Tag: BNR

  • Avertismente de la BNR

    Avertismente de la BNR

    Incertitudinile
    la nivel global, în contextul crizei energetice şi al războiului din Ucraina,
    reprezintă este un risc sistemic sever şi în continuă creştere. Este primul pe
    harta riscurilor esenţiale întocmită de
    Banca Naţională, a precizat Eugen Rădulescu, director în BNR, la prezentarea
    ‘Raportului asupra stabilităţii financiare – decembrie 2022’
    . Un alt risc ce nu
    poate fi neglijat îl constituie deteriorarea echilibrelor macroeconomice
    interne, inclusiv ca urmare a evoluţiilor geopolitice regionale şi
    internaţionale. Chiar dacă de intensitate mai scăzută, întârzierea reformelor
    şi a absorbţiei fondurilor europene, în special prin Planul Naţional de Redresare
    şi Rezilienţă (PNRR), este un risc inventariat de BNR în rândul celor demne de
    a fi luate în seamă.

    Eugen Rădulescu, directorul Direcţiei stabilitate
    financiară din cadrul BNR: Suntem între ţările care au beneficiat de
    mai multe miliarde de euro care sunt deja trase din PNRR. O parte a acestor
    sume a fost deja decontată, ca să spun aşa, respectiv banii care au fost
    trimişi în conturile României au fost deja utilizaţi de Guvern pentru domeniile
    pentru care au fost plătite sumele respective. Dar suntem destul de departe de
    a îndeplini toate criteriile de acolo. Banca Naţională este numai un actor de
    pe margine, care observă că avem un risc, acela de a nu îndeplini obiectivele
    din PNRR.

    Analiza unui grup de lucru pentru securitatea energetică a
    arătat că o întârziere cu doi ani a implementării investiţiilor în domeniul
    energiei verzi prin PNRR ar reduce eficienţa întregului proiect cu peste o treime.
    BNR susţine că pericolul ca acest lucru să se materializeze este real, având în
    vedere experienţa de până acum a României în ceea ce priveşte atragerea şi
    fructificarea la timp a resurselor europene.

    Potrivit Băncii Naţionale, există
    şi riscul de nerambursare a creditelor contractate de către sectorul
    neguvernamental. În ce priveşte populaţia, raportul BNR constată că aceasta îşi
    menţine capacitatea robustă de onorare a datoriilor. Totuşi, Banca centrală îi
    îndeamnă pe români să fie prudenţi în privinţa creditelor imobiliare, pentru a
    nu se trezi în situaţia de a nu mai face faţă ratelor, din cauza inflaţiei
    mari.

    Eugen Rădulescu, directorul în BNR: Situaţia este complicată. Avem o rată a
    inflaţiei destul de ridicată, nu cea mai ridicată din Europa, dar rămâne o rată
    cu două cifre. Probabil că anul acesta nu vom reuşi să o scădem, decât spre
    sfârşitul anului, sub două cifre. O casă este un lucru greu. Există analişti,
    în momentul de faţă, care îi invită pe oameni să îşi privească foarte atent
    bilanţul veniturilor proprii, în sensul ca rata de credit să nu depăşească
    vreodată jumătate din veniturile pe care le au; pentru că, dacă ajung să
    plătească mai mult decât jumătate din venituri pentru credit, există riscul să
    nu facă faţă plăţilor până la sfârşitul perioadei.

    În opinia BNR, cea
    mai bună soluţie este negocierea directă cu băncile, pentru identificarea unor
    variante acceptabile.


  • La semaine du 9 au 15 janvier 2023

    La semaine du 9 au 15 janvier 2023


    La Roumanie touchée par grippe, le coronavirus et la
    pénurie de médicaments



    Dernièrement, le système
    sanitaire roumain est impacté par une recrudescence des cas de grippe et de
    coronavirus, notamment du dernier variant signalé depuis quelques jours en
    Roumanie aussi. Les experts prévoient que le pic de la grippe sera atteint dans
    les semaines à venir avant que les infections respiratoires ne s’inscrivent sur
    une pente descendante à partir de la mi-février. La flambée des cas de grippe
    intervient dans le contexte de la reprise, le 9 janvier, des cours d’école qui
    ont rouvert leurs portes en plein état d’alerte épidémiologique. Dans le
    contexte d’une majoration de nombre de cas de grippe, de plus en plus de pharmacies
    sont en rupture de stocks de certains médicaments tels le paracétamol,
    l’ibuprofène ou les antibiotiques. A l’issue d’une série d’entrevues avec les
    producteurs et les distributeurs de médicaments, tout comme avec les
    représentants de l’industrie pharmaceutique, le ministre de la Santé, Alexandru
    Rafila, est sorti sur le devant de la scène pour rassurer la population qui,
    dit-il, ne doit pas craindre une crise des médicaments antithermiques ou
    anti-inflammatoires.


    « A la différence d’autres
    pays européens qui se confrontent dernièrement à des ruptures
    d’approvisionnement en paracétamol, la Roumanie ne traverse aucune crise, ni de
    paracétamol, ni d’ibuprofène. Cette pénurie n’existe pas chez nous, puisque
    nous avons nos propres fabriques qui produisent ces médicaments aussi bien sous
    leur forme destinée aux enfants que sous celle conçue pour les adultes
    ».


    Pour leur part, les producteurs
    de médicaments se sont engagés à continuer d’approvisionner les pharmacies. En
    revanche, la situation s’avère plus compliquée dans le cas des patients
    oncologiques. Le président de la Fédération des personnes atteintes d’un
    cancer, Cezar Irimia, a déclaré qu’aux dires des patients, sept médicaments à
    usage oncologique sont en rupture de stock depuis le début de l’année. En
    réplique, le Ministère de la Santé affirme qu’il s’agitseulement de trois médicaments qui manquent
    sur les rayonnages et dans les tiroirs des pharmacies, dont deux se trouvent
    dans les dépôts.



    Des mesures économiques et un record de déficit commercial



    Dans une tentative de ralentir
    l’inflation et de mettre un terme à la majoration des prix, la Banque centrale
    roumaine a majoré le taux directeur à 7% par an. Les experts de la BNR estiment
    que cette mesure débouchera sur une baisse de l’inflation, plutôt légère durant
    le premier trimestre de l’année en cours et plus significative ultérieurement,
    de sorte que l’indicateur ne dépasse pas les 10 pourcents d’ici l’été.
    Pourtant, la nouvelle hausse du taux d’intérêt clé entraînera, le plus probablement,
    une majoration des taux fixés par les banques commerciales, notamment dans le
    cas des crédits. N’empêche, les spécialistes affirment qu’une baisse anticipée
    de l’inflation serait un signe que la majoration des taux d’intérêt touche à sa
    fin.


    De l’avis de l’analyste
    économique, Dragos Cabat, il est important que le taux directeur poursuive sa
    tendance à la hausse afin que l’inflation atteigne un plafond avant de
    s’inscrire sur une pente descendante. Dragos Cabat :


    « Il est important que la
    Banque continue cette tendance ascendante de son taux directeur, car c’est
    de cette manière qu’elle entraînera le plus rapidement possible, un
    ralentissement de la croissance de l’inflation. C’est ce qu’il y a de plus
    important pour l’économie roumaine, à l’heure où l’on parle ; plus
    important que la croissance économique ou les mensualités bancaires qui
    concernent quelque 600.000 Roumains affectés, bien évidemment, par cette
    majoration du taux d’intérêt.
    »


    Après deux ans de pandémie et
    une année de guerre à ses frontières, le déficit de la balance commerciale de la
    Roumanie s’est envolé, en se montant à 31 milliards d’euros durant les onze
    premiers mois de l’année dernière, soit un déséquilibre record, selon l’Institut
    national de la Statistique. L’analyste économique, Constantin Rudnitchi
    précise :


    « Nous avons un record
    unique dans l’histoire du pays, du partiellement à la période
    inflationniste qu’on traverse aussi bien en Europe que dans le monde. Donc, on
    a une valeur à la hausse des importations. Mais, en dehors de ça, la
    Roumanie se confronte à une réalité problématique, à savoir le fait que le
    niveau de ses importations reste extrêmement élevé, tandis que la production
    intérieure et les exportations ont du mal à répondre aux besoins de l’économie
    nationale ».


    Dans ce contexte, le
    Gouvernement de Bucarest cherche à s’emprunter aussi bien sur le marché interne
    qu’externe, pour combler aussi bien à un déficit budgétaire d’au moins 160
    milliards de lei, soit 32 milliards d’euros, estimé pour cette année qu’à une
    dette plus ancienne qu’il faudrait refinancer.





    Des discussions bilatérales



    Les discussions
    roumano-ukrainiennes portant sur la Loi des minorités nationales récemment
    adoptée et promulguée par Kiev se poursuivent. Les ministres des Affaires
    étrangères des deux pays, Bogdan Aurescu et Dmitro Kuleba, se sont entretenus
    par téléphone à ce sujet mercredi, après qu’un dialogue similaire a eu lieu la
    semaine dernière entre les présidents Klaus Iohannis et Volodimir Zelenski. La
    loi a suscité l’inquiétude des autorités bucarestoises, car les représentants
    de la communauté roumaine en Ukraine n’ont pas été consultés lors de la
    rédaction du document, qui a été adopté sans l’avis de la Commission de Venise.
    Fin 2022, les autorités roumaines ont fait parvenir à leurs homologues
    ukrainiens une liste de prévisions stipulées par la dite loi et qui ont un
    impact négatif sur les Roumains d’Ukraine. Cette semaine encore, le ministre
    roumain des Affaires Etrangères s’est entretenu par téléphone avec son
    homologue suédois, Tobias Billstrom au sujet de l’adhésion roumaine à
    Schengen. Selon le MAE de Bucarest, le responsable de Stockholm a réitéré
    le soutien de son pays à l’intégration de Bucarest à l’Espace de libre
    circulation. LaPrésidence suédoise est
    prête à s’impliquer activement et à tout mettre en œuvre pour aider Bucarest à
    atteindre son objectif, en identifiant des solutions concrètes, basées sur un
    dialogue constructif avec toutes les parties concernées. Pour sa part, le
    ministre Bogdan Aurescu a mis en lumière l’importance de la coordination par la
    présidence suédoise d’un dialogue entre tous les partenaires européens
    impliqués dans ce dossier. Un dossier extrêmement important pour la Roumanie,
    comme l’on a précisé lors de la cérémonie de lancement de la présidence suédoise
    de l’UE, organisée cette semaine, à Bucarest.







  • 11.01.2023 (mise à jour)

    11.01.2023 (mise à jour)

    Gouvernement – A l’issue de la
    réunion gouvernementale de mercredi, le premier ministre roumain, Nicolae
    Ciuca, a déclaré que le montant total des investissements public s’est élevé
    fin 2022 à 73 milliards de lei, soit 14,6 milliards d’euros, un record pour la
    Roumanie qui réitère de cette manière la tendance ascendante de son économie.
    Selon une récente étude élaborée par l’Académie Harvard, citée par Nicolae
    Ciuca, « la Roumanie est devenue la 19ème économie mondiale la plus
    complexe et la plus sophistiquée et elle a des chances réelles de se situer
    d’ici la fin de l’année, parmi les premières dix économies mondiales ». En
    parlant des investissements étrangers directs dans l’économie roumaine, le chef
    du gouvernement a affirmé que le pays avait enregistré un nouveau record
    d’investissement fin octobre dernier, en surclassant le précédent, datant de
    2008. Ce succès, la Roumanie le doit aussi au taux élevé d’absorption de fonds
    européens enregistré dans le courant de l’année dernière.










    Diplomatie
    – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, s’est entretenu mercredi,
    par téléphone, avec son homologue ukrainien, Dmytro Kuleba au sujet des
    problèmes concernant la minorité roumaine d’Ukraine. La conversation fait suite
    à celle du 4 janvier entre les présidents roumain Klaus Iohannis, et ukrainien,
    Volodymir Zelenski, lors de laquelle les deux responsables ont décidé à
    encourager leurs ministres des Affaires Etrangères à résoudre les problèmes
    signalées par la partie roumaine dans la
    Loi des minorités nationales d’Ukraine. Les deux chefs de diplomatie ont décidé
    de lancer prochainement une série de consultations au niveau d’experts. Bogdan
    Aurescu a réitéré le soutien de Bucarest à l’indépendance, la souveraineté et
    l’intégrité territoriale de l’Ukraine, victime de l’agression illégale de la
    Russie.




    Iran – Dans le contexte où, le 7 janvier dernier, deux
    protestataires iraniens ont été exécutés par pendaison, l’ambassadeur iranien à
    Bucarest a été convoqué mardi au siège du ministère roumain des Affaires
    Etrangères (MAE), pour apprendre que la Roumanie condamne fermement le recours
    à la peine de mort par son pays, notamment dans le cas des protestataires. La
    diplomatie roumaine a également réitéré son inquiétude profonde, partagée aussi
    par les institutions démocratiques et la société civile de Roumanie, quant aux
    transgressions des droits de l’homme en Iran, y compris par la condamnation des
    protestataires pour des raisons politiques, en l’absence d’un procès équitable.
    Tout cela dans le contexte des manifestations déclenchées au niveau national en
    septembre dernier, suite au décès en prison de la jeune-femme Mahsa Amini. Le
    MAE de Bucarest a rappelé à l’ambassadeur iranien les conclusions du Conseil
    Affaires Etrangères de l’UE du 12 décembre 2022, quand tous les aspects
    problématiques auxquels ce pays se confronte ont été mis en lumière, sans que les
    autorités de Téhéran réagissent d’une manière positive. Le fait que tous ces
    aspects restent sans solution a un impact négatif sur les relations de l’Iran avec
    l’UE, a encore expliqué la diplomatie roumaine.








    Viroses – En Roumanie, la vague de maladies respiratoires et de
    grippes s’amplifie, mais les spécialistes estiment que cette tendance va
    s’inverser en février. Selon les médecins, cette période est marquée par un
    taux croissant d’infections respiratoires, notamment chez les enfants D’autre
    part, des cas de contamination simultanée à la grippe et au coronavirus ont été
    détectés en Roumanie aussi. Le décès d’une femme de 74 ans est à déplorer.
    D’après le corps médical, cette double infection présente un risque élevé de
    complications aiguës.




    Militaires – Le chef de l’Etat-major de la Défense, le général Daniel
    Petrescu, visite jusqu’à samedi la Grande Bretagne, à l’invitation de son
    homologue, l’amiral Sir Tony Radakin. Leurs pourparlers seront dominés par la
    situation de sécurité, les mesures destinées
    à renforcer la posture de défense et de dissuasion sur le flanc Est, la
    coopération bilatérale et le soutien des alliés britanniques dans le cadre du
    processus d’opérationnalisation du Commandement du Groupement tactique
    multinational déployé en Roumanie. A l’agenda de la visite en Grande Bretagne
    du général Petrescu figurent aussi des visites sur des bases militaires et le
    think tank dans le domaine de la défense et de la sécurité du Royal United
    Services Institute de Londres.


















    BNR – La Banque centrale de Roumanie a majoré de nouveau le taux
    directeur, de 6,75% à 7% par an, dans une tentative d’apaiser l’inflation.
    Selon les experts de la Banque, le taux d’inflation devrait désormais baisser
    légèrement au premier trimestre de cette année, pour ne plus dépasser les 10 %
    cet été. Cette nouvelle majoration du taux directeur entrainera également une
    croissance des taux d’intérêt pratiqués par les banques commerciales, notamment
    des crédits, mettent en garde les spécialistes financiers.






    Plagiat
    -Il y a deux types de violation des normes visant la citation dans la thèse de
    doctorat du ministre des Affaires Intérieures, Lucian Bode, a constaté la
    commission d’éthique de l’Université Babes Bolyaï de Cluj. Les infractions sont
    suffisamment importantes pour considérer la thèse comme étant inadéquate. Du
    coup, la Commission demande au ministre Bode de corriger le document, tout en
    retirant le livre qu’il a fait publier par la suite et qu’il a écrit à partir
    de sa thèse. Une republication sera possible seulement après le règlement de
    tous les dérapages. En réplique, Lucian Bode considère l’avis de la Commission
    comme étant subjectif et affirme s’adresser à un tribunal.
























    Météo – Le temps sera morose dans les
    24 prochaines heures. Des pluies continueront à tomber sur le sud, le centre et
    l’est du territoire. Le verglas pourrait faire son apparition dans les régions
    orientales de la Roumanie. La neige tombera sur les sommets des Carpates,
    notamment sur celles méridionales et orientales. Les températures iront jeudi
    de 0 à 8 degrés.



  • 10.01.2023

    10.01.2023


    Grippe – Les
    premiers cas de Kraken, le nouveau variant de coronavirus, ont été confirmés en
    Roumanie. N’empêche, les symptômes ne sont pas graves et la gestion des
    nouveaux cas de contamination ne pose pas de problèmes au système médical. Par
    ailleurs, plusieurs cas d’infection simultanée au coronavirus et à la grippe
    ont été détectés. Une femme de 74 ans, doublement infectée, est décédée.
















    BNR – La Banque centrale de Roumanie pourrait décider d’une majoration du
    taux d’intérêt de référence, lors de la première réunion sur 2023 de sa
    direction. Les analystes financiers prévoient un bond du taux clé de 6,75 à 7%,
    soit le niveau le plus élevé de ses 13 dernières années. Un taux clé encore
    plus grand entraînerait certainement une majoration des mensualités des crédits
    en lei. La hausse des taux d’intérêt est le principal outil dont la BNR se sert
    pour contrôler l’inflation, au bout d’une année marquée par la flambée des
    prix.




    Déficit – Le déficit commercial de la Roumanie a battu un
    nouveau record durant les 11 premiers mois de l’année dernière, avec une
    différence entre les importations et les exportations de plus de 31 milliards
    d’euros. Le commerce extérieur roumain est dominé par les échanges avec les
    pays de l’UE. 72% des exportations de la Roumanie et 70% de ses importations se
    font avec les Etats européens.














    Kossovo – Le ministre roumain à la Défense, Angel Tîlvar, accompagné par le chef de l’Etat major de l’Armée roumaine, le général Daniel Petrescu, se trouvent en Pologne pour des pourparlers avec le ministre polonais de la Défense, Mariusz Blaszczak et avec des représentants de la direction de l’Etat major des forces armées polonaises. Les responsables roumains rendront également visite aux soldats roumains du détachement de défense antiaérienne Sky Guardians du Groupement de combat sous l’égide de l’OTAN déployé sur la base de Bemowo Piskie. Selon le ministère roumain de la Défense, la visite des responsables roumains en Pologne prouve la collaboration étroite bilatérale et alliée. Lundi, le ministre Angel Tîlvar et le général Daniel Petrescu ont rencontré les 68 soldats roumains déployés sur la base otanienne de Pristina, au Kossovo, qui participent à l’Opération la Force pour le Kossovo (KFOR). Une occasion pour les responsables roumains de s’entretenir aussi avec le chef de la KFOR, le général italien Angelo Michele Ristuccia, de la situation sécuritaire au Kossovo et dans la région.


    Sondage – 2022 a
    été une année plus satisfaisante pour les Roumains que 2021 et 2020, relève une
    enquête menée par Reveal Marketing Research. 54% des sondés se sont retrouvés
    plus optimistes et plus détendus dans le courant de l’année dernière que
    pendant 2021 (22%) ou 2020 (24%) deux années frappées par la pandémie et les
    restrictions sanitaires. Parmi les attentes pour 2023, la plupart des Roumains
    espèrent améliorer leur situation financière. En revanche, 46% de nos
    compatriotes se disent pessimistes quant à la situation économique du pays,
    tandis que 67% des personnes questionnées se disent persuadés que la corruption
    continuera à exister en Roumanie. 23% des Roumains aimeraient bien changer
    d’emploi en 2023 et 50% affirment vouloir garder leur job actuel. L’enquête a
    été menée du 28 décembre 2022 au 1er janvier 2023 sur 1005 sondés.






    Minorités – Le premier ministre roumain,
    Nicolae Ciuca, a rencontré à Bucarest, les ambassadeurs tchèque et slovaque en
    Roumanie, tout comme le représentant des deux minorités auprès du Parlement
    roumain. Les discussions ont porté sur une représentation séparée de ces deux
    minorités sous la forme de deux entités distinctes, dotées de leur propre
    statut de fonctionnement. Les procédures en ce sens devraient être accélérées
    afin de permettre aux deux minorités de participer séparément aux prochaines
    élections locales et parlementaires. La rencontre s’est avérée aussi une bonne
    occasion de passer en revue le stade des relations bilatérales de la Roumanie
    avec la République Tchèque et la Slovaquie.


    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Irina Begu, s’est
    retirée du tournoi australien WTA 500 d’Adelaïde, suite à un accident. 28e
    dans le classement mondial, Begu aurait dû rencontrer l’Australienne, Storm
    Hunter, 227e mondiale. Une autre joueuse roumaine, Sorana Cîrstea,
    43e, s’est inclinée devant la Brésilienne, Beatriz Haddad Maia.
    Quant à la joueuse Ana Bogdan, 56e mondiale, elle a raté sa qualification
    au tableau principal, après une défaite face à Katerina Siniakova, 49e
    dans le classement WTA.
















    Météo – Plusieurs départements du sud de la Roumanie seront concernés à
    partir de cet après-midi par des vigilances jaune et orange aux précipitations
    abondantes, en vigueur jusqu’à mercredi soir. En ce
    moment, il fait morose en Roumanie, le ciel est couvert et il pleut sur la
    moitié sud où les hydrologues prévoient des quantités d’eau de plus de 20
    litres par mètre carré. Des précipitations mixtes tombent sur les régions de
    montagne et il neige à plus de 1600 mètres d’altitude. Les températures
    maximales de la journée iront de 3 à 13 degrés. 7 degrés à midi, à Bucarest.

  • Jurnal Românesc – 30.12.2022

    Jurnal Românesc – 30.12.2022

    Populaţia României a scăzut cu 1.100.000 de persoane, faţă de 2011, potrivit datelor parţiale ale recensământului din acest an, prezentate de Institutul Naţional de Statistică. Populaţia rezidentă a ţării era la 1 decembrie 2022 de 19.053.815 persoane. Procesul de îmbătrânire demografică s-a adâncit faţă de acum 10 ani, remarcându-se creşterea ponderii populaţiei vârstnice de 65 de ani şi peste şi scăderea numărului tinerilor sub 15 ani, cu 115.000 persoane.

    Guvernatorul BNR, Mugur Isărescu, se bucură de cea mai mare încredere – 39% – în rândul românilor, potrivit unui sondaj realizat de IRES – Institutul Român pentru Evaluare şi Strategie. El este urmat de şeful statului, Klaus Iohannis, şi de preşedintele Camerei Deputaţilor, Marcel Ciolacu, aflaţi la egalitate cu 21%. Potrivit datelor, premierul Nicolae Ciucă a obţinut încrederea a 19% dintre cetăţeni. Sondajul mai evidenţiază că ocupaţia cu cea mai puţină încredere printre români este cea de politician, urmată de cea de poliţist şi de jurnalist. La polul opus, în topul încrederii se află profesiile de pompier, specialist IT şi inginer. Trei sferturi din români cred că România merge într-o direcţie greşită, în timp ce doar 1 din 5 o consideră ca fiind bună. Sondajul de opinie a fost realizat de IRES în perioada 7-12 decembrie pe un eşantion de peste 1.600 de respondenţi cu vârsta de peste 18 ani şi o marjă de eroare de plus minus 2.5%.

    Preşedintele României, Klaus Iohannis, a făcut, anul acesta, 21 de deplasări externe, care însumează cheltuieli de peste 16,6 milioane de lei (echivalentul a circa 3,3 milioane de euro) – conform Administraţiei Prezidenţiale, care a răspuns, astfel, la solicitarea agenției de presă AGERPRES. Cea mai frecventă destinație a fost Bruxellesul, unde Iohannis a luat parte la reuniunile la vârf ale Uniunii Europene și ale NATO. În septembrie, şeful statului român a participat, la Londra, la funeraliile Reginei Elisabeta a II-a a Marii Britanii. Tot în septembrie, el a condus delegaţia României la Adunarea Generală a Organizaţiei Naţiunilor Unite (ONU), organizată la New York, după care a mers două zile pe Coasta de Vest a Statelor Unite, la San Francisco, unde s-a întîlnit și cu reprezentanți ai diasporei române. Parisul, Madridul, Atena, Praga, Riga, Vilnius, Kievul sau Sharm El-Sheikh, în Egipt, au fost alte destinații ale președintelui Iohannis.

    Celebrul cor naţional de cameră Madrigal – Marin Constantin a avut, în 2022, trei turnee naţionale sold-out în 10 oraşe din țară, precum şi trei reprezentațiii internaţionale, la Berlin, în Germania, la Zagreb, în Croația, şi la Belgrad,în Serbia – potrivit unui comunicat transmis AGERPRES. În cadrul programului său de diplomaţie culturală, Corul Madrigal a prezentat noile filmări ale imnurilor naţionale ale statelor din Uniunea Europeană, oferite drept cadou cu prilejul zilelor naţionale, care s-au bucurat de peste 500.000 de vizualizări online.

    Înotătorul român David Popovici a fost inclus pe o listă selectă, întocmită de agenţia spaniolă de presă EFE, a celor zece sportivi care au reuşit performanţe unice în cursul anului 2022 ‘Dublu campion mondial şi european la 100 şi 200 m liber, tânărul român, de doar 18 ani, a devenit cel mai rapid înotător de pe planetă, după care a doborât legendarul record mondial la 100 m liber al brazilianului Cesar Cielo, care data din anul 2009’ – sună descrierea făcută de EFE sportivului român, care apare în Top 10 alături, între alții, de starul argentinian al fotbalului mondial Lionel Messi, la rându-i proaspăt campion mondial, cu echipa.


  • November 14, 2022

    November 14, 2022

    Inflation — The National Bank of Romania — BNR increased the inflation forecast for the end of this year to 16.3% and estimates an inflation of 11.2% for the end of next year, according to data presented on Monday by Governor Mugur Isărescu. In August, BNR had estimated an inflation rate of 13.9% for the end of the year and of 7.5% for 2023. Last week, BNR estimated that the annual inflation rate was expected to increase moderately towards the end of the current year, and then enter a gradual downward trajectory, which would go down to the level of one digit in the first semester of 2024.



    Energy– In Bucharest, deputies start discussions on the Emergency Ordinance 119, which caps and sets energy prices. The government intends to keep electricity prices capped for a longer period of time, until 2025, and in this sense a new Emergency Ordinance was adopted, which establishes a mechanism for the centralized purchase of electricity at 450 lei (about 90 Euros) per MWh. The document comes to the aid of the Emergency Ordinance already forwarded to Parliament, and the mechanism will allow keeping the three types of prices for domestic consumers – 68 bani (almost 14 eurocents) for consumption of up to 100 kilowatts, 80 bani (about 16 eurocents) for consumption of up to 255 kilowatts, and 1.3 lei (about 26 eurocents) respectively for what exceeds 255 kilowatts. It will also allow maintaining the ceilings for SMEs – 1 leu per kWh (about 20 eurocents) and large consumers – at a maximum price of 1.30 lei. The opposition criticizes the new Emergency Ordinance, stating that the decision, in principle, had to encourage investments in production and saving. The changes that the deputies will bring to the Emergency Ordinance that establishes tariffs and consumption caps will most likely come into force on January 1.



    Meeting – The Romanian foreign minister, Bogdan Aurescu, is participating today, in Brussels, in the meeting of foreign ministers from the EU member states. The debates focus, among other things, on Russias aggression against Ukraine, with the Ukrainian foreign minister participating via video conference, and the recent developments in the Western Balkans, Lebanon and Iran. At the same time, European officials are analyzing the results of the UN meeting dedicated to climate change, COP27 in Sharm El-Sheikh, Egypt.



    Jakarta – The American president Joe Biden and his Chinese counterpart Xi Jinping on Monday said that they were ready for dialogue despite the rivalry between their countries, AFP reports. At the start of their much-awaited bilateral meeting on the Indonesian island of Bali, Joe Biden said he wanted to manage differences and avoid turning the competition into conflict, while Xi Jinping said there was no substitute for a face-to-face discussion and that he was ready for a sincere dialogue on strategic issues, so that Washington and Beijing could find the right direction. The two leaders met on Tuesday before the start of the G20 summit, which takes place on the island of Bali in Indonesia. Besides Chinas refusal to condemn the Russian invasion, Washington and Beijing are at odds over issues ranging from trade to human rights in Chinas Xinjiang region and the status of Taiwan. It is the first meeting between the two leaders after Joe Biden took over the presidency of the USA.



    Bomb – The person who placed a bomb on a shopping street in Istanbul on Sunday, killing at least six people and injuring 81, has been arrested, the Turkish Interior Minister Souleyman Soylu announced on Monday. He accused the Kurdistan Workers Party (PKK) – a secessionist organization considered terrorist in Turkey – of causing the attack. In Bucharest, both the President Klaus Iohannis and the Prime Minister Nicolae Ciuca sent messages of condolences to the Turkish people for the losses suffered and wished full recovery to the injured following the tragic incident. According to the Romanian Foreign Ministry, until now, no Romanian citizens have been identified among the victims of the attack in Istanbul, and at the level of the Consulate General, no requests for consular assistance have been received in connection with this incident. (LS)

  • Preţuri crescute în România

    Preţuri crescute în România

    De luni bune, prețurile sunt pe o pantă ascendentă în
    România, ceea ce duce la înrăutățirea nivelului de trai, în special pentru românii
    cu venituri mici, care cu greu fac față valurilor de scumpiri. Pe de altă
    parte, datele publicate de Oficiul European pentru Statistică (Eurostat) arată
    că țara se află în
    clasamentul statelor cu cele mai mari rate de creştere a producţiei agricole
    anul trecut, cu un plus de 25 de procente, alături de Bulgaria şi Cehia.
    Producţia agricolă din blocul comunitar a crescut cu 8 la sută, în 2021, faţă
    de anul anterior. Conform Eurostat, România – cu 5 procente – este una dintre
    cele şapte ţări care contribuie semnificativ la volumul producţiei agricole, la
    nivel european. Totuși, preţurile produselor alimentare au consemnat o creştere
    puternică în ultimul an. Dintre acestea, zahărul a înregistrat cea mai mare
    scumpire, cu o creştere de 62%. Potrivit Institutului Naţional de Statistică, şi
    uleiul a fost mai scump cu aproape 44 de procente, iar cartofii – cu peste 40%.
    La mărfurile nealimentare, cele mai mari majorări au fost la gaze, circa 40%,
    energie electrică – 27%, energie termică – 23% şi combustibil, cu un plus de
    20%. Serviciile de telefonie s-au ieftinit cu 0,76%, aceasta fiind şi singura
    ieftinire înregistrată în luna octombrie a acestui an faţă de octombrie
    2021.

    Pe de altă parte, datele INS arată că rata anuală a inflaţiei a coborât uşor
    în octombrie faţă de luna precedentă, ajungând la 15,32%. Banca Naţională a
    României se aşteaptă ca inflaţia să mai crească temperat spre finele anului, iar,
    apoi, să intre pe o traiectorie descrescătoare graduală, ce coboară la nivelul
    de o cifră în semestrul I 2024. Banca Centrală afirmă că perspectiva inversării
    traiectoriei ratei anuale a inflaţiei după ajungerea pe un platou în trimestrul
    IV 2022 are ca resorturi atenuarea impactului şocurilor globale pe partea
    ofertei, inclusiv în contextul aplicării schemelor de plafonare a preţurilor la
    energie până în august 2023. Potrivit BNR, escaladarea războiului din Ucraina
    şi sancţiunile tot mai severe asociate generează, însă, incertitudini şi
    riscuri semnificative la adresa perspectivei activităţii economice, implicit a
    evoluţiei pe termen mediu a inflaţiei.

    Şi Comisia Europeană se aşteaptă la un
    vârf al inflaţiei în România, la sfârşitul acestui an, şi la o scădere sub
    pragul de 10% abia în 2024. Este unul din motivele pentru care, afirmă executivul
    comunitar, ritmul de creştere economică va încetini, anul viitor, la 1,8% şi la
    2,2%, peste doi ani. În semestrul doi din 2022 şi ulterior, consecinţele
    invadării Ucrainei de către Rusia, inflaţia ridicată, înăsprirea politicii
    monetare şi controlul puternic al lichidităţii ar urma să încetinească
    semnificativ creşterea PIB-ului. Pentru acest an, însă, Comisia Europeană a
    îmbunătăţit estimările privind avansul economic, de la 3,9% în vară la 5,8% în
    prognoza de toamnă dată publicităţii săptămâna trecută.


  • En Roumanie, la Banque Centrale a majoré de nouveau le taux directeur.

    En Roumanie, la Banque Centrale a majoré de nouveau le taux directeur.

    Mardi, la Banque Nationale de Roumanie (BNR) a pris plusieurs décisions importantes. La première : majorer de nouveau le taux directeur, de 6,25 à 6,75 % par an. S’y ajoute la majoration du taux d’intérêt pour l’octroi des crédits et pour les dépôts. La Banque Centrale veux aussi garder le contrôle sur les liquidités sur le marché monétaire et de maintenir le niveau actuel des mensualités des réserves minimes obligatoires pour les passifs en monnaie nationale (leu) et en devises pour les institutions opérant des crédits.

    Ce n’est la première majoration de ce type. En début d’année, le taux directeur était de 2 % par an en Roumanie. Son augmentation s’explique par la hausse de l’inflation causée par la croissance des prix de l’électricité et des aliments. Qui plus est, les experts financiers s’attendent à ce que l’inflation monte encore avant la fin de cette année, pour entrer sur une pente descendante graduelle. On attend une inflation de 10 % à peine au premier semestre 2024. La décision de majorer le taux directeur de 0,5 % a été prise compte tenu de la hausse de l’inflation et du contexte régional, explique l’analyste économique Constantin Rudniţchi : « Je pense que l’on a pris en calcul la situation en Europe Centrale et de l’Est. De nombreuses banques centrales des pays voisins ont déjà majoré leur taux directeur, bien plus que la Roumanie. Sans doute, un taux directeur plus élevé rend la monnaie nationale plus attrayante. Je pense notamment à la Pologne et à la Hongrie, par exemple. Mais le contexte global n’est pas du tout à négliger non plus. On ne peut pas rester hors-jeu, ça c’est sûr. Et, si les taux directeurs augmentent partout dans le monde, à commencer par les Etats-Unis, jusqu’à la zone euro, alors la BNR suit à son tour cette tendance, ce qui est tout à fait normal en fin de compte »

    Mais il y a aussi une bonne nouvelle, estime l’analyste. Cette nouvelle majoration du taux directeur ne produira pas d’effets majeurs sur les taux d’intérêt existant sur le marché interbancaire, car ceux-ci sont déjà plus élevés. Sans doute, ajoute notre invité, l’actuelle tendance de croître les taux d’intérêt est défavorable pour la population et les compagnies qui ont des crédits ou qui souhaitent emprunter de l’argent. A noter aussi qu’en Roumanie l’évolution de l’inflation est marquée par les fortes incertitudes associées aux schémas de plafonnement et de compensation des tarifs de l’énergie et des combustibles, par l’escalade de la guerre en Ukraine voisine et par les sanctions de plus en plus dures qui en découlent.

    Autre aspect important pour la BNR : le taux d’absorption des fonds européens, notamment des fonds provenant du PNRR. S’y ajoute la politique fiscale menée sur toile de fond de la procédure de déficit excessif et de la tendance générale de hausse des coûts des crédits. Enfin, bien que dans ses estimations, la Banque centrale de Roumanie reconfirme la croissance significative des l’activité économique en Roumanie au 2e trimestre de l’année en cours, elle prévoit quand même une quasi-stagnation pour les deux derniers trimestres de 2022.
    (Ştefan Stoica)

  • Retrospectiva săptămânii 02.10 – 08.10.2022

    Retrospectiva săptămânii 02.10 – 08.10.2022

    Președintele Klaus Iohannis, la reuniunile de la Praga


    Preşedintele
    Klaus Iohannis a mers, în această săptămână, la Praga la summitul informal al
    Consiliului European, centrat pe războiul din Ucraina, criza energetică și
    economie. Cu o zi înainte, joi, șeful statului român a participat, tot la
    Praga, la prima reuniune a Comunității Politice Europene.

    Desfăşurat într-un moment cheie pentru
    continentul european, în contextul războiului ilegal şi nejustificat declanşat
    de Federaţia Rusă împotriva Ucrainei, summitul Comunităţii Politice Europene a
    oferit oportunitatea unui dialog politic pe teme privind sprijinul pentru
    Ucraina, reacţia la escaladările recente ale Federaţiei Ruse, asigurarea
    securităţii, situaţia în domeniul energiei şi asigurarea securităţii
    aprovizionării, schimbările climatice şi evoluţiile în plan economic. Această
    nouă platformă de dialog a urmărit, de asemenea, facilitarea unor schimburi de
    vederi cu privire la subiectele de maximă preocupare în noul context
    geopolitic, astfel încât să se poată defini căi de acţiune comune
    , precizează
    un comunicat al Administraţiei Prezidenţiale de la București.

    Liderii celor 44
    de state participante au condamnat la unison invazia Rusiei din Ucraina şi şi-au
    reafirmat unitatea şi solidaritatea în faţa agresiunii Moscovei.



    Aderarea României la spațiul Schengen, dezbătută
    în Parlamentul European


    Parlamentul
    European a dezbătut, la Strasbourg, împreună cu reprezentantii Comisiei
    Europene și cu cei ai Consiliului, aderarea României și Bulgariei la spațiul
    Schengen. Eurodeputaţii români au susţinut miercuri, în plenul legislativului
    comunitar, aderarea cât mai rapidă, în contextul în care cele două ţări au
    îndeplinit încă din anul 2011 toate condiţiile tehnice necesare. Aproape
    toţi reprezentanţii grupurilor politice din legislativul european s-au
    pronunţat în favoarea aderării, mai puţin eurodeputaţii Grupului ‘Identitate şi
    Democraţie’, care nu doresc extinderea spaţiului Schengen şi se tem de o
    migraţie în masă. Votul asupra rezoluţiei privind aderarea va avea loc în
    următoarea sesiune a Parlamentului European.



    Legile
    justiției, în dezbaterea senatorilor


    Legile
    justiţiei au intrat, în această săptămână, în dezbaterea senatorilor, iar un
    vot final este aşteptat în plenul Camerei decizionale, săptămâna viitoare. Cele
    trei acte normative, privind funcționarea CSM, organizarea judiciară și
    statutul magistraților, trebuie adoptate rapid, în această toamnă, spune
    ministrul justiției, Cătălin Predoiu. El a explicat că de acestea depinde
    încadrarea în obiectivele stabilite de MCV și, implicit, aderarea României la
    spațiul Schengen. Din
    opoziție, fostul ministru USR al
    justiției, Stelian Ion, solicită amânarea votului senatorilor până la
    pronunţarea punctului de vedere al Comisiei de la Veneţia. Preşedintele
    Senatului, Alina Gorghiu, spune, însă, că adoptarea acestor legi este necesară
    pentru ca România să obţină un rezultat bun în raportul pe justiţie, iar în decembrie, dacă vor exista recomandări
    de modificare a legislaţiei din partea Comisiei de la Veneția, armonizarea va
    fi făcută fără niciun fel de ezitare.



    Un nou ministru al
    educației


    Premierul român, Nicolae
    Ciucă, afirmă că o va susţine pe Ligia Deca, noul ministru al Educaţiei, în
    definitivarea proiectului prezidenţial România Educată, astfel încât
    noile legi ale învăţământului să ajungă în Parlament până la sfârşitul lunii.
    Fostul consilier prezidenţial Ligia Deca a depus, luni, jurământul de
    învestitură în funcţia de ministru al Educaţiei. Propusă pentru această funcţie
    de Biroul Politic Naţional al PNL, Ligia Deca îi succede lui Sorin Cîmpeanu,
    care a demisionat joia trecută, după ce a fost acuzat de plagiat.



    BNR crește, din nou,
    dobânda de referință


    Consiliul
    de Administraţie al BNR a mărit, din nou, rata dobânzii de politică monetară,
    în încercarea de a ţine sub control creşterea preţurilor. Este a șaptea majorare din acest an, dobânda-cheie ajungând acum la 6,25% – cea mai ridicată
    din ultimii 12 ani. Potrivit
    vicepreşedintelui Asociației Profesioniştilor în Investiţii din România, analistul financiar Adrian
    Codirlaşu, BNR anticipează majorarea, în continuare, a
    inflaţiei şi a venit cu această majorare de dobândă, peste anticipaţiile
    pieţei.
    Potrivit
    specialiştilor Băncii Centrale, rata anuală a inflaţiei va continua, probabil,
    să mai crească spre finalul anului, dar într-un ritm vizibil încetinit, cauzele
    fiind legate de scumpiri mai mari anticipate la gazele naturale şi energie
    electrică, precum şi la alimente, pe fondul războiului din Ucraina, dar şi al
    secetei prelungite şi extinse la nivel european din această vară.
    Potrivit BNR, rata anuală a inflaţiei a ajuns la 15,32% în
    august.



    Dosar de spionaj privind fondul de rezerve minerale
    din România


    Procurorii
    Direcţiei de Investigare a Infracţiunilor de Criminalitate Organizată şi
    Terorism de la București au pus sub acuzare patru persoane – cetăţeni români şi
    străini – într-un dosar de spionaj ce vizează compania sârbă NIS Petrol,
    controlată de grupul rusesc Gazprom. Anchetatorii au făcut percheziţii în
    Bucureşti şi Timişoara, atât la sediul companiei, cât şi la domiciliile
    unor angajati, în urma cărora au fost ridicate documente şi medii de stocare a
    datelor. Cei patru sunt acuzaţi de divulgare de informaţii secrete de serviciu
    sau nepublice şi de transfer neautorizat de date informatice privind fondul de
    rezerve minerale din România – informează DIICOT. Pachetul majoritar de acţiuni
    al firmei sârbe NIS a fost cumpărat, în 2009, de Gazprom, printr-un acord
    semnat de guvernele de la Belgrad şi Moscova.


  • 06.10.2022 (mise à jour)

    06.10.2022 (mise à jour)

    Prague – L’unité européenne pourrait se renforcer si la
    Roumanie, la Bulgarie et la Croatie deviennent membres de l’Espace Schengen, a
    déclaré jeudi, à Prague, le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis. Les leaders
    de 42 pays se sont réunis jeudi, dans la capitale tchèque pour la première
    réunion de la Communauté politique européenne, une nouvelle structure mise en
    place à la suggestion du président Emmanuel Macron, pour répondre à l’invasion
    de l’Ukraine par la Russie. L’invasion russe a générée une réévaluation
    géopolitique complète et la CPE se veut une plateforme de coopération sur des
    thèmes de sécurité entre les Etats de l’UE et ses partenaires continentaux,
    candidats ou pas à l’adhésion. Dans le cadre de la réunion informelle du
    Conseil européen qui aura lieu vendredi, à Prague, les leaders de l’UE
    devraient s’attaquer à la situation en Ukraine, à la perspective d’une réponse
    européenne aux démarches de la Russie d’escalade du conflit et à la poursuite
    de l’appui accordé à l’Ukraine sur les plans financiers, politique, militaire
    et humanitaire. La situation sur le marché énergétique, l’impact des prix de
    l’énergie sur le quotidien et les efforts d’assurer la sécurité énergétique
    figureront également à l’ordre du jour de la réunion.
















    Strasbourg
    – Les eurodéputés roumains ont soutenu mercredi devant le Parlement européen
    réuni en séance plénière, l’adhésion au plus vite de la Roumanie et de la
    Bulgarie à l’espace Schengen, vu que les deux Etats accomplissent dès 2011
    toutes les conditions techniques nécessaires. La vaste majorité des eurodéputés
    soutient l’adhésion des deux Etats à l’espace de libre circulation européen.
    Seulement quelques représentants des partis allemand et italien d’extrême
    droite se sont opposés à un élargissement de l’espace Schengen et craignent une
    migration en masse. La présidence tchèque du Conseil de l’UE a assuré faire de
    son mieux pour obtenir au Sommet de décembre l’unanimité sur l’adhésion de la
    Roumanie et de Bulgarie à l’espace européen de libre circulation.












    Politique
    monétaire
    – Le Conseil d’administration de la Banque centrale roumaine a décidé
    de majorer le taux directeur annuel de 5,50% à 6,25%, à partir du 6 octobre. Ce
    qui plus est, la Banque centrale roumaine a majoré de 6,50% à 7,25%, le taux
    d’intérêt annuel pour les crédits à taux fixe par an et de 4,50% à 5,25%, celui
    des dépôts. Par ces mesures la Banque centrale roumaine essaie de contrôler la
    liquidité du marché monétaire et de préserver l’actuel taux des réserves
    minimales obligatoires des institutions de crédit, pour les passifs en lei et
    en devises.


    Réfugiés
    – 8486 citoyens ukrainiens sont arrivés mercredi, en Roumanie, soit de 10% de
    plus que la veille, a fait savoir l’Inspection générale de la police roumaine
    des frontières. Depuis le 10 février, soit deux semaines avant le début de
    l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe et jusqu’à présent, le nombre de
    citoyens ukrainiens ayant franchi les frontières roumaines a dépassé les 2
    millions 508 milles personnes. La plupart des Ukrainiens entrés en Roumanie ont
    juste transité le pays, en poursuivant leur voyage vers l’Europe occidentale.
    4300 réfugiés ukrainiens venus en Roumanie ont reçu l’asile politique et 70.000
    ont obtenu la protection temporaire et bénéficient d’un permis de séjour.

  • La Banque Centrale de la Roumanie augmente de nouveau son taux directeur

    La Banque Centrale de la Roumanie augmente de nouveau son taux directeur

    La Banque Nationale de la Roumanie a augmenté le taux directeur à 6,25%, même si les acteurs du marché s’attendaient à une progression plutôt modérée. Cette augmentation est la plus élevée des 12 derniers ans. La Banque Centrale a pris cette décision pour ralentir la hausse du taux d’inflation.

    Le vice-président de l’Association des Professionnels d’Investissement en Roumanie, l’analyste financier Adrian Codirlaşu, s’attend durant la période suivante à une progression des taux interbancaires, en fonction desquels on calcule les taux qui déterminent les valeurs des intérêts pour les prêts à taux variable. « La BNR anticipe une trajectoire encore ascendante du taux d’inflation et a décidé d’augmenter le taux d’intérêt de référence de 75 points de base, malgré les anticipations du marché économique. La conséquence sera la poursuite de la croissance du taux d’intérêt du marché monétaire, c’est-à-dire des intérêts ROBID et ROBOR. En même temps, la Banque Centrale s’attend à un fort ralentissement de la croissance économique. Qu’est que ça veut dire ? C’est-à-dire que, dans la période suivante, en Roumanie il y aurait au moins un risque d’une récession technique, donc on pourrait avoir des trimestres de baisse du PIB par rapport au trimestre antérieur. »

    Les experts de la BNR expliquent que les données les plus récentes indiquent une forte décélération de la croissance économique dans le troisième trimestre par rapport au trimestre précédant. Cependant, pendant la même période il y aura une croissance importante de la dynamique annuelle du Produit Interne Brut, comme un effet de base, dans le contexte d’un ralentissement de la croissance de la consommation privée. Adrian Codirlaşu explique encore :« La BNR anticipe un ralentissement de l’économie. Cependant, il y aura une croissance économique, mais à un rythme plus lent que les estimations initiales. En novembre, pendant la réunion prochaine, probablement il y aura une nouvelle augmentation de 25-50 points de base. A la fin de l’année la valeur du taux de politique monétaire serait 6,50 ou 6,75. »

    Selon les analystes de la Banque Centrale, le taux annuel d’inflation resterait probablement sur une trajectoire ascendante vers la fin de l’année, mais à un rythme visiblement plus lent. Cette situation serait une conséquence de la
    flambée du prix du gaz naturel et l’énergie électrique, ainsi que des aliments
    dans le contexte de la guerre en Ukraine et de la sécheresse prolongée de l’été
    dernier. Selon les mêmes analystes, l’escalade de la guerre et les sanctions de plus en plus sévères associées produisent des incertitudes et des risques considérables sur l’activité économique et, implicitement, en ce qui concerne l’évolution du taux d’inflation à moyen terme. Ils indiquent que, dans le contexte actuel, il est essentiel d’avoir une combinaison équilibrée des politiques macroéconomiques et d’implémenter des reformes structurales, y compris à l’aide des fonds européens. C’est ainsi que la stabilité macroéconomique sera maintenue tout comme la capacité de l’économie roumaine de résister à une évolution non-favorable sera consolidée. (trad. Andra Juganaru)

  • Efecte ale aprecierii dolarului

    Efecte ale aprecierii dolarului

    Dolarul american a atins cea mai mare cotație din
    istorie, în raport cu leul romanesc, depăşind pragul psihologic de 5 lei. Joi,
    moneda americană, era mai scumpă decat cea europeană, iar un euro era cotat, oficial,
    la 4,94 de lei. Cursul afișat de Banca Naţională a României (BNR) este un
    indicator de factori multipli, de la contextul politic internaţional până la
    nivelul de încredere de pe pieţele internaţionale. Trebuie spus însă, că Banca Centrală
    de la Bucureşti calculează cursul de schimb dolar-american-leu în funcţie de
    cotaţiile internaţionale dintre euro şi dolar, la fel ca în cazul altor valute,
    iar moneda unică europeană a pierdut teren în faţa dolarului american, deoarece
    investitorii se tem că economia Uniunii Europene ar putea avea de suferit din
    cauza evoluţiilor legate de războiul din Ucraina. Turbulenţele
    pe piaţa valutară s-au amplificat după anunţul preşedintelui rus Vladimir Putin legat de
    mobilizarea parţială a rezerviştilor, care deschide calea pentru o escaladare majoră a
    conflictului. Războiul a ajuns în a şaptea lună, iar Moscova pierde teren pe
    câmpul de luptă.

    În mod tradiţional, dolarul american este considerat o monedă
    de refugiu de către investitori, care au mai multă încredere în rezilienţa
    economiei Statelor Unite. Mai mult, Rezerva Federală Americană, adică Banca
    Centrală a Statelor Unite, are un program mai agresiv de creştere a dobânzii
    decât Banca Centrală Europeană în lupta cu inflaţia, care a atins niveluri alarmante.
    Creşterea
    dolarului peste pragul de 5 lei aduce un câştig nesperat celor care şiau păstrat economiile în dolari, precum şi
    companiilor cu exporturi în SUA sau în alte ţări unde multe tranzacţii sunt
    exprimate în dolari.

    Pe de altă parte, creşterea cursului leu/dolar scumpeşte
    importurile României în dolari, adâncind deficitul comercial şi deficitul de
    cont curent şi aducând inflaţie importată. Şi firmele cu credite în dolari sunt
    afectate de creşterea cursului. În țară,
    efectele se vor resimţi în special pe zona importurilor de materii prime,
    inclusiv de petrol şi cel mai probabil se vor vedea ulterior şi în preţurile la
    pompă ale carburanţilor, chiar dacă în ultima perioadă au fost anunțate mici
    reduceri, în special la benzină, ca efect al faptului că petrolul s-a ieftinit
    uşor pe pieţele internaţionale. Va fi, de asemenea, o presiune pe preţurile
    importurilor dintr-o serie de ţări din afara Uniunii Europene, în special din
    Statele Unite, inclusiv şi mai ales pe zona de maşini sau echipamente
    electrice. În sfârşit, inclusiv călătoriile şi vacanţele în anumite ţări,
    printre care şi destinaţii preferate de români, ca Egiptul şi Turcia, vor fi
    probabil mai costisitoare. În zona indicatorilor macroeconomici, aprecierea
    dolarului se va vedea în creşterea costurilor împrumuturilor statului în moneda
    americană, dar şi a ponderii în Produsul Intern Brut a datoriei externe.


  • Inflation steigt rasant und dauerhaft an

    Inflation steigt rasant und dauerhaft an

    Laut dem jüngsten Bericht der rumänischen Nationalbank (BNR) hatte sich das Wachstum der Inflationsrate zwischen April und Juni auf über 15% beschleunigt, was auf den Schock der hohen Energie- und Kraftstoffpreise zurückzuführen war, die die Lebensmittelpreise in die Höhe trieben. Zu diesem Zeitpunkt hatte die Zentralbank für das Ende dieses Jahres eine Inflation von 14% prognostiziert. Die Bevölkerung sieht sich jedoch bereits gezwungen, ihre Taschen zu leeren, um das Nötigste zu decken. Rumänien und Bulgarien sind die Mitgliedstaaten mit dem niedrigsten Lebensstandard in der EU, mit enormen Unterschieden zwischen dem Einkommen und den Ausgaben der Bevölkerung. Die jährliche Inflationsrate betrug 15,32% und begann im August erneut zu steigen, wie das Nationale Statistikinstitut berichtete. Das bedeutet, dass die Preise immer noch steigen, selbst wenn langsamer als im Frühjahr.



    Ein Beispiel: Im August waren die Preise um 0,6 % höher als im Juli, aber im Vergleich zum gleichen Zeitraum des Vorjahres betrug der Unterschied bei Lebensmitteln über 18%, bei Non-Food-Waren 16 % und bei Dienstleistungen 8%. Den grö‎ßten Sprung machte der Gastarif mit 70%, gefolgt von Kartoffeln — 54% und Speiseöl — 50%. Bei den Löhnen und Gehältern sank das durchschnittliche Nettoeinkommen in Rumänien im Juli um 0,1 % auf 3.975 Lei (810 Euro). Die höchsten Durchschnittslöhne wurden in der IT-Branche gezahlt, die niedrigsten im Hotel- und Gaststättengewerbe. Was die 5 Millionen Rentner betrifft, so betrug die durchschnittliche Rente 1.851 Lei pro Monat (nicht mehr als 370).



    Wenn man diese Zahlen berücksichtigt, sind die Versuche der Finanzanalysten, die Bevölkerung zu trösten, zu schwach. Die BNR schätzt, dass die Inflation im 3. Quartal dieses Jahres für einige Zeit stagnieren und im Anschlu‎ß sinken wird. Erst im 3. Quartal des nächsten Jahres ist mit einer einstelligen Inflationsrate zu rechnen und bis Ende 2023 mit einer Inflationsrate von 7,5 Prozent, so die Prognose der Bank. In der Zwischenzeit verspricht die Führung in Bukarest, Lösungen zu finden, um den sozial Schwachen zu helfen. Die oppositionelle Union Rettet Rumänien Union kritisiert die Regierung für ihre mangelnde Reaktion auf die aktuelle Situation.








  • August 20, 2022

    August 20, 2022

    Inflation — In Romania, the annual inflation rate will have minor fluctuations until the end of September and then it will take a downward path for 3 quarters, according to the National Bank of Romania – BNR. It expects the inflation rate to reach 13.9% in December. On the other hand, the BNR warns that the forecasts regarding the economic activity for next year are significantly revised downwards. According to the Central Bank, next year Romania will experience a significant drop in private consumption, under the influence of the gradual increase in interest rates on the population’s loans and deposits. The government has recently adopted the first budget rectification of 2022, a positive one, which takes into account an economic growth of 3.5%, the budget revenues for the first six months and the budget execution during this period. The Finance Minister, Adrian Caciu, claims that the budget deficit can be kept under control and that the target of 5.84% for the end of the year is achievable. The Fiscal Council, an independent body that analyzes the sustainability of fiscal and budgetary policies, warned that the rectification could lead to a figure exceeding the target deficit of 7% of GDP, because the government allegedly overestimated the receipts and underestimated part of the expenses.



    Fires – This years fires affected 150,000 hectares in Romania, i.e. ten times more than the average for the period 2006 – 2021, the former head of the Environmental Guard Octavian Berceanu has warned. He drew attention, in a Facebook post, to the fact that the ash resulting from the fires risks affecting the inhabitants of the cities, given the lack of protective curtains and green belts of the localities. There have been 715 fires in Romania this year, in the context of a previous multi-year average of 49. The biggest number of fires this year (266 in one week) occurred at the end of March, when more than 61,000 hectares were affected. Romania, with 0.63% of the countrys area affected by fires, ranks second in Europe, after Portugal (0.95%), and Spain and Croatia (0.56%).



    Marathon – 250 runners from ten countries have registered for the most difficult ultra-marathon in Romania, 2X2 Race, which will take place today, at Bâlea Lac, in the Făgăraş Mountains, at an altitude of more than 2,000 meters. The race is one of the most difficult mountain ultra-marathons in the world. The 2X2 Race takes place entirely at over 2,000 m, which makes it unique in Europe and one of the few in the world. This year, runners from Romania, Moldova, Hungary, Poland, Germany, the Netherlands, Great Britain, France, Israel and Russia have entered the competition. The competitors will run on some of the most technical routes in the Carpathians, reaching the second highest peak in Romania, Negoiu (2,535 m). Such competitions take place on rugged terrain, from dirt paths through forests and alpine plains, to ridges and cliffs.



    Customs — At least 346 thousand people, Romanian and foreign citizens, with over 86 thousand means of transport, crossed Romania’s border points on Friday, the Border Police informed. Almost 142 thousand people, of whom 12,500 Ukrainian citizens (down by 0.6% as compared to the previous day) entered Romania. Thus, as of February 10 (the pre-conflict period), until July 15, at national level, more than 2 million Ukrainians entered Romania. Control at the border crossing points upon entering Romania is being carried out promptly, in accordance with the provisions of the national and community legislation, with the Border Police working at the maximum capacity, as allowed by the infrastructure of the border-crossing points.



    Rushdie — Hundreds of people gathered in New York on Friday to express their solidarity with the writer Salman Rushdie, who survived an assassination attempt a week ago. Fellow writers read excerpts from his works on the front steps of the Manhattan Public Library. Passages from his controversial novel “The Satanic Verses”, considered by some Muslims as a blasphemy, were also read. The novel was banned in India, was burned at some demonstrations in the United Kingdom, and caused violent riots in Pakistan. On August 12, Salman Rushdie was going to speak at a conference in New York when a young man went on stage and stabbed him several times, in the neck and abdomen. Arrested immediately after the incident, the attacker, a 24-year-old American of Lebanese origin, pleaded not guilty to the attempted murder and assault charges in a first court appearance. Born in India in 1947, Salman Rushdie lived in New York for twenty years, becoming an American citizen in 2016. In 1989, Irans supreme leader, Ayatollah Khomeini, issued a fatwa, a decree requiring all good Muslims to kill Rushdie or help with his and his publishers’ assassination.



    Ukraine — The Ukrainian President Volodymyr Zelensky said that the restoration of full security at the Zaporozhe nuclear power plant – under the control of Russian forces – may begin with the international mission, warning that if the Russian blackmail with radiation continues, this summer could go down in the history of various European countries as one of the most tragic. The Russian President Vladimir Putin has agreed with inspectors from the International Energy Agency visiting the plant, still operated by Ukrainian personnel. It remains close to the front line and has been hit by shells several times in recent weeks, raising fears of a nuclear disaster. Ukraine and Russia have blamed each other for the bombings in and around the nuclear reactor complex in the south. On the ground, Kyiv reports that, on Friday, the Ukrainian air forces struck several times the positions of the Russian occupiers in the south of the country. At the same time, the city of Nikopol (south) was bombed by the Russians this morning. Explosions were also heard in Yevpatoria, a city in Crimea, and also in Dnipro (center). Meanwhile, Cyprus and Greece are rallying behind Germany to oppose blocking visas for the Russian tourists who want to visit the EU, rejecting Ukraines call for such a ban. At the same time, the mayors of Marseille, Lyon, Athens, Florence, Helsinki, Oslo, Riga and Tirana signed, on Friday, in Kyiv, an agreement protocol for the sustainable reconstruction of Ukrainian cities. (LS)

  • Le rapport de la BNR sur l’inflation

    Le rapport de la BNR sur l’inflation

    Il y a encore un an environ, les spécialistes, économistes, experts en finance et journalistes spécialisés attendaient avec intérêt les rapports de la Banque centrale. Aujourd’hui, même les citoyens lambda tentent de décoder le jardon ultra-spécialisé de ces communiqués. Ils sont en effet nombreux à subir les conséquences d’un phénomène aux causes multiples, et qui se répercute sur leur quotidien : la hausse de l’inflation.

    Alors, que raconte le nouveau rapport de la BNR, présenté, ce mardi, par son gouverneur, Mugur Isărescu ? La même chose que ce qu’expriment les roumains qui le subissent au quotidien : le taux d’inflation augmente à une vitesse vertigineuse depuis le mois d’avril, et a atteint 15 % en juin. Avec en toile de fond des prix exorbitants de l’énergie et des carburants, ainsi que la hausse des prix des denrées alimentaires, notamment des produits transformés. Selon le rapport, l’inflation aurait dû atteindre les 20 % si le gouvernement roumain n’était pas intervenu en plafonnant les prix de l’énergie – une matière première qui concerne tous les produits. En somme, il y a comme on dit « une bonne et une mauvaise nouvelle ».

    L’inflation devrait diminuer progressivement, mais pas autant que ce que semblait initialement prévoir la BNR. Elle a en effet porté à 13,9 % ses prévisions sur l’inflation pour la fin de cette année et prévoit un taux d’inflation de 7,5 % pour la fin de l’année prochaine, contre 12,5 % et 6,7 % comme elle l’avait initialement envisagé dans ses prévisions en mai dernier. L’inflation devrait redescendre à 2,3% en milieu d’année 2024. Les personnes ayant contracté un prêt auprès des banques sont aussi directement touchées par cette augmentation des prix.

    Dans la moitié des cas, les taux d’intérêt sont calculés en fonction de l’indice Robor.En janvier dernier, ce dernier était d’environ 3 %, contre 8 % aujourd’hui, bien au-dessus du taux de 5,5 % récemment fixé par la BNR. Le gouverneur de la Banque centrale, Mugur Isărescu, reconnaît qu’il est difficile de payer des sommes plus élevées qu’initialement prévu. Mais le message transmis aux citoyens depuis maintenant plus d’un an est clair : la période des faibles taux d’intérêt est terminée.

    En temps normal, les taux d’intérêt fluctuent entre 3 et 6 %, les Roumains ne doivent donc pas s’attendre à une baisse dans les prochains mois ou les prochaines années. Mentionnant le Robor, le gouverneur Isărescu a déclaré que les prévisions avaient été exagérées et a tenu à transmettre un message personnel aux banques : que celles-ci restent attentives aux décisions prises par la BNR. En d’autres termes, qu’elles gardent espoir de voir les estimations du Robor revues à la baisse et se rapprocher des taux fixés par la politique monétaire.