Tag: union

  • 11.07.2015 (mise à jour)

    11.07.2015 (mise à jour)

    Visite — Le président roumain, Klaus Iohannis, effectuera lundi sa première visite officielle en Espagne, où il rencontrera le roi Felipe VI et le premier ministre Mariano Rajoy. A l’agenda de la visite figurent également des rencontres avec les représentants du milieu des affaires et de la communauté roumaine d’Espagne. Selon les données fournies par l’Institut national de la statistique, c’est la plus importante communauté étrangère vivant dans ce pays. Elle dénombrait en 2014 plus de 750 mille personnes.



    Attentat – Le ministère roumain des Affaires étrangères a fermement condamné l’attentat à la bombe survenu samedi à proximité du Consulat italien au Caire, qui a fait un mort et plusieurs blessés. La diplomatie de Bucarest, qui qualifie de profondément inhumains et d’injustifiés les actes de violence contre les représentations diplomatiques étrangères, a exprimé sa pleine solidarité avec l’Italie et son appui entier à l’Egypte dans sa lutte contre le terrorisme. Le 29 juin, le procureur général égyptien avait été tué au Caire, dans un attentat à la voiture piégée. L’Egypte est depuis quelque temps le théâtre d’une vague d’attentats menés par les militants islamistes.



    Union — Un millier de jeunes de République de Moldova ont traversé ce matin la frontière moldo – roumaine. Ils ont été accueillis par des milliers de Roumains partisans de l’union des deux pays. Dimanche, ils arriveront à Bucarest, où ils remettront au président Klaus Iohannis la Déclaration d’union, adoptée le 5 juillet par 30 mille citoyens de République de Moldova, lors d’un grand rassemblement national. Ce dernier avait été convoqué par des ONGs des deux pays, qui trouvent que ce n’est qu’ensemble que nous pouvons relever les défis de l’avenir, vivre mieux dans un grand pays, sans frontières intérieures ni obstacles, liés par un destin commun et prospère pour tous les Roumains”. L’événement s’est déroulé sur les lieux où avaient été organisées les amples protestations anti-soviétiques de 1989-1990 et où, en août 1991, un autre grand rassemblement national saluait la proclamation par le Parlement de Chisinau de l’indépendance envers Moscou. Rappelons que l’actuelle République de Moldova a été créée sur une partie des territoires de l’est de la Roumanie, annexés par l’URSS en 1940, suite à un ultimatum.



    Autoroute — A Arad, dans l’ouest, a été inaugurée ce samedi la première liaison autoroutière entre la Roumanie et un autre pays européen. Il s’agit du segment de l’autoroute A1, compris entre Nădlac – Arad et le nouveau point de passage de la frontière, Nădlac II, qui fait la liaison avec l’autoroute M43 de Hongrie. Ce segment d’autoroute, qui sera ouvert aux personnes et aux marchandises, dispose de dix voies daccès dans chaque sens de circulation. Le transport de marchandises dangereuses ou qui devraient subir des contrôles phytosanitaires et vétérinaires, ainsi que le transit des véhicules lents sont interdits sur ce tronçon d’autoroute.

  • 11.07.2015

    11.07.2015

    Visite — Le président roumain, Klaus Iohannis, effectuera lundi sa première visite officielle en Espagne, où il rencontrera le roi Felipe VI et le premier ministre Mariano Rajoy. A l’agenda de la visite figurent également des rencontres avec les représentants du milieu des affaires et de la communauté roumaine d’Espagne. Selon les données fournies par l’Institut national de la statistique, c’est la plus importante communauté étrangère vivant dans ce pays. Elle dénombrait en 2014 plus de 750 mille personnes.



    Union — Un millier de jeunes de République de Moldova ont traversé ce matin la frontière moldo – roumaine. Ils ont été accueillis par des milliers de Roumains partisans de l’union des deux pays. Dimanche, ils arriveront à Bucarest, où ils remettront au président Klaus Iohannis la Déclaration d’union, adoptée le 5 juillet par 30 mille citoyens de République de Moldova, lors d’un grand rassemblement national. Ce dernier avait été convoqué par des ONGs des deux pays, qui trouvent que ce n’est qu’ensemble que nous pouvons relever les défis de l’avenir, vivre mieux dans un grand pays, sans frontières intérieures ni obstacles, liés par un destin commun et prospère pour tous les Roumains”. L’événement s’est déroulé sur les lieux où avaient été organisées les amples protestations anti-soviétiques de 1989-1990 et où, en août 1991, un autre grand rassemblement national saluait la proclamation par le Parlement de Chisinau de l’indépendance envers Moscou. Rappelons que l’actuelle République de Moldova a été créée sur une partie des territoires de l’est de la Roumanie, annexés par l’URSS en 1940, suite à un ultimatum.



    Autoroute — A Arad, dans l’ouest, a été inaugurée ce samedi la première liaison autoroutière entre la Roumanie et un autre pays européen. Il s’agit du segment de l’autoroute A1, compris entre Nădlac et Arad et le nouveau point de passage de la frontière, Nădlac II, qui fait la liaison avec l’autoroute M43 de Hongrie. Ce segment d’autoroute, qui sera ouvert aux personnes et aux marchandises, dispose de dix voies daccès dans chaque sens de circulation. Le transport de marchandises dangereuses ou qui devraient subir des contrôles phytosanitaires et vétérinaires, ainsi que le transit des véhicules lents sont interdits sur ce tronçon d’autoroute.



    Tennis — La paire composée du Roumain Horia Tecău et du Néerlandais Jean Julien Rojer dispute ce samedi la finale du double messieurs du tournoi de Wimbledon, troisième Grand Chelem de l’année. Ils rencontrent le duo formé du Britannique Jamie Murray et de l’Australien John Peers. Dans les demi-finales, après un match assez disputé, Horia Tecău et Jean Julien Rojer ont vaincu en cinq sets le couple roumano-indien Florin Mergea/Rohan Bopanna. Horia Tecau dispute sa 4e finale à Wimbledon. Il s’est qualifié à trois reprises, aux côtés du Suédois Robert Lindstedt (2010, 2011, 2012), mais il a perdu à chaque fois. Le seul Roumain à avoir gagné la finale du double messieurs de Wimbledon a été Ilie Nastase. Aux côtés de l’Américain Jimmy Connors, il a vaincu en 1973 les Australiens John Cooper et Neale Fraser.


  • 10.07.2015 (mise à jour)

    10.07.2015 (mise à jour)

    Politique — Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a dénoncé vendredi ce qu’il appelle « le manque de cohérence dans l’action gouvernementale ». Selon lui, cela soulève la question de savoir si oui ou non l’Exécutif reste fonctionnel. Klaus Iohannis a tenu ces propos après que le chef du cabinet, Victor Ponta, eut exprimé une nouvelle fois son désaccord au sujet de l’arrêté gouvernemental portant majoration des salaires des dignitaires. Victor Ponta avait également fait savoir son intention de reconsidérer cette ordonnance, de sorte qu’elle produise ses effets en même temps pour tous les salariés du secteur public. Pour sa part, Gabriel Oprea, vice-premier ministre et premier — ministre par intérim au moment de l’adoption de cet acte normatif, a déclaré que l’idée d’adopter cette ordonnance appartenait au gouvernement et à Victor Ponta lui-même, qui se serait mis d’accord à ce sujet avec le président Klaus Iohannis. Cette situation, que les commentateurs qualifient de confuse, survient au lendemain de la reprise de ses attributions par le premier ministre Victor Ponta, remplacé, trois semaines durant, par le vice — premier ministre Gabriel Oprea. Ponta a subi une intervention chirurgicale au genou en Turquie, à la mi — juin. Le 15 juin, soit le jour même de son intervention, il aurait dû être entendu par les procureurs de la Direction nationale anti-corruption. Dix jours auparavant, les procureurs lui avaient fait savoir qu’il était poursuivi pour faux en écritures sous seing privé, complicité d’évasion fiscale de forme continue et blanchiment d’argent.



    Fonds européens — Neuf milliards et demi d’euros de fonds européens sont à la disposition de la Roumanie pour la construction et la modernisation d’autoroutes, aéroports, réseaux d’eau ou d’énergie. L’argent est disponible, dès ce vendredi, jusqu’en 2020, après la signature à Bucarest, par la commissaire européenne en charge de la politique régionale, Corina Creţu et le premier ministre Victor Ponta, du Programme opérationnel Grande infrastructure. C’est le programme le plus important de Roumanie et le deuxième de l’UE, après celui destiné à la Pologne. Corina Creţu a précisé que par ce programme le gouvernement de Bucarest s’engage à apporter l’eau potable de sources publiques dans les maisons de tous les Roumains. A son tour, le chef du cabinet de Bucarest a déclaré que, grâce au cofinancement par le gouvernement roumain, le montant total des investissements dans l’infrastructure devrait atteindre les 12 milliards d’euros. Les projets majeurs considérés comme prioritaires par l’Exécutif européen sont les autoroutes Sibiu – Piteşti, Bacău – Paşcani et Târgu Neamţ — Ungheni, qui reliera la Roumanie à la République de Moldova.



    Inflation – Selon l’Institut national de la statistique, l’inflation annuelle calculée au mois de juin a été de moins 1,6%, soit une baisse importante, de 1,2%, par rapport au mois précédent. Cette entrée en territoire négatif est une première pour la Roumanie depuis 1989. En même temps, l’inflation mensuelle est de 2,95%. Cette baisse a été engendrée entre autres par la réduction à 9% de la TVA sur les aliments et les boissons à compter du 1er juin 2015, explique l’Institut national de la statistique. En même temps, le déficit de la balance commerciale de la Roumanie a dépassé les 2,5 milliards d’euros au cours des 5 premiers mois de l’année, soit une augmentation de plus de 272 millions d’euros par rapport à la même période de 2014.



    Bac — En Roumanie, point final ce vendredi de la session d’été du baccalauréat, après le traitement des contestations et la publication des résultats finaux. Le taux de réussite a été de 66%. Dans 42 lycées, tous les élèves ont eu leur bac, mais dans 55 autres, aucun n’a réussi. A cause des résultats faibles, ces établissements risquent d’être fermés, selon le ministère de l’Education.



    Union — Un millier de jeunes de République de Moldova, partis à pied de Chişinău en direction de la capitale roumaine, Bucarest, devraient passer, samedi matin, la frontière roumano-moldave. Là ils seront accueillis par des milliers de Roumains partisans de l’union des deux pays. Dimanche, ils arriveront à Bucarest, où ils remettront au président Klaus Iohannis la Déclaration d’union, adoptée le 5 juillet par 30 mille citoyens de République de Moldova, lors d’une grande Assemblée nationale. Cette dernière avait été convoquée par des ONGs des deux pays, qui trouvent que ce n’est qu’ensemble que nous pouvons relever les défis de l’avenir, vivre mieux dans un grand pays, sans frontières intérieures ni obstacles, liés par un destin commun et prospère pour tous les Roumains”. L’événement s’est déroulé sur les lieux où avaient été organisées les amples protestations anti-soviétiques de 1989-1990 et où, en août 1991, une autre Grande Assemblée Nationale saluait la proclamation par le Parlement de Chisinau de l’indépendance envers Moscou. Rappelons que l’actuelle République de Moldova a été créée sur une partie des territoires de l’est de la Roumanie, annexés par l’URSS en 1940, suite à un ultimatum.



    Tennis — La paire composée du Roumain Horia Tecău et du Néerlandais Jean Julien Rojer doit disputer samedi la finale du double messieurs du tournoi de Wimbledon, troisième Grand Chelem de l’année. Ils rencontreront le duo formé du Britannique Jamie Murray et de l’Australien John Peers. Dans les demi-finales, après un match assez disputé, Horia Tecău et Jean Julien Rojer ont vaincu en cinq sets le couple roumano-indien Florin Mergea/Rohan Bopanna. Horia Tecau dispute sa 4e finale à Wimbledon. Il s’est qualifié à trois reprises, aux côtés du Suédois Robert Lindstedt (2010, 2011, 2012), mais il a perdu à chaque fois. Le seul Roumain à avoir gagné la finale du double messieurs de Wimbledon a été Ilie Nastase. Aux côtés de l’Américain Jimmy Connors, il a vaincu en 1973 les Australiens John Cooper et Neale Fraser.



  • Appui à la Moldova européenne

    Appui à la Moldova européenne

    Ferme défenseur de l’adhésion de la République de Moldova à la communauté européenne, Bucarest assure une nouvelle fois Chişinău qu’il peut compter sur son appui. Je crois vivement que la Moldova ne peut accomplir son destin qu’au sein de l’UE. Nous resterons aux côtés des citoyens moldaves aussi longtemps que ce processus durera et quelque grand que soit l’effort à prodiguer, a affirmé le président roumain, Klaus Iohannis. Il s’exprimait à Suceava, dans le nord-est de la Roumanie, lors d’une cérémonie à l’Université Stefan cel Mare (Etienne le Grand) de cette ville.

    L’établissement avait décidé d’accorder au chef de l’Etat moldave, Nicolae Timofti, le titre de Docteur Honoris Causa pour avoir promu le parcours d’intégration européenne de la République de Moldova, pour avoir renforcé les relations avec la Roumanie voisine et pour l’attention accordée à l’éducation et à la formation de la jeune génération. Klaus Iohannis : La Roumanie continue d’appuyer fermement le parcours européen de la République de Moldova et lui accorde continuellement de l’assistance dans ce processus d’intégration complexe. Je suis satisfait d’avoir pu évoquer avec le président Nicolae Timofti plusieurs thèmes prioritaires pour nos relations bilatérales et pour son pays.

    Le chef de l’Etat roumain s’est également félicité du choix pro-européen des Moldaves, exprimé lors des récentes élections locales tenues dans cet ex-pays soviétique: Il s’agit d’un mandat renouvelé accordé aux autorités par les citoyens en vue de la transformation de la Moldova dans l’esprit européen. Nous espérons que, prochainement, sera constituée une nouvelle coalition politique solide, stable et capable de renforcer la voie européenne de ce pays et de poursuivre les réformes de manière dynamique. Dans l’actuel contexte intérieur et régional, les retards et les hésitations ne sont pas profitables. A mon avis, il ne s’agit pas là seulement des attentes de la Roumanie ou d’autres partenaires européens mais surtout de celles des Moldaves eux-mêmes.

    Pour sa part, le président moldave, Nicolae Timofti, a précisé que le dialogue politique avec Bucarest restait substantiel et constructif, soulignant que l’entretien avec son homologue roumain avait porté notamment sur les défis sécuritaires régionaux mais aussi sur les projets bilatéraux. Nicolae Timofti: Le bilan de la coopération bilatérale est positif. Nous nous concentrons sur l’intégration européenne ainsi que sur les projets énergétiques, éducationnels et sociaux. Ces derniers contribueront à la consolidation de l’Etat de droit et de la justice indépendante en République de Moldova, à la lutte contre la corruption, à la modernisation des institutions et de l’Etat et à la création d’un milieu économique équitable et compétitif, a expliqué le président moldave.A tout cela s’ajouteront bientôt les projets d’infrastructure qui connecteront la Moldova au marché énergétique européen.

  • Chisinau – manif unioniste

    Chisinau – manif unioniste

    Quand ils parlent de la République de Moldova, les politologues recourent à une formule consacrée, bien que réductrice, et affirment que la société est divisée entre les partisans de l’intégration européenne et ceux du rapprochement avec Moscou. Les deux camps rassembleraient un nombre quasi égal d’adeptes, si l’on croit aux résultats des élections législatives de novembre dernier, lorsque les partis ouvertement pro-occidentaux – à savoir le Libéral-démocrate, le Démocrate et le Libéral – n’avaient obtenu que quelques sièges de députés de plus que la gauche pro-russe socialiste et communiste. Outre ces deux directions dominantes, un courant d’opinion se fait de plus en plus entendre parmi les pro-occidentaux.

    Entre Moscou et Bruxelles, certains choisissent Bucarest. Ce dimanche, 30 mille personnes se sont rassemblées au centre-ville de la capitale moldave pour demander l’union avec la Roumanie. Elles ont ainsi répondu à l’appel de plusieurs ONG roumaines et moldaves qui affirment que : « seulement unis, nous pouvons relever les défis de l’avenir, nous pouvons vivre mieux dans notre pays, avoir un grand pays, sans frontières intérieures, sans entraves, avec un destin partagé et prospère pour tous les Roumains. » C’est un des comédiens les plus populaires de Chisinau, Nicolae Jelescu, qui a lu la résolution proposée par les organisateurs: « Nous appelons tous les décideurs de Roumanie et de la République de Moldova à aller au-delà des idéologies et des intérêts partisans pour promouvoir la solidarité nationale et contribuer à la réunification des deux rives du Prut ». Chose importante, la manif de dimanche a eu lieu sur la même place, appelée de la Grande Assemblée Nationale, où avaient été organisées les amples protestations anti-soviétiques de 1989-1990 et où plus de 700 mille personnes saluaient, le 27 août 1991, la proclamation de l’indépendance de la République par rapport à Moscou.

    Nombreux étaient ceux qui y voyaient un premier pas vers l’effacement complet des effets dévastateurs de l’ultimatum soviétique de 1940, lorsque Staline avait annexé les territoires roumains de l’est où il avait fondé la République de Moldova actuelle. Les manifestants de ce dimanche espèrent que les parlements de Chisinau et Bucarest mettront en page, dès cette année, les majorités qui décident de la tenue d’un référendum sur l’union de la République de Moldova avec la Roumanie. En attendant, ironisent les commentateurs, Chisinau a besoin de se doter impérativement d’une majorité gouvernementale fonctionnelle.

    La République traverse une crise financière et bancaire, assortie d’un déficit budgétaire croissant et d’un financement étranger suspendu. En plus, le gouvernement minoritaire soutenu par le PLDM et le PD a démissionné il y a un mois, suite à des accusations répétées de corruption et d’incompétence, ainsi qu’à des révélations stupéfiantes concernant le premier ministre Chiril Gaburici qui aurait falsifié son diplôme de bac.

    Les libéraux-démocrates et les démocrates négocient déjà avec les libéraux une nouvelle coalition majoritaire tripartite, sur le modèle des années 2009 et 2014, lorsque des accords d’association et de libre échange avaient été conclus avec Bruxelles, ce qui a soutenu, pendant un certain temps, l’espoir de l’admission de la République de Moldova à l’UE à l’horizon 2020. (Trad. Ileana Taroi)

  • 05.07.2015 (mise à jour)

    05.07.2015 (mise à jour)

    Union – En République de Moldova, 30.000 personnes réunies dans une Grande Assemblée Nationale, au centre-ville de Chisinau, se sont prononcées pour l’union de cette ancienne république soviétique à populations majoritaire roumanophone avec la Roumanie voisine. La manifestation a été convoquée par des ONG des deux pays, selon lesquelles, «ce n’est qu’unis que nous pouvons relever les défis de l’avenir, nous pouvons vivre mieux dans notre pays, profiter d’un pays plus grand, sans frontières, sans barrières, avec un destin commun et prospère pour tous les Roumains ». L’événement de dimanche s’est déroulé sur l’espace public où avaient été organisées les grandes manifestations anti-soviétiques en 1989 – 1990. Au même endroit, en août 1991, une autre Grande Assemblée Nationale saluait la proclamation par le gouvernement moldave de l’indépendance face à Moscou. Rappelons-le, la République de Moldova a été créée sur une partie des territoires roumains annexés par l’URSS en 1940, suite à un ultimatum.

    Exercice – Des navires roumains participent ces jours-ci à un important exercice naval, au large de la ville-port de Varna en Bulgarie. Jusqu’au 12 juillet, l’exercice otanien « Breeze 2015 » réunit une trentaine de navires, 10 aéronefs et 1700 militaires bulgares, roumains, grecs, américains et turcs. L’objectif de ces manœuvres est d’améliorer l’interopérabilité et l’interaction entre des forces navales des pays membres de l’OTAN en situation de crise. La présence en Mer Noire depuis dimanche, du destroyer américain USS Porter est une manière de promouvoir la paix et la stabilité régionale, lit-on dans un communiqué officiel posté sur le site de la Marine Américaine. Son rôle est de réaffirmer le dévouement et l’engagement des Etats-Unis et de renforcer le partenariat et les capacités opérationnelles communes entre les Etats-Unis, l’OTAN et leurs partenaires de la région, précise encore le communiqué.

    Wimbledon – La joueuse roumaine de tennis, Monica Niculescu (48e WTA), rencontrera lundi la Suisse Timea Bacsinszky (15 WTA), dans les 8e de finale du tournoi londonien de Wimbledon. Il s’agit de la meilleure performance de Monica Niculescu à ce tournoi de Grand Chelem où elle a déjà participé à huit reprises. Toujours dans les 8e de la finale de double messieurs, la paire roumano – indienne Florin Mergea/Rohan Bopanna (9 favorite) jouera contre Lukasz Kubot de Plogne et Max Mirnîi du Belarus. Dans la même étape de la compétition de Wimbledon, le Roumain Horia Tecau jouera aux côtés du Néerlandais Jean Julien Roger contre le double australien, Lleyton Hewitt/Thanasi Kokkinakis.

    Météo – Les températures sont à la hausse en Roumanie et toucheront la canicule dans les 24 prochaines heures notamment dans le l’ouest et le nord – ouest du pays où les maxima atteindront les 35 – 37 degrés. Dans le sud-est et dans les montagnes il y aura de courtes pluies. Selon les météorologues la canicule s’installera sur la plupart du territoire mardi et mercredi.

  • 05.07.2015

    05.07.2015

    Référendum – Les Grecs ont commencé à voter dimanche matin pour un référendum indécis dont le résultat sera crucial pour l’avenir du premier gouvernement de gauche radicale de l’UE, mais aussi pour la place de la Grèce dans l’Europe, note l’AFP. Près de 10 millions d’électeurs grecs sont appelés à décider s’ils acceptent – oui ou non – les mesures d’austérité demandées par les bailleurs internationaux en échange pour leur aide financière. Selon les sondages, le résultat devrait être très serre, près de 45% des Grecs étant favorables aux mesures d’austérité, et environ 43% étant contre, avec 11% d’indécis. Jusqu’au dernier moment, le gouvernement de gauche a fait une ample campagne dans la presse internationale contre les conditions demandées par les bailleurs de fonds, ces derniers étant même qualifiés de «terroristes» par le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, dans le journal espagnol «El Mundo ». A son tour, le premier ministre Alexis Tsipras a encouragé la population à voter pour la dignité et à dire « non » à l’austérité, afin de lui permettre de négocier un meilleur accord avec Bruxelles. Dans le camp adverse, le leader de l’opposition, Antonis Samaras, a plaidé pour un « oui » qui mette un terme, selon lui, à « l’irresponsabilité du gouvernement ». Quel que soit le résultat, le chef du Cabinet d’Athènes a promis qu’un accord serait scellé 48h au plus tard après le référendum de dimanche. En attendant, l’Allemagne a exclu une éventuelle restructuration de la dette de la Grèce, malgré une recommandation du FMI en ce sens et malgré le fait qu’Athènes aura besoin de 50 milliards d’euros de plus à l’horizon 2018. Avec une dette totale de plus de 320 milliards d’euros, la Grèce est techniquement en incapacité de paiement depuis le 1er juillet.

    Union – Des dizaines de milliers de citoyens moldaves sont attendus Dimanche au centre-ville de Chisinau, capitale de la République de Moldova, pour voter, dans le cadre d’une grande assemblée générale, une résolution portant sur l’union de cette ancienne république soviétique à population roumanophone majoritaire, avec la Roumanie voisine. La manifestation est convoquée par des ONG des deux pays, selon lesquelles, «ce n’est qu’unis que nous pouvons relever les défis de l’avenir, nous pouvons vivre mieux dans notre pays, profiter d’un pays plus grand, sans frontières, sans barrières, avec un destin commun et prospère pour tous les Roumains ». L’événement de dimanche se déroule sur l’espace public où avaient été organisées les grandes manifestations anti-soviétiques en 1989 – 1990. Au même endroit, en août 1991, une autre Grande Assemblée Nationale saluait la proclamation par le gouvernement moldave de l’indépendance face à Moscou. Rappelons-le, la République de Moldova a été créée sur une partie des territoires roumains annexés par l’URSS en 1940, suite à un ultimatum.

    Nucléaire – Apres des mois d’intenses négociations, l’Iran et les grandes puissances (Etats-Unis, Grande Bretagne, Russie, Chine, France et Allemagne) ont entamé samedi à Vienne un week-end de discussions cruciales sur le programme nucléaire iranien, dernière ligne droite avant un possible accord historique, espéré d’ici à mardi. Selon la BBC, les représentants des deux côtés ont déclaré n’avoir jamais été si proches d’un accord. Il reste toutefois des aspects importants à négocier, dont les mécanismes visant la levée des sanctions imposées par l’ONU à l’Iran, les procédures d’inspection et le domaine de la mise en oeuvre à l’avenir de la technologie nucléaire iranienne. Les négociations doivent permettre d’aboutir a un accord visant a s’assurer que le programme iranien ne puisse avoir de dimension militaire, en échange d’une levée des sanctions internationales qui frappent l’Iran.

    Exercice – Des navires roumains participent ces jours-ci à un important exercice naval, au large de la ville-port de Varna en Bulgarie. Jusqu’au 12 juillet, l’exercice otanien « Breeze 2015 » réunit une trentaine de navires, 10 aéronefs et 1700 militaires bulgares, roumains, grecs, américains et turcs. L’objectif de ces manœuvres est d’améliorer l’interopérabilité et l’interaction entre des forces navales des pays membres de l’OTAN en situation de crise.

    Wimbledon – La joueuse roumaine de tennis, Monica Niculescu (48e WTA), rencontrera lundi la Suisse Timea Bacsinszky (15 WTA), dans les 8e de finale du tournoi londonien de Wimbledon. Il s’agit de la meilleure performance de Monica Niculescu à ce tournoi de Grand Chelem où elle a déjà participé à huit reprises. Toujours dans les 8e de la finale de double messieurs, la paire roumano – indienne Florin Mergea/Rohan Bopanna (9 favorite) jouera contre Lukasz Kubot de Plogne et Max Mirnîi du Belarus. Dans la même étape de la compétition de Wimbledon, le Roumain Horia Tecau jouera aux côtés du Néerlandais Jean Julien Roger contre le double australien, Lleyton Hewitt/Thanasi Kokkinakis.

    Météo – Les températures sont à la hausse en Roumanie, les maxima allant de 23 à 35 degrés. 25 degrés et du soleil à midi à Bucarest

  • 17.05.2015

    17.05.2015

    Corruption – La Roumanie traverse actuellement une étape de lutte intense contre la corruption – a déclaré le président Klaus Iohannis. Dans une interview accordée à la télévision publique ARD, le chef de l’Etat roumain a souligné que la lutte anticorruption n’était pas un de ses hobbies, mais une nécessité pour que la Roumanie puisse continuer à se développer. Klaus Iohannis a catégoriquement rejeté les modifications proposées pour le Code pénal et de procédure pénale, ajoutant qu’il prenait en calcul la possibilité de les attaquer auprès la Cour Constitutionnelle, au cas où ces modifications étaient avalisées par le Parlement.

    CAE – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, participe lundi à Bruxelles à une nouvelle session du Conseil Affaires étrangères. A l’agenda des pourparlers – les dernières évolutions du processus de paix au Moyen Orient, suite à l’installation du nouveau gouvernement israélien. En marge du Conseil, Bogdan Aurescu doit s’entretenir également avec son homologue serbe Ivica Dacic, le premier ministre serbe Aleksandar Vucic et le premier ministre ukrainien Pavlo Klimkin.

    Bois – Le gouvernement de Bucarest vient de
    soumettre au débat public deux décrets d’urgence portant sur la suppression des
    exportations des bûches et du bois de chauffage jusqu’au 31 août. Après cette
    date, les ventes de bois roumain seront strictement surveillées. Selon
    l’Exécutif, l’objectif des deux documents est de réglementer de manière très
    stricte le marché du bois roumain avant l’entrée en vigueur du nouveau Code
    forestier. Celui-ci doit être à nouveau examiné par la Chambre des Députés, sur
    demande du président Klaus Iohannis. De l’avis du chef de l’Etat et de
    l’opposition libérale, plusieurs mesure du Code forestier contreviennent aux
    traités européens. En réplique, la majorité gouvernementale de gauche accuse
    les libéraux de promouvoir les intérêts des compagnies étrangères qui utilisent
    le bois roumain. Pour le deuxième week-end consécutif, des protestations ont
    été organisées dans plusieurs villes roumaines, dont Bucarest, la capitale,
    dénonçant les défrichements massifs et abusifs qui ont eu lieu ces 25 dernières
    années.

    FMI – Une
    mission technique du FMI et de la Commission Européenne se rendra à Bucarest du
    19 au 26 mai, pour se pencher, aux côtés des responsables roumains, sur le
    projet du nouveau Code Fiscal et l’état de la mise en œuvre des mesures
    figurant dans l’accord conclu par Bucarest avec les deux institutions. C’est le
    3e accord demandé par Bucarest depuis le déclenchement de la crise
    financière en 2009. En vigueur jusqu’à l’automne, il a été conclu en septembre
    2013, pour une période de deux ans, et se chiffre à environ 2 milliards
    d’euros. Notons que la Commission européenne a recommandé à la Roumanie de
    prendre toutes les mesures nécessaires pour finaliser le programme d’assistance
    financière préventive.

    Conseil européen – Le ministre roumain de la Défense, Mircea Duşa, participera lundi, à Bruxelles, à la réunion du Conseil Affaires Etrangères et aux travaux du Comité directeur de l’Agence européenne de défense. A l’agenda des pourparlers de l’Agence figurent notamment les préparatifs de la réunion du Conseil Européen consacré à la sécurité et à la défense, prévue fin juin. Par ailleurs, les ministres européens présents au Conseil AE se pencheront sur l’état des opérations et des missions militaires déroulées dans le cadre de la Politique de sécurité et de défense commune de l’UE. Parmi d’autres sujets visés mentionnons la nécessité de réviser la Stratégie de sécurité de l’UE, de la perspective des changements de la situation de sécurité au niveau global. S’y ajoute la mise en œuvre des mesures censées garantir l’accès des PME sur le marché des équipements militaires.

    Justice – La chef de la Direction Nationale
    Anticorruption de Roumanie, Laura Codruţa Kovesi, a déclaré dimanche dans une
    interview pour une télévision privée, que les récentes enquêtes ont semé la
    panique au sein de la classe politique roumaine, ce qui explique les tentatives
    de limiter les attributions des procureurs. Elle faisait référence notamment
    aux initiatives du Parlement de limiter les modalités d’arrestation. Selon Laura Codruţa Kovesi, il est très
    difficile de dire si l’actuelle classe politique soutient la lutte
    anticorruption, dans les conditions où de nouveaux projets censés modifier le
    Code pénal ou de procédure pénale apparaissent toutes les deux semaines, dans
    une tentative de limiter soit les attributions des procureurs soit possibilités
    de mener une enquête.

    Unionisme – A Chisinau
    a été organisé samedi une ample manifestation en faveur de l’union de la
    République de Moldova (pays à population majoritaire roumanophone) avec la
    Roumanie voisine. L’occasion de commémorer aussi l’annexion de la Bessarabie
    (le nom ancien de cette ex-province roumaine) à l’Empire Tsariste en
    1812. Les membres des organisations unionistes ont lancé une campagne de
    collecte de signatures, annonçant l’organisation, le 5 juillet prochain, d’une
    Grande Assemblée Nationale pour l’union avec la Roumanie.


    Rappelons par ailleurs, que le leader roumain d’une plate-forme unioniste a
    été récemment déclarée personne indésirable sur le territoire de la République
    de Moldova et expulsé sous prétexte d’avoir mis en danger la sécurité
    nationale, selon le ministère de l’Intérieur de Chisinau. La personne en
    question quant à elle affirme que la vraie raison en était justement
    l’organisation de la manifestation qui a eu lieu samedi dans la capitale
    moldave. Pour sa part, le ministère roumain des AE a demandé de éclaircissements à ce sujet, alors que les parlementaires
    de Bucarest ont signé une déclaration exprimant leur désaccord avec les actions
    des responsables de Chisinau.

    Tennis – La
    joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, a cédé à nouveau la 2e place du
    classement WTA à la Russe Maria Sharapova, qui vient de gagner l’Open de Rome.
    La Roumaine a perdu la qualification dans les demi-finales de la compétition de
    Rome devant l’Espagnole Carla Suarez Navarro. Finalistes, l’année dernière à
    Roland Garros, Simona Halep et Maria Sharapova participeront à la fin du mois à
    une nouvelle édition du tournois de Grand Chelem de France.




    Météo Les météorologues annoncent du beau temps en Roumanie dans les 24
    prochaines heures. Les températures seront à la hausse et les maxima iront de
    19 à 29 degrés.

  • Nachrichten 12.05.2015

    Nachrichten 12.05.2015


    BUKAREST: Mehr als 300 Mitglieder der beiden Gewerkschaften aus dem rumänischen öffentlichen Dienst haben am Dienstag vor dem Regierungssitz protestiert. Sie forderten bessere Arbeitsbedingungen und höhere Löhne. Die Gewerkschaftler sind unzufrieden, weil wegen einer ab dem 1. Juli 2015 in Kraft tretenden Regierungsverordnung, 60% der Angestellten des öffentlichen Dienstes in Rumänien den Mindestlohn verdienen werden, ungeachtet ihres Studienniveaus, ihres Dienstalters oder ihrer Aufgaben. Die Angestellten im öffentlichen Dienst hatten auch am Montag protestiert; weitere Proteste werden am Mittwoch und Donnerstag stattfinden.



    BUKAREST: Die Ausschüsse für Umwelt, Landwirtschaft und Rechtswesen der Bukarester Abgeordnetenkammer haben am Dienstag den Antrag des Staatschefs Klaus Iohannis betreffend eine neue Debatte des Forstgesetzes abgelehnt. Am Mittwoch soll das Plenum der Abgeordnetenkammer über den Antrag abstimmen. Im Falle einer Ablehnung kann gegen das Gesetzesprojekt nur noch ein Antrag beim Verfassungsgericht eingereicht werden. Der rumänische Staatschef hatte die Überarbeitung des Forstgesetzes gefordert. Seiner Meinung nach enthalte das Gesetzesprojekt Vorschriften, die die Tätigkeit der Handelsgesellschaften einschränken würden. Außerdem schaffe das neue Gesetz Voraussetzungen für eine diskriminierende Behandlung. Der Senat hatte die beantragten Änderungen durch die Stimmen der Parlamentarier der Regierungspartei und des Ungarnverbandes abgewiesen. Allerdings ist die Abgeordnetenkammer das entscheidende Gremium. Unterdessen schaltete die Regierung wegen vermeintlicher Korruptionstaten im Forstbereich die Antikorruptionsbehörde in fünf rumänischen Landkreisen ein. Am Wochende haben in mehreren rumänischen Städten Tausende Menschen gegen das illegale Holzfällen protestiert. Klaus Iohannis kündigte an, dass dieses Thema bei der nächsten Sitzung des Obersten Sicherheitsrates des Landes diskutiert werde.



    BUKAREST:Der regionale Gipfel für Cyber-Sicherheit geht in Bukarest weiter. Am Dienstag wurde das Zentrum für Innovation im Bereich der Cyber-Sicherheit eingeweiht. Das vom Ministerium für Informationsgesellschaft in Zusammenarbeit mit dem US-Handelsdepartment veranstaltete Ereignis führt Gesellschaften und Regierungsvertreter, Cyber-Sicherheitsexperten aus dem öffentlichen und privaten Bereich aus mitteleuropäischen und baltischen Staaten, der Republik Moldau, den Vereinigten Staaten und Rumänien zusammen. Rumänien könnte, insbesondere im Kontext der aktuellen Ukraine-Krise und der agressiven Politik Russlands, ein regionaler Anführer im Bereich der Cyber-Sicherheit werden.



    BUKAREST: Der rumänische Aussenminister, Bogdan Aurescu, beteiligt sich am Mittwoch und Donnerstag am Treffen der NATO-Aussenminister in der südtürkischen Stadt Antalya. An dem Treffen beteiligt sich auch die Außenbeuftragte der Europäischen Union, Federica Mogherini. Themen der Gespräche sind die Sicherheitsherausforderungen in der östlichen und südlichen Nachbarschaft der Europäischen Union, der politische Übergang und die Sicherheit in Afghanistan und in der umgebenden Region, die Sicherheitslage in der Ukraine und deren Impakt auf die euroatlantischen Sicherheit. Am Rande des Treffens wird Aussenminister Aurescu mit seinen Amtskollegen aus NATO- und Partnerstaaten diskutieren.


  • 27.03.2015

    27.03.2015

    Justice- La Cour Constitutionnelle de Roumanie examinera le 8 avril les contestations à l’adresse du sénateur social-démocrate Dan Sova, suite à la décision du Sénat de rejeter la demande de mise en détention provisoire avancée par les procureurs anti-corruption. Le chef de l’Etat, Klaus Iohannis a appelé la Cour à signaler l’existence d’un conflit de nature constitutionnelle entre les pouvoirs juridique et législatif. De l’avis du chef de l’Etat, une attitude comme celle adoptée par le Parlement dans le cas du sénateur Dan Sova conduit à un blocage institutionnel, suite à l’impossibilité d’une mise en œuvre des procédures judiciaires et de l’acte de la justice. Le PNL, en opposition, a également avancé une contestation. Mercredi encore, le Sénat a rejeté la demande formulée par la DNA d’approuver la levée de l’immunité de Dan Sova, ex ministre des Transports, accusé de complicité d’abus de fonction dans une affaire où la Direction nationale anticorruption étudie l’activité de deux compagnies énergétiques d’Etat.



    Visite — Le ministre délégué chargé des Relations avec les Roumains de l’Etranger au gouvernement de Bucarest, Angel Tîlvar, a fait un don de livres en langue roumaine à l’Université de Balti, dans le nord de la République de Moldova. A cette occasion, il a mis en évidence l’importance que représente pour la Roumanie la manifestation de l’identité culturelle roumaine en République de Moldova. La visite du responsable roumain à Chisinau se déroule simultanément avec celle du président du Parlement moldave, Adrian Candu, à Bucarest. Ces rencontres Bucarest – Chisinau interviennent au moment du 97ème anniversaire de l’Union de la Bessarabie avec la Roumanie.



    Football- La sélection nationale de foot se prépare à rencontrer à Ploiesti, en Roumanie, la représentante des Iles Féroé dans le cadre d’un match du groupe F de qualification au Championnat d’Europe 2016. Après les matchs disputés l’automne dernier en déplacement, contre la Grèce et la Finlande, et ceux joués sur terrain propre contre la Hongrie et l’Irlande du Nord, la Roumanie occupe la première position dans son groupe et la quinzième dans le classement de la FIFA.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Irina Begu, s’est qualifiée jeudi pour le troisième round du tournoi WTA de Miami, en triomphant de la Tchèque Tereza Smitkova. Simona Halep, numéro trois mondial et grande gagnante du tournoi d’Indian Wells, affrontera aujourd’hui à Miami, directement au deuxième tour, la Tchèque Nicole Vaidisova. Par ailleurs, une troisième joueuse roumaine, Monica Niculescu, rencontrera toujours vendredi, à Miami, Serena Williams, numéro un mondiale et favorite de la compétition.

  • Il y a 97 ans, l’Union de la Bessarabie avec la Roumanie

    Il y a 97 ans, l’Union de la Bessarabie avec la Roumanie

    Ce fut le 27 mars 1918, vers la fin de la première guerre mondiale et sur la toile de fond de la dissolution de lempire des tsars et du chaos provoqué par la révolution bolchevique, que le Conseil du Pays, soit lorgane législatif de Chisinau, décidait de lunion de la Bessarabie avec la Patrie, après plus dun siècle doccupation russe de la province. Les territoires roumains les plus à lEst nont fait partie du Royaume de Roumanie que 22 ans. A lété 1940, la Bessarabie allait être ré-annexée par Moscou, suite à un ultimatum donné par Staline. Un autre demi-siècle doccupation suivit, beaucoup plus dure quà lépoque des Tsars.



    Le nord et le sud de la Bessarabie ont été rattachés à lUkraine soviétique. Sur le reste du territoire, les autorités de Moscou ont créé la République socialiste soviétique moldave. Plusieurs centaines de milliers dhabitants se sont réfugiés en Roumanie, et dautres dizaines de milliers, jugés indésirables par les Soviétiques ont été déportés en Sibérie et au Kazakhstan. A leur place, les Soviétiques ont fait venir des colons recrutés sur lensemble du territoire de lEmpire rouge. Le 27 août 1991, après léchec du putsch néo-communiste de Moscou, la République de Moldova proclamait son indépendance. A lépoque, les ethniques roumains comptaient déjà pour deux-tiers de la population du pays. Bucarest a été la première capitale au monde à reconnaître lindépendance de son nouveau voisin.



    En vertu dune communion linguistique, historique et culturelle, la Roumanie a été lavocat le plus impliqué de la souveraineté et de lintégrité territoriale de la République de Moldova, qui étaient périclitées par lingérence de Moscou et par le séparatisme pro-russe de la Transnistrie. La Roumanie a également soutenu les aspirations européennes de la République de Moldova. Cet appui a été évoqué jeudi à Bucarest par le président roumain Klaus Iohannis, par le Premier ministre Victor Ponta et par le chef de la diplomatie roumaine Bogdan Aurescu.



    Ceux-ci ont rencontré le président du Parlement de Chisinau, Adrian Candu, qui a déclaré : “Le processus d’association et d’intégration dans l’UE est irréversible et constitue incontestablement une solution qui n’a pas d’alternative. Les citoyens moldaves souhaitent vraiment se joindre à la famille européenne, aux côtés de la Roumanie et nous comptons beaucoup sur l’appui du Parlement et du gouvernement de Bucarest pour accélérer ce parcours.”



    Installée en 2009, l’actuelle administration pro-occidentale de Chişinău a conclu l’année dernière des accords d’association et de libre-échange avec Bruxelles. La République de Moldova espère devenir membre du club de l’UE à l’horizon 2020, lorsque, pour employer une formule consacrée par les chancelleries diplomatiques, les deux Etats et leurs citoyens partageront le même espace de liberté, de démocratie et de prospérité.


  • Bessarabia Joined Romania 97 Years Ago

    Bessarabia Joined Romania 97 Years Ago

    On March the 27th, 1918, towards the end of World War I, amid the chaos triggered by the collapse of the Tsarist Empire and by the Bolshevik revolution, the legislative body in Chisinau decided Bessarabia, a province with a predominantly Romanian-speaking population held under Russian occupation for more than a century, should join the Kingdom of Romania. The province was part of Greater Romania for only 22 years.



    In the summer of 1940, Bessarabia was once again annexed by Moscow, further to an ultimatum by Soviet dictator Stalin. Another half a century of Russian occupation followed, a lot more burdening under the Bolshevik regime than it had been under the Tsars. The north and south of Bessarabia were transferred to Soviet Ukraine. From the rest of the province, renamed The Soviet Socialist Republic of Moldova, tens of thousands of people sought refuge in Romania. Other thousands of people, viewed as undesirable, were deported to Siberia or Kazakhstan. To replace them, the Soviets brought in colonists from elsewhere in the communist empire.



    On August 27th, 1991, when, after the failed neo-communist coup in Moscow, Chisinau proclaimed its independence, the ethnic Romanians only accounted for two-thirds of Moldova’s population. Bucharest was the first capital in the world to recognise the new state, on the very same day it proclaimed its independence. By virtue of their shared language, history and culture, Romania was the most reliable and active advocate for Moldova’s sovereignty and territorial independence, constantly threatened by Moscow’s interference and the pro-Russian secessionism in Transdniester. Romania’s support for Moldova and its European aspirations was reiterated on Thursday by President Klaus Iohannis, PM Victor Ponta, Foreign Minister Bogdan Aurescu, in the meetings in Bucharest with the Speaker of the Moldovan Parliament Andrian Candu. In turn, the latter stated:



    “Moldova’s EU accession and integration is an irreversible and undeniable process, it is the only possible solution. It is the strong wish of the citizens of Moldova to become members of the European Union, together with Romania, and we count on the support of Romania, its Government, its Parliament, to be able to step up this irreversible process.”



    In power since 2009, Moldova’s current pro-European administration last year signed association and free trade agreements with Brussels, and it hopes to join the EU in 2020.

  • Der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis beteiligte sich am EU-Gipfel in Brüssel

    Der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis beteiligte sich am EU-Gipfel in Brüssel

    Der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis beteiligte sich in Brüssel am Treffen des Europäischen Rates, dem ersten Treffen dieser Art seit der Amtsübernahme. Hauptthemen der Gespräche waren die Ukraine-Krise, der Kampf gegen den Terrorismus und die Staatsverschuldung Griechenlands. Das jetzige Treffen des Europäischen Rates fand in einem extrem komplizierten geopolitischen Kontext statt, so Iohannis. In Bezug auf die gespannte Lage in der Ukraine und das Abkommen in Minsk erklärte der rumänische Staatspräsident, die rumänischen Behörden seien sich der steigenden Gefahr infolge des bewaffneten Konflikts im Osten der Ukraine bewu‎ßt und würden sich für eine politische Lösung einsetzen. Klaus Iohannis:



    Ich wiederhole unsere Ansicht, dass die einzige Lösung für die Ukraine-Krise eine politische, auf Dialog basierende Lösung ist, die das Blutvergie‎ßen beenden sollte. Der Vereinbarung in Minsk sehen wir mit Vertrauen entgegen, aber es ist uns auch klar, dass es noch Spannungen und wunde Punkte gibt, die wir ohne politischen Willen und Verbundenheit nicht lösen können”



    Klaus Iohannis sagte aber auch, dass sowohl er als auch andere EU-Staats- und Regierungschefs sich über das Einhalten der Minsker Vereinbarung keine Illusionen machen, da einige der darin eingetragenen Vorschriften auch im vorangegangenen Minsker Abkommen von September enthalten waren. Am Rande des EU-Gipfeltreffens diskutierte der rumänische Staatschef mit seinem ukrainischen Gegenüber Petro Poroschenko über die bilateralen Beziehungen zwischen Rumänien und der Ukraine und über regionale Fragen. Poroschenko bedankte sich bei Iohannis für seine starke Position zur Unterstützung der Ukraine und lud ihn zu einem offiziellen Besuch in Kiew ein. Die Einladung wurde vom rumänischen Staatspräsidenten angenommen.



    Ein wichtiges Thema auf der Agenda des EU-Gipfeltreffens in Brüssel war der Kampf gegen den Terrorismus. In diesem Kontext sagte Präsident Iohannis, nach den Terroranschlägen in Frankreich hätten die Anti-Terror-Ma‎ßnahmen eine neue Dimension bekommen und an politischer Relevanz gewonnen. Gleichzeitig sollten aber die Anti-Terror-Ma‎ßnahmen keine neuen Barrieren schaffen, sondern innerhalb der Europäischen Union umgesetzt werden, ohne Unterschiede zwischen den Ländern innerhalb und au‎ßerhalb des Schengener Raumes, sagte noch der rumänische Staatschef. Die Bukarester Regierung unterstützt einschlie‎ßlich die Zusammenarbeit mit Partnern au‎ßerhalb der Europäischen Union, mit dem Zweck, Terroranschläge zu bekämpfen.



    Unter dem Eindruck der Pariser Anschläge hat die Europäische Union sich auf gro‎ß angelegte Anti-Terror-Ma‎ßnahmen geeinigt. Dazu zählen der Austausch von Flugpassagierdaten, schärfere Grenzkontrollen und die Löschung von Terrorhetze im Internet. Das Paket wurde am Donnerstagabend beim EU-Gipfel in Brüssel einstimmig angenommen.



    Ein drittes Gesprächsthema in Brüssel war die Auslandsverschuldung Griechenlands. In den verhärteten Schuldenstreit mit Griechenland ist beim EU-Gipfel Bewegung gekommen. Experten begannen bereits Vorgespräche über ein verändertes Rettungsprogramm. Die Euro-Finanzminister wollen an diesem Montag in Brüssel darüber beraten.

  • Nachrichten 07.02.2015

    Nachrichten 07.02.2015

    BUKAREST: Vertreter des Internationalen Währungsfonds (IWF) und der Europäischen Kommission sind am Samstag mit Vertretern der rumänischen Behörden zusammengekommen. Haupthemen der Gespräche waren Energie- und Finanzierungsfragen, einschlie‎ßlich die Liberalisierung des Erdgasmarktes. Die IWF-Finanzexperten, die bis zum 10. Februar in Rumänien auf einer Evaluierungsmission bleiben, diskutierten mit den rumänischen Behörden über die jüngsten Entwicklungen, die Prioritäten der wirtschaftlichen Reformen, Fragen betreffend die EU-Fonds, und die Änderung des rumänischen Steuergesetzes. Das jetzige stand-by Abkommen, das dritte Abkommen zwischen Rumänien und dem IWF seit Beginn der Wirtschaftskrise in 2009, läuft diesen Herbst ab. Es wurde in September 2013 abgeschlossen und hat einen Wert von etwa 2 Milliarden Euro.



    BUKAREST: Der rumänische Präsident Klaus Iohannis hat in einem Interview für einen französischen Fernsehsender erklärt, der Kampf gegen Korruption soll intensiver fortgesetzt werden, weil die Korruption eine Bedrohung gegen die nationale Sicherheit darstelle. In den letzten Jahren seien wichtige Schritte zur Bekämpfung der Korruption unternommen worden, aber es sei genauso wichtig, dass die rumänischen Behörden der Bevölkerung zeigen, wie sie weiterhin gegen die Korruption kämpfen, so Iohannis. Er werde persönlich die Antikorruptionsbehörden unterstützen, sagte der rumänische Staatschef. In Bezug auf die Ukraine-Krise sagte Klaus Iohannis, eine Ausweitung des Konflikts im Nachbarland in Richtung Rumänien werde von den rumänischen Behörden als nicht möglich eingeschätzt, aber in Betracht der Tatsache, dass Rumänien eine 650 Km lange gemeinsame Grenze mit der Ukraine habe, sei Vorsicht geboten. Russland habe den Rahmen der internationalen Abkommen gesprengt, und die rumänischen Behörden hätten sich ständig für eine Zusammenarbeit zwischen der Europäischen Union und der NATO erklärt, um Moskau dazu zu bringen, besagte Vereinbarungen einzuhalten, sagte noch der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis.



    BERLIN: Der Spielfilm “De ce eu?” Warum ich?“ des rumänischen Regisseurs Tudor Giurgiu, ist am Freitag bei der Berlinale erstaufgeführt worden. Der in der Sektion Panorama Special präsentierte Streifen erzählt eine wahre Geschichte, das tragische Schicksal eines rumänischen Staatsanwalts. Der junge, ehrgeizige Staatsanwalt Christian bekommt überraschend einen prekären Fall zugeteilt: ein älterer Kollege ist der Korruption beschuldigt. Was ein Karrieresprungbrett sein könnte, kehrt sich ins Gegenteil. Der Verdächtige beteuert seine Unschuld, die Vorgesetzten nötigen Christian, ihn auch ohne Beweise vor Gericht zu bringen. In dem Bestreben, die Wahrheit ans Licht zu bringen, kommt Christian einem ungeheuren Komplott auf die Spur. Die einzige rumänische Filmproduktion, die bei der Berlinale 2015 im offiziellen Wettbewerb am 11. Februar erstaufgeführt wird, ist der Spielfilm Aferim“ von Radu Jude. Hauptthema der rumänisch-bulgarisch-tschechischen Koproduktion ist die Sklaverei der Zigeuner in den Rumänischen Fürstentümern um 1830. Der Hauptdarsteller, Teodor Corban, ist für einen Silbernen Bären nominiert worden.

  • Nachrichten 27.01.2015

    Nachrichten 27.01.2015

    BUKAREST: Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, diskutiert am Mittwoch mit den Parlamentsparteien und -gruppierungen über die legislativen Prioritäten der kommenden Parlamentssession. Auf der Agenda stehen Gespräche über eine bessere Organisierung des Wahlverfahrens im Ausland, über die Finanzierung der Wahlkämpfe und der politischen Parteien und über die Beschleunigung des Verfahrens zur Aufhebung der parlamentarischen Imunität. Das ist die zweite Beratungsrunde des Staatspräsidenten Klaus Iohannis mit den Parlamentsparteien und -gruppierungen seit seiner Amtsübernahme. Die ersten Beratungen bezüglich eines Abkommens über die Finanzierung der Landesverteidigung fanden am 12. Januar statt.



    BUKAREST: In Rumänien wurden am Dienstag zwei ehemalige Minister — Codrut Seres, Ex-Wirtschaftsminister und Zsolt Nagy, ehemaliger Kommunikationsminister- im Verfahren der sog. strategischen Privatisierungen” zu vier Jahren und acht Monaten, bzw. zu vier Jahren Haftstrafe rechtskräftig verurteilt. Laut Anklageschrift waren die zwei Minister Mitte der 2000er Jahre einer grenzüberschreitenden Gruppe der organisierten Kriminalität beigetreten. Zudem wurden sie des Verrats durch Überlieferung von Geheimnissen beschuldigt. In einem anderen Privatisierungsverfahren wurde am Dienstag dem Geschäftsmann Dan Voiculescu die rechtskräftige 10jährige Haftstrafe bestätigt. Voiculescu ist ein ehemaliger Informant der Sicherheitspolizei Securitate, der politischen Polizei des kommunischen Regimes. Er ist eine der einflussreichsten Personen im postkommunistischen Rumänien und Gründer der zur Zeit mitregierenden Konservativen Partei.



    BUKAREST: Eine gemeinsame Delegation des IWF, der EU-Kommission und der Weltbank beurteilt ab Dienstag in Rumänien zum dritten Mal das laufende vorbeugende Darlehensabkommen. Bis zum 10. Februar werden die Vertreter der externen Kreditgeber mit den rumänischen Behörden über die jüngsten Entwicklungen in der rumänischen Wirtschaft und über die Prioritäten der Wirtschaftsreform diskutieren. Der Schweizer Franken hat mittlerweile einen Rekordhoch gegenüber der rumänischen Währung erreicht. Das verursachte Panik in den Reihen der Rumänen, die Kredite in der Schweizer Währung aufgenommen haben und führte zu Debatten über das Gesetz der Privatinsolvenz. In einem Brief an die rumänischen Regierung haben schon die IWF-Experten sich über die Verabschiedung eines solchen Gesetzes ohne die Durchführung einer angemessenen Auswirkungsstudie und ohne die Beratung der verwickelten Verbände besorgt gezeigt.



    BUKAREST: Der Chef des rumänischen Nachrichtendienstes SRI, George Maior, ist zurückgetreten. Staatspräsident Klaus Iohannis hat am Dienstag das Rücktrittsschreiben George Maiors angenommen, meldete das rumänische Präsidialamt. Die Amtsniederlegung kam eine Woche nachdem das rumänische Verfassungsgericht das Internetüberwachungsgesetz, ein Teil eines Gesetzepakets über die nationale Sicherheit, für verfassungswidrig erklärt hatte. Damals hatte George Maior die Entscheidung des Verfassungsgerichts heftig kritisiert. Der 48-jährige George Maior ist Diplomat, Universitätsprofessor und ehemaliger Politiker. Seit Oktober 2006 war er Leiter des rumänischen Nachrichtendienstes SRI.



    XXX – Die Au‎ßenminister der Europäischen Union kommen am Donnerstag zu einem Sondertreffen zum Ukraine-Konflikt zusammen. Rumänien wird beim besagten Treffen für härtere Sanktionen gegen Ru‎ßland plädieren, auf dem Hintergrund der Verschlechterung der Sicherheitslage im Osten der Ukraine, erklärte der rumänische Au‎ßenminister, Bogdan Aurescu. Das ukrainische Parlament hat Russland am Dienstag als Aggressorstaat eingestuft. Abgeordnete sagten, dieser Schritt könne einer UN-Resolution zufolge völkerrechtliche Konsequenzen haben. Die von den Separatisten im Osten der Ukraine ausgerufenen Republiken bezeichnete das Parlament in einer Resolution als Terror-Organisationen. Zudem forderte es schärfere Sanktionen gegen sein Nachbarland und weitere internationale Hilfe. Im Osten des Landes liefern sich Regierungstruppen und Separatisten ungeachtet einer im September vereinbarten Waffenruhe heftige Gefechte. Die Führung in Kiew wirft Russland vor, die Separatisten militärisch zu unterstützen.



    XXX — Zum 70. Jahrestag seit der Befreiung des früheren NS-Konzentrations- und Vernichtungslagers haben am Dienstag in Auschwitz Staats-und Regierungschefs, sowie auch Vertreter von Königshäusern, den Opfern des NS-Regimes gedacht. Das ehemalige Lager Auschwitz-Birkenau, heute eine zentrale Stätte des Erinnerns an die Gräuel der NS-Herrschaft, war von frisch gefallenem Schnee bedeckt. In den Jahren 1940 bis 1945 wurden dort etwa 1,1 Millionen Menschen ermordet, die meisten von ihnen Juden. Sowjetische Soldaten befreiten das Lager am 27. Januar 1945. An der Gedenkfeier nahmen unter anderen Frankreichs Präsident Francois Hollande, Deutschlands Bundespräsident Joachim Gauck und der ukrainische Staatschef Petro Poroschenko teil. In Rumänien hat Staatschef Klaus Iohannis an mehrere Holocaust-Überlebende Orden verliehen. Laut dem Präsidialamt sei die Auszeichnung ein Zeichen des tiefsten Respekts für ihre Leiden während des Zweiten Weltkriegs.