Author: Ioana Stăncescu

  • Le courrier des auditeurs du 29.12.2023

    Le courrier des auditeurs du 29.12.2023


    Chers auditeurs et auditrices. Voilà la dernière rubrique
    du courrier des auditeurs de cette année 2023. Une année compliquée aussi bien
    pour la planète, pour l’humanité, mais aussi pour moi-même, puisque Père
    Noël m’a fait un drôle de cadeau : je me suis fracturé un orteil. Ce qui
    est marrant c’est que 2023 a commencé de la même manière. Une fracture en début
    d’année, une autre, à la fin, espérons que la boucle est bouclée est
    que par la suite, les choses iront pour le mieux. En revanche, cela m’a fait du
    bien de parcourir tous vos vœux, c’est très gentil d’avoir pensé à l’équipe de
    RRI en cette fin d’année. Merci à toutes et à tous !


    Dans les minutes suivantes, je continue la présentation
    des cartes QSL pour 2023. Il nous reste les deux dernières, après quoi, je
    reviens sur vos messages. D’accord ? Petit jingle et au boulot !



    QSL
    novembre – Le Musée national du Banat



    Pour le mois de novembre, nous avons une belle carte QSL
    avec, en image, le Musée national du Banat inauguré en 1877. L’institution
    culturelle est située dans un bâtiment déclaré monument historique : soit le
    château de Hunyadi. Le château, construit par Iancu de Hunedoara, suit le style
    architectural du début de la Renaissance, en ressemblant au premier système de
    bastions italien. Il a été restauré au XVIIIe siècle. La façade nord, détruite
    par l’armée révolutionnaire hongroise, a été restaurée en 1856. En 1872, la
    Société d’histoire et d’archéologie de Timișoara a vu le jour et a commencé à
    collecter des documents historiques. Au cours des décennies suivantes, les
    collections d’histoire et d’archéologie se sont multipliées. L’exposition
    principale présente des matériaux archéologiques relatifs aux périodes
    néolithique, daco-romaine et du début du Moyen Age.


    Actuellement, en raison de travaux de restauration,
    l’administration du musée et les expositions temporaires sont hébergées par le
    bastion Theresia.



    QSL
    décembre -Le Musée national d’art – Le
    Palais baroque



    Et nous voilà arrivé à la dernière carte QSL de cette
    année, une occasion pour découvrir le Musée national d’art de Timisoara. Le
    Musée national d’art de Timișoara est hébergé par le Palais baroque depuis 2006
    en tant qu’institution indépendante, gérant des collections d’art européen de
    beaux-arts, d’art décoratif, art spécifique du Banat, art moderne et
    contemporain roumain, ainsi que les œuvres du célèbre peintre roumain Corneliu
    Baba. En 2020, l’institution a reçu le statut de musée national, reconnaissant
    ainsi la valeur de ses collections. Le musée a joué un rôle important dans le
    programme culturel « Timișoara – Capitale européenne de la culture 2023», en
    accueillant les expositions-événements Victor Brauner et Constantin Brâncusi,
    qu’il a organisées en partenariat avec de prestigieux musées européens tels le
    Centre Georges Pompidou ou la Tate Gallery, mais aussi avec d’importantes
    organisations nationales, telle la Fondation ArtEncounters et l’Institut
    français de Roumanie.


    Le palais baroque est un bâtiment historique construit au
    XVIIIe siècle. A l’origine il a servi de résidence au gouverneur local. Le
    bâtiment est un véritable joyau d’architecture du style baroque, restauré à son
    état d’origine. Il est une destination touristique importante pour les amateurs
    d’art et d’histoire.


    Et voilà, chers amis, pour la série de cartes QSL de
    cette année. Une série, je vous le rappelle, consacrée à la ville de Timisoara,
    capitale de la Culture européenne en 2023.


    Maguy Roy, France



    Le moment est venu de faire un petit coucou amical à ceux
    d’entre vous nous ayant fait part de leurs vœux. Bonjour chère Maguy Roy et
    merci bien de votre message fort sympathique. Nous ferons de notre mieux de ne
    garderque les bons souvenirs de cette
    année difficile et nous nous rejoignonsà vous pour demander au destin que 2024 soit plus pacifique. Merci
    d’être restée à l’écoute de RRI et très bonne année de la part de nous
    tous !

    Le radio DX club d’Auvergne et francophonie



    Nos
    amis du club DX d’Auvergne nous ont envoyé un message fort chaleureux. Merci
    beaucoup, cela nous fait grand plaisir ! A notre tour, on voudrait vous
    faire part de tous nos vœux de santé, de joie, de prospérité ! Que 2024
    soit clémente et généreuse et que la radio continue, comme vous le dites très
    bien, à faciliter les belles découvertes et les échanges fructueux ! Bonne
    et heureuse nouvelle année !






    Paul Jamet, France



    Restons en France pour remercier à notre cher Paul Jamet
    qui a eu une pensée pour RRI en cette période de fête. C’est très gentil de
    votre part, cher ami, et les nouveaux rapports d’écoute représentent un beau
    cadeau de Noël. Quant au chocolat, je ne promets rien. On est tous des
    gourmands dans la rédaction et donc, difficile de s’abstenir en cette période
    de fin d’année quand la table est toujours remplie de gâteaux, de cozonac, de
    galette au fromage, pour rester seulement dans la catégorie des plats sucrés.
    Car, si je passe dans le salé, là, c’est encore plus difficile de rester
    raisonnable. Nous avons des sarmale, de la charcuterie, des plateaux de
    fromage, de la salade de bœuf. Il suffit d’écouter la rubrique de cuisine Le
    Plat du jour et vous allez comprendre pourquoi les Urgences sont prises
    d’assaut en cette période d’année par tous les convives incapables de dire
    stop. La situation est d’autant plus compliquée que nombre de Roumains
    observent une période de carême avant Noël. Ceci dit, je vous souhaite au nom
    de toute l’équipe une année 2024 calme et reposante, plein de joie et de santé
    et restez à l’écoute de RRI !


    Alain Carlier, France


    Cher Alain Carlier, merci de vos vœux, effectivement,
    tout le monde espère que 2024 soit pacifique et que tous ces conflits cessent. Il
    y a trop d’innocents qui meurent, trop d’enfants qui souffrent, il est
    extrêmement injuste de voir tant de souffrance humaine à cause d’une poignée de
    scélérats. Malheureusement, de tels scénarios tragiques se répètent depuis la
    nuit du temps. Quant aux cartes QSL, oui, il est bien dommage qu’une belle
    tradition se perde, nous, on avait déjà les enveloppes préparées quand la
    nouvelle est tombée. Mais bon, on vit une période difficile, on le sait, et
    donc, on essaye de faire avec. Merci de continuer à écouter les émissions de
    RRI ! Bonne année 2024 !


    Jacques Augustin, France


    Comment allez-vous, cher Jacques Augustin ?
    Effectivement, on espère bien que cette nouvelle année nous apporte à tous
    santé et réussite. Surtout qu’en ce moment, ce n’est pas trop évident pour
    l’équipe du Service français. Moi, je suis obligée de limiter les déplacements,
    à cause de mon orteil fracturé et Alex a attrapé la grippe. Du coup, Valentina
    a abandonné ses projets de vacances et a repris le travail. Je me souviens de
    mes débuts à la radio quand on était une bonne dizaine de journalistes dans la
    rédaction. Là, si un d’entre nous tombe malade, ça commence déjà à devenir
    compliqué. Avec deux, c’est déjà problématique. Espérons donc que 2024 nous
    permet de garder la forme et la santé. Bisous de la part de nous tous !


    Gilles Gautier, France



    Comment allez-vous, cher Gilles Gautier ? Merci de
    rester à l’écouter des programmes de RRI. Je vois que vous suivez attentivement
    nos flashs infos, tout comme d’autres chroniques sur l’actualité, telles
    « L’avenir commence maintenant » ou les dossiers consacrés à
    l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace Schengen. Je suis très
    contente que notre édition Radio Tour sur la Route de la Transylvanie, Via
    Transilvanica, vous a donné l’envie d’en connaître davantage. Merci à vous,
    cher ami, de rester à l’écoute de RRI, et recevez nos meilleurs vœux de bonheur
    et de santé pour la nouvelle année.


    Amady Faye, Sénégal


    Cher Amady Faye, du Sénégal, merci de vos vœux qui nous
    ont fait chaud au cœur. Nous espérons vous avoir en 2024 aussi parmi nos
    auditeurs les plus fidèles. Une excellente nouvelle année !

    Jean-Michel Aubier, France



    Dernière réponse d’aujourd’hui. Et je dis bonjour à notre
    ami de longue date, Jean-Michel Aubier qui revient après une pause assez
    longue. Nous sommes très contents d’avoir de vos nouvelles, cher ami.
    Effectivement, la Journée de l’Auditeur c’est toujours une excellente occasion
    pour reprendre contact. Merci d’avoir participé. Et j’aimerais bien citer votre
    petit message encourageant qui dit « Concernant
    la réduction du nombre de vos émetteurs, je ne pense pas que cela soit aussi
    dramatique que ça ! Ceux qui restent produisent un signal de qualité. Et
    n’oubliez pas que l’Internet a bien percé, même en Afrique. C’est d’ailleurs
    pour ça que de nombreux radiodiffuseurs ont arrêté les ondes courtes, n’en
    voyant plus trop l’utilité, au vu des coûts engendrés. De plus, vous participez
    ainsi à la lutte contre le réchauffement climatique, en faisant d’importantes
    économies d’énergie ! Ah bah oui, c’est important, non ? » Bien sûr que
    c’est important, d’ailleurs la Roumanie commence petit à petit à se mobiliser
    pour réduire la pollution. En revanche, les ondes courtes ont des avantages que
    d’autres moyens de communication n’ont pas. Ne serait-ce le fait qu’elles ne
    risquent pas de tomber en panne. A la fin, je voudrais vous souhaiter une
    excellente année 2024, en compagnie de RRI !


    Madame,
    Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Ioana vous remercie de votre attention
    et au nom de tous mes collègues, je vous souhaite les meilleurs vœux de joie et
    de santé pour la nouvelle année que l’on espère tous, plus pacifique et
    raisonnable que 2023. En attendant de se retrouver au micro du courrier,
    portez-vous bien et prenez soin de vous !





  • Ceux qui ne meurent jamais, de Dana Grigorcea

    Ceux qui ne meurent jamais, de Dana Grigorcea

    Autrice suisse d’origine roumaine,
    Dana Grigorcea raconte dans son roman « Ceux qui ne meurent
    jamais », une histoire de Dracule contemporaine, saluée par la presse
    germanophone, récompensée par le Prix Suisse de littérature 2022 et nommé pour le prestigieux Prix du livre
    allemand 2021. En librairie le 22 août 2023, le roman traduit en français par
    Élisabeth Landes et paru chez la maison d’édition spécialisée en littérature
    européenne, Les Argonautes est devenu cette semaine le coup de cœur littéraire
    de Charlotte Fromenteaud, notre collègue à RRI et libraire à Kyralina.

  • Pourquoi les femmes ont eu une meilleure vie sexuelle sous le socialisme?

    Pourquoi les femmes ont eu une meilleure vie sexuelle sous le socialisme?

    Kristen Ghodssee est ethnographe et
    professeure d’études russes et est-européennes à l’université de Pennsylvanie.
    Dans son dernier ouvrage Pourquoi les
    femmes ont une meilleure vie sexuelle sous le socialisme?, traduit de
    l’anglais par Charlotte Nordmann et Laura Raim elle propose une réflexion
    documentée sur la position des femmes dans les Etats socialistes du
    XXe siècle jusqu’à la chute du mur de Berlin. Un ouvrage qui a attiré
    l’attention de Roxanne Verron, libraire à Kyralina et qui sera notre coup de
    cœur de cette semaine.

  • Un Noël avec Winston, de Corinne Desarzens

    Un Noël avec Winston, de Corinne Desarzens


    Lauréate d’un Prix suisse de
    littérature en 2020, Corinne Desarzens sort des sentiers battus d’une
    biographie ordinaire et dresse le portrait d’un Winston Churchill parfaitement
    humain. Dans son roman « Un Noël avec Winston » paru chez les
    Editions La Baconnières, le grand homme politique se dévoile avec ses défauts
    et ses qualités à travers des anecdotes et des histoires. Traduit du français
    par Florica et Jean-Louis Courriol pour les éditions Eikon, le roman a été
    lancé à la Foire du livre Gaudeamus, en présence de son auteure et du couple
    des traducteurs.



  • Le courrier des auditeurs du 8 décembre 2023

    Le courrier des auditeurs du 8 décembre 2023

    Madame, Monsieur, bonjour ou bonsoir
    où que vous soyez. Je suis ravie de revenir au micro du courrier pour répondre
    à vos lettres et à vos messages.

    Paul Jamet, France


    Et je commence l’actuelle édition par
    un petit clin d’œil amical à M. Paul Jamet qui nous a envoyé sept nouveaux
    rapports d’écoute et quelques mots qui nous font chaud au cœur. En fait, il dit
    et je cite « Le DRM offre un confort d’écoute auquel on s’habitue très
    très bien ! Merci à RRI d’être la seule station à promouvoir cette technologie
    vers laquelle se tournent essentiellement les stations asiatiques, l’Inde en
    particulier qui utilise le simulcast sur son réseau d’émetteurs en ondes
    moyennes. De mon point de vue il s’agit d’un excellent choix. » On se
    bataille pour continuer à émettre sur les ondes courtes, espérons pouvoir le
    faire le plus longtemps possible. Merci beaucoup pour tous les détails sur nos
    émissions, merci de continuer à nous écouter fidèlement et à bientôt de vous
    lire !


    Philippe Marsan, France


    Restons toujours en France pour
    passer le bonjour de nous tous à Philippe Marsan de Biganos. A l’écoute le 06
    octobre 2023 à 10h00 sur 17630, il nous a rédigé un rapport d’écoute bien
    fourni qui sera récompensée d’une carte QSL virtuelle. Hé oui, comme on vous
    l’avait déjà annoncé, cette année, RRI utilisera la version électronique de ses
    cartes QSL. C’est un compromis pour faire des économies, tout en continuant à
    récompenser votre fidélité. Cher Monsieur Marsan, je suis très contente de vous
    savoir à l’écoute de notre courrier, je suis contente d’apprendre que vous ayez
    écouté l’entretien que j’ai fait avec Jean Marc Olry lors de son passage à Bucarest
    et surtout, je suis heureuse d’apprendre qu’avec Maryse, vous avez pris la
    décision de vous marier au bout de 15 ans de vie commune. Félicitations et
    plein de bonheur à tous les deux !

    Les radioamateurs de Roumanie



    Dans le message que je viens de
    citer, vous affirmez que vous aimeriez savoir s’il y a des radioamateurs en
    Roumanie. Vous avouez que cette question vous a été inspiré par un film
    français sorti en 1956, à savoir « Si tous les gars du monde ». Pour
    ceux qui n’ont pas eu l’occasion de voir le film, M. Marsan raconte brièvement
    son histoire. Il s’agit d’un petit chalutier de Concarneau en pêche en haute
    mer dont l’équipage tombe victime d’une infection alimentaire. Le commandant de
    bord veut envoyer un signal de détresse par la radio, mais son matériel est en
    panne. Etant radio amateur, il va mettre en service son équipement personnel en
    utilisant les gammes de fréquences amateur. Ainsi dans le monde entier, une
    chaine va se former grâce aux radioamateurs du monde qui permettra d’acheminer
    par avion le sérum nécessaire jusqu’au bateau en détresse. » Une histoire
    très émouvante, vous avez entièrement raison. Cela me fait penser aussi à une
    discussion que nous avons eue, un jour, à la radio, dans le contexte des
    conflits mondiaux susceptibles de produire des soucis de communication. Et Alex
    disait et je lui donne entièrement raison, que la radio à ondes courtes s’avère
    extrêmement fiable, car les signaux peuvent être reçus même dans des régions
    éloignées ou dans celles où les infrastructures de communication sont limitées.
    Voilà pourquoi les ondes courtes restent un moyen de communication auquel on
    peut faire entièrement confiance. Et pour répondre à votre question, bien sûr
    qu’il existe des radioamateurs en Roumanie. Nous avons même une Fédération des
    radioamateurs
    qui réunit les différents clubs à travers le pays et dont le
    nombre se monte à une cinquantaine. Chaque année, plusieurs compétitions ont
    lieu parmi lesquelles, le Championnat national en ondes courtes, la Coupe de la
    Roumanie en ondes courtes, le Championnat national individuel de Télégraphie,
    le Championnat national d’orientation radio individuel, par équipes ou pour les
    jeunes ou encore le Championnat national de création technique. Bien
    évidemment, il y a aussi des compétitions internationales auxquelles la
    Roumanie participe telles le Championnat balkanique en ondes courtes, le
    concours en DX All Asian DX Contest et d’autres. Il existe un collège en charge
    de la coordination du réseau radiophonique en cas de situation d’urgence ayant
    à sa tête Marian Aradoaiei. La fédération roumaine des radioamateurs a son
    propre site à l’adresse www.hamradio.ro et
    bien évidemment des séries de QSL.


    QSL 2023


    A propos de cartes QSL. Un mois avant
    la fin de l’année, RRI a enfin la nouvelle série de cartes qui, comme je viens
    de le dire, sera uniquement virtuelle. C’est une série consacrée à la ville de
    Timisoara, capitale culturelle européenne en 2023 et que nous vous présentons
    dans le cadre du Courrier des auditeurs. La semaine dernière, Alex vous a fait
    découvrir la cathédrale Saint-Georges et le
    Palais Episcopal de Timisoara, vos QSL pour les mois de mai et de juin. Moi, je
    continue la présentation de la série avec deux autres monuments correspondant
    chacun, à un mois de l’année.

    QSL juillet 2023 – La Cathédrale métropolitaine orthodoxe de Timisoara.



    Alors, à ceux d’entre vous ayant
    rédigé des rapports d’écoute pour juillet, nous allons envoyer une jolie carte
    avec la Cathédrale métropolitaine orthodoxe de Timisoara. C’est l’édifice
    religieux le plus grand de Timișoara. Sa construction remonte aux années 1936-1940
    et elle est en étroite relation avec l’année 1919, lorsque, le 28 juillet, la
    région de Banat s’est réuni aevec le Royaume de la Roumanie.


    Le style architectural, à la fois
    unique et inhabituel pour un lieu de culte orthodoxe, mélange des éléments
    spécifiques au style roumain à des éléments byzantins présents également dans
    plusieurs monastères du 14e siècle. Doté de neuf grands clochers et de quatre
    plus petits, l’édifice est construit sur une charpente faite de plaques de
    béton armé. Plus d’un millier de piliers enfoncés jusqu’à 20 mètres de
    profondeur sous cette plaque soutiennent les voûtes. La cathédrale mesure 63
    mètres de long et 32 mètres de large. D’un poids total de 8000 kilos, les sept
    cloches qui fabriquées avec des matériaux originaires des îles de Sumatra et de
    Bornéo ont bénéficié du talent du compositeur Sabin Drăgoi qui a réalisé
    l’harmonisation de leurs sonneries. Dans le sous-sol de la cathédrale métropolitaine,
    les visiteurs peuvent admirer une riche collection d’objets religieux anciens
    et d’icônes. Du 2003 au 2006, les fresques ont été nettoyées, en conférant à
    l’édifice son éclat d’autrefois.


    QSL août – la Maison Brück



    Passons maintenant à la carte QSL
    pour le mois d’août
    consacrée à la Maison Brück dont la construction que l’on doit aux architectes Székely László et
    Arnold Merbl remonte à 1910. Construit sur quatre niveaux, avec sous-sol,
    rez-de-chaussée et trois étages, l’édifice propose un mélange de styles architecturaux
    avec des éléments Art nouveau et Sécession auxquels s’ajoutent des motifs
    folkloriques hongrois.

    Des carreaux de céramique, ornés
    d’éléments propres à la Sécession hongroise et qui renvoient aux édifices de
    Budapest décorent la façade sur laquelle on peut voir, inscrites sur le
    frontispice, les initiales du premier propriétaire Salamon Brück. Construit
    entièrement en brique, les murs ont 70 centimètres d’épaisseur et le plafond
    est voûté. Une fois la construction achevée, son propriétaire, Salamon Brück y
    a ouvert en 1910, au rez-de-chaussée, une pharmacie, ouverte de nos jours
    encore et dont une partie du mobilier date du début du XXème siècle. Le mot «
    Pharmacie » est marqué en haut du frontispice en trois langues : roumain,
    hongrois et allemand.


    Lors d’un voyage d’affaires entrepris
    à Timisoara, en 1997, un Italien, Gianluca Testa, a pris conscience de
    l’importance historique de la Maison Brück, divisée en plusieurs appartements.
    Il en achète un et il décide de démarrer
    la restauration de tout le bâtiment. Il obtient les certificats nécessaires et
    il démarre des travaux de rénovation de la façade, de l’escalier intérieur et
    de toutes les chambres. Le coût des travaux s’est monté à 300 000 euros.


    Nouari Naghmouchi, Algérie


    Dirigeons-nous vers l’Algérie pour un
    petit coucou amical à Nouari Naghmouchi. Comment allez-vous ? Merci
    beaucoup de vos vœux à l’occasion du 95ème anniversaire de Radio
    Roumanie, votre belle station comme vous avez la gentillesse de l’appeler. Pour
    ceux d’entre vous qui ne le savent pas, je rappelle que cette année, le 1er
    novembre, Radio Roumanie a célébré les 95 ans de sa première transmission en
    direct. Cet événement s’est produit en 1928, à 17h00, lorsque l’annonce «
    Bonjour, ici Radio Bucarest » a été entendue sur les ondes, prononcée par le président
    de la Société de diffusion radiotéléphonique de l’époque, le physicien Dragomir
    Hurmuzescu. Cher Nouari Naghmouchi, bien des choses à vous et à vos proches et
    à très bientôt sur nos ondes.



    C’est tout pour
    aujourd’hui. Ioana vous remercie de votre attention et vous donne rendez-vous
    en 2024, au micro du courrier des auditeurs. En attendant, portez-vous bien et
    prenez soin de vous ! A bientôt !



  • L’auteure québécoise Monique Proulx

    L’auteure québécoise Monique Proulx

    La présente édition du programme Le son des mots que RRI réalise en partenariat avec la lybrairie francophone Kyralina est consacré à l’auteure québécoise Monique Proulx, dont le dernier roman, Enlève la nuit vient de recevoir le Prix des 5 continents. Créé en 2001 par l’OIF, ce prix récompense chaque année un auteur ou une autrice d’un texte de fiction narratif d’expression française.

  • Le conte de la dernière pensée, d’Edgar Hilsenrath

    Le conte de la dernière pensée, d’Edgar Hilsenrath

    Depuis son premier roman Nuit, paru en
    1964 où il raconte son expérience en tant que survivant du ghetto, Edgar
    Hilsenrath prend l’Holocauste comme thème central de son œuvre et se donne pour
    mission d’écrire pour lutter contre l’oubli. C’est la manière dont il le fait
    qui lui confère sa touche personnelle, puisque cet écrivain issu d’une famille
    juive d’origine polonaise, déporté dans un camp nazi avant de vivre en Israël
    puis aux Etats-Unis, se sert de la satire et du grotesque pour s’attaquer à des
    sujets tragiques. C’est ce qui se passe dans « Le conte de la dernière
    pensée », paru en français, en 2015, aux Editions Le Tripode, une histoire
    sur le génocide arménien dont Elena Gheorghica a fait son coup de cœur de la
    semaine.

  • L’écrivaine Maylis de Kerangal

    L’écrivaine Maylis de Kerangal

    Présente à l’édition 2023 du Festival international de
    littérature et de traduction littéraire FILIT, j’ai eu le plaisir et la chance
    de m’entretenir avec Maylis de Kerangal, de son roman « Réparer les
    vivants », paru en 2020 aux Editions Litera, dans la traduction de Laurențiu
    Malomfălean. C’est un titre qui en 2016, a figuré dans la première section du
    Man Booker International, un roman traduit en plus de 40 langues étrangères,
    une histoire qui a inspiré un film. J’espère que notre discussion sera
    suffisamment passionnante pour que vous ignoriez le fonds sonore dont on a
    bénéficié, malgré nous, au moment de l’entretien qui a eu lieu dans le hall de
    l’hôtel Unirea, de Iasi.

  • Le courrier des auditeurs du 10.11.2023

    Le courrier des auditeurs du 10.11.2023

    Madame, Monsieur, bonjour ou bonsoir
    où que vous soyez. Je suis ravie de revenir au micro du courrier pour répondre
    à vos lettres et à vos messages. Mais d’abord, permettez-moi de remercier
    encore une fois tous ceux d’entre vous ayant participé à la Journée de
    l’auditeur. Vos réponses ont été très intéressantes, vos témoignages ont
    contribué à avoir une image encore plus pertinente de ce qui se passe
    actuellement avec notre planète. Nous vivons une époque compliquée, cela est
    sûr et certain, et je pense que nous n’avons plus la possibilité de rester les
    bras croisés en attendant que les choses s’améliorent d’elles-mêmes. Mais
    puisque le courrier se veut avant tout, une occasion de passer un moment
    agréable en compagnie de RRI, sachez que j’ai une surprise pour vous. Oui, oui,
    vous avez bien entendu. La semaine dernière, un auditeur de RRI est passé nous
    voir à la radio. Qui est-il ? La réponse dans quelques instants. Hé bien, il y a une semaine, notre
    ami français Jean-Marc Olry est passé nous voir à la radio. Venu en Roumanie
    pour visiter l’exposition de Timisoara consacrée à Brancusi, il a passé
    quelques jours sur Bucarest aussi. Bien évidemment, j’en ai profité pour
    l’inviter au micro.

    L’entretien que vous venez d’écouter
    a eu lieu au tout début du séjour de Jean-Marc Olry à Bucarest. Mais comme je
    l’ai eu par message avant qu’il ne rentre en France, je peux vous dire qu’il a
    bien profité de la capitale roumaine, qu’il a parcouru 30 kilomètres en deux
    jours dont un sous la pluie et qu’il a visité, entre autres, le Musée du
    village, le Musée d’Histoire, l’Exposition Picasso et le centre historique.
    J’espère que cet entretien donne envie à d’autres d’entre vous à prévoir des
    vacances en Roumanie.




    Dirigeons-nous
    en Algérie pour passer le bonjour de nous tous à notre ami Farid Boumechaal.
    Comment allez-vous ? Merci bien pour vos rapports d’écoute. Notre auditeur
    algérien a suivi le dossier Actualité qui lui a permis d’apprendre davantage
    sur la région de la Mer Noire, sur le dossier ukrainien, la situation de
    sécurité aux frontières et le développement durable. Merci à vous et bonne
    continuation sur nos ondes !


    Dernière réponse en cette semaine. Et je dis bonjour ou bonsoir
    à notre auditeur Guy Le Louet de France. Comment ça va ? Je sais que
    le Finistère a été fortement touché dernièrement par de tempêtes qui ont fait
    des dégâts. Est-ce que vous avez été épargné ? En attendant votre réponse,
    merci pour le rapport d’écoute. Nous sommes contents de vous savoir à l’écoute
    de nos infos, de nos chroniques telles « L’avenir commence
    maintenant » ou « Visitez la Roumanie » et bien évidemment, du
    Courrier des auditeurs.


    Madame, Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. En attendant que
    je revienne au micro du courrier, d’ici un mois, prenez soin de vous et restez
    à l’écoute de RRI !





  • Pascal Jourdana, présent au Festival FILIT de Iasi, en Roumanie

    Pascal Jourdana, présent au Festival FILIT de Iasi, en Roumanie

    Co-fondateur
    de la Marelle, une association à but non lucratif qui soutient la littérature
    et les projets littéraires, Pascal Jourdana est venu pour la troisième fois au
    Festival international de littérature et de traduction littéraire de Iasi, à
    l’invitation de Monica Salvan, responsable des Relations Internationales du
    FILIT. J’ai fait sa connaissance un soir, dans le hall de l’hôtel Unirea et,
    j’ai décidé d’ignorer le bruit des pas et des voix, pour lui proposer un
    entretien spontané pour RRI.

  • Pascal Jourdana, co-fondateur de La Marelle, est venu à Iasi, au Festival FILIT

    Pascal Jourdana, co-fondateur de La Marelle, est venu à Iasi, au Festival FILIT

    Co-fondateur de la Marelle, une association à but non lucratif qui soutient la littérature et les projets littéraires, Pascal Jourdana est venu pour la troisième fois au Festival international de littérature et de traduction littéraire de Iasi, à l’invitation de Monica Salvan, responsable des Relations Internationales du FILIT. Ioana Stancescu a fait sa connaissance un soir, dans le hall de l’hôtel Unirea et, elle a décidé d’ignorer le bruit des pas et des voix, pour lui proposer un entretien spontané pour RRI.

  • Eric Emmanuel Schmitt invité au Festival FILIT de Iasi

    Eric Emmanuel Schmitt invité au Festival FILIT de Iasi

    Multirécompensé, que ce soit en France ou à l’étranger,
    Eric-Emmanuel Schmitt est aujourd’hui un des écrivains et dramaturges
    francophones les plus lus et joués dans le monde. Invité à l’édition 2023 du
    Festival international de littérature et de traduction littéraire FILIT de
    Iasi, il s’est penché au micro de RRI sur la littérature, ses sources d’inspiration
    et son univers littéraire.

  • Une forme de vie inconnue, d’Andreea Răsuceanu

    Une forme de vie inconnue, d’Andreea Răsuceanu

    Sorti en mai 2023 aux Editions Le Nouvel Attila, le roman « Une
    forme de vie inconnue » de l’écrivaine roumaine, Andreea Răsuceanu,
    traduit en français par Florica Courriol ne passe pas pour inaperçu. Avec une
    structure narrative qui alterne trois fils, le roman nous invite à une
    incursion inédite dans les rues et l’histoire de Bucarest, tout comme dans la
    vie intérieure des personnages. Un roman complexe, avec une construction très
    solide qui a poussé Mathieu Fabre, libraire à Kyralina, d’en faire son coup de
    cœur.

  • Le courrier des auditeurs du 06.10.2023

    Le courrier des auditeurs du 06.10.2023

    Madame, Monsieur, bonjour ou bonsoir où que vous soyez. Je suis
    ravie de revenir au micro du courrier pour répondre à vos lettres et à vos
    messages. Comment allez-vous ? Qu’est-ce que vous avez fait de beau
    dernièrement ? Je voudrais commencer par passer le bonjour de nous tous à
    notre auditeur Jean Marc Olry qui nous a envoyé un mail bien fourni et un
    nouveau rapport d’écoute. Merci à vous, cher ami ! Nous attendons toujours
    les nouvelles cartes QSL, espérons entrer dans leur possession avant la fin de
    l’année. Je suis désolée d’apprendre que les soucis techniques perdurent. Vous
    n’êtes pas le seul à les signaler. M. Paul Jamet nous l’a dit aussi. C’est très
    compliqué ce qui se passe et très malheureux et la situation ne semble pas
    s’améliorer. Pour parler des choses plus sympas, moi aussi, je faisais des
    collections de timbres quand j’étais gamine. Et puis, tout comme vous, je
    voyageais les yeux ouverts sur la carte de l’Europe et du monde, puisque les
    frontières roumaines étaient fermées à l’époque communiste et donc, impossible
    de les franchir pour partir à la découverte du monde. Parfois, j’ai des
    discussions avec ma fille et elle est impressionnée par mes connaissances en
    géographie. Je connais pleins noms de capitales, de montagnes, de lacs, parce
    qu’à la différence de l’actuelle génération, la mienne ne pouvait voyager que
    dans l’imaginaire. Je me rappelle à quel point j’ai dévoré « Sans
    famille » de Hector Malot, tout simplement pour les voyages entrepris par
    Rémy et Vitalis. Voilà pourquoi, tout comme vous, moi aussi je suis une friande
    des voyages depuis que cela est devenue possible. J’ai voyagé la première fois
    à 14 ans, en France, juste après la chute du communisme et depuis, je ne
    m’arrête pas. Je ressens comme une nécessité d’avoir toujours un plan de voyage
    dans le proche avenir. Prochaine sortie en dehors des frontières roumaines sera
    en février, à Prague, quand, avec mes deux meilleures copines, nous allons
    faire les Depeche Mode en concert. Donc moi, je dirais que oui, il faut voyager
    pour être heureux.


    Pour revenir à votre mail, sachez que nous sommes fort contents
    que le nouveau format du Courrier des auditeurs vous plaise, avec ce relais à
    quatre qui nous permet de nous adresser à tour de rôle aux auditeurs. A propos
    d’Arnaud Nebbache et de sa BD « Brancusi contre les Etats-Unis »,
    j’ai appris qu’il sera présent au prochain Salon du livre de Bucarest prévu
    pour le mois de novembre. J’espère donc l’avoir au micro de RRI. Cher
    Jean-Marc, puisque vous précisez avoir visité en juin, à Paris, une belle
    exposition sur les bijoux Art Nouveau, j’ai décidé de m’attarder dans les
    minutes suivantes sur la Semaine de la joaillerie qui se déroule du 4 au 8
    octobre, à Bucarest. Patronnée par l’Association Assemblage, l’événement en est
    à sa IVème édition. Plus de 230 créateurs de bijoux, associations et écoles de
    joaillerie de plus de 30 pays du monde invitent le public à choisir parmi une
    sélection de bijoux d’artistes de Roumanie, Grande Bretagne, Etats-Unis,
    Israël, Ukraine, Australie, France, Kuweit, République Tchèque, Lituanie,
    Italie, Grèce, Mexique, Belgique et d’autres. L’édition de cette année a déjà
    comporté deux autres expositions, une à l’agenda du programme Timisoara
    capitale culturelle européenne 2023 et l’autre à Chisinau, mis en place au
    Musée national d’Histoire de la Moldavie.


    Inaugurée le 4 octobre, l’exposition centrale est complétée par
    huit autres expositions collectives: Slovenian Jewelry Week, Plus One
    Collective, Legnica Silver Festival en Pologne, ArtsThread en collaboration
    avec Gucci, One and Three Collective, Precious Collective et The Sense of
    Beauty Gallery. Cette année, le public s’est vu proposer plusieurs ateliers et
    conférences présentées par des professeurs, des artistes, des commissaires
    d’exposition du monde entier. L’édition de cette année de la Semaine de la
    joaillerie de Roumanie se déroule dans quatre endroits de Bucarest dont le
    Musée de la Littérature roumaine et le
    Musée de Cotroceni. Un jury international réunissant différents experts auprès,
    entre autres, de la Fédération européenne de joaillerie de Bruxelles ou du
    Musée des bijoux d’Athènes est censé primer les meilleures créations parmi les
    objets exposés. Plus de 65 artistes contemporains participent à la Foire de la
    joaillerie de Roumanie.


    Maintenant, une question s’impose: est-ce que les Roumains
    s’intéressent-ils aux bijoux ? Il faut dire que la pandémie a sévèrement
    frappé ce domaine qui en 2020, a chuté de 34%. Avant cette période, les
    Roumains préféraient des bijoux plus chers et plus précieux, tandis qu’en 2020,
    ils ont choisi plutôt des bijoux en argent. En revanche, le romantisme est
    resté toujours en vigueur et les Roumains ont continué à offrir des bagues de
    fiançailles avec diamant à leurs biens aimés. Malgré les années de crise provoquée
    par la pandémie et malgré l’insécurité financière qui leur a suivie, les
    joailleries et les magasins de bijoux de Roumanie ont continué à vendre. Un
    aspect intéressant à signaler est le nombre à la hausse des collectionneurs et
    des amateurs d’objets de luxe qui investissent en montres de luxe et en bijoux.
    En février 2021, le cours de l’or a approché un maximum historique de 2000
    dollars l’once. Vu que la valeur de l’or est constamment stable, il est certain
    qu’investir dans ce produit financier est avantageux. En tenant compte du taux
    d’inflation qui est de 6,1 % au milieu de l’année 2022, il peut être judicieux de
    placer son épargne dans l’or. Pour revenir au marché de la joaillerie, disons
    que les années de pandémie ont donné un nouveau souffle aux bijoux
    personnalisés. Colliers, bracelets, boucles d’oreille, médaillons, les Roumains
    ont commencé à en acheter, notamment en ligne. Surtout qu’à la différence du
    marché des objets de luxe, ce domaine est plutôt accessible. Après une période
    de stagnation au début de la pandémie quand les Roumains ont préféré la
    prudence financière, le marché des bijoux s’est petit à petit revigoré,
    notamment grâce au commerce sur Internet. En fait, le confinement n’a fait
    qu’encourager les ventes en ligne, y compris de bijoux.


    Restons toujours en France pour un petit clin d’œil amical à
    Philippe Marsan
    de Biganos. Comment allez-vous ? En Roumanie, le mois de
    septembre nous a apporté des températures estivales. Nous avons eu 30 degrés à
    midi et un très beau soleil. Je sais que pour certains de nos auditeurs de
    l’Europe occidentale de telles températures risquent de poser des problèmes,
    mais nous, on a l’habitude des étés chauds. Sinon, je profite de l’occasion
    pour remercier M. Paul Jamet, au nom de tous mes collègues pour avoir rendu
    hommage sur le site du Radio club du Perche aux radios internationales ayant
    réalisé des interviews en honneur des 40 ans du radio club. Parmi ces radios il
    y a aussi RRI qui se retrouve dans une sélecte compagnie, avec Radio Slovaquie,
    Radio Taiwan, Radio Corée du sud et Radio Vietnam. Une super initiative que
    nous saluons chaleureusement. Cher Philippe Marsan, je vous souhaite un excellent weekend-end
    à l’écoute de nos émissions.


    Dirigeons-nous à l’autre bout du monde, plus précisément en Inde
    pour passer le bonjour de nous tous à Siddhartha Bhattacharjee qui nous a
    envoyé un nouveau rapport d’écoute. Comme je viens de le préciser déjà, nous
    n’avons pas encore la nouvelle série de cartes QSL. Il faut donc attendre avant
    de pouvoir confirmer ce rapport très bien concocté. Merci de votre
    compréhension et à la prochaine ! Je vous propose de retourner en France,
    du côté de Marseille pour dire le bonjour à M. Daniel Klotz qui lui aussi,
    attend une carte de confirmation QSL. Pour des soucis de budget, cette année,
    RRI a du mal à renouveler ses stocks de cartes QSL. Nous espérons que la
    situation trouve une solution, mais on ne sait pas vous dire quand. Sinon,
    votre rapport d’écoute est parfait, merci de l’avoir rédigé et merci d’écouter
    nos programmes. Bonne continuation !


    Passons la frontière avec la Belgique pour un clin d’œil amical
    à Marc Soens qui nous a envoyé un nouveau rapport d’écoute sur notre émission
    de midi. Notre auditeur a suivi le Journal, suivi par l’actualité consacrée en
    ce jour là à la migration illégale et aux efforts de la Roumanie d’intégrer
    l’Espace Schengen. Une petite pause musique avant de continuer l’émission par
    un aperçu sur les festivals de musique organisés sur la côté de la mer Noire.
    Nous avons eu par la suite un dossier sur la lutte contre la désertification,
    suivi par un petit quart d’heure de musique folklorique et une édition, en
    reprise, du cours de roumain de Dominique, « Le roumain mot à mot ».
    A la fin, une petite recette du terroir avec chef Alex. Merci bien, cher Marc
    Soens, pour tous ces détails de votre écoute. Votre carte QSL est méritée
    pleinement. A bientôt de vous lire !

    Madame, Monsieur, c’est tout pour aujourd’hui. Prochain
    rendez-vous avec moi, Ioana, au micro du courrier, début novembre. En
    attendant, prenez soin de vous et restez à l’écoute de RRI !

  • Mes pas dans leurs ombres, de Lionel Duroy

    Mes pas dans leurs ombres, de Lionel Duroy

    Dans « Mes
    pas dans leurs ombres » sorti en août dernier, chez Mialet Barrault, Lionel Duroy se penche sur un épisode
    tragique de l’histoire roumaine, à savoir le pogrom de Iasi, un crime perpétré pendant
    la Seconde Guerre mondiale par le régime fasciste roumain contre la population juive. Elena Diaconu, à la tête de la librairie française
    Kyralina a choisi de présenter ce roman au micro de RRI.