Tag: USR

  • 28.10.2017

    28.10.2017

    Espagne – La Roumanie réaffirme l’appui ferme à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Espagne et rejette fermement et irrévocablement la déclaration d’indépendance de la Catalogne, lit-on dans un communiqué du Ministère des Affaires Etrangères de Bucarest. L’Espagne est un allié important et un partenaire stratégique de la Roumanie, affirme la diplomatie roumaine, soulignant que la légitimité de tout procès et action, tenant de l’ordre intérieur d’un Etat réside dans sa plaine conformité à la Loi Fondamentale, à l’ordre de droit de l’Etat en question. Le ministère roumain des Affaires Etrangères rappelle que la position des autorités de Bucarest a constamment été favorable au respect du droit international, qui ne permet pas de modifications territoriales sans l’accord de l’Etat concerné. Les principales chancelleries occidentales ont à leur tour exprimé leur appui aux autorités madrilènes. Rappellons-le, le premier ministre Mariano Rajoy a annoncé la destitution du gouvernement régional, la dissolution du parlement catalan et l’organisation d’élections régionales le 21 décembre. Les décisions ont été annoncées vendredi dans la soirée, juste après l’adoption par le parlement catalan d’une déclaration d’Indépendance, suivie par la proclamation d’une république catalane. La région sera dirigée par la vice-première ministre espagnole Soraya Saenz de Santamaria et contrôlée par 33 mille agents de police espagnols, selon la BBC.

    Roumains – La fédération des associations de Roumains d’Europe a appelé à aider les Roumains qui aurait à souffrir suite à la déclaration de l’indépendance de la Catalogne. L’organisation affirme que le chômage pourrait grimper dans la région et que les Roumains en seraient les plus touchés. Plus d’un million de Roumains habitent en Espagne, dont 150 mille en Catalogne. Suite aux récentes tensions politiques, plus de 1800 entreprises, dont deux banques importantes, ont quitté la Catalogne, vers d’autres régions espagnoles, fait savoir la Fédération des Associations des Roumains d’Europe.

    Colectiv – Plusieurs centaines de personnes ont participé vendredi dans la soirée à une marche à la mémoire des 64 personnes ayant péri dans l’incendie qui a ravagé le 30 octobre 2015 la discothèque bucarestoise Colectiv. Le 30 octobre, la Radio publique roumaine diffusera également le spectacle 64, inspiré de ce drame alors qu’à Cluj dans le centre-ouest du pays, un évènement commémoratif sera également organisé. L’association accuse les autorités de tergiverser le dossier Colectiv. Le procès vient d’être ajourné pour le mois de novembre, décision qui a provoqué des mécontentements parmi les familles des victimes. Dans ce dossier, les patrons du club sont accusés d’homicide involontaire, de coups et de blessures ainsi que de ne pas avoir entrepris toutes les mesures légales visant la sécurité et la santé sur les lieux de travail. Les représentants de la société ayant organisé les feux d’artifices à l’origine de l’incendie sont également poursuivis. Le dossier vise aussi l’ex maire d’arrondissement, accusé d’abus de fonctions, ainsi que des cadres de l’Inspection des situations d’urgence, puisque même si la discothèque n’était pas autorisée par les pompiers, elle continuait d’être ouverte. Rappelons-le, la tragédie du club Colectiv a été suivie par d’amples protestations contre la corruption de l’administration locale et centrale, protestations qui ont conduit à la démission du cabinet social-démocrate du premier ministre Victor Ponta.

    USR – L’Union Sauvez la Roumanie, de l’Opposition, troisième parti du parlement de Bucarest doit élire aujourd’hui un nouveau président dans le cadre d’un Congrès extraordinaire qui se déroule à Poiana Brasov, dans le centre de la Roumanie. Les candidats en lice sont Vlad Alexandrescu et Dan Barna, parlementaires et vice-présidents de l’Union. L’ex leader et fondateur de l’Union Sauvez la Roumanie, Nicusor Dan a quitté le parti suite à la décision de la majorité des membres de s’opposer à une controversée initiative de modification de la définition constitutionnelle de la famille d’union librement consentie entre deux époux en union entre un homme et une femme. Cette initiative appartenant à plusieurs groupes d’organisations réunies dans le cadre de « La coalition pour la Famille », a été signée par trois millions de Roumains. Elle est fortement contestée par des associations et organisations non-gouvernementales qui militent pour les droits de l’homme en général et pour les droits des minorités sexuelles en particulier.

    Tennis – Aujourd’hui à Ramat Héasharon, en Israël, le double Dudi Sela/Jonathan Erlich affronte le double Vasile Antonescu /Bogdan Borza dans le cadre de la Coupe Davis qui oppose Israël à la Roumanie. Les joueurs israéliens ont remporté les deux premiers matchs de la rencontre ce vendredi. Dragoş Dima (463 ATP) s’est incliné face à Edan Leshem (285 ATP) et Dudi Sela (70 ATP) a battu le jeune Nicolae Frunză ( 600 ATP). Les matchs de simple Sela-Dima, respectivement Leshem-Frunză sont prévus pour dimanche.

    Heure d’hiver – Et la Roumanie passe dans la nuit de samedi à dimanche à l’heure d’hiver. Dimanche 29 octobre à Bucarest, à 4 heures du matin, il sera en fait 3 heures. Une heure de sommeil de gagnée donc mais pensez à remettre vos montres, horloges et autres pendules à l’heure !

    Météo – Températures à la baisse à travers la Roumanie. Le ciel est couvert et il pleut sur le centre, l’est, le sud-est, ainsi que sur d’autres régions. Il neige en haute montagne, où la vitesse du vent pourrait dépasser les 70 km à l’heure. Les températures vont de 7 à 16 degrés. Temps maussade et 9 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Hörerpostsendung 2.7.2017

    Hörerpostsendung 2.7.2017

    Herzlich willkommen zur vorletzten Hörerpostsendung vor der Sommerpause!



    Heute möchte ich — wie vergangene Woche versprochen — ein paar Hörerfragen beantworten, die ins Detail der rumänischen Innenpolitik gehen. Unsere Stammhörerin Beate Hansen ist in Wiesbaden zu Hause, interessiert sich für viele Aspekte des Lebens in Rumänien, hat vor zwei Jahren als Gewinnerin eines Hörer-Wettbewerbs das Land auch besucht und schickte uns unlängst ausführliche Fragen zur Innenpolitik und zu unserem Rundfunkprogramm:



    Guten Tag, lieber Sorin Georgescu,



    heute habe ich mal wieder ein paar Fragen und Anmerkungen zu den RRI-Programmen der letzten Zeit:



    Über die verschiedenen im Bukarester Parlament vertretenen Parteien erfährt man als Hörer m.E. nicht genug, um sie für sich ein bisschen einordnen zu können: Die PSD-ALDE-Koalition als “linksliberal” zu bezeichnen, kommt mir manchmal etwas komisch vor — nach meinem Eindruck sind die beiden Parteien eher populistische Sammelbecken für ihre jeweilige Klientel, die sich insbesondere die Kommunalpolitiker gewogen machen bzw. halten. Aber das ist natürlich nur mein völlig laienhafter Eindruck aus der Ferne.



    Die Union Rettet Rumänien (USR) dagegen finde ich sehr interessant, weil ich denke, dass sie die Zivilgesellschaft noch am ehesten im Blick hat bzw. vertritt, alternative Ideen einbringt und ihr Mäntelchen nicht nach dem Wind hängt wie z.B. die [Partei der ungarischen Minderheit] UDMR. Auch das natürlich nur meine durch keinerlei tiefere Kenntnis getrübte Meinung. Der USR-Vorsitzende Nicuşor Dan insbesondere, immerhin zweifacher Sieger der Internationalen Mathematik-Olympiade, Absolvent der École Normale Supérieure (ENA, Paris) und freiwilliger Rumänien-Rückkehrer, ist doch sicher mal eine nähere Vorstellung bei RRI für die ausländischen Hörer wert, finde ich. Schade, dass er kürzlich vom USR-Vorsitz zurückgetreten ist. Grund oder Anlass war die Verfassungsreform zum Thema “Familie”. Was es mit dieser Definition der Ehe und dem Streit darüber auf sich hat, könnte RRI auch mal für uns ausländische Laien erklären. Vor ca. einem Jahr, als die Unterschriftensammlung dazu lief, gab es schon mal eine Sendung darüber — aber was ist seitdem passiert, was wollen die Leute eigentlich und wo verlaufen die Streitlinien?



    Dass es mit eurotopics.net seit längerem eine europäische Presseschau gibt, fand ich anfangs irritierend — habe sie aber mittlerweile schätzen gelernt, weil man, auch wenn die Medien oder Themen nicht immer einen direkten Bezug zu Mittel- und Osteuropa haben, dadurch doch noch einen anderen Eindruck von den Mediendebatten bekommt als allein aus den hiesigen Sendern. Das sollte RRI aber nicht davon abhalten, eine rumänische Presse- oder Medienschau zu installieren, finde ich.



    Im Touristischen Magazin kam Ende April und seither noch zweimal wiederholt ein Beitrag von Alex Grigorescu über Roma in Brateiu und das Projekt tzigania.com. Den fand ich super spannend! Einerseits deswegen, weil ich vor zwei Jahren auch kurz in Brateiu war und andererseits, weil ich vor ein paar Wochen im Rahmen des hiesigen “Go East”-Filmfestivals genau über dieses Projekt einen Dokumentarfilm gesehen habe. Schade, dass gerade diese Eigenproduktionen der deutschsprachigen Redaktion — obwohl besonders interessant — nicht auf der RRI-Homepage zu finden sind!



    Das solls für heute gewesen sein. Vielen Dank an die gesamte RRI-Redaktion dafür, dass sie uns immer wieder auf so sympathische Weise mit gut gemachten Sendungen auf dem Laufenden hält!



    Viele Grü‎ße aus dem hochsommerlichen Wiesbaden ins hoffentlich ebenso sonnige Bukarest


    Beate Hansen




    Liebe Frau Hansen, vielen Dank für das Feedback und Gru‎ß zurück aus dem an diesem Wochenende von der ersten Hitzewelle geplagten Bukarest! Ich beginne mal mit den Beobachtungen zu unserem Programm. Die europäische Presseschau finde ich auch nützlich, zumal allein die Auswahl der Themen durch die jeweilige Redaktion schon zeigt, was ein Land besonders interessiert im Kontext der europäischen Entwicklungen. Eine rumänische Presseschau hatten wir früher auch von der Zentralredaktion, sie wurde aber eingestellt, vermutlich weil es zu aufwendig war, die Schlagzeilen über innenpolitische Themen ohne detailreiche Hintergrundinformationen an den ausländischen Hörer zu bringen, der sich im Durchschnitt weniger dafür interessiert. Für die Rumänen in der Diaspora ist sie seit der Verbreitung schneller Internetzugänge auch nicht mehr interessant, da man die heimischen Medien mittlerweile bequem auf verschiedenen Endgeräten selber ansteuern kann. Alex Grigorescus Rubrik ist eine Mischung von Tourismusmagazin und der früheren Rubrik über Minderheiten in Rumänien, die Land und Leute“ hie‎ß und heute auch nicht mehr im Angebot der Zentralredaktion zu finden ist. Alex verfasst sie aber nur sporadisch, daher fand ich es nicht sinnvoll, eine neue Rubrik auf unserer Homepage einzurichten, die dann nur drei-viermal im Jahr aktualisiert wird.




    Und nun zu den schwierigen Themen aus der rumänischen Innenpolitik. Die Parteienlandschaft in Rumänien ist selbst für Einheimische manchmal schwer zu erfassen, zumal es seit den Frühneunzigern unzählige Spaltungen, Fusionen, Umbenennungen, Überläufe und plötzliches ideologisches Umschwenken einzelner Parteien und Politiker gab. Und Sie haben es absolut richtig erfasst: Ideologie — ob links, konservativ oder liberal ausgerichtet — spielt bei den hiesigen Parteien kaum eine Rolle, sie ist blo‎ß ein Etikett, das sich die Parteien aufkleben, um in die jeweilige europäische Gro‎ßfamilie aufgenommen zu werden. So etwa war die Demokratische Partei (PD) des ehemaligen Präsidenten Traian Băsescu — ursprünglich eine Nachfolgeorganisation der Front der Nationalen Rettung, die ihrerseits zur Sozialdemokratischen Partei geworden war — ab 1996 Teil der Sozialistischen Internationale. 2005 erklärte die Partei quasi über Nacht und auf Befehl des parteiintern als Zeus“ titulierten Parteichefs ihren Austritt aus der Organisation und wurde ein Jahr später Mitglied der EVP. Dahinter steckte auch politisches Kalkül: Wenige Jahre zuvor war die Christlich-Demokratische Bauernpartei in einem Wahldesaster von der Bildfläche verschwunden, mit den Sozialdemokraten lagen die Demokraten ohnehin seit Anfang an im Clinch, also erschien es vorteilhaft, urplötzlich auf konservativ zu machen. Den Liberalen ging es nicht anders — schon in den 1990ern spalteten sich diverse Flügel ab, die erst Anfang der 2000er Jahre halbwegs wieder zueinander fanden und dann mit der Demokratischen Partei (später: Liberaldemokratischen Partei PDL) Băsescus zur Nationalliberalen Partei (PNL) fusionierten. Băsescu selbst steht jetzt wiederum einer anderen Partei vor, die ihrerseits ein abtrünniger Flügel der ehemaligen Liberaldemokraten ist, sich Volksbewegung (PMP) nennt und eher national-konservative Positionen vertritt. Die Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) ist nichts anderes als eine Gruppierung ehemaliger Liberaler, die sich von ihrer Partei abspalteten, um zusammen mit der PSD weiterhin am Kuchen beteiligt zu bleiben.



    Falls Sie bisher folgen konnten: Auch in der Wirtschaftspolitik hat die jeweilige ideologische Ausrichtung kaum eine Rolle gespielt. Beispielsweise haben die Sozialdemokraten unter Ministerpräsident Adrian Năstase Ende der 1990er Jahre eine drakonische neoliberale Wirtschaftspolitik betrieben, die die liberale Nachfolgeregierung sich mit Sozialma‎ßnahmen wieder abzuschwächen gezwungen sah. Obwohl Sozialdemokraten qua definitionem wenig mit gelebter Religiosität am Hut haben sollten, bekreuzigen sich namhafte Politiker inbrünstig in aller Öffentlichkeit, vor allem vor laufenden Kameras, und sagen nach jedem dritten Satz Gott befohlen!“ oder So Gott will“, um sich bei den konservativen Wählern anzubiedern. Und Politiker jeglicher Couleur ziehen gerne bei Bedarf auch nationalistische Register, wenn es im Wahlkampf oder nur als momentane Taktik von Nutzen zu sein scheint.



    Die Partei der ungarischen Minderheit nennt sich Demokratischer Verband der Rumänienungarn (UDMR) und ist eigentlich ein Parteienbund, in dem unterschiedliche ideologische Ausrichtungen koexistieren, wobei allerdings eher ungarisch-national-konservative Werte dominant sind. Die Formation mag zwar ein bisschen wendehälsig erscheinen, zumal sie prinzipiell mit dem jeweiligen Wahlgewinner koaliert und seit 1990 fast immer am Regieren beteiligt war. Ich habe da aber etwas Nachsicht. Ziel des UDMR ist es ja erklärterma‎ßen, die Rechte der ungarischen Minderheit zu verteidigen, und in der Politik gibt es nun mal diese Art Tauschgeschäft: Der Junior-Partner ermöglicht dem Wahlgewinner eine bequeme Mehrheit und bekommt dafür Zugeständnisse oder Ämter in der Regierung. Mir ist es auf jeden Fall lieber, wenn die Rumänienungarn an den Regierungsgeschäften beteiligt sind, als dass separatistische Tendenzen laut werden oder extremistisches Gedankengut aus Ungarn importiert und Oberhand bei den Mitbürgern ungarischer Zunge gewinnen würde. Wenn Sie mir den Vergleich erlauben: Es ist einigerma‎ßen ähnlich wie mit der Dänenpartei in Schleswig-Holstein, die nach der Landtagswahl nicht selten das Zünglein an der Waage ist und manchmal eben deshalb in der Kritik steht.



    Die Union Rettet Rumänien (USR) schien am Anfang tatsächlich ein Licht im Dunkeln zu sein und frische Figuren wie den Mathematiker Nicuşor Dan in den Vordergrund zu stellen. Doch im Nachhinein stellte sich heraus, dass die aus einer Bukarester Bürgerinitiative hervorgegangene Partei ideologisch keineswegs gefestigt ist und keine geschlossen auftretende Führungsriege hat. Ursprünglich setzten sich Nicuşor Dan und sein Verein Rettet Bukarest“ teils erfolgreich gegen umstrittene Bauvorhaben der Bukarester Behörden und der Immobilienmafia durch. Das gelang ihm mit einem Mix aus Demos und Klagen vor Gericht. 2012 kandidierte er zum ersten Mal für das Bukarester Bürgermeisteramt bei den Kommunalwahlen und landete mit knapp 9% auf den dritten Platz, obwohl Umfragen ihm nur 3% bescheinigt hatten. Das war umso erstaunlicher, als er als unabhängiger Kandidat keine Unterstützung eines starken Parteiapparats gehabt hatte. Auch verfehlte er nur knapp den Einzug ins Bukarester Stadtparlament, weil das Wahlgesetz eine dreifach höhere Stimmenanzahl für unabhängige Kandidaten im Vergleich zu parteigebundenen vorschreibt. Damit schützen sich die etablierten Parteien vor bösen Überraschungen. Das ambitionierte jedoch den jungen Mann: Im Juni 2016 trat er erneut bei der Kommunalwahl an, diesmal mit seiner inzwischen zur Partei gewordenen Union Rettet Bukarest, und landete mit 30% gleich auf Platz zwei, noch vor den Liberalen und gleich nach den Sozialdemokraten. Somit wurden von den insgesamt 55 Stadträten 15 von der USB aufgestellt. Im August 2016 weitete die USB seine Aktivität auf das ganze Land aus, benannte sich in Union Rettet Rumänien (USR) um und konnte bei den Parlamentswahlen vom 11. Dezember 2016 erneut Erfolg verzeichnen: Mit knapp 9% wurde sie die drittstärkste Partei im rumänischen Parlament.



    Am 1. Juni 2017 trat Nicuşor Dan als Vorsitzender seiner Partei zurück und trat sogar aus der USR aus — Grund dafür waren Auseinandersetzungen innerhalb der Partei hinsichtlich der Positionierung zur umstrittenen Initiative für die Umdefinierung der Ehe in der Verfassung. Dabei geht es um eine vergangenes Jahr durchgeführte Unterschriftenaktion der sogenannten Koalition für die Familie“. Die rund 3 Mio. Unterschreiber wollen bewirken, dass in der rumänischen Verfassung die Ehe künftig eindeutig nur zwischen einem Mann und einer Frau geschlossen werden kann. In der derzeitigen Fassung ist in Artikel 48 nur die Rede vom freiwilligen Zusammenschluss der Ehepartner, ohne das Geschlecht zu präzisieren. Die Aktion wurde auch von den wichtigsten Kirchen in Rumänien unterstützt. Zwar beteuert die mehrheitliche Rumänisch-Orthodoxe Kirche, dass sie die Aktion nicht selbst initiiert oder organisiert habe, doch laut Presseberichten gab es nicht wenige Pfarrer, die in ihrer jeweiligen Gemeinde kräftig die Trommel dafür gerührt haben. Der Aufruhr war schon vergangenes Jahr gro‎ß. LGBT-Aktivisten und liberale Geister kritisierten die Unterschriftensammlung als Versuch, die Menschenrechte einzuschränken bzw. Menschen, die dem traditionellen Vater-Mutter-Kind-Familienmodell nicht entsprechen, zu diskriminieren. Davon betroffen würden nämlich nicht allein Schwule und Lesben, sondern auch Alleinerziehende und nichteheliche und kinderlose heterosexuelle Partnerschaften. Was die Koalition für Familie wiederum mit ihrem Vorsto‎ß bezweckt, kann man nur vermuten. In Rumänien sind homosexuelle Ehen nämlich ohnehin nicht erlaubt. In Artikel 259 Absatz 1 des BGB steht ausdrücklich, dass eine Ehe die freiwillige Union zwischen einem Mann und einer Frau ist. Mehr noch: Homosexuelle Ehen und eingetragene Partnerschaften zwischen gleichgeschlechtlichen Personen sind in Rumänien verboten. Im Ausland geschlossene gleichgeschlechtliche Ehen oder Partnerschaften haben überdies in Rumänien keine Gültigkeit, so Artikel 277 des BGB, übrigens auch verschiedengeschlechtliche Partnerschaften nicht. Es ist daher wahrscheinlich, dass die Unterschriftenaktion von der Angst getrieben wurde, dass die Diskussion über eine Ehe für alle irgendwann auch in Rumänien entsteht und dass die vage Definition der Ehe in der Verfassung eine Hintertür für spätere Änderungen des BGB offen lasse. Einen nicht abgeschlossenen Präzedenzfall gibt es bereits. Ein homosexuelles rumänisch-amerikanisches Ehepaar, dessen Ehe in Belgien geschlossen worden war, hat im Juni vergangenen Jahres eine Verfassungsbeschwerde gegen Artikel 277 des BGB eingereicht. Daraufhin hätte das Verfassungsgericht die Verträglichkeit des besagten BGB-Artikels mit Artikel 26 der Verfassung überprüfen sollen, der das Familien- und Privatleben unter Schutz stellt. Doch das Verfassungsgericht hat die Entscheidung mehrmals vertagt, zuletzt vor wenigen Tagen. Übrigens gibt es tatsächlich Länder in der EU, in denen die Verfassung die gleichgeschlechtliche Ehe verbietet. In einem Artikel vor wenigen Tagen in der NZZ werden die Regelungen zur gleichgeschlechtlichen Ehe in Europa Revue passiert. Ein Verfassungsverbot der gleichgeschlechtlichen Ehe gibt es beispielsweise in Polen, der Slowakei, Litauen, Lettland und Bulgarien.



    Aber zurück zu Nicuşor Dan und der USR. Die Partei hat wie gesagt keine eindeutige doktrinäre Positionierung, es gibt einen links-grünen Flügel, also Parteimitglieder und Parlamentsabgeordnete, die sich für Umweltschutz und soziale Gerechtigkeit stark machen, und einen liberal-konservativen Flügel, der insbesondere den jungen Unternehmern nahe steht. Zwischen den beiden Flügeln hat es nicht nur einmal gekracht. In der Frage zur geplanten Verfassungsänderung in puncto Familie hat der linke Flügel die Oberhand gewonnen und beschlossen, die Fraktion gegen die Änderung abstimmen zu lassen. Nicuşor Dan ist da entgegengesetzter Auffassung, zog daraus die Konsequenzen und nahm folglich seinen Hut. Er schloss allerdings nicht aus, in die USR wieder einzutreten, wenn sich die mehrheitliche Position in dieser Frage wieder ändere.



    Man muss sich auch fragen, was für Menschen in dieser Koalition für Familie aktiv sind, die au‎ßer in dieser Frage auch regelmä‎ßig gegen die ohnehin kaum existente Sexualkunde im Unterricht Sturm läuft oder Aufmärsche gegen die Abtreibungsfreiheit organisiert. Sie allesamt als reaktionäre und homophobe religiöse Fanatiker zu bezeichnen, wie es die Gegner der Koalition in der Regel tun, würde über das Ziel hinausschie‎ßen und wäre genauso undemokratisch. Schlie‎ßlich kann man die Ehe für alle auch aus einer rein konservativen Grundeinstellung oder aus religiöser Überzeugung oder aufgrund einer anderen Weltanschauung ablehnen, ohne zwangsläufig homophob oder in irgend einer Hinsicht fanatisch zu sein. Doch wenn man sich die Wortmeldungen der Sympathisanten dieser Koalition in den sozialen Netzwerken anschaut, kommt vieles tatsächlich aus der ganz rechten Ecke. Als am Freitag der Deutsche Bundestag die Ehe für alle beschloss, wurde eine entsprechende Pressemeldung auf der Facebook-Seite der Koalition für die Familie gepostet. Was man da für Kommentare wenige Minuten später lesen konnte, ist so ziemlich das, was man von Rechtsextremen immer zu hören bekommt: Hitler dreht sich im Grab um“, schreibt ein Facebook-User, Deutschland schafft sich selbst ab, das künftige deutsche Volk wird aus Arabern bestehen“, behauptet ein anderer und schlie‎ßlich Rumänien sollte dieses satanisch-atheistisch-sodomitisch-freimaurerische Europa schleunigst verlassen!“, fordert ein weiterer. Doch auch die Gegner der Koalition sind nicht unbedingt Menschen mit vornehmen Manieren. Was ist das denn für ein Gott, den ihr da anbetet“, schreibt z.B. jemand, der erlaubt hat, dass die Menschen sich durch Inzest vermehren?“ — und verletzt damit sicherlich die Gefühle religiöser Menschen. Ich halte Vulgäratheismus für genauso geschmack- und hirnlos wie die Frömmelei. Und über sensible Fragen, die das intime Leben der Menschen berühren, sollten man ohnehin nur mit dem Gewissen und differenziert urteilen, nicht aus dem Bauchgefühl heraus, finde ich.



    Die Diskussion über die Öffnung der Ehe wird ganz bestimmt auch auf Rumänien überschwappen, vielleicht sogar früher als erwartet. Und wie die Vorzeichen so stehen, wird sie ganz hässlich und gehässig ausgetragen werden. Auch in Deutschland war die Debatte nicht ganz unemotional, doch zumindest blieb alles in den Grenzen eines zivilisierten Dialogs. Ich befürchte, das wird in Rumänien nicht möglich sein.




    Heute habe ich reichlich überzogen, liebe Freunde. Ich hoffe, ich habe es geschafft, das Dickicht der rumänischen Politik für Frau Hansen und alle anderen interessierten Hörer etwas zu lichten. Die Postliste gibt es nächsten Sonntag für die vergangene und kommende Woche, da ohnehin nur wenige E-Mails eingetroffen sind. Im letzten, etwas kürzeren Funkbriefkasten vor der Sommerpause werde ich u.a. eine kleine Sensation aus unserem Audioarchiv bringen. Günter Grass war 1969 kurz in Rumänien und sprach u.a. auf einer Literaturtagung. Ein damaliger Mitarbeiter unserer Redaktion war dabei und lie‎ß das Tonbandgerät laufen. Worum es dabei ging, das erfahren Sie nächsten Sonntag.




    Audiobeitrag hören:




  • Nachrichten 25.06.2017

    Nachrichten 25.06.2017

    Die parlamentarischen Parteien haben am Sonntag ihre Vorbereitungen auf die für Montag angesetzten Beratungen mit Präsident Klaus Iohannis über die Bildung einer neuen Regierung abgeschlossen. Indes sind nach Medienberichten mehrere Führungsmitglieder der Parteien zu Verhandlungen über die Konsolidierung der Mehrheit im Parlament zusammengekommen. Die sozialdemokratische Koalitionsregierung unter Ministerpräsident Sorin Grindeanu war über ein Misstrauensvotum der eigenen Parlamentsmehrheit gestürzt worden. Die sozialdemokratische PSD und ihr Juniorpartner ALDE hatten dem Kabinett die Unterstützung entzogen. Aufgrund ihrer Mehrheit im Parlament wollen die beiden Parteien erneut einen Ministerpräsidenten aus ihren Reihen vorschlagen. Die bürgerliche Opposition schließt eine Zusammenarbeit mit der PSD aus, während der Ungarnverband sich noch nicht festlegen wollte.



    Die zukünftige Regierung müsse sich für ein Abkommen über den Umzug der Europäischen Arzneimittel-Agentur nach Rumänien anstrengen, glaubt Präsident Iohannis. Um den Sitz der Agentur, die sich derzeit in London befindet, buhlen derzeit Schweden, Frankreich, Dänemark, Ungarn und Bulgarien. Diese Staaten hätten vor dem Hintergrund des Brexits bereits konkrete Angebote gemacht, so der Staatschef nach Ende des EU-Gipfels in Brüssel. Auch müsse sich die zukünftige Exekutive mit der Wiederbelebung der Verteidigungsindustrie beschäftigen, der durch den neuen EU-Verteidigungsfonds neue Fördermittel zur Verfügung stünden. Präsident Iohannis forderte beim Europäischen Rat, dass die neuen Instrumente für die interne Sicherheit in der Staatengemeinschaft einheitlich zur Anwendung kommen. Dabei sollte nicht zwischen Schengen-Staaten und Nicht-Schengen-Staaten, die die Schengener Kriterien in einem großen Ausmaß erfüllten, unterschieden werden. Der Schengener-Raum stand auch im Mittelpunkt der bilateralen Gespräche zwischen Iohannis und seinem französischen Kollegen Emmanuel Macron. Macron zeigte sich offen gegenüber den Perspektiven des Beitritts Rumäniens zum grenzkontrollfreien Raum. Allerdings werde Rumänien in diesem Bereich keine erheblichen Fortschritte vor den Wahlen in Deutschland und einer Regierungsbildung in den Niederlanden erzielen, sagte Iohannis noch. Auf die Situation der rumänischen Staatsbürger in Großbritannien nach dem Brexit angesprochen, bezeichnete Iohannis die Äußerungen der britischen Premierministerin Theresa May als vielversprechend. Dennoch müsse man abwarten, bis die Vorschläge in schriftlicher Form festgelegt würden, so der Präsident.



    Im nordwest-rumänischen Campia Turzii ist eine Militärübung der rumänischen und amerikanischen Luftstreitkräfte angelaufen. Daran beteiligen sich rund 200 rumänische Piloten und technische Assistenten sowie 300 US-Militärs. Die rumänische Seite nimmt mit Kampfflugzeugen vom Typ MiG-21 LanceR und Hubschraubern vom Typ IAR-330 Puma an der Übung teil, während die US-Lufstreitkräfte F-15-Flieger und die entsprechende Bedienungstechnik einsetzen. Die Übung soll bis Ende August dauern und den rumänischen Streitkräften die Möglichkeit einer technisch-taktischen Übung nach NATO-Standardverfahren bieten.



    SPORT: Rumäniens Rugby-Herren haben im letzten Testspiel im Juni die brasilianische Auswahl in Bukarest mit 56:5 bezwungen. Die beiden Nationalmannschaften waren sich bislang noch nie begegnet. Rumänien ist im internationalen Vergleich zweitklassig und nimmt regelmäßig an Weltmeisterschaften teil, während der brasilianische Rugby-Sport noch am Anfang steht. Vor der Partie gegen Brasilien hatten die rumänischen Spieler eine Tournee in Asien und Nordamerika bestritten. Dabei setzten sie sich mit 25:9 gegen Kanada durch und unterlagen Japan mit 21:33.

  • Nachrichten 24.06.2017

    Nachrichten 24.06.2017

    Die parlamentarischen Parteien bereiten am Wochenende die Strategie für die für Montag angesetzten Beratungen mit Präsident Klaus Iohannis über die Bildung einer neuen Regierung vor. Die sozialdemokratische Koalitionsregierung unter Ministerpräsident Sorin Grindeanu war über ein Misstrauensvotum der eigenen Parlamentsmehrheit gestürzt worden. Die sozialdemokratische PSD und ihr Juniorpartner ALDE hatten dem Kabinett die Unterstützung entzogen. Aufgrund ihrer Mehrheit im Parlament wollen die beiden Parteien erneut einen Ministerpräsidenten aus ihren Reihen vorschlagen. Die bürgerliche Opposition schließt eine Zusammenarbeit mit der PSD aus, während der Ungarnverband sich noch nicht festlegen wollte.



    Die zukünftige Regierung müsse sich für ein Abkommen über den Umzug der Europäischen Arzneimittel-Agentur nach Rumänien anstrengen, glaubt Präsident Iohannis. Um den Sitz der Agentur, die sich derzeit in London befindet, buhlen derzeit Schweden, Frankreich, Dänemark, Ungarn und Bulgarien. Diese Staaten hätten vor dem Hintergrund des Brexits bereits konkrete Angebote gemacht, so der Staatschef nach Ende des EU-Gipfels in Brüssel. Auch müsse sich die zukünftige Exekutive mit der Wiederbelebung der Verteidigungsindustrie beschäftigen, der durch den neuen EU-Verteidigungsfonds neue Fördermittel zur Verfügung stünden. Präsident Iohannis forderte beim Europäischen Rat, dass die neuen Instrumente für die interne Sicherheit in der Staatengemeinschaft einheitlich zur Anwendung kommen. Dabei sollte nicht zwischen Schengen-Staaten und Nicht-Schengen-Staaten, die die Schengener Kriterien in einem großen Ausmaß erfüllten, unterschieden werden. Der Schengener-Raum stand auch im Mittelpunkt der bilateralen Gespräche zwischen Iohannis und seinem französischen Kollegen Emmanuel Macron. Macron zeigte sich offen gegenüber den Perspektiven des Beitritts Rumäniens zum grenzkontrollfreien Raum. Allerdings werde Rumänien in diesem Bereich keine erheblichen Fortschritte vor den Wahlen in Deutschland und einer Regierungsbildung in den Niederlanden erzielen, sagte Iohannis noch. Auf die Situation der rumänischen Staatsbürger in Großbritannien nach dem Brexit angesprochen, bezeichnete Iohannis die Äußerungen der britischen Premierministerin Theresa May als vielversprechend. Dennoch müsse man abwarten, bis die Vorschläge in schriftlicher Form festgelegt würden, so der Präsident.



    Die heftigen Regenfälle und der starke Wind am Freitag und in der Nacht zum Samstag haben die Stromversorgung in fast 130 Ortschaften in Nordrumänien lahmgelegt, meldete das Innenministerium. Der Sturm riss mehrere Hausdächer sowie Strommasten, Netzkabel und Bäume mit. Derweil bleibt der Straßen-, Schienen- und Flussverkehr unbeeinträchtigt. Weder im Flugverkehr noch an den Grenzübergängen wurden Ausfälle gemeldet.

  • Regierungskrise: Koalition in peinlicher Schieflage

    Regierungskrise: Koalition in peinlicher Schieflage

    Das hat es im postkommunistischen Rumänien noch nicht gegeben — die Mehrheitskoalition stellt im Parlament einen Misstrauensantrag gegen die eigene Regierung. Sozialdemokraten und Liberaldemokraten hatten am Mittwoch dem Premierminister Sorin Grindeanu von der PSD das Vertrauen entzogen und ihn aufgefordert, sein Amt niederzulegen. Grindeanu weigerte sich und wurde aus der Partei ausgeschlossen. Selbst dass alle seine Minister zurücktraten, lie‎ß den vor kaum sechs Monaten eingesetzten Premierminister kalt. Grindeanu will partout nicht seinen Hut nehmen — was PSD-Chef Liviu Dragnea naturgemä‎ß mächtig ärgert:



    Wir haben uns eine solche Situation, die ich bedauere, nicht gewünscht — aber wir sind nun einmal in dieser Lage. In den letzten zwei Monaten haben sich die meisten Minister bei mir und bei der Partei beschwert, dass sie mit dem Premierminister nicht mehr richtig kommunizieren können, dass es administrative Engpässe gibt, die der Premierminister beseitigen müsste“, klagte PSD-Chef Dragnea. Sein Koalitions-Kollege von der Allianz der Liberalen und Demokraten, Călin Popescu-Tăriceanu, lie‎ß auch kein gutes Haar am Regierungschef: Wir wohnen der verwerflichen Zirkusveranstaltung eines Menschen bei, der Premierminister nicht durch eigene Verdienste geworden ist, sondern weil ihn die Mehrheitskoalition im Parlament dazu berufen hat. Normalerweise müsste er verstehen, dass es politisch für ihn einen einzigen Ausweg gibt: den Rücktritt.“



    Die Koalition behauptet, dass die Regierung wechseln muss, weil es bei der Umsetzung des Regierungsprogramms Verspätungen gebe. Der Premierminister weist den Vorwurf von sich — er habe einfach zu wenig Zeit gehabt, um gro‎ßangelegte Reformen umzusetzen. Grindeanu wandte auch ein, dass ein parteiinterner Bericht zur Bewertung seiner Arbeit nicht objektiv sei.



    Die Opposition kann mittlerweile nur abwarten. Die kommissarische Präsidentin der National-Liberalen Partei, Raluca Turcan, mahnte eine schnelle Lösung an: Wir verlangen mit aller Bestimmtheit, dass die Regierungskoalition von PSD-ALDE diesen Krieg beilegt, der die ökonomische Stabilität, die internationale Berechenbarkeit des Landes gefährdet und dem Bürger, der Ma‎ßnahmen im öffentlichen Interesse erwartet, nur schadet.“ Die Union Rettet Rumänien (USR) verlangt vorgezogene Wahlen als einzige anständige Lösung, die Partei der Volksbewegung (PMP) will, dass die PSD offen zugibt, ihre Wahlversprechen nicht einhalten zu können.



    Präsident Klaus Iohannis rief die Mehrheitskoalition auf, ihre Probleme zu lösen.

  • Grünes Licht für den Gesetzentwurf zur einheitlichen Entlohnung

    Grünes Licht für den Gesetzentwurf zur einheitlichen Entlohnung

    Nach heftigen Debatten hat das umstrittene Regierungsvorhaben über die einhetiliche Entlohung grünes Licht bekommen. Das Projekt war vor kurzem in Frage gestellt worden, nachdem die Arbeitsministerin Lia Olguţa Vasilescu bekanntgab, dass die Gehaltserhöhungen im öffentlichen Sektor nicht mehr als geplant, am 1. Juli, in Kraft treten werden, sondern erst am 1. Januar 2018. Das Parlament habe mehrere Änderungen zum Gesetz angenommen, die den Betrag von 32 Milliarden Lei (umgerechnet 7 Milliarden Euro) überschritten hätten. Auf diesen Betrag würden sich die Auswirkungen des Gesetzes auf den Haushalt für den Zeitraum 2017-2022 beziffern, erläutert die Arbeitsministerin.



    Die Gehälter im Bildungs-und Gesundheitswesen sollen dennoch erst März 2018 erhöht werden. Nur somit könne das Gesetz aus dem Staatshaushalt finanziert werden, sagte seinerseits der Finanzminister Viorel Ştefan. Weitere Änderungen zum besagten Gesetz seien ebenfalls vorgenommen worden. Dazu die Gewährung einer 10% Stresszulage für Lehrkräfte und eines 55% Zuschusses für Beamte, die europäische Fonds verwalten. Die 40% Zulage für das Personal im Verteidigungssektor und für Beamte, die einen besonderen Status genießen sowie für Beamte, die nach den Programmstunden einsatzbereit sein müssen, soll hingegen abgeschafft werden. Selbst wenn sie ebenfalls zur Kategorie Staatsbedienstete angehören, sollen die Gehälter der Abgeordneten und Senatoren ab dem 1. Juli dieses Jahres erhöht werden.



    Arbeitsministerin Vasilescu erläutert: “Die Gehälter im Bildungs-und Gesundheitswegen wurden dieses Jahr um 15% erhöht, im Sektor der öffentlichen Verwaltung sind sie um 20% gestiegen, vorigen Monat gab es Lohnerhöhungen um 20% bei Umweltagenturen und beim Biosphärenreservat Donaudelta. Ab dem 1. Juli werden die Gehälter der Abgeordneten und Senatoren sowie der Beamten der lokalen Verwaltung erhöhnt. Die letzten Kategorien stehen auf derselben Gehaltstabelle und das kann nicht geändert werden.“



    Der Vorschlag der Arbeitsministerin, einige Gehaltserhöhungen ab dem ersten Juli und andere ab 2018 in Kraft zu setzen, löste heftige Kritik seitens der Gewerkschaften aus. Der Gewerkschaftsbund Cartel Alfa fordert, dass alle Lohnerhöhungen im öffentlichen Sektor gleichzeitig umgesetzt werden. Die national-liberale Partei PNL aus der Opposition kritisiert ebenfalls das Regierungsvorhaben und wirft der sozial-liberalen Regierung Inkohärenz vor. Laut der sich ebenfalls in der Opposition befindenden Union Rettet Rumänien USR, sei dieses Projekt unbefriedigend für alle Kategorien von Staatsbediensteten. Die Union forderte im Anschluß den Rücktritt der Arbeitsministerin Lia Olguţa Vasilescu.


  • La semaine du 29 mai au 3 juin 2017

    La semaine du 29 mai au 3 juin 2017

    Mini-vacances des Roumains pour le 1er juin et la Pentecôte



    La Journée Internationale de l’Enfance a ouvert une série de 5 jours libres, des mini-vacances dont les Roumains bénéficient entre le 1er et le 5 juin, soit le lundi de Pentecôte. 2017 est la première année où le 1er juin est jour férié, suite à la décision adoptée au Parlement en 2016, pour que les parents puissent passer ce jour-là avec leurs enfants. Des concours et des spectacles en tout genre, des concerts et des expositions ont été organisés à Bucarest et en province. Dans la capitale roumaine, les enfants ont bénéficié d’un accès gratuit au zoo, ils ont pu visiter le Musée national Cotroceni et les locaux de la Télévision roumaine. L’orchestre national de la Radio a offert aux enfants, aux parents et aux grands-parents présents dans la salle de concerts de Radio Roumanie, un concert-surprise lors duquel les petits spectateurs ont pu rejoindre les musiciens sur scène. A Sibiu, les acteurs du Petit Théâtre ont présenté des spectacles pour les enfants et une Foire nationale des jouets a été ouverte à Dumbrava Sibiului, à proximité de la ville. 50 mille touristes sont attendus sur la côte roumaine de la Mer Noire pour ces mini-vacances. Plusieurs autres milliers les passeront dans les stations situées dans la Vallée de la Prahova, où ils peuvent faire des randonnées en montagne, des excursions en 4×4, des promenades en Quad ou bien aller pique-niquer et se détendre dans la nature. Plus de 25.000 policiers et gendarmes assureront la sécurité dans tous les endroits publics, un millier d’événements étant prévus ces jours-ci dans tout le pays. La police aux frontières a elle aussi renforcé ses effectifs, en raison du grand nombre de touristes qui passeront ces jours fériées à l’étranger, notamment en Hongrie et en Bulgarie, voisines de la Roumanie.




    Démission-surprise du leader du l’Union Sauvez la Roumanie, troisième force politique parlementaire en Roumanie



    Après la démission inattendue, jeudi, de son fondateur Nicusor Dan, l’Union Sauvez la Roumanie, d’opposition, troisième force politique au Parlement roumain, a convoqué un nouveau congrès pour élire son président, moins d’un mois après un rassemblement similaire. L’intérim est assuré par le chef de l’antenne de Cluj de ce parti, Elek Levente, vice-président de l’USR ayant décroché le plus de suffrages au congrès du mois dernier. Le geste de Nicusor Dan survient après que la direction collégiale de la formation a décidé de ne pas appuyer une modification de la Constitution. Début mai, la Chambre des députés avait adopté un projet de révision de la loi fondamentale qui change la définition de la famille dans le sens d’une union librement consentie entre un homme et une femme, et non entre deux époux, comme c’est le cas actuellement. Cette modification avait été sollicitée par une initiative citoyenne signée par quelque 3 millions de personnes et soutenue par la plupart des églises chrétiennes du pays. Les initiateurs du projet souhaitent ainsi empêcher une interprétation de la Constitution qui ouvre la voie au mariage homosexuel. Si cette proposition est avalisée par le Sénat aussi, les Roumains seront consultés à ce sujet par un référendum qui doit être convoqué dans les 30 jours suivant l’adoption du projet. —



    Le projet de loi de la grille unique des salaires est examiné par les députés roumains



    La Commission « Travail-Emploi » de la Chambre des Députés de Bucarest s’est penchée cette semaine sur le projet de loi visant la grille unique des salaires dans le secteur public ; le projet devrait être débattu la semaine prochaine au plénum de la Chambre, qui aura le mot final à dire à ce sujet. Soutenu par les partis au pouvoir, c’est-à-dire le Parti social-démocrate et l’Alliance des libéraux et des démocrates, ainsi que par l’Union démocrate des Magyars de Roumanie, le projet de la grille unique des salaires est critiqué par l’opposition de droite, selon laquelle l’impact budgétaire et la source de financement des majorations salariales n’y sont pas indiqués. Entre temps, quelques centaines de syndicalistes de l’administration publique ont protesté à nouveau à Bucarest, mercredi, contre ce projet de loi. De l’avis des leaders syndicaux, si le niveau des salaires est établi uniquement par les élus locaux, qui ne sont pas compétents dans ce domaine, cela entraînera une politisation excessive de la fonction publique et une nouvelle vague de discriminations au sein de l’administration locale.




    La grève des contrôleurs du trafic aérien de Roumanie



    Le trafic aérien de Roumanie a été perturbé mardi par la grève générale des aiguilleurs du ciel, mécontents de l’absence d’une nouvelle convention collective de travail et du fait que la compagnie n’a plus fait d’embauches. Les syndicats affirment que dans le cas d’un nouvel échec des négociations avec la direction de l’Administration roumaine des services de trafic aérien, ROMATSA, ils n’hésiteront pas à continuer la grève. Le ministre roumain des Transports, Razvan Cuc, a rejeté les affirmations selon lesquelles la compagnie risquait de faire faillite et a annoncé la mise en page d’une nouvelle stratégie de développement de ROMATSA. A noter qu’environ 3000 avions transitent quotidiennement l’espace aérien roumain. Selon la loi, durant la protestation, les contrôleurs sont tenus d’assurer un tiers des vols. Rappelons aussi que le 12 mai dernier, ils avaient observé une grève d’avertissement de deux heures.




    L’héritier de la couronne britannique, le prince Charles, de nouveau en Roumanie



    Cette semaine, le prince héritier de la couronne britannique, Charles, était de nouveau en Roumanie pour une visite privée. Lundi, il s’est vu décerner le titre de Docteur Honoris Causa de l’Université Babeş-Bolyai de Cluj-Napoca. Cette distinction récompense ses efforts visant à préserver le patrimoine culturel, les traditions et la diversité naturelle du pays. Il a visité le village de Viscri (au centre du pays), inscrit au Patrimoine de l’UNESCO, où il a rencontré des experts forestiers et de petits fermiers. La Fondation du prince de Galles lancera un nouveau projet pour aider les fermiers des zones de montagne à développer leurs produits et à trouver de nouveaux marchés en Roumanie ou à l’étranger. L’héritier de la couronne britannique a également visité trois églises médiévales du comté de Braşov: Drăuşeni, Homorod et Mercheasa, construites vers l’an 1200 par la communauté des Saxons de Transylvanie. Le prince Charles voue un intérêt particulier à la Roumanie, qu’il a visitée à plusieurs reprises ces 20 dernières années.


  • Nachrichten 02.06.2017

    Nachrichten 02.06.2017

    Die opositionelle Union Rettet Rumänien (USR) wird einen neuen Wahlkongress abhalten. Gründer und Chef Nicuşor Dan war am Donnerstag ausgetreten, die Interims-Führung der Partei übernahm der Chef der Filiale Cluj Elek Levente, der beim Kongress im vergangenen Monat die meisten Stimmen hinter Nicuşor Dan erhalten hatte. Dan war ausgetreten, weil sich die USR eindeutig gegen ein Referendum zur Schwulenehe positionierte, er aber Neutralität wollte. Drei Millionen Rumänen hatten in einer Unterschriftenaktion die Abänderung der Verfassung und die Definierung der Ehe als Verbindung von Mann und Frau anstatt wie im Moment zwischen Ehepartnern gefordert.



    Der Klimawandel sei ein dringendes globales Problem und die globalen Ansätze des Pariser Abkommens seien nicht von der Hand zu weisen – das sagte am Freitag Medeea Marinescu, die rumänische Botschafterin für das Klimaabkommen. Die rumänische Greenpeacefiliale teilte ihrerseits mit, dass die Initiative der USA, sich aus dem Abkommen zurückzuziehen, zu verurteilen sei. US-Präsident Donald Trump begründete die Entscheidung mit negativen Konsequenzen des Abkommens für die amerikanische Wirtschaft.



    Der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis unternimmt einen Arbeitsbesuch in den Vereinigten Staaten. Am 9. Juni wird Präsident Iohannis mit US-Präsident Donald Trump zusammenkommen, meldete die Bukarester Präsidialverwaltung. Der Sprecher des Weißen Hauses, Sean Spicer, bestätigte offiziell das Treffen und sagte, Präsident Trump warte mit Interesse darauf, über die Vertiefung der Beziehungen zwischen den USA und Rumänien und über die Verstärkung der strategischen Partnerschaft der zwei Staaten zu diskutieren. In einem Facebook-Beitrag präzisierte Präsident Iohannis seinerseits, das Treffen mit Donald Trump werde das feste Engagement Rumäniens als vertrauenswürdiger Partner der Vereinigten Staaten bestätigen. Während seines USA-Besuches wird Präsident Iohannis Ehrengast beim Globalen Forum der einflussreichen Organisation American Jewish Committee; dabei wird Klaus Iohannis die Auszeichnung Light Unto the Nations erhalten. Diese höchste Auszeichnung des American Jewish Committee, wird an Staats- und Regierungschefs als Anerkennung für den wichtigen internationalen Beitrag zur Förderung des Friedens, der Sicherheit, der Demokratie und der menschlichen Werte verliehen. Im Rahmen seines USA-Besuches wird Klaus Iohannis auch mit Vertretern der rumänischen Gemeinden in den Vereinigten Staaten zusammentreffen.



    Nach Angaben der delegierte Europaministerin Rumäniens Ana Birchall führe das Land einen konstruktiven Dialog mit der Europäischen Kommission für eine gute Vorbereitung der EU-Ratspräsidentschaft in der ersten Hälfte von 2019 . Birchall diskutierte in Brüssel mit dem stellvertretenden Generalsekretär der Europäischen Kommission Jean-Eric Paquet und nannte die EU-Ratspräsidentschaft eine Priorität. Rumänien sei seit 10 Jahren EU-Mitglied und reif, eine große Herausforderung zu einer Chance zu machen, sagte die Ministerin.



    Die Moldau habe nach Angaben ihres prorussischen Präsidenten Igor Dodon andere Werte als die der westlichen Länder. Die ehemalige Sowjetrepublik kehre wieder zu einer strategischen Partnerschaft mit Russland zurück, sagte Dodon auf dem Wirtschaftsforum in Sankt Petersburg. Nach acht Jahren proeuropäischer und deutlich antirussischer Politik sei die Moldau dabei, nach den letzten Präsidialwahlen vom letzten Jahr die Situation zu korrigieren, so Dodon. Ein Beitritt stehe in der jetzigen Form der EU außer Frage; nach dem Referendum für den Austritt Großbritanniens seien die Vorteile einer Mitgliedschaft fragwürdig, sagte der moldauische Präsident.



    Rund 200 Spiel- und Kurzfilme stehen auf dem Programm des 16. Internationalen Filmfestivals Transilvania TIFF 2017 in Klausenburg. Rund 1200 ausländische und rumänische Gäste sollen anlässlich dieser wichtigsten rumänischen Filmfestspiele an Filmaufführungen, Konzerten, Werkstätten, Debatten und Premieren teilnehmen. Die rumänische Schauspielerin Tora Vasilescu wird beim Filmfest mit dem Exzellenzpreis ausgezeichnet. Ehrengast ist der französische Schauspieler Alain Delon, der zu diesem Anlass das erste Mal Rumänien besucht.


  • 02.06.2017 (mise à jour)

    02.06.2017 (mise à jour)

    USR — La troisième force politique du Parlement roumain, l’Union Sauvez la Roumanie, d’opposition, convoque un congrès pour élire un nouveau président, moins d’un mois après un rassemblement similaire. L’annonce intervient après la démission inattendue, jeudi, de son leader fondateur, Nicusor Dan. L’intérim est actuellement assuré par le chef de l’antenne de Cluj de ce parti, Elek Levente, vice-président de la formation ayant décroché le plus de suffrages lors du congrès du mois dernier.


    Le geste de Nicusor Dan survient après que la direction collégiale de la formation a décidé de ne pas appuyer la modification de la Constitution. Début mai, la Chambre des députés avait adopté un projet de révision de la loi fondamentale qui change la définition de la famille qui devrait se fonder sur l’union librement consentie entre un homme et une femme, et non entre deux époux comme actuellement. Cette modification avait été sollicitée par une initiative citoyenne signée par quelque 3 millions de personnes et appuyée par la plupart des églises chrétiennes du pays. Les initiateurs du projet souhaitent ainsi empêcher une interprétation de la Constitution qui ouvre la voie au mariage homosexuel. Si cette proposition est avalisée par le Sénat aussi, les Roumains seront consultés à ce sujet à l’occasion d’un référendum qui doit être convoqué dans les 30 jours suivant l’adoption du projet.



    Climat — Le chef de la diplomatie roumaine, Teodor Melescanu, a déposé au siège des NU, à New York, le document par lequel la Roumanie ratifie l’Accord universel de Paris sur le climat, a annoncé le ministère roumain des Affaires étrangères, dans un communiqué. La mise en œuvre des stratégies concertée visant le développement durable et les changements climatiques traduit ainsi en action les engagements de la Roumanie en tant que membre de l’UE et de l’ONU, a indiqué Teodor Melescanu devant le secrétaire général adjoint aux Affaires juridiques des Nations Unies, Miguel de Serpa Soares. Ce dernier a d’ailleurs estimé que le geste de la Roumanie était important dans l’actuelle conjoncture, à savoir après que le président américain Donald Trump eut annoncé le retrait de son pays de cet accord, un geste condamné à l’unisson par la communauté internationale.


    Le diplomate roumain se trouve à New York pour promouvoir la candidature de la Roumanie à un nouveau mandat de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU (pour 2020-2021). Dans l’intervalle qui s’est écoulé depuis son adhésion aux Nations Unies, en 1955, la Roumanie a détenu quatre mandats de membre non permanent du Conseil de Sécurité.


    Les changements climatiques constituent une urgence au niveau mondial, et les solutions globales proposées par l’Accord de Paris ne doivent pas être refusées — a annoncé vendredi Medeea Marinescu, ambassadrice de la Roumanie pour l’Accord. A son tour, Greenpeace International considère que le retrait des Etats Unis de l’Accord sur les changements climatiques transformera l’Amérique d’un leader climatique au niveau global en une société isolée. La filiale roumaine de Greenpeace affirme aussi que le geste des Etats Unis, un des plus grands pollueurs au niveau mondial, est à condamner. L’Accord de Paris, signé par 195 Etats, se propose de lutter contre les changements climatiques par la réduction des émissions de gaz à effet de serre et de limiter la hausse de la température globale.



    UE — Nous menons un dialogue constructif avec la Commission européenne pour préparer au mieux la présidence roumaine du Conseil de l’UE, en 2019, a affirmé la ministre roumaine déléguée aux Affaires européennes, Ana Birchall. Elle s’exprimait à l’issue d’une entrevue à Bruxelles avec le secrétaire général adjoint de l’exécutif communautaire, Jean-Eric Paquet. « La présidence du Conseil est une de nos priorités absolues. Nous sommes membres de l’UE depuis 10 ans et je pense que nous avons la maturité de transformer ce grand défi en une opportunité », a estimé Anna Birchall. Bucarest devrait se trouver à la tête du Conseil de l’UE au premier semestre de 2019.



    TIFF — Ouverture à Cluj, dans le centre-ouest de la Roumanie, du 16e Festival international du film « Transilvania », TIFF, le plus important rendez-vous cinématographique du pays. Plus de 1200 représentants roumains et internationaux de cette industrie doivent participer aux projections mais aussi aux concerts, aux ateliers, aux débats et aux lancements programmés durant ce festival. L’invité d’honneur de cette édition est la star française Alain Delon qui se rend, à cette occasion pour la première fois en Roumanie. Il se verra attribuer un prix d’excellence pour l’ensemble de sa carrière.



    Exercice – Un contingent formé de 50 militaires norvégiens participe, à partir de ce vendredi, à l’exercice multinational Noble Jump 2017 qui a lieu au polygone de Cincu, au département de Braşov (centre). Jeudi, huit convois militaires de l’OTAN sont arrivés en Roumanie, pour participer aux manœuvres. Ils sont composés d’environ 300 militaires et plus de 150 véhicules de combat et transporteurs de troupes. Rappelons que l’exercice Noble Jump 2017 a lieu jusqu’au 16 juin en Roumanie, en Grèce et en Bulgarie. Y prennent part 4000 militaires roumains de 11 Etats de l’OTAN et 500 moyens techniques.





    Transgaz — La compagnie d’Etat Transgaz communiquera les informations nécessaires à l’enquête de la Commission européenne sur la société — a annoncé vendredi la compagnie dans un communiqué. Jeudi, la Commission européenne a ouvert une procédure officielle par laquelle elle enquêtera si Transgaz a empêché l’exportation de gaz de Roumanie vers d’autres Etats communautaires, transgressant ainsi les normes communautaires. La Roumanie est le 3e grand producteur de gaz de l’Union et elle dispose de réserves importantes. Transgaz est l’unique opérateur du système de transport de gaz du pays.




    Réserves — Les réserves en devises de la Banque nationale de la Roumanie ont baissé en mai dernier de 477 millions d’euros par rapport au mois d’avril, jusqu’à 35,5 milliards d’euros, indiquent les données publiées par la Banque centrale roumaine. En ce qui concerne les réserves d’or, elles sont restées au même niveau, 104 tonnes, le mois dernier. Leur valeur actuelle est de près de 3,8 milliards d’euros. La Banque centrale précise encore qu’entre le 24 mai et le 23 juin courant, la décision de réduire les réserves minimum obligatoires pour les passifs en devises sera appliquée ;ils passeront de 10 à 8%.




    Tennis — La meilleure joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, n° 4 mondiale, a dépassé jeudi l’Allemande Tatjana Maria (104e WTA), (6-4, 6-3) dans la deuxième manche du tournoi de Roland Garros. De ce fait, la Roumaine doit affronter samedi, dans la troisième manche, la Russe Daria Kasatkina (28e WTA). Jeudi encore, la Roumaine Sorana Cârstea (64e WTA) s’est inclinée devant Carla Suarez Navarro d’Espagne (23e WTA), sur le score 5-7, 4-6. Les autres joueuses roumaines du tableau principal, Irina Begu, Monica Niculescu, Ana Bogdan et Patricia Tig, avaient été éliminées dans la première manche. A l’épreuve de double messieurs, dans les huitièmes de finale, la paire formée par le Roumain Horia Tecau et le Néerlandais Jean-Julien Rojer, tête de série n° 11, attend d’apprendre les noms du couple gagnant du match opposant Malek Jaziri (Tunisie)/Andreas Seppi (Italie) et Ivan Dodig (Croatie)/Marcel Granollers (Espagne).








  • 02.06.2017

    02.06.2017

    Climat — Le chef de la diplomatie roumaine, Teodor Melescanu, a déposé au siège des NU, à New York, le document par lequel la Roumanie ratifier l’Accord universel de Paris sur le climat, a annoncé le ministère roumain des Affaires étrangères, dans un communiqué. La mise en œuvre des stratégies concertée visant le développement durable et les changements climatiques traduit ainsi en action les engagements de la Roumanie en tant que membre de l’UE et de l’ONU, a indiqué Teodor Melescanu devant le secrétaire général adjoint aux Affaires juridiques des Nations Unies, Miguel de Serpa Soares. Ce dernier a d’ailleurs estimé que le geste de la Roumanie était important dans l’actuelle conjoncture, à savoir après que le président américain Donald Trump eut annoncé le retrait de son pays de cet accord, un geste condamné à l’unisson par la communauté internationale.



    Le diplomate roumain se trouve à New York pour promouvoir la candidature de la Roumanie à un nouveau mandat de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU (pour 2020-2021). Dans l’intervalle qui s’est écoulé depuis son adhésion aux Nations Unies, en 1955, la Roumanie a détenu quatre mandats de membre non permanent du Conseil de Sécurité.



    USR — La troisième force politique du Parlement roumain, l’Union Sauvez la Roumanie, d’opposition, convoque un nouveau congrès pour élire un nouveau président, moins d’un mois après un rassemblement similaire. L’annonce intervient après la démission inattendue, jeudi, de son leader fondateur Nicusor Dan. L’intérim est actuellement assuré par le chef de l’antenne de Cluj de ce parti, Elek Levente, vice-président de la formation ayant décroché le plus de suffrages lors du congrès du mois dernier.



    Le geste de Nicusor Dan survient après que la direction collégiale de la formation a décidé de ne pas appuyer la modification de la Constitution. Début mai, la Chambre des députés avait adopté un projet de révision de la loi fondamentale qui change la définition de la famille qui devrait se fonder sur l’union librement consentie entre un homme et une femme, et non entre deux époux comme actuellement. Cette modification avait été sollicitée par une initiative citoyenne signée par quelque 3 millions de personnes et appuyée par la plupart des églises chrétiennes du pays. Les initiateurs du projet souhaitent ainsi empêcher une interprétation de la Constitution qui ouvre la voie au mariage homosexuel. Si cette proposition est avalisée par le Sénat aussi, les Roumains seront consultés à ce sujet à l’occasion d’un référendum qui doit être convoqué dans les 30 jours suivant l’adoption du projet.



    UE — Nous menons un dialogue constructif avec la Commission européenne pour préparer le mieux la présidence roumaine du Conseil de l’UE, en 2019, a affirmé la ministre roumaine déléguée aux Affaires européennes, Ana Birchall. Elle s’exprimait à l’issue d’une entrevue à Bruxelles avec le secrétaire général adjoint de l’exécutif communautaire, Jean-Eric Paquet. « La présidence du Conseil est une de nos priorités absolues. Nous sommes membres de l’UE depuis 10 ans et je pense que nous avons la maturité de transformer ce grand défi en une opportunité », a estimé Anna Birchal. Bucarest devrait se trouver à la tête du Conseil de l’UE au premier semestre de 2019.



    TIFF — Ouverture à Cluj, dans le centre-ouest de la Roumanie, du 16e Festival international du film « Transilvania », TIFF, le plus important rendez-vous cinématographique du pays. Plus de 1200 représentants roumains et internationaux de cette industrie doivent participer aux projections mais aussi aux concerts, aux ateliers, aux débats et aux lancements programmés durant ce festival. L’invité d’honneur de cette édition est la star française Alain Delon qui se rend, à cette occasion pour la première fois en Roumanie. Il se verra attribuer un prix d’excellence pour l’ensemble de sa carrière.



    Tennis — La meilleure joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, n° 4 mondiale, a dépassé jeudi l’Allemande Tatjana Maria (104 WTA), (6-4, 6-3) dans la deuxième manche du tournoi de Roland Garros. De ce fait, la Roumaine doit affronter samedi, dans la troisième manche, la Russe Daria Kasatkina (28 WTA). Jeudi encore, la Roumaine Sorana Cârstea (64 WTA) s’est inclinée devant Carla Suarez Navarro d’Espagne (23 WTA), sur le score 5-7, 4-6. Les autres joueuses roumaines du tableau principal, Irina Begu, Monica Niculescu, Ana Bogdan et Patricia Tig, avaient été éliminées dans la première manche. A l’épreuve de double messieurs, dans les huitièmes de finale, la paire formée par le Roumain Horia Tecau et le Néerlandais Jean-Julien Rojer, tête de série n° 11, attend d’apprendre les noms du couple gagnant du match opposant Malek Jaziri (Tunisie)/Andreas Seppi (Italie) et Ivan Dodig (Croatie)/Marcel Granollers (Espagne).



    Météo — Ciel dégagé et chaleur estivale en Roumanie. Les nuages sont au rendez-vous juste sur le sud-ouest et les régions montagneuses, où il pleut à verse par endroit, quelques tendances orageuses étant signalées. Les maximales de l’air iront de 22 à 30 degrés, avec 25 degrés à midi, à Bucarest.

  • June 2, 2017

    June 2, 2017

    DOCUMENT At the UN headquarters in New York, Romania’s Foreign Minister, Teodor Melescanu has submited the instrument of ratification of the Paris Accord on climate change, a communique issued by the Romanian diplomacy has announced. According to Melescanu, coordinated implementing the strategies on sustinable development and climate change is in line with Romania’s commitment as an EU and NATO member. In turn, Miguel de Serpa Soares, the United Nations Under-Secretary-General for Legal Affairs, has said the ratification by Romania of the Paris agreement over climate change contributes to maintaining the subject on the international agenda. Minister Melescanu is in New York to promote Romania’s candidacy as a non-permanent member in the UN Security Council for a two-year mandate over 2020 and 2021. Since its UN accession in 1955, Romania has had four such mandates.



    DECISION A decision by US president Donald Trump to withdraw the United States from the Paris Accord on climate change has attracted international criticism. A spokesperson for the UN Secretary General, Antonio Guterres, has called it a major disappointment for global efforts to reduce greenhouse gas emissions and promote international security. French president Emmanuel Macron says that he respects Trump’s decision but describes it as a mistake both for the US and the world. The White House leader has invoked the level of contributions and the effects on the economy, adding the accord has negative consequences for the US industry and its workers disadvantaging it against China, India or other emerging powers. The Paris Accord, signed by 195 states, is intended to combat climate changes by cutting greenhouse gas emissions and keep the increase in global average temperature to well below 2°C above pre-industrial levels.



    CONGRESS The opposition Save Romania Union (USR), the third largest political group in Romania’s Parliament, has announced its intention to stage a congress for electing a new leader, upon the unexpected resignation on Thursday of its founding president Nicusor Dan. The USR vice-president Elek Levente, the head of the USR branch in Cluj northwestern Romania, has become the group’s interim president. Nicusor Dan stepped down after the USR National Bureau had decided to opose new Constitution amendments over redefining the family as the union between a man and a woman. A project over revising the fundamental law has already been passed by the Chamber of Deputies and if passed by the Senate the Romanians would be called to cast their vote in a referendum. The aforementioned Constitution amendments have been requested by three million Romanians.



    TIFF Over 200 feature films and short reels will be screened as of today in Cluj Napoca, northwestern Romania, in the 16th edition of the Transylvania International Film Festival — TIFF 2017. Over 12 hundred Romanian and foreign invitees are attending the screening, concerts, workshops, debates and launches during the country’s most important cinema event, which has Radio Romania as its partner. Romanian actress Tora Vasilescu is to be awarded a prize for excellence during the festival, which is also to be attended by French film star Alain Delon, at his first visit to Romania.



    TALKS We are having a constructive dialogue at European Commission level for a better preparation of Romania’s taking over the EU Council Presidency in 2019, the Romanian Minister for European Affairs, Ana Birchall says. The Romanian minister has held talks on the issue with Jean-Eric Paquet, deputy Secretary General of the European Commission. ‘Assuring the EU presidency represents one of our priorities. We have been EU members for 10 years now and I believe we have the maturity of turning a big challenge into an opportunity. Talks with European Commission officials are vital for ensuring a successful mandate at the helm of the EU Council in the first half of 2019’, Minister Birchall also says.



    TENNIS The world’s fourth tennis player Simona Halep of Romania will be playing Russian Daria Kasatkina, no. 28 WTA, in the third round of the Grand Slam tournament of Roland Garros. Halep clinched a two-set win against Tatjana Maria of Germany in the second round. Another Romanian in the competition, Sorana Cirstea has conceded defeat to Carla Suarez Navarro of Spain. In the doubles, Romanian-Dutch pair made up of Horia Tecau and Jean Julien Rojer will be playing in the round of 16 the winners of the game pitching Tunisian-Italian pair Jaziri/Seppi against Croatian-Spanish pair Dodig/Granollers.




  • Die Woche 22.05. – 26.05.2017 im Überblick

    Die Woche 22.05. – 26.05.2017 im Überblick

    Rumänien zufrieden mit NATO-Gipfel in Brüssel



    Rumänien hat beim NATO-Gipfel seine Ziele erreicht, erklärte der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis nach dem Treffen in Brüssel.



    Ich bin überzeugt, dass dieses Treffen eine solide Verteidigung Rumäniens und eine Rolle unseres Landes betreffend die Sicherheit unserer Region im euroatlantischen Raum sichert. Unserer Meinung nach war der Gipfel in Brüssel ein erfolgreiches Treffen.



    Iohannis hob ferner hervor, dass Rumänien sich nach wie vor eine wichtige, mächtige und einheitliche militärische Allianz wünsche. Der Präsident begrüßte das Engagement der USA hinsichtlich der einheitlichen Verteidigung und der Konsolidierung der Ostflanke.



    Ich stelle mit großer Freude fest, dass Idee bereits auf allgemeine Zustimmung stößt und dass man an einem Konzept arbeitet, das zu einem ausgewogenen Ansatz an der Ostflanke führen wird. Sicher ist es für uns sehr wichtig, dass das Schwarze Meer und der Schwarzmeerraum im Mittelpunkt der Anstrenungen bleiben und gewiss muss auch Russland angesprochen werden, wenn es um die Ostflanke geht. Hier sind die Dinge sehr klar: Wir wünschen uns einen einheitlichen Ansatz, weder gegen Russland noch für Russland, sondern ganz einfach ein einheitlicher Ansatz wenn es um Russland geht.



    Iohannis unterstrich nach dem Gipfel ferner die Bedeutung einer kräftigen transatlantischen Beziehung und erklärte, die Alliierten wüssten die Zuteilung in von 2% der Wirtschaftsleistung für Militärausgaben in Rumänien zu schätzen. Beim Nato-Gipfel in Brüssel beteiligten sich zum ersten Mal die neuen Anführer der drei Hauptmächte der Allianz. US-Präsident Donald Trump, Frankreichs Staatschef Emmanuel Macron und die britische Premierministerin Theresa May betonten erneut, dass ihre Länder als Nato-Gründerstaaten und erstrangige militärische Mächte den Engagements treu bleiben werden. Die NATO müsse sich auf den Kampf gegen den Terrorismus, die Auswanderung und die russischen Drohungen konzentrieren, so der Tenor.


    Am Rande des NATO-Gipfels in Brüssel diskutierte Rumäniens Präsident Iohannis mit dem polnischen Kollegen Andrzej Duda über die strategische Partnerschaft zwischen den zwei Ländern und über die Kooperation innerhalb der Nordatlantischen Allianz.



    Europäische Kommission und IWF warnen Rumänien vor zu hohen Defizit



    Die Europäische Kommission hat die rumänischen Behörden auf eine beachtliche Abweichung vom Anpassungspfad zur Erreichung des mittelfristigen Haushaltsziels im Jahr 2016 aufmerksam gemacht. Auch für dieses Jahr bestehe dasselbe Risiko, warnt Brüssel. Für 2017 sagt die Europäische Kommission für Rumänien ein Haushaltsdefizit von 3,5% des BIP voraus, für das kommende Jahr rechnet Brüssel mit einem Haushaltsdefizit, das über 3,7% liegen soll. Die geplanten Gehaltserhöhungen und Steuerreduzierungen könnten auch dieses Jahr dazu führen, dass Bukarest die EU-weit auf 3% festgelegte Defizitgrenze überschreitet. Auch das geplante Gesetz zur einheitlichen Vergütung werde erwartungsgemäß steigende öffentliche Ausgaben mit sich bringen, warnt anschließend Brüssel. Alle zusätzlichen Einnahmen sollten daher in die Reduzierung des Haushaltsdefizites fließen, empfiehlt die Europäische Kommission. Die Steuereintreibung müsse verbessert und Schwarzarbeit bekämpft werden. Auch der IWF macht die rumänischen Behörden auf die drohenden Risiken für die wirtschaftliche Stabilität des Landes aufmerksam. Das Gesetz zur einheitlichen Entlohnung der Staatsbediensteten sowie die neuen Steuerreduzierungen seien beachtliche Risiken für das Haushaltsdefizit, das laut Schätzungen des IWF 2017 3,7% betragen soll. Im kommenden Jahr sollte das Haushaltsdefizit Rumäniens bei 3,9% liegen, so der Internationale Währungsfonds in seinem jüngsten Bericht.



    Gesetz zur einheitlichen Vergütung von Staatsbediensteten vor Verabschiedung



    Der Gesetzentwurf zur einheitlichen Entlohnung ist am Dienstag von dem rumänischen Senat verabschiedet worden. Der Entwurf soll nächste Woche der Abgeordnetenkammer zur Debatte vorgelegt werden. Diese Parlamentskammer hat Entscheidungskraft in dieser Angelegenheit. Die Vorlage sieht gestaffelte Lohnerhöhungen für die staatlichen Bediensteten bis 2022 vor.


    Der Entwurf wurde von den Vertretern der sozialdemokratischen Partei (PSD) und von der mitregierenden Allianz der Europäischen Liberalen und Demokraten sowie vom Ungarnverband (UDMR) unterstützt, jedoch von der nationalliberalen Partei (PNL), von dem Verband Rettet Rumänien (USR) und der Partei Volksbewegung (PMP) aus der Opposition kritisiert. Grund dafür war, dass die Auswirkung auf den Staatshaushalt und die Finanzierungsquellen für die Lohnerhöhungen nicht angegeben wurde. Für den besagten Gesetzentwurf wurden über 300 Änderungsvorschläge eingereicht. Mehr als die Hälfte wurden gebilligt. Einige davon gehörten der Opposition. Somit werden ab dem 1. Januar 2018 die Löhne der Vertreter des Arbeitsministeriums und des Umweltministeriums im Land um 15% erhöht. Dasselbe gilt auch für das Personal der Nationalen Integritätsagentur, das Zugang zu vertraulichen Informationen und Unterlagen hat.



    Untersuchung der Präsidentschaftswahlen von 2009 läuft



    Ein parlamentarischer Sonderausschuss ist kürzlich mit dem Ziel gegründet worden, die Umstände zu klären, in denen Ex-Präsident Traian Băsescu 2009 die Präsidenten-Stichwahl gegen den damaligen SPD-Chef Mircea Geoană gewann. Die Untersuchung war von den Enthüllungen des Journalisten und ehemaligen Präsidentenberaters Dan Andronic ausgelöst worden. Ihm zufolge soll es am Vorabend der besagten Stichwal vor acht Jahren ein informelles Treffen zwischen der damaligen Generalstaatsanwältin Laura Codruţa Kövesi (heute Leiterin der Nationalen Antikorruptionsbehörde DNA), dem ehemaligen Leiter des Inlandsnachrichtendienstes George Maior (heute Botschafter in den USA) und seinem Stellvertreter Florian Coldea gegeben haben. Somit deutete der Journalist an, dass Kövesi, Maior und Coldea das Wahlergebniss zugunsten von Băsescu manipuliert hätten. Hätte Geoană die Wahlen gewonnen, wären die Stellen der erwähnten Personen gefährdet, erläuterte Andronic. Am Dienstag mussten sowohl der ehemalige Präsidentschaftskandidat Geoană als auch sein Wahlkampfchef, der Sozial-Demokrat Viorel Hrebenciuc. vor dem Sonderausschuss vorsprechen. Laut Geoană habe es willkürliche Anstrenungen gegeben, koordiniert von Entscheidungsträgern auf dem höchsten Niveau des Landes, das Wahlergebnis zu beeinflussen. Auch Hrebenciuc deutete einen Wahlbetrug an. In den kommenden Wochen sollen weitere prominente Namen vorgeladen werden.

  • Nachrichten 14.05.2017

    Nachrichten 14.05.2017

    Nicuşor Dan ist der neu gewählte Vorsitzende der Union Rettet Rumänien (kurz: USR). Im Rahmen eines Parteitags im westrumänischen Klausenburg am Samstag wurde Dan, der auch bislang die Partei geführt hatte, im Amt bestätigt. Die USR war bei den letzten Wahlen als drittstärkste Parlamentspartei hervorgegangen. Beim diesem ersten Parteitag der Union hatten die Delegierten auch über die interne Satzung abgestimmt. Die wichtigste Neuerung regelt die Abhaltung von internen Abstimmungen zu wichtigen Entscheidungen der Partei. Außerdem soll die neue Parteiführung die Vermögens- und Interessenerklärungen auf der Internetseite der Union veröffentlichen. Laut Angaben der USR möchte die Partei in zwei Jahren zur zweitstärksten politischen Macht in Rumänien aufsteigen und nach den Wahlen 2020 den Ministerpräsidenten bestimmen dürfen. Gleichzeitig will die jüngste Erscheinung auf der Politbühne des Landes im Jahr 2020 mit Chancen in den Wahlkampf um die Bürgermeisterämter der großen Städte in Rumänien treten.



    Rumäniens Vertreter beim Eurovision Song Contest sind in diesem Jahr auf Platz sieben gelandet. Ilinca und Alex Florea waren mit ihrem Lied Yodel It! von den Wettbüros mit der sechstbesten Gewinnchance gehandelt worden. Mehrere Internetseiten berichteten, die beiden seien im Vorfeld des Wettbewerbs in Kiew als beliebtestes Duo beschrieben worden. Die 65. Ausgabe des populären Gesangwettbewerbs hatte heuer unter dem Motto Diversität feiern stattgefunden. Zum Gewinner des Eurovision Song Contest wurde der portugiesische Vertreter Salvador Sobral mit dem Lied Amar Pelos Dois gewählt.



    SPORT: Rumäniens Tennisprofi Simona Halep hat ihren Titel beim starken WTA-Turnier in Madrid verteidigt. In einem packenden Finale am Samstagabend bezwang die Weltranglistenachte die Französin Kristina Mladenovic in drei Sätzen, mit 7:5, 6:7 und 6:2. Die Partie dauerte 2 Stunden und gut 45 Minuten. Halep hatte vor dem Titelgewinn letztes Jahr auch 2012 das Finale in Madrid bestritten, das sie allerdings gegen die Russin Maria Scharapowa verlor. Insgesamt vergeben die Veranstalter des Turniers in der spanischen Hauptstadt ein Preisgeld von mehr als 5 Millionen US-Dollar.



    Fußball: Der FC Viitorul Constanţa hat zum ersten Mal in der Vereinsgeschichte die rumänische Meisterschaft gewonnen. Der 2009 von Spielerlegende Gheorghe Hagi gegründete Verein bezwang am letzten Spieltag des Playoffs den CFR Klausenburg zu Hause mit 1:0. Damit ist der FC Viitorul der jüngste Meister in der Geschichte aller Fußballligen in Europa, gemessen am Gründungsjahr. Auch ist er in Rumänien der Verein, der nach der Gründung die wenigsten Spielzeiten für einen Meistertitel gebraucht hat. Vizemeister wurde der FCSB (Nachfolger von Steaua Bukarest), Dritter wurde Dinamo Bukarest.

  • 14.05.2017

    14.05.2017

    USR – Nicusor Dan a été réélu président de l’Union Sauvez la Roumanie, parti d’opposition récemment créé et 3e en termes de poids au Parlement de Bucarest. Il a obtenu une majorité de votes lors du premier congrès du parti déroulé du 12 au 14 mai à Cluj Napoca (nord-ouest). Le statut de l’Union a également été voté à cette occasion, la principale mesure portant sur l’organisation de référendums internes sur les décisions importantes prises au sein du parti. Le document stipule aussi que la nouvelle direction du parti rendra publiques ses déclarations de fortune sur le site de la formation. L’Union Sauvez la Roumanie s’ambitionne de devenir le deuxième parti du pays, d’ici deux ans, de sorte à pouvoir proposer un premier ministre suite aux élections de 2020. Pour le même scrutin, l’Union se propose de gagner les fauteuils de maires des grandes villes roumaines.

    Eurovision – C’est la chanson du Portugal qui a remporté la finale de l’Eurovision 2017 accueilli par la capitale ukrainienne, Kiev. Roumanie, représentée par Ilinca et Alex Florea avec la chanson « Yodel It !» s’est classée en 7e position. Avant la finale de samedi soir,la chanson roumaine était considérée comme la 6e favorite, alors que les sites spécialisés affirmaient que les chanteurs roumains formaient le duo le plus apprécié de la compétition. La meilleure performance de la Roumanie, qui y a participé à 19 reprises, depuis 1994, c’est la troisième place occupée par deux fois, en 2005 et en 2010. L’Eurovision de la chanson a fêté cette année ses 62 ans d’existence et se déroule sous le slogan « Celebrate Diversity » – « Célébrons la diversité »

    Tennis – La meilleure joueuse roumaine de tennis du moment, Simona Halep a remporté pour la 2e année consécutive le Tournoi de Madrid. Elle a eu raison samedi soir de la Française Kristina Mladenovici, score 7-5, 6-7 (5), 6-2. Simona Halep avait également disputé la finale du tournoi de Madrid en 2012.

    Football – Créé en 2009 par le célèbre footballeur roumain, Gheoghe Hagi, Le Club de football Viitorul de Constanta (sud-est) a remporté en première le titre de champion de Roumanie. Samedi, Viitorul a vaincu l’équipe CFR Cluj, score 1 à 0, sur son propre terrain. Viitorul devient ainsi le club champion le plus jeune de l’histoire des 54 ligues du continent, compte tenu de l’année de sa création. Il s’enorgueillit aussi d’une autre première : c’est l’équipe qui a réussi à remporter le titre national le plus vite, depuis sa création. Sur la seconde place du championnat national l’on retrouve le club FCSB (l’antérieurement connu comme Steaua Bucarest), suivi de Dinamo Bucarest.

    Météo – Le temps est plutôt instable en ce dimanche en Roumanie. Des pluies à verse sont signalées par endroits. Les températures maximales de la journée iront de 13 à 27 degrés. 22 degrés et un ciel couvert à midi à Bucarest.

  • Gesetzentwurf zur Begnadigung wieder im Rechtsausschuss des Senats

    Gesetzentwurf zur Begnadigung wieder im Rechtsausschuss des Senats

    Von der Regierung ins Parlament, zum Rechtsausschuss des Senats, danach ins Plenum des Senats und schlie‎ßlich zurück in den Rechtsausschuss für eine weitere Woche. Diese Strecke musste bislang ein umstrittener Gesetzentwurf zur Begnadigung zurücklegen. Der Rechtsakt hatte Stra‎ßenproteste verursacht und innerhalb der wichtigsten Regierungspartei, der PSD, für Zwietracht gesorgt. Der Koalitionspartner der Sozialdemokraten, die Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE), erahnte die Brisanz des Gesetzentwurfs und schlug deshalb eine neue Beratungsrunde im Rechtsausschuss vor. In diesem Ausschuss des Senats waren wichtige Änderungen am ursprünglichen Text vorgenommen worden, die der PSD-Führung missfallen.



    Den Vorsitz im Rechtsausschuss hat übrigens ebenfalls ein Sozialdemokrat inne: Das ist Şerban Nicolae, der bei seinem politischen Vorgesetzten, dem PSD-Chef Liviu Dragnea, bereits in Ungnade gefallen ist. In einem früher für unmöglich gehaltenen Zusammenspiel mit Ex-Präsident Traian Băsescu, heute Senator der Volksbewegung aus der Opposition, hatte der Sozialdemokrat Nicolae die Änderungen am Begnadigungs-Gesetz vorgenommen. Dabei geht es vor allem um Korruptionsdelikte wie Bestechung oder Annahme von Bestechungsgeldern und Vorteilsgewährung. Man muss bedenken: Das alles findet nach dem Zwischenfall mit der berühmten Eilverordnung zur Entspannung des Strafgesetzes statt, die nach heftigen Demonstrationen landesweit zurückgenommen worden war. Die PSD würde im Normalfall ein weiteres fragwürdiges Gesetz vermeiden wollen. Ihr Vorsitzender Liviu Dragnea hat dies offenbar schnell verstanden und den Parlamentariern der Regierungskoalition verlangt, den Gesetzentwurf nicht mehr abzuändern.



    Şerban Nicolae fügte sich dem Aufruf nur teilweise, denn einige Änderungen kamen dennoch durch. Darunter die vollständige Begnadigung von Haftstrafen bis einschlie‎ßlich drei Jahren, die Kürzung von Haftstrafen bis einschlie‎ßlich 10 Jahren um drei Jahre, die Halbierung der Haftstrafen von schwangeren Frauen und die bedingte Begnadigung aller Haftstrafen von Personen, die älter sind als 70 Jahre. Senator Şerban Nicolae erklärte, laut Angaben der Landesverwaltung der JVA könnten gut 1000 Personen von den Neuerungen profitieren. Unlängst war der Bericht mit den Änderungsanträgen an das Plenum des Senats geschickt worden, inzwischen ist er jedoch wieder im Rechtsausschuss gelandet. Das ist wohl ein Zeichen dafür, dass die PSD-Führung auch diese Fassung nur ungerne akzeptieren würde. In die Enge getrieben, plädierte Şerban Nicolae zugunsten einer vernünftigen Debatte im Parlament.



    Die Opposition aus PNL und der Union Rettet Rumänien beanstandete den Nutzen eines derartigen Gesetzes. Das Begnadigungsgesetz würde das Problem der Überbevölkerung in den Gefängnissen nicht lösen, verlautete es aus den Reihen der Liberalen. Der rumänische Staat war deshalb mehrmals am Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte verklagt worden — das Gericht gewährte den Behörden in Bukarest unlängst eine Frist von sechs Monaten für die Erarbeitung eines Ma‎ßnahmenplans zur Behebung der Probleme. Die Begnadigung würde aber langfristig die prekäre Lage in den Haftanstalten nicht beseitigen, glauben Vertreter des Strafvollzug-Systems. Und auch für das Image der PSD wäre es nicht unbedingt fördernd, wie die prompte Reaktion der Begnadigungsgegner auf der Stra‎ße es zeigt. Im Gegenteil: Die PSD läuft Gefahr, sich selbst ein Bein zu stellen.