Tag: Constanta

  • Visite à Constanta hors-saison

    Visite à Constanta hors-saison

    Plus de 50 hectares de nouvelles plages ont été aménagées sur la côte roumaine de la mer Noire. Selon les opérateurs roumains de tourisme, le rythme des réservations va bon train et les vacanciers roumains ont déjà réservé des séjours pour les Pâques, pour le 1er mai et même pour la période estivale. Ce qui plus est, le nombre des hôtels qui proposent des services tout compris a également augmenté, tout comme celui des hôtels-boutique. Et une destination de tous ceux qui souhaitent passer des vacances d’été en Roumanie, à la mer Noire, c’est la ville de Constanţa. C’est l’endroit idéal pour marier la détente sur la plage à la découverte d’une ville pleine d’évènements et d’histoire. Les restaurants et les terrasses proposent une multitude de menus internationaux et traditionnels roumains, à même de satisfaire les clients les plus exigeants.

    Diana Slav, guide de tourisme de la ville de Constanţa et de ses environs, affirme que certains touristes font des recherches rigoureuses avant de commencer leurs vacances, savent exactement ce qu’ils souhaitent visiter et où ils veulent arriver. Ecoutons Diana Slav : « Hormis le Casino qui demeure un emblème de la ville de Constanţa et qui heureusement est en train d’être rénové, je recommande aussi une visite du Musée de la Marine. C’est un endroit unique en Roumanie et facilement accessible. Ses histoires sont aussi disponibles en format audio en plusieurs langues étrangères. De là, en descendant vers la Place Ovidiu, il y a le Musée d’Histoire et surtout l’Edifice romain à mosaïque. Il y a aussi les bains romains, méconnus par beaucoup de monde, et leurs 650 mètres carrés de mosaïque très bien préservés. »

    Tout le centre historique de la ville de Constanţa a été restauré dans le cadre d’un projet financé par des fonds européens, démarré en 2013. Par conséquent, de nombreux hôtels et appartements sont apparus qui respectent l’aspect du quartier et l’histoire se trouvant derrière les immeubles. La multiculturalité est un autre côté qui ne fait que surprendre les touristes. Les communautés ethniques qui vivent dans cet espace sont un véritable exemple de tolérance et de coopération. Turcs, Tatars, Grecs, Arméniens et Juifs, ils ont tous contribué à la prospérité de la ville. Diana Slav : « La gastronomie locale illustre justement cette caractéristique de la ville. A Constanţa il y a de nombreux restaurants qui proposent la cuisine de ses communautés ethniques. Du point de vue culturel et religieux, le centre-ville, les rues piétonnes, où se retrouvent une grande partie des histoires de la ville de Constanţa, constituent un véritable octogone confessionnel. Pas moins de huit lieux de culte de différentes religions peuvent être découverts à pied, en une heure et demie, en fonction de la vitesse de tout un chacun ».

    Depuis la ville de Constanţa, on peut visiter de nombreux sites dans les alentours. Diana Slav, guide touristique : « Les touristes peuvent faire des randonnées à vélo ou à bord de véhicules motorisés. Il y a par exemple de très beaux scooters, avec lesquels on peut visiter sans problèmes en en toute élégance toute la région. Les touristes demandent de telles visites qui incluent aussi les côtés historique, culturel et gastronomique. Si on se déplace vers la frontière avec la Bulgarie, on peut voir aussi la cité d’Adamclisi qui est très bien conservée. Les gens se rendent uniquement pour voir le monument romain, mais moi j’aime aussi les ruines de la citadelle romaine. A proximité, on peut s’occuper aussi du côté religieux, à la Grotte de Saint André et au monastère de Dervent. Ce sont des endroits recherchés par ceux qui veulent découvrir les débuts du christianisme sur ces terres. A ne pas rater non plus les différents chais et caves de cette région. Il y en a une vingtaine à présent. J’aime beaucoup les établissements vinicoles personnels (« boutique wineries »), qui mettent l’accent sur la qualité, et pas seulement sur la quantité. Les vignerons ont appris que l’histoire des lieux contribue de manière significative à l’expérience de la dégustation du vin. Seul le verre de vin ne suffit pas. »

    Voici donc autant d’arguments pour visiter la ville de Constanţa et la région de Dobroudja aussi, en dehors de la saison estivale. A bientôt !

  • Soutien à l’économie roumaine

    Soutien à l’économie roumaine

    L’économie roumaine – comme l’économie mondiale – traverse une période difficile, affectée, entre autres, aussi par le conflit russo-ukrainien. Le gouvernement de Bucarest a adopté jeudi les premières mesures de soutien à l’économie, visant notamment le secteur du BTP. 1,77 milliard de lei seront alloués pour couvrir la hausse des prix des matériaux de construction, mais aussi celle de l’augmentation des tarifs de la main-d’œuvre. Selon les statistiques afférentes au mois de janvier, le secteur du BTP contribue avec de 6,6 points de pourcentage au Produit intérieur brut de la Roumanie. Le premier ministre Nicolae Ciucă a déclaré que les lignes de financement avaient déjà été identifiées :



    « Nous avons besoin de ce secteur pour qu’il soit en mesure d’assumer les autres projets à venir, car nous avons également un large éventail de projets dans le Plan national de relance et de résilience que nous devons réaliser. Pratiquement, dans tout cet ensemble de mesures, il y a deux composantes essentielles : nous investissons dans l’économie, nous maintenons les emplois et nous réussissons à atteindre les objectifs assumés pour développer la Roumanie ».



    D’ailleurs, le ministre du Développement, Cseke Attila, a déclaré qu’il y avait un risque de blocage de certains contrats et même de faillite de certains entrepreneurs. Il a présenté quelques exemples de flambée de prix dans le domaine du BTP. « Le prix du métal a augmenté de 70 % de janvier à mars derniers, le ciment – de 20 %. La main-d’œuvre a également connu des majorations de tarifs ces derniers mois. Et aussi l’électricité, le diesel, le bitume, le fer, le bois, la brique, tous les prix montent depuis un an », a déclaré le ministre du Développement. Cseke Attila a précisé dans quelles situations la mesure d’appui au secteur du BTP sera accordée :



    « Elle s’appliquera également aux contrats qui faisaient l’objet d’une procédure de passation de marché au moment de l’adoption de l’Ordonnance gouvernementale 15 de la fin août dernier. Les contrats dont les marchés publics sont en cours et dont les offres n’ont pas encore été soumises seront ajustés. Elle s’appliquera également aux contrats en cours qui n’ont pas de clause d’ajustement, respectivement à ceux qui ont une clause d’ajustement prévue sur la base de l’Ordonnance 15 de l’année dernière, mais cette clause nouvellement réglementée par l’Ordonnance d’urgence adoptée aujourd’hui couvre mieux les réalités du marché ».



    Par ailleurs, jeudi, feu vert à la réhabilitation de l’infrastructure ferroviaire du port de Constanţa (sud-est), visant à faciliter la prise en charge de flux de fret supplémentaires et le développement du transport multimodal. 200 millions de lei provenant du Fonds de réserve budgétaire à la disposition du gouvernement seront alloués à l’infrastructure ferroviaire. Selon le ministre des Transports, Sorin Grindeanu, cette mesure permettra d’assurer le rythme et la capacité de toutes les activités de transport dans le port.


    (Trad. : Ligia)

  • La bibliothèque publique de Constanţa

    La bibliothèque publique de Constanţa


    Cest en 1878 que la partie nord de la Dobroudja intégra le royaume de Roumanie et que débuta le processus de son occidentalisation. Lapparition dinstitutions politiques modernes dans la province fut accompagnée par la naissance dinstitutions culturelles, telles que la bibliothèque publique. Sa création est liée à la personnalité dun des hommes de culture et publicistes les plus influents de la ville de Constanţa: Petru Vulcan (1866 – 1922). Son nom a bien évidemment été évoqué lors du 90e anniversaire de la Bibliothèque départementale « Ioan N. Roman » de Constanța, en 2021.



    La bibliothécaire Corina Apostoleanu fait un résumé de la biographie de Petru Vulcan : Petru Vulcan est arrivé en Dobroudja au bout dun périple très intéressant, quasi aventureux. Petru Vulcan a des origines aroumaines, de lextérieur du territoire actuel de la Roumanie, mais il finit par être très attaché à la ville de Constanța et à la province de Dobroudja. Il devient fonctionnaire public dans une ville-port dont lévolution commençait à peine et qui ne ressemblait pas à celle que nous connaissons aujourdhui. Là, il imagine un projet très ambitieux, celui de fonder une revue littéraire et culturelle en langue roumaine, la première jamais publiée sur le territoire de la Dobroudja. Une revue dont le nom sera « Ovidiu », pour célébrer la latinité quil entend promouvoir et un personnage extrêmement important pour le monde culturel de la province. Lancienne administration ottomane des lieux navait jamais mis en valeur la personnalité du poète romain Publius Ovidius Naso/Ovidiu/Ovide. Petru Vulcan se propose aussi de créer un cercle littéraire, un deuxième projet très audacieux dans une ville où la population dorigine roumaine était peu nombreuse, où le système déducation manquait à lappel et où les intellectuels se comptaient sur les dix doigts de la main. Vu le contexte, Petru Vulcan considère quil faut mettre en œuvre aussi un troisième projet, celui dune bibliothèque universelle.



    La bibliothèque de Petru Vulcan nallait pas résister trop longtemps, à une époque où les livres étaient des objets de luxe et la vie culturelle moderne faisait ses premiers pas, raconte Corina Apostoleanu: Linauguration de la bibliothèque a été fastueuse, au cours dun grand événement public sur la Place de lIndépendance, lactuelle Place Ovidiu de Constanţa. Malheureusement, le projet est plutôt fragile et la bibliothèque seffondre. Les membres du groupe sont souvent en désaccord, mais la revue réussit à survivre jusquen 1910, avec ou sans Petru Vulcan. Mais entre la fin du XIXe siècle et les années 1930, lorsque la bibliothèque moderne fait effectivement son apparition, lon assiste à plusieurs tentatives dactivité culturelle sous la forme de cercles de lecture de diverses catégories professionnelles : fonctionnaires, ouvriers portuaires, juristes, enseignants et autres. Il y avait aussi des bibliothèques scolaires, rattachées aux établissements denseignement plus importants. Tout cela sinscrit sur le chemin déjà imaginé par Petru Vulcan et qui mène à la création de la bibliothèque publique de la ville. Si lon regarde de plus près, lon constate que les enseignants avaient mis de la pression sur les pouvoirs locaux, clamant le besoin davoir une bibliothèque dans leur ville.



    Les pouvoirs locaux ne signeront lacte fondateur de la bibliothèque départementale de Constanța quen juillet 1931, ajoute Corina Apostoleanu: Pourquoi notre bibliothèque porte-t-elle le nom de « Ioan N. Roman »? Parce quil était un des intellectuels les plus réputés de la ville à lépoque. Ioan N. Roman était avocat et poète, qui publiait ses poèmes sous le nom de plume Rozmarin/Romarin, car il était impossible quun avocat sérieux publie sous son vrai nom. Il est mentionné dans de nombreuses publications de Dobroudja, mais il meurt en 1931. La bibliothèque publique sera installée dans une des maisons dIoan N. Roman, louée par la mairie. Le premier bibliothécaire, sans salaire, a été Carol Blum, autre intellectuel remarquable de Constanţa, enseignant et latiniste passionné de lœuvre dOvide. Dans les années 1950, Carol Blum partira en Israël, où son activité de recherche est reconnue, lAcadémie israélienne laccueillant parmi ses membres. La bibliothèque commence à avoir une identité bien définie et à former ses collections, grâce à des dons et dachats importants douvrages. Elle se dote dun règlement et met au point des horaires douverture et de lecture, devenant une institution moderne.



    Linstallation du régime communiste en 1947 ouvre une nouvelle étape dexistence de la bibliothèque départementale de Constanța, une étape marquée par la censure et par linterdiction daccès du public à une partie importante des collections de livres. Après 1990, la bibliothèque perd son siège, le bâtiment ayant été rétrocédé à larchevêché de Constanţa, mais elle emménage dans un nouveau bâtiment, spécialement dessiné et construit pour elle, une première en Roumanie. (Trad. Ileana Ţăroi)




  • Biblioteca publică din Constanța

    Biblioteca publică din Constanța

    Începând cu 1878, anul în care Dobrogea de nord a devenit parte din regatul
    României, a demarat și procesul de occidentalizare a provinciei pontice pentru
    a ține pasul cu restul țării. Pe lângă instituțiile politice specifice
    modernității, au început să apară și cele culturale, iar una dintre ele,
    biblioteca publică, a avut o evoluție destul de șovăielnică. Înființarea sa
    este legată de personalitatea unuia dintre cei mai influenți publiciști și
    oameni de cultură constanțeni: Petru Vulcan, care a trăit între 1866 și 1922.
    În 2021, când Biblioteca Județeană Ioan N. Roman din Constanța a împlinit 90
    de ani, Petru Vulcan a fost, evident, pomenit, iar biografia sa ne este
    schițată acum de bibliotecara

    Corina Apostoleanu: Petru Vulcan a venit
    în Dobrogea la un moment dat după un periplu foarte interesant, aproape
    aventuros. Petru Vulcan are origini aromâne și vine din exteriorul teritoriului
    actual al României, dar se atașează foarte mult de Constanța și de teritoriul
    Dobrogei. Devine funcționar public la Constanța și în această ipostază, într-o
    Constanță aflată la începutul evoluției ei, fiind foarte departe de ceea ce
    vedem astăzi, își propune un proiect foarte ambițios: să realizeze o revistă
    literară, o revistă de cultură în română, prima pe teritoriul Dobrogei căreia i
    se spune Ovidiu în numele latinității pe care vrea să o promoveze și în
    numele unui personaj de maximă importanță pentru lumea culturală a Dobrogei.
    Administrația otomană în Dobrogea nu pusese nicidecum în valoare personalitatea
    lui Ovidiu. Era prima oară când se încerca o punere în lumină a personalității
    poetului Publius Ovidius Naso. În al doilea rând își propune un cerc literar,
    un al doilea proiect foarte îndrăzneț într-un oraș care abia avea o populație
    românească de mici dimensiuni și în care nu exista un sistem educațional format
    și în care erau intelectuali numărați pe degete. În contextul acesta i se pare
    firesc să atașeze acestor două proiecte culturale și pe un al treilea: o
    bibliotecă universală.


    Acest prim proiect privind
    biblioteca avea să fie pus pe picioare de Petru Vulcan, fără să reziste, însă,
    prea mult într-o perioadă în care cărțile erau încă un obiect de lux și viața
    culturală modernă era de-abia la început, după cum povestește Corina
    Apostoleanu.

    Biblioteca se deschide cu mare fast cu
    manifestare publică în Piața Ovidiu de astăzi care pe atunci se numea Piața
    Independenței. Dar, din păcate, proiectul îi are are picioarele cam fragile și
    nu poate să meargă foarte departe. Biblioteca se risipește. Membrii grupului au
    oarecare disensiuni între ei, dar evista reușește însă să trăiască până în
    1910, cu prezența lui Petru Vulcan sau cu absența lui Petru Vulcan. Dar între
    finalul secolului XIX și perioada anilor 1930, când apare cu adevărat
    biblioteca moderna, are loc o sumă de încercări care constau în cercuri de
    lectură ale unor categorii profesionale. Existau cercul de lectură al
    funcționarilor, cercul de lectură al muncitorilor portuari, cercul de lectură
    al juriștilor și ale profesorilor etc. Existau, de asemenea, și biblioteci
    școlare care apar odată cu instituțiile mai importante de învățământ. Și toate
    acestea converg din nou către ideea mai veche a lui Petru Vulcan și anume aceea
    de a avea o bibliotecă publică în oraș. Și, dacă ne uităm cu atenție la cei
    care au făcut presiuni, constatăm că e vorba de lumea profesorilor care a mers
    către autoritățile locale, către primărie, spunând că avem nevoie de o
    bibliotecă în oraș.


    În aceste condiții, de-abia în iulie 1931,
    autoritățile locale semnează actul de înființare a bibliotecii județene din
    Constanța.

    Corina Apostoleanu continuă: De ce se numește Ioan N. Roman biblioteca
    noastră?. Pentru că unul dintre intelectualii de frunte ai orașului la momentul
    respectiv este Ioan N. Roman, avocat de meserie, dar care scrie poezie cu
    pseudonimul Rozmarin, căci un avocat serios nu se făcea să scrie numele adevărat.
    Numele lui apare în numeroase periodice dobrogene, dar în 1931 el a murit. Iar
    în una dintre casele lui primăria va instala biblioteca constănțeană, familia
    închiriind acest spațiu primăriei. Primul bibliotecar neplătit este Carol Blum,
    un alt intelectual de frunte al orașului, profesor și latinist pasionat de Ovidiu. De altfel Carol Blum, va
    pleca la un moment dat, în anii 50, în Israel unde îi va fi recunoscută
    activitatea de cercetător și unde va deveni membru al Academiei din Israel. A
    devenit și acolo un nume foarte cunoscut. Biblioteca începe să se instaleze,
    începe să prindă contur și încet-încet se constituie colecții prin donații
    importante, dar și prin achiziții. Începe să apară un regulament și să se
    constituie un program ore de lectură. Așadar, se formează o bibliotecă modernă.


    După instalarea comunismului în
    1947, biblioteca județeană din Constanța a intrat într-o nouă etapă marcată de
    cenzură, o parte importantă a fondului de carte devenind neaccesibilă
    publicului. După 1990, instituția a intrat într-o nouă etapă. Sediul de până
    atunci va fi retrocedat Arhiepiscopiei din Constanța deoarece se pregătea deja
    unul propriu, o construcție modernă destinată de la bun început bibliotecii,
    fiind, de fapt, prima clădire din România concepută chiar în acest scop.


  • Athlete of the Week

    Athlete of the Week

    Simona Halep remains Romania’s highest-ranking tennis
    player. On Monday she made a comeback among the world’s first 20 players, with a
    7 position jump currently placing her on the 19th position. That was
    possible thanks to the performance she obtained at WTA 1000 in Indian Wells, where
    she made it to the semifinals. For her latest Californian performance, Radio
    Romania International has designated Halep Athlete of the Week.






    At Indian Wells, Simona entered directly into the
    second round and played Russian Ekaterina Alexandrova whom she defeated 6-2,
    4-6, 6-2. In the third round she secured a two-set win against Cori Gauff of
    the USA, 6-3, 6-4. In the round of 16, she clinched a 6-1, 6-4 win against her
    compatriot Sorana Cîrstea and defeated Croatian player Petra Martic in the
    quarterfinals, 6-1, 6-1. It was third-seeded Iga Świątek of Poland who stopped
    Halep in her tracks in the semifinals with a 7-6, 6-4 win. The Polish player
    eventually won the tournament after a two-set win 6-4, 6-1 against Maria
    Sakkari of Greece.






    Simona Halep was born on 27th September
    1991, in Constanţa, south-eastern Romania and made her debut in international
    competitions in 2006, when she played her first games in the ITF tournament. In
    2010, she became part of Top 100 and four years later she made it to the second
    position in the world ranking, which at that time was the best performance
    obtained by a Romanian tennis player. Three years later, in October 2017, she
    became the world’s best tennis player, a position she left in January 2018. She
    made a comeback to that position that year in February and kept it until early
    2019 after the Australian Open. She topped the WTA ranking for 64 weeks and her
    prize closet includes two Grand Slam trophies, Roland Garros in 2018 and
    Wimbledon 2019.






    (bill)

  • Athlete of the Week

    Athlete of the Week

    Simona Halep remains Romania’s highest-ranking tennis
    player. On Monday she made a comeback among the world’s first 20 players, with a
    7 position jump currently placing her on the 19th position. That was
    possible thanks to the performance she obtained at WTA 1000 in Indian Wells, where
    she made it to the semifinals. For her latest Californian performance, Radio
    Romania International has designated Halep Athlete of the Week.






    At Indian Wells, Simona entered directly into the
    second round and played Russian Ekaterina Alexandrova whom she defeated 6-2,
    4-6, 6-2. In the third round she secured a two-set win against Cori Gauff of
    the USA, 6-3, 6-4. In the round of 16, she clinched a 6-1, 6-4 win against her
    compatriot Sorana Cîrstea and defeated Croatian player Petra Martic in the
    quarterfinals, 6-1, 6-1. It was third-seeded Iga Świątek of Poland who stopped
    Halep in her tracks in the semifinals with a 7-6, 6-4 win. The Polish player
    eventually won the tournament after a two-set win 6-4, 6-1 against Maria
    Sakkari of Greece.






    Simona Halep was born on 27th September
    1991, in Constanţa, south-eastern Romania and made her debut in international
    competitions in 2006, when she played her first games in the ITF tournament. In
    2010, she became part of Top 100 and four years later she made it to the second
    position in the world ranking, which at that time was the best performance
    obtained by a Romanian tennis player. Three years later, in October 2017, she
    became the world’s best tennis player, a position she left in January 2018. She
    made a comeback to that position that year in February and kept it until early
    2019 after the Australian Open. She topped the WTA ranking for 64 weeks and her
    prize closet includes two Grand Slam trophies, Roland Garros in 2018 and
    Wimbledon 2019.






    (bill)

  • Tragediile din spitalele româneşti

    Tragediile din spitalele româneşti

    Încă
    de la primele ore ale zilei de vineri, România era cutremurată de o nouă veste
    cumplită: la Spitalul de Boli Infecţioase din Constanţa, cel mai important oraș
    de pe litoralul la Marea Neagră, izbucnea, în plin val 4 al pandemiei, un
    incendiu la secția de terapie intensivă. Dacă, într-o primă fază, autoritățile
    au anunțat că, din cele zece persoane cu Covid-19 internate acolo, nouă au
    decedat, ulterior bilanțul a fost revizuit în scădere, la șapte. Ceea ce nu
    face din acest eveniment o tragedie de proporții mai mici!


    După incendiul de la
    Spitalul din Piatra Neamț, din noiembrie trecut, când peste zece
    pacienți au murit, iar medicul de gardă care a încercat să-i salveze a suferit
    arsuri de gradul 2 şi 3 pe 80% din corp, o anchetă a direcției de control din
    cadrul Guvernului a scos la iveală nereguli la instalațiile de semnalizare și
    la cele electrice. În raportul care a evaluat, atunci, mare parte din sistemul național
    de sănătate au fost identificate peste 2 mii de abateri de la normele de
    securitate la incendiu.


    Se observa că peste un sfert din spitalele românești nu
    au rezervor de apă pentru incendii, în două treimi din secțiile ATI controlate
    nu se asigură distanțele între paturi și mai puțin de jumătate din secțiile de
    terapie intensivă au cadre medicale suficiente pentru gărzi. La puține luni
    după Piatra Neamț, un alt incendiu izbucnea, de acea dată, la Institutul Matei
    Balș din București, unitate medicală-fanion, peste 20 de persoane căzându-i victime.
    De fapt, se poate vorbi, deja, despre un fenomen al incendiilor în spitale.


    Potrivit
    unui bilanț apărut în presa centrală, numai în ultimul an, 10 unități medicale
    au semnalat incendii în incintele lor, în contextul suprasolicitării
    infrastructurii vechi și al creșterii numărului de infectați cu noul
    coronavirus care necesită internare. După noul dezastru de vineri, de la
    Constanța, specialişti au fost trimiși să facă o expertiză tehnică la locul incendiului.
    Cercetări fac și criminaliştii, pentru a determina cauzele izbucnirii focului
    care a ars secţia ATI. În paralel, o anchetă administrativă privind măsurile de
    protecţie şi securitate la incendiu a dispus şi Prefectura Constanţa. Secţia de
    terapie intensivă de la Boli Infecţioase, complet distrusă, a fost preluată de
    Spitalul Judeţean de Urgenţă, cu tot cu personal medical.


    Ungaria vecină s-a
    oferit să ajute și să preia pacienţi din România, dacă este nevoie. Dar nici la
    Constanța, în particular, nici sistemului medical românesc, în general, nu îi
    sunt de ajuns îngrijiri paliative!


    Premierul Florin Cîțu a vorbit de nevoia
    remedierii tuturor greșelilor făcute în ultimii 30 de ani. Iar președintele
    țării, Klaus Iohannis, a recunoscut că ʺstatul român a eşuat în misiunea sa
    fundamentală de a-şi proteja cetăţenii.”



  • Neue Brandkatastrophe auf Intensivstation

    Neue Brandkatastrophe auf Intensivstation

    In den frühen Morgenstunden des Freitags wurde Rumänien von einer neuen Schreckensnachricht erschüttert: Im Krankenhaus für Infektionskrankheiten in Constanța, der grö‎ßten Stadt an der Schwarzmeerküste, brach mitten in der 4. Pandemiewelle ein Feuer auf der Intensivstation aus. Zunächst gaben die Behörden bekannt, dass neun der zehn dort aufgenommenen Covid-19-Patienten gestorben waren, doch wurde die Zahl der Todesopfer später auf sieben korrigiert – was nichts am Ausma‎ß der Katastrophe ändert.



    Premierminister Florin Cîțu sprach von der Notwendigkeit, alle in den letzten 30 Jahren gemachten Fehler zu korrigieren. Und der Präsident des Landes, Klaus Iohannis, gab zu, dass “der rumänische Staat bei seiner grundlegenden Aufgabe versagt hat, seine Bürger zu schützen”



    Im November letzten Jahres war ein Brand in einem Krankenhaus im nordöstlichen Piatra Neamt ausgebrochen, bei dem mehr als zehn Patienten starben. Der diensthabende Arzt, der versuchte, Patienten zu retten, erlitt Verbrennungen zweiten und dritten Grades auf 80 % seines Körpers. Eine Untersuchung der zuständigen Behörden deckte damals Probleme bei den Signal- und Elektroanlagen auf. In dem Bericht zur anschlie‎ßenden Untersuchung in einem Gro‎ßteil der Krankenhäuser wurden mehr als 2.000 Verletzungen von Brandschutzvorschriften festgestellt. Mehr als ein Viertel der rumänischen Krankenhäuser solle so nicht über einen Löschwassertank verfügt haben; in zwei Dritteln der überprüften Intensivstationen wurde der Mindestabstand zwischen den Betten nicht eingehalten; weniger als die Hälfte der Intensivstationen verfügte über ausreichend medizinisches Personal in Bereitschaft. Wenige Monate nach dem Brandvorfall in Piatra Neamt brannte es jedoch wieder – diesmal im Matei Balș Institut in Bukarest, einer medizinischen Vorzeigeeinrichtung. Mehr als 20 Menschen fielen dem Brand zum Opfer. In der Tat ist bereits ein Phänomen der Brände in Krankenhäusern feststellbar. Einem in der Zentralpresse veröffentlichten Bericht zufolge haben allein im letzten Jahr 10 medizinische Einrichtungen Brände in ihren Räumlichkeiten gemeldet, die auf die Überlastung der alten Infrastruktur durch eine steigende Zahl der Corona-Patienten in stationärer Behandlung zurückzuführen sind. Nach der neuen Katastrophe vom Freitag in Constanta sollen Spezialisten – darunter auch Kriminalisten – den Brandherd durchkämmen und die Ursache des Brandes herausfinden, der die Intensivstation zerstörte.


    Parallel dazu wurde von der Präfektur Constanta eine administrative Untersuchung der Brandschutz- und Sicherheitsma‎ßnahmen angeordnet. Der Betrieb der völlig zerstörten Intensivstation im Krankenhaus für Infektionskrankheiten wurde mitsamt medizinischem Personal vom Notfallkrankenhaus in der Stadt übernommen. Das benachbarte Ungarn hat angeboten, zu helfen und bei Bedarf Patienten aus Rumänien aufzunehmen. Doch das sint Palliativlösungen, die weder speziell für die Lage in Constanta noch generell für das rumänische Gesundheitssystem ausreichen. .




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  • Dans les hôpitaux roumains, les tragédies s’enchaînent

    Dans les hôpitaux roumains, les tragédies s’enchaînent

    Vendredi matin, la Roumanie se réveillait pour apprendre
    une terrible nouvelle : un incendie s’était déclaré dans la section des soins
    intensifs pour les malades de Covid de l’Hôpital des maladies infectieuses de
    Constanta, le plus important de cette région du pays, dans le sud-est, au bord
    de la Mer Noire. Sur les 10 patients se trouvant à ce moment-là en réanimation,
    7 ont, malheureusement, perdu la vie. Maleheureusement, ce n’est pas la
    première tragédie de ce type.


    L’année dernière, en novembre, un incendie similaire survenu
    à l’Hôpital de Piatra Neamt (nord-est) avait fait 10 morts, alors que le
    médecin qui s’était risqué la vie pour sauver les patients a eu de graves brûlures
    sur 80% de son corps. Une enquête de la direction de contrôle du gouvernement
    de Bucarest avait alors mis au jour des problèmes aux équipements techniques et
    électriques de l’unité de soins intensifs en question. D’ailleurs, le rapport
    dressé il y a une année mettait en lumière plus de 2 000 irrégularités en ce
    qui concerne les normes de sécurité en cas d’incendie dans les hôpitaux
    roumains à travers le pays. Par exemple, l’on a constaté que plus d’un quart
    des hôpitaux roumains ne disposaient pas d’un réservoir d’eau pour les incendies,
    que dans deux tiers des unités de soins intensifs vérifiées la distance entre
    les lits n’était pas respectée et que moins de la moitié de ces unités disposaient
    de suffisamment de médecins pour les services de garde.


    Quelques mois seulement après l’incident de Piatra Neamt,
    fin janvier dernier, un autre incendie faisait une vingtaine de victimes à
    Bucarest, parmi les malades de Covid de l’institut Matei Balș, un repère des
    soins médicaux de la capitale roumaine.


    Déjà, on peut parler d’un véritable phénomène des
    incendies dans les hôpitaux roumains. Et pour cause. Selon un bilan paru dans
    la presse centrale, cette dernière année, 10 unités médicales ont signalé des
    incendies survenus à cause de la surcharge de l’infrastructure électrique vieillie,
    sur toile de fond de la croissance du nombre de malades de covid nécessitant l’hospitalisation.


    A l’heure où l’on parle, une enquête technique est en
    cours dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital de Constanta. Les
    criminalistes sont eux aussi sur place pour déterminer les causes de l’incendie.
    En parallèle, la Préfecture de Constanta a demandé une enquête administrative visant
    les normes de protection et de sécurité en cas d’incendie. Vu que la section de
    réanimation de l’Hôpital de maladies infectieuses a été complètement détruite
    par le feu, ses patients et son personnel médical ont été transférés à l’Hôpital
    départemental des Urgences de Constanta. La Hongrie voisine a offert son aide, étant
    prête à accueillir des patients roumains, si nécessaire.


    En l’absence d’une stratégie à même de prévenir de telles
    tragédies, les hôpitaux de Constanta, et de partout en Roumanie en fait, ne
    peuvent offrir que des soins palliatifs, ce qui n’est pas du tout suffisant,
    surtout au beau milieu de la 4e vague de la pandémie de coronavirus, une vague
    plus dangereuse que les précédentes. En attendant, le premier ministre Florin
    Cîtu a parlé de la nécessité de remédier « à toutes les erreurs faites ces
    30 dernières années », alors que le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, a avoué que
    « l’Etat roumain a échoué dans sa mission fondamentale de protéger ses citoyens
    ». (Trad. Valentina Beleavski)

  • October 1, 2021 UPDATE

    October 1, 2021 UPDATE

    Fire – A strong fire broke out on Friday at the ICU of the Infectious Diseases Hospital in Constanţa (southeastern Romania), resulting in 7 deaths. The entire hospital was evacuated, and the patients were transferred to other health units in the county. A criminal investigation into negligence and man slaughter has been opened in this case. Dysfunctions and irregularities regarding the fire alert system had been identified in this hospital during two previous controls, says the Interior Minister Lucian Bode. Sanctions were imposed, but the problems were not remedied. The Romanian PM Florin Cîţu asked for the dismissal of the manager of the Constanţa Infectious Diseases Hospital and dismissed the president of the National Authority for Quality Management in Healthcare. This is the 10th fire in less than 12 months to take place in one of Romania’s hospitals, many of which are COVID units. Similar tragedies occurred at the end of last year, at the County Hospital in Piatra Neamţ (northeast), and at the beginning of this year at the Matei Balș Institute in Bucharest. Both incidents resulted in deaths and injuries among patients treated for Covid 19 in intensive care. Controls launched at Romanian hospital units showed that some of them do not have a fire safety certificate.



    Aachen – The President of Romania, Klaus Iohannis, stated on Friday, in Aachen, during a debate, that the European Union must go through a deep integration and that he does not believe in eliminating countries from the bloc, as he likens the EU to a family. President Iohannis also said at the accession of candidate countries from the Western Balkans should be accelerated. Iohannis spoke of Romanias neighbors – Ukraine and the Republic of Moldova – as ‘states that want to move things together with us.’ The Romanian head of state is present in Germany in the context in which, on Saturday, he receives the International Charlemagne Prize of Aachen – For the Unity of Europe.



    Covid Ro — The Romanian authorities announced, on Friday, almost 10,900 new cases of SARS-CoV-2 infection out of over 67,000 thousand tests. 169 COVID-associated deaths were also reported, most in unvaccinated people. All deaths were in patients with other health conditions. The number of hospitalized people also continued to increase. At present there are over 12,500 hospitalized people, 5,500 more than one week ago. 1,391 people are in intensive care.



    Measures – The National Committee for Emergency Situations has decided that it is mandatory to wear a protective mask in all indoor and outdoor public spaces when the infection rate for a period of 14 days exceeds 6 per thousand inhabitants. Regardless of the aggregate incidence rate, the Health and Education Ministries can allow the physical participation of all children in classes. On the other hand, shops will close at 10 p.m. on Fridays, Saturdays and Sundays if the Covid-19 incidence exceeds the threshold of 6 per thousand inhabitants and at the same hour in the rest of the week, if the infection rate in the respective locality is higher than 7.5 per thousand, the National Committee for Emergency Situations has also decided. Restaurants, performance halls and gyms will not close when the incidence reaches 6 per thousand inhabitants, but they will be able to operate at only 50% of their maximum capacity. Access will be allowed only to vaccinated people or people who have recovered from the disease. The rule also applies to private events, such as weddings or baptisms.



    Pandemic – The Romanian Committee for Emergency Situations has updated the list of countries and territories of high epidemiological risk. Romania has joined the red zone, along with the Republic of Moldova, Bulgaria, Armenia, Belarus and Greenland. Following the drop in the incidence rates, Austria, Switzerland, Gibraltar, Iran, the Maldives and the Bahamas are now in the yellow zone. The green zone now includes, among other countries, the Netherlands, Germany and France. Those vaccinated against COVID-19 would not be quarantined if they come from yellow or red list areas. The committee has decided to exempt from the quarantine measure the drivers of goods and passenger vehicles if they provide a negative RT-PCR test result. The new list takes effect on October 3.



    UK – As of October 1, EU citizens will need a passport to enter the UK, showing that they came to work, study or as tourists. Identity cards are no longer accepted as valid travel documents following Brexit. Nearly six million EU citizens, who were in the UK on 31 December 2020, were eligible to apply for residency and over 90% of them have received it. In their case, the identity card will continue to be accepted as a travel document until January 1, 2026. The new immigration system introduced this year means much more border controls, because the EU citizens no longer enjoy freedom of movement. According to the British newspaper “The Guardian”, in the first six months of the year, 7,249 European citizens were stopped at the Great Britain’s bordres and 60% of them were from Romania.



    Football — Romania’s football champions, CFR Cluj (northwest) ended in a draw 1-all the match played on Thursday, on home turf, against the Danish team Randers FC, in Group D of the Europa Conference League. In the other match of the group, the Dutch team AZ Alkmaar defeated Jablonec, from the Czech Republic, at home, 1-0. CFR ranks last in the group and will play the next match against Alkmaar, in Cluj, on October 21. CFR Cluj is the only representative of Romania in the continental competitions. (LS)

  • אושר שיקום בית הכנסת בקונסטנצה

    אושר שיקום בית הכנסת בקונסטנצה

    תוכנית השיקום של בית הכנסת בעיר קונסטנצה אושרה בפעם הרביעית . נשיא הקהילה היהודית של קונסטנצה, סורין לוסיאן יונסקו, אמר כי עיריית קונסטנצה אישרה, שוב, את שיקום בית הכנסת. במקביל, הוכפל הסכום העומד לרשות חברת ההשקעות הלאומית עבור ביצוע הפרוייקט. הסכום עומד עכשיו על 12.5 מיליון ליי (כ -2.53 מיליון יורו).



    בית הכנסת בקונסטנצה הוא מקום התפילה היהודי האחרון בעיר. הוא נבנה בשנת 1911, בסגנון מאורי, על פי תוכניות האדריכל אלברט לינץ. הוא ננטש בשנת 2006 ולאחרונה הוא התחיל להתמוטט.

  • Nachrichten 15.08.2021

    Nachrichten 15.08.2021

    Rumänien hat am Sonntag 323 neue Coronavirus-Fälle innerhalb von 24 Stunden registriert, was einen Rückgang gegenüber dem Vortag bedeutet. Allerdings stieg die Anzahl der Patienten, die in die Intensivstation eingeliefert wurden, auf 112. In den letzten 24 Stunden wurden sechs Todesfälle bei Patienten verzeichnet, die mit SARS-CoV-2 infiziert waren. Unterdessen ist das Interesse an Impfungen nach wie vor gering. Insgesamt sind etwa 5 Millionen Rumänen mit den vorgesehenen Dosen geimpft worden.



    Der Tag der Marine ist am Sonntag in Constanta, dem größten Seehafen Rumäniens, mit einer Zeremonie unter Ausschluss der Öffentlichkeit begangen worden. In Anwesenheit hoher Staatsbeamter gratulierte Präsident Klaus Iohannis den rumänischen Seeleuten und betonte, dass Opferbereitschaft, Hingabe und Professionalität ihre wichtigsten Eigenschaften seien. Dem Staatschef zufolge sei die strategische Bedeutung des Schwarzmeerraums für die euro-atlantische Sicherheit heute eine Gewissheit. Es gebe jedoch nach wie vor Sicherheitsherausforderungen, sowohl militärische als auch nichtmilitärische, konventionelle, hybride und Cyber-Herausforderungen, weshalb ein größeres Engagement erforderlich sei, um die Sicherheit zu stärken und die nationale Widerstandsfähigkeit zu erhöhen, so der Präsident weiter.



    Heute feiern die Christen die Himmelfahrt der Jungfrau Maria, den Tag, der an den Moment ihres Abschieds von dieser Welt erinnert. Die Jungfrau Maria ist die Person, die im Christentum nach den Personen der Heiligen Dreifaltigkeit am meisten verehrt wird. Mariä Himmelfahrt ist der Festtag der meisten Klöster in Rumänien und gilt als das Fest der Wallfahrten. Pilger strömen in Scharen zu den Klöstern, die der Muttergottes geweiht sind, um zu vermeintlich wundertätigen Ikonen zu beten. Die religiösen Veranstaltungen finden anlässlich des 150. Jahrestages des ersten Treffens der Rumänen aus aller Welt und des ersten Kongresses rumänischer Studenten statt, welche im August 1871 im Kloster Putna (Nordosten) abgehalten wurden. Die Ideale der Einheit aller Rumänen wurden bekräftigt. Unter den Pilgern in Putna befinden sich 650 Studenten aus dem In- und Ausland, die morgen an einem Kongress teilnehmen werden.

  • Vacances dans le département de Constanţa

    Vacances dans le département de Constanţa

    Destination privilégiée des vacanciers roumains en été, le département de Constanţa, au bord de la mer Noire, cache plus de trésors que ses longues plages de sable fin, ses hôtels quatre étoiles et ses parcs de loisirs. S’y ajoutent des vestiges historiques, des trajets thématiques, tout comme une riche diversité culturelle et gastronomique. Le Conseil départemental de Constanţa propose aux touristes six itinéraires culturels et touristiques avec pour point de départ cette ville-port à la mer Noire. A vous de choisir, en fonction de vos préférences, entre la route historique, religieuse, celles des musées, du vin, des cités historiques ou encore du patrimoine culturel immatériel. Mihai Lupu, à la tête du Conseil départemental de Constanţa, nous parle des choses à faire une fois sur place :« La ville de Constanţa figure parmi les plus anciennes du monde, non seulement de Roumanie. C’est un endroit riche en vestiges archéologiques et en musées : le Musée d’histoire, d’art traditionnel, d’art contemporain disposant d’une des collections les plus importantes de Roumanie. Je recommande également une visite au Delphinarium, au Planétarium et à l’Aquarium, des incontournables pour les familles avec des enfants. Si on veut découvrir la région, on pourrait choisir n’importe quelle route en direction du delta du Danube ou des anciennes cités de Histria, Capidava ou Ulmetum. »

    Cela fait plus de 5 ans que Diana Slav offre ses services de guide aux touristes qui souhaitent découvrir les coups de cœur de la ville de Constanţa et des alentours. Voilà ce qu’elle nous propose :« A part le Casino, véritable effigie de la ville, actuellement en pleine restauration, je vous suggérerais de visiter le Musée de la Marine, unique en Roumanie et très accessible. Des audio-guides en plusieurs langues vous seront proposés dès l’entrée. Après la visite de ce musée, vous pourriez rejoindre à pied la Place Ovidiu où se trouve le Musée d’histoire, et notamment l’Edifice romain à mosaïque. Une occasion de découvrir des thermes romains dont l’existence reste plutôt méconnue au grand public et les 650 mètres carrés de mosaïque particulièrement bien conservée. »

    En 2013, un financement européen a permis à l’administration locale d’entamer des travaux de rénovation dans tout le centre historique de la ville. A l’heure où l’on parle, le chantier est presque achevé. Il ne reste que des détails visant notamment les façades. Suite à tous ces travaux, la ville s’est dotée d’un nombre accru d’espaces de logement à l’intention des vacanciers qui visitent la région. Une région qui, comme on l’a déjà dit, s’impose par son pluriculturalisme. Turcs, Tatars, Grecs, Arméniens ou Juifs, autant de communautés ethniques qui vivent en paix depuis la nuit des temps. Et là où il est question de pluriculturalisme, il est question aussi de diversité gastronomique. De quoi faire le bonheur des touristes. Diana Slav :« La région s’enorgueillit d’avoir plusieurs restaurants à spécifique. Du point de vue culturel et religieux, la ville de Constanţa renferme dans la partie piétonne de son centre-ville une sorte d’octogone confessionnel. On a huit lieux de culte appartenant à différentes religions, que l’on pourrait découvrir lors d’une balade à pied d’une heure et demie. »

    Une fois sur Constanţa, une idée serait de faire en sorte de découvrir aussi la région dans son ensemble, nous conseille Diana Slav :« Récemment, ce sont les balades à vélo ou à moto qui prennent le dessus. Les touristes se voient offrir la possibilité de louer des scooters, ce qui leur permettrait de découvrir tranquillement et facilement toute la région. On m’a déjà demandé d’imaginer des visites censées mêler histoire, culture et gastronomie. Par exemple, si on se dirige vers la frontière bulgare, on pourrait s’arrêter visiter la cité d’Adamclisi, très bien conservée. Une fois sur place, les gens se contentent à tort d’admirer seulement le monument, en ignorant les ruines de l’ancienne cité. Pas très loin, on a la Grotte de Saint André et le Monastère de Dervent. Des endroits qui feront la joie de tous ceux intéressés à découvrir les débuts du christianisme. Après, la région regorge de caves à vin. On a répertorié une vingtaine de petites caves-boutiques où l’on privilégie la qualité, pas forcément la quantité. Chacune de ces caves nous invite à connaître son histoire, car on a compris qu’une simple dégustation de vin ne suffit pas pour conquérir le touriste, si le verre ne s’accompagne pas d’une belle histoire. »

    Au bord de la Mer Noire, la ville de Mangalia est connue aussi bien pour sa plage de sable fin que pour ses attractions culturelles et historiques, notamment la Mosquée Esmahan Sultan et son cimetière. Couvrant une superficie de 5 000 mètres carrés, cet ensemble est considéré par les spécialistes comme l’un des monuments d’architecture les plus beaux de Roumanie, grâce au mélange des styles turc et grec, avec de légères influences mauresques. La mosquée figure parmi les objectifs à découvrir lors du tour des vestiges historiques de la région, affirme notre guide, Diana Slav :« Après Constanţa, on pourrait se diriger vers Babadag pour admirer la deuxième mosquée la plus ancienne de Roumanie, datant de 1610. En empruntant la route qui descend vers Adamclisi, on arrivera à Mangalia pour visiter, si l’on veut, sa mosquée construite en 1590. Ensuite, on pourrait faire le tour de Histria, la plus ancienne cité antique de Roumanie et, quelques kilomètres plus loin, on a la Cité médiévale d’Enisala. Tout cela se trouve dans le département de Constanţa. Si on veut aller plus loin, dans le département voisin de Tulcea, on aura encore plus de possibilités de visites. La plupart des touristes se disent impressionnés par le pluriculturalisme de la région et par les plages dont le sable fin les surprend. Ils s’attendent d’habitude à découvrir de petites plages de galets comme on en trouve dans l’ouest de l’Europe. Or, avec nos plages vastes dont la surface a été encore agrandie cette dernière année, ils sont vraiment surpris. En plus, les hôtels et les structures d’hébergement sont de plus en plus divers, et proposent aux vacanciers des expériences personnalisées. On assiste à un marché touristique local en plein mûrissement. »

    Madame, Monsieur, ceci étant, il ne vous reste qu’à boucler vos valises, à lire attentivement les conditions d’entrée en Roumanie et à choisir Constanţa comme destination de vos prochaines vacances. (Trad. Ioana Stancescu)

  • Travaux du Forum économique franco-roumain (2)

    Travaux du Forum économique franco-roumain (2)

    La Chambre française de commerce, d’industrie et d’agriculture en Roumanie, la section roumaine des Conseillers du commerce extérieur de la France, en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie de la Roumanie et la Chambre de commerce, d’industrie, de navigation et d’agriculture de Constanţa, avec le soutien de l’Ambassade de France en Roumanie, ont organisé le Forum économique franco-roumain. Cette fois-ci, le format avait été modifié ; il a eu lieu sur deux jours, à Constanţa, principal port roumain à la mer Noire. L’occasion de mettre en exergue la contribution des investissements français à l’économie roumaine, les opportunités d’affaires ainsi que l’expertise franco-roumaine dans des secteurs clés. Y ont participé de grands investisseurs, des entrepreneurs roumains et français, et aussi des experts, des représentants des pouvoirs publics, en présentiel, mais aussi en ligne.



  • Le Courrier des auditeurs du 30.07.2021

    Le Courrier des auditeurs du 30.07.2021


    Bucarest fond sous la canicule, et cea ne fait que commencer. En fin de semaine, la ville est désertée de ses habitants qui vont se rafraîchir, notamment au bord de la mer Noire. Ainsi, la semaine dernière, 150 000 touristes avaient investi la côte roumaine, un record pour cet été. D’ailleurs, c’est la saison des vacances ; d’autres, et j’en fais partie, ont choisi de faire un tour en Roumanie. Un tour de 2 000 km en 9 jours, qui a été très apprécié par ceux qui ont vu les photos ou qui connaissent déjà les endroits. Je me propose de vous le raconter pour vous donner des idées de voyage, vu que nous l’avons imaginé aussi pour un membre de la famille qui est étranger.



    Partis de Bucarest, nous avons rejoint Dunavăţu de Jos, une commune du delta du Danube, dans le département de Tulcea (sud-est). En chemin, vous pouvez également visiter la ville-port de Constanţa, Mamaia, la perle de la côte roumaine de la mer Noire, et l’ancienne cité de Histria, fondée par les colons grecs au 6e s. avt. J.-C. Cette dernière est aussi la ville la plus ancienne attestée sur le territoire de la Roumanie. Sachez que la Dobroudja est, à cette époque, pleine de champs de tournesol d’une très grande beauté ; nous nous sommes arrêtés pour faire un nombre impressionnant de photos. Le delta nous a accueillis avec une météo très agréable, ce qui nous a permis de faire deux promenades en barque. L’une à partir de Dunavăţu de Jos, pour aller jusqu’à la plage sauvage de Perişoru, à la mer Noire, à travers plusieurs canaux de toutes les dimensions, dont certains – minuscules. Nous avons eu la joie de voir pélicans, cormorans, aigrettes, cygnes, foulques, grèbes huppés, hérons cendrés et autres évoluer parmi les nénuphars et les roseaux. Le lendemain, nous avons pris un petit bateau de Jurilovca pour aller jusqu’à Gura Portiţei, une langue de terre où vous avez d’un côté le lac Goloviţa et de l’autre — la mer Noire. Pour ceux qui souhaitent assaisonner leurs vacances d’histoire, ne passez pas sans visiter la citadelle médiévale d’Enisala, construite dans les années 1300 en haut d’une colline empierrée. Les fouilles archéologiques qui y ont été pratiquées ont permis de mettre au jour deux logements du premier âge du fer. De là, vous avez une superbe vue sur les environs.



    Nous avons quitté à regret le delta, traversé le Danube en bac à Brăila et mis le cap sur une autre attraction dont nous vous avons souvent parlé à l’antenne : les Volcans de boue de Berca, au département de Buzău. Un paysage lunaire, tout à fait inédit, avec de petits cratères bouillonnants et des coulées de boue nous attendait — contrastant avec les forêts avoisinantes. Je n’ai jamais rien vu de semblable, je peux dire qu’il vaut bien le détour. Le lendemain, nous avons visité le camp de sculpture en plein air de Măgura, dans le même département. En effet, c’est sur ces collines qu’un camp de sculpture pour artistes émoulus de l’Académie d’architecture de Bucarest et même pour des lycéens avait été organisé, entre 1970 et 1985. Les sculpteurs ont laissé leurs 256 œuvres monumentales là, et aujourd’hui l’exposition s’étale sur 21 ha. On dit que des phénomènes paranormaux se produisent à proximité, dans la forêt ; je ne les ai pas expérimentés. A l’hôtel où nous avons passé la nuit, en pleine forêt, nous avons eu un visiteur tout à fait inattendu le matin : un renard qui a pris son petit déjeuner avec nous. Les hôteliers le connaissent depuis trois ans et il vient se faire servir des victuailles tous les jours ; il en emporte pour nourrir aussi sa famille.



    Nous avons de nouveau pris la route pour aller à Şirnea, un petit village éparpillé sur des collines, au département de Braşov (centre). Jusque-là, nous avons admiré le paysage et le superbe lac de Siriu, à l’eau turquoise. Aux environs de Braşov, nous avons visité l’église médiévale fortifiée de Prejmer, du XIIIe siècle, incluse au patrimoine mondial de l’UNESCO. C’est toujours un plaisir de la revoir, surtout quand il fait beau. Bien entendu, nous ne pouvions pas passer à côté de Braşov sans faire un tour au centre-ville. La rue piétonne était très animée, nous y avons pris du bon temps. Nous sommes passés par Poiana Braşov et sommes arrivés à Şirnea, dans un paysage bucolique, avec beaucoup d’animaux. Nous y sommes allés pour faire des randonnées dans les alentours. Un trajet trouvé sur une application semblait séduisant ; 15 km par monts et par vaux, partiellement à travers la forêt, s’est avéré très très beau, mais aussi particulièrement fatigant. Nous l’avons parcouru en 6 heures ; on se reprend de la fatigue, on ne garde que les bons souvenirs. Néanmoins, il convient d’y aller avec un équipement approprié, et aussi d’emprunter un itinéraire adapté à sa condition physique.



    Il existe au département de Braşov un site rupestre très intéressant, qui est aujourd’hui un monastère, celui de Şinca Veche, creusé dans les Monts Făgăraş. Il est présumé par certains être vieux de 7 000 ans et avoir des origines daciques ou même plus anciennes. Un lieu très calme, très beau et très intéressant que les gens visitent pour ses légendes et ses mystères. Il comporte cinq pièces, et une sorte de tour haute de 10 m, par laquelle la lumière naturelle pénètre dans ce lieu étrange. Il a deux autels, ce qui indique ses origines préchrétiennes. On dit que cet endroit de recueillement est béni de Dieu et plein d’énergie positive. On y a découvert un symbole similaire au Yin et Yang et aussi l’étoile de David. Selon d’autres, c’est un lieu où des phénomènes paranormaux se passeraient, aussi. Au-delà de tout, un endroit vraiment intéressant à visiter.



    En route ! Avant de rejoindre notre gîte à Viştişoara, dans le département de Braşov, en pleine nature, nous avons visité le monastère Brâncoveanu (XVIe siècle), à Sâmbăta de Sus. A proximité, vous avez aussi un lieu appelé La Vâltori, dans le village de Lisa. Les vâltori, ce sont des tourbillons construits sur un cours d’eau, où les villageois lavaient leur linge par la seule force motrice de l’eau, sans lessive. Des machines à laver traditionnelles, si vous voulez. Il y avait aussi un métier associé, qui pouvait ou non être en rapport avec le traitement de la laine. Nous avons ainsi vu tous ces équipements des années 1900, et aussi des équipements pour traiter et filer la laine datant de la même époque et toujours fonctionnels. Là encore, très intéressant !



    Pas loin, au département de Sibiu, je vous recommande de voir l’Abbaye cistercienne de Cârţa, unique en Roumanie, une construction d’art roman et gothique fondée par les moines bourguignons et érigée d’abord en bois, vers 1202-1209, et ensuite en pierre, par des tailleurs de pierre français. Sa première attestation documentaire remonte à 1225. Les moines avaient un style de vie ascétique et leur activité était vouée à l’intérêt de la communauté. On y voit des chapiteaux, des clés de voûte, des fenêtres ainsi que le portail ouest, du XVe siècle. Vous verrez aussi l’église évangélique du XIIIe s. Cette abbaye a eu un rôle majeur dans l’histoire politique, économique et culturelle de la Transylvanie.



    Ne passez pas à côté de la citadelle de Făgăraş, dans la ville homonyme. Même si l’extérieur est en rénovation pour lui rendre l’aspect d’il y a 200 ans, présenté dans les gravures d’époque, l’intérieur est visitable. Forte d’une histoire de 600 ans, elle a conquis les tenanciers du site de voyages Hopper qui l’ont déclarée le deuxième plus beau château du monde voici quelques années — article présenté par le Huffington Post. Faire quelques pas dans l’ancien centre-ville de Sibiu est aussi un must ; laissez-vous envoûter.



    En quête de beauté, nous avons emprunté la Transalpina, la route la plus haute de Roumanie, qui traverse les Monts Parâng du nord au sud, et qui culmine à 2 145 m. Une route construite d’abord par les Romains, semble-t-il. En tout cas, les bergers des alentours de Sibiu l’empruntaient avec leurs moutons pour se rendre en Valachie. Modernisée à compter de 2009, elle est spectaculaire aujourd’hui. La beauté des paysages est à couper le souffle. 138 km parfois à travers des forêts et parfois même à travers les nuages, avec des lacs, et des paysages bucoliques. Une fois arrivés à Horezu, vous pouvez visiter le monastère de Hurezi du XVIe s., figurant au patrimoine mondial de l’humanité, et aussi les ateliers des potiers. Nous avons terminé le tour par les Cule, ces maisons fortifiées de Măldăreşti, au département de Vâlcea (sud).



    Chers amis, pour ceux qui seraient intéressés, je peux révéler les noms des hôtels et des gîtes que j’ai choisis, et qui se sont avérés excellents. Voilà, j’ai été un peu longue, mais j’espère que mon récit vous donne des idées de vacances en Roumanie.