Radio România Internațional

Tag: Corina Cretu

  • 29.04.2015 (mise à jour)

    29.04.2015 (mise à jour)

    Porte-conteneurs — 4 marins roumains se trouvent à bord du navire marchand danois arraisonné mardi par la marine iranienne à cause des dettes impayées par la compagnie, a fait savoir le ministère roumain des Affaires Etrangères. La même source cite l’armateur du navire, selon lequel tous les membres de l’équipage, y compris les ressortissants roumains, sont en sécurité et poursuivront leur voyage, le plus probablement sur le même porte — conteneurs, une fois le problème résolu. Selon la télévision publique iranienne, des marins originaires de Bulgarie, du Myanmar, de Roumanie et du Royaume Uni composent l’équipage de 24 personnes du navire, sous les ordres d’un capitaine bulgare.



    Coopération — Le président ukrainien Pétro Porochenko a signé mercredi une loi portant sur la ratification de l’Accord entre l’Ukraine et la Roumanie, lit-on dans la publication en ligne “Evropieska Pravda”. Kiev et Bucarest ont convenu de développer leur coopération militaire dans le but de renforcer la confiance réciproque et la sécurité dans les zones avoisinant la frontière entre les deux pays. De même, selon l’accord, «la partie ukrainienne s’engage à ne pas détenir et ne pas déployer d’armes offensives sur le territoire de l’Ile des Serpents ».



    Justice — La Haute Cour de Cassation et de Justice de Roumanie a décidé mercredi du placement en détention provisoire par contumace pour 30 jours de l’ancien député Marko Attila, accusé dans un dossier de corruption. A l’époque où les faits visés ont été commis, celui-ci était secrétaire d’Etat dans le cadre du gouvernement de Bucarest. La décision n’est pourtant pas définitive. Selon plusieurs sources, l’ancien député se trouve depuis un certain temps déjà en Hongrie voisine. Par ailleurs, le député Ioan Ochi, qui fait l’objet d’un autre dossier de corruption a gardé son immunité vu que la demande des procureurs d’approuver son arrestation et sa mise en détention provisoire n’a pas réuni mercredi le nombre de votes nécessaire pour être adoptée par le plénum de la Chambre des Députés.



    Fonds européens — Selon la commissaire européenne à la Politique régionale, la Roumaine Corina Cretu, l’utilisation des fonds européens alloués pour la période 2007 — 2013 reste un défi majeur pour la Roumanie. La Commission européenne apprécie les progrès enregistrés par la Roumanie à ce chapitre, le sujet ayant été abordé entre autres lors d’une réunion, mardi, à Strasbourg, entre le président de la Comission Jean-Claude Juncker et le premier ministre roumain Victor Ponta. Dans un communiqué, la commissaire Corina Cretu encourage la Roumanie à adopter et à mettre en œuvre l’Initiative pour les PME, qui ne nécessite pas de co-financement au niveau national et qui a un grand potentiel de stimuler l’entrepreuneuriat et de créer des emplois.



    Jeunes — Le Parlement européen a approuvé mercredi un financement d’un milliard d’euros pour cette année dans le but d’aider les jeunes européens à trouver un emploi. Les bénéficiaires sont 20 Etats membres ayant des régions où le chômage dépasse les 25% du total des jeunes. La Roumanie est un de ces pays. Selon un communiqué du Parlement Européen, le nombre des jeunes âgés de 15 à 25 ans qui n’ont pas d’emploi et qui ne font pas partie d’un programme d’éducation ou de formation professionnelle augmente de manière alarmante, notamment dans les Etats membres ayant des difficultés à co-financer les fonds européens pour dérouler différents projets.



    Parquet — Le Parlement Européen a adopté mercredi le rapport de la parlementaire roumaine Monica Macovei portant sur la création d’un Parquet Européen. Selon un communiqué de presse du PE, la résolution reçu 487 votes pour, 165 contre et 33 abstentions. Selon les députés européens, le rôle du Parquet Européen sera de lutter contre les fraudes du budget communautaire et de récupérer l’argent des contribuables. Il doit être complètement indépendant et responsable d’un point de vue diplomatique, précise encore le communiqué.



    Visite — Le ministre chargé des relations avec les Roumains de l’étrangers, Angel Tâlvar, se rendra du 30 avril au 3 mai en Israël. Une visite officielle censée mettre en lumière le fait que Bucarest accorde un intérêt prioritaire au Moyen Orient en général et à l’Etat d’Israël en particulier, fait savoir un communiqué du ministère roumain des AE. A l’agenda de la visite figurent des sujets liés à la communauté des Israéliens provenant de Roumanie, qui reste attachée aux valeurs culturelles de leur pays d’origine étant un véritable vecteur du renforcement de l’identité roumaine, lit-on dans le communiqué.



    Récital — Radio Roumanie organisera un récital marquant l’inauguration des événements prévus à l’occasion des réunions de l’Union européenne de radio-télévision qui auront lieu du 29 avril au 3 mai à New York. L’occasion pour les représentants des radios publiques européennes et américaines de se réunir lors de séminaires, débats, concerts et visites de travail, le tout dans le but de diffuser des productions musicales et échanger des programmes musicaux. Le récital du pianiste roumain Matei Vargă aura lieu le 30 avril au Concert Space de Manhattan.



    Météo — La pluie s’arrêtera et les températures augmenteront légèrement dans les 24 prochaines heures notamment dans l’ouest, le nord et le centre de la Roumanie. Le ciel sera toujours couvert et il pleuvra dans les montagnes de Transylvanie et sur les collines du sud du pays. Les températures maximales, toujours en dessous de la normale saisonnière, iront de 14 à 21 degrés.

  • Die Europäische Union will weiterhin in Rumänien investieren

    Die Europäische Kommission ist an den Bau der Infrastruktur in den weniger entwickelten EU-Staaten, die unbedingt ihre Verkehrsinfrastruktur ausweiten müssen, interessiert. So die EU-Kommissarin für Regionalpolitik Corina Creţu am Mittwoch in Klausenburg (Rumänien). Das Transeuropäische Verkehrsnetz TEN-V sei eine Priorität der Kommission, fügte Corina Creţu hinzu, die zusammen mit dem rumänischen Verkehrsminister Ioan Rus eine Strecke der Autobahn Sebesch-Turda, ein Projekt, das Teil des TEN-V ist, besucht hat. Die 70 km lange Autobahn soll Hälfte des kommenden Jahres beendet werden und verbindet die Autobahn Transilvania (Landesmitte) mit dem Paneuropäischen Verkehrskorridor IV (Schwarzes Meer). Die Europäische Kommission wird für den Bau der ersten Strecke der Autobahn Sebesch-Turda rund 150 Millionen Euro zuteilen.




    Die EU-Kommissarin für Regionalpolitik Corina Creţu hat die rumänischen Behörden, die politischen Parteien und die ganze rumänische Gemeinschaft aufgefordert, den Verkehrsmasterplan zu unterstützen. Die Europäische Kommission wünsche sich Stabilität, so dass die gro‎ßen Projekte in diesem Sektor, die zu einer Entwicklung des Landes beitragen, umgesetzt werden können. Eine effizient und dauerhaft entwickelte Infrastruktur muss eine Priorität sein. Rumänien müsse sich in die bedeutendsten paneuropäischen Verkehrskorridore vernetzen, fügte Creţu hinzu. Sie sprach mit dem rumänischen Verkehrsminister Ioan Rus über das Operationelle Programm Gro‎ße Infrastruktur. Die Europäische Union hat Rumänien dafür im Zeitraum 2014-2020 9,5 Milliarden Euro zugeteilt. Finanziert werden sollen Projekte in Bereichen wie Vekehr, Umwelt und Energie. Das meiste Geld, das bedeutet 7,5 Miliarden Euro, werden für die Entwicklung der Verkehrsinfrastruktur gebraucht. Ioan Rus erklärte, Rumänien könne die Fonds abrufen, nachdem die Europäische Kommission den Verkehrsmasterplan Rumäniens billigt. Weiterhin sagte er, die “Transilvania”-Autobahn, die Braşov (Mitte des Landes) und Borş(Westen, an der Grenze mit Ungarn) verbindet, werde 2017 — 2018 finalisiert.




    Ein Teil der europäischen Fördermittel werde in die sieben rumänischen internationalen Flughäfen, sowie in die Erneuerung einigen Eisenbahnlinien investiert. Ioan Rus erklärte weiter, die rumänischen Behörden werden dem Bau der rapiden Strecke Bukarest-Jassy-Chişinău grö‎ßere Aufmerksamkeit schenken. Corina Creţu behauptete, der Verkehrsmasterplan Rumäniens werde von der Europäischen Kommission bis Ende Mai gebilligt.

  • The European Union invests in Romania’s transport infrastructure

    The European commissioner for regional policy Corina Cretu urged the Romanian authorities, politicians and the entire Romanian society to commit to the transport master plan to allow for the implementation of major projects in the field able to boost the country’s development.



    The European Commission is interested in building infrastructure in its less developed members that “stringently” need better road infrastructure, said the European commissioner for regional policy Corina Cretu on Wednesday in Cluj.



    The Trans-European Transport Network TEN-T is a priority for the Commission, said Cretu, who visited, together with transport minister Ioan Rus, a section of the Sebes-Turda motorway, a project that forms part of TEN-T. The motorway is to be finalised by mid 2016, will have a total length of 70 km and will connect the Transylvania motorway, in the centre, to the European Corridor IV that runs all the way to the Black Sea.



    To build the first section of the Sebes-Turda motorway, Romania will receive around 150 million euros from the European Commission. Commissioner Corina Cretu also urged the authorities, politicians and Romanian society to commit to the national transport master plan allowing for the implementation of major transport projects and providing the European Commission with a needed guarantee of stability. Efficient and sustainable infrastructure must be a priority if we wish to secure Romania’s connection to the main European transport corridors, Cretu also said. She held talks with minister Ioan Rus about the Large Infrastructure Operational Programme. Under the European Union’s 2014-2020 long-term budget, Romania has been allocated 9.5 billion euros to finance a number of projects in the area of transport, the environment and energy.



    Most of the money, 7.5 billion euros, is earmarked for the development of transport infrastructure. Romania will have access to these funds as soon as the European Commission approves its transport master plan, which, said minister Rus, is almost finalised. He also announced that the Transylvania motorway linking Brasov, in the centre, to Bors, in the west, on the border with Hungary, would be finalised in 2017 or 2018.



    A portion of the European funds will be invested in Romania’s 7 international airports and the rehabilitation of railroads. Ioan Rus also said the Romanian authorities would pay special attention to the Bucharest-Iasi-Chisinau high-speed rail. The European commissioner for regional policy Corina Cretu said Romania’s transport master plan would be approved by the European Commission by the end of May.


  • Investissements européens en Roumanie

    La Commission européenne est intéressée par la construction d’infrastructures dans les Etats membres moins développés et qui ont un besoin « impératif » d’améliorer l’infrastructure routière, déclarait mercredi à Cluj, la commissaire européenne en charge du développement régional, Corina Creţu.



    Le principal réseau européen de transport TEN-T constitue une priorité pour la Commission, a ajouté la commissaire, qui s’était rendue, en compagnie du ministre roumain des transports Ioan Rus, sur le chantier d’un tronçon de l’autoroute Sebeş-Turda, projet inclus dans le TEN-T. Long de 70 km, ce secteur devrait être inauguré au milieu de l’année prochaine, pour lier l’autoroute Transilvania (centre du pays) au Corridor européen IV, menant à la Mer Noire. La Commission européenne allouera à la Roumanie environ 150 millions d’euros pour la construction du tronçon Sebeş-Turda.



    L’infrastructure développée de façon efficace et durable doit constituer une priorité, si nous voulons que la Roumanie soit connectée aux principaux corridors européens de transport, a souligné Mme Creţu. Elle s’est entretenue avec le ministre Ioan Rus au sujet du Programme opérationnel pour la grande infrastructure. L’UE a alloué à la Roumanie, dans le cadre de ce programme et pour l’exercice budgétaire 2014-2020, 9,5 milliards d’euros destinés au financement de projets dans les domaines des transports, de l’environnement et de l’énergie.



    Sur ce montant, 7,5 milliards iront au développement de l’infrastructure de transport. La Roumanie accédera à cet argent après l’approbation, par la Commission européen, du Master plan du pays, qui est quasi finalisé, a précisé le ministre Ioan Rus. Et lui d’annoncer que l’autoroute Transilvania, reliant la ville de Braşov (centre) et la commune de Borş (ouest), à la frontière avec la Hongrie, sera terminée en 2017 — 2018.



    Dans le même temps, une partie des fonds européens sera investie dans les 7 aéroports internationaux de Roumanie ainsi que dans la modernisation des chemins de fer. Ioan Rus a encore évoqué l’attention particulière accordée par les autorités roumaines à la voie ferrée rapide Bucarest – Iaşi — Chişinău (capitale de la République de Moldova). La commissaire européenne aux politiques régionales, Corina Cretu, a affirmé que le Master Plan de Transport de la Roumanie serait approuvé par la Commission européenne avant la fin mai.


    (trad: Ileana Taroi)





  • 15.04.2015 (mise à jour)

    15.04.2015 (mise à jour)

    Infrastructure — La Commission européenne souhaite l’amélioration de l’infrastructure de transport surtout dans les pays moins développés de l’UE, a déclaré mercredi Corina Creţu, commissaire européenne en charge de la politique régionale, qui s’est rendue en visite officielle dans le département de Cluj, au centre de la Roumanie. Elle y a visité le tronçon actuellement en construction d’une autoroute qui devrait faire partie du corridor paneuropéen de transport IV, menant à la mer Noire. Corina Creţu a félicité les autorités roumaines pour avoir élaboré le Plan général des transports. Elle a également exprimé son espoir que la Roumanie attirera le plus de fonds européens possible pour ses projets d’envergure. L’Exécutif de Bucarest a approuvé en février la variante finale du Master plan des transports. Aux termes de ce document, d’ici 2030, la Roumanie nécessite des financements de plus de 45 milliards d’euros pour ses projets de transport routier, ferroviaire, naval, aérien et multimodal (qui combine au moins deux modes de transport différents). Le Plan général des transports prévoit entre autres la construction de 1.300 km d’autoroutes.



    Visas — La Roumanie remplit déjà une partie des critères d’inclusion dans le programme américain d’exemption de visa Visa Waiver — a déclaré, mercredi, le consul général des Etats-Unis à Bucarest, Henry Leighton. Un groupe d’officiels roumains et américains travaille à l’accomplissement des critères restants, a-t-il ajouté. Parmi les conditions auxquelles doit satisfaire tout pays souhaitant accéder au programme Visa Waiver figurent le renforcement du cadre législatif permettant l’échange de données avec les Etats-Unis, l’introduction des passeports électroniques, la mise en place de certaines mesures de lutte contre le terrorisme et la baisse en dessous de 3% du taux de refus des visas en une année fiscale. Selon Henry Leighton, en 2014, ce taux avait reculé en Roumanie pour la première fois en dessous de 10%, se situant à 9,8%. Visa Waiver permet à des ressortissants de certains pays de voyager aux États-Unis pour un voyage touristique ou daffaires, pour un séjour de 90 jours maximum sans obligation dobtenir un visa.



    Exercice — Le ministre roumain de la Défense, Mircea Duşa, a évalué, mercredi, l’exercice de mise en alerte, auquel ont pris part plus de 3000 militaires et 500 moyens techniques des garnisons du sud de la Roumanie. Un exercice de ce type, censé vérifier le niveau de préparation et d’exécution des commandes, n’avait plus été organisé en Roumanie ces six dernières années, pour des raisons financières. Le ministre Mircea Duşa s’est dit content du temps de réaction des militaires, dont une partie participera du 16 au 30 avril, à un autre exercice, multinational cette fois-ci, intitulé « Wind Spring 15 ». Il se déroulera avec la participation de 2200 militaires dotés d’armement et équipement appartenant aux armées de la Grande Bretagne, de la République de Moldova, de la Roumanie et des Etats-Unis. Parmi les activités visées figurent les plans opérationnels, les tirs de combat et la résolution de situations tactiques complexes.



    Soins médicaux — Dix blessés d’Ukraine seront soignés dans des hôpitaux militaires de Roumanie, dont celui de Bucarest, a déclaré mercredi le ministre roumain de la Défense, Mircea Duşa. Il a précisé que les blessés seront emmenés dès que toutes les formalités de transport auront été accomplies par voie diplomatique. Mircea Duşa avait fait savoir en mars dernier qu’une équipe de médecins militaires roumains allait se rendre en Ukraine pour le tri des blessés qui devraient ultérieurement bénéficier de traitement dans les hôpitaux de Roumanie.



    Rapatriement — Le ministère roumain de AE poursuit l’évacuation et le rapatriement des ressortissants roumains du Yémen, pays en proie à la guerre civile. Jusqu’ici 42 Roumains et 7 membres de leurs familles ont été rapatriés. Le Ministère roumain des AE poursuivra ses efforts d’évacuer en toute sécurité les Roumains se trouvant au Yémen, restant en contact permanent avec eux et avec toutes les autorités compétentes de la région.



    Inauguration — La Roumanie a inauguré mercredi un centre d’information à l’Université d’Etat de Comrat, capitale administrative de la région autonome de Gagaouzie, dans le sud de la République de Moldova, pays à population majoritairement roumanophone. Le centre assurera les conditions matérielles et didactiques nécessaires pour l’étude de la langue roumaine, ainsi que le milieu adéquat pour promouvoir la Roumanie, d’un point de vue culturel et touristique. Selon des sondages récents, la majorité des plus de 150 mille habitants de la Gagaouzie, turcophones chrétiens – orthodoxes, serait favorable à des relations plus étroites avec la Russie et la Turquie, alors que seulement 5% souhaitent le rapprochement avec l’UE. Les options des Gagaouzes diffèrent radicalement de l’orientation pro-européenne du gouvernement central de Chişinău. La République de Moldova a conclu en 2014 des accords d’association et de libre échange avec Bruxelles et espère intégrer l’UE à l’horizon 2020.



    Inventions – Ouverture, ce mercredi, de la 43e édition du Salon International des Inventions de Genève, à laquelle prennent part aussi 26 inventeurs roumains. L’ambassade de Roumanie en Suisse et la Principauté du Liechtenstein organiseront un événement destiné à faciliter les contacts directs entre les inventeurs roumains et les milieux des affaires, académiques et de recherche — innovation de Suisse. Vendredi, dans le cadre de la Journée de la Roumanie, les délégations présentes offriront des prix et médailles aux inventeurs roumains. Ces dernières années, la Roumanie a gagné le Grand prix du Salon de Genève et elle détient le plus grand nombre de médailles et d’inventions de tous les pays participants aux trois dernières éditions.


  • 19.03.2015 (mise à jour)

    19.03.2015 (mise à jour)

    Corruption — Le premier ministre roumain, Victor Ponta, a annoncé jeudi avoir approuvé la démission du ministre des Finances, Darius Vâlcov, après que le Parquet national anticorruption eut demandé au Sénat d’avaliser le placement en détention provisoire de celui-ci. Darius Vâlcov fait l’objet d’une enquête pénale portant sur des faits de corruption commis en 2008 — 2009, lorsqu’il était maire de la ville de Slatina, dans le sud de la Roumanie. Selon les procureurs, il aurait reçu 2 millions d’euros de pots-de-vin pour avoir accordé des contrats à une société agréée. Par ailleurs, la Direction nationale anticorruption a demandé l’avis pour placer en détention provisoire le député Theodor Nicolescu, accusé de corruption passive et abus de fonction dans une affaire portant sur des dédommagements pour des immeubles surévalués. Le préjudice en a été estimé à 75 millions d’euros. Dans le même dossier, le président démissionnaire de l’Agence Nationale d’Intégrité, Horia Georgescu, a été placé en détention provisoire pour 30 jours.



    Fonds européens — La représentante de la Roumanie au sein de la Commission Européenne, Corina Cretu, commissaire chargée de la Politique régionale, a lancé jeudi à Berlin le projet pilote intitulé «Accords d’intégrité». Elaboré aux côtés de l’organisation Transparency International, le programme est principalement censé renforcer l’efficacité de l’utilisation des fonds européens. « Ces fonds sont une véritable source d’investissements publics dans les Etats membres, c’est pourquoi je ne tolère pas le gaspillage », a déclaré la commissaire Corina Cretu. A noter que l’initiative vise également à protéger l’argent communautaire contre la fraude.



    Foire IT – Plus de 25 entreprises roumaines participent ces jours-ci à Hanovre en Allemagne à la plus importante foire au monde consacrée aux technologies de l’information et de la communication — CEBIT. Le pavillon national, appelé « RomaniaIT » présente principalement des logiciels utilisés dans de nombreux domaines, selon le ministère de l’Economie et du Commerce de Bucarest. L’édition de cette année de la foire s’achève le 20 mars et réunit plus de 3700 participants de 75 pays. Les organisateurs s’attendent à ce que 250 mille personnes visitent les pavillons d’exposition de Hanovre.

  • Retrospectiva săptămânii 8.03 – 14.03.2015

    Retrospectiva săptămânii 8.03 – 14.03.2015

    Discuţii româno-germane la Bucureşti



    Aflat la Bucureşti în această săptămână, ministrul german de externe, Frank-Walter Steinmeier, a declarat că trebuie identificată o soluţie care să permită aderarea României la spaţiul Schengen şi a subliniat progresele menţionate şi în ultimul raport pe justiţie al Comisiei Europene, aşa numitul MCV. Potrivit autorităţilor de la Bucureşti, România se comportă deja ca un membru al Spaţiului Schengen, iar aderarea formală nu ar face decât să întărească securitatea acestui spaţiu. În timpul convorbirilor cu oficialităţile române, şeful diplomaţiei de la Berlin a mai remarcat că România a făcut progrese pe care investitorii germani le apreciază, dar că mai este de lucru la capitolul transparenţă. Ministrul german a subliniat, pe de altă parte, că cei peste 350 de mii de români care lucrează în Germania sunt printre angajaţii străini cel mai bine integraţi pe piaţa muncii germane, iar prejudecăţile împotriva lor sunt nefondate. Germania este principalul partener comercial al Bucureştiului şi al treilea investitor ca mărime în România.



    Vizita preşedintelui Klaus Iohannis în Polonia



    Preşedintele României, Klaus Iohannis, a făcut o vizită în Polonia, unde a discutat cu omologul său, Bronisław Komorowski, despre situaţia de securitate din regiune, cu accent pe Ucraina. Bronisław Komorowski a declarat că Polonia contează pe sprijinul României în ceea ce priveşte întărirea flancului estic al Alianţei Nord-Atlantice şi a precizat că la summitul NATO, de anul viitor de la Varşovia, trebuie luate decizii care să contribuie la creşterea securităţii în această regiune. Discuţiile au vizat şi Parteneriatul Strategic dintre România şi Polonia, cei doi şefi de stat semnând şi o declaraţie comună pentru amplificarea acestuia. Bronisław Komorowski: Acest parteneriat este extrem de necesar în contextul evoluţiilor din această parte a Europei, unde au apărut modificări negative în ceea ce priveşte securitatea.” La situaţia din Ucraina s-a referit şi preşedintele Klaus Iohannis: Am reiterat susţinerea fermă a României pentru suveranitatea, independenţa şi integritatea teritorială a Ucrainei în cadrul frontierelor sale recunoscute internaţional. Am condamnat în termenii cei mai fermi deteriorarea gravă a situaţiei de securitate în sud-estul Ucrainei, exprimând în acelaşi timp speranţa într-o implementare progresivă a pachetului de măsuri convenit la Minsk pe 12 februarie.” Klaus Iohannis a arătat, pe de altă parte, că România doreşte atragerea unui număr sporit de investiţii poloneze, dar şi o prezenţă mai mare a firmelor româneşti pe piaţa din Polonia.




    Maxim istoric pentru dolarul american



    Dolarul american a ajuns, în această săptămână, la un maxim istoric, depăşind valoarea de 4,2 lei, conform cursului comunicat de Banca Naţională. Pe piaţa valutară din România, dolarul este cotat în funcţie de cursul faţă de euro de pe pieţele internaţionale, iar evoluţia sa este determinată, în principal, de diferenţa dintre politicile monetare ale Bancii Centrale Europene, respectiv ale celei americane, a explicat Ionuţ Dumitru, vicepreşedintele Asociaţiei Analiştilor Financiar-Bancari din România. Pentru România, implicaţiile la nivelul economiei sunt limitate, într-un context în care legătura cu dolarul s-a pierdut destul de mult odată cu intrarea ţării în UE.




    Comisari europeni la Bucureşti



    Proiectele de infastructură din Planul general de transport al României vor fi sprijinite cu bani de la Comisia Europeană. Este vorba despre 6,8 miliarde de euro, sumă care va fi alocată până în 2020. Comisarul pentru politici regionale, Corina Creţu, a declarat, la Bucureşti, că Bruxellesul aşteaptă ca România să depună Masterplanul pe transport în ultima variantă, aceasta fiind o precondiţie pentru aprobarea Programului Operaţional de Infrastructură Mare. Masterplanul conţine proiecte care pot fi finanţate prin Programul Operaţional de Infrastructură, dar şi alte proiecte care ar putea fi realizate cu bani europeni din fondurile alocate perioadei 2014-2020. Ministrul român al transporturilor, Ioan Rus, a precizat că lista de proiecte de investiţii din planul general a fost elaborată, iar la finalul lunii aprilie documentul ar urma să fie finalizat. Un alt comisar european a ajuns în ultimele zile la Bucureşti, cel pentru agricultură, Phil Hogan, discuţiile cu responsabilii români vizând inclusiv situaţia cărnii de porc din anumite state europene, între care şi România, în contextul embargoului impus de Rusia. Deşi nu exportă pe piaţa rusă, fermele din România întâmpină anumite probleme determinate de excedentul de produse din carne de porc de pe piaţa europeană, care a făcut ca preţul acesteia să scadă foarte mult.




    Lupta anticorupţie continuă



    Pe lunga listă a politicienilor sau a celor din administraţie ajunşi la DNA s-a mai adăugat un nume, cel al primarului unuila dintre sectoarele capitalei, fostul social-democrat Marian Vanghelie, într-un dosar privind atribuirea de lucrări publice. Potrivit procurorilor anticorupţie, Marian Vanghelie ar fi perceput un comision de 20% din valoarea contractelor încheiate de primărie, din anul 2007 până în prezent, cu firmele controlate de un om de afaceri arestat preventiv în alt dosar. Suma, estimată de anchetatori la 90 de milioane de euro, ar fi fost încasaţi de primar prin intermediul unor persoane apropiate şi al unor firme prin care se numără şi o societate administrată de partenera sa de viaţă, Oana Niculescu Mizil, fostă deputată PSD, de asemenea cercetată în dosar.

  • Fonduri europene pentru România

    Fonduri europene pentru România

    De la intrarea în UE, în 2007, şi până in 2013, România a avut la dispoziţie fonduri europene de aproape 20 de miliarde de euro, din care cu greu a reuşit să cheltuiască puţin peste jumatate, ceea ce reprezinta o rată de absorbtie de 55%, una din cele mai scazute în randul statelor Uniunii. Executivul susţine că situaţia s-a îmbunătăţit semnificativ în ultimii ani, dar opoziţia nu este de aceiaşi părere şi a depus o moţiune simplă pe această temă, care însă a fost respinsă.



    Chestiunea îmbunăţirii ratei de absorbţie a fondurilor comunitare a fost abordată şi de comisarul European pentru Politică Regională, Corina Creţu, cu autorităţile române, în cursul vizitei sale la Bucureşti, prilej de a vorbi şi despre proiectele viitoare.



    Prezentă la conferinţa Oportunităţi de finanţare pentru IMM-uri 2014 – 2020, un eveniment organizat de Comisia Europeană, Corina Creţu a recomandat Guvernului roman să dubleze folosirea instrumentelor financiare în urmatorii 7 ani. Ea a spus că, din păcate, în statisticile de la Bruxelles, România figurează printre ţările cu un mediu nefavorabil pentru afaceri. IMM-urile sunt actorii principali în procesul de creare de locuri de muncă în UE, iar ieşirea din criză şi repornirea motoarelor economice ale Europei nu pot avea loc fără implicarea lor, a spus Corina Creţu. Ea a atras atenţia că este vital ca IMM-urile să fie sprijinite pentru a accesa fondurile puse la dispoziţie.



    Pentru urmatorii 7 ani, Bucureştiul are alocate 4,4 miliarde de euro pentru finanţarea întreprinderilor mici şi mijlocii. Pentru a accesa banii, însă, e nevoie ca Guvernul să pună la punct cadrul instituţional şi mecanismele interne, alături de băncile comerciale, prin care IMM-urile româneşti să poată accesa garanţii europene care să le facilitieze şi să le ieftinească împrumuturile bancare. Comisarul european a participat, la Bucureşti şi la lansarea Programului Operaţional Capacitate Administrativă (POCA), prin care România are la dispoziţie, în perioada 2014-2020, peste 650 de milioane de euro.



    Ministrul dezvoltării regionale şi administraţiei publice, Liviu Dragnea, a declarat că primele proiecte din cadrul programului, care vizează în principal îmbunătăţirea capacităţii administrative, vor fi lansate în aprilie, şi de ele vor beneficia peste 90 de mii de funcţionari publici.



    Comisarul european, Corina Cretu, a discutat şi cu ministrul de resort, Ioan Rus, despre Masterplanul de Transport al României, considerat de Bruxelles un document strategic. Potrivit acesteia, CE va contribui până în 2020 cu 6,8 miliarde de euro pentru proiectele de infrastructură cuprinse în MasterPlan.

  • 11.03.2015 (mise à jour)

    11.03.2015 (mise à jour)

    Diplomatie — La relation avec la Pologne est une priorité pour la Roumanie, tant sur le plan européen, qu’au niveau transatlantique. Le partenariat stratégique en vigueur en témoigne. De plus, les deux pays sont liés par une histoire commune de coopération et de solidarité dans les moments cruciaux. C’est ce qu’a déclaré mercredi, le président roumain Klaus Iohannis avant d’entamer sa visite officielle à Varsovie. Selon le chef de l’Etat roumain, à l’agenda des pourparlers figureront des sujets liés à l’évolution des relations bilatérales, économiques, politiques et militaires. Le président roumain doit s’entretenir avec son homologue polonais, le chef du Seim polonais, le chef du Sénat de Varsovie et avec la première ministre polonaise.



    Commissaire européenne — Au cours du 2e jour de sa visite en Roumanie, la Commissaire européenne à la Politique régionale, Corina Cretu, a été reçue mercredi par le président Klaus Iohannis. Elle doit également s’entretenir avec le ministre roumain des Fonds européens Eugen Teodorovici. Jeudi, Corina Cretu participera à la conférence consacrée aux Opportunités de financement pour les PME 2014 — 2020 et au lancement officiel du Programme opérationnel « La capacité administrative 2014-2020 ». Mardi, la responsable européenne a discuté avec le ministre roumain des Transports, Ioan Rus, de la stratégie intégrée des Transports roumains considéré par Bruxelles comme un chapitre stratégique. Aux dires de Corina Cretu, la Commission européenne versera d’ici 2020 6,8 millions d’euros pour des projets d’infrastructure dans le cadre de cette Stratégie nationale intégrée.



    Code fiscal — Le Sénat de Bucarest a adopté mercredi une proposition de loi visant à compléter le Code Fiscal, qui exempte du paiement des contributions assurance maladie les personnes touchant des revenus en louant des biens agricoles et qui possèdent un terrain agricole ne dépassant pas 2 hectares. C’est maintenant à la Chambre des Députés d’en débattre avant de prendre la décision finale.



    Monnaie virtuelle — La Banque Nationale de Roumanie met en garde contre les risques de l’utilisation de la monnaie virtuelle bitcoin. Selon le communiqué de la Banque, bitcoin n’est ni monnaie nationale ni devise. La loi n’impose pas l’acceptation des paiements en cette monnaie virtuelle. En l’absence d’une réglementation en ce sens et d’une surveillance, les risques de son utilisation sont liés au blanchiment d’argent, au financement du terrorisme et à la volatilité des prix. La Banque Nationale de Roumanie surveille l’évolution de la monnaie virtuelle du point de vue de ses effets sur le système financier roumain, lit-on encore dans le communiqué.



    Fonds européens – La Chambre des députés a rejeté mercredi la motion simple avancée par l’opposition libérale au sujet des fonds européens. Les signataires du document demandaient, entre autres, au ministre Eugen Teodorovici d’expliquer devant le Parlement le faible taux d’absorption. Les initiateurs de la motion estiment aussi que dans l’exercice budgétaire actuel, la Roumanie ne fait que répéter les mêmes erreurs que dans le précédent et qui l’ont située en queue du peloton européen.



    Enquête — La Chambre des Députés de Bucarest a rejeté mercredi la demande d’entamer des poursuites pénales à l’encontre du député de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie Laszlo Borbey, formulée le mois dernier par les procureurs anti-corruption. Ancien ministre de l’Environnement et des Forêts, Laszlo Borbey était visé par 3 chefs de trafic d’influence.

  • EU Funding for Transport Infrastructure

    Until 2020 the European Commission will contribute 6.8 billion euros for the infrastructure projects included in Romania’s Transport Master Plan, the European Commissioner for Regional Policy Corina Cretu announced in Bucharest on Tuesday, after talks with Transport Minister Ioan Rus. According to Corina Cretu, the European Commission pays special attention to Romania’s Transport Master Plan, a strategic document whose endorsement is a prerequisite for the disbursement of EU funding for large-scale transport projects in 2014-2020.



    Corina Cretu: “In the opinion of the Commission, the top priority of this Master Plan is to ensure the completion, in due time, of the projects that are part of the TEN-T network, the trans-European transport network.”



    Secondly, Cretu added, the Commission expects the document to identify the most important projects for the broadened TEN-T network, which in turn may benefit from European funding. This means that the Master Plan should include the most important projects, in economic terms, and ensure that they will receive financial support not only for construction as such, but also for maintenance, the EC official explained. She emphasized that the Master Plan is relevant not only for the current 7-year financing cycle, but also for Romania’s economic development in the next 15 to 20 years.



    According to Corina Cretu, Brussels is waiting for Romania to submit the final version of the document as soon as possible, hopefully next month, so that the Operational Programme “Large-Scale Infrastructure” may be signed in May.



    In his turn, Transport Minister Ioan Rus said a list of projects has been finalized, for all the components of the transport sector which will be included in the Transport Master Plan, namely road, naval, railway, and air transport. According to the minister, 25% of the costs will be covered by the European Union, 15% by the Romanian state, and the balance will come from loans taken from the European Investment Bank and the EBRD. Moreover, Rus added, the Government approved an additional contribution of 7 billion euros, to enable Romania to start as many of these projects as possible this year.



    Rus also said that on Wednesday and Thursday representatives of his ministry will have technical talks with EC officials in Brussels, concerning the final text of Romania’s Transport Master Plan and the Implementation Strategy, a key document that lays down project priorities, a calendar for implementation and the structure of funding sources for each project.

  • România şi fondurile europene

    Comisia Europeană va contribui până în 2020 cu 6,8 miliarde de euro pentru proiectele de infrastructură cuprinse în Masterplanul de Transport al României, a anunţat, marţi, la Bucureşti, comisarul european pentru Politici Regionale, Corina Creţu, după discuţii cu ministrul de resort, Ioan Rus. Potrivit Dnei Creţu, Comisia Europeană este foarte interesată de Master Planul General de Transport al României, deoarece este un document strategic şi reprezintă o pre-condiţie pentru accesarea fondurilor UE pentru marile proiecte de transport în perioada 2014 — 2020.



    Corina Creţu: ”Din punctul nostru de vedere, al Comisiei, prioritatea numărul unu a Master planului este să asigure realizarea la timp în primul rând a proiectelor din cadrul reţelei principale TEN-T, reţeaua de transport transeuropeană”.



    În al doilea rând, a mai spus Cretu, Comisia se aşteaptă ca documentul să identifice proiectele cele mai importante pentru reţeaua TEN-T extinsă, proiecte care, la rândul lor, pot beneficia de finanţare europeană. Aceasta înseamnă că Master Planul-ul trebuie să implice proiectele cele mai importante din punct de vedere economic şi să se asigure că ele vor beneficia de susţinere financiară nu numai pentru realizare, ci şi pentru întreţinere, a explicat Creţu. Ea a subliniat că Masterplanul nu se referă doar la actuala perioada de finanţare, adică la următorii şapte ani, ci la dezvoltarea economică a României pentru următorii 15 – 20 de ani.



    Comisarul pentru politici regionale a mai spus că oficialii de la Bruxelles aşteaptă ca România să depună varianta finală a acestui document şi şi-a exprimat speranţa ca acesta să fie gata luna viitoare, astfel încât în mai să fie semnat Programul Operaţional Infrastructură Mare.



    La rândul său, ministrul transporturilor, Ioan Rus, a precizat că a fost elaborată lista de proiecte pe toate domeniile de transport, respectiv rutier, naval, feroviar, naval, aerian, cuprinse în Master Planul General de Transport. Potrivit acestuia, proiectele vor fi finanţate în proporţie de 25% cu bani europeni, 15% va fi cofinanţare de la bugetul de stat, iar diferenţa pina la 100% va fi asigurată din credite de la Banca Europeană de Investiţii şi BERD.



    În plus, a mai spus ministrul, a fost aprobată în Guvern o contribuţie suplimentară de şapte miliarde de euro astfel încât România să poată începe încă din 2015 un număr cât mai mare de proiecte. Rus a mai spus ca reprezentantii Ministerului vor avea discuţii tehnice. miercuri şi joi, la Bruxelles, cu oficiali ai CE pe marginea variantei finale a Master Planului de Transport al României şi a Strategiei de Implementare a proiectelor, documentul cheie care stabileşte prioritizarea proiectelor, etapizarea în timp şi structura surselor de finanţare pentru fiecare proiect în parte.

  • Jurnal românesc – 10.03.2015

    Jurnal românesc – 10.03.2015

    Comisarul european pentru politici regionale, Corina Creţu, face o vizită de trei zile la Bucureşti, în timpul căreia explică ce oportunităţi de finanţare există, cu bani europeni, pentru întreprinderile mici şi mijlocii. Pe agendă se află şi “Masterpanul de transport pentru România”, care, potrivit Corinei Creţu, este o precondiţie pentru aprobarea programului operaţional de infrastructură, dar şi alte proiecte de infrastructură care ar putea fi realizate cu bani europeni. La capitolul absorbţie de fonduri europene în cadrul politicilor de coeziune, potrivit Ministerului Fondurilor Europene, România a încasat în acest an peste 565 de milioane de euro de la Comisia Europeană, pentru cereri de plată transmise în 2014. Ministrul fondurilor europene, Eugen Teodorovici, a anticipat că la sfârşitul acestui an România va ajunge la o rată de absorbţie de aproximativ 80%. 2015 este un an extrem de important, pentru că e ultimul în care România mai poate cheltui fondurile alocate de UE pentru perioada de programare 2007-2013.



    Relaţiile dintre Bucureşti şi Berlin au fost trecute, luni, în revistă în cadrul vizitei pe care a făcut-o în România ministrul german de externe, Frank-Walter Steinmeier, la 135 de ani de la debutul relaţiilor diplomatice dintre cele două ţări. El a declarat că trebuie identificată o soluţie care să permită aderarea României la Spaţiul Schengen şi a subliniat progresele înregistrate de Bucureşti în ultimul raport pe justiţie al Comisiei Europene. Walter Steinmeier a declarat că România a făcut în ultima vreme progrese pe care investitorii germani le apreciază, dar că mai este de lucru la capitolul transparenţă.



    În această săptămână, Ministerul Justiţiei lansează în dezbatere publică un proiect de lege care să reglementeze înfiinţarea unei agenţii pentru recuperarea prejudiciilor în dosarele anchetate şi judecate. Proiectul a fost iniţiat în urma semnalelor date de procurorul şef al DNA, Laura Codruţa Kovesi, în legătură cu rata mică de recuperare a daunelor produse de infractori, de doar 10%. Potrivit ministerului justiţiei, recuperarea prejudiciilor este viciată în prezent de modul în care ANAF valorifică bunurile confiscate în cazurile de corupţie.



    În România, inflaţia anuală a ajuns la 0,4% în februarie, un nou minim record, cu puţin sub nivelul înregistrat în ianuarie 2015, potrivit datelor publicate, marţi, de Institutul Naţional de Statistică. În februarie 2015, comparativ cu aceeaşi lună a anului trecut, cel mai mult au crescut tarifele la servicii, urmate de preţurile mărfurilor nealimentare, în timp ce mărfurile alimentare s-au ieftinit cu aproape jumătate de procent. Alimentele s-au scumpit cel mai mult în februarie faţă de ianuarie, cu 0,53, iar mărfurile nealimentare cu 0,39%.

  • EU-Kommissarin für Regionalpolitik besucht Bukarest

    EU-Kommissarin für Regionalpolitik besucht Bukarest

    Die EU-Kommissarin für Regionalpolitik, die Rumänin Corina Creţu, hat in Bukarest die Bilanz ihrer ersten 100 Tage im Amt gezogen. Die ehemalige sozialdemokratische Abgeordnete erklärte, EU-weit habe man bis jetzt 188 operationelle Programme angenommen, 175 davon unter ihrer Koordinierung. Der Abschöpfungsgrad der EU-Gelder ist in der Union gestiegen. Die neuen Mitgliedstaaten, auch Rumänien, weisen aber Probleme in diesem Bereich auf. Das Hauptproblem Rumäniens — aus Sicht Brüssels — sei die schwache Verwaltungs-Kapazität diese Fonds auszuschöpfen, warnte Corina Cretu ihre Landsleute.




    Die EU-Kommission bemerkte Schwächen auch bei der Erstellung einer sozialen Karte, im Bereich der öffentlichen Beschaffungen und in der Eingliederungs-Strategie der Roma-Bevölkerung. Wichtig sei auch, dass Rumänien eine langfristige Strategie für die ländlichen Gebiete ausarbeitet. Corina Cretu nahm an der Eröffnung der Generalversammlung des rumänischen Kommunen-Verbands teil. Er forderte die lokalen Behörden auf Produkte zu identifizieren, die als Wahrzeichen ihrer Regionen angesehen werden können, und diese zu fördern. Corina Creţu:




    Wir verfügen über EU-Fördergelder, wirtschaftliche Diversifizierung und neue Arbeitsplätze, Bildung sowohl für Erwachsene als auch für Kinder, Gesundheit, Freizeit. In der nächsten Haushaltsperiode 2014-2020 können wir all das finanzieren, vorausgesetzt sie bereiten konkrete Projekte vor, die den Bedürfnissen der Kommunen entsprechen. Diese Projekte müsste man in den Strategien Rumäniens wieder finden.”




    Ein Vorzeigeprojekt, das mit EU-Fördergeldern finanziert wurde, ist das 250 Millionen Euro schwere grenüberschreitende rumänisch-bulgarische Investitions-Programm, das am Freitag von der EU-Kommissarin für Regionalpolitik unterzeichnet wurde. Corina Cretu erklärte unserer Radio Rumänien-Korrespondentin in Brüssel, das Programm werde die Lebensbedingungen, die Bildung und die Arbeitsbedingungen in Grenzgebieten der beiden Ländern verbessern. Die Attraktivität für Touristen und Investoren würde damit steigen. Die Regionen bietet erhebliche Opportunitäten, wegen der Nachbarschaft der Donau und des Schwarzen Meeres.




    Die gute Zusammenarbeit zwischen den beiden südosteuropäischen Ländern, die vor acht Jahren der EU beigetreten ist und der Versuch die Probleme gemeinsam zu lösen, seien von zentraler Bedeutung, fügte die EU-Kommissarin für Regionalpolitik hinzu.

  • Romania in the EU

    Romania in the EU

    The European Commissioner for Regional Policies, Corina Cretu, chose to present the report on her first 100 days in office back home, in Bucharest. A former Social — Democrat MEP and since the autumn of 2014 the holder of a key portfolio in the European Commission, Corina Cretu announced that so far, 188 EU operational programs had been adopted, of which 175 under her coordination. The rate of absorption of community funds has increased at EU level, but the new member states, including Romania, still have difficulties absorbing such funds. In fact, Romania’s main problem, as it is seen in Brussels, is the poor administrative capacity to access European funding, as Mrs. Cretu warned.



    Moreover, the EU Commissioner also said, the European Commission had noticed that Romania had some weak points with regard to drawing up a social map, but also in the public procurement sector and in its inclusion strategy for the Roma population. Also, the Commission believes that it is important for Romania to have a long term strategy for rural areas and that is why it pays special attention to the coordination between urban and rural development. Attending the opening of the General Assembly of the Communes’ Association in Romania, Corina Cretu called on the Romanian local officials to identify products that could be seen as emblematic for a certain region and to promote projects that would benefit the people. Corina Cretu:



    “ We have European funds, economic diversity and new jobs, education for both children and adults, healthcare, leisure time. In the 2014-2020 programming period we can fund all those domains, provided you have concrete projects, which meet the needs of your communities, projects that must also be laid down in Romania’s strategies in the field.”



    A textbook case of what properly managed European money can do are the over 250 million Euros, available under a cross- border Romania — Bulgaria investment program, signed last Friday by the European Commissioner Corina Cretu. Mrs. Cretu told the Radio Romania correspondent in Brussels that the program would improve the living, learning and working conditions in the two countries’ border regions, thus rendering them more attractive to both tourists and investors. Also, the area is full of opportunities due to the proximity to both the Danube and the Black Sea. The good cooperation between the two south-East European countries, which joined the EU eight years ago, and their effort to jointly solve common issues are essential, the European Commissioner Corina Cretu also said.

  • România în UE

    România în UE

    Comisarul european pentru politici regionale, Corina Creţu, a ales să-şi schiţeze acasă, la Bucureşti, bilanţul primelor o sută de zile de mandat. Fost eurodeputat social-democrat şi, din toamnă, gestionarul unui portofoliu-cheie, Corina Creţu a anunţat că, până în prezent, la nivelul Uniunii Europene au fost adoptate 188 de programe operaţionale, dintre care 175 sub coordonarea sa. Gradul de absorbţie a fondurilor comunitare a crescut la nivelul Uniunii, însă noile state membre ale Uniunii, incluzând aici şi România, au dificultăţi în absorbţie.



    De altfel, principala problemă a României, aşa cum se vede de la Bruxelles, rămâne slaba capacitate administrativă în privinţa accesării fondurilor europene — şi-a avertizat d-na Creţu propriii compatrioţi. În plus, mai spune ea, Comisia Europeană observă că România are anumite slăbiciuni în întocmirea unei hărţi sociale, dar şi în sectorul achiziţiilor publice sau în strategia de incluziune a populaţiei rome. Comisia mai consideră şi că este important ca România să aibă o strategie pe termen lung pentru mediul rural şi, de aceea, acordă o atenţie particulară coordonării între dezvoltarea urbană şi cea rurală.



    Invitată la deschiderea Adunării Generale a Asociaţiei Comunelor din România, ea a solicitat autorităţilor locale să identifice produse care pot fi considerate emblema unei regiuni şi să promoveze proiecte în folosul oamenilor. Corina Creţu:


    Avem fonduri europene, diversificare economică şi noi locuri de muncă, educaţie, şi pentru adulţi, şi pentru copii, sănătate, timp liber. În următoarea perioadă de programare 2014-2020, putem finanţa toate acestea, cu condiţia să pregătiţi proiecte concrete care să răspundă necesităţilor comunelor, proiecte care să se regăsească, de asemenea, în strategiile pe care trebuie să le aibă România.”



    Caz-şcoală pentru ceea ce se poate face cu bani europeni corect gestionaţi sunt cele peste 250 de milioane de euro, disponibili printr-un program de investiţii transfrontaliere România – Bulgaria, semnat, chiar vineri, de comisarul european pentru politică regională. Corina Creţu i-a declarat corespondentei Radio România la Bruxelles că programul va îmbunătăţi condiţiile de viaţă, studiu şi muncă în regiunile de frontieră dintre cele două ţări, sporindu-le, astfel, atractivitatea, atât pentru turişti, cât şi pentru investitori.



    Zona oferă, de asemenea, oportunităţi considerabile, graţie proximităţii cu Dunărea şi cu Marea Neagră. Buna colaborare între cele două ţări sud-est europene, admise în Uniune acum opt ani, şi încercarea de a rezolva împreună problemele comune sunt esenţiale – mai spune membrul român al Comisiei Europene.