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  • 23.03.2019

    23.03.2019

    Enquête – Les Roumains font plus confiance à l’Armée et à l’Eglise qu’aux partis politiques et au Parlement, relève une enquête INSCOP menée du 5 au 13 mars sur demande de la Fondation Konrad Adenaueur. Selon la source, 68% des sujets questionnés font confiance à l’Armée, 55% à l’Eglise, 48% à la Gendarmerie, 40% au Parquet national anticorruption et 38% à la présidence. Au pôle opposé, on retrouve les partis politiques et parlementaires auxquels seulement 11% des Roumains font confiance. Sur le plan international, l’enquête place en tête du classement l’OTAN dont le capital de confiance se monte à 52%, suivi de près par l’UE, avec 49%.

    Visite – La première ministre roumaine, Viorica Dancila, visite les Etats-Unis jusqu’à mardi pour participer à la Conférence du Comité américano-israélien pour les politiques publiques (AIPAC (American Israel Public Affairs Committee). Une visite qui fait suite à l’invitation du président de l’AIPAC, Morton Fridman, et du directeur exécutif du comité, Howard Kohr. Selon un communiqué du gouvernement roumain, cette visite témoigne de l’intensification du dialogue bilatéral et s’inscrit dans les efforts soutenus de l’Exécutif de Bucarest de renforcer et de développer les partenariats conclus par la Roumanie avec les Etats – Unis et Israël.

    Chisinau – L’ambassadeur roumain à Chisinau, Daniel Ionita, a affirmé que, suite aux élections parlementaires du 24 février dernier, les partenaires internationaux de la République de Moldova se trouvent actuellement dans une période d’attente stratégique. Bucarest continuera à soutenir le parcours européen de Chisinau et les réformes que la république voisine met en place. Selon les correspondants Radio Roumanie sur place, l’ambassadeur roumain a salué le volume des échanges commerciaux bilatéraux qui a atteint en 2018 un niveau historique de plus d’un milliard de dollars. Suite au scrutin législatif du mois dernier, sur les 101 sièges des députés, les socialistes pro-russes du président Igor Dodon ont occupé 35, le Parti démocrate- 30, le bloc pro européen de droite, ACUM- 26 et le Parti populiste Shor, 7. Par aillleurs, trois sièges ont été attribués à des indépendants.

    Gilets jaunes – D’importants dispositifs de sécurité ont été mobilisé ce samedi dans les grandes villes de France dans la perspective d’une nouvelle manifestation des Gilets jaunes. Selon la correspondante Radio Roumanie à Paris, au moins 4000 policiers et gendarmes ont été déployés dans les rues de la capitale française. Pour la première fois depuis le déclenchement du mouvement, le gouvernement a décidé de recourir aussi aux militaires de la mission antiterroriste Sentinelle qui seront mobilisés samedi pour l’acte 19 des Gilets jaunes afin de protéger des bâtiments officiels et autres « points fixes ». Suite aux violences de la semaine dernière, le préfet de police a pris un arrêté pour interdire de manifestation un large périmètre incluant les Champs-Élysées, la place de la Concorde, l’Elysée et l’Assemblée nationale. Le Ministère roumain des Affaires Etrangères avertit que les personnes qui doivent s’y rendre doivent absolument se munir d’un acte d’identité et ne pas avoir sur elles des armes à feu ou des substances dangereuses.

    Football – La sélection nationale de football de Roumanie s’apprête à rencontrer ce soir, en déplacement, la Suède pour leur premier match au sein du groupe F du tour préliminaire au Championnat Européen de 2020. Mardi, les Tricolores affronteront les Iles Féroé, sur terrain propre. Les deux premières classées de chaque groupe obtiendront leur qualification. Nottons que le tirage aux sorts pour l’Euro 2020 est prévu le 30 novembre, à Bucarest. D’ailleurs, la capitale roumaine accueillira quatre matchs au tableau du tournoi final. Par ailleurs, lors d’un stage de préparation en Espagne, la sélection roumaine de football des moins de 21 ans s’est inclinée jeudi devant l’équipe espagnole lors d’un match amical. Les jeunes espoirs du football roumain devront rencontrer lundi les Danois. L’équipe roumaine des moins de 21 ans participera au Championnat européen 2019 d’Italie et Saint Marin au sein du groupe C, aux côtés de l’Angleterre, la France et la Croatie.

    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, numéro trois mondiale, s’est qualifiée au troisième tour du tournoi WTA de Miami, aux Etats-Unis, après avoir battu l’Américaine Taylor Townsend. Par la suite, Halep rencontrera la Slovène, Polona Hercog. Une autre Roumaine, Monica Niculescu, a également obtenu sa qualification au troisième tournoi du même concours après avoir eu raison de l’Espagnole, Garbine Muguruza. Pour son prochain match, Niculescu rencontrera la Danoise, Caroline Wozniacki. Quant à Mihaela Buzarnescu, la troisième Roumaine présente à Miami, celle-ci a perdu face à la Française, Alizé Cornet.

    Météo – Il fait beau en Roumanie où les températures dépassent légèrement la normale saisonnière, presque partout. Des pluies éparses risquent de toucher le sud du territoire. Les températures maximales vont de 11 à 20 degrés. 14 degré, à midi, à Bucarest

  • Escapade dans la nature à Zărnești

    Escapade dans la nature à Zărnești

    Nous nous dirigeons aujourd’hui vers Zărnești, une des portes d’entrée dans le Parc National Piatra Craiului des Carpates Méridionales. Zărnești est facile d’accès, étant situé à moins de 30 km de la ville de Braşov. La zone est propice aux randonnées pédestres ou à vélo, aux excusions en montagne et à l’alpinisme, ainsi qu’à l’observation des animaux sauvages.

    Le coordinateur du Centre d’information touristique Ștefan Balogy affirme que : «Zărnești est une petite ville de montagne qui compte environ 20.000 habitants. Avant la chute du communisme, c’était un centre industriel, mais après ’89, peu à peu, elle est devenue une destination touristique, étant située au pied du massif de Piatra Craiului. C’est un endroit idéal pour les amateurs de tourisme actif et une destination éco-touristique en plus, la première des 4 autorisées par le Ministère du Tourisme. »

    A Zărnești, les possibilités d’hébergement ne manquent pas. Ștefan Balogy opine : « C’est une zone accessible à tous, y compris aux touristes qui disposent d’un petit budget pour leurs vacances. Il y a des chalets une ou deux étoiles, mais aussi des ensembles hôteliers 4 étoiles, comportant des centres de remise en forme et de relaxation. Chaque touriste peut trouver très facilement une place d’hébergement qui lui convienne. Le nombre des vacanciers continue d’augmenter. Plus de 6.500 touristes ont visité Zărnești en 2018, dont 43% Roumains et 57% étrangers. 28% des touristes étrangers arrivaient d’Allemagne – et ce n’étaient pas des ethniques Saxons. C’étaient des touristes qui venaient notamment découvrir la beauté des Carpates et le massif de Piatra Craiului. 27% des touristes étrangers arrivaient d’Israël. Nous avons également eu des Britanniques, des Espagnols, des Portugais et des Français. »

    Bien que Zărnești soit une destination pour tous, les agences de la zone essaient d’y promouvoir surtout le tourisme familial. Ștefan Balogy ajoute que: « Je conseille aux touristes des randonnées pédestres faciles d’une heure ou deux, mais aussi de 10 à 12 heures. Nous disposons actuellement de 42 itinéraires balisés, dont les cartes peuvent être téléchargées aussi sur Smartphone en format GPS. L’année dernière nous avons également commencé à développer le cyclotourisme. Il existe 11 itinéraires balisés à travers le Parc National Piatra Craiului. Elles relient Zărnești aux villages de Bran et de Peștera, situés en montagne, totalisant plus de 120 km. Une autre attraction de la zone est l’équitation. Nous disposons de 4 centres d’équitation qui offrent des promenades à cheval dans les forêts environnantes et des promenades en traîneau pendant l’hiver. S’y ajoutent l’alpinisme et l’escalade, que l’on pratique dans la zone la plus connue et la plus visitée du Massif de Piatra Craiului, les Gorges de Zărnești. Ajoutons, enfin, comme nouveauté, le parapente et le moto parapente, un sport extrême qui attire de plus en plus de jeunes. »

    Au printemps et en automne, la plupart des touristes viennent pour l’observation des animaux sauvages. Ils y sont surtout attirés par les grands carnivores. Plusieurs agences spécialisées organisent des tours guidés destinés à l’observation des animaux. Pourtant, en hiver non plus on ne s’ennuie pas à Zărnești. Le ski y a gagné du terrain et au pied du massif de Piatra Craiului il y a quelques itinéraires que l’on peut parcourir sur des raquettes à neige.

    Ștefan Balogy a également quelques suggestions pour les touristes moins attirés par l’aventure : « Je leur conseille de se rendre aux Centre de visite du Parc National, un musée très intéressant et interactif, qui présente toute la réserve naturelle de Piatra Craiului par des moyens modernes : diaporamas, projections vidéo et 3D. Nous leur suggérions aussi une visite de la réserve d’ours « Libearty », considérée par National Geographic Traveller comme une des attractions sur la vie sauvage les plus éthiques. La réserve de Zărnești est le plus grand sanctuaire des ours bruns du monde. Créée il y a 10 ans par une association de Brașov, elle accueille 107 ours sur une superficie de plus de 100 hectares. Les ours ne vivent pas dans des cages ou dans des espaces fermés. Le terrain est ouvert, boisé et protégé par une clôture électrique, les ours y vivant en toute liberté. Les tours y sont guidés et réalisés avec de petits groupes, pour ne pas perturber les animaux. Tous les ours de la réserve de Zărnești avaient vécu avant dans des conditions impropres et ils ont été sauvés. De nombreuses célébrités ont visité la réserve, dont Brigitte Bardot, Natalie Imbruglia, Lionel Messi, Leonard Lewis, Evanna Lynch. » (Trad. : Dominique)

  • A la une de presse roumaine 07.12.2018

    A la une de presse roumaine 07.12.2018

    Les Roumains, les plus croyants de tous les Européens ? La réponse à la une d’Adevarul. Pour sa part, Romania libera annonce que ce sera aux Roumains de payer de leurs propres poches la majoration salariale des travailleurs du métro. Et puis, Jurnalul National informe que la Roumanie vend des armes à la Bulgarie voisine.

  • L’imprimeur Barbu Bucuresteanul

    L’imprimeur Barbu Bucuresteanul

    Ce nest quau XVIIIe siècle que Bucarest prend véritablement son essor, au moment où les Principautés roumaines, la Moldavie et la Valachie, se trouvent encore sous suzeraineté ottomane. Durant ce siècle, elles sont dirigées par des voïvodes, par les princes que lhistoriographie appellera les Phanariotes, ces grecs riches et lettrés, originaires du Phanar, le quartier constantinopolitain dIstanbul. Bucarest devient petit à petit un véritable centre commercial, un centre dartisans, voire même un centre culturel, cœur dune société diverse et hétérogène dun point de vue ethnique et culturel. Cest à ce moment que paraissent les premiers écrits imprimés. Les documents historiques gardent la mémoire des premiers contrats dembauche par des métropolies et des évêchés de ces artisans précieux et raffinés quétaient les imprimeurs. Le nom de certains dentre eux, de la première heure, est arrivé jusquà nous. Aussi, reconstituer leur vie et leur quotidien, cest récupérer la mémoire de la société bucarestoise dalors. Parmi ces premiers imprimeurs dont lhistoire a gardé les noms, Stoica Iacovici, ses fils, ou encore Barbu Bucureşteanul.



    Daniela Lupu, historienne au Musée de Bucarest, nous plonge dans latmosphère dantan et dans le quotidien des premiers imprimeurs bucarestois :« Stoica avait une personnalité extravertie, cétait un homme agile et enthousiaste. Il voulait faire fortune, car il avait une famille nombreuse à charge : Trois fils et un nombre indéfini de filles. A lopposée, Barbu Bucureșteanul est quelquun dintroverti, un homme qui naimait pas traîner en société, qui appréciait la solitude. Il nest pas très aisé, et il a dû quitter Bucarest où il est probablement né, pour aller chercher du travail en Moldavie. Parce que Bucarest, au milieu du XVIIIe siècle, était un peu la chasse gardée de la famille de Stoica Iacovici. Ce dernier travaillait en famille, il sagissait dune affaire de famille. Il connaissait tout le monde, avait ses entrées, même auprès du voïvode et du métropolite. Donc il avait du travail, mais pour Barbu Bucureșteanul cétait différent ».



    Pour sattaquer au monopole de laffaire de famille de Stoica Iacovici à Bucarest, Barbu Bucureşteanul a dû dabord sexiler de sa ville natale. Daniela Lupu affirme que :« A la fin de sa période dapprentissage dans une des imprimeries de Bucarest, Barbu est allé chercher du travail en Moldavie, auprès de lArchevêché de Rădăuți. Il débute en 1744, comme maître imprimeur à limprimerie de lArchevêché de Rădăuți, et rentre à Bucarest en 1747 seulement. Une fois de retour, il se fait embaucher par limprimerie de lArchevêché Hongrois-Valaque, où il dirige latelier et forme de nombreux apprentis. Ceci jusquen 1758, lorsquil meurt, probablement de la peste. Barbu a édité dans lintervalle 8 livres religieux et des livres de prière, destinés aux pratiquants, pas pour le catéchisme. »



    Dès son retour à Bucarest en 1747, Barbu Bucureşteanul publie des livres religieux aussi bien en roumain, en utilisant les caractères cyrilliques qui avaient cours à lépoque, quen langue slave, la langue liturgique de léglise orthodoxe de son temps. Selon Daniela Lupu, il nétait pas rare quun maître artisan aille chercher du travail loin de chez lui. « Au début de leur art, les imprimeurs menaient une vie de pèlerins, étant obligés de chercher loin des commandes, du travail, sauf peut-être quand ils étaient les protégés dun archevêché ou autre. Lhistoire de Barbu est très parlante à cet égard : Après ses débuts, moins fastes sans doute, il grimpe les échelons, puis la manière dont il maîtrise son art est reconnue et appréciée, et il devient limprimeur attitré de la métropolie de Bucarest. Belle fin de carrière pour lartisan imprimeur. »



    Et cest en 1747 que paraît le premier volume édité par Barbu Bucureșteanul dans la Typographie de la Métropolie Hongro-Valaque de Bucarest. Edité en petit format, le livre sintitule « Prières de tous les jours de la semaine ». Son nom napparaît pas sur la page de garde, mais il signe la préface. On comprend que cest lui qui sest chargé de limpression de ce volume. Il ne travaillait pas seul, dautres maîtres artisans, dont Grigore Stan Brașoveanul, faisaient équipe avec lui. Daniela Lupu : « Une chose intéressante : Barbu et Grigore ont signé un contrat de travail, pour employer des notions contemporaines, avec le métropolite Neofit le Crétois, de Bucarest. Ce genre de contrats a sans doute dû être établi dans dautres contextes, mais cest le seul qui nous est parvenu. Cest un document rare, car il nous renseigne sur le niveau de salaire des imprimeurs de lépoque, de leurs droits et obligations envers leur employeur. On na gardé que deux contrats rédigés au XVIIIe siècle de ce type. Que stipulait le marché conclu entre lemployé et lemployeur? Et bien, on apprend que lemployeur devait nourrir lemployé chaque jour, un repas qui comprenait du pain, du vin, et différents plats. Il avait droit de recevoir du sel, du savon, des bougies, pour pouvoir travailler la nuit dans son atelier lorsque le temps pressait. Et puis, des bûches en bois pour chauffer les poêles. »



    En labsence de sources contraires, il semblerait que Barbu Bucureşteanul ait travaillé et habité Bucarest jusquà la fin de ses jours, cest-à-dire en 1758. Il est possible quil ait été une des premières victimes de lépidémie de peste qui a ravagé Bucarest entre 1756 et 1759. (Trad. Ionut Jugureanu)

  • Cotnari

    Cotnari

    Parmi les attractions touristiques de Cotnari, il convient de mentionner le site archéologique La citadelle de Cotnari, la réserve forestière Cotnari-Cătălina, l’église princière placée sous le vocable de la sainte Parascève et construite entre 1491 et 1493 par les soins du prince régnant Etienne le Grand ou bien le pont médiéval de Cârjoaia.

    Arrêtons-nous d’abord sur la citadelle, qui remonte au IVe siècle av.n.e. Les fouilles archéologiques ont mis en évidence l’existence d’habitats souterrains ou de surface. On a également identifié des vestiges datant du paléolithique ou de l’énéolithique. Près de la cité dace, qui s’étend sur 7,6 ha, on retrouve la réserve située sur la Colline Cătălina. Cette réserve est composée d’espèces d’arbres vieux de 150 à 200 ans.

    Quant à l’église dite de la pieuse Parascève, de Cotnari, elle figure, depuis 2004, sur la liste des monuments historiques du comté de Iasi. Ce lieu de culte fait partie de l’ensemble médiéval connu sous le nom de Cour princière, dont on peut observer aujourd’hui encore les ruines du palais princier, plus précisément les vestiges de ses célèbres caves.

    Dressé sur ordre du voïvode Etienne le Grand (1457-1504), le pont médiéval de Cârjoaia est situé sur la route du vin reliant les communes de Hîrlău et Cotnari. Sa première attestation documentaire date de 1680. Cette construction à quatre voûtes, réalisée en pierre de rivière, mesurait 42 m de long. En 1847, le prince Mihail Sturdza (1834-1849) a ordonné qu’il soit refait avec un seul arc, à la place des quatre voûtes. A présent, on ne sait plus quelles parties appartiennent au pont originel.

    La contrée est également réputée pour son vignoble et ses vins. Voici les explications de Mihaela Turturică, ingénieure œnologue. Le vignoble et la culture de la vigne dans ces endroits remontent à deux millénaires, comme l’attestent les fouilles archéologiques entreprises sur la Colline Cătălina, là où se trouvait la cité dace. Nous cultivons, sur quelque 1800 hectares, plusieurs variétés de vigne autochtones: Frâncuşă, Fetească albă, Grasă de Cotnari et Tămâioasă Românescă. Nous avons aussi une exploitation viticole plus récente, pour les vins rosés de Busuioaca et les vins rouges de Fetescă Neagră.

    L’ingénieure œnologue Mihaela Turturicăn nous emmène aussi dans la cave: On est à 12 m sous la terre. Ici, la température est constante tout au long de l’année, soit 10° à 12°. Le vin y est mis en bouteilles. Les meilleurs vins sont gardés dans la vinothèque. On dit qu’une bouteille de vin recèle autant de philosophie que celle qui se dégage de trois livres. Notre vinothèque recense un million de bouteilles, dont la plus ancienne contient du vin du millésime 1956. Les bouteilles de vin restent couchées de sorte à maintenir le liquide en contact permanent avec le bouchon de liège. Cela empêche que l’air passe à l’intérieur de la bouteille et permet de garder le bouquet du vin. En effet, si dans le cas des vins jeunes on parle d’arômes, les vins anciens, eux, ont du bouquet. Cette différence, on la saisit lors de la dégustation.

  • Miracle

    Miracle

    Ionut avait l’habitude de se rendre au chevet des mourants, de rassurer les familles en leur offrant le réconfort d’une vie possible après la mort. Il en avait vu des gens mourir, des personnes qui fréquentaient l’église depuis ses débuts, vieillissant à leurs côtés, mais ce qu’il n’avait jamais eu l’occasion de voir, c’est une femme dans la fleur de l’âge, avec toute la vie devant elle, être soudainement rappelée par le Seigneur.

  • L’histoire de la ville de Bistrita

    L’histoire de la ville de Bistrita

    En effet, le nord de la Transylvanie, où se trouve aussi la ville de Bistrita, a été semble-t-il colonisé par des Allemands venus de la région du Luxembourg d’aujourd’hui, à compter du 13e siècle. C’est ce que témoignent les premiers documents attestant l’existence de la ville, nous fait savoir l’historien de l’art Vasile Duda. « Ce fut le 2 avril 1241, durant la grande invasion tartare qui avait détruit une grande partie de la Transylvanie et de toute l’Europe de l’Est, que cette localité est mentionnée avec le nom de Nosa. Et ce nom semble être lié à d’autres localités de la région du Luxembourg, renforçant ainsi l’hypothèse que les premiers colons avaient donné à leur agglomération un nom de leur région d’origine. Plus tard, le 16 juillet 1264, un autre document atteste le nom actuel de Bistrita, un nom emprunté probablement à la rivière qui traverse la région. L’origine de ce mot est slave, provenant de « bâstro » c’est-à-dire rapide. Le statut de ville, Bistrita l’obtient en 1330 lorsque le roi Charles Robert d’Anjou accorde aux habitants de la localité le droit d’élire librement leur juge et leurs jurés. Il s’agit de droits réservés aux villes. Sous la maison d’Anjou, en 1353, la ville reçoit aussi d’autres privilèges, parmi lesquels le droit d’organiser une grande foire qui commençait à la Saint Barthélemy, le 24 août, pour s’étendre le long de deux ou trois semaines. C’était la foire la plus importante de la région et c’est d’ailleurs elle qui assurait une grande partie de ses revenus jusqu’au début de l’époque moderne. »

    A compter de 1465, d’amples travaux de fortification commencent à Bistrita, qui est entourée d’une muraille, de tours et de trois portes dotées de pont-levis et défendues par des fossés. Bistrita est devenue ainsi une des puissantes citadelles fortifiées de Transylvanie, mais aussi une des villes les plus belles, fait savoir le même Vasile Duda. « Vers 1564, un voyageur italien en Transylvanie a essayé de présenter brièvement les villes et les fortifications qu’il avait visitées. Et il disait « Sibiu est la plus forte, Cluj est la plus populaire et Bistrita, la plus belle ». La ville a connu son apogée au XVIe siècle et cela signifie qu’il existe de nombreux monuments construits à la fin du XVe siècle et au début du XVIe. Parmi eux, mentionnons l’église de la place centrale, un ancien lieu de culte catholique de rite grec, devenue évangélique en 1543, ayant la tour la plus haute de Transylvanie. Je mentionnerais aussi l’ancienne église de l’abbaye franciscaine, une construction du XIIIe siècle, devenue au XIXe siècle église catholique de rite grec et qui est orthodoxe de nos jours. Il s’agit d’une des constructions les plus anciennes de la ville, érigée en 1290. J’ajouterais aussi le complexe Sugălete, la série la plus longue de maisons médiévales avec des arches au rez-de-chaussée, érigé en 1480. Il y a aussi la maison Ion Zidaru qui date de 1480 – 1520 et qui a une histoire particulièrement intéressante. »

    Et c’est également de cette période fleurissante pour Bistrita, à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance que datent les armoiries de la ville : une autruche avec un fer à cheval dans son bec. Ce symbole a été offert à la ville par le roi Louis d’Anjou en 1366, et d’ailleurs il se retrouvait sur les armoiries privées de la famille d’Anjou. Détails avec l’historien de l’art Vasile Duda. « Quelle est l’histoire de ce symbole ? Eh bien, il parait qu’au Moyen Âge, soit aux XIIIe et XIVe siècles en Europe Occidentale, l’autruche était présentée comme l’oiseau le plus puissant, capable de digérer même le fer et d’avaler n’importe quoi. Cet oiseau a été utilisé par la famille d’Anjou lorsqu’elle a revendiqué le trône de la Hongrie pour entrer ainsi en conflit avec les nobles hongrois au sujet du contrôle du pays. C’est pourquoi l’autruche est devenue un symbole de la royauté en Transylvanie et en Hongrie, figurant sur les armoiries des villes. Grâce à cette capacité présumée de l’oiseau de digérer le fer, l’autruche a également été associée aux artisans qui transformaient le métal. »

    La présence de l’autruche sur les armoiries de la ville de Bistrita est donc étroitement liée à la guilde des forgerons, une des plus importantes associations de ce genre de toute la Transylvanie.

  • 03.12.2017 (mise à jour)

    03.12.2017 (mise à jour)

    Défense – Le ministre roumain de la défense, Mihai Fifor, a commencé ce dimanche une visite de deux jours à Belgrade, dans le cadre de laquelle il rencontrera son homologue serbe Alexandar Vulin, a fait savoir le Ministère de la Défense de Bucarest. L’agenda des pourparlers inclut des sujets d’actualité relatifs à la situation sécuritaire régionale, ainsi qu’au développement de la coopération dans le domaine de la défense entre la Roumanie et la Serbie. Le ministre Mihai Fifor est accompagné au cours de sa visite à Belgrade par le chef de l’Etat major de l’armée, le général Nicolae Ciuca.

    Eglise – Le président russe, Vladimir Poutine rencontre lundi les chefs des délégations des églises orthodoxes qui participent à Moscou au centenaire de la restauration du Patriarcat dans l’Eglise orthodoxe russe. Dans son discours donné dans le cadre d’une réunion solennelle, le Patriarche Daniel de l’Eglise orthodoxe roumaine a évoqué les répressions contre les églises orthodoxes suite à l’instauration du communisme et a rappelé que les victimes de ces répressions avaient été commémorées en ce mois d’octobre à Bucarest. Le chef de l’Eglise orthodoxe roumaine a souligné trois priorités de l’église au jour d’aujourd’hui : l’unité de la foi orthodoxe, la solidarité avec ceux qui souffrent et la coopération missionnaire pratique.

    Budget – Le projet de Loi du budget d’Etat de Roumanie pour l’année 2018 fera l’objet d’un débat au sein du gouvernement cette semaine. Selon le premier ministre Mihai Tudose, la Santé, l’éducation et l’infrastructure sont les piliers du budget de l’année prochaine. Pourtant l’enveloppe de 2% du PIB accordée à la défense sera préservée cette année aussi. Le projet du budget d’Etat repose sur une croissance économique de 5,5%, sur un déficit budgétaire de 2,97% du PIB et sur une inflation moyenne annuelle de 3,1%.

    Mini-vacances – C’est la fin des mini-vacances de quatre jours qui ont commencé jeudi par la fête de Saint André, le saint patron de la Roumanie et se sont poursuivies vendredi par la fête nationale du 1er décembre, dont le point fort a été le défile militaire de Bucarest. Une centaine de milliers de vacanciers roumains qui se sont rendus dans différentes régions du pays ont dépensé près de 10 millions d’euros pour l’hébergement et les repas, selon une analyse de la fédération des patronats du tourisme roumaine. Pour la première fois depuis 1989, les paquets de city break à l’intérieur de la Roumanie ont eu plus de succès que ceux de mini-vacances à l’étranger, un évènement qui pourrait annoncer une nouvelle tendance dans le tourisme roumain. Les plus convoitées ont été les stations de montagne de la Valée de la Prahova, dans les Carpates Méridionales et la Bucovine, dans le nord, ainsi que les stations thermales. Un marché de Noël a été inauguré à Bucarest, place Constitutiei. Ouvert jusqu’au 27 décembre le marché propose une zone consacrée à la gastronomie roumaine, produits d’artisanat, une patinoire, sans oublier la Maison de Père Noël. En même temps, sur la scène installée au cœur de la Foire monteront des chorales prestigieuses, orchestres de musique traditionnelle, groupes de rock et de folk et des chanteurs des plus connus.

    Handball – Deuxième victoire pour la sélection nationale de handball féminin de Roumanie dans le groupe A du Championnat du monde accueilli par l’Allemagne. La Roumanie a vaincu dimanche la Slovénie sur le score de 31 à 28. Samedi, dans son premier match, la Roumanie a eu raison du Paraguay, sur le score de 29 à 17. Aucun match n’est prévu pour lundi dans le groupe A. Les matchs Roumanie – Espagne, Slovénie – Angola, France – Paraguay se dérouleront mardi. Les quatre premières équipes accéderont aux huitièmes de finale.

    Météo – Dans les prochaines 24 heures le ciel sera couvert avec des chutes de neige isolées notamment sur le relief. Quelques pluies sont toujours possibles sur le reste du territoire. La vitesse du vent sera plus élevée en montagne, avec des vitesses allant jusqu’à 70 km à l’heure, provoquant des tempêtes de neige. Les températures iront de -3 à 8 degrés.

  • 03.12.2017

    03.12.2017

    Mini-vacances – Les Roumains terminent aujourd’hui leurs mini-vacances de 4 jours qui ont commencé par la Saint Andrée le 30 novembre et se sont poursuivis par la fête nationale du 1er décembre. Pour ce week-end prolongé, la majorité des vacanciers ont choisi des destinations autochtones. Les plus convoitées ont été les stations de montagne de la Valée de la Prahova, dans les Carpates Méridionales et la Bucovine, dans le nord, ainsi que les stations thermales. Un marché de Noël vient d’être inauguré à Bucarest, place Constitutiei. Ouvert jusqu’au 27 décembre le marché propose une zone consacrée à la gastronomie roumaine, produits d’artisanat, une patinoire, sans oublier la Maison de Père Noël. En même temps, sur la scène installée au cœur de la Foire monteront des chorales prestigieuses, orchestres de musique traditionnelle, groupes de rock et de folk et des chanteurs des plus connus.

    Protestations – Des protestations ont eu lieu ce samedi sur la place Victoriei de Bucarest. Plusieurs centaines de personnes ont démonté la scène qui faisait partie d’un nouveau marché de Noël que la Municipalité souhaitait installer sur cette place qui est depuis 10 mois le lieu de rencontre des protestataires antigouvernementaux. L’édile en chef de Bucarest, Gabriela Firea, a par la suite annoncé que la mairie renonçait à l’organisation de ce marché.

    Visite – En visite à Moscou, Daniel le patriarche de l’Eglise orthodoxe roumaine a appelé à l’unité de la foi orthodoxe. Le chef de l’Eglise orthodoxe roumaine a participé à une session solennelle organisée à l’occasion du centenaire du centenaire de la restauration du patriarcat dans l’Église orthodoxe russe, par l’élection de saint Tikhon au trône patriarcal de Moscou et du déclenchement de la répression communiste contre l’église en 1917. Les chefs de plusieurs églises orthodoxes autocéphales ont été invités à ces évènements qui se déroulent jusqu’au 5 décembre. Dans son discours, le patriarche Daniel a souligné que la substitution de l’institution du Patriarcat en Russie par une institution d’Etat a été contraire à la tradition de l’Eglise Orthodoxe. La période qui a suivi a été la plus difficile de l’histoire de l’Eglise orthodoxe russe, puisque des milliers de membres du clergé ont été tués et des milliers d’églises ont été fermées et même détruites, a souligné le patriarche Daniel. Et à lui de mentionner aussi les répressions contre les églises orthodoxes d’Europe centrale et de l’Est après l’instauration du communisme et la commémoration de ces répressions organisés en octobre à Bucarest par le Patriarcat de Roumanie, commémoration à laquelle a participé aussi Cyrill le patriarche de Moscou et de toute la Russie.

    Haltérophilie – Le sportif roumain Dumitru Captari a remporté le bronze à l’arraché de la catégorie 77 kilos aux Championnats du Monde d’haltérophilie d’Anaheim en Californie. L’or a été décroché pourtant par l’égyptien Mohamed Ihab Youssef Ahmed Mahmoud, et l’argent par le turkmène Rejepbay Rejepov. Le bilan de la Roumanie s’élève à quatre médailles, après les trois médailles d’or remportées samedi par Loredana Toma dans la catégorie de 63 kilos.

    Handball – La sélection nationale de handball féminin de Roumanie doit rencontrer aujourd’hui la Slovénie au Championnat du Monde déroulé jusqu’au 17 décembre en Allemagne. Samedi, dans leur premier match les Roumaines ont eu raison du Paraguay sur le score de 29 buts à 17. La Roumanie a été répartie dans le groupe A, aux côtés de la France, de l’Espagne, de la Slovénie, de l’Angola et du Paraguay. Sur les quatre groupes, les quatre premières sélections nationales de chaque groupe accéderont aux huitièmes de finale. Au précédent Championnat du Monde, la Roumanie a remporté le bronze. C’est l’unique équipe à avoir participé à toutes les 22 éditions du Mondial de handball féminin.

    Budget – Le projet de Loi du budget d’Etat de Roumanie pour l’année 2018 fera l’objet d’un débat au sein du gouvernement cette semaine. Selon le premier ministre Mihai Tudose, la Santé, l’éducation et l’infrastructure sont les piliers du budget de l’année prochaine. Pourtant l’enveloppe de 2% du PIB accordée à la défense sera préservée cette année aussi. Le projet du budget d’Etat repose sur une croissance économique de 5,5%, sur un déficit budgétaire de 2,97% du PIB et sur une inflation moyenne annuelle de 3,1%.

  • 02.12.2017 (mise à jour)

    02.12.2017 (mise à jour)

    Messages – A l’occasion de sa fête nationale, le 1er décembre la Roumanie a reçu de nombreux messages de félicitations. Le chef du gouvernement de Chisinau, Pavel Filip a remercié pour l’appui constant et inconditionnel que la Roumanie accorde à la République de Moldova voisine. Il a souligné qu’au cours de cette année, les relations d’amitié et de coopération entre les deux pays se sont considérablement approfondies. Depuis les Etats-Unis, le secrétaire américain d’Etat, Rex Tillerson a déclaré que l’administration de Washington était reconnaissante à la Roumanie pour le partenariat stratégique bilatéral et pour la coopération dans la mise en œuvre des objectifs communs de prospérité, sécurité et démocratie. La Roumanie a été félicitée aussi par le membre du congrès américain Michael Turner qui a remercié Bucarest au nom du Groupe d’amitié avec la Roumanie du Congrès des Etats-Unis pour la coopération continue déroulée dans la consolidation des relations vieilles de 137 ans entre les deux nations. Le sénateur républicain John McCain, président du Comité pour les services armés du Sénat a posté sur Internet un message de félicitations. Entre autres, M McCain a remarqué les progrès remarquables faits par la Roumanie dans la consolidation de la démocratie soulignant que ce pays était un modèle dans sa région et dans le monde pour ce qui est de ses efforts de lutte contre la corruption.

    Fêtes – C’est déjà une tradition : le 1er décembre marque non seulement la Fête nationale de la Roumanie mais aussi le feu vert des manifestations liées aux fêtes d’hiver et de fin d’année. En fait, cette année les Roumains bénéficient des mini-vacances de 4 jours qui ont commencé jeudi par la Saint Andrée, le 30 novembre, se poursuivant vendredi par la fête nationale du 1er décembre. Pour ce week-end prolongé, les destinations autochtones en montagne ont été les plus convoitées. Hormis les stations de montagne des Carpates Méridionales, dans le centre, et de Bucovine dans le nord, les vacanciers ont également choisi les stations balnéaires. A Bucarest, la municipalité a inauguré vendredi soir au centre-ville soir sur la Place Constitutiei, une Foire de Noël et les illuminations de Noël, inspirées cette année du folklore roumain. Plus de 3 millions de lumières ont été installées dans la capitale sur un trajet s’étalant sur 33 km. La foire de Noël de Bucarest sera ouverte jusqu’au 27 décembre, proposant une zone consacrée à la gastronomie roumaine, produits d’artisanat, une patinoire, sans oublier la Maison de Père Noël. En même temps, sur la scène installée au cœur de la Foire monteront des chorales prestigieuses, orchestres de musique traditionnelle, groupes de rock et de folk et des chanteurs des plus connus.

    Protestations – Des protestations ont eu lieu ce samedi sur la place Victoriei de Bucarest. Plusieurs centaines de personnes ont démonté la scène qui faisait partie d’un marché de Noël que la Municipalité souhaitait installer sur cette place qui est depuis 10 mois le lieu de rencontre des protestataires antigouvernementaux. La mairie de Bucarest a par la suite annoncé qu’elle renonçait à l’organisation de ce marché.

    Incendie – Selon le ministère roumain des Affaires Etrangères de Bucarest, les Roumains se trouvant dans l’immeuble frappé par un incendie dans la localité de Bergkamen dans le nord-ouest de l’Allemagne sont en sécurité. Le ministère roumain des Affaires Etrangères, par le biais du Consulat général de Roumanie de Bonn suit de près les événements liés à ce sujet et maintient constamment le contact tant avec les ressortissants roumains touchés par l’incendie qu’avec les autorités locales qui ont déjà ouvert une enquête. Selon l’administration présidentielle de Bucarest, le chef de l’Etat roumain s’attend à ce que cette enquête éclaircisse d’urgence les circonstances dans lesquelles s’est produit l’incendie. Une trentaine de personnes intoxiquées avec de la fumée ont été hospitalisées suite à l’incendie qui a frappé un immeuble habité aussi par des Roumains. Tous les blessés ont jusqu’ici quitté les hôpitaux. Enfin, les autorités locales n’excluaient pas l’hypothèse d’un feu mis intentionnellement.

    Eglise – La délégation de l’Eglise orthodoxe roumaine, dirigée par le Patriarche Daniel a été reçue samedi par Cyrill, le Patriarche de Moscou et de toute la Russie, fait savoir basilica.ro, l’Agence de presse du Patriarcat roumain. Daniel fait une visite à Moscou du 2 au 5 décembre à l’occasion du centenaire du rétablissement du patriarcat de l’Eglise orthodoxe russe par l’élection de saint Tikhon au trône patriarcal de Moscou

    Handball – La sélection nationale de handball féminin de Roumanie a battu ce samedi le Paraguay sur le score de 29 buts à 17, dans son match de début du Championnat du Monde accueilli jusqu’au 17 décembre par l’Allemagne. Dimanche les Roumaines affronteront la Slovénie. La Roumanie a été répartie dans le groupe Aux côtés de la France, de l’Espagne, de la Slovénie, de l’Angola et du Paraguay. Sur les quatre groupes, les quatre premières sélections nationales de chaque groupe accéderont aux huitièmes de finale. Au précédent Championnat du Monde, la Roumanie a remporté le bronze. C’est l’unique club à avoir participé à toutes les 22 éditions du Mondial de handball féminin.

    Haltèrophilie – La sportive roumaine Loredana Toma a remporté trois médailles d’or de la catégorie 63 kilos aux Championnats du monde d’haltérophilie d’Anaheim en Californie. Loredana Toma a devancé à l’arrachée Maude Charron du Canada et Lina Marcela Ordonez de Colombie. A l’épaulé-jeté, Loredana Toma a également terminé en première position, suivie par la thaïlandaise Rattanawan Wamalun et par Lina Marcela Rivas Ordonez(de Columbie). Dans le classement final, Loredana Toma a remporté l’or, alors que les colombiennes Lina Marcela Rivas Ordonez et Mercedes Isabel Perez Tigrero ont remporté l’argent et respectivement le bronze.

  • A la Une de la presse roumaine 21.08.2017

    A la Une de la presse roumaine 21.08.2017

    L’évolution décevante de la première joueuse de tennis de Roumanie dans la finale du tournoi de Cincinnati est dans toute la presse roumaine du jour. Elle s’en sort avec une somme rondelette, mais par la porte de derrière. Le Fisc espère, lui, renflouer les caisses de l’Etat et passant au peigne fin deux banques qui n’obtiennent soi-disant pas de profit, depuis plusieurs années. Et dans un scandale sans précédent, un haut prélat orthodoxe a démissionné pour des raisons très peu orthodoxes.





  • A la Une de la presse roumaine – 24.07.2017

    A la Une de la presse roumaine – 24.07.2017

    Les réactions des autorités et des syndicats de la police après la mort tragique d’un policier à Suceava ; un pope et une none accusés de contrebande de textile ; des analyses et des estimations économiques – tout est à retrouver dans la presse bucarestoise en ligne de ce lundi.


  • A la Une de la presse roumaine 17.07.2017

    A la Une de la presse roumaine 17.07.2017

    Ca n’a duré même pas un weekend. Le conseiller gouvernemental qui proposait la taxation des revenus de l’Eglise orthodoxe roumaine a été destitué, écrit la presse roumaine du jour. Celle-ci s’attarde également sur les retards presqu’insurmontables dans la préparation du Centenaire de la création de l’Etat roumain moderne, qui pourrait être organisé par « les barons locaux », ou encore sur une proposition de dialogue sur l’autonomie des départements à population hongroise majoritaire faite au président roumain, Klaus Iohannis.




  • A la Une de la presse roumaine 14.07.2017

    A la Une de la presse roumaine 14.07.2017

    La presse roumaine du jour se penche sur les projets du gouvernement de Bucarest d’introduire à un système de taxation pour les cultes et notamment la très profitable Eglise orthodoxe roumaine (majoritaire), qui ne payent pas d’impôts. Que pourrait-on faire avec cet argent ? Développer l’infrastructure routière, par exemple, alors que même les membres d’un petit parti extrémiste local menacent de descendre dans la rue pour hâter la construction d’autoroutes. Dans le même temps, les journalistes s’inquiètent de la hausse en flèche du prix de l’électricité, sans que même les opérateurs du marché en voient la raison…





  • Jazz in Church, un festival pas comme les autres à Bucarest

    Jazz in Church, un festival pas comme les autres à Bucarest

    Début
    avril, Bucarest a accueilli la 5e édition du festival Jazz in
    Church, une manifestation à part dans le paysage artistique de la capitale
    roumaine. Pour nous en parler, nous avons invité au micro Cristi Moraru, le
    directeur artistique du festival.