Category: RRI Spécial

  • Visite à la librairie française Kyralina de Bucarest

    Visite à la librairie française Kyralina de Bucarest

    Parmi
    les joyaux que recèle Bucarest, il en est un qui se trouve strada Biserica
    Amzei, tout près de la piata Romana, en plein cœur de la capitale. Au numéro 10
    de cette rue, vous entrez au son d’une clochette qui tintinnabule dans un
    espace au teint doré, à l’ambiance chaleureuse, aux étagères en bois remplies
    de livres, aux canapés qui invitent à la rêverie. Un bonjour, un buna ziua,
    selon le moment. Vous voilà à la librairie française Kyralina.


    Pour
    découvrir ce lieu unique à Bucarest, nous avons rencontré ces fondateurs, Bruno
    Ménat et Sidonie Mézaize, sa directrice Elena Diaconu
    et un de ses clients les plus fidèles, Bogdan Teodorescu. En les entendant
    parler de la librairie, se sont dessinés les contours d’un lieu aux multiples
    facettes, dépassant de loin la simple fonction de librairie. Un lieu-monde,
    précieux aux yeux de ceux qui le fréquentent. En quoi leur est-il si précieux ?
    Quel est l’état d’esprit qui y règne ?


    Elena,
    Bruno, Sidonie et Bogdan nous racontent au micro de Clémence Lheureux.

  • La librairie française Kyralina fête ses 10 ans

    La librairie française Kyralina fête ses 10 ans

    Il
    est une chose marquante lorsqu’on arrive à Bucarest. C’est l’expérience régulière
    de se retrouver de manière inopinée face à une personne qui s’adresse à vous en
    français, le plus naturellement du monde. C’est un peu déroutant au début puis
    on découvre vite que les liens entre la Roumanie et la France sont anciens et
    profonds. Une communauté francophone se maintient toujours dans le pays,
    soutenue par la présence de plusieurs institutions émanant de l’Etat français.


    C’est
    dans ce contexte, qu’en novembre 2012, la librairie française Kyralina ouvrait
    ses portes à Bucarest. Dix ans plus tard, c’est un lieu vivant et bien installé
    dans le paysage francophone local qui continue d’accueillir ses clients, petits
    et grands. La librairie a su trouver sa place dans cette capitale francophile
    et continue de se frayer un chemin bien à elle.


    Pour
    découvrir ce lieu unique à Bucarest, nous avons rencontré sa directrice Elena
    Diaconu, ses fondateurs, Bruno Ménat
    et Sidonie Mézaize, et un de ses
    clients les plus fidèles, Bogdan Teodorescu. Ils
    reviennent pour nous sur l’histoire de la librairie et sur la place qu’elle occupe
    dans l’univers francophone bucarestois. Portrait d’une librairie française de
    l’étranger. Par Clémence Lheureux.

  • Kathe Akana : le festival de théâtre rom

    Kathe Akana : le festival de théâtre rom

    Fin
    novembre s’est déroulée à Bucarest la deuxième édition
    du Festival international de théâtre rom Kathe Akana. Pendant une semaine des
    artistes et compagnies de Roumanie, de Hongrie et d’Italie se sont produits dans
    le quartier de Giulesti. La programmation était variée. Théâtre, musique et
    poésie étaient au rendez-vous d’un évènement plutôt confidentiel. Nous avons
    souhaité en savoir plus sur ce festival qui revendique un théâtre rom et
    engagé.


    Pour découvrir
    les ambitions du festival Kathe Akana, Clémence Lheureux a rencontré son
    directeur artistique, Alex Aristide Fifea.
    Voici son reportage.

  • Sésame, une expérience photographique

    Sésame, une expérience photographique

    Cette
    exposition présente les photos prises par des enfants issus de
    la communauté magyarophone du quartier de Satmarel de la ville de Satu Maredans le nord-ouest de la
    Roumanie. Cette communauté marginalisée est en proie à de
    nombreux problèmes sociaux et économiques. A contre-courant, ces images de
    leur vie, de leur quartier et de leurs proches nous donnent accès à leurs
    regards tendres et drôles portés sur une réalité que nous considérons trop
    souvent d’un œil fatigué ou méprisant.


    Cette
    exposition fait partie du cycle « S’affirmer par les arts : un parcours
    culturel pour la minorité rom », mis en œuvre par l’Institut français de
    Roumanie et le Goethe-Institut, avec le soutien financier du Fonds culturel
    franco-allemand. Elle nous offre l’occasion d’une plongée dans la vie de ces
    enfants et de ceux qui s’investissent à leurs côtés.


    Pour saisir au mieux l’intensité du
    moment et les enjeux personnels et collectifs qui l’habite, une multiplicité de
    points de vue s’impose. Nous avons voulu saisir ce moment du vernissage, à la
    fois comme point d’acme d’une aventure et comme temps de bilan et de projection
    vers l’avenir. Dans une première partie, nous remonterons le fil du temps pour
    comprendre ce qui a rendu ce moment possible. Les adultes présents nous parleront
    de leur travail et de leurs projets. Dans une deuxième partie, nous revivrons Ce
    vernissage dont les enfants étaient les rois. Et nous verrons comment des
    visions fugages d’un futur désirable s’y esquissent.

    Clémence Lheureux






  • 7ème édition du Karpatia Horse Show, ce weekend à Floresti

    7ème édition du Karpatia Horse Show, ce weekend à Floresti

    Situé à 80 km au nord de Bucarest,
    dans le département de Prahova, le Domaine Cantacuzène de Floresti, vestige de
    la grandeur architecturale roumaine du début du XXème siècle, a été érigé sur
    le modèle du grand et du petit Trianon français, à la demande de son
    propriétaire de l’époque, Grégoire George Cantacuzène, dit « le
    Nabab ». Ce petit bijou d’architecture a été construit par le célèbre
    architecte roumain Ion Berindey, représentant du style néo-roumain, et à qui
    l’on doit aussi le Palais abritant aujourd’hui le Musée national George Enescu
    de Bucarest. Aujourd’hui en ruine, le petit Trianon n’en demeure pas moins un
    monument d’importance dans le patrimoine architectural roumain, que l’héritière
    de la famille Cantacuzène, Irina Bossy Ghica, cherche à faire rénover. C’est
    avec cet objectif que l’arrière-petite-fille de Grégoire George Cantacuzène
    redonne vie au domaine, notamment en ouvrant régulièrement ses portes au public
    et en y organisant des évènements. C’est notamment le cas avec le Karpatia
    Horse Show, un concours équestre international qui se tient chaque année sur le
    domaine Cantacuzène depuis 2014. Après plus de deux ans de pandémie, le
    Karpatia Horse Show fait son grand retour cette année pour sa 7ème
    édition, les 23, 24 et 25 septembre.


    Notre invitée du jour, Mme Bossy
    Ghica, a accepté de nous parler de ce monument historique et des évènements qui
    y sont organisés.

  • Terre Blanche

    Terre Blanche

    Installée à Chambéry, en France, l’auteure française d’origine roumaine, Simona Ferrante, a lancé récemment, en Roumanie, la traduction en roumain de son deuxième roman Terre Blanche, paru chez RaphaëlEditions. Traduit du roumain par l’auteure-même, sous le titre Tărâmul Inocenţei, le roman est paru chez les Editions National, dans la collection Violet, coordonnée par Violeta Borzea. Pour apprendre davantage sur ce roman dont l’action se passe au Canada, écoutez Simona Ferrante en dialogue avec Ioana Stancescu.

  • Libraires et librairies – quel avenir, quelles perspectives, quelles stratégies?

    Libraires et librairies – quel avenir, quelles perspectives, quelles stratégies?



    En Roumanie, l’activité
    du libraire reste assez méconnue et, de fait, souvent incomprise. Considéré
    souvent comme des simples vendeurs, les libraires se réinventent, notamment
    quand ils travaillent dans des petites libraires indépendantes. Là, le libraire
    assume une multitude de tâches : commande de livres, réapprovisionnement du
    stock, étiquetage des produits, inventaire, présentation de la vitrine,
    contacts avec les représentants des maisons d’édition, organisation de séances
    de dédicace. Dans un pays comme la
    Roumanie où les statistiques disent que la grande majorité de la population,
    soit 93%, n’achète aucun bouquin par an, quel serait donc le rôle de la
    librairie et du libraire ?

  • La Fête du Trône

    La Fête du Trône

    Célébrée chaque année le 30 juillet, la Fête du trône au Maroc est un événement national qui correspond à l’anniversaire de l’intronisation du roi et de son allégeance officielle. A cette occasion, l’ambassadeur du Royaume du Maroc en Roumanie, son Excellence Hassan Abouyoub, a répondu aux questions du directeur de RRI, M. Eugen Cojocariu.

  • Julien Chiappone-Lucchesi, directeur de l’Institut Français de Roumanie…

    Julien Chiappone-Lucchesi, directeur de l’Institut Français de Roumanie…

    Au bout de deux ans de pandémie de
    Covid-19, une pandémie qui n’est toujours pas finie, la guerre en Ukraine est
    venue secouer davantage l’Europe et le monde entier ! On dit que lorsque les armes parlent, les
    lois se taisent. Et que les muses aussi restent silencieuses. Mais c’est
    justement dans ces muses, dans la culture et les œuvres artistiques que nous
    devrions chercher et trouver de l’appui pour récupérer l’essentiel de notre humanité, faire taire
    les armes, arrêter l’agression et se fier à l’intelligence humaine.


    En ces temps ô combien éprouvants, la
    relation entre la France et la Roumanie se resserre aussi dans le domaine de la
    coopération et des échanges culturels. Une réalité confirmée par les propos du
    nouveau conseiller de coopération et d’action culturelle à Bucarest et
    directeur de l’IFR, Julien
    CHIAPPONE-LUCCHESI, invité dans ce RRI Spécial sur Radio Roumanie
    Internationale.

  • La romancière canadienne d’origine roumaine, Felicia Mihali

    La romancière canadienne d’origine roumaine, Felicia Mihali

    Romancière, journaliste, professeure et éditrice d’origine
    roumaine, Felicia
    Mihali vit au Canada
    depuis 2000 quand elle a quitté la Roumanie, malgré une carrière littéraire
    très prometteuse. Spécialisée en littérature postcoloniale à l’Université de
    Montréal, FeliciaMihali a écrit en tout, trois romans en roumains, trois en
    anglais et neuf en français parmi lesquels Dina, paru en 2008 et que son
    auteure a décidé de traduire en roumain. D’ailleurs, c’est pour le lancement de
    sa traduction que FeliciaMihali est venue sur Bucarest et du coup, elle peut
    être présente à mes côtés, dans les studios de RRI.

  • 15ème édition du Bookfest de Bucarest

    15ème édition du Bookfest de Bucarest

    Organisé par l’Association des Editeurs de Roumanie,
    le salon international du livre de Bucarest, plus connu sous le nom de
    Bookfest, réunit chaque année des maisons d’éditions, des institutions et des
    auteurs venus des quatre coins du pays, et même du monde ! Cette année,
    pour cette 15ème édition, le Japon est à l’honneur. Rencontres,
    tables rondes, concours, séances dédicaces… les visiteurs ont l’embarra du
    choix !



  • Des centaines de réfugiés ukrainiens arrivent chaque jour dans la Gare du Nord

    Des centaines de réfugiés ukrainiens arrivent chaque jour dans la Gare du Nord

    Pendant que la guerre en Ukraine se poursuit, le nombre des ceux qui fuient le pays est à la hausse. La Roumanie a ouvert sa porte et ses frontières à tous ces gens désespérés, en situation vulnérable, qui cherchent à se mettre à l’abri, en laissant derrière eux un pays défiguré. Radio Roumanie Internationale est allée à la rencontre des réfugiés ukrainiens de la Gare du Nord, de Bucarest. Un reportage par Ioana Stancescu.

  • “Secrets d’histoire” de Stéphane Bern consacrés à Marie de Roumanie, l’étonnante reine des Carpates

    “Secrets d’histoire” de Stéphane Bern consacrés à Marie de Roumanie, l’étonnante reine des Carpates

    Surnommée la reine des blessés, la reine Marie de Roumanie est l’une des
    grandes figures de l’histoire de la Roumanie moderne et non seulement. Et pour
    cause : elle joue un rôle politique actif auprès du roi Ferdinand,
    soutient la population pendant la Grande Guerre et surtout, s’avère une
    excellente négociatrice qui arrive à servir les intérêts de son pays
    d’adoption. Du coup, on ne saurait nous déclarer surpris par le choix de
    Stéphane Bern de consacrer un épisode de son émission Secrets d’histoire à cette reine extraordinaire et
    malheureusement, peu connue. L’historien d’art d’origine roumaine, Gabriel
    BadeaPaun, est par téléphone, avec nous, depuis la France pour nous aider à
    mieux connaitre la reine Marie de Roumanie, grand – mère du roi Michel I,
    dernier souverain de notre pays.

  • Radio et confiance

    Radio et confiance

    Aujourd’hui nous parlons « Radio et
    confiance ».

    Proclamée en 2011 par les États membres de l’UNESCO et adoptée par
    l’Assemblée générale des Nations Unies en 2012 en tant que Journée
    internationale, le 13 février est devenue la Journée mondiale de la radio
    (JMR).






    Selon l’UNESCO,
    « la radio est un outil puissant pour célébrer l’humanité dans toute sa
    diversité et constitue une plate-forme pour le discours démocratique. Au niveau
    mondial, la radio reste le média le plus consommé. Cette capacité unique de
    toucher le public le plus large signifie que la radio peut façonner l’expérience
    de la société dans la diversité, être l’arène où toutes les voix peuvent
    s’exprimer, être représentées et entendues. Les stations de radio devraient
    desservir des communautés diverses, leur offrir une grande variété de
    programmes, de points de vue et de contenu. Les radios doivent être capables,
    dans leurs organisations et leurs opérations, de refléter la diversité de leurs
    publics ».


    « La radio reste l’un des médias les
    plus fiables et les plus utilisés, selon différents rapports internationaux. Le
    thème de l’édition 2022 de la Journée mondiale de la radio est donc consacré à
    Radio et Confiance ».






    Nous en parlons dans les minutes suivantes
    avec nos invités qui nous aideront à mieux comprendre l’évolution de la
    confiance des Roumains dans les médias, avec un accent mis bien évidemment sur
    la radio. Merci de marquer avec nous la JMR, sur RRI, la voix de la diversité !

    Nous célébrons la radio et nous parlons de la place qu’elle occupe dans
    la vie des Roumains, mais pas avant de connaître le message transmis à l’occasion
    de la JMR du 13 février 2022 par la directrice générale de l’UNESCO, Mme Audrey
    Azoulay. « C’est vers la radio que nous nous tournons plus que tout autre média
    lorsque nous avons besoin d’être informés », affirme-t-elle. Son message vous est présenté par
    Ligia Mihaiescu.

    La confiance dans la radio est
    étroitement liée aux attentes du public, des attentes qui s’avèrent de plus en
    plus grandes dans un monde où l’information circule librement par tous les moyens
    possibles. Dans ce paysage, la radio et la presse écrite sont les médias les
    plus crédibles aux yeux des Français. C’est ce que révèle la dernière édition
    du baromètre La Croix-Kantar, publiée le 20 janvier dernier. Chaque année
    depuis 1987, l’institut Kantar établit le baromètre sur la confiance des Français
    dans les médias. A l’occasion de la journée mondiale de la Radio du 13 février
    2022, revenons ensemble sur l’opinion des Français et la crédibilité qu’ils
    accordent à leurs médias, avec Charlotte Fromentaud.


    Mais qu’en est-il en Roumanie ?
    Eh bien en Roumanie, aussi, la radio reste le média le plus crédible, comme le
    constate une étude réalisée par le centre INSCOP en mars 2021. 40,6% des
    participants à l’enquête ont affirmé faire plus de confiance aux informations diffusées
    par les radios, 36% des Roumains préfèrent la télévision, près de 22% s’informent
    plutôt sur les pages internet des différents médias et près de 19% se contentent
    de lire uniquement les informations reçues via les réseaux sociaux. Evidemment,
    les jeunes préfèrent la Toile pour s’informer, alors que les générations plus
    âgées restent fidèles aux médias, disons, classiques : tels la radio, la presse
    écrite et la télévision. Et même si l’utilisation de réseaux sociaux est à la
    hausse, un Eurobaromètre réalisé toujours en février et mars 2021, constate que
    56% des Roumains interviewés ne font pas trop de confiance aux réseaux sociaux.
    Pour parler de toutes ces tendances en matière de confiance faite aux médias et
    de cette attitude paradoxale que les Roumains ont à l’égard des informations,
    nous avons invité au micro de RRI l’anthropologue et professeur des
    universités, Alec Bălășescu.

    Donnons maintenant la parole aux auditeurs,
    car c’est à leurs attentes que la radio doit répondre. Font-ils toujours
    confiance à la radio ? Comment choisissent-ils leurs sources d’informations ?
    Une première réponse nous vient de Paul Jamet de France, auditeur fidèle de RRI
    depuis de nombreuses années, passionné de la radio depuis toujours et membre du
    Radio Club du Perche. Il répond aux questions de Ligia Mihaiescu.

    Comme on a pu le constater, les gens
    ont tendance à construire une relation très spéciale avec la radio. C’est le
    cas aussi de Maguy Roy de France, que nous avons invitée au micro de RRI pour
    nous parler, au nom du Radio DX Club d’Auvergne et francophonie, de sa relation
    avec la radio et surtout.

    Pour certains la radio c’est la
    liberté, pour d’autres c’est une passion, pour d’autres encore c’est une source
    de divertissement. Pour de nombreuses communautés la radio est la source d’information
    la plus facile d’accès grâce à son faible coût et à son omniprésence. Pour les
    jeunes la radio se confond avec Internet. Autant d’attitudes différences envers
    ce média qui a fêté l’année dernière ses 100 ans d’existence. Un siècle plus
    tard, une chose est sûre, la radio reste le média auquel les gens font toujours
    le plus de confiance.


    Merci à toutes et à tous qui ont
    participé à cette émission spéciale réalisée à l’occasion de la JMR, célébrée
    chaque année le 13 février. Merci à tous qui ont suivi ce programme. Restez
    à l’écoute de votre radio préférée ! A très bientôt !

  • Priorités de la présidence française de l’UE

    Priorités de la présidence française de l’UE

    La France assume au premier semestre 2022 la présidence tournante de l’UE. Selon l’habitude respectée, à tour de rôle, par tous les États membres, Paris prépare son mandat à la tête de l’Union depuis un certain temps déjà, à travers aussi des visites de ses ministres émissaires dans les 26 autres capitales, dont Bucarest. C’est ainsi que Bucarest a accueilli, après Clément Beaune, secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, en septembre, la ministre de la transition écologique, Barbara Pompili, dont la visite éclair a eu lieu fin novembre 2021.

    Lors
    d’un point de presse avant son départ de la capitale roumaine, Mme Pompili a
    mentionné les principaux éléments de son déplacement :

    Début décembre 2021, l’ambassadrice de France en Roumanie, Laurence
    Auer, a donné une conférence de presse durant laquelle elle a présenté les
    lignes directrices de la future présidence française de l’Union, qui couvrira
    le premier semestre de 2022.