Tag: UDMR

  • Regierungskrise in Bukarest: Präsident lädt Parteien zu Konsultationen ein

    Regierungskrise in Bukarest: Präsident lädt Parteien zu Konsultationen ein

    Schon am vergangenen Dienstag, als die Minderheitsregierung PNL-UDMR um Premierminister Florin Cîțu durch Misstrauensantrag gestürzt worden war, haben viele Politikkommentatoren geraunt, dass die Grabenkämpfe der politischen Kräfte im rumänischen Parlament eine neue Koalitionsbildung fast unmöglich machen würden. Man braucht kein Prophet zu sein, um diese Binsenwahrheit zu verkünden, denn die Positionen der einzelnen Parteien waren schon vor dem Misstrauensvotum im Parlament klipp und klar. Die oppositionellen Sozialdemokraten, Hauptantreiber des Misstrauensantrags, schlie‎ßen die Unterstützung eines liberalen Minderheitenkabinetts aus und pochen auf vorgezogene Neuwahlen. Marcel Ciolacu, Vorsitzender der PSD:



    Rumänien braucht eine stabile Regierung, und aus unserer Sicht gibt es eine einzige Lösung: vorgezogene Neuwahlen. Bis dahin sollte ein unabhängiges Expertenkabinett die Regierungsgeschäfte übernehmen.“



    Auf derselben Welle reitet auch die nationalistische Allianz für die Einheit der Rumänen (AUR), die ebenfalls die Oppositionsbank drückt. Die Union Rettet Rumänien (USR), bis zur Verwerfung mit dem Premierminister Florin Cîțu Juniorpartner der liberalen Regierung, hat am Dienstag für die Absetzung des Kabinetts gestimmt, räumt aber ein, für eine neue Koalition mit der PNL und dem Ungarnverband (UDMR) prinzipiell verfügbar zu sein — nur eben mit einem anderen Ministerpräsidenten, der ihnen kein Dorn im Auge ist. Dacian Cioloș, der frisch gewählte neue Parteichef der USR, erläutert den Balanceakt seiner Partei:



    Für uns gibt es keinen Grund, ein liberales Minderheitenkabinett zu unterstützen, denn wir könnten eine neue Regierung zusammen mit der PNL bilden. In einer Regierungskoalition sollte jede Partei seine eigenen Minister ernennen dürfen, und zwar so, wie das bislang gang und gäbe war; doch für uns ist das nur tragbar, wenn die PNL Florin Cîțu unter Umständen für einen Ministerposten nominiert, keineswegs aber erneut als Premierminister aufstellt.“



    Die Liberalen finden diese Forderung unerhört und wollen Cîțu unter keinen Umständen fallen lassen. Dan Vîlceanu, bislang liberaler Finanzminister im durch Misstrauensantrag gestürzten Kabinett, spricht Klartext und sagt, eine Koalitionsregierung mit der USR sei durch Bedingungen um Personalien nicht möglich:



    Die USR hat zum Sturz der Regierung erheblich beigetragen — gerade in einer Zeit, in der wir alle an die Bürger in diesem Land denken und nicht parteipolitischen Interessen Vorrang einräumen sollten. Ich wünsche mir auch, dass diese politische Krise so bald wie möglich beendet wird; doch das ist nur möglich, wenn es der USR einleuchtet, dass sie einen Fehler begangen hat und dass es bei ihr liegt, diesen Fehler wieder rückgängig zu machen. Florin Cîțu ist Parteichef der PNL, einer Partei, die doppelt so viele Wählerstimmen als die USR hinter sich hat. Unter diesen Umständen ziemt es sich einfach nicht, ultimative Bedingungen zu stellen.“



    Das letzte Wort wird wohl Staatspräsident Klaus Johannis sprechen. Doch dieser ist auch nicht optimistisch, dass die auf Montag anberaumte erste Konsultationsrunde mit den Parteien im Präsidentenpalast eine Lösung bringen wird:



    Wir müssen eine Lösung für diese Krise finden, denn die Regierung ist infolge von Hochmut und persönlichen Ambitionen gestürzt. Die von der Verfassung vorgeschriebenen Schritte sind bekannt. Ich werde die parlamentarischen Parteien zu Beratungen einladen, und zusammen mit jenen Politikern, die Reife und Verantwortungsbewusstsein zeigen, werden wir versuchen, aus dieser Krise herauszukommen.“



    Staatspräsident Johannis, der ferner einräumte, dass er vorgezogene Neuwahlen unter den Umständen der Pandemie und der explodierenden Energiepreise für die denkbar schlechteste Lösung hält.

  • Que veulent obtenir les partis politiques ?

    Que veulent obtenir les partis politiques ?

    Mardi dernier, lorsque le gouvernement roumain constitué par le Parti national libéral et l’Union démocrate magyare de Roumanie et dirigé par le libéral Florin Cîtu a été destitué par motion de censure, les analystes ont anticipé que la configuration d’une nouvelle coalition gouvernementale pourrait s’avérer une mission carément impossible compte tenu des intérêts tellement divergents des partis. Et ce que les analystes anticipaient est désormais réalité puisque le Parti social démocrate, principale formation de l’opposition et promoteur de la motion de censure, exclut la possibilité de soutenir un gouvernement minoritaire du PNL, affirmant que la meilleure solution serait un scrutin législatif anticipé. « Je crois que la Roumanie a besoin d’un gouvernement stable et de mon point de vue il n’y a qu’une solution : les élections anticipées. D’ici là, un gouvernement composé de spécialistes pourrait être mis en place » a précisé Marcel Ciolacu. L’avis du PSD est partagé aussi par les nationalistes de l’Alliance pour l’Union des Roumains.

    Par ailleurs, l’Union Sauvez la Roumanie, qui a été jusqu’à septembre dernier un partenaire cadet dans la coalition gouvernementale souhaiterait faire partie d’un gouvernement PNL – UDMR dirigé par un autre premier ministre. Ce n’est plus un secret, Florin Cîtu et l’USR sont des ennemis jurés. « Nous n’avons aucune raison pour voter un gouvernement minoritaire du PNL parce que nous pouvons soutenir un gouvernement aux côtés des libéraux. Chaque parti peut choisir ses ministres selon le même modèle qu’auparavant, mais c’est la décision du PNL de proposer Florin Cîtu pour un poste de ministre. Mais nous n’allons en aucun cas l’appuyer pour le fauteuil de premier ministre » a déclare Dacian Ciolos. Or, les libéraux souhaitent obstinément que le même et unique Florin Cîtu devienne à nouveau premier ministre !

    Ce qui plus est, selon Dan Vîlceanu, ministre libéral destitué des finances, la coalition avec l’USR est impossible à refaire si ce parti pose des conditions inacceptables par les libéraux. « Ils ont dépourvu la Roumanie d’un gouvernement dans un moment durant lequel ils auraient du penser plutôt aux citoyens et moins au profit politique. Je souhaite que cette période dure le moins que possible, mais cela dépend de leur capacité à admettre avoir commis une erreur et de leurs efforts visant à la réparer. Florin Cîtu est en fin de compte le président du PNL, un parti qui ne peut pas accepter de telles conditions vu que son score est double » martèle Dan Vîlceanu qui précise donc qu’aux dernières élections législatives le PNL avait décroché deux fois plus de votes que l’USR.

    Et dans tout ce chaos politique, c’est le président Klaus Iohannis qui a le dernier mot à dire. Il n’est pourtant pas optimiste quant au succès du premier round de consultations avec les partis politiques, prévu pour lundi. « Il faut trouver une sortie de cette crise, puisque le gouvernement est tombé victime d’orgueils. Les pas constitutionnels sont archi-connus. J’inviterai les partis parlementaires à des consultations et j’essaierai aux côtés des acteurs les plus matures et les plus responsables à trouver une issue » a déclaré le chef de l’Etat. Il a également précisé que l’organisation d’élections anticipées était carrément impossible durant la période qui suit, vu qu’elle est marquée par la pandémie et par la flambée des prix sur le marché de l’énergie.

  • Motion de censure contre le gouvernement de Bucarest

    Motion de censure contre le gouvernement de Bucarest

    Le gouvernement dirigé par le leader libéral, Florin Cîtu est soumis aujourd’hui à son épreuve politique la plus importante : une motion de censure initiée par l’opposition social-démocrate. Dans le document, le PSD affirme que l’unique solution pour que la Roumanie puisse sortir de cette crise politique, économique est sociale est le départ urgent du gouvernement Cîtu.

    Les sociaux-démocrates imputent à l’Exécutif l’appauvrissement des Roumains, l’absence de mesures censées contrecarrer la hausse des factures énergétiques et la dévalorisation de la monnaie nationale, le leu, ainsi que la progression alarmante de la dette publique. S’y ajoutent le faible taux d’absorption des fonds européens, le blocage des programmes d’appui pour les PMEs et le manque d’intérêt pour les problèmes des agriculteurs, soulignent encore les sociaux-démocrates. Ils n’oublient pas non plus de dénoncer ce qu’ils appellent un désastre provoqué dans le domaine de la santé. Le gouvernement de l’alliance entre le Parti national libéral – l’Union Sauvez la Roumanie – Plus (USR-PLUS) et l’Union démocrate-magyare de Roumanie (UDMR) n’a pas lutté contre la pandémie, il n’a fait qu’empêcher le traitement des maladies chroniques, accuse le Parti social-démocrate. L’opposition de gauche n’oublie pas non plus les ennuis légaux que Florin Cîtu a eus lorsqu’il était étudiant aux Etats-Unis. Le fait d’avoir conduit un véhicule sous l’emprise de l’alcool au début des années 2000 aurait été ignoré normalement, si la situation politique à Bucarest ne s’était pas enflammée brusquement à cause des problèmes survenus au sein de la coalition gouvernementale.

    La motion du PSD n’épargne pas non plus l’USR-PLUS, même si, justement, la sortie de ce parti de la coalition gouvernementale a transformé le gouvernement Cîtu en un cabinet minoritaire et l’a projeté dans la situation difficile dans laquelle il se retrouve actuellement. L’ancienne alliance USR-PLUS s’appelle désormais USR tout court puisque les deux partis ont fusionné le week-end dernier. Malgré les critiques à son encontre formulées par le PSD, l’USR a annoncé son intention de voter la motion afin de renverser Florin Cîtu de son fauteuil de premier ministre, le tentant pour seul responsable du démantèlement de la coalition gouvernementale. D’ailleurs, la première motion de censure déposée contre le cabinet de Florin Cîtu a été déposée par l’Union Sauvez la Roumanie aux côtés de l’Alliance pour l’Union des Roumains, soit l’opposition ultranationaliste. Le trajet de cette initiative vers les débats et le vote par le Législatif a été freiné par la Cour Constitutionnelle et elle deviendra tout simplement caduque si la motion du PSD est adoptée. Et à en croire les déclarations politiques faites ces derniers temps, l’Exécutif de Florin Cîtu n’aurait aucune chance de survie.

    Pour être adoptée par le plénum du Parlement roumain, une motion de censure doit recenser 234 voix « pour ». Selon les calculs parlementaires, le PSD, l’USR et l’AUR, soit les trois partis qui la soutiennent, recensent ensemble 280 sénateurs et députés. Le camp du Pouvoir, soit le PNL et l’UDMR, ne regroupe de 163 élus nationaux. Enfin, les députés des minorités nationales autres que celle magyare ne participent pas au vote. De son côté, le premier ministre libéral, Florin Cîtu, a dénoncé l’irresponsabilité de ce qu’il a appelé une nouvelle majorité PSD – USR – AUR. Les élus libéraux seront présents aux débats, mais ils ne voteront pas la motion contre son cabinet, a également précisé Florin Cîtu. (Trad. Alex Diaconescu)

  • Regierungskrise: Misstrauensantrag der PSD vorgetragen, Abstimmung kommende

    Das Minderheitskabinett in Bukarest, das nur noch aus der Liberalen Partei (PNL) und dem Ungarnverband (UDMR) besteht, zählt wohl seine letzten Tage. Am gestrigen Donnerstag haben die Sozialdemokraten (PSD) in der Vollversammlung des Parlaments ihren Misstrauensantrag gegen die Regierung unter gro‎ßem Tumult vorgetragen. Kommenden Dienstag, also am 5. Oktober, soll darüber im Parlament abgestimmt werden. Nach bisherigen Berechnungen hat das Kabinett um den liberalen Premierminister Florin Cîțu kaum eine Chance, im Amt zu bleiben. Zumindest deklarativ sind sich die PSD, die nationalistische Partei AUR und die USR-Plus, der ehemalige Juniorpartner der Liberalen, einig: Diese Regierung und vor allem Premierminister Cîțu müssen weg. Sollten alle Abgeordneten der genannten Parteien wie verkündet abstimmen, würde das Votum 280 Stimmen für den Misstrauensantrag bringen — mehr als genug, um die Regierung zu stürzen, denn nach der derzeitigen Konstellation würden schon 234 Stimmen für eine Absetzung des Kabinetts reichen.



    Eine Schlüsselrolle spielt dabei die USR-Plus, ehemaliger Juniorpartner der Liberalen, der sich aufgrund von Personalien unversöhnlich mit dem amtierenden Premierminister Florin Cîțu verkracht hat. Der Verlesung des Misstrauensantrags ihrer sozialdemokratischen Kollegen im Parlament sind die Abgeordneten der USR-Plus allerdings fern geblieben, denn das Dokument nimmt auch sie an die Kandare, und die Liberalen hoffen wohl insgeheim, dass ihr ehemaliger Koalitionspartner vielleicht doch noch einlenkt und den Sozialdemokraten einen Strich durch die Rechnung macht. Die USR-Plus macht allerdings eine Wiederauflage der Koalition nach wie vor von einem Abgang des Premierministers abhängig.



    Im vierseitigen Text ihres Misstrauensantrags liest die PSD der bisherigen Regierungskoalition schonungslos die Leviten — die Regierung habe sich allein durch Inkompetenz und Verschwendung öffentlicher Gelder ausgezeichnet. Den Text trug im Plenum des Parlaments Alfred Simonis vor, der Fraktionsvorsitzende der Sozialdemokraten:



    Jeder weitere Tag mit dieser Regierung im Amt bedeutet noch ein Tag, an dem die Verarmung der Bevölkerung zunimmt, die Entwicklung der lokalen Gemeinschaften verhindert und die Zukunft des Landes durch eine toxische Verschuldung verspielt wird, die künftige Generationen zu Leidtragenden macht.“




    Die PSD beanstandet ferner die explosionsartige Preiserhöhung auf dem Energiemarkt — 7 Mio. Menschen seien dadurch zur Armut verdammt –, die schwache Abrufung europäischer Gelder und das schlechte Management der Pandemie. Die einzige Lösung der Krise ist in der Auffassung der Sozialdemokraten eine interimistische Expertenregierung und vorgezogene Neuwahlen.



    Der amtierende Premierminister hingegen beschuldigt seine politischen Gegner, das Schicksal der Menschen sei ihnen egal, sie würden das Land wissentlich ins Chaos stürzen, so Florin Cîţu. Er wolle sein Amt unter keinen Umständen ablegen. Doch auch im unwahrscheinlichen Fall, dass der Misstrauensantrag der Sozialdemokraten kommenden Dienstag scheitert, kann der Premierminister keineswegs erleichtert aufatmen, denn gegen ihn liegt ein weiterer Misstrauensantrag vor, den die USR-Plus und die AUR eingereicht haben und dem sich die Sozialdemokraten laut eigenen Angaben anschlie‎ßen möchten. In diesem zweiten Misstrauensantrag rechnet die USR-Plus mit dem liberalen Premierminister ab. Er sei unfähig, eine Koalitionsregierung zu führen“ und einem engherzigen Parteiklüngel“ verfallen, der Allgemeinwohl und Wohlstand“ aufs Spiel setze, so im Text des Misstrauensantrags der USR-Plus.

  • Regierungskrise: Misstrauensantrag der PSD vorgetragen, Abstimmung kommenden Dienstag

    Regierungskrise: Misstrauensantrag der PSD vorgetragen, Abstimmung kommenden Dienstag

    Das Minderheitskabinett in Bukarest, das nur noch aus der Liberalen Partei (PNL) und dem Ungarnverband (UDMR) besteht, zählt wohl seine letzten Tage. Am gestrigen Donnerstag haben die Sozialdemokraten (PSD) in der Vollversammlung des Parlaments ihren Misstrauensantrag gegen die Regierung unter gro‎ßem Tumult vorgetragen. Kommenden Dienstag, also am 5. Oktober, soll darüber im Parlament abgestimmt werden. Nach bisherigen Berechnungen hat das Kabinett um den liberalen Premierminister Florin Cîțu kaum eine Chance, im Amt zu bleiben. Zumindest deklarativ sind sich die PSD, die nationalistische Partei AUR und die USR-Plus, der ehemalige Juniorpartner der Liberalen, einig: Diese Regierung und vor allem Premierminister Cîțu müssen weg. Sollten alle Abgeordneten der genannten Parteien wie verkündet abstimmen, würde das Votum 280 Stimmen für den Misstrauensantrag bringen — mehr als genug, um die Regierung zu stürzen, denn nach der derzeitigen Konstellation würden schon 234 Stimmen für eine Absetzung des Kabinetts reichen.



    Eine Schlüsselrolle spielt dabei die USR-Plus, ehemaliger Juniorpartner der Liberalen, der sich aufgrund von Personalien unversöhnlich mit dem amtierenden Premierminister Florin Cîțu verkracht hat. Der Verlesung des Misstrauensantrags ihrer sozialdemokratischen Kollegen im Parlament sind die Abgeordneten der USR-Plus allerdings fern geblieben, denn das Dokument nimmt auch sie an die Kandare, und die Liberalen hoffen wohl insgeheim, dass ihr ehemaliger Koalitionspartner vielleicht doch noch einlenkt und den Sozialdemokraten einen Strich durch die Rechnung macht. Die USR-Plus macht allerdings eine Wiederauflage der Koalition nach wie vor von einem Abgang des Premierministers abhängig.



    Im vierseitigen Text ihres Misstrauensantrags liest die PSD der bisherigen Regierungskoalition schonungslos die Leviten — die Regierung habe sich allein durch Inkompetenz und Verschwendung öffentlicher Gelder ausgezeichnet. Den Text trug im Plenum des Parlaments Alfred Simonis vor, der Fraktionsvorsitzende der Sozialdemokraten:



    Jeder weitere Tag mit dieser Regierung im Amt bedeutet noch ein Tag, an dem die Verarmung der Bevölkerung zunimmt, die Entwicklung der lokalen Gemeinschaften verhindert und die Zukunft des Landes durch eine toxische Verschuldung verspielt wird, die künftige Generationen zu Leidtragenden macht.“




    Die PSD beanstandet ferner die explosionsartige Preiserhöhung auf dem Energiemarkt — 7 Mio. Menschen seien dadurch zur Armut verdammt –, die schwache Abrufung europäischer Gelder und das schlechte Management der Pandemie. Die einzige Lösung der Krise ist in der Auffassung der Sozialdemokraten eine interimistische Expertenregierung und vorgezogene Neuwahlen.



    Der amtierende Premierminister hingegen beschuldigt seine politischen Gegner, das Schicksal der Menschen sei ihnen egal, sie würden das Land wissentlich ins Chaos stürzen, so Florin Cîţu. Er wolle sein Amt unter keinen Umständen ablegen. Doch auch im unwahrscheinlichen Fall, dass der Misstrauensantrag der Sozialdemokraten kommenden Dienstag scheitert, kann der Premierminister keineswegs erleichtert aufatmen, denn gegen ihn liegt ein weiterer Misstrauensantrag vor, den die USR-Plus und die AUR eingereicht haben und dem sich die Sozialdemokraten laut eigenen Angaben anschlie‎ßen möchten. In diesem zweiten Misstrauensantrag rechnet die USR-Plus mit dem liberalen Premierminister ab. Er sei unfähig, eine Koalitionsregierung zu führen“ und einem engherzigen Parteiklüngel“ verfallen, der Allgemeinwohl und Wohlstand“ aufs Spiel setze, so im Text des Misstrauensantrags der USR-Plus.

  • 04.09.2021

    04.09.2021

    Politique – Politique – Le président Klaus Iohannis a déclaré samedi que l’entente entre USR-PLUS, membre de la coalition gouvernementale, et le parti ultranationaliste l’Alliance pour l’unité des Roumains, était un affront infligé aux Roumains. Le président a demandé à l’Union sauvez la Roumanie-PLUS de mettre fin aux gestes politiques qu’il a qualifié d’irresponsables, de respecter ses électeurs et de reprendre le dialogue, afin de trouver une solution viable et rationnelle avec les partenaires de coalition et de débloquer la situation actuelle. Le chef de l’Etat estime qu’en s’associant avec un parti qui ne respecte pas les valeurs occidentales, USR-PLUS trahit la volonté des citoyens ayant mis leurs espoirs dans une coalition de centre droit œuvrant pour le développement de la Roumanie. La destruction de la coalition et le fait de compromettre de manière irrémédiable toutes les réformes assumées par le gouvernement actuel risquent de placer la Roumanie dans une profonde crise économique et sociale, a avertit le président. Les parlementaires de l’Union sauvez la Roumanie-PLUS et de l’Alliance pour l’unité des Roumains ont déposé vendredi une motion de censure contre le cabinet dirigé par le libéral Florin Cîţu, après le refus de ce dernier de démissionner et de celui du Parti national libéral de retirer le soutien politique au premier ministre. USR-PLUS avait réclamé le départ de Cîţu après que celui-ci avait révoqué de façon inopiné Stelian Ion, ministre de la Justice et membre de l’USR-PLUS, pour avoir bloqué la mise en œuvre d’un vaste plan d’investissements dans l’infrastructure locale. Le premier ministre a déclaré que l’actuelle formule politique était la seule solution pour diriger le pays, opinion partagée par l’Union démocrate magyare de Roumanie, le troisième membre de la coalition.

    Coronavirus – Samedi, les autorités roumaines
    ont rapporté 1568 contaminations au nouveau coronavirus et 28 décès des suites
    de l’infection dans les dernières 24 heures. 358 malades de Covid-19 sont
    hospitalisés en soins intensifs. 5,1 millions de Roumains sont à présent
    entièrement vaccinés, soit un peu moins d’un tiers de la population éligible.

    Diplomatie – La cellule de crise interinstitutionnelle dirigée par le ministère roumain des Affaires étrangères a réussit à obtenir aujourd’hui l’évacuation de 45 citoyens afghans, des magistrats et leurs famille, a annoncé le ministre Bogdan Aurescu au Forum de sécurité en mer Noire et dans les Balkans, qui est en plein déroulement à Bucarest. Le chef de la diplomatie roumaine a précisé que les jours précédents 11 ressortissants afghans – des juges, des médecins et des journalistes – avaient été évacués de Kaboul avec le soutien de l’Etat roumain. En tout, les autorités roumaines ont contribué à l’évacuation de 61 citoyens afghans, auxquels s’ajoutent 49 ressortissants roumains et 7 ressortissants des pays partenaires. Par ailleurs, le président Klaus Iohannis s’est entretenu hier avec le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg par rapport à l’Afghanistan. « La Roumanie reste inquiète quant à la situation critique en Afghanistan et elle se tient prête à contribuer aux efforts de l’OTAN pour aborder cette crise. L’unité des alliés est essentielle – l’Afghanistan ne doit pas devenir à nouveau un lieu de refuge pour les terroristes » – a écrit le président roumain sur Twitter. A son tour, le secrétaire général de l’Alliance a parlé sur le même réseau social de ses discussions avec le président roumain et avec les premiers ministres des Pays-Bas et de l’Espagne par rapport à la situation en Afghanistan. « Les alliés de l’OTAN continueront à évacuer les gens en toute sécurité et nous restons décidés et unis contre le terrorisme international » a écrit Stoltenberg.

    Tennis – Simona Halep s’est qualifiée pour les huitièmes de finale de l’US Open de tennis, après une victoire en trois sets contre la Kazakhe Elena Rîbakina. Demain, Halep, actuellement numéro 12 au classement WTA, rencontrera l’Ukrainienne Elina Svitolina, numéro 5 mondiale. Les deux sportives ont disputé jusqu’à présent dix rencontres directes, dont chacune en a remporté cinq. La meilleure performance de la joueuse roumaine à l’US Open est une demi-finale disputée en 2015.

    Météo – Les températures, plutôt basses ce matin, repartent à la hausse en Roumanie. Dans la deuxième partie de la journée elles approcheront les normales de saison et iront de 19° à 28°C. Des pluies de courte durée sont attendues en montagne et dans le nord-est du pays, où le vent connaît aussi quelques intensifications. Ciel bleu et 23°C à midi à Bucarest.

  • Rumänisches Parlament nimmt Sitzungen wieder auf

    Rumänisches Parlament nimmt Sitzungen wieder auf

    Laut Angaben der Spitzenpolitiker der Regierungskoalition (PNL-USRPLUS-UDMR) ist die Oberste Priorität auf der Agenda der Legislative die Verabschiedung eines Gesetzes zum Schutz der sogenannten vulnerablen Verbraucher. Im Senat wurde der Gesetzentwurf bereits verabschiedet, nun soll die Abgeordnetenkammer darüber beraten. Mit dem neuen Gesetz soll Familien mit geringen Einkommen geholfen werden, die seit der vollständigen Liberalisierung des Energiemarktes am 1. Juli erhöhten Strom- und Gasrechnungen zu bezahlen, da man im Winter eine regelrechte Preisexplosion erwartet. Die in der Opposition befindlichen Sozialdemokraten (PSD) fordern eine beschleunigte Verabschiedung, zudem sollte das Gesetz schon in diesem Winter wirken, und nicht erst ab nächstes Jahr, wie die Regierung plant. Die PSD möchte zudem eine Preisdeckelung, falls die Energiepreise aus dem Ruder laufen.



    Im Senat, der Oberkammer des rumänischen Parlaments, sollen indessen die Diskussionen über die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft für Ermittlungen gegen Richter und Staatsanwälte (SIIJ) fortgeführt werden. Experten aus dem In- und Ausland sind einhellig der Meinung, dass diese von der ehemaligen PSD-Regierung auf den Weg gebrachte Behörde völlig überflüssig und nur dafür geschaffen worden sei, um ermittelnde Staatsanwälte einzuschüchtern und damit die Bekämpfung der Korruption zu unterbinden. Die Spitzenpolitiker der derzeitigen Regierungskoalition sind sich zwar auch einig, dass die Sonderstaatsanwaltschaft abgeschafft werden muss, es herrscht aber kein politischer Konsens, wie man dabei vorgehen soll.



    Die PSD möchte im Senat auch die Verabschiedung eines Gesetzes durchboxen, mit dem Politikern, gegen die strafrechtliche Verurteilungen vorliegen, der Zugang zu öffentlichen Ämtern verwehrt werden soll. Nachdem die PSD sich der korrupten Führungsriege um den kürzlich aus dem Gefängnis entlassenen Liviu Dragnea einigerma‎ßen entledigt hat, pocht sie damit nun auf ein Thema, das jahrelang im Diskurs des bürgerlichen Politikspektrums Vorrang hatte. Die Sozialdemokraten möchten ferner auch einen Misstrauensantrag gegen die Regierung des Liberalen Florin Cîţu auf den Weg bringen.



    Die PSD befindet sich laut jüngsten Umfragen in einer komfortablen Position. Nervosität und Frustration sind allgegenwärtig in der rumänischen Gesellschaft, und zwei Drittel der Bürger erachten, dass Rumänien sich in die falsche Richtung bewegt. Sollten nächsten Sonntag Wahlen stattfinden, so würden 35% der Befragten für die PSD und nur 21% für die PNL stimmen. Auf den dritten Platz in der Wahlgunst der Rumänen landet mit 15% laut Umfragen die nationalistisch-konservative Allianz für die Einheit der Rumänen (AUR). Der Juniorpartner der Koalition (USRPLUS) bewegt sich im 5%-Bereich, ebenso der Ungarnverband (UDMR), was in etwa dem Anteil der wahlberechtigten Bürger ungarischer Nationalität entspricht.



    Auch innerhalb der Regierungskoalition herrscht alles andere als Friede, Freude, Eierkuchen“. Mit den endlosen Querelen um die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft und der bislang missglückten Initiative der USR, die Bürgermeisterwahlen wieder in zwei Wahlgängen stattfinden zu lassen, haben die bürgerlichen Parteien einen Teil ihrer Stammwählerschaft verprellt. In diesem Herbst werden Liberale (PNL) und USR-PLUS ihren jeweiligen Parteitag veranstalten, bei dem eine neue Führungsspitze gewählt werden soll. Bis dahin bleibt alles in Wahlkampfmodus, was mitunter zu seltsamen Situationen und manchmal auch zu Schlägen unter der Gürtellinie führt, über die sich wiederum die Boulevardpresse freut.

  • Erster Misstrauensantrag gegen Kabinett Cîțu im Parlament verlesen

    Erster Misstrauensantrag gegen Kabinett Cîțu im Parlament verlesen

    Die Sozial-Demokraten werfen der Regierung vor, Ma‎ßnahmen umzusetzen, die zur Verarmung der Bevölkerung und zum freien Fall der Wirtschaft geführt hätten. Sie beziehen sich auf das Einfrieren von Renten, Gehältern und Kindergeld und kritisieren die Art und Weise, wie die Exekutive den Nationalen Aufbau- und Resilienzplan entworfen hat, nach dem, wie sie sagen, die Bevölkerung mehr zahlen soll, um von europäischen Fonds zu profitieren. Es gebe auch so gut wie keine Ma‎ßnahmen für den Wirtschafts-, Gesundheits- und Bildungssektor, wirft die sozial-demokratische Partei dem Kabinett Cîțu vor. Senator Lucian Romaşcanu: Die PNL-USR-UDMR-Regierung führt die rumänische Wirtschaft mit einer erstaunlichen Geschwindigkeit in den Abgrund. Rumänien lebt von einem Tag auf den anderen von massiven Krediten, die zu astronomischen Zinssätzen aufgenommen wurden. Die Preise sind gestiegen, die Rechnungen haben sich verdoppelt, Grundnahrungsmittel sind zum Luxus geworden, lebenswichtige Medikamente sind entweder nicht verfügbar oder sehr teuer. Der Euro-Leu-Kurs hat 5 Lei erreicht, der Liter Benzin hat 6 Lei überschritten. Es passieren einfach fantastische Sachen!”



    Die Sozial-Demokraten behaupten hingegen, dass viele Interessengruppen zum Text des Antrags beigetragen hätten, darunter Gewerkschaften, Klein-und mittlere Unternehmen und Arbeitgeberverbände. Das Dokument wurde am Mittwoch in der Plenarsitzung des Parlaments verlesen und die Debatte und die Abstimmung sind für die nächste Woche geplant, wenn die beiden Kammern wieder zusammenkommen. Die Sozial-Demokraten sind der Meinung, dass der Antrag Chancen auf Erfolg habe und sagen, dass sie derzeit mit Abgeordneten anderer Parteien verhandeln, um den Antrag zu unterstützen. Auf die Äu‎ßerungen des Parteivches der Sozial-Demokraten Marcel Ciolacu, laut dem derzeit Verhandlungen u.a. mit mehreren Parlamentariern der Regierungskoalition laufen, antwortet der Co-Vorsitzende der Allianz USR-PLUS Dan Barna, dass kein Senator oder Abgeordneter seiner Partei den Antrag unterstützen wird.



    Dan Barna: Ich bezweifle, dass Marcel Ciolacu die Hoffnung hat, dass irgendein USR-PLUS-Parlamentarier diesen Antrag unterstützen würde, au‎ßer als Scherz. Das ist die Rolle der PSD, in der Opposition zu bleiben, immer bereit, und ich stimme mit dieser Linie überein.” Die national-liberale Partei hat ihre Abgeordneten mobilisiert, bei der Abstimmung anwesend zu sein, aber sie werden ihr Stimmrecht nicht ausüben und der liberale Ministerpräsident Florin Cîţu sagt, er sei überhaupt nicht besorgt, weil der Antrag keine Chance habe, angenommen zu werden.



  • La destitution de l’avocat du peuple

    La destitution de l’avocat du peuple

    Mercredi, le Parlement de Bucarest a destitué Mme Renate Weber de ses fonctions de défenseur des droits de Roumanie, avec 247 voix « pour » et seulement 32 « contre ». Les partis de la coalition gouvernementale affirment qu’en tant qu’Avocat du peuple, Renate Weber a dépassé ses compétences et transgressé même la Loi Fondamentale. L’actuelle majorité constituée par le PNL, l’USR Plus et l’UDMR reproche à l’Avocat du peuple de n’avoir entrepris aucune action indépendante censée atteindre l’objectif du Mécanisme de coopération et de vérification et ne pas avoir déroulé d’enquêtes au sujet d’actions illégales supposées de l’administration ou de faits de corruption des fonctionnaires.

    La présidente de la Commission juridique du Senat, la libérale Iulia Scântei explique pourquoi les commissions juridiques du Législatif avaient également rejeté les rapports d’activité de l’institution : « L’Avocat du peuple n’a pas agi de manière constante dans les rapports avec le Parlement et les autres autorités afin de faire respecter le principe de la coopération loyale. En 2020 non plus, l’institution n’a pas accompli son rôle ni ses obligations légales pour ce qui est de la défense, de la protection et de la promotion des droits de l’enfance, fortement touchés par les restrictions adoptées durant la pandémie. »

    Le député de l’USR, Andrei Lupu a accusé Renate Weber d’avoir servi les intérêts de ceux qui l’avaient nommée à la tête de cette institution : « Je suis absolument convaincu que vous soyez une personne compétente. Par contre, dernièrement, vous avez montré un problème majeur. Vous avez exercé vos fonctions d’une manière individualiste, dans votre propre intérêt et dans l’intérêt de ceux qui vous ont nommée aux fonctions que vous avez temporairement occupées. »

    Du côté de l’opposition, le PSD a refusé de participer au vote du Parlement et annoncé qu’il contesterait en le résultat à la Cour Constitutionnelle. « Il n’y a aucun élément censé justifier la révocation de l’Avocat du peuple », affirment les sociaux-démocrates, qui accusent les libéraux de vouloir y installer une personne susceptible de ne plus contester les décrets gouvernementaux. Ecoutons le sénateur du PSD Titus Corlatean : « L’Avocat du peuple garantit les droits et les libertés fondamentales des citoyens et non pas ceux du gouvernement, du Pouvoir. Il s’agit clairement d’un moyen rudimentaire par le biais duquel l’actuel gouvernement de droite comprend la démocratie et agit pour subordonner une institution fondamentale et indépendante dans le cadre de toute démocratie de type occidental. »

    Enfin, le leader des sénateurs de l’AUR, Claudiu Târziu, a déclaré que la révocation de l’Avocat du Peuple ne constituait qu’une « exécution publique ». A la fin des débats au Législatif, Renate Weber avoue n’avoir rien à se reprocher durant son mandat d’Avocat du Peuple. Renate Weber : « Je crois avoir agi avec dignité dans le cadre de ces fonctions. Il est vrai que pour moi les droits et les libertés constituent des valeurs sacrosaintes ».

    La coalition gouvernementale n’a pas nommé de personne censée assumer la direction de l’institution, mais a promis d’investir un nouveau Avocat du peuple avant la fin de l’actuelle session du Législatif.

  • Die Koalition wird fortgesetzt

    Die Koalition wird fortgesetzt


    Rumäniens Mitte-Rechts-Regierungskoalition bleibt bestehen, nachdem sich die Vorsitzenden der drei Parteien (PNL, USR-PLUS und UDMR) geeinigt haben. Die erste Vertrauenskrise zwischen den Koalitionsmitgliedern ist also überstanden. Nach tagelangen gegenseitigen Anschuldigungen und Diskussionen behielt der liberale Premierminister Florin Cîțu schlie‎ßlich die Oberhand und bleibt im Amt. Der Skandal ging aus einer Meinungsverschiedenheit mit dem Gesundheitsminister Vlad Voiculescu hervor, den er ohne Rücksprache mit seinen Regierungspartnern entlie‎ß. USR-PLUS, die Partei des abgesetzten Ministers, hatte Cîțus Abgang als Bedingung für die Fortsetzung der Koalition gefordert. Dabei wurden verschiedene Modelle in Umlauf gebracht, die alte Animositäten zutage förderten.





    Erst am Dienstagabend beruhigte sich die Lage, als ein Nachtrag zur politischen Vereinbarung über die Funktionsweise der Koalition unterzeichnet wurde, der, wir zitieren: “zu einem grö‎ßeren Vertrauen zwischen den Partnern und einer verbesserten Regierungsleistung führt”. Dies sagte der Vorsitzende der PNL, Ludovic Orban am Ende der sechsstündigen Verhandlungen. Der Co-Vorsitzende seitens der USR-PLUS, Dan Barna, sagte seinerseits, dass eine heikle Situation überwunden worden sei und dass der Fortbestand und der Erfolg der Koalition von Vertrauen, Respekt und der Einhaltung der Regeln abhänge. Es gibt keine Alternative zu dieser Koalition, glaubt Kelemen Hunor, der Vorsitzende des Ungarn Verbandes, und erklärte, dass die neuen Regeln ein kohärentes Funktionieren sowohl in der Regierung als auch im Parlament sicherstellen werden. Premierminister Florin Cîțu versicherte, dass künftige Entscheidungen auf Dialog und dem Interesse der Bürger basieren werden und dass das Hauptziel die Corona-Schutz-Impfkampagne darstelle.





    Die unterzeichnete Zusatzklausel sieht vor, dass der Chef der Exekutive einen Minister nach vorheriger Information seiner Partei und nach einer Debatte in der Koalition entlassen kann, so die rumänische Presseagentur Agerpres. Der Premierminister wird auch eine angemessene Zeit einräumen, um den Übergang zwischen den Amtsinhabern zu gewährleisten. In dem Dokument wird die politische Verantwortung geteilt und wichtige Entscheidungen werden kollegial, mit der Zustimmung der Koalitionsparteien, getroffen. Die Arbeit der Minister wird auch regelmä‎ßig anhand des vom Parlament verabschiedeten Regierungsprogramms und der während der Regierung getroffenen Entscheidungen bewertet. Die Corona-Schutzimpfung sei eine Priorität für die Koalition, hei‎ßt es in dem Dokument weiter. Transparenz ist die Regel, nicht die Ausnahme, und die Minister müssen Ma‎ßnahmen ergreifen, um den Zugang zu öffentlichen Daten, die Transparenz beim Haushaltsvollzug, bei Verträgen und bei der Auftragsvergabe zu erhöhen. Die Reformen im Gesundheitswesen werden fortgesetzt. Die Reform der Spezialrenten gemä‎ß dem Beitragsprinzip, soll bis Ende des Jahres abgeschlossen sein, ebenso wie die Verabschiedung der Justizgesetze, hei‎ßt es in Nachtrag zur politischen Vereinbarung über die Funktionsweise der Koalition, der der politischen Mini-Krise in Bukarest vorerst ein Ende setzt.

  • La coalition gouvernementale va de l’avant

    La coalition gouvernementale va de l’avant

    La coalition de centre-droit au pouvoir en Roumanie reste en place, après l’accord conclu entre les leaders des trois formations : le Parti national libéral, l’Union Sauvez la Roumanie-Plus et l’Union démocrate magyare de Roumanie. La première crise de confiance entre les membres de la coalition s’est achevée après quelques jours d’accusations réciproques, mais aussi de pourparlers, dont le gagnant serait le chef du gouvernement, le libéral Florin Cîtu, qui garde son fauteuil de premier ministre.

    Le point de départ du scandale, c’était toute une série de mésententes avec l’ancien ministre de la Santé, Vlad Voiculescu, qui se sont terminés par le limogeage de ce dernier sans aucune consultation avec les autres partenaires de gouvernance. L’Union Sauvez la Roumanie – Plus, le parti du dignitaire destitué, avait demandé en réplique le départ du premier ministre Cîtu, comme condition essentielle pour continuer la collaboration. Les scénarios issus de cette situation n’ont fait que révéler d’anciennes animosités entre les alliés politiques.

    Les tensions se sont apaisées mardi en soirée suite à la signature d’une annexe de l’accord politique de fonctionnement de la coalition gouvernementale. Cela devrait « aboutir à un renforcement de la confiance entre les partenaires et à l’amélioration des performances de la gouvernance », a déclaré le leader libéral Ludovic Orban, à l’issue de six heures de négociations. Pour sa part, le co-président de l’Union Sauvez la Roumanie-Plus, Dan Barna, a déclaré qu’une situation délicate avait été dépassée et que le fonctionnement et le succès de la coalition étaient une question de confiance, de respect et de règles. Cette coalition n’a pas d’alternative, a également précisé le leader de l’Union démocrate magyare de Roumanie, Kelemen Hunor, qui a expliqué que les nouvelles règles assureraient aussi un fonctionnement cohérent tant au niveau gouvernemental qu’au sein du Parlement.

    Le premier ministre Florin Cîtu a assuré que les décisions adoptées à l’avenir reposeraient sur le dialogue et viseraient l’intérêt des citoyens. La campagne de vaccination contre le coronavirus demeure le principal objectif du gouvernement, a-t-il ajouté. L’avenant signé entre les leaders de la coalition stipule, selon Agerpres, que le chef de l’exécutif peut révoquer un ministre après en avoir préalablement informé le parti d’où celui-ci provient et après des débats dans la coalition gouvernementale. Le premier ministre accordera aussi un délai raisonnable pour assurer la transition entre les titulaires du portefeuille en question. Selon ce document, la responsabilité politique sera assumée conjointement et les décisions majeures seront adoptées de manière collégiale, avec l’accord des formations politiques membres. Enfin, la performance des ministres sera évaluée régulièrement, conformément au programme de gouvernance approuvé par le Parlement.

    La vaccination contre la Covid-19 constitue une priorité pour la coalition, lit-on dans le document. La transparence est une règle et non pas une exception, et les ministres devraient prendre des mesures pour accroître l’accès aux données publiques, rendre l’exécution budgétaire transparente, et notamment les contrats et les marchés publics, là où ils existent. Les réformes dans le secteur de la Santé devraient se poursuivre, la réforme des retraites dites « spéciales » et l’application du principe de la contribution se fera jusqu’à la fin de l’année, tout comme l’adoption des lois de la Justice, lit-on dans cet accord qui met fin à la mini-crise politique de Bucarest.

  • 20.04.2021

    20.04.2021


    Coronavirus – La Roumanie fait état mardi de 2.900 nouveaux cas de contamination
    au nouveau coronavirus sur 36.000 tests effectués dans le pays. Le nombre de
    malades hospitalisés est en baisse, mais le nombre de décès reste élevé :
    237 personnes dans les dernières 24 heures, un record depuis le début de la
    pandémie. Les autorités annoncent que les unités de vaccination mobiles vont
    bientôt devenir opérationnelles. Elles sont destinées à la vaccination des
    habitants des zones rurales, sur la base des listes constituées par les
    mairies. Par ailleurs, l’hôpital mobile de Leţcani, à proximité de Iaşi, dans l’est du
    pays, sera évalué pour une possible réouverture. L’unité de soin avait été
    fermée à la mi-janvier, alors que le Corps de contrôle du ministère de la Santé
    avait signalé de nombreuses irrégularités. Le 19 mars, le propriétaire de l’hôpital,
    l’Association de développement intercommunautaire Euronest, avait reçu un délai
    d’un mois pour résoudre les problèmes signalés. A présent, ils estiment l’unité
    mobile entièrement fonctionnelle. Elle pourrait accueillir en tout 104 malades
    de Covid-19, dont 48 en soins intensifs.




    Politique
    – Les leaders de la coalition de centre-droit au
    pouvoir en Roumanie reprennent les négociations, en essayant de résoudre la
    crise politique engendrée par la destitution la semaine dernière du ministre de
    la Santé Vlad Voiculescu. Leur première réunion a eu lieu hier soir, a duré
    quatre heures et n’a eu aucune issue. Les leaders de l’Union sauvez la
    Roumanie-PLUS restent campés sur leur position : ils ne veulent plus le libéral
    Florin Cîţu en tant que premier ministre. De l’autre côté, les libéraux et les
    membres du l’Union démocrate magyare de Roumanie s’opposent fortement à la
    destitution de Florin Cîţu. Rappelons que mercredi dernier, M. Cîţu a démis Vlad Voiculescu
    de ses fonctions de ministre de la Santé. Vendredi, lors d’une conférence de
    presse, Vlad Voiculescu a formulé des accusations graves à l’encontre du
    premier ministre, notamment concernant l’incapacité au niveau central et local à gérer la pandémie.




    Diplomatie
    – Le président roumain Klaus Iohannis reçoit aujourd’hui
    la présidente moldave Maia Sandu. La rencontre n’a pas été annoncée
    précédemment et ni la présidence roumaine, ni celle de la République de Moldova
    n’ont rendu publics les sujets de discussion des deux chefs d’Etat. Maia Sandu était
    à Strasbourg hier pour le lancement du Plan d’action du Conseil de l’Europe
    pour la République de Moldova 2021-2024. Rappelons que la Cour
    Constitutionnelle de Chişinău vient de donner son feu vert pour l’organisation des élections
    législatives anticipées souhaitées par Maia Sandu.






    Presse – Le journalisme, « le principal vaccin contre le virus de
    la désinformation », est « totalement ou partiellement bloqué »
    dans plus de 130 pays – note Reporters sans frontières dans son Classement
    mondial de la liberté de la presse 2021. Jamais la zone blanche de la carte de
    la liberté de la presse, qui indique une situation d’exercice du journalisme très
    satisfaisante, n’a été aussi réduite depuis 2013. Le travail des journalistes est
    gravement entravé dans 73 des 180 Etats du classement et restreint dans 59
    autres, soit au total 73 % des pays évalués. La Chine se retrouve à nouveau en
    bas du classement, avant le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Erythrée. Seuls
    12 pays sur 180 peuvent encore se targuer d’offrir un environnement favorable à
    l’information. La Norvège est classée au premier rang, pour la cinquième année
    consécutive, devant la Finlande et la Suède, qui retrouve sa place de
    troisième, perdue l’année dernière au profit du Danemark. Malgré le fait que l’Europe
    reste la région la plus sûre, les agressions contre les journalistes et les
    interpellations abusives se sont notamment multipliées en Allemagne (13e), en
    France (34e), en Italie (41e), en Pologne (64e), en Grèce (70e), en Serbie
    (93e) et en Bulgarie (112e). La Roumanie occupe la 48e place dans le Classement
    de Reporters sans frontières, qui note sur notre pays que « la vision qu’a
    le pouvoir du journalisme et de la liberté d’expression encourage la censure et
    l’autocensure. Durant la crise sanitaire liée à la pandémie, indique
    encore le rapport de l’ONG, l’opacité et la mauvaise communication entre les
    fonctionnaires d’État et les médias ont affecté à la fois le libre accès à
    l’information et la crédibilité des médias. »




    Immigration
    – Les recherches des procureurs roumains sont en cours
    pour essayer d’identifier les personnes ayant poignardé deux citoyens afghans
    lundi soir, dont un est décédé. L’agression a eu lieu près de la Gare de Nord
    de Timişoara,
    dans l’ouest du pays. Des sources judiciaires parlent d’une altercation entre deux
    groupes d’immigrants afghans. La plus grande ville de l’ouest de la Roumanie, Timişoara est placée sur
    la soi-disant route de l’immigration clandestine du Moyen Orient, d’Asie et d’Afrique. De nombreux migrants arrivent en Roumanie depuis
    la Serbie, en route vers les pays de l’Europe de l’Ouest.






    Football
    – La Roumanie va accueillir l’édition 2025 du Championnat
    d’Europe de football des moins de 19 ans – annonce la Fédération
    roumaine de football, faisant écho à une décision du Comité
    exécutif de l’UEFA. La compétition devait avoir lieu en Roumanie cette année,
    entre le 30 juin et le 13 juillet, mais a été annulée par l’UEFA en raison de
    la pandémie de Covid-19. La Roumanie a déjà accueilli l’Euro de foot des moins
    de 19 ans en 2011.






    Hier, douze grands clubs européens de football ont annoncé la création d’une
    nouvelle compétition – la Super Ligue, concurrente de la Ligue des champions. Parmi
    les douze clubs comptent Liverpool, Manchester City, Barcelone, Real
    Madrid, Juventus ou encore Inter Milan. Gary Neville, l’ancien joueur de l’équipe
    d’Angleterre et de Manchester United, a qualifié la démarche comme de la pure
    cupidité. Aux dires du président de l’UEFA Aleksander Ceferin, les footballeurs
    qui jouent pour les clubs à l’origine de cette démarche se verront exclure des
    compétitions internationales tels la Coupe du Monde ou le Championnat d’Europe
    où ils ne pourront plus représenter leurs équipes nationales. Cette « Super
    Ligue » a également été critiquée par le président français Emmanuel
    Macron et par le premier ministre britannique Boris Johnson.








    Météo – En Roumanie, le temps demeure frisquet, avec un ciel couvert et des
    pluies dans la plupart des régions. Les quantités d’eau dépasseront par
    endroits les 15 litres au m2. Des phénomènes orageux et de la grêle sont attendus,
    ainsi que des précipitations mixtes en altitude. Le vent soufflera fort sur le
    sud-ouest du pays. Les températures maximales iront de 10 à 17 degrés, avec
    12°C à midi dans la capitale, Bucarest.

  • 14.04.2021

    14.04.2021


    Gouvernement – Le ministre de la Santé Vlad Voiculescu et la secrétaire d’Etat
    auprès du ministère de la Santé Andreea Moldovan ont été démis de leurs
    fonctions, après plusieurs semaines de tensions croissantes sur la gestion de
    la pandémie de Covid-19 en Roumanie. Cela fait un an que la Roumanie mène une
    bataille difficile contre la pandémie de Covid-19 et pour gagner cette bataille
    nous avons besoin de pouvoir faire confiance aux institutions de l’Etat, a
    déclaré le premier ministre Florin Cîţu peu après avoir annoncé les destitutions.
    Je crois fermement dans cette coalition entre le Parti national libéral, l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS et l’Union démocrate magyare de Roumanie, car elle est fondée
    autour de valeurs et d’idées, et non pas autour de personnes, a-t-il ajouté. La
    destitution du ministre de la Santé a été décidée par le chef de l’exécutif
    après une discussion avec Dan Barna, vice-premier ministre et co-président de l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS, le parti de Vlad Voiculescu. Dan Barna assume à
    présent le poste de ministre de la Santé par intérim. L’autre co-président de l’USR-PLUS,
    Dacian Cioloş, a qualifié d’inacceptable le fait que le premier ministre ne s’était
    pas consulté avec les leaders des partis partenaires avant d’envoyer la demande
    de destitution au président Klaus Iohannis. Le vice-premier ministre et
    président de l’Union démocrate magyare de Roumanie, Kelemen Hunor, a quant à
    lui précisé que son parti acceptait la décision et que la coalition devait aller
    de l’avant. Du côté de l’opposition, le président du Parti Social-démocrate
    Marcel Ciolacu a déclaré que la destitution de Vlad Voiculescu de ses fonctions
    arrivait « trop tard pour beaucoup de Roumains ayant perdu la vie ou dont
    la santé est ruinée ». Suite aux annonces du chef de l’exécutif, le leader
    des députés sociaux-démocrates, Alfred Simonis, a annoncé lui aussi le retrait
    de la motion simple déposée contre Vlad Voiculescu, déclarant que la motion avait
    produit ses effets dans la démission du ministre.

    Coronavirus – 4.000 nouveaux cas de contamination au SARS-CoV-2 ont été recensés mercredi
    en Roumanie et 164 personnes sont décédées des suites de l’infection ces dernières
    24 heures. 1.521 malades sont hospitalisés en réanimation. Par ailleurs, les
    règles de l’institution du confinement viennent d’être modifiées en Roumanie.
    Chaque commune se verra accorder un nombre de points, en fonction du taux d’incidence
    cumulé sur 14 jours, des tendances observées pour les contaminations, du nombre
    de tests effectués ou encore du degré d’occupation des lits d’hôpital. Le
    confinement sera recommandé au-delà de 60 points pour les villes de plus de
    100.000 habitants et au-delà de 70 points pour les petites villes et les
    villages. A présent, près de 50 communes roumaines sont confinées.
    Par ailleurs, l’enquête pénale sur l’accident
    de l’hôpital Victor Babeş de Bucarest est en cours. Trois malades de Covid-19 sont décédés il y
    a deux jours à cause d’un dysfonctionnement de l’installation d’oxygène de
    l’unité mobile de réanimation de l’hôpital en question.




    Protestations – Un rassemblement anti-gouvernemental aura lieu aujourd’hui devant le
    siège de l’exécutif avec, en première, la participation concomitante des cinq
    plus importantes confédérations du pays – Cartel Alfa, Le bloc national
    syndical, Fraternité, Méridien et la Confédération des syndicats démocratiques
    (Cartel Alfa, Blocul Naţional Sindical, Frăţia, Meridian şi Confederaţia
    Sindicatelor Democratice). Les protestataires se rassembleront au même moment
    devant le Palais Victoria, toute en gardant la distance entre les groupes pour
    respecter les restrictions anti-Covid-19 en place en Roumanie. Toutefois, les
    revendications des syndicats sont communes : la majoration du salaire
    minimum jusqu’à un niveau correcte, des pensions de retraite équitables, des
    services publics de qualité, la réouverture des négociations collectives, la
    taxation juste et l’application correcte des lois en vigueur. Les
    syndicalistes, mécontents des mesures prises par l’actuel gouvernement et de
    son refus constant du dialogue social, demandent la démission du cabinet Cîţu.
    La gendarmerie rappelle, dans ce contexte, que seulement 100 personnes peuvent
    participer légalement à une manifestation, et recommande aux protestataires de
    respecter les mesures sanitaires liées au port du masque et de la distanciation
    physique.






    Gymnastique – Six sportifs, trois femmes et trois hommes, représenteront la Roumanie
    aux Championnats d’Europe de gymnastique artistique qui auront lieu du 21 au 25
    avril, à Basel, en Suisse. La compétition tient un double enjeu pour les gymnastes
    roumains : la qualification de deux sportifs supplémentaires pour les Jeux
    olympiques, un homme et une femme, et, bien évidemment, les médailles aux
    épreuves individuelles et d’équipe. Jusqu’à présent, seulement deux gymnastes
    roumains sont qualifiés aux JO de Tokyo – Maria Holbură (pour le concours
    complet femmes) et Marian Drăgulescu (pour l’épreuve de saut de cheval hommes).




    Météo – Nouvelle chute des températures en Roumanie, qui se fixeront en
    dessous des normales de saison dans la plupart du pays. Le ciel est couvert et
    on signale des pluies de courte durée sur la moitié nord et des averses
    orageuses localement sur le sud. Il neige en montage au-delà de 1500 m d’altitude
    et les rafales de vent peuvent dépasser les 70 à 80 km/h. On attend des
    intensifications du vent ailleurs aussi, notamment dans le sud et le sud-est du
    pays. Les températures maximales de la journée iront de 4 à 13°C, avec 10° et
    pluie à midi à Bucarest.

  • Last adjustments to the draft budget

    Last adjustments to the draft budget

    The centre-to-right coalition government in Bucharest
    has made the last adjustments to the state budget and of social securities in
    2021, before sending it to Parliament for approval. This yearly budget had a
    difficult birth, and came into being only upon heated talks between the ruling
    coalition made up of PNL-USR/PLUS and UDMR and the opposition PSD on the fair
    distributions of funds whose shrinking has been caused by the pandemic and the
    conditions aimed at curbing the budget deficit.






    While political leaders in the ruling coalition have
    refrained from bringing fresh amendments in Parliament in an attempt to speed
    up approval procedures, the opposition Social Democrats have come up with a
    series of amendments, which they say could contribute among other things to rises
    in pensions and wages, frozen by their political opponents. In fact, the Social
    Democrats on Monday blamed the country’s Liberal Prime Minister Florin Citu for
    having endorsed an austerity budget.
    ‘The budget this year is balanced, credible, accepted by our international
    partners and focused on investment’ the Prime Minister replied lashing out at
    the PSD representatives, whose latest
    budget amendments account for 6% of the GDP, funds which Romania could
    contribute to the European budget.






    Florin Citu: A budget
    focusing on investment, because we have made it clear that only investment can
    lead to Romania’s development; but it is a budget, which is pushing reforms and
    this is scary, isn’t it? You’re afraid the move is going to put an end to the
    well-paid jobs of some of your supporters in high positions. I can tell you,
    this year we are going to see reforms being implemented.






    UDMR has referred to a post-crisis investment-oriented
    budget while the USR has described it as a budget of solidarity and responsibility
    aimed at kick-starting the country’s economy. Here is USR leader with the
    Chamber of Deputies Ionut Mosteanu with more on the present budget.




    Ionuţ Moşteanu: This budget is
    focusing on development and investment. Today the government comes with an investment
    budget of 12 billion euros, the biggest in history.






    ‘The Prime Minister is the absolute champion of hatred’,
    PSD leader Marcel Ciolacu retorted, adding that ‘Florin Cîțu hates the
    employees in state-owned institutions, as he is slashing their salaries and
    jobs’. According to Ciolacu, the Prime Minister hates the private sector as
    well because he has constantly failed to fulfil his pledges to this sector in
    the past year.






    Marcel Ciolacu: Instead of
    endorsing a budget aimed to repair, you have taken the axe in your hands and
    started slashing the incomes of the Romanians. You don’t give a fig that prices
    in energy, food and medicine are higher!






    PSD believes that Romania is a country adrift because
    the government has allotted the smallest financial package in the EU to the fight
    against the pandemic and to the process of kick-starting the economy.




    (bill)

  • Trade unions in Romania are taking action

    Trade unions in Romania are taking action

    As early as the first days of this year, a series of
    workers from several professional categories took to the streets to protest the
    way in which the present centre-to-right government is handling the issues
    caused by the Covid-19 pandemic, which seriously affected Romania’s economy.




    The protesters marched towards the government
    buildings, various ministries and county prefectures to voice their discontent
    and present their claims.


    Cartel
    Alfa,
    one of Romania’s main trade union federation on January 14th kicked off a
    series of protests due to last until February 28th.




    In order to comply with the prevention measures
    imposed by the Covid-19 pandemic, the protests are to unfold gradually and
    besides street rallies they are to include a series of other measures, such as
    petitions, requests and talks with MPs from all political parties. The
    protesters’ main claims include, decent wages and equitable pensions,
    high-quality public services, the resumption of collective negotiations, fair
    duties and taxes and the correct implementation of legislation. Here is Cartel
    Alfa leader Bogdan Hosu with details on the aforementioned protests.






    Bogdan Hosu: ʺState
    employees are disgruntled with their rights and salaries that have been frozen for
    the year 2020 and with the fact that the pledged pay rise of 8% has been
    cancelled, so they can no longer reach the envisaged parameters of the unique
    budgetary pay law. Pensioners have also voiced dissatisfaction at the fact that
    their pensions are being unfairly calculated. Those in the private sector are
    also dissatisfied with the employers’ inability to provide the right pay rises
    in keeping with the transfer of tax liability from the employer to the
    employee.




    In a letter entitled We All Have the Same Rights!
    Cartel Alfa has reminded all the governing parties (PNL, USR-Plus and UDMR)
    that the austerity policy instated by the present government is not part of the
    pledges during the campaign for the elections on December 6th, and
    the present economic and social background as well as the health crisis, which was
    affecting Romania even before the elections, cannot justify such a quick shift
    in public politics.




    Trade unionists are aware that Romania, as the whole
    world, is currently facing a large-scale health and economic crisis, but they
    believe the country is in great need of balanced public policies made up
    through a series of real talks with social partners so that the efforts and
    costs may be fairly distributed.




    Without any specific example, the country’s Deputy
    Prime Minister Dan Barna says that part of the claims could be solved in the
    coming period. In a Facebook post, Barna says that some claims can be tackled from
    the viewpoint of an economy affected by crisis and a budget deficit, which
    should stay around 7% of the GDP.




    (bill)