Elena Ivanovici vive desde hace cuatro años en España y es solista del grupo G d R de España, ciudad de Cariñena, provincia de Zaragoza. Elena estuvo presente en los estudios de RRI, en el programa Top musical, para hablarnos de su música y sus proyectos actuales. El grupo G d R se compone en la actualidad de batería, bajo, dos guitarras, dos saxofones y tres vocalistas, en total 9 personas en el escenario.
En plus de l’actualité politique interne avant l’ouverture de la campagne des élections européennes, les quotidiens bucarestois de ce mercredi se penchent aussi sur : les épargnes des Roumains, l’avenir de la production de voitures Dacia, l’avenir des étudiants en ingénierie aérospatiale de Bucarest, la prochaine édition du festival de théâtre Shakespeare et le village biblique ouvert dans la capitale roumaine.
La Roumanie au quotidien, celle que les Unes des médias nationaux ont tendance à ignorer, cette Roumanie-là se voit peindre un portrait haut en couleurs par une équipe de journalistes français et roumains, au Regard toujours frais et sensible. Tous les deux mois, le magazine francophone Regard invite ses lecteurs à découvrir la Roumanie, par le biais de reportages, interviews, chroniques des plus variés et de dossiers de l’édition. Le point sur les derniers dossiers avec Laurent Couderc, rédacteur en chef de Regard, Ioana Stancescu et Alexandra Pop, journalistes RRI.
C’est un début de semaine mitigé en termes de choix de sujets. Plutôt mince comme substance (la liste des hausses de prix annoncées pour le 1er avril, par exemple, fait le tour des éditions sur papier ou en-ligne), le sommaire des quotidiens bucarestois de ce lundi contient aussi quelques interviews et infos intéressantes.
LInstitut français de Bucarest a organisé un concours de rédaction d’essais pour célébrer à la fois la francophonie et la femme. Le thème : Etre une femme dans la Roumanie d’aujourd’hui. Victorita Tudor est une des gagnantes de cette compétition…
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La francophonie se décline aussi, et ô combien, dans la ville d’Arad, à la frontière ouest de la Roumanie. Elle se décline à un niveau tel, que cette année, le Groupe des ambassades, délégations et institutions francophones (GADIF) de Roumanie a décidé de désigner le directeur de la Bibliothèque départementale d’Arad, Florin Didilescu, personnalité francophone de l’année.
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Habitués à mettre les feux sur les francophones roumains — normal ! — et leur attachement à la langue française, nous ignorons souvent ce qui se passe pas très loin de chez nous. Eh bien, aujourd’hui, nous essayons de réparer cette erreur et nous tournons vers la Turquie, là où une semaine de la langue française et de la Francophonie a été organisé. L’Institut Culturel Roumain Dimitrie Cantemir” d’Istanbul a été partie prenante et nous allons apprendre davantage grâce à la présence dans notre émission de sa directrice, Mme Silvana Rachieru.
La récolte de sujets de la presse sur papier est plutôt diversifiée en ce mardi : immigrés roumains au Royaume Uni, campagne de sensibilisation contre les dangers qui guettent les adolescents roumains, mariage des enfants dans les communautés roms, nouveau guide de communication magistrats — médias, élections municipales en France, la République de Moldova et la crise ukrainienne, événements culturels à ne pas rater.
Les évolutions géopolitiques à l’est de l’Europe continuent d’occuper les pages de la presse électronique ou sur papier, qui s’intéresse aujourd’hui aussi au profile des touristes étrangers qui débarquent en Roumanie, aux immigrés qui se font une vie ici, et aux événements culturels de la saison.
Dans la presse bucarestoise de ce lundi : football et justice, sondage d’opinion sur la disparition de l’USL, hausses de prix annoncées, situation politique en Europe de l’Est. Analyses, questions, tentatives de réponse.
La coopération universitaire dans le cadre de la Francophonie été mentionnée à plusieurs reprises à la conférence de presse consacrée au mois de la francophonie, cette semaine… Nous revenons maintenant sur le Centre d’excellence de Bucarest, pour parler de coopération universitaire, académique, très concrète et francophone, avec Dana Popescu-Jourdy, docteur en sciences de la communication et maître de conférence à l’ICOM, Université Lumière Lyon 2.
Pour les francophones de Roumanie, c’est l’expression « avoir l’embarras du choix » qui illustre le mieux un agenda festif particulièrement bien fourni. Ce furent les représentants de plusieurs institutions qui ont assumé la tâche de présenter aux médias de Bucarest une liste non exhaustive d’événements mettant la francophonie à l’honneur, au cours d’une conférence de presse donnée au début de cette semaine.
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Deux sont les grands sujets à retrouver ce jeudi dans la presse en-ligne de Bucarest : la dissolution de l’Union sociale-libérale, principal moteur de la coalition déjà anciennement au pouvoir en Roumanie, et l’Ukraine, bien sûr.
Beaucoup de politique, intérieure et étrangère, dans la presse bucarestoise de ce vendredi, la scène étant occupée par la crise au sein de la coalition gouvernementale de Bucarest et par la situation en Ukraine.
Devoir de mémoire et d’hommage, devoir de partage et de prospection — une actualité culturelle dont les médias parlent peu, voire pas du tout, mise en lumière dans RRI Spécial, le magazine d’actualité alternative de la Rédaction. Dans l’édition de ce jeudi, nous parlons de l’hommage que l’Institut culturel français de Iasi s’apprête à rendre à une personnalité culturelle franco-roumaine de premier rang : Benjamin Fondane, assassiné à Auschwitz en 1944. Et puis nous lançons une invitation à tous ceux qui sont de passage à Bucarest — le Musée national d’art contemporain de la capitale roumaine accueille en ce moment une exposition d’architecture norvégienne qui vaut bien un détour.