Tag: Alba Iulia

  • 01.12.2018

    01.12.2018

    Centenaire — Ce 1er Décembre, la Roumanie marque le Centenaire de la création de l’Etat national unitaire. Plus de 450 événements publics sont organisés à l’occasion, dans tout le pays. La participation préconisée est de plus de 550.000 personnes, malgré le froid intense. Bucarest a accueilli ce matin le plus grand défilé militaire des dernières dizaines d’années, un moment unique tant par le nombre des militaires qui sont passés sous l’Arc de triomphe que du point de vue de la technique de combat présentée. 4000 militaires ont paradé aujourd’hui dans la capitale, dont plus de 500 soldats de 20 pays partenaires et alliés. Ils ont été appuyés par 200 moyens techniques et presque 50 avions ont survolé le ciel de Bucarest. La technique de combat a compris, en première, le système de missiles antiaériens Patriot et des blindés Piranha 5, des transporteurs avec un niveau de blindage maximum, qui sont fabriqués en Roumanie à compter de cette année. Un autre défilé militaire a lieu aujourd’hui à Alba Iulia, ville du centre du pays où l’Union de la Transylvanie avec la Roumanie a été proclamée le 1er Décembre 1918. C’est le défilé militaire le plus ample depuis que de telles cérémonies sont organisées dans la ville de l’Union. Antérieurement, le Patriarche de l’Eglise orthodoxe roumaine, Daniel, et le Patriarche de Jérusalem, Théophile III, ont célébré une messe devant la Cathédrale de la Réintégration d’Alba Iulia. Par ailleurs, une nouvelle édition du Congrès de la spiritualité roumaine a été ouverte vendredi à Alba Iulia, avec la participation de représentants des communautés roumaines du monde entier. Plusieurs manifestations culturelles sont organisées ces jours-ci par les Instituts culturels roumains du monde entier, en partenariat avec les missions diplomatiques roumaines, pour célébrer la Fête nationale.



    Messages — Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a transmis à tous les Roumains, à l’occasion de la Fête nationale et du Centenaire depuis la création de l’Etat unitaire, que la nation a besoin de l’énergie et de l’implication de tous. L’histoire de la Roumanie — dit le chef de l’Etat — n’a pas été dépourvue d’obstacles, mais le pays a réussi à devenir une société mûre, avec des gens courageux, responsables, et de plus en plus impliqués du point de vue civique, qui ont le pouvoir de lutter pour une vie meilleure pour eux et leurs enfants. Le président a invité tous les Roumains, de Roumanie ou vivant à l’étranger, à construire ensemble la Roumanie du siècle prochain, unis autour de valeurs telles que la démocratie, la liberté et l’égalité devant la loi. A son tour, la première ministre Viorica Dăncilă a exprimé sa confiance que la société roumaine continue d’avoir assez de ressources pour le consensus, l’équilibre et la sagesse politique afin de promouvoir ses intérêts en tant que nation européenne. « Entrons dans le deuxième siècle d’existence de la Roumanie moderne en répétant l’exemple des Pères de la Grande Union, pour mener à bonne fin les projets stratégiques que nous nous sommes proposé pour la Roumanie », a dit la première ministre Viorica Dăncilă. Les Roumains ont également reçu des messages de félicitations de l’étranger pour leur Fête nationale. L’Union européenne ne serait pas complète sans la Roumanie, écrit la Commission européenne sur sa page Facebook, qui accompagne ses vœux d’un film comportant des images-symboles de la Roumanie. Le premier ministre de la République de Moldova, Pavel Filip, déclare, lui, que la Roumanie est pour l’Etat roumanophone voisin plus qu’un ami et un partenaire. « Aujourd’hui, nous célébrons avec tous les Roumains 100 années depuis la création de la Roumanie moderne et nous pensons à l’amitié qui nous unit et au Partenariat stratégique » – écrit aussi le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo dans un message de félicitations adressé au peuple roumain posté sur le site du Département d’Etat, au nom de l’Administration américaine. Le Pape François a également envoyé un message cordial au peuple roumain. Illuminations – Vendredi soir, la capitale roumaine a revêtu ses habits de lumière avec des illuminations de Noël, plus tôt que les autres années, pour marquer aussi le Centenaire de la Grande Union. Plus de 9 millions de petites ampoules colorées illuminent la ville, trois fois plus que ces dernières années. Plus de 40 kilomètres de rues et de boulevards sont décorés cette année. Au km 0 de la capitale a été mise en place une installation représentant la Colonne sans fin, haute de 12 m et pesant 110 kilos. Les illuminations de Noël, consacrées au Centenaire, ont été allumées par deux élèves primés aux concours scolaires, Place de la Constitution, là où un Marché de Noël, avec 129 maisonnettes, a également été ouvert, qui peut être visité jusqu’au 26 décembre. La Maison du Père Noël et une scène pour les spectacles prévus sont également à retrouver Place de la Constitution. Une patinoire et un carrousel pour les enfants y sont également aménagés.



    Illuminations – Vendredi soir, la capitale roumaine a revêtu ses habits de lumière avec des éclairages de Noël, plus tôt que les autres années, pour marquer aussi le Centenaire de la Grande Union. Plus de 9 millions de petites ampoules colorées illuminent la ville, trois fois plus que ces dernières années. Plus de 40 kilomètres de rues et de boulevards sont décorés cette année. Au km 0 de la capitale a été mise en place une installation représentant la Colonne sans fin, haute de 12 m et pesant 110 kilos. Les illuminations de Noël, consacrées au Centenaire, ont été allumées par deux élèves primés aux concours scolaires, Place de la Constitution, là où un Marché de Noël, avec 129 maisonnettes, a également été ouvert, qui peut être visité jusqu’au 26 décembre. La Maison du Père Noël et une scène pour les spectacles prévus sont également à retrouver Place de la Constitution. Une patinoire et un carrousel pour les enfants y sont également aménagés.



    Handball — La sélection roumaine de handball féminin fera son début samedi, au tableau du Championat européen de France, par un match contre la République Tchèque, au sein du groupe D dont font partie aussi la Norvège et l’Allemagne. Les trois premières équipes seront qualifiées pour l’étape suivante. L’équipe roumaine entraînée par l’Espagnol Ambros Martin, en est à sa treizième participation. La Roumanie s’est classée 5ème à l’édition 2016 du Championnat et troisième en 2010.



    Météo — Temps particulièrement froid en Roumanie, dans la plupart des régions. Le ciel est plutôt dégagé, mais dans le nord-est et le sud-sud-ouest, des nuages sont signalés, et du brouillard par endroits. Les maximales vont de -9 à 2°, avec -3° à Bucarest, sous le soleil.

  • 1 decembrie 2018 – Ziua Naţională a României

    1 decembrie 2018 – Ziua Naţională a României

    În 1918 toate provinciile istorice locuite de români se unesc sub acelaşi stat național, România. În 1859 s-a realizat unirea Țării Moldovei cu Țara Românească, care a fost urmată de dobândirea independenței în urma războiului din 1877-1878. Unirea Basarabiei, Bucovinei și Transilvaniei cu Regatul României a dus la constituirea României Mari. Prin Tratatele semnate la Trianon și Saint-Germain-en-Laye, Marea Unire a fost recunoscută pe plan internațional

    Devenită sărbătoare oficială după Revoluţia anticomunistă din 1989, Ziua Naţională şi împlinirea a 100 de ani de la crearea României Mari este marcată, în întreaga ţară, prin ceremonii militare, religioase şi culturale. În Bucureşti, aproximativ 4.000 de militari şi specialişti din Ministerul Apărării Naţionale, Ministerul Afacerilor Interne, Serviciul Român de Informaţii, Serviciul de Protecţie şi Pază şi Administraţia Naţională a Penitenciarelor, peste 200 de mijloace tehnice şi circa 50 de aeronave, între care aproximativ 500 de militari din ţări aliate sau partenere, au participat sâmbătă, la Parada Militară organizată cu ocazia Zilei Naţionale a României în Piaţa Arcul de Triumf. Parada a fost deschisă, în premieră, de către aviaţie.


    Președintele României, Klaus Iohannis a participat la parada militară din București. Sărbătorim împreună Centenarul Marii Uniri, momentul fondator al existenței noastre naționale. Avem o șansă uriașă pentru următorii 100 de ani: să dovedim că ducem mai departe visul de libertate și democrație al înaintașilor, că îl apărăm și îl prețuim. Să nu uităm niciun moment că este o onoare și o mândrie să facem parte din această națiune. La mulți ani, dragi români! La mulți ani, România!, a transmis preşedintele cu prilejul Zilei Naţionale.


    Detaşamentele de militari străini din Albania, Bulgaria, Canada, Cehia, Croaţia, Estonia, Franţa, Germania, Grecia, Italia, Letonia, Lituania, Polonia, Portugalia, Regatul Unit al Marii Britanii şi al Irlandei de Nord, Republica Moldova, Slovacia, SUA, Turcia şi Ucraina au participat la parada de 1 decembrie. Ziua Naţională a fost sărbătorită şi în marile garnizoane din ţară, cu participarea reprezentanţilor Armatei României, precum şi în teatrele de operaţii în care se află în misiune militari români. Cu ocazia Zilei de 1 Decembrie, Drapelul naţional a fost arborat în toate instituţiile militare din ţară, iar la bordul navelor maritime şi fluviale a fost ridicat Marele Pavoaz, precizează Ministerul Apărării Naţionale (MApN)..

    Aproape 2 mii de militari și 180 de autovehicule prezente la parada de 1 decembrie şi la Alba Iulia. Transportoare blindate, autospeciale de intervenție și lansatoare de rachete, elicoptere și avioane de vânătoare trec prin fața zecilor de mii de oameni care au ajuns în orașul Unirii. Iaşiul a fost declarat de Parlament, Capitală istorică a României, iar Alba Iulia, Capitală a Marii Uniri. ca recunoaştere morală, în An Centenar, a contribuţiei lor la cel mai important proiect de ţară al românilor.

  • 30.11.2018 (mise à jour)

    30.11.2018 (mise à jour)

    Centenaire – Le 1 Décembre, la Roumanie marque le centenaire de la création de l’Etat roumain. Plus de 450 manifestations réunissant plus de 550.000 personnes seront organisées pour l’occasion. Quelque 4000 soldats et membres du Ministère de l’Intérieur, de la Défense et des Services de renseignements, paraderont samedi, dans la capitale, appuyés par 200 moyens techniques et presque 50 avions qui perceront le ciel de Bucarest. 500 militaires étrangers participeront également au défilé. Vendredi, le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, a organisé une réception pour marquer la Fête nationale. A ses dires, le centenaire n’aurait pas été possible sans le sacrifice des soldats sur le champ de bataille, sans la sagesse des élites politiques préoccupées à réaliser les idéaux des Roumains ou sans la contibution de la famille royale ou encore des minorités nationales, a précisé le président roumain. Par ailleurs, une nouvelle édition du Congrès de la spiritualité roumaine a ouvert vendredi ses portes, à Alba Iulia, en présence des représentants des communautés roumaines du monde entier. Plusieurs manifestations culturelles sont organisées en ces jours-ci par les Instituts culturels roumains du monde entier, en partenariat avec les missions diplomatiques roumaines.

    Patriarches – Le Patriarche de l’Eglise orthodoxe roumaine, Daniel et celui de Jérusalem et de toute la Palestine, Théophile III participeront samedi, à Alba Iulia, aux cérémonies consacrées à la Fête nationale roumaine et au centenaire de la Grande Union. Une messe sera célébrée samedi dans toutes les églises orthodoxes du pays dont les cloches résonneront trois minutes durant. Vendredi, les deux patriarches se sont rendus à la Cathédrale nationale inaugurée la semaine dernière, pour concélébrer une messe consacrée à la Saint André, le patron de la Roumanie.


    Noël – Le Marché de Noël Bucarest 2018 a ouvert vendredi ses portes, par une série d’événements, spectacles et attractions spécifiques à cette période de fête. 129 maisonnettes dont celle du Père Noël, une patinoire et une scène ont été mises en place au cœur de Bucarest, Place de l’Université. Le marché sera ouvert un mois durant. Par ailleurs, vendredi encore, la capitale roumaine a revêtu ses habits de lumière avec des illuminations de Noël beaucoup plus intenses que dans les années précédentes : plus de 9 millions de petites ampoules colorées illuminent la ville, trois fois plus que ces dernières années. Plus de 40 kilomètres de rues et de boulevards sont décorés cette année.

    Economie – L’inflation dans la zone euro a ralenti en novembre à 2%, selon des données provisoires diffusées vendredi par l’Office européen des statistiques, Eurostat. En octobre, l’inflation dans la zone euro était de 2,2%, tandis qu’en Roumanie et en Estonie, elle grimpait à 4,5% et respectivement à 4,2%, soit les taux les plus élevés de l’UE. En revanche, la Roumanie affichait en octobre dernier un taux du chômage de 4%, bien en dessous d’une moyenne européenne de 6,7%. Entre temps, à Bucarest, le ministre des Finances a informé que le déficit budgétaire consolidé de la Roumanie s’est chiffré à presque 4,5 milliards d’euros, soit 2,2% du PIB, durant les dix premiers mois de l’année en cours. Entre janvier et octobre 2018, les recettes budgétaires ont été de 12% plus importante qu’en 2017. Pourtant, cette hausse s’est accompagnée d’une majoration des dépenses budgétaires dont le montant a été de 18% plus significatif qu’une année auparavant. Sur l’ensemble des dépenses, 25% ont concerné le personnel. A en croire le gouvernement, le déficit budgétaire sur 2019 ne dépassera pas les 3% du PIB.

    Handball – La sélection roumaine de handball féminin fera son début samedi, au tableau du Championat européen de France, par un match contre la République Tchèque, au sein du groupe D dont font partie aussi la Norvège et l’Allemagne. Les trois premières équipes seront qualifiées pour l’étape suivante. L’équipe roumaine entraînée par l’Espagnol Ambros Martin, en est à sa treizième participation. La Roumanie s’est classée 5ème à l’édition 2016 du Championnat et troisième en 2010. Par ailleurs, l’équipe Dinamo Bucarest, championne roumaine de handball masculin a conquis sa place au play-off de la Ligue des Champions, suite à sa victoire de jeudi, contre les Suisses de Wacher Thun.

    Météo – Il continuera à faire très froid en Roumanie, dans les 24 heures à suivre. Le ciel sera plutôt bleu, sauf dans le sud-ouest et le nord-est où il sera couvert. Le vent soufflera légèrement. Les températures maximales iront de -9 à 2 degrés.

  • Nachrichten 30.11.2018

    Nachrichten 30.11.2018

    Bukarest: In der rumänischen Stadt Alba Iulia, in der Mitte des Landes, wo am 1. Dezember die Vereinigung Siebenbürgens mit Rumänien ausgerufen wurde, ist die Tagung der Rumänischen Spiritualität eröffnet worden. Es beteiligen sich daran Vertreter der rumänischen Gemeinschaften aus der ganzen Welt. Es geht um ein Event anlässlich der 100 Jahre seit der Vereinigung aller rumänischen historischen Provinzen in einem einzigen Staat. Das Programm enthält militärische Feierlichkeiten und Kranzniederlegungen bei den Denkmälern der historischen Persönlichkeiten, die eine wesentliche Rolle bei der Großvereinigung hatten. Laut Lokalbehörden werden am 1. Dezember mehr als 100.000 Personen in Alba Iulia erwartet. Der rumänische Staatschef Klaus Iohannis hat anlässlich des Nationalfeiertages einen Empfang. Laut Iohannis handelt die Hundertjahrfeier nicht nur über die Vergangenheit sondern auch über das zukünftige Rumänien. Rumäne sein, bedeutet heute Europäer sein, Teil einer Wertegemeinschaft sein, die die Freiheit, die Solidarität, den Respekt vor der menschlichen Würde, die Demokratie schätzt und in der der Rechtsstaat herrscht, so der Landespräsident. Für den 1. Dezember sind auf Landesebene rund 450 Events, an denen sich rund 550.000 Personen beteiligen werden, geplant.



    XXX : Die Jahresinflationsquote im Euroraum ist im November von 2,2% im Oktober auf 2% gesunken, so die Daten des Europäischen Statistikamtes (Eurostat). Zuvor hatte Eurostat informiert, dass die Jahresinflationsquote im Euroraum und in der EU im Oktober auf 2,2% gestiegen sei. Estland und Rumänien haben die höchsten Inflationsquoten in der EU und zwar 4,5%, beziehungsweise 4,2%. Die Arbeitslosenquote aber betrug in Rumänien im Oktober 4% und ist unter dem EU-Durchschnitt, der bei 6,7% liegt. Andererseits hat der rumänische Finanzminister Eugen Teodorovici erklärt, das konsolidierte Haushaltsdefizit war in den ersten zehn Monaten dieses Jahres von 21 Milliarden Lei, was 2,2% des BIP darstellt. Im Zeitraum Januar-Dezember waren die Haushaltseinkommen um 12 % höher als im vergangenen Jahr. Die Ausgaben waren aber um 18 % höher als im gleichen Zeitraum 2017. Die Regierung behauptet, das Haushaltsdefizit werde nicht 3% des BIP überschreiten.



    Bukarest: Die Bukarester Regierung wird weiterhin öffentliche Politiken im Dienste des Landes und zum Nutzen der rumänischen Bürger führen. Dies erklärte die rumänische Premierministerin Viorica Dancila bei einer feierlichen Regierungssitzung am Donnerstag in Alba Iulia anlässlich des Nationalfeiertages Rumäniens am 1. Dezember, im Jahr der Hundertjahrefeier seit der Gründung des einheitlichen rumänischen Staates. Am 1. Dezember 1918 wurde in Alba Iulia die Große Vereinigung aller rumänischen Provinzen verwirklicht. Bei der feierlichen Regierungssitzung in Alba Iulia gab Premierministerin Viorica Dancila bekannt, das Bauwesen werde zur ersten Priorität von nationaler Bedeutung für die rumänische Wirtschaft; der Mindestlohn in diesem Wirtschaftsektor werde auf 3.000 Lei (umg. 640 Euro) im Monat erhöht. Ab 1. Januar werden auch die Zuschüsse für Invaliden, Kriegsveteranen und Kriegswitwen fünfmal höher. Nicht zuletzt werde die Exekutive durch einen Regierungsbeschluss die Nationale Gesellschaft Casa Română de Comerţ Agroalimentar UNIREA“ (zu dt. Die rumänische Handelsgesellschaft für landwirstchaftliche Produkte und Lebensmittel UNIREA) gründen, eine Handelsgesellschaft zur Verwertung der nationalen Agrarresourcen und Agrarproduktion. Vor der feierlichen Regierungssitzung besuchte die Ministerpräsidentin Viorica Dancila das Vereinigungsdenkmal in Alba Iulia, eine der spektakulärsten Investitionen anlässlich der Jahrhundertfeier der Großen Vereinigung. Das Denkmal mit einer Gesamthöhe von 22 Metern wird am 1. Dezember in Anwesenheit des Staatsprasidenten Klaus Iohannis feierlich eingeweiht. Das rumänische Parlament ist am Mittwoch zu einer feierlichen Sitzung anlässlich des Vereinigungsjubiläums zusammengekommen. Zu den Rednern gehörten Staatschef Klaus Iohannis und die Präsidenten der beiden Kammern des Parlaments Călin Popescu-Tăriceanu und Liviu Dragnea, Premierministerin Viorica Dăncilă und Prinzessin Margarethe, die Bewahrerin der rumänischen Krone. Staatspräsident Klaus Iohannis hat die Politiker aufgefordert, auf die Stimme der Rumänen zu hören. Premierministerin Viorica Dancila hat eine Rede über Frieden und Einheit gehalten.

  • Rezoluţia de la Alba Iulia, un document istoric

    Rezoluţia de la Alba Iulia, un document istoric

    Rezoluţia Adunării Naţionale de la Alba Iulia, de acum un secol, este document istoric de o valoare excepţională care a modelat vremurile ce au venit şi demonstrează profunzimea gândirii celor care l-au alcătuit. Într-un haos cumplit ce cuprinsese Europa la sfârşitul Primului Război Mondial, cu imperii prăbuşite şi armate radicalizate, nutrind revoluţii bolşevice în capitalele Occidentului, liderii românilor din Transilvania au derulat un proces coerent şi profund de îndeplinire a dezideratului Unirii cu România.



    De-a lungul secolului trecut de când acest text a fost adoptat, el a fost invocat şi comentat în diferite feluri şi cu cele mai diverse intenţii. Simpla citire a Rezoluţiei centenare ne arată un document foarte bine conceput, echilibrat, subtil şi puternic. Să nu uităm că el a fost redactat de liderii românilor, personalităţi de excepţie, şi a fost adoptat de 1228 de reprezentanţi cu drepturi depline, aleşi de românii din Transilvania şi Banat, în condiţiile stricte şi democratice prevăzute în Convocarea lansată la Arad, cu 10 zile înainte.



    Rezoluţiunea Adunării Naţionale de la Alba Iulia este structurată în nouă mari teme care stabilesc clar decizia de unire şi cum va arăta noul stat al românilor. Frazele sunt scurte şi fără echivoc, cuprinzătoare, nu ridică rezerve sau îndoieli. De la început, de la primele cuvinte, se spune că Adunarea Naţională a tuturor Românilor din Transilvania, Banat şi Ţara Ungurească, adunaţi prin reprezentanţii lor îndreptăţiţi la Alba-Iulia, decretează unirea acelor români şi a tuturor teritoriilor locuite de dânşii cu România.



    Mai clar nu se putea spune, mai direct nu putea fi formulată această decizie! Imediat, în al doilea punct, se anunţă că Adunarea Națională rezervă teritoriilor sus indicate autonomie provizorie până la întrunirea Constituantei aleasă pe baza votului universal. În acele vremuri confuze, Rezoluţia pune şi provizoratul în termeni clari. Al treilea punct are şase prevederi care, împreună, constituie schiţa unei politici de viitor, o constituţie dintre cele mai moderne şi democratice.



    Sunt principii fundamentale la alcătuirea noului Stat Român formulate de Adunarea Naţională de la Alba Iulia. Acum un secol, în momentul istoric al unirii, sunt proclamate deplina libertate naţională pentru toate popoarele conlocuitoare, deplină libertate autonomă confesională, înfăptuirea desăvârşită a unui regim curat democratic, desăvârşita libertate de presă, asociere şi întrunire, reforma agrară radical şi asigurarea de drepturi şi avantaje pentru muncitorimea industrială ca în cele mai avansate state industriale din Apus. Menţiunile sunt detaliate în principii puternice, ce stau la baza unei democraţii moderne, valabile şi astăzi.



    Pe lângă decizia unirii şi prezentarea unui plan detaliat de viitor, Rezoluţia de la Alba Iulia are şi dimensiuni internaţionale şi diplomatice. Al patrulea punct al său trimite deja la congresul de pace ce avea să urmeze, exprimându-se dorinţa ca acesta să înfăptuiască comuniunea națiunilor libere în așa chip ca dreptatea și libertatea să fie asigurate pentru toate națiunile mari și mici, deopotrivă, iar în viitor să se elimine războiul ca mijloc pentru regularea raporturilor internaționale. Sunt principiile organizaţiilor internaţionale de mai târziu, sunt principiile vieţii internaţionale afirmate şi în zilele noastre.



    Apoi, cu gândul la evenimentul petrecut cu doar două zile înainte, Românii adunați în această Adunare Națională salută pe frații lor din Bucovina, scăpați din jugul Monarhiei austro-ungare și uniți cu țara mamă România. De asemenea, cu iubire şi entuziasm, este salutată eliberarea naţiunilor cehoslovacă, austro-germană, iugoslavă, polonă şi ruteană, din fosta monarhie austro-ungară.



    Eroii nu sunt uitaţi: Adunare Naţională cu smerenie se închină înaintea memoriei acelor bravi români, care în acest război și-au vărsat sângele pentru înfăptuirea idealului nostru murind pentru libertatea și unitatea națiunii române. De asemenea, recunoştinţa românilor de la Alba Iulia s-a îndreptat către Puterile Aliate, care prin strălucitele lupte purtate cu cerbicie împotriva unui dușman pregătit de multe decenii pentru război au scăpat civilizațiunea de ghiarele barbariei.



    Sunt cuvinte care emoţionează şi la care trebuie să ne raportăm mereu, să învăţăm din gândirea marilor oameni care au făcut unirea românilor şi să o invocăm atunci când vorbim despre ţara noastră, România!

  • November 30, 2018

    November 30, 2018

    FEAST DAY – Orthodox, Greek Catholic and Roman Catholic believers from all over the world, Romania included, are today celebrating St. Apostle Andrew. He is the first of Jesus Christ’s apostles who preached Christianity in the south of Romania, in Dobruja. Saint Andrew is also the patron saint of Romania. Saint Andrew preached in Dobruja and in today’s Ukrainian territory, in Great Scythia, and in Byzantium. He then went to Greece and preached the Gospel, going up to Patras town where he died a martyr’s death. He was crucified on an X-shaped cross. Over 700 thousand Romanians named after St. Andrew celebrate their name day today.




    CELEBRATIONS – Alba Iulia, the central Romanian city where on December 1st 1918, the Romanian nation state was proclaimed, is hosting as of today a new edition of the Congress of Romanian Spirituality, attended by representatives of Romanian communities from all over the world. This is only one of the events held on Friday and Saturday in the city, in celebration of 100 years since Romania became a nation state. Military and religious ceremonies at the monuments of the personalities and heroes that played an important role in the unification of all Romanian provinces have been scheduled for today. According to local authorities, over 100 thousand people are expected to attend celebrations in Alba Iulia on December 1st. In Bucharest, President Klaus Iohannis will host a reception on the occasion on Romania’s National Day. According to Klaus Iohannis, the centenary is not only about the past, but also about the future Romania. Being a Romanian is now the same with being a European, and means being part of a community of values that treasures freedom, democracy, solidarity, the respect for human dignity and for the rule of law, Iohannis has said. On December 1st, around 450 public events have been announced with over 550 thousand people expected to attend.




    RELIGIOUS SERVICE – Patriarch Daniel of the Romanian Orthodox Church and Patriarch Theophilos II of Jerusalem and All Palestine officiated a religious service on Friday, dedicated to St. Apostle Andrew, celebrated on Nov 30 and considered the protector of Romania. The religious service was held at the new national cathedral in Bucharest, inaugurated a week ago. His Beatitude Patriarch Theophilos announced that the delegation of the Jerusalem Patriarchate brought with them a fragment of the holy relics of Saint John Jacob for the new cathedral. Patriarch Daniel said that these relics of ‘the Romanian Saint from the Holy Land’ will be placed in one of the chapels at the basement of the National Cathedral which will be dedicated to Saint John Jacob. The Patriarch of Jerusalem arrived in Romania Thursday morning to lead the celebrations of the first patronal feast held in the National Cathedral. On Saturday, Patriarch Theophilos will also attend, alongside patriarch Daniel, the ceremonies in Alba Iulia marking Romania’s National Day and the 1918 Great Union Centennial.



    G 20 – G20 member nations are struggling to reach agreement on major issues including trade, migration and climate change as world leaders have gathered in the Buenos Aires for a summit starting on Friday. This is the first G20 summit ever held in South America. The summit takes place amid new tension with Russia over Ukraine and a US trade row with China. US President Donald Trump has cancelled a meeting with his Russian counterpart, Vladimir Putin, in protest at Russias seizure of Ukrainian naval boats. Trump’s move may also be connected to the internal investigation regarding suspicions of Russian interference in the elections for the White House, commentators believe. The two-day summit in Buenos Aires will be a major test for the Group of 20 industrialized nations, whose leaders first met in 2008 to help rescue the global economy from the worst financial crisis in seven decades, but which now faces questions over its relevance to deal with the latest round of crises, Reuters reports. Overhanging the summit in Buenos Aires, the Argentine capital, is a bitter trade dispute between the United States and China, the world’s two largest economies, which have imposed tariffs on hundreds of billions of dollars of each other’s imports.



    HANDBALL – The Romanian womens handball team is in France where it will play the Czech Republic in the European Championships Group D on Saturday. Romania will next play Germany on December 3 and Norway on December 5. The first three teams in each group will advance to the next phase. Coached by Ambros Martin of Spain, Romania is taking part in the Championship for the 13th time. Two years ago it ranked 5, while its best performance was in 2010, when it scooped bronze.


    (Translated by Elena Enache)

  • 30.11.2018

    30.11.2018

    Centenaire – Une nouvelle édition du Congrès de la spiritualité roumaine a ouvert vendredi les portes, à Alba Iulia, ville où l’on a proclamé le 1 décembre 1918 l’union de la Transylvanie avec la Roumanie. L’événement qui se déroule deux jours durant pour marquer le centenaire de la Grande Union comportera des cérémonies militaires et de dépôts de couronnes sur les monuments de la ville consacrés aux différentes personnalités historiques. Plus de 100.000 personnes sont attendues le samedi, 1 Décembre, à Alba Iulia. A Bucarest , le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, offrira vendredi une réception pour marquer la Fête nationale. A ses dires, le centenaire ne concerne pas seulement le passé, mais il porte sur l’avenir aussi. De nos jours, être Roumain signifie être Européen, faire partie d’une communauté de valeurs qui privilégie la liberté, la solidarité, la dignité humaine, la démocratie et où l’Etat de droit est souverain a encore précisé le président roumain. Plus de 450 manifestations réunissant plus de 550.000 personnes seront organisées samedi, partout en Roumanie, pour marquer la Journée nationale du pays.

    Patriarches – Le Patriarche de l’Eglise orthodoxe roumaine, Daniel et celui de Jérusalem et de toute la Palestine, Théophile III ont concélébré ce vendredi, à la Cathédrale nationale inaugurée la semaine dernière, une messe consacrée à la Saint André, le patron de la Roumanie. Samedi, le 1 décembre, les deux patriarches se rendront à Alba Iulia pour participer aux cérémonies consacrées au centenaire de la Grande Union des principautés roumaines. A l’occasion de la Fête nationale de la Roumanie, une messe sera célébrée samedi dans toutes les églises orthodoxes du pays dont les cloches résonneront trois minutes durant.


    Economie – L’inflation dans la zone euro a ralenti en novembre à 2%, selon des données provisoires diffusées vendredi par l’Office européen des statistiques, Eurostat. En octobre, l’inflation dans la zone euro était de 2,2%, tandis qu’en Roumanie et en Estonie, elle grimpait à 4,5% et respectivement à 4,2%, soit les taux les plus élevés de l’UE. Entre temps, à Bucarest, le ministre des Finances a informé que le déficit budgétaire consolidé de la Roumanie s’est chiffré à presque 4,5 milliards d’euros, soit 2,2% du PIB, durant les dix premiers mois de l’année en cours. Entre janvier et octobre 2018, les recettes budgétaires ont été de 12% plus importante qu’en 2017. Pourtant, cette hausse s’est accompagnée d’une majoration des dépenses budgétaires dont le montant a été de 18% plus significatif qu’une année auparavant. Sur l’ensemble des dépenses, 25% ont concerné le personnel. A en croire le gouvernement, le déficit budgétaire sur 2019 ne dépassera oas les 3% du PIB.

    Handball – L’équipe Dinamo Bucarest, championne roumaine de handball masculin a conquis sa place au play-off de la Ligue des Champions, suite à sa victoire de jeudi, contre les Suisses de Wacher Thun. Par ailleurs, la sélection roumaine de handball féminin fera son début au tableau du Championat européen de France par un match contre la République Tchèque, au sein du groupe D dont font partie aussi la Norvège et l’Allemagne. Les trois premières équipes seront qualifiées pour l’étape suivante. L’équipe roumaine entraînée par l’Espagnol Ambros Martin, en est à sa treizième participation. La Roumanie s’est classée 5ème à l’édition 2016 du Championnat et troisième lors de l’édition 2010.

    Solar Decathlon – L’équipe roumaine EfdeN s’est classée quatrièle lors de la dernière édition de Solar Decathlon, la compétition internationale la plus importante consacrées aux habitats solaires. Déroulé en novembre, à Dubai, le concours a invité les participants à concevoir des habitats solaires intelligents et écologiques censées répondre aux conditions climatiques du Moyen Orient. Lancée en 2002, aux Etats-Unis, Solar Decathlon est une compétition de maisons soutenables. EfdeN est l’organisation nongouvernementale la plus importante de Roumanie qui imagine des habitats solaires à but éducatif et de recherche ou encore des produits écologiques et éducationnels à l’intention des étudiants, experts ou de quiconque s’y intéresse.

    Météo – Il gèle en Roumanie, informe l’Institut national de météorologie. On attend aussi de fortes rafales de vent, dont la vitesse pourrait atteindre 55 km/h dans le sud-est et le sud-ouest, voire même 70km/h dans les régions littorales. Les températures maximales iront de moins 9° à 1° . – 2 degrés à midi, dans la capitale roumaine.

  • November 29, 2018 UPDATE

    November 29, 2018 UPDATE

    MOTORWAY – Romania’s President Klaus Iohannis
    on Thursday ratified the law on the Union Motorway, which will cross the
    Carpathians and link the cities of Iasi in Moldavia to Targu Mures in
    Transylvania. The president said the motorway could stop the fierce migration
    of the workforce to the eastern part of the country and capitalize on the
    region’s development potential. This project also holds a particular strategic
    importance, as it will firmly contribute to the European Union accession of the
    Republic of Moldova. The motorway will start on the Romanian-Moldovan border on
    a new bridge over the river Prut and end with a connection to the Brasov-Bors
    motorway, on the Hungarian border. Each year the government will earmark budget
    allocations to this project. The Transport Ministry will oversee the project
    and will kick off procedures to attract investment within 30 days of the law
    taking effect.




    STUDY – Romania’s population will drop by approximately 5 million
    inhabitants by 2050, a study carried out by a US research company warns. The
    main causes behind this sharp drop include migration, population aging, the low
    birth rate and an even lower fertility rate. According to the latest study
    conducted by the Association of Human Reproduction in Romania, one in five
    couples faces infertility issues. Experts claim public policies and concrete
    measures are needed to encourage and support young people to become parents.




    GOVERNMENT – The
    government will continue to implement public policies to benefit the country
    and its citizens, Romania’s prime minister Viorica Dancila has promised.
    Together with her cabinet, she took part in a special government meeting on
    Thursday in Alba Iulia, central Romania, dedicated to the celebration of
    Romania’s National Day on 1 December, in a year when the country celebrates 100
    years since the creation of the Romanian nation state. Alba Iulia is the city
    where the Great Union was accomplished in 1918. Viorica Dancila
    announced that the building sector would be considered a priority and of
    national importance for the Romanian economy, and that a minimum gross salary
    of some 640 euros would be set in this field. January 1 will also see a 5-time
    increase on average of the allowances of war invalids, veterans and widows.
    Last but not least, the government will approve the creation of a Food Trade
    National Society, a commercial mechanism meant to promote the local resources
    and agricultural products. Before the government’s meeting, the prime
    minister visited the Union Memorial, one of the most spectacular projects
    celebrating the Centenary of the Great Union. The structure is 22 m high and
    will be unveiled on 1 December, in the presence of president Klaus Iohannis.




    FEAST DAY – Orthodox, Eastern -Catholic and Roman-Catholic
    Christians in Romania on Friday celebrate the feast day of Saint Andrew the
    Apostle, the patron saint of Romania. As a disciple of Jesus Christ, Saint
    Andrew preached and converted people in Dobrogea, eastern Romania. Over 700,000
    Romanians celebrate their name day on Friday.




    HANDBALL – The Romanian women’s handball team is in France where it
    will play the Czech Republic in the European Championship’s Group D on
    Saturday. Romania will next play Germany on December 3 and Norway on December
    5. The first three teams in each group will advance to the next phase. Coached
    by Ambros Martin of Spain, Romania is taking part in the Championship for the
    13th time. Two years ago it ranked 5, while its best performance was
    in 2010, when it scooped bronze.


    (Translated by V.
    Palcu)

  • 29.11.2018

    29.11.2018

    Union – La première ministre roumaine, Viorica Dancila et des membres de son cabinet participent ce jeudi à Alba Iulia, au centre du pays, à une séance solennelle de gouvernement pour marquer le siècle écoulé depuis la Grande Union. C’est à Alba Iulia qu’a été signée le 1 décembre 1918 la proclamation de la création de la grande Roumanie. Avant la séance de gouvernement, Mme Viorica Dancila s’est rendue au Monument de l’Union, un des investissements les plus spectaculaires réalisés à l’occasion du centenaire. Haut de 22 mètres, le monument sera inauguré le 1 décembre, en présence du chef de l’Etat, Klaus Iohannis. Lors de la séance d’hier au Parlement, Klaus Iohannis a appelé les responsables politiques à écouter la voix du peuple.

    Défense – Une équipe roumaine de plus de 70 personnes participe d’ici le 30 novembre à l’exercice de cyber-défense Cyber Coalition 2018, le plus important de ce type jamais organisé par l’OTAN. Les manœuvres dont le centre de coordination est basé à Tartu, en Estonie, visent à tester les capacités de l’Alliance à protéger ses réseaux informatiques face à d’éventuelles cyberattaques. Chaque Etat membre y participe à travers une connexion sécurisée au réseau cybernétique mis à sa disposition par le Ministère estonien de la Défense et configuré par le Centre cyberInt des Services roumains de Renseignement.

    Chômage – En Roumanie, en octobre, le taux de chômage a connu une hausse de 0,1% par rapport au mois précédent, il s’élève à 4%, selon l’Institut National des Statistiques. Le taux de chômage chez les hommes a dépassé de 1,4 pourcent celui des femmes, précise la même source. L’INS ajoute que le chômage a atteint les 3,2% en octobre chez les personnes âgées de 25 à 74 ans, 3,8% chez les hommes et 2,3% chez les femmes.

    Handball – Les 16 meilleures sélections européennes de handball féminin, y compris celle de Roumanie, participent à partir d’aujourd’hui à l’édition 2018 du Championnat européen en France. L’équipe roumaine entraînée par l’Espagnol Ambros Martin, en est à sa treizième participation et fait partie du même groupe que la République Tchèque, l’Allemagne et la Norvège. Les tricolores débuteront samedi la compétition par un match contre les Tchèques. Les trois premières équipes seront qualifiées pour l’étape suivante. La Roumanie s’est classée 5ème à l’édition 2016 du Championnat et troisième lors de l’édition 2010.
    Météo -La Roumanie connait ce jeudi une chute des températures, qui sont négatives dans la plupart des régions. Le ciel est plutôt variable dans le nord-ouest et le centre et nuageux dans le reste du territoire. La vitesse du vent peut atteindre les 60 km à l’heure en altitude. Les températures maximales vont de -6 à 2 degrés. – 2 degrés, à midi, à Bucarest.

  • QSL novembre 2018 – La statue équestre de Michel le Brave

    Inaugurée il y a 50 ans presque jour pour jour, le 28 novembre 1968, à l’occasion du demi-centenaire de la Grande Roumanie, cette sculpture est de l’artiste Oscar Han. Elle est haute de 8 mètres et demi, son socle mesurant à lui seul 2 m de hauteur. Oscar Han est né à Bucarest, en 1891, dans une famille mixte : son père était d’origine allemande et sa mère était Roumaine. Il a étudié la sculpture et le dessin à l’Académie des beaux-arts de Bucarest et il fut l’artiste préféré de la Maison Royale roumaine.

    La statue équestre de Michel Le Brave est un point de référence pour la citadelle d’Alba Carolina sise dans la ville d’Alba Iulia. Elle est placée dans la rue du même nom au centre de la forteresse, et rappelle l’entrée triomphale du voïvode dans la citadelle, le 1er novembre 1599. Pour rappel, Mihai Viteazul, Michel le Brave, était le voïvode de la principauté de Valachie entre 1593 et 1600. En 1600 il devient le leader des trois principautés médiévales roumaines réunies pour la première fois.

  • Nachrichten 28.11.2018

    Nachrichten 28.11.2018

    Bukarest: Am 28. November vor 100 Jahren war der historische Prozess der Vereinigung der Provinz Bukowina mit Rumänien abgeschlossen – nach fast anderthalb Jahrhunderten habsburgischer Herrschaft über das Gebiet. Nach der Niederlage der Donaumonarchie im Ersten Weltkrieg beschloss der Nationalrat der Provinz mit Stimmenmehrheit die Vereinigung mit Rumpf-Rumänien. Im März 1918 hatte bereits Bessarabien die Vereinigung beschlossen, am 1. Dezember 1918 folgten Siebenbürgen, das Banat, die Maramureş und die Crişana – der nationale rumänische Einheitsstaat war geboren. Diese Woche finden im ganzen Land Vorbereitungen für die Nationalfeier vom 1. Dezember statt. Der nationale rumänische Einheitsstaat wird 100 Jahre alt. In Bukarest wird die größte Militärparade seit 1990 unter dem Triumphbogen stattfinden. Es beteiligen sich mehr als 4.000 Militärs mit über 200 Kampffahrzeugen sowie rund 500 Soldaten aus 22 NATO-Staaten. 50 Kampfflugzeuge werden über den Triumphbogen fliegen. Eine weitere Parade wird in Alba Iulia, der Stadt der Vereinigung, organisiert. Hier werden 1.600 Soldaten, 150 Kampffahrzeuge und 23 Flugzeuge präsent sein. Laut den Lokalbehörden werden in Alba Iulia rund 400 Journalisten anwesend sein.



    Bukarest: Das rumänische Parlament ist am Mittwoch zu einer feierlichen Sitzung anlässlich des Vereinigungsjbiläums zusammengetreten. Zu den Rednern gehörten Staatschef Klaus Iohannis und die Präsidenten der beiden Kammern des Parlaments Călin Popescu-Tăriceanu und Liviu Dragnea, Premierministerin Viorica Dăncilă und Prinzessin Margarethe, die Bewahrerin der rumänischen Krone. Eingeladen wurden auch die bisherigen Präsidenten Rumäniens Ion Iliescu, Emil Constantinescu und Traian Băsescu. Zu den Gästen gehören zudem die Vertreter der großen Religionsgemeinschaften.



    Bukarest: Im rumänischen Senat haben die opositionellen Liberalen und die Mitglieder der Union Rettet Rumänien einen kritischen Antrag gegen Tourismusminister Bogdan Trif gestellt. Obwohl Rumänien europaweit einzigartige Sehenswürdigkeiten besitzt, liegt der Anteil des Tourismus an der Wirtschaftsleistung bei gerade 1,3% und die Politik des Ministeriums verschlechtere die Situation nur, rügt die Opposition. Rumänien nimmt 2,24 Milliarden Euro aus dem Tourismus ein, während Rumänen im Ausland rund 3,12 Milliarden Euro ausgeben, heißt es im Antrag.



    Bukarest: Der Entwurf des Haushaltsgesetzes für das kommende Jahr wird wahrscheinlich in der zweiten Dezemberwoche von der Regierung genehmigt und dem Parlament zugestellt werden – das kündigte Finanzminister Eugen Teodorovici an. Darin sind die Anhebung des Rentenpunkts um 15% ab September 2019 und die Herabsetzung der Mehrwertsteuer um einen Prozentpunkt vorgesehen. Nach Angaben des Ministers lag das Haushaltsdefizit in den ersten 10 Monaten bei 2,22 % des BIP. Rumänien werde sich an das Defizitziel von 3% halten, versprach der Minister.



    Bukarest: Die Bukarester Oberbürgermeisterin Gabriela Firea nimmt in Dublin an der Zeremonie zur Auslosung der Gruppen für die Qualifikation zur Fußball-Europameisterschaft von 2020 teil. Bukarest gehört zu den 12 Städten, die die Spiele der Endrunde ausrichten dürfen. Die Sozialdemokratin wird sich anlässlich ihres Besuches auch mit dem Bürgermeister der irischen Hauptstadt Lord Nial Ring treffen und über urbane Mobilität, Gesundheit und Sozialfürsorge diskutieren.

  • Jurnal românesc – 28.11.2018

    Jurnal românesc – 28.11.2018


    Numeroase organizaţii ale diasporei româneşti, precum şi
    opoziţia de la Bucureşti au criticat virulent anunţul ministrului de Finanțe,
    social-democratul Eugen Teodorovici, că le-a propus
    omologilor săi din Uniune ca dreptul unui cetăţean european de a lucra în altă
    ţară să fie limitat la o anumită perioadă. Ulterior, ministrul a precizat că a făcut aceste declaraţii în contextul în care România se confruntă cu o criză
    acută a forţei de muncă şi că intenţia lui a fost de a propune soluţii care să
    vină în sprijinul tuturor, din punct de vedere economic şi social.
    Potrivit studiilor de specialitate, diaspora este
    principalul investitor în România, graţie celor peste 44 de miliarde de euro
    trimise în ţară începând cu anul 2006. Institutul Național de Statistică
    afirmă că 2,5 milioane de români sunt plecați în străinătate, cu un milion mai
    puțini decât evaluarea ONU.


    O placă aniversară a fost amplasată, la împlinirea unui secol de
    la Unire, pe locul unde se afla fosta graniţă dintre Bucovina aflată sub
    ocupaţie austriacă şi Regatul României. 28 noiembrie e ziua în care, acum exact
    100 de ani, membrii Congresului General al Bucovinei votau, la Cernăuţi, în
    unanimitate, unirea cu Patria Mamă, într-un context european favorabil, după ce
    Puterile Centrale fuseseră înfrânte în primul război mondial.


    Circulaţia camioanelor va fi restricţionată de vineri, 30
    noiembrie, ora 0:00, până sâmbătă 1 decembrie, ora 24:00, pe cinci tronsoane de
    autostradă şi drumuri naţionale, care asigură legătura cu municipiul Alba
    Iulia. Interdicţia de trafic greu va fi aplicată pentru a sprijini desfăşurarea
    evenimentelor din oraş, cu ocazia Centenarului Marii Uniri. Sunt exceptate de
    la această măsură vehiculele de transport persoane şi vehiculele militare. Vor
    fi restricţii de circulaţie şi în municipiul Alba Iulia, iar organizatorii
    evenimentelor le cer celor care doresc să participe la aniversarea Centenarului
    să ţină cont de capacitatea limitată a parcărilor. Pentru orientare, turiştii
    au la dispoziţie site-ul ziuaromâniei.ro.


    Apelurile telefonice între Republica Moldova şi România vor fi
    gratuite pe 1 Decembrie, iar în prima jumătate a anului 2019 ar putea fi
    eliminate tarifele de roaming – a anunţat ministrul Economiei în Guvernul de la
    Chişinău, Chiril Gaburici. Anunţul survine după ce, la finalul şedinţei comune
    a Guvernelor României şi Republicii Moldova, de săptămâna trecută, de la
    Bucureşti, a fost semnată o Declaraţie Comună privind eliminarea unor tarife de
    roaming.



    Doar patru formaţiuni politice din Republica
    Moldova ar intra în Parlament pe liste de partid la viitoarele alegeri
    legislative, programate pe 24 februarie. Potrivit unui sondaj citat de
    corespondenţii Radio România la Chişinău, niciuna nu va putea guverna singură,
    iar experţii spun că sunt posibile alianţe atât de centru-stânga, cât şi de
    centru-dreapta. Partidul Socialiştilor, de stânga, susţinător al preşedintelui
    pro-moscovit Igor Dodon, conduce în intenţiile de vot cu aproape 33%. Partidul
    Democrat, aflat la guvernare şi declarat pro-european, ar obţine 11,5%, iar
    opoziţia de dreapta, constituită din fostele organizaţii civice Acţiune şi
    Solidaritate şi, respectiv, Demnitate şi Adevăr, care vor forma un bloc
    electoral, ar lua împreună aproximativ 21% din voturi. Alte formaţiuni nu ar
    trece pragul electoral de 6 procente, iar circa 25% din respondenţi s-au
    declarat indecişi sau nu au prezentat o opţiune de vot.

  • Alba Iulia acum 100 de ani

    Alba Iulia acum 100 de ani

    Pe 1
    decembrie 1918, Adunarea Națională a românilor din Transilvania era convocată
    la Alba Iulia, în partea centrală a României de azi. În Consiliul Național
    Român, cei 6 membri ai Partidului Național Român și cei 6 membri socialiști au
    decis că viitorul românilor din Austro-Ungaria urma să fie alături de România. La
    Alba Iulia au fost aleși 1228 de deputați care au votat Rezoluția prin care se
    Transilvania se unea cu Regatul României.

    Acel
    moment de maximă exaltare națională a fost descris la 100 de ani de istoricul
    și politologul Daniel Barbu, profesor la Facultatea de Științe Politice și
    Administrative a Universității din București: Ce s-a întâmplat atunci? S-a întâmplat o coliziune frontală
    și dramatică între două forme de suveranitate. Dreptul timpuriu roman avea două
    noțiuni pe care nu le vedea drept contradictorii ci drept complementare. Le
    vedea angajate într-un schimb permanent de argument și contraargument. Și anume
    maiestas,
    care aparținea poporului, adică suveranitatea poporului, și imperium, adică suveranitatea
    magistraților, a statului, a Senatului, a consulilor, a cenzorilor și așa mai
    departe. Ce s-a întâmplat în 1918 la începutul iernii în Ardeal, ca să resuscit
    această terminologie romană? Transilvania era o provincie fără stat, Coroana
    maghiară era în stare de disoluție, într-o situație de imobilism, nu putea
    reacționa. Când spun Coroana mă refer la magistrații ei, adică prefecți,
    comandanți de jandarmi și toți cei care asigurau ordinea publică și
    suveranitatea națiunii Ungariei Mari, exercitată sub formă de imperium prin Parlament, rege și
    delegații guvernului în regiuni și comitate. Această autoritate nu mai exista.


    În acea
    situație de confuzie, românii au reacționat pe rațiunea autoguvernării. Daniel
    Barbu: Și totuși, în acel
    context, avem o izbuncnire, o răbufnire a majestății,
    a suveranității poporului. Și anume etnicii români, cu precădere care militau în
    două partide care aveau o pondere relativ egală ca reprezentare în Parlamentul
    de la Budapesta, partide echilibrate sub raportul influenței, Partidul Național
    Român, pe de-o parte, și Secția română a Partidului Social Democrat din Ungaria,
    pe de cealaltă parte, au organizat un proces electoral. După știința mea, a
    fost singurul proces electoral din epoca contemporană neorganizat de un guvern
    sau autoritate publică, organizat, cum am spune de 40 de ani încoace, de
    societatea civilă. Nu vreau să spun că a fost un proces foarte democratic.
    Datele de microistorie pe care le avem cu privire la alegerea delegaților în
    fiecare localitate ne arată că s-a folosit mai degrabă un tot un soi de
    procedură de tip roman, și anume aclamația.
    De regulă, doi-trei-patru notabili din satul respectiv, adică preotul,
    proprietarul funciar, dacă era român, notarul, învățătorul sau un țăran mai
    bogat și așa mai departe erau, prin aclamație, prin consens, dotați cu
    autoritate care reprezentau întreaga comunitate locală. A fost un proces
    laborios, a durat aproape o lună și care prezintă acea caracteristică în
    istorie care ar fi putut fi fondatoare a unui imaginar politic extrem de
    puternic și cu conotații profund democratice. Unde altundeva sau altcândva un
    grup uman relativ mare s-a organizat pe sine, fără prefecți, jandarmi și
    poliție, fără niciun fel de asistență, încurajare sau finanțare din partea unei
    autorități publice într-un proces electoral care a dus la o adunare de tip
    constitutiv, cea de la Alba Iulia?


    Însă
    vremurile erau tulburi, sfârșitul primului război mondial scosese la suprafață
    așteptări și reacții reprimate în anii predecenți. Daniel Barbu spune că
    democrația s-ar fi putut pune atunci pe baze noi, însă nu a fost așa: Negreșit, Constituanta de la Alba
    Iulia, în rezoluțiunea pe care a adoptat-o unanim, tot prin aclamație, nu s-a
    folosit tehnica votului. Vorbea despre unitate și accepta sub condiții însă
    unirea cu Regatul României. Vorbea și despre instituirea unui regim curat
    democratic, adică autentic. O întrebare decurge de aici: erau participanții la
    Adunarea de la Alba Iulia sau cel puțin cei care au redactat rezoluțiunea și au
    propus-o aclamației populare erau niște democrați? Erau evident patrioți
    români. Erau oameni care aveau experiențe parlamentare lungi, aveau știința și
    practica politicii. Bănuiala mea e că nu erau democrați și se va dovedi în
    următoarele luni. Ce se întâmpla pe 6 decembrie? Pe 6 decembrie armata română
    ocupa Ardealul. Ea a fost extraordinar de instrumentală în stabilirea
    granițelor și, mai ales, ea restabilea liniștea în țară. Avem mărturii foarte
    clare, Ion Lapedatu vorbește în memoriile lui, în paginile de jurnal redactate
    chiar în acele zile, unde scria că se mișcă satele. Atunci când vorbim de
    comuna sovietică ne gândim numai la Budapesta și la Ungaria de dincolo de Tisa,
    dar întreaga Europă, inclusiv Anglia, era prinsă de un fior revoluționar. Vreme
    de multe luni, orașe ca Torino, Munchen, Berlin au fost conduse sub steagul
    roșu de asociații de soldați și muncitori. Lucruri asemănătoare începuseră să
    se întâmple în Ardeal. Se mișcă satele, se plângea Lapedatu. Ce însemna?
    Țăranii își împărțeau pământurile și nu întotdeauna însemna că proprietarul de
    pământ era maghiar, țăranii se duceau la notar și ardeau arhivele care consemnau
    datoriile lor. Exista o întreagă mișcare mai ales rurală care emula revoluția.


    În urmă
    cu 100 de ani, Alba Iulia era centrul românismului din Ardeal. Acel sfârșit de
    an a fost unul glorios, însă istoricii spun că evenimentele de atunci nu au
    decurs clar, către un final așteptat.

  • QSL octobre 2018 – Alba Carolina, une citadelle du type Vauban

    QSL octobre 2018 – Alba Carolina, une citadelle du type Vauban

    Cette forteresse porte le nom d’Alba Carolina. Bâtie au 18e siècle en forme d’étoile, elle est unique dans cette partie du Vieux Continent. Son rôle stratégique était de défendre l’Empire des Habsbourg contre les efforts militaires de l’Empire Ottoman, mais aussi de renforcer le pouvoir des Habsbourg au niveau local. Elle faisait partie d’un système plus ample de fortifications censées défendre les nouvelles provinces conquises. Les travaux avaient démarré en 1711 par la construction de la ville et de la cité. Ses murs sont légèrement obliques, construits en brique et en pierre par le biais d’une technique censée faire ricocher les boulets de canon en métal.

    Le projet initial n’a pas été mené à bout, les ressources financières des Habsbourg étant destinées par la suite aux fortifications situées à proximité de la frontière ottomane. Par conséquent, après 1738, on a renoncé à la construction de la 4e ligne de défense et une seule douve extérieure a été finalisée, celle du côté de la ville. Le corps principal de la cité a donc la forme d’un heptagone irrégulier, alors que ses 7 bastions lui donnent la forme d’étoile spécifique aux constructions du type Vauban. Pour pénétrer à l’intérieur de la forteresse il fallait franchir 6 portes, placées à l’est et à l’ouest, une sur chaque ligne de défense.

    C’est à la richesse et à la variété des décorations des 4 premières portes d’entrée que la forteresse d’Alba Carolina doit son unicité en Europe. Leurs reliefs et les statues baroques sont inspirés des légendes antiques et des guerres contre les Turcs. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Les gagnants du jeu-concours « Alba Iulia – la ville de l’Union » racontent leur séjour

    Les gagnants du jeu-concours « Alba Iulia – la ville de l’Union » racontent leur séjour

    Les gagnants de notre jeu-concours « Alba Iulia – la ville de l’Union », Jonas Sell et Sabrina Friesenborg d’Allemagne, se sont vu offrir, du 10 au 18 septembre, un séjour dans une région roumaine qui leur était presqu’inconnue, mais qui leur a réservé d’agréables surprises. La première est arrivée au moment où ils ont appris qu’ils avaient gagné le concours organisé par RRI à l’occasion du centenaire de la Grande Union de 1918.

    Comment Jonas Sell en est-il arrivé à participer à ce jeu-concours ? Il nous le dit lui-même : « Ce jeu-concours a été diffusé pendant plusieurs semaines et il a capté de plus en plus mon attention. Un jour, j’ai complété les réponses et je les ai expédiées. Je me suis dis : « On va voir !» Après, j’ai reçu un e-mail m’annonçant que j’avais gagné. »

    Jonas Sell a découvert sa passion pour la radio il y a longtemps. Tout a commencé avec un petit appareil acheté sur eBay, pour écouter les radios locales.

    Comment en est-il arrivé à écouter les émissions en allemand de Radio Roumanie Internationale ? Joans Sell : « En utilisant ce petit appareil, j’ai constaté que ses performances techniques étaient meilleures que je ne l’avais soupçonné et j’ai commencé à écouter les ondes courtes. Je suis resté plus longtemps sur RRI parce que son indicatif me faisait dresser l’oreille et je l’ai retenu. Ensuite, peu à peu, j’ai commencé à écouter de plus en plus cette radio. »

    Le jeu-concours organisé par RRI a offert à Jonas Sell et à Sabrina Friesenborg la chance de connaître la Roumanie autrement que par la voie des ondes. Ils sont venus l’esprit ouvert, prêts à explorer l’inconnu. Ce qui les a impressionnés le plus, à Arieșeni, ce fut, tout d’abord, la nature.

    Quelle étaient leur attentes ? Sabrina Friesenborg : « Je n’ai eu aucune attente. Je voulais voir. Et il faut dire que c’est très beau. On est entouré de nature, il y a la montagne, on peut faire des randonnées. J’ai vu une petite chute d’eau et j’ai pris de très belles photos. Ces deux journées ont été magnifiques. »

    C’est le ravin de Ruginoasa ainsi que les grottes de la zone d’Arieșeni et les mines d’or de Roșia Montană qui ont le plus impressionné nos hôtes. Jonas Sell : « La nature est impressionnante, il y a des forêts, des collines et des montagnes à perte de vue. On peut s’y promener pendant des heures sans rencontrer âme qui vive. Ce sont des lieux peu fréquentés. Nous avons été très impressionnés par la mine d’or datant de l’époque romaine. Nous avions déjà vu des mines de charbon ou d’autres minerais, mais une mine d’or, c’était pour la première fois. Je ne m’attendais pas à y trouver une mine de l’époque romaine. »

    Sabrina Friesenborg : « Je dois préciser que nous venons de la Ruhr, une région riche en exploitations minières, depuis les anciennes, jusqu’à celle très moderne et très profonde de Bochum. Cela a été d’autant plus intéressant, que ce que nous avons vu et appris complétaient nos connaissances sur les mines. Là, c’était tout à fait différent. »

    En Roumanie, la nature n’a pas été la seule à émerveiller Jonas Sell et Sabrina Friesenborg. Ils ont également été très impressionnés par la maison-musée d’Avram Iancu, héros de la lutte pour les droits des Roumains de Transylvanie. Là, ils ont appris une partie de l’histoire roumaine inconnue en Allemagne, notamment la révolution roumaine de 1848 en Transylvanie. L’histoire a impressionné nos hôtes à Alba Iulia aussi, ville de l’Union.

    Jonas Sell : « La forteresse, emblème de la ville, est tout à fait impressionnante et très bien mise en valeur, étant entourée de parcs. S’y ajoutent des attractions touristiques, par exemple la relève de la garde, constituée de gens en uniformes d’époque, qui traversent la ville, faisant revivre les temps anciens. »

    Paysages à couper le souffle, histoire, plats savoureux… voilà la promesse d’un séjour dont on se souviendra longtemps après. On ne peut pas en dire autant de l’infrastructure de transport de Roumanie, hélas, ce dont nos hôtes n’ont pas manqué de s’apercevoir. Ils ont notamment parlé de la nécessité de meilleures liaisons entre l’aéroport de Cluj et les villes situées à proximité.

    Jonas Sell : « Quand on ne fait pas le voyage dans sa propre voiture, on doit calculer son temps. Les distances ne sont pas très grandes, pourtant on met beaucoup de temps à les parcourir, car il n’y a pas de routes rapides. Il faut emprunter des routes de campagne, qui sillonnent à travers les collines et on ne peut pas rouler vite. C’est un facteur à ne pas ignorer. »

    Ce petit bémol n’a pourtant pas jeté de l’ombre sur le séjour de Jonas Sell et de Sabrina Friesenborg. Un séjour qui leur a donné l’envie de revenir en Roumanie. Jonas Sell : « La Roumanie, telle que nous l’avons connue, est un beau pays, les gens sont accueillants, la nature est très belle. Ça vaut la peine de visiter même les petites villes et les villages. Bref, je garde de bons souvenirs. On découvre une meilleure image que celle que mes concitoyens allemands se sont forgée, à partir de préjugés. » (Trad. : Dominique)