bei der Entlohnung der Angestellten spielt auch die Zahl der Fahrradkilometer eine Rolle. Es gibt verschiedene Aktionen in Zusammenarbeit mit der Stadtverwaltung und dem Kreisrat Sibiu. Neulich wurde ein Radfahrstreifen zwischen der Stadt Răşinari und der Gemeinde Poplaca eingerichtet. Das ist der erste Teil einer Radverkehrsanlage, die Răşinari und Poplaca mit Sibiu verbinden wird. Ein sicherer Radfahrstreifen au‎ßerhalb einer Stadt ist in Rumänien immer noch eine Seltenheit.“




    Es gibt mehr als 71 Km Radfahrstreifen in Sibiu/Hermannstadt; am meisten benutzt sind die Streifen, die zum Park Dumbrava führen. Auch in anderen rumänischen Städten hat man ein Herz für Radfahrer: In Timişoara (Temeswar) gibt es schon 60 Km Fahrradstreifen, in Bukarest 100 Km. Es sei aber längst nicht genug, meinen die Fahrradfahrer, und hoffen auf weitere Unterstützung, damit auch die rumänischen Städte sich der europäischen Tendenz anschlie‎ßen können.

  • A la redécouverte du comté de Sibiu

    A la redécouverte du comté de Sibiu

    Aux alentours de la cité, les Monts Făgăraş et Cindrel composent la scène du spectacle qu’offre cette destination touristique incontournable.



    Gyongyi Takacs, coordinateur de projet à l’Association de tourisme Sibiu, détaille les raisons pour lesquelles Sibiu vaut bien le détour. « L’automne est la saison des trajets touristiques à travers les 5 zones ethno – géographiques du comté de Sibiu. Nous vous invitons à découvrir la Route du fromage, dans le sud de notre contrée, plus précisément dans la célèbre région appelée Mărginimea Sibiului. Le 19 septembre, les troupeaux sont descendus des alpages pour rejoindre les bergeries d’hiver, plus proches des villages. Un autre itinéraire vous emmène dans les vergers qui regorgent de pommes et de noix, autant d’endroits qui offrent de très belles vues sur les collines couleur de rouille accroupies au pied des Monts Cindrel. Vous pouvez aussi visiter le musée Zosim Oancea de Sibiel, le plus célèbre musée d’icônes sur verre ou bien la Collection de Jina, qui recèle des objets de la vie quotidienne pastorale. D’autres offres s’adressent aux passionnés de vélo. Ils peuvent tester les circuits cyclo-touristiques qui partent de Mărginimea Sibiului et mènent au cœur des Monts Cindrel. Pour satisfaire à toutes les demandes, on vous propose une large variété d’itinéraires et un centre de location de vélos dans la localité de Cristian. Ne manquez pas non plus de passer au moins une journée à respirer l’air frais de la station de montagne de Păltiniş et à vous offrir une bonne dose d’adrénaline dans le parc d’aventure Arka Park ».



    En amont de la rivière Olt, vous attendent le Palais entouré de jardins du baron Samuel von Brukenthal, à Avrig et puis l’abbaye cistercienne à Cârţa. L’image des crêtes du Massif de Făgăraş ne vous quittera pas de sitôt. Et si, une fois arrivés à la cascade Bâlea, vous montez dans une télécabine, vous aurez une vue imprenable sur l’autoroute Transfăgărăşan, la plus spectaculaire de Roumanie.



    La contrée de Sibiu est également réputée pour sa cuisine traditionnelle, précise encore Gyongyi Takacs: « Au bout du chemin qui longe la rivière Hârtibaci, les gourmands seront servis, lors des nombreux événements gastronomiques mémorables: prévoyez donc un pique-nique écolo, un festin avec des produits du terroir, sur le belvédère des Monts Fagaras. N’oubliez pas de faire une étape à Moara Veche (Le Vieux Moulin) de Hosman, histoire de goûter aux délicieux plats de la région. Dirigez-vous ensuite vers Agnita. Une fois là, après être montés dans la tour de l’église fortifiée, n’hésitez pas à déguster le « hencleş », sorte de brioche inspirée de la cuisine saxonne ».


    Dans la Vallée des Târnave, également appelée « La Route des fortifications », le charme des églises fortifiées est rehaussé par le coloris du paysage automnal. Les citadelles de Valea Viilor — la Vallée des Vignes – et Biertan, deux sites inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, vous attendent elles aussi pour vous raconter des histoires, comme celle de la tour de la réconciliation, de la sacristie au portail le plus inédit ou encore du plus beau polyptyque de Transylvanie.



    La ville de Sibiu dont la première attestation documentaire remonte à 1191, conserve une forte empreinte médiévale. Du 13e au 16e siècles, y ont été dressées pas moins de 4 ceintures fortifiées. Le centre-ville, qui regroupe 3 places historiques, à savoir la Place Huet, la Petite et la Grande Place, est devenu le site médiéval le plus important de Roumanie. Sur la Grande Place, s’élèvent des bâtiments majestueux portant les armoiries des principales familles des 15e — 18e siècles. Un bâtiment représentatif de Sibiu est le Palais du baron Samuel von Brukenthal, qui abrite le premier musée d’art ouvert au public roumain en 1817. Construit en style baroque entre 1778 et 1788, le palais a été la résidence officielle du baron Brukenthal. Les éléments originels ont été conservés, tout comme les intérieurs des salons.



    Si vous préférez visiter Sibiu sans guide, alors sachez qu’il y a plusieurs centres d’information touristique dans la ville, certains appartenant à la municipalité, d’autres — privés. Leurs employés sont là pour vous renseigner en anglais, allemand, espagnol et français.



    Ou bien vous pouvez vous rendre à Sibiu à l’occasion des différents événements qui y sont organisés. Gyongyi Takacs nous donne quelques exemples : «Vous pouvez opter pour un séjour plus complexe comportant dégustations de produits traditionnels dans la Tour au Lard de l’église fortifiée de Mosna. Vous pouvez passer la nuit à l’église fortifiée d’Axente Sever. Et il ne faut absolument pas rater les dégustations de vins de la cave de Traube, se trouvant dans le centre historique de la ville, ni les eaux à effets thérapeutiques de la station thermale de Bazna. Voici quelques événements qui auront lieu à Sibiu cet automne : une nouvelle saison du Théâtre National Radu Stanca, la 46e édition du festival de Jazz de Sibiu prévue pour la fin octobre et le Festival Mozaic Jazz, qui se déroulera à la mi-novembre. S’y ajoute le festival des chorales traditionnelles de Saliste, principale ville de la région de Marginimea Sibiului, un événement prévu toujours pour la mi-novembre. Enfin, vous pouvez visiter le Musée de la civilisation traditionnelle ASTRA, un musée du village en plein air. L’occasion aussi de vous rendre au Bistrot à l’ancienne, pour y déguster le moût fraîchement tiré et découvrir les traditions vigneronnes».


    Autant de raisons pour vous convaincre que Sibiu est une des villes les plus touristiques de Roumanie. Bon voyage ! (Trad. Mariana Tudose, Valentina Beleavski)

  • Să redescoperim Sibiul!

    Să redescoperim Sibiul!

    Astăzi vizităm o zonă multiculturală din centrul României, în Transilvania: judeţul Sibiu. Oraşul reşedinţă de judeţ, Sibiu, fostă Capitală Culturală Europeană în 2007, îşi merită titlul şi astăzi. În împrejurimile oraşului Sibiu, Munţii Făgăraş şi Munţii Cindrel, creează scena spectacolului pe care îl reprezintă destinaţia turistică Sibiu.



    Gyongyi Takacs, coordonator proiect în cadrul Asociaţiei judeţene de turism Sibiu, ne spune de ce merită să venim aici: Toamna se numără traseele turistice în cele 5 zone etno-geografice ale judeţului Sibiu. Vă invităm pe Drumul brânzei în sudul judeţului, în renumita Mărginime a Sibiului unde în 19 septembrie s-au coborât oile de la munte în stânele de iarnă, mai aproape de vetrele satelor. Vă invităm la drumeţii prin poienile cu mere şi nuci coapte, de unde se deschid panorama asupra dealurilor ruginite din munţii Cindrel. Puteţi opta pentru vizitarea celui mai renumit muzeu de icoane pe sticlă preot Zosim Oancea” din Sibiel sau a Colecţiei de obiecte pastorale din Jina. Nu lipsesc nici ofertele pentru iubitorii pedalatului: încercaţi traseele cicloturistice montane care pornesc din localităţile Mărginimii spre inima Munţilor Cindrel. Veţi găsi o varietate de trasee pentru toate cerinţele şi un centru de închiriat biciclete la Cristian. Nu plecaţi fără a petrece cel puţin o zi în aerul curat din staţiunea Păltiniş şi luaţi o porţie de adrenalină în parcul de aventură Arka Park.”



    Urmând cursul râului Olt spre izvoare, puteţi vizita Palatul şi grădina baronului Samuel von Brukenthal de la Avrig sau abaţia Cisterciană de la Cârţa. Panorama crestelor Făgăraşului vă va însoţi pretutindeni. Iar dacă urcaţi pe Transfăgărăşan până la Bâlea Cascadă, puteţi să admiraţi din telecabină cea mai spectaculoasă şosea a României.



    Zona Sibiului este bogată şi din punct de vedere al tentaţiilor gastronomice. Vine cu detalii Gyongyi Takacs: Drumul naturii dictat de râul Hârtibaci invită gurmanzii la evenimente culinare memorabile: programaţi un picnic bio 360° pentru un festin cu produse tradiţionale într-un punct de belvedere dominat de creasta Munţilor Făgăraş. Opriţi la Moara Veche din Hosman pentru a savura produsele brutăriei tradiţionale. Continuaţi drumul către Agnita, unde după ce aţi urcat în turnul bisericii fortificate, degustaţi desertul inspirat din bucătăria săsească: hencleşul”, adică nişte cozonac săsesc.”



    Pe Valea Târnavelor cunoscută şi drept Drumul fortificaţiilor”, farmecul cetăţilor bisericeşti este accentuat de culorile peisajului de toamnă transilvană. Valea Viilor şi Biertanul, situri UNESCO, vă aşteaptă pentru a afla povestea turnului împăcării, a celei mai inedite uşi de sacristie şi a celui mai frumos altar poliptic din Transilvania.



    Oraşul Sibiu, atestat pentru prima dată în anul 1191, are o puternică amprentă medievală. Între secolele 13 şi 16 aici au fost realizate nu mai puţin de 4 centuri de fortificaţii. Centrul vechi al Sibiului, grupat în jurul a 3 pieţe istorice, Piaţa Huet, Piaţa Mică, Piaţa Mare, a devenit cel mai mare sit medieval din România. Perimetrul Pieţei Mari este dominat de clădiri importante care poartă emblemele celor mai de seamă familii din secolele XV – XVIII. Reprezentativ este Palatul baronului Samuel von Brukenthal, primul muzeu de artă deschis publicului din România în anul 1817. Construit in stil baroc, undeva intre anii 1778 si 1788, palatul a fost reşedinţa oficială a baronului Samuel von Brukhental. Aici sunt păstrate în original elemente ale palatului din acea vreme, precum şi interioarele saloanelor care alcătuiesc clădirea.



    Dacă alegeţi să vizitaţi oraşul pe cont propriu veţi găsi în Sibiu centre de informare turistică, unele ale primăriei, altele private. Toate aceste centre oferă informaţii turiştilor, iar cei care lucrează acolo cunosc limbile engleză şi germană, spaniolă şi franceză. Iar dacă doriţi să vizitaţi zona cu ocazia vreunui eveniment organizat aici, ofertele abundă. Gyongyi Takacs: “Alegeţi un sejur complex programând degustări în Turnul slăninii de la (cetatea fortificată) Moşna şi înnoptând la biserica cetate de la Axente Sever. Nu plecaţi fără a participa la o degustare de vinuri în crama Traube din centrul istoric şi fără a vă relaxa în apele terapeutice din staţiunea Bazna. În Sibiu, evenimentele de toamnă din 2014, care vă aşteaptă sunt: se redeschide stagiunea Teatrului Radu Stanca din Sibiu,. Toamna la Sibiu începe pe ritmuri de jazz, cu Sibiu Jazz Festival, cea de-a 46-a ediţie între 23-26 octombie şi continuă cu Mozaic Jazz Festival, între 13-16 noiembrie. Între 15-17 noiembrie, va avea loc Festivalul corurilor tradiţionale în Mărginimea Sibiului, în capitala acesteia la Sălişte. Puteţi vizita Muzeul în aer liber ASTRA, pentru a participa la evenimentele mustăriei de la Cârciuma din bătrâni.”



    Cu speranţa că v-aţi notat Sibiul ca destinaţie turistică obligatorie în România, nu uitaţi să vă contactaţi operatorul local de turism pentru cele mai bune oferte de cazare.

  • Nachrichten 12.10.2014

    Nachrichten 12.10.2014

    Bucharest: The delegated Minister of the Romanian Diaspora Bogdan Stanoevici has beteligt in Munich at the opening of the 15th Romanian Cultural days. In addition Stanoevici came with representatives of the Romanian communities in Munich, Nuremberg and Ingolstadt to talks. In his speech at the cultural event in Munich, the Romanian Minister stressed the centuries of relations between the Romanian and German culture, as well as the potential for the expansion of cultural relations between the two countries, which could also lead to the further development of future joint projects.




    Bucharest : Bucharest welcomes the decision of the Canadian authorities to put Romania on the list of countries of origin, whose citizens do not need visas for entry to Canada. The measure is an important step towards the abolition of the visa requirement for Romanian citizens who wish to travel to Canada, said Romanias Foreign Minister Titus Corlăţean. The list is an instrument of the Canadian authorities, is to avoid any abuse of Canadas immigration and asylum system. The States which are recognized as countries with a secure democracy on this list that comply with the human rights, offer protection and constitute no emigration countries.





    Moreover, the Commission ruled against the imposition of the visa requirement for EU entry for citizens of Canada, Australia, Japan and the United States, even if the visa requirement when entering the said States for citizens of EU countries, including Romania was not abolished. The European Commission justified the decision by the fact that substantial progress was made in negotiations with the said non-EU countries. Consequentlym a full and perfect reciprocity face visa in view, Brussels added.




    Sibiu: The Big Prize Documentary Festival Astra in Central Romania Sibiu (Hermannstadt) has gone to the Ukrainian production “Majdan” which deals with the uprising in the Ukrainian capital Kiev and the Abestzung of President Viktor Ianukovici. As the best international documentary production “Master Of The Universe” the director Marc Bauder was honored. The strip takes a look at the glittering financial world with all its depths and its Skrupellosigkeiten. The Romanian production “The Second Game”, directed by Corneliu Porumboiu was awarded the Special Jury Prize. The prize for the best European documentary went to “Blood”, the director Alina Rudnitskaya, during the movie “Waiting for August” by director Ana Teodora Mihaia was awarded as the best Romanian Dokumentrafilm.




    Sports: Gymnastics: The Romanian gymnast Larisa Iordache has won the silver medal at the World Championships in Nanning China in floor exercise. On Friday Iordache had conquered in the individual all-around silver medal. At the bottom triuphierte the American gymnast Simone Biles and in third place came the Russian Aliya Mustafina. The 18-year-old Larisa Iordache has not captured the European title five times and also won a bronze medal in all-around team in the Olympics 2012th




    Sports: Football : The National Football Team Sheep Romania won the home match against Hungary for the European Championship qualifiers with an undecided one Saturday night: finished one. On Tuesday Romania abroad to compete against Finland. Romania belongs together with Northern Ireland, Faroe Islands and Greece to the group F of the qualifying matches for the European Championship to be held in 2016 in France. In the first group match, Romania away had prevailed over Greece with 1 to 0. In the last 14 years, the Romanian National Team participated only once at a World or Europe according Championship 2008 at the European Championships in Switzerland and Austria.

  • Avantage pour les cyclistes

    Avantage pour les cyclistes

    Faire du vélo est un loisir des plus agréables et, depuis quelque temps, on commence à en apprécier de plus en plus les bénéfices pour la santé, car il vous remet en forme.



    Beaucoup d’articles parus dans les revues mondaines sous les titres les plus divers vantent les avantages du vélo: Faire du vélo vous fait brûler des calories, Le vélo vous recharge instantanément les batteries, Faire du vélo renforce vos muscles.



    Si vous comptez parmi ceux qui ont choisi de pédaler jusqu’au boulot, non seulement vous avez opté pour un moyen de transport efficace et pratique, mais vous échappez en même temps au stress quotidien et vous pouvez même bénéficier d’avantages imprévus.



    A Sibiu, par exemple, a été ouvert le premier restaurant offrant une réduction de 10% de la note aux personnes qui s’y rendent à vélo.



    Radu Coică s’occupe de la gestion de ce restaurant. Comment cette idée lui est-elle venue? « L’idée n’en est pas une, c’est plutôt une tendance qui a fait son apparition à Sibiu en 2007, lorsque la ville a commencé à se doter de pistes cyclables, et qui fait de plus en plus d’adeptes. Cette décision a déterminé une augmentation du nombre des passionnés du vélo et l’apparition d’un nombre de plus en plus grand de clubs et d’actions en faveur du cyclisme. Pour les soutenir, nous avons imaginé une manière de les attirer. Nous avons ouvert le restaurant au printemps dernier et nous avons trouvé que c’était une bonne idée. Nous avons adapté le menu de sorte que les cyclistes qui le souhaitent puissent bénéficier d’une nourriture plus saine, végétarienne, avec moins de calories. Maintenant que la saison froide approche, il est possible que le nombre de cyclistes qui arrivent au centre historique de la ville diminue. Pourtant, la zone piétonne étant assez vaste, pour beaucoup de personnes le déplacement dans ce quartier de la ville reste plus facile à vélo. »



    Si la plupart des bistros offrent aux cyclistes uniquement des places sécurisées pour stationner leurs vélos, ce restaurant propose, en plus, une réduction de 10% du prix de la consommation. A l’entrée du restaurant, un panneau portant l’image d’un cycliste annonce cette promotion.



    Et tous les jours, il y a des vélos qui s’y arrêtent. Les cyclistes sont soit des habitants de la ville, soit des touristes qui ont loué un vélo, car ils peuvent bénéficier, eux aussi, de cette promotion.



    Quelle nourriture préfèrent les cyclistes ? Radu Coică: « Parmi ceux qui brûlent leurs calories en faisant du vélo, il y en a qui font des repas copieux, pour récupérer leur énergie, et d’autres qui choisissent, au contraire, de prendre de l’exercice et de manger plus léger. Nous n’avons donc pas conçu un menu spécial à l’intention des cyclistes. Notre carte est très variée, nous leur proposons un mélange de cuisine traditionnelle et internationale. Evidemment, les pâtes et les pizzas — les préférées des jeunes — y figurent en bonne place. S’y retrouvent pourtant aussi la « ciorba » de haricots blancs servie à l’intérieur d’un demi-pain creux ou le goulasch transylvain — une soupe à base de viande et de légumes assaisonnée de paprika entre autres. Nous sommes également fiers de nos desserts : l’île flottante qui nous rappelle notre enfance et surtout les « papanaşi » – sorte de beignets. Il y a des personnes qui viennent chez nous exprès pour ce dessert. »



    Cette promotion offerte par le restaurant n’est pas l’unique action de ce genre. Pourtant, nombre de personnes se montrent surprises et se prennent même en photo devant le panneau qui annonce la promotion. Beaucoup de clients affirment s’y rendre attirés non pas par cette promotion, mais par l’idée en soi. (Ouvrons une parenthèse pour dire qu’à Sibiu il y a un autre bistro qui utilise le vélo en guise de pub. Trois bicyclettes sont accrochées sur sa façade, peintes dans les couleurs du bistro, mais aucune promotion n’est offerte à ceux qui s’y rendent en pédalant.)



    Radu Coică sent, effectivement, qu’il s’inscrit dans un mouvement plus am


    Radu Coică : « Il y a des compagnies qui soutiennent le cyclisme, l’Eglise évangélique encourage, elle aussi l’utilisation du vélo comme moyen de locomotion et la rémunération de ses employés dépend des kilomètres qu’ils parcourent chaque mois. Il y a différentes actions, organisées en collaboration avec la municipalité et avec le Conseil départemental, qui a récemment créé une piste cyclable reliant la ville aux localités environnantes : Răşinari et Poplaca. C’est une piste qui offre aux jeunes de Sibiu la possibilité de se déplacer à vélo à l’extérieur de la ville en toute sécurité — chose plutôt rare en Roumanie. »



    La ville de Sibiu compte à présent 71 kilomètres de pistes cyclables, les plus fréquentées étant celles qui sillonnent le parc de la forêt Dumbrava. Et le nombre de cyclistes ne cesse d’augmenter.



    Depuis quelque temps, les conditions offertes aux cyclistes s’améliorent un peu partout en Roumanie : à Timişoara le réseau des pistes cyclables totalise 60 kilomètres et à Bucarest — une centaine. Pourtant, les petites villes en sont totalement dépourvues. Aussi, le marquage des bandes cyclables est-il souvent inefficace.



    Toute démarche visant à soutenir l’utilisation du vélo est donc la bienvenue. En attendant, si vous êtes de passage par Sibiu, n’oubliez pas de garder en réserve un « bon appétit » de cycliste que vous pouvez satisfaire à prix modique. (Trad.: Dominique)

  • Rencontres européennes de Transylvanie 2014 : ruralité et innovations

    Rencontres européennes de Transylvanie 2014 : ruralité et innovations

    Avec la moitié de sa population vivant et travaillant dans le milieu rural, la Roumanie est un des pays européens où l’agriculture joue un rôle économique et social important. Ce secteur a pourtant la vie dure, pour ainsi dire, pour des raisons aussi bien objectives que subjectives. Les problèmes sont nombreux et pour en trouver des solutions, les échanges d’expérience avec des partenaires étrangers sont s’avèrent fort utiles. C’est ce qui se passe en ce moment de l’autre côté des Carpates méridionales, dans le cadre d’un projet intitulé « Rencontres européennes de Transylvanie ». L’Institut français de Cluj est impliqué dans l’organisation de cet événement et son directeur, Benoît Bavouset, répond aux questions dIleana Taroi


  • Avantaj bicicliştii

    Avantaj bicicliştii

    Mersul pe bicicletă este o modalitate plăcută de petrecere a timpului liber, iar în ultimii ani a început să fie văzut şi ca o activitate sănătoasă, care te ajută să te menţii în formă. Multe articole din reviste mondene sau de wellness, recomandă mersul pe bicicletă cu titluri promiţătoare precum: Mersul pe bicicletă arde caloriile, Ciclismul te încarcă instant cu energie, Mersul pe bicicletă îţi tonifiază musculatura corpului.



    Dacă sunteţi dintre aceia care pedalează către locul de muncă, dincolo de faptul că aveţi la dispoziţie un mijloc de transport eficient şi la îndemână, vă eliberaţi de stresul cotidian, dar puteţi avea şi alte avantaje.



    La Sibiu, spre exemplu, s-a deschis primul restaurant care oferă 10% reducere persoanelor care vin pe două roţi. L-am invitat alături de noi pe Radu Coică, administratorul acestui restaurant, să ne spună de unde a venit ideea:


    Ideea este de fapt un trend crescător în Sibiu încă din anii 2007, când a început construcţia pistelor de biciclete. Odată cu măsura aceasta a crescut numărul iubitorilor de biciclete, şi sunt foarte multe acţiuni şi cluburi care susţin mersul pe bicicletă. Şi atunci, noi ne-am gândit, pentru a veni în sprijinul acestora, să facem o acţiune pentru a-i atrage la noi. Am deschis în primăvara acestui an şi am decis că ideea este bună pentru cei care fac mişcare, aşa că am combinat practic şi mâncarea cu mai puţine grăsimi, mâncarea vegetariană cu această acţiune. Acum probabil, venind sezonul rece se va restrânge şi numărul cicliştilor care ajung în centrul istoric. Totodată putem spune că faptul că zona pietonală este destul de extinsă: Piaţa Hued, Piaţa Mică, Piaţa Mare, zona pietonală Bălcescu, modul de deplasare cu bicicleta în Centrul istoric şi în zonă a devenit mult mai convenabil pentru foarte mulţi locuitori.”



    În timp ce din ce în ce mai multe localuri oferă doar parcare pentru biciclete, aici aveţi reducere 10 % pentru că veniţi pe două roţi. Încă de la intrarea în restaurant, o tablă cu un biciclist desenat pe ea anunţă promoţia, astfel că în fiecare zi, la acest restaurant sunt parcate biciclete, ai căror proprietari stau relaxaţi la mese, bucurându-se de o atmosferă liniştită şi reducerea de zece procente acordată de local. Bicicliştii sibieni dar şi turiştii care închiriază biciclete se bucură de reducerea notei de plată, dar şi de faptul că aici au unde să îşi lase în siguranţă bicicletele.



    Ce comandă de obicei bicicliştii ne spune tot Radu Coică: Cei care ard caloriile pe bicicletă sunt dornici să mănânce mai copios. Sau mai există genul oamenilor care, pe lângă faptul că fac mişcare, vor să mănânce şi mai uşor. Noi nu ne-am axat pe un meniu al bicicliştilor, meniul nostru este foarte variat şi combină bucătăria românească, cu elemente internaţionale. Nu lipsesc pastele şi pizza, în special pentru cei tineri, dar avem şi ciorbă de fasole în pită (în pâine scobită şi umplută cu acea ciorbă) sau gulaş ardelenesc servit în pită şi putem să ne lăudăm şi cu deserturile: lapte de pasăre, amintind de copilărie şi suntem printre puţinele localuri care fac papanaşii fierţi. Sunt persoane care vin special pentru acest desert.”




    Radu Coică ne-a spus că acţiunea restaurantului nu este singulară, dar că multă lume chiar făcea poză cu reclama localului şi se arăta surprinsă: mulţi au spus că vin nu neapărat tentaţi de acea reducere, ci de ideea în sine. Cu toate acestea, interlocutorul nostru se simte parte dintr-o mişcare mai largă: Există companii care sprijină mersul pe bicicletă, şi Biserica Evanghelică sprijină mersul pe bicicletă şi angajaţilor din cadrul bisericii li se dă remuneraţia şi funcţie de kilometrii parcurşi într-o lună. Sunt diverse acţiuni, în colaborare cu primăria şi cu consiliul judeţean, care a făcut recent o pistă de biciclete ce leagă exteriorul oraşului de Răşinari şi de Poplaca. Este o pistă de biciclete unde tinerii sibieni pot merge în siguranţă şi în exteriorul oraşului, lucru mai rar întâlnit în România.”



    Acum există în municipiul Sibiu peste 71 de kilometri de piste de biciclete, cele mai circulate fiind cele din Parcul Sub Arini situat în Pădurea Dumbrava, numărul bicicliştilor crescând simţitor. Un alt pub din Sibiu foloseşte bicicleta pe post de reclamă. La Bicicleta French Pub din Sibiu, pe peretele de la intrare, stau atârnate trei biciclete, vopsite în culorile acestui local, însă aici nu se oferă reduceri pentru biciclişti.



    Deşi situaţia bicicliştilor este din ce în ce mai bună în întreaga ţară, existând deja 60 de km de piste destinate bicicliştilor în Timişoara, 100 km în Bucureşti, bicicliştii reclamă ineficienţa trasării anumitor piste şi absenţa lor din oraşele mai mici. Astfel orice demers de sprijinire a lor este binevenit, marcând tendinţa europeană a oraşelor din România.



    Dar, punând problemele deoparte, nu uitaţi, dacă treceţi prin Sibiu, să vă programaţi poftă bună, de biciclişti!