Tag: FMI

  • 17.03.2017 (mise à jour)

    17.03.2017 (mise à jour)

    FMI — Le chef de la mission du FMI pour la Roumanie, Reza Baqir, a présenté vendredi, à l’issue de sa visite à Bucarest, les conclusions concernant les évolutions du pays dans le domaine économique. Selon lui, les réductions successives des taxes et impôts et les majorations salariales qui dépassent le taux de croissance de la productivité risquent de menacer les réalisations de ces dernières années et affectent la croissance potentielle de l’économie roumaine. Reza Baqir a par ailleurs déclaré que le FMI tablait sur un déficit budgétaire de 3,7% en 2017 et de 3,9% en 2018. La délégation du FMI a également eu des entretiens avec le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, et avec le premier-ministre Sorin Grindeanu. La Roumanie n’a pas d’accord en déroulement avec le FMI. Bucarest a seulement des consultations périodiques avec les représentants de cette institution financière.



    Travail — En Roumanie, les conventions collectives de travail auront un caractère obligatoire tant dans le secteur public, que dans celui privé, a fait savoir vendredi le ministre de la Consultation publique et du dialogue social, Gabriel Petrea. Selon lui, cette mesure figurera dans la nouvelle loi du dialogue social, laquelle sera soumise au débat aussitôt après l’entrée en vigueur de la loi de la grille unitaire des salaires dans le secteur public. Il existe une demande en ce sens de la part de tous les syndicats représentatifs à l’échelle nationale et nous devons créer un système de protection des employés, de sorte que leurs droits soient respectés, a déclaré le ministre. Il s’est également prononcé en faveur de l’inscription des ONGs à l’Office national du Registre du commerce et non pas auprès des instance judiciaires, comme prévoit l’actuelle législation. Le ministre Gabriel Petrea soutient qu’une telle mesure est de nature à faciliter la création et le déroulement de l’activité des ONGs.



    UE – La Roumanie peut accéder à des fonds européens pour la modernisation de 280 hôpitaux et cliniques, soit des investissements chiffrés à 250 millions deuros, a déclaré à Bucarest, la Commissaire à la politique régionale, Corina Cretu. Elle a précisé que les autorités avaient déjà identifié 42 hôpitaux départementaux qui seront soumis à des travaux de réhabilitation et délargissement. La responsable européenne espère que la construction de trois hôpitaux régionaux commencera à compter de lannée prochaine, à Cluj, dans le nord-ouest, à Craiova, dans le sud et à Iasi, dans le nord-est.



    Abus – En visite en Italie, la ministre pour les Roumains de l’étranger, Andreea Păstîrnac, a poursuivi les réunions avec des responsables italiens et des travailleurs roumains des fermes siciliennes. Cette visite intervient sur la toile de fond des révélations faites par l’hebdomadaire britannique « The Observer », selon lequel des milliers de Roumaines seraient victimes d’abus, y compris de menaces et d’agressions sexuelles, perpétrés par leurs employeurs en toute impunité. La responsable roumaine a rencontré des représentants des autorités locales de la région de Catane et des travailleurs roumains de la ville italienne de Raguse. La Roumanie et l’Italie ont convenu de créer un centre d’appui aux personnes vulnérables à la traite de personnes, ainsi qu’aux victimes de ce fléau. Plusieurs unités mobiles seront bientôt opérationnelles pour venir en aide à ces personnes, leur offrant des services de conseil et d’assistance médicale.



  • 17.03.2017

    17.03.2017

    FMI – La délégation du FMI présentera à la fin de sa visite d’évaluation ses conclusions sur les évolutions et les politiques promues par la Roumanie. L’institution financière internationale affirme que la Roumanie doit accroitre le taux d’absorption des fonds structurels, ainsi que la collecte des recettes par le Fisc, tout en soutenant la lutte contre la corruption. L’accord le plus récent, qui a expiré sans une conclusion claire en septembre 2013, s’est chiffré à deux milliards d’euros, des fonds que les autorités de Bucarest n’ont pas utilisés.

    UE – La Roumanie peut accéder à des fonds européens pour la modernisation de 280 hôpitaux et cliniques, soit des investissements chiffrés à 250 millions d’euros, a déclaré à Bucarest, la Commissaire à la politique régionale, Corina Cretu. Elle a précisé que les autorités avaient déjà identifié 42 hôpitaux départementaux qui seront soumis à des travaux de réhabilitation et d’élargissement. La responsable européenne espère que la construction de trois hôpitaux régionaux commencera à compter de l’année prochaine, à Cluj, dans le nord-ouest, à Craiova, dans le sud et à Iasi, dans le nord-est.

    Justice – La Haute Cour de cassation et de Justice de Sofia a invité Laura Codruta Kovesi, la chef de la Direction nationale anticorruption de Bucarest de partager de l’expérience roumaine dans le domaine de la lutte contre la corruption. Devant les magistrats bulgares et de nombreux journalistes et représentants d’ONGs, Mme Kovesi a présenté le rôle que joue le parquet anticorruption dans la Justice roumaine. La responsable de Bucarest a rappelé qu’en 2006, les tribunaux roumains avaient instruit 360 dossiers de corruption à haut niveau, alors que quatre ans plus tard, le nombre des hauts responsables accusés de corruption avait dépassé les 900 pour se chiffrer à 1273 en 2016. 880 fonctionnaires de l’Etat, parmi lesquels ministres, députés, maires et magistrats ont été définitivement condamnés l’année dernière.

    Marathon – Tiberiu Useriu, 43 ans, a reporté aujourd’hui pour la deuxième année de suite, l’ultra marathon 6633 Arctic Ultra, qui se déroule dans la région polaire du Canada. Tibi Useriu, qui été en tête de la course depuis le début et jusqu’à la fin, a décidé de parcourir les derniers kilomètres malgré les mises en garde des médecins qui avaient constaté qu’il avait des gelures aux pieds. Le coup d’envoi de la course a eu lieu le 10 mars et les participants ont dû affronter des températures allant jusqu’à -40 degrés, des blizzards et des chutes de neige. 24 compétiteurs de 4 continents ont participé à cette épreuve.

    Abus – En visite en Italie, la ministre pour les Roumains de l’étranger, Andreea Păstîrnac, poursuit les réunions avec des responsables italiens et avec des travailleurs roumains des fermes siciliennes. Cette visite intervient sur la toile de fond des révélations faites par l’hebdomadaire britannique « The Observer » selon lequel des milliers de Roumaines seraient victimes d’abus, y compris de menaces et d’agressions sexuelles, perpétrés par leurs employeurs en toute impunité. La responsable roumaine a rencontré des responsables de la région de Catane et des travailleurs roumains de la ville italienne de Raguse. La Roumanie et l’Italie ont convenu de créer un centre d’appui aux personnes vulnérables à la traite de personnes ainsi qu’aux victimes de ce fléau. Plusieurs unités mobiles seront bientôt opérationnelles pour venir en aide à ces personnes, leur offrant des services de conseil et d’assistance médicale.

    Rugby – La sélection nationale de rugby de Roumanie se prépare pour rencontrer l’équipe de Géorgie, dimanche à domicile. Ce dernier match de l’actuelle édition du Rugby Europe Championship est considéré comme une véritable finale. En effet, avec respectivement 18 et 15 points, la Géorgie et la Roumanie occupent les 2 premières places au classement de cette compétition qui remplace, à partir de cette année, le Championnat européen des nations. Les sportifs roumains ont jusqu’ici vaincu les Belges et les Russes, mais ils se sont inclinés devant les Allemands. Rappelons que les matches comptant pour le Rugby Europe Championship constituent également un critère de qualification pour la Coupe du monde 2019, au Japon.

  • 16.03.2017

    16.03.2017

    Fonds européens — La commissaire européenne à la politique régionale, Corina Creţu, doit rencontrer aujourd’hui le Premier ministre roumain Sorin Grindeanu, d’autres membres du cabinet et la maire générale de la capitale, Gabriela Firea. Les discussions portent sur les mesures que Bucarest devrait prendre d’urgence afin de rattraper les retards pris dans l’absorption des fonds européens alloués pour le cadre financier pluriannuel 2014-2020. Corina Creţu a une fois de plus mis en garde contre le fait que le taux d’utilisation des fonds européens est de 0%. La Roumanie devrait accélérer le pas, sinon, dans le contexte des débats sur l’avenir de l’UE, elle risque de recevoir moins d’argent européen, a-t-elle souligné. Et d’ajouter que selon les estimations de la Commission européenne, le taux d’absorption des fonds européens impartis à la Roumanie pour la période 2007 – 2013 dépassera les 90%.



    FMI — Le Premier ministre roumain, Sorin Grindeanu, doit s’entretenir avec la délégation du FMI, qui se trouve à Bucarest ces jours-ci. Selon le chef du gouvernement roumain, le niveau des investissements est supérieur à celui de l’année dernière, mais il faudrait accroître le taux d’absorption des fonds européens. Le chef de la mission du FMI pour la Roumanie, Reza Baqir, a rencontré hier la vice-première ministre et ministre du Développement régional, Sevil Shhaideh. Il a fait savoir qu’à l’issue de sa visite, vendredi, il présenterait les conclusions relatives aux politiques économiques envisagées par le gouvernement de Bucarest. Toujours jeudi, le premier ministre roumain Sorin Grindeanu examinera avec le ministre des Finances, Viorel Stefan, les modalités de majorer de 30 % les salaires des élus locaux et la question de la prolongation des plafonds établis pour les polices d’assurance de responsabilité civile.



    Protestations — Les policiers roumains manifestent aujourd’hui à Bucarest, mécontents que la décision du gouvernement concernant les majorations salariales n’ait pas été mise en œuvre. Ils réclament des hausses salariales, l’élimination des écarts en matière de rémunération entre les policiers et les cadres supérieurs, le calcul des primes à partir du salaire minimum brut actuel, soit 320 euros et non pas sur la base de celui d’il y a 8 ans, la modification de certaines dispositions relatives à l’horaire de travail, le repos hebdomadaire. Par ailleurs, les leaders du Syndicat national des agents de police exigent que la ministre de l’Intérieur, Carmen Dan, discute avec une délégation des policiers au sujet de leurs revendications.



    Abus – La ministre pour les Roumains de l’étranger, Andreea Păstîrnac se rend dans le sud de l’Italie, à Raguse, où ont été signalés des cas d’exploitation de ressortissants roumains qui y travaillent. La ministre se trouve à la tête d’une délégation du gouvernement roumain qui effectue une visite de travail en Italie ces mercredi et jeudi. Les responsables roumains se sont entretenus avec les autorités locales italiennes et avec des experts, notamment au sujet de la coopération bilatérale dans le domaine judiciaire, dans celui des politiques sociales et de l’égalité des chances pour les citoyens européens, insistant sur l’importance de faire circuler les informations sur les droits et libertés spécifiques du marché du travail d’Italie. Rappelons-le, un reportage publié dimanche par l’hebdomadaire britannique « The Observer » révèle que près de 7.500 femmes, surtout de Roumanie, qui travaillent dans la province sicilienne de Raguse, sont victimes d’abus, y compris de menaces et d’agressions sexuelles, perpétrés par leurs employeurs en toute impunité.



    Tennis — La paire roumano-néerlandaise Horia Tecău/Jean-Julien Rojer a raté la qualification pour les demi-finales du tournoi d’Indian Wells. Les deux sportifs ont été vaincus par le duo formé par le Britannique Jamie Murray et le Brésilien Bruno Soares. La Roumanie n’a plus de représentant dans cette compétition, ses cinq joueuses de tennis figurant dans le tableau principal ayant été éliminées. Simona Halep, la mieux classée des Roumaines, descendra d’un rang dans le classement mondial, devant se situer en 5e position.



    Rugby — La sélection nationale de rugby de Roumanie se prépare pour la rencontre avec l’équipe de Géorgie, qui se tiendra dimanche à domicile. Ce dernier match de l’actuelle édition du Rugby Europe Championship est considéré comme une véritable finale. En effet, avec respectivement 18 et 15 points, la Géorgie et la Roumanie occupent les premières places dans le classement de cette compétition qui remplace, à partir de cette année, le Championnat européen des nations. Les sportifs roumains ont jusqu’ici vaincu les Belges et les Russes, mais se sont inclinés devant les Allemands. Rappelons que les matches comptant pour le Rugby Europe Championship constituent également un critère de qualification pour la Coupe du monde 2019, au Japon.

  • 15.03.2017

    15.03.2017

    Economie — La Commission européenne est préoccupée par une éventuelle hausse du déficit budgétaire en Roumanie, qui pourrait être la plus importante sur l’ensemble de l’UE, a indiqué Angela Cristea, chef de l’antenne bucarestoise de l’exécutif européen. S’exprimant lors de la présentation du Rapport économique communautaire 2017 pour la Roumanie, la responsable européenne a précisé que le déficit budgétaire devrait se chiffrer à 3,6%, cette année, pour augmenter à 3,9%, en 2018, et ce malgré les assurances données à la Commission par le gouvernement roumain. Le budget 2017 adopté par l’exécutif bucarestois, mené par une coalition de centre-gauche, doit composer avec la diminution de plusieurs taxes ou encore avec la majoration des dépenses et des salaires dans le secteur public, ainsi qu’avec la hausse des retraites, a expliqué Angela Cristea.


    La Commission européenne tablait, à la fin de l’année dernière, sur une hausse du PIB roumain de 4,4% en 2017, une tendance qui devrait aller en décroissant en 2018, pour arriver à 3,7%. Ce rapport a été élaboré dans le cadre du Semestre européen, un mécanisme qui aide les Etats membres à coordonner leurs politiques économiques et budgétaires et à les harmoniser avec les normes et les objectifs communautaires généraux.



    UE — L’avenir de l’Europe et l’absorption des fonds européens sont les dominantes de la visite que la commissaire européenne à la Politique régionale, Corina Cretu, entame aujourd’hui à Bucarest. Elle doit rencontrer les représentants des commissions réunies des Affaires étrangères du Sénat et de la Chambre des députés de Bucarest, pour débattre des cinq scénarios proposés par la Commission européenne pour l’avenir de l’Union. Jeudi, la commissaire européenne a prévu de rencontrer le premier ministre roumain, Sorin Grindeanu, et la ministre du Développement régional, Sevil Shhaideh.



    FMI — Le chef de la mission du FMI pour la Roumanie, Reza Baqir, rencontre ce mercredi la vice-première ministre et ministre du Développement régional, Sevil Shhaideh, pour discuter des politiques économiques envisagées par le gouvernement de Bucarest. Le responsable du FMI, qui fait une visite d’évaluation des avancées des réformes économiques dans le pays, s’est entretenu auparavant avec les membres des commissions parlementaires pour le budget et les finances. Les conclusions de cette évaluation seront annoncées vendredi, a indiqué Reza Baqir, dont la démarche s’inscrit dans le cadre des consultations annuelles du FMI avec les pays membres.



    Exploitation — La ministre pour les Roumains de l’étranger, Andreea Păstîrnac, ainsi que plusieurs autres représentants du gouvernement de Bucarest commencent une visite de deux jours en Italie, alors que les journalistes britanniques avaient découvert des cas d’exploitation de ressortissants roumains travaillant dans les régions de Sicile et de Calabre. Les responsables roumains doivent s’entretenir avec les autorités locales italiennes, avec les représentants des Roumains travaillant en Italie, ainsi qu’avec ceux du milieu associatif qui milite en faveur de la défense des droits des travailleurs étrangers et lutte contre les abus à leur égard. Par ailleurs, l’Avocat du peuple de Roumanie, l’équivalent du Défenseur des droits, a annoncé qu’il se mettrait en rapport avec les autorités italiennes aussi, tandis que les élus parlementaires roumains ont également décidé d’envoyer des représentants pour discuter avec leurs homologues italiens du sort des Roumaines confrontées aux nouvelles formes d’esclavage.


    Un reportage publié dimanche par l’hebdomadaire britannique « The Observer » révèle que près de 7.500 femmes, surtout de Roumanie, qui travaillent dans la province sicilienne de Raguse, sont victimes d’abus, y compris de menaces et d’agressions sexuelles, perpétrés par leurs employeurs en toute impunité.



    Communisme — Les juges de la Haute Cour de cassation et de justice doivent rendre ce mercredi leur décision finale dans l’affaire où Ion Ficior, ancien commandant du camp communiste de travaux forcés du Delta du Danube, est accusé de crimes contre l’humanité. L’homme a contesté la décision de la Cour d’appel de Bucarest qui l’avait déjà condamné à 20 ans de prison ferme. Ion Ficior est accusé d’avoir institué et coordonné, entre 1958 et 1963, un régime d’emprisonnement répressif, inhumain et discrétionnaire des détenus politiques, ayant fait 103 victimes.


    Rappelons-le, en 2016, l’ex-commandant de la prison de Râmnicu-Sarat (sud-est), Alexandru Visinescu, a été définitivement condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour des faits similaires, une première judiciaire en Roumanie. De 1944 à 1989, quelque 600 mille Roumains ont été emprisonnés pour des raisons politiques par le régime communiste installé par les troupes soviétiques d’occupation.



    Elections — Quelque 13 millions de Néerlandais sont attendus aux urnes ce mercredi pour élire leurs représentants au Parlement, des élections jugées cruciales à la fois pour l’avenir de ce pays, mais aussi pour celui de l’UE. Le libéraux du premier ministre Mark Rutte et le parti anti-immigration et populiste dirigé par le sulfureux Geert Wilders mènent dans les intentions de vote, alors que ce dernier a promis de faire sortir les Pays-Bas de l’UE, de fermer toutes les mosquées du pays et d’interdire le Coran. Ces deux formations sont talonnées par les chrétiens-démocrates et les écologistes. Quel que soit le score des populistes, il est très peu probable que Geert Wilders arrive au pouvoir puisqu’aucune autre formation ne souhaite collaborer avec lui, et qu’il lui sera impossible de former tout seul le gouvernement, affirment les analystes. Notons que les Pays-Bas sont un des opposants occidentaux les plus importants à l’entrée de la Roumanie dans l’espace Schengen, arguant des résultats peu convaincants des autorités roumaines dans la lutte anti-corruption.



    Météo — Temps plutôt morose en Roumanie. Il pleut par endroits dans l’est et le sud-est du pays, tandis que des précipitations mixtes sont signalées sur le relief. Les maximales de l’air vont de 7 à 16 degrés, avec 12 degrés à midi, à Bucarest.

  • 22.01.2017 (mise à jour)

    22.01.2017 (mise à jour)

    FMI — Une délégation dirigée par Reza Baqir, chef de la mission du Fonds monétaire international (FMI) la Roumanie, se trouve à Bucarest pour une première discussion avec le nouvel Exécutif. Les experts de l’institution financière internationale ont déjà eu un entretien avec le ministre roumain des Finances, Viorel Stefan, au sujet du budget pour 2017. A l’agenda de la mission figurent aussi des discussions techniques, y compris à la Banque nationale. La Roumanie n’a pas d’accord en cours avec le FMI.



    Météo — Les températures sont en légère hausse et approcheront les normales de saison. Le ciel sera couvert sur le sud et l’est du pays. Lundi, au lever du jour, le thermomètre affichera jusqu’à — 18° et grimpera jusqu’à 6° dans l’après-midi.

  • 21.01.2017 (mise à jour)

    21.01.2017 (mise à jour)

    Incendie — Plus de 40 personnes ont eu besoin de soins médicaux, suite à l’incendie qui a ravagé un club huppé de Bucarest, dans la nuit de vendredi à samedi. Selon le ministère de la Santé, aucune d’entre elles n’a subi des brûlures et un seul patient se trouve dans un état grave. Des citoyens étrangers, notamment d’Israël, comptaient parmi les personnes hospitalisées. Les quelque 260 pompiers qui se sont rendus sur place ont mis plusieurs heures pour maîtriser l’incendie. Le Parquet près le Tribunal de Bucarest a ouvert une enquête. Selon les représentants de la mairie du 2e arrondissement de la capitale roumaine, le club en question n’avait pas d’autorisation de fonctionnement ni de document attestant la réception des travaux de construction. En échange, il avait un plan de sécurité incendie approuvé par l’Inspection pour les situations d’urgence. Le président du pays, Klaus Iohannis, a déclaré qu’il s’agirait d’une violation des normes en la matière. La société continuera d’être mise en danger tant que l’on n’aura pas compris que la loi doit être respectée par tous, a-t-il martelé. Cet incendie rappelle un sinistre similaire qui avait ravagé la boîte de nuit Colectiv, fin octobre 2015, à Bucarest, faisant au total 64 morts et une centaine de blessés. La tragédie avait alors suscité d’amples mouvements de protestation dénonçant la corruption dans l’administration.



    Avalanche – Les autorités italiennes ont confirmé avoir identifié le troisième ressortissant roumain, plus précisément un mineur, qui se trouvait dans lhôtel de la province de Pescara, au centre de lItalie, dévasté mercredi par une avalanche, a fait savoir la diplomatie de Bucarest. Le mineur retrouvé vivant est actuellement hospitalisé à Pescara. L’état de santé des trois Roumains est bon et ils sont hors de danger. Au moment de l’avalanche, une trentaine de personnes se trouvaient dans l’hôtel. Selon les secouristes, jusqu’ici, le nombre des victimes s’élève à 5.



    FMI — Une délégation dirigée par Reza Baqir, chef de la mission du FMI pour la Roumanie, se trouve à Bucarest pour une première discussion avec le nouvel Exécutif. Elle a déjà eu un entretien avec le ministre roumain des Finances, Viorel Stefan, sur le budget 2017. A l’agenda de la mission figurent aussi des discussions techniques au niveau des experts, y compris à la Banque centrale. La Roumanie n’a pas d’accord en cours avec le FMI.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine Sorana Cîrstea (78e WTA), qui a vaincu en deux sets l’Américaine Alison Riske, affrontera dimanche l’Espagnole Garbine Muguruza Blanco (7e WTA), dans les huitièmes de finale de l’Open d’Australie, premier tournoi du Grand Chelem de l’année. Au double mixte, les sportifs roumains Irina-Camelia Begu et Horia Tecău se sont qualifiés samedi pour le deuxième tour après s’être imposés devant la paire Vania King (Etats-Unis)/Aisam-Ul-Haq Qureshi (Pakistan). A la prochaine étape, ils doivent rencontrer le duo formé par l’Américaine Abigail Spears et le Colombien Juan Sebastian Cabal. Toujours samedi, à l’épreuve double dames, la paire Raluca Olaru (Roumanie)/Olga Savciuk (Ukraine) s’est inclinée devant le duo formé par l’Américaine Raquel Atawo et la Chinoise Yifan Xu.



    Météo — Dans les prochaines 24 heures, les températures seront en légère hausse. Sur l’est et le sud-est du territoire, le ciel sera couvert et on attend de faibles chutes de neige. Faible à modéré en général, le vent se fera un peu plus intense dans le sud-ouest. Le thermomètre affichera une température maximale de 4 degrés.


  • 19.01.2017 (mise à jour)

    19.01.2017 (mise à jour)

    Election — Le ministère roumain des AE a salué, jeudi, l’élection du conservateur italien Antonio Tajani aux fonctions de président du Parlement européen. Le chef de la diplomatie de Bucarest, Teodor Melescanu, a estimé que pour Tajani, son expérience de longue durée et son application à soutenir les intérêts européens communs constituent des atouts importants. Le ministre des AE et la ministre déléguée aux Affaires européennes, Ana Birchall, ont exprimé toute la disponibilité de la Roumanie de dialoguer avec le nouveau président du PE. Antonio Tajani (63 ans), candidat du Groupe des Populaires, a été élu pour un mandat de deux ans et demi. Il a été porte-parole de l’ancien premier ministre italien Silvio Berlusconi et commissaire européen à l’Industrie, entre 2010 et 2014.



    Politique — En visite à Washington, le président de la Chambre des députés de Bucarest, Liviu Dragnea, s’est entretenu au sujet des relations roumano-américaines avec Ed Royce, président de la Commission de la Chambre des Représentants en charge des affaires étrangères. Selon un message posté sur les réseaux sociaux, le responsable américain a souligné le sérieux dont la Roumanie a fait preuve lors de plusieurs moments difficiles. A son tour, Liviu Dragnea a reconfirmé l’attachement de la Roumanie au Partenariat stratégique avec les Etats — Unis, ainsi que l’engagement du gouvernement de Bucarest à développer les relations politiques et économiques bilatérales. « La Roumanie restera un pilier de confiance des relations transatlantiques », a encore affirmé le chef de la Chambre des députés de Bucarest, Liviu Dragnea. Il s’est rendu à Washington pour participer à la cérémonie d’investiture de Donald Trump. Liviu Dragnea et le premier ministre roumain Sorin Grindeanu ont été invités à la cérémonie par un vice-président du Comité inaugural.



    FMI — Une délégation du FMI, dirigée par le chef de la mission pour la Roumanie, Reza Baqir, a eu, à Bucarest, une première rencontre avec le ministre des Finances, Viorel Ştefan. Le principal thème discuté a été le budget de l’Etat pour l’année en cours. La mission se poursuit par des discussions techniques au niveau d’experts, y compris à la Banque nationale. La délégation du FMI se trouve pour une semaine à Bucarest, afin de prendre un premier contact avec les membres du nouveau cabinet. La Roumanie n’a pas d’accord en cours avec le FMI.




    Pouvoir d’achat — En Roumanie, le pouvoir d’achat de la population se situe à environ un tiers de la moyenne européenne, constate une récente enquête réalisée dans une centaine de pays par GFK, une compagnie spécialisée dans les études de marché et le comportement des consommateurs. Avec un pouvoir d’achat moyen de 4181 euros, les Roumains continuent d’occuper la 33e place du classement, soit le même niveau qu’en 2015. Ils sont très loin de la moyenne européenne qui tourne autour de 13.670 euros. Les habitants de la capitale ont le plus grand pouvoir d’achat en Roumanie, à savoir près de 6290 euros par personne, soit le double de la moyenne nationale. Cela place les Bucarestois au même niveau que les Polonais (29e place en Europe). En tête du classement européen on retrouve le Liechtenstein, suivi par la Suisse, le Luxembourg, la Norvège, l’Islande et le Danemark.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Sorana Cîrstea est la seule représentante de la Roumanie à lOpen dAustralie, premier tournoi de Grand Chelem de lannée. Vendredi, au 3e tour de la compétition, elle doit affronter lAméricaine Alison Riske. Antérieurement, Sorana Cîrstea avait dépassé Carla Suarez Navarro, 10e favorite. Par ailleurs, à lépreuve de double, la paire formée par la Roumaine Raluca Olaru et lUkrainienne Olga Savchuk s’est qualifié au second tour, après avoir vaincu Naomi Osaka (Japon) et Monica Puig (Porto Rico). En double messieurs, le duo Horia Tecau (Roumanie) / Jean-Julien Rojer (Pays-Bas) et celui formé du Roumain Florin Mergea et du Britannique Dominic Inglot se sont qualifiés au deuxième tour de la compétition.

  • 18.01.2017

    18.01.2017

    Consultations — Les décrets sur la grâce et la modification des Codes pénaux ne figureront à l’ordre du jour supplémentaire d’aucune réunion du gouvernement de Bucarest, avant que les deux actes réglementaires ne soient diffusés pour consultation à toutes les entités prévues par la loi. L’annonce a été faite par le président Klaus Iohannis à l’ouverture de la réunion gouvernementale d’aujourd’hui, à laquelle il a pris part pour la première fois et qu’il a présidée, selon la loi. Mardi, la procureure en chef du Parquet national anticorruption (la DNA), Laura Codruţa Kövesi, a affirmé que l’adoption d’une loi portant amnistie ou grâce de faits relevant de la compétence de la DNA influera de manière négative sur la lutte contre la corruption, parce que les inculpés ne purgeront plus leurs peines.



    FMI — Une délégation du FMI, dirigée par le chef de mission pour la Roumanie, Reza Baqir, fait, à partir d’aujourd’hui, une visite d’une semaine en Roumanie pour un premier contact avec la nouvelle équipe gouvernementale. Les experts du Fonds doivent également rencontrer les responsables du ministère des Finances et de la Banque centrale, et des autres ministères avec des attributions économiques. A l’agenda — des aspects relevant de la construction du budget 2017. La Roumanie n’a pas actuellement d’accord avec le FMI.



    Sauvetage — Les policiers roumains aux frontières ont sauvé 52 personnes des eaux de la mer Egée, dont une femme enceinte de 9 mois et un homme blessé, lors d’une mission FRONTEX. Selon un communiqué de l’Inspection générale de la Police aux frontières, les personnes sauvées, originaires de Syrie, du Mali et du Nigeria, se trouvaient sur une embarcation à la dérive. Elles ont été transportées et remises en sécurité aux autorités grecques. Les policiers roumains, en mission en Grèce, dans le cadre de l’Opération maritime commune « EPN Poseidon Sea », coordonnée par l’Agence FRONTEX, avaient encore sauvé, le 12 janvier, avec les policiers grecs, 47 citoyens étrangers qui étaient arrivés dans les eaux territoriales grecques, à bord d’une petite embarcation.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis Sorana Cîrstea s’est qualifiée aujourd’hui à Melbourne au 3e round de l’Open d’Australie, le premier tournoi de Grand Chelem de l’année. Elle a dépassé Carla Suarez Navarro, 10e favorite. Cîrstea devient la seule représentante de la Roumanie, après l’élimination, aujourd’hui, d’Irina Begu. A l’épreuve de double, la paire formée de la Roumaine Monica Niculescu et de l’Américaine Abigail Spears a été éliminée au premier tour par le couple Mirjana Lucic-Baroni (Croatie)/Andrea Petkovic (Allemagne). Deux autres Roumaines évolueront à l’épreuve de double : Irina Begu, aux côtés de Lara Arruabarrena (Espagne), contre la paire Louisa Chirico (Etats Unis)/Elise Mertens (Belgique), et Raluca Olaru, qui aura pour partenaire l’Ukrainienne Olga Savchuk, leurs adversaires au premier tour étant Naomi Osaka (Japon) et Monica Puig (Porto Rico).




    Météo — Le temps se maintient froid en Roumanie, dans la moitié nord du pays. Le ciel est variable, et le brouillard a fait son apparition çà et là. Dans le sud extrême du pays, de faibles chutes de neige sont signalées – un phénomène tout à fait isolé ailleurs. Le vent est temporairement plus intense sur les crêtes des montagnes et dans le sud-est du pays, où les rafales dépasseront par endroits les 55…60 km/h. Dans le sud et le sud-est du pays, à cause du blizzard, deux autoroutes – l’A2 et l’A4 — et plusieurs tronçons de routes de 12 départements ont été fermées, et plus de 35 trains — supprimés. Les maximales du jour vont de –8 à 3°. Nous avons –1° et un soleil souriant à Bucarest.

  • Jurnal românesc – 18.01.2017

    Jurnal românesc – 18.01.2017


    Preşedintele Klaus Iohannis a subliniat, astăzi, în deschiderea reuniunii cu ambasadorii străini acreditaţi la Bucureşti, angajamentul României referitor la dezvoltarea Parteneriatului strategic pentru integrarea europeană a Republicii Moldova. Şeful statului şi-a reiterat şi aşteptările ca preşedintele statului vecin, socialistul filorus Igor Dodon, să acţioneze conform atribuţiilor sale constituţionale. Declaraţia survine după ce, marţi, la Moscova, Dodon a anunţat că, după viitoarele alegeri parlamentare, vrea să renegocieze acordurile de asociere si liber-schimb încheiate în 2014 cu Uniunea Europeană. Dodon a făcut la Moscova prima sa vizită oficială în strainatate. La Chişinău, grupul parlamentar liberal a anuntat iniţierea procedurii de suspendare din funcţie a preşedintelui, pe care îl acuză de încălcarea Constituţiei. Liberalii îi reproşeaza lui Dodon apropierea de separatiştii proruşi din Transnistria.



    O delegaţie a Fondului Monetar Internaţional, condusă de şeful misiunii pentru Romania, Reza Baqir, se află la Bucureşti, pentru a lua un prim contact cu premierul social-democrat Sorin Grindeanu şi cu membrii noului executiv. Potrivit unui comunicat al FMI, experţii Fondului vor avea şi întalnirile obişnuite cu conducerile Băncii Naţionale, ministerului de Finanţe, precum şi cu ceilalţi miniştri cu atribuţii legate de economie. Cel mai probabil, vor fi abordate şi subiecte legate de construcţia bugetului pentru acest an. În prezent, Romania nu are un acord cu FMI, însă poartă consultări anuale cu reprezentanţii Fondului, prevazute in regulamentul instituţiei financiare internaţionale.Autorităţile române au subliniat, de altfel, în mai multe rânduri, că ţara nu are nevoie de bani de la Fondul Monetar Internaţional şi că actuala misiune este una “de curtoazie”.



    Curtea Constituţională a amânat, din nou, astăzi, decizia privind legea conversiei creditelor în franci elveţieni. Discuţiile asupra acestui document vor fi reluate pe data de 7 februarie. Proiectul de lege a fost adoptat de Camera Deputaţilor pe 18 octombrie şi prevede convertirea creditelor în franci elveţieni în lei, la cursul de schimb de la data încheierii contractului cu banca. Fostul guvern tehnocrat, condus de Dacian Cioloş, a contestat la Curtea Constituţională acest proiect, nu pentru că ar fi fost împotriva lui, ci pentru a obţine anumite clarificări, după cum a declarat, atunci, fostul premier.



    Poliţiştii de frontieră români au salvat 52 de persoane, printre care o femeie însărcinată în 9 luni şi un bărbat rănit, din apele Mării Egee, în cadrul unei misiuni FRONTEX. Potrivit unui comunicat al Inspectoratului General al Poliţiei de Frontieră, personele salvate, originare din Siria, Mali şi Nigeria, se aflau pe o ambarcaţiune ce plutea în derivă. Acestea au fost transportate şi predate în siguranţă autorităţilor elene. Poliţiştii români, aflaţi în misiune în Grecia, în cadrul Operaţiunii Maritime Comune EPN Poseidon Sea, coordonată de Agenţia FRONTEX, au mai salvat, pe 12 ianuarie, împreună cu politiştii eleni, 47 de cetăţeni străini care au ajuns în apele teritoriale greceşti, la bordul unei ambarcaţiuni de mici dimensiuni


  • 17.11.2017 (mise à jour)

    17.11.2017 (mise à jour)

    Renseignements — Le président roumain, Klaus Iohannis, a annoncé mardi soir avoir donné son feu vert au passage à la réserve du général Florian Coldea, premier adjoint au directeur du Service roumains d’informations. Auparavant, une commission spéciale d’analyse constituée par les renseignements généraux avait annoncé mardi que le général Florian Coldea n’avait enfreint ni la loi ni les normes internes du service secret. Florian Coldea avait été suspendu de ses fonctions, la semaine dernière, après que l’ancien député Sebastian Ghita l’avait accusé d’avoir commis des illégalités. Enquêté lui-même pour corruption, Sebastian Ghita est actuellement en cavale et il est activement recherché par la police. La direction collégiale du Service roumain de renseignement a donc décidé de rétablir Florian Coldea dans ses droits, mais ce dernier a refusé, se mettant, à nouveau, à la disposition de l’institution. Il s’agit d’une question de dignité personnelle et d’honneur militaire, a expliqué le général, estimant également que l’activité du service pourrait être gravement perturbée si les accusations dont il fait l’objet n’étaient pas entièrement démontées.



    FMI — Une délégation du FMI, avec à sa tête le chef de mission pour la Roumanie, Reza Baqir, se rend cette semaine à Bucarest pour un premier contact avec le premier ministre, Sorin Grindeanu, et les membres de son équipe gouvernementale. Les experts du Fonds doivent également rencontrer, séparément, les responsables de la Banque centrale roumaine, du ministère des Finances et des autres ministères avec des attributions économiques. C’est le budget 2017 qui doit dominer les pourparlers. La Roumanie n’a pas actuellement d’accord avec le FMI, mais elle doit avoir des consultations annuelles avec les représentants de l’institution mondiale, comme prévu par les règlements convenus.



    Investiture — Le premier ministre roumain, Sorin Grindeanu, et le président de la Chambre des députés du Parlement de Bucarest, Liviu Dragnea, doivent assister vendredi, à Washington, à la cérémonie d’investiture du président américain, Donald Trump. Les deux hommes s’y déplaceront à l’invitation du vice-président du Comité d’investiture, selon les dires de Liviu Dragnea. Pour sa part dans un communiqué, la Présidence roumaine a annoncé qu’aucune délégation étrangère n’était invitée à cette cérémonie. La Roumanie y sera officiellement représentée par l’ambassadeur accrédité aux Etats-Unis, George Maior, a encore indiqué l’Administration présidentielle, à Bucarest.



    Sécurité — Le secrétaire d’Etat du ministère roumain des Affaires étrangères, George Ciamba, lance mercredi, à Vienne, la présidence roumaine du Forum de coopération sécuritaire (FSC), au sein de l’OSCE. Selon un communiqué de la diplomatie roumaine, l’arrivée de Bucarest à la tête de ce forum « intervient dans un moment de revalorisation de cette organisation en vue d’une meilleure gestion des nouveaux défis sécuritaires mondiaux ; il s’agit également de l’opportunité de mettre en exergue le rôle assumé, en ce sens, par la Roumanie, en tant que membre mûr, responsable, conscient des opportunités qui découlent de sa position géographique », affirme le ministère roumain des Affaires étrangères. Le Forum de coopération sécuritaire partage avec le Conseil permanent la prise de décision dans le cadre de l’OSCE. Créé en 1992, le Forum se réunit de manière hebdomadaire, étant une plate-forme d’évaluation et de débat des problématiques sécuritaires et de coopération multilatérale pour renforcer la stabilité et la sécurité dans les pays membres de l’organisation.



    Moldova — A Moscou, lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue russe, Vladimir Poutine, le nouveau président moldave, Igor Dodon, a annoncé qu’après les futures élections parlementaires dans son pays, il souhaitait renégocier les accords d’association et de libre-échange conclus en 2014 avec l’UE. Alors qu’il entreprend à Moscou sa première visite à l’étranger en qualité de chef d’Etat, Igor Dodon a encore souhaité que le partenariat stratégique entre la République de Moldova et la Russie soit rétabli. Mêmes propos du côté russe, le président Vladimir Poutine espérant, lui aussi, que les relations entre la République de Moldova et la Fédération russe soient relancées et acquièrent une nouvelle dynamique. Elu en novembre dernier, le leader de Chisinau souhaite obtenir une levée des restrictions à l’importation de produits agricoles moldaves, imposée par la Russie suite à la signature d’un Accord d’association entre la République de Moldova et l’UE. Il entend également convenir la réglementation du statut juridique des quelques 500 mille ressortissants moldaves qui travaillent dans la Fédération russe. Entre-temps, à Chisinau, le groupe parlementaire libéral a déclenché la procédure de suspension d’Igor Dodon de ses fonctions, l’accusant d’avoir violé la Constitution. Les élus libéraux accusent le président de s’être rapproché des séparatistes pro-russes de Transnistrie, région sortie de facto de sous le contrôle de Chisinau en 1992, après un conflit armé qui a fait des centaines de morts et tranché par l’intervention des troupes russes du côté des séparatistes.

  • Estimaciones sobre la economía rumana

    Estimaciones sobre la economía rumana



    La Comisión Europea ha revisado al alza en un punto porcentual más (del 4,2 al 5,2%) su previsión de la primavera pasada sobre el crecimiento esperado de la economía rumana durante este año. Estas últimas previsiones económicas de otoño estiman que dicho avance registrará una ralentización en los siguientes dos años. Para 2017 se prevé un crecimiento de un 3,9% y para el año 2018 de un 3,6.



    “Rumanía registra uno de los mayores crecimientos del PIB de la UE y se estima que seguirá siendo un crecimiento robusto durante los próximos años, impulsado por la relajación fiscal y las subidas salariales. Se prevé un repunte de la inflación al difuminarse el efecto de la eliminación de muchas tasas e impuestos. Se estima un aumento significativo del déficit gubernamental a causa de la disminución de las tasas y la subida de los sueldos en el sector público”, se manifiesta en el informe de la Comisión Europea.



    Conforme a las nuevas estimaciones, el déficit público aumentaría del 0.8% en 2015 al 2,8% este año. Es posible que en 2017 se deteriore hasta el 3,2% y que se mantenga en este nivel en 2018, si las políticas no cambian.” Esta prognosis no toma en cálculo las nuevas iniciativas legislativas que el Parlamento de Bucarest está analizando estos días. Se trata de un crecimiento significativo de las pensiones, de la disminución en un 5% de las contribuciones sociales y de la eliminación de unas 100 tasas e impuestos. Estas iniciativas representan un riesgo para el crecimiento económico” advierte la Comisión Europea. El analista Constantin Rudniţchi:



    “Las previsiones son correctas, tampoco tenemos los medios necesarios para rebatirlas. Lo único que podemos hacer es adaptarnos a la realidad y se puede notar que en el tercer trimestre tenemos una ralentización del crecimiento que baja por debajo del5%. Queda por ver si el crecimiento económico será realmente del 5,2% a finales de este año. Es posible que sea más bajo, menos de 5 puntos porcentuales. Por lo demás, no tenemos grandes novedades en lo que se refiere a Rumanía. Tenemos grandes planes que conocemos muy bien, pero siempre es bueno repetirlos para que nos quede claro y no tanto a nosotros sino sobre todo a los que toman decisiones políticas y administrativas. Estamos entre los pocos países europeos que registran un crecimiento del déficit presupuestario y los motivos son conocidos: la relajación fiscal y los estímulos salariales. Todo esto ha determinado el crecimiento del consumo y el crecimiento económico de que estamos hablando ahora”



    Constantin Rudniţchi cree que no solo el consumo contribuye al crecimiento económico de Rumanía, sino también las inversiones:



    “Tenemos una buena noticia. Los datos estadísticos demuestran que las inversiones han empezado a tener un peso mayor en este crecimiento económico. Esto es bueno porque así se puede equilibrar la relación entre inversiones y consumo en la zona de crecimiento económico. Una señal de alarma importante es que el año próximo y en 2018 es posible que el déficit presupuestario sea mayor del 3% del PIB, lo que representa el límite máximo exigido por el Tratado de Maastricht y por eso los políticos deben prestar mucha atención. No es buena señal porque todo el mundo en Europa habla de la consolidación presupuestaria y de la disminución del déficit presupuestario. Desde este punto de vista Rumanía tiene una tendencia inversa y esto no es bueno. Esto aparte de los compromisos asumidos frente a la UE de que vamos a respetar este umbral. Luego, tampoco transmitimos una buena señal a los inversores quienes entenderán que la economía rumana se puede desviar de su trayectoria. A corto plazo todo parece estar muy bien, porque tenemos crecimiento económico y consumo, pero es aconsejable analizar también a medio y largo plazo y entonces veremos que es posible que la economía rumana se desvíe de su trayectoria. Lo mejor sería preservar la tendencia al equilibrio macroeconómico para que este crecimiento quede reflejado también en el nivel de vida de los ciudadanos, para que los asalariados y los jubilados noten en su vida diaria los efectos del crecimiento económico.”



    La Comisión Europea estima que la inflación llegará al menos 1% en 2016, y la previsión de la primavera pasada estaba en el menos 0,4% .En cambio la estimación de inflación para el año 2017 se ha visto revisada significativamente al alza (del menos 0,6% la primavera pasada, al 1,8%). El ejecutivo comunitario calcula que las presiones inflacionistas se acumulan por el efecto de las bajadas de tasas anteriores, por la demanda interna sólida y por la subida de los sueldos.



    Por consiguiente, en 2018 la inflación media anual en Rumanía llegaría al 2,9%. Conviene destacar que el FMI estima para Rumanía un crecimiento económico de un 5% este año, seguido por la ralentización del crecimiento hasta el 3,8% durante el año 2017. El Banco Europeo para la Reconstrucción y el Desarrollo estima un crecimiento del 4,8% este año y de un 3,7% en 2017.


    (Traducido por Irina Calin)


  • Jurnal românesc – 09.11.2016

    Jurnal românesc – 09.11.2016

    Preşedintele Klaus Iohannis a adresat o scrisoare de
    felicitare preşedintelui ales al Statelor Unite ale Americii, Donald Trump, în care îşi exprimă întreaga
    disponibilitate de a conlucra cu acesta în promovarea obiectivelor comune şi a unei relaţii
    transatlantice puternice și dinamice. Potrivit
    şefului statului, dimensiunea de securitate a Parteneriatului Strategic cu SUA,
    caracterizată de o cooperare continuă şi aprofundată, a înregistrat numeroase succese
    şi a permis României să acţioneze în prezent ca furnizor de securitate în regiune, în Europa şi nu
    numai. România – spune preşedintele Iohannis – înţelege pe deplin să contribuie la
    eforturile comune menite să promoveze stabilitatea şi securitatea în regiune şi
    la nivel global, arătând că SUA poate conta pe sprijinul său ferm în promovarea
    democraţiei, drepturilor omului şi statului de drept.




    Fondul Monetar Internaţional a aprobat un program de
    finanţare pentru Republica Moldova în valoare de peste 182 de milioane de dolari.
    Chişinăul nu mai avea un acord cu FMI din toamna lui 2013, iar de semnarea
    acestuia depindea şi reluarea finanţărilor din partea Uniunii Europene, a
    Băncii Mondiale, precum şi primirea următoarei tranşe a creditului oferit de
    România. Evoluţiile survin înaintea celui de-al doilea tur de scrutin, din 13
    noiembrie, al alegerilor prezidenţiale din Republica Moldova. Potrivit celui
    mai recent sondaj privind intenţiile de vot, 55,6% din numărul total de
    repondenţi l-ar vota pe candidatul socialist pro-rus, Igor Dodon, iar 44,4% pe
    pro-occidentala Maia Sandu.




    Organizaţia Studenţilor Basarabeni din Constanţa, în
    parteneriat cu mai multe organizaţii de studenţi basarabeni din România,
    lansează un apel la mobilizare generală pentru turul al doilea al prezidenţialelor
    din Republica Moldova. ‘Suntem cel puţin 50.000 în România cei care avem
    paşaport albastru. Majoritatea tineri.’ – se spune într-un comunicat. ‘Pe 30 octombrie am fost chemaţi
    să-l folosim pentru a decide viitorul statului în care încă ne-au rămas
    părinţii, prietenii şi rudele. N-am făcut-o decât în proporţie de 20%. Dacă
    dezamăgirea, deznădejdea şi neîncrederea în clasa politică de la Chişinău au
    putut fi invocate drept argumente care să justifice, cel puţin în parte,
    absenţa de la vot în turul întâi, niciunul dintre acestea nu are acoperire în
    al doilea’ – se mai spune în document.




    Ministrul delegat pentru relaţiile cu românii de
    pretutindeni, Maria Ligor, a efectuat, în 6-7 noiembrie, o vizită de lucru în
    Portugalia. Ea s-a întâlnit, la sediul Ambasadei României, cu reprezentanţi ai
    asociaţiilor româneşti cărora le-a prezentat noile proceduri simplificate de acordare a finanţărilor
    nerambursabile de către Departamentul Politici pentru Relaţia cu Românii de
    Pretutindeni, precum şi alte iniţiative ale Guvernului – programul Digital
    Diaspora şi Diaspora Start-Up. Vizita Mariei Ligor a mai cuprins întrevederi cu
    ministrul adjunct al Preşedinţiei Consiliului de Miniştri, Eduard Cabrita, cu
    preşedintele Comisiei de afaceri externe şi comunităţi portugheze, Sergio Sousa
    Pinto, şi cu secretarul de stat pentru comunităţi portugheze, Jose Luis
    Carneiro. A fost evidenţiată bună integrare a comunităţii româneşti în
    Portugalia, precum şi bună colaborare la nivel bilateral. Maria Ligor a
    subliniat importanţa continuării şi dezvoltării proiectului guvernamental de
    predare a cursurilor de limbă, cultură şi civilizaţie română în şcolile
    portugheze. Ministrul delegat a vizitat şcoala generală Brejoeira din Azeitao,
    unde a inaugurat, alături de ambasadorul României în Portugalia, Ioana
    Bivolaru, spaţiul românesc ‘Fereastră către România’.

  • 08.11.2016

    08.11.2016

    OTAN – Les ministres des Affaires étrangères de neuf pays membres de l’OTAN situés sur le flanc oriental de l’Alliance se réunissent aujourd’hui à Bucarest à l’initiative des diplomaties roumaine et polonaise. Il s’agit des chefs des Défenses de Bulgarie, République Tchèque, Estonie, Lettonie, Pologne, Roumanie, Slovaquie et Hongrie. Les ministres doivent notamment analyser l’état de la mise en œuvre des décisions adoptées au sommet de l’OTAN de Varsovie de cet été. La nouvelle secrétaire adjointe de l’OTAN, Rose Gottemoeller, participe également à cette réunion. Lundi, la responsable de l’OTAN a rencontré le chef de la diplomatie roumaine, Lazar Comanescu pour parler du système anti-missile installé à Deveselu et de l’activation d’une division multinationale au sein du commandement sud-est de l’Alliance Atlantique, censée appuyer la défense et la sécurité dans cette région d’Europe. L’OTAN apprécie et estime importante la contribution de la Roumanie aux activités et aux missions de l’Alliance, a affirmé Rose Gottemoeller. Durant une réunion avec le ministre roumain de la défense, Mihnea Motoc, la responsable de l’Alliance a évoqué l’importance de la Mer Noire pour la sécurité et la stabilité euro-atlantique. Mme Gottemoeller a également souligné l’intérêt pour maintenir l’unité, l’efficacité et la solidarité alliée dans le cadre de l’actuel contexte sécuritaire.

    Bruxelles – La ministre roumaine des finances, Anca Dragu participe aujourd’hui à Bruxelles au Conseil des Affaires économiques et financières de l’UE. La Commission européenne présentera une nouvelle série de propositions pour la mise en œuvre d’un nouveau système d’imposition des sociétés qui soit « correct, compétitif et stable ». Les responsables de l’Union sont censés avaliser aussi une modification des normes de gouvernance budgétaire, selon lequel les Etats membres de la zone euro devraient envoyer à Bruxelles tous les mois d’octobre leurs projets de budgets pour l’année suivante, apprend-on d’un communiqué de la Commission européenne. Autre sujet à l’agenda de la réunion : le projet d’une directive qui permettra l’accès des autorités fiscales aux bases de données des institutions chargées de la lutte contre le blanchiment d’argent. Les normes qui visent à aider les autorités nationales à prévenir l’évasion et la fraude fiscale s’appliqueront à partir de janvier 2018.

    Salaires – Le parlement de Bucarest a décidé de majorer les salaires des médecins et des enseignants de 15% à partir du 1er décembre 2016 et respectivement 1er janvier 2017. Le ministre de l’emploi, Dragos Pâslaru a déclaré que le budget d’Etat ne pouvait pas soutenir de telles majorations et que celles-ci devraient être octroyées en plusieurs tranches. Le PSD affirme pourtant que la Roumanie dispose de suffisamment de ressources pour mettre en oeuvre ces mesures, appuyées aussi par l’UDMR, l’Alliance des libéraux et des démocrates et par le Groupe des minorités nationales du Parlement de Bucarest. Par ailleurs, l’opposition libérale, qui n’a pas participé au vote finale souhaite attaquer cette loi à la Cour Constitutionnelle.

    Taxe – Le président roumain Klaus Iohannis participera jeudi à un débat consacré à l’élimination de la redevance audiovisuelle, organisé par l’association Activewatch. Celle-ci se propose d’assurer un dialogue entre le chef de l’Etat et les journalistes, représentants des médias et membres de la société civile au sujet de la situation de l’audiovisuel public, notamment suite à l’adoption d’une loi qui élimine plusieurs taxes, dont la redevance audiovisuelle. La radio et la télévision publiques roumaines ont déjà organisé ce lundi un débat commun à ce sujet. La directrice du Centre de journalisme indépendant, une ONG, Ioana Avadanei a souligné que par l’élimination de cette contribution, le Parlement coupe tout lien direct entre le citoyen et le service public, qui sera pourtant entièrement financé par le budget d’Etat.


    Elections – Les plus de 145 millions d’Américains inscrits sur les listes d’électeurs doivent décider aujourd’hui qui sera le 45e président du pays, après une année et demie de bataille électorale d’une violence sans précédent, commentent les agences de presse. Celles-ci rappellent entre autres que la candidature du magnat américain Donald Trump (70 ans) au camp des républicains a été une immense surprise et que la campagne de la démocrate Hillary Clinton (69 ans) a été marquée par le scandale des mails qu’elles a envoyées depuis un serveur privé alors qu’elle était secrétaire américaine d’Etat. Dans les sondages les plus récents, Hillary Clinton, qui pourrait devenir la première femme présidente de l’histoire des Etats-Unis, conserve une légère avancée de 3 à 4 %. Le gagnant sera décidé par les soit disant « swing states », soit les Etats indécis, tels l’Ohio, la Floride et la Caroline du Nord. Le successeur du démocrate Barack Obama déposera le serment d’investiture en janvier 2017.

    FMI – Le FMI a approuvé un programme de financement de la République de Moldova chiffré à 182 millions d’euros. Chisinau n’avait plus aucun accord avec le FMI depuis l’automne 2013. La signature d’un tel arrangement était nécessaire pour la relance des financements de la part de l’UE, de la Banque mondiale et de la Roumanie. Ces évolutions interviennent avant le deuxième tour du scrutin présidentiel de République de Moldova. Selon le plus récent sondage relatif aux intentions de vote, 55,6% des voix iront au candidat socialiste pro-russe Igor Dodon, alors que la candidate pro-occidentale Maia Sandu n’obtiendra que 44,4% des voix. Les auteurs du sondage mentionnent pourtant que celui-ci n’inclut pas les intentions de vote des nombreux ressortissants moldaves qui habitent au-delà des frontières du pays et dont la vaste majorité a voté en faveur de Maia Sandu.

  • Prévisions pour l’économie roumaine

    Prévisions pour l’économie roumaine

    Le FMI a relevé ses prévisions de croissance économique pour la Roumanie, en estimant une progression de 5% avant la fin de l’année, contre 4,2% en avril dernier. Selon ces estimations, la Roumanie affichera d’ici la fin de l’année la croissance économique la plus forte d’Europe, suivie par l’Irlande avec 4,9%. Pourtant, aux dires du grand créancier international, après ce pic de croissance, Bucarest freinera en 2017 les moteurs de son économie dont la croissance prévue ne sera que de 3,8%.

    Le micro au gouverneur de la Banque centrale roumaine, Mugur Isarescu: «On a toutes les chances d’enregistrer un rythme de croissance économique encore plus soutenu. J’en suis sûr et certain. Je ne pense pas que la Roumanie devrait se contenter d’un 3 ou 4%. Mais pour que ce rythme soit soutenu et sans répercussions, il faut intervenir auprès de tous ces facteurs qui contribuent à la majoration du potentiel de croissance économique. Et comme celui-ci souffre en l’absence d’un redressement des investissements publics et des réformes structurelles, il faudrait faire une priorité du règlement de tous ces problèmes qui bloquent les progrès rapides dans ces deux domaines que je viens d’invoquer.»

    Le président de la Commission nationale pour la prospective, Ion Ghizdeanu, a pour sa part précisé que par le nouveau Code fiscal adopté l’année dernière, les autorités ont pris non seulement des mesures de réduction de la TVA, mais aussi certaines censées appuyer le milieu des affaires.

    Aux dires de Ion Ghizdeanu, il y a toute une série d’aspects qui font la preuve de la durabilité de la croissance économique: «Obtenir au deuxième trimestre une croissance de 6% par rapport à la même période de 2015, cela indique au moins trois facteurs de développement durable. Primo: une dynamique des investissements supérieure de plus de 10% à la consommation de la population. Il convient de mentionner que la plus grande croissance, on l’a enregistrée dans le domaine des investissements privés. Secundo: cela fait déjà deux mois que la dynamique des exportations dépasse celle des importations grâce au secteur privé. On importe donc moins et on exporte davantage. En troisième lieu on parle du niveau de confiance. Prenez n’importe quel indicateur local ou de Bruxelles et vous verrez que le niveau de confiance en le milieu des affaires de Roumanie figure parmi les plus élevés d’Europe. Un aspect qui se reflète aussi dans le marché de la main d’œuvre. Car je doute qu’en l’absence d’une perspective de croissance, les investisseurs souhaitent accroître le nombre de leurs salariés. Voilà pourquoi je me permets de parler d’une croissance durable qui peut approcher les 5% avant la fin de l’année. Quelle que soit la situation, une chose est certaine: à moyen terme, toutes les prévisions, y compris celles de la Commission, approchent le seuil de 4%. Un taux que moi personnellement, je pense que la Roumanie affichera plusieurs années d’affilée. »

    L’agence de notation Standard and Poor’s vient de confirmer à BBB moins la note de la Roumanie par rapport à sa dette gouvernementale à court et à long terme exprimée en monnaie locale et en devises. Pourtant l’agence a averti que la politique de relaxation fiscale pratiquée par le gouvernement de Bucarest risquerait de conduire à une majoration du déficit fiscal et extérieur. « Suite à des mesures telle une nouvelle réduction de la TVA et des accises à mettre en œuvre à partir de l’année prochaine, on s’attend à une baisse du déficit jusqu’à 3,5% du PIB en 2017 », affirme Standard and Poor’s. Quant à la ministre des Finances, Anca Dragu, celle-ci conserve son optimisme et affirme que la Roumanie ne risque ni cette année, ni l’année prochaine, de dépasser le seuil de déficit courant de 3%. Ce qui plus est, notre pays a toutes les chances d’adopter un programme de baisse graduelle de cet indicateur.

    Anca Dragu: « A en croire les prévisions pour l’année prochaine, le déficit général du budget sera ramené à moins de 3%, je dirais vers 2,8%. Il est vrai que pour cette année, il est établi à 2,95%, mais on se prépare à entamer un renforcement progressif. Je sais que Bruxelles table sur un déficit plus grand, mais la différence découle d’une perception différente de notre cadre macroéconomique. Selon nos estimations pour 2017, le déficit budgétaire sera de 2,8-2,85% après la mise en place des mesures stipulées par le nouveau Code fiscal, sans compter la baisse de 5% des contributions à la Sécu. Le déficit ne prend pas en compte cette mesure. »

    La Roumanie retrouve un peu de grâce dans les yeux de Standard&Poor’s. L’agence se dit prête à relever sa note à condition que Bucarest reprenne sa consolidation budgétaire et fasse baisser la dette gouvernementale. En revanche, la Roumanie pourrait voir abaisser sa note si les politiques budgétaires mènent à la détérioration significative du déficit gouvernemental, de la dette et des coûts des crédits ou en cas de nouveaux déséquilibres majeurs. (Trad. Ioana Stancescu)

  • Retrospectiva săptămânii  2.10-8.10.2016

    Retrospectiva săptămânii 2.10-8.10.2016

    Noul an universitar în România


    Un nou an universitar a început în România, pe 3 octombrie. Sunt
    multe schimbări, începând cu peste 30 de noi specializări şi programe de
    licenţă, alături de 64 de programe de studii de master. În pofida sporirii
    numărului de specializări, se constată, însă, o scădere seminificativa a
    numărului de studenţi, acesta fiind, de altfel, trendul ultimilor ani. Potrivit
    datelor Ministerului Educaţiei, în anul universitar 2016-2017 numărul de
    studenţi de la stat este de 480 de mii, faţă de 900 de mii acum 10 ani. Printre
    explicaţii se numără rata mai mică de promovare a examenului de bacalaureat,
    scăderea natalităţii, dar şi faptul că tot mai mulţi absolvenţi buni de liceu
    au ales să studieze în străinătate. O altă noutate ţine de faptul că toate
    şcolile doctorale care funcţionau până acum au fost autorizate provizoriu,
    printr-un ordin al ministrului educaţiei.



    Comisarul european pentru Politică Regională, Corina Creţu, la
    Bucureşti



    Aflat pentru câteva zile în
    România, comisarul european pentru Politică Regională, Corina Creţu, a vorbit,
    între altele, despre dezvoltarea urbană sustenabilă şi rolul fondurilor
    europene. Ea a atras atenţia că oraşele din România, inclusiv capitala, au mari
    întârzieri în
    ceea ce priveşte proiectele de dezvoltare urbană cu bani europeni. România, a
    mai subliniat oficialul european, are nevoie de specialişti care să realizeze
    proiecte de anvergură finanţate din bani europeni, care să creeze locuri de
    muncă. Corina Creţu a anunţat că 36 de oraşe româneşti vor putea accesa direct
    1,2 miliarde de euro pentru dezvoltare şi a făcut un apel către autorităţile de
    la Bucureşti să transmită la Bruxelles cât mai repede proiecte şi studii de
    fezabilitate.



    Estimări optimiste ale FMI
    pentru România


    România va înregistra, în acest an, cea mai mare creştere economică
    din Europa. Aprecierea optimistă aparţine FMI, care a revizuit, în creştere
    până la 5%, estimările privind evoluţia economiei româneşti în 2016. Fondul
    susţine că, în 2017, avansul economiei României va încetini până la 3,8%,
    totuşi, ţara va înregistra cel mai ridicat ritm din Europa. Instituţia financiară a revizuit în urcare şi estimările
    privind deficitul de cont curent înregistrat de România în 2016, la 2%. Acesta
    se va accentua anul viitor, când ar urma să ajungă la 2,8%. In privinţa
    şomajului, FMI a menţinut estimarea de 6,4% pentru acest an si 6,2% pentru
    2017.



    Epilog în celebrul dosar Microsoft


    Verdict în celebrul dosar Microsoft. Cei patru inculpaţi. doi
    cunoscuţi oameni de afaceri români, Dorin Cocoş şi Nicolae Dumitru, un fost
    ministru al Comunicaţiilor, Gabriel Sandu, şi un ex-primar al oraşului Piatra-Neamţ, Gheorghe Ştefan, au
    primit, în total, 14 ani de închisoare cu executare. Instanţa a decis şi
    confiscarea a peste 17 milioane de euro de la aceştia. Potrivit DNA, în aprilie
    2004, contractul de închiriere a licenţelor Microsoft în România a fost
    încheiat în condiţii oneroase pentru bugetul de stat şi a permis plata unor
    comisioane către persoanele implicate. O mită de 60
    de milioane de euro şi un prejudiciu adus Statului de 27 de milioane de euro au
    fost acuzaţiile aduse grupului infracţional.



    Michel Barnier,
    negociatorul-şef al CE însărcinat cu ieşirea Marii Britanii din UE, a vizitat
    Bucureştiul



    România doreşte ca negocierile pentru ieşirea Marii Britanii din UE
    să se facă într-un format care să includă toate părţile şi să redea viziunea
    comună a celor 27 şi a instituţiilor europene. Acesta este mesajul pe care
    premierul Dacian Cioloş i l-a transmis lui Michel Barnier, negociator-şef al Comisiei
    Europene, însărcinat cu Brexitul. Barnier, care a preluat oficial funcţia, pe 1
    octombrie, vrea să
    afle poziţiile statelor membre faţă de modul în care se va produce acest
    proces. Negocierile efective ar urma să înceapă în 2017, după ce Londra va depune
    oficial cererea de părăsire a UE, iar temele cele mai dure privesc accesul la
    piaţa unică europeană, respectiv, accesul pe piaţa britanică a muncii. Referindu-se la acest ultim punct, România a anunţat, deja, ferm că
    nu va face niciun compromis.



    La Bucureşti a avut loc Diaspora Business
    Summit


    România trebuie să valorifice oportunităţile oferite de existenţa
    unei diaspore puternice, iar oamenii de afaceri români de peste graniţă sunt
    chemaţi să investească în ţară. Este mesajul transmis atât de preşedintele
    Klasus Iohannis, cât şi de premierul Dacian Cioloş la Diaspora Business
    Summit – Împreună pentru România, organizat la Bucureşti. Reuniunea a adus
    împreună oameni de afaceri şi antreprenori români din ţară şi din străinătate,
    în vederea dezvoltării oportunităţilor de afaceri şi investiţii din Romania. Prin acestă
    întâlnire este încurajată reconectarea românilor din diaspora cu România.Conform studiului Românii
    din Diaspora, realizat de Open-I Research la finele anului trecut, 62%
    dintre românii intervievaţi au declarat că doresc să investească în România,
    principalele domenii vizate fiind turismul şi agricultura.



    România
    invitată de onoare a
    Festivalului Internaţional de Arte Europalia din Belgia



    România va fi invitată de onoare la cea de-a 27-a ediţie a
    Festivalului Internaţional de Arte Europalia din Belgia, un mare eveniment care
    prezintă, o dată la doi ani, elementele esenţiale ale patrimoniului cultural al
    unei ţări. Din octombrie 2019 până în ianuarie 2020, la Bruxelles şi în mai
    multe oraşe belgiene, dar şi limitrofe, Festivalul va aduce în scenă toate
    formele de manifestare artistică românească: muzică, arte plastice, cinema,
    teatru, dans, literatură, arhitectură, design, modă şi gastronomie. Bazele
    participării României au fost puse, marţi, prin semnarea, la Bucureşti, a unui
    memorandum de înţelegere pentru organizarea Festivalului Europalia
    România.Potrivit autorităţilor de la Bucureşti, evenimentul va fi o
    oportunitate majoră pentru promovarea patrimoniului cultural, a tradiţiilor, a
    potenţialului creator şi a industriilor creative din România.