Radio România Internațional

Tag: Joe Biden

  • The Anti-Ballistic Missile System in Deveselu, 5 Years On

    The Anti-Ballistic Missile System in Deveselu, 5 Years On

    Five years ago, the North Atlantic
    Treaty Alliance put Deveselu, an otherwise obscure village in southern Romania,
    on the geopolitical map. Elements of the US anti-ballistic shield system were
    set up, whereby Washington aims to defend its NATO allies in Europe. The Aegis
    Ashore system also includes a radar installation in Turkey, four US Navy
    battleships fitted with anti-ballistic systems in Spain, a command center at
    the Rammstein airbase in Germany, as well as a second terrestrial interceptor,
    similar to the one in Romania, set up in Poland. It’s a big day for everyone,
    President Klaus Iohannis said in May, 2016, attending the inauguration event
    alongside NATO Secretary General, Jens Stoltenberg. The head of state
    highlighted the purely defensive purpose of the shield and its role in
    strengthening NATO collective defense.

    Bucharest officials also underscored
    that the anti-ballistic system is not targeting Russia. At the time, Moscow
    said it didn’t consider the shield a threat to its offensive nuclear potential,
    although it announced it would respond to the Americans’ actions by modernizing
    its own ballistic system. In turn, the US Deputy Secretary of State for Arms
    Control, Frank Rose, insisted the system in Deveselu is primarily aimed at
    ensuring protection against short- and medium-range ballistic threats coming
    from the Middle East, more particularly from Iran, which continues to test and
    deploy a whole range of military capabilities with possible targets in Europe.
    The US State Department sees the installation in Deveselu as a major
    contribution to NATO’s anti-ballistic defense system and an expression of the
    United States’ firm commitment to European and Euro-Atlantic security, as well
    as of the robust nature of the Romanian-American Strategic Partnership signed a
    decade ago. T

    he system in Deveselu, Minister Bogdan Aurescu has said, is a
    project that I’ve seen through from its very beginning, as I was Romania’s
    chief negotiator for this project. The Romanian official said the contribution
    of the current White House leader, Joe Biden, at the time vice-president in the
    Obama administration, was instrumental. The Foreign Minister also praised the
    recent participation of President Biden in the virtual summit of Central and
    Eastern Europe NATO member states, on which occasion the United States
    expressed its firm decision to protect countries on NATO’s Eastern Flank. (V.P.)

  • 10/05/2021 (mise à jour)

    10/05/2021 (mise à jour)

    Coronavirus en Roumanie — Le gouvernement de Bucarest a prolongé l’état d’alerte de 30 nouveaux jours sur l’ensemble du territoire national à partir du 13 mai. Il a supprimé la restriction de participation à des processions ou pèlerinages religieux liée au domicile ou à la résidence, a annoncé le chef de la Direction pour les situations d’urgence, Raed Arafat. Les cinémas et les salles de spectacles rouvriront à 50 % de leur capacité ; ce seront des événements-pilote, où l’accès sera permis aux personnes qui présentent un test PCR ou antigénique négatif. Les personnes vaccinées pourront également participer aux événements sportifs. Ces dernières 24 h, 620 nouveaux cas d’infection au SARS-CoV-2 ont été rapportés en Roumanie, après plus de 10 700 tests au niveau national, a annoncé le Groupe de communication stratégique. 68 personnes sont décédées, ce qui porte le nombre de morts à 29 034. 962 personnes sont en soins intensifs. Les taux d’infection les plus élevés sont à retrouver à Bucarest et au département de Cluj, à savoir 1,59 et respectivement 1,54. En Roumanie, la campagne de vaccination a continué par une série de marathons d’immunisation, et jusqu’à présent, plus de 3,6 millions de personnes ont reçu les deux doses de vaccin.



    Sommet B9 – Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a affirmé que la situation sécuritaire à la mer Noire était préoccupante, c’est pourquoi l’OTAN doit continuer à renforcer sa posture de dissuasion et de défense, notamment sur le Flanc est, de manière unitaire et cohérente. « C’est pourquoi j’ai plaidé — également dans la discussion avec le président américain Joe Biden — pour un accroissement de la présence militaire alliée, y compris des Etats-Unis, en Roumanie et dans le sud du Flanc est », a dit M Iohannis à l’issue du Sommet B9, dans la déclaration conjointe avec son homologue polonais, Andrzej Duda. Au Sommet B9 ont pris part, par visioconférence, le président des Etats-Unis, Joe Biden, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, et les autres chefs d’Etats du Format Bucarest : la Bulgarie, la République tchèque, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie et la Hongrie.



    Visite — Le président roumain Klaus Iohannis a déclaré, ce lundi, avoir discuté avec son homologue polonais Andrzej Duda qui entreprend une visite officielle en Roumanie, de l’approfondissement et de l’élargissement du Partenariat stratégique bilatéral. M Iohannis a annoncé qu’une nouvelle réunion conjointe des gouvernements des deux pays aurait lieu dans la deuxième moitié de l’année, et qu’un nouveau plan d’action du Partenariat pour la période 2021-2025 serait établi. Le leader de Bucarest a indiqué avoir convenu avec son homologue polonais de la nécessité de continuer à stimuler les échanges commerciaux, précisant qu’en 2020, en dépit de la pandémie, ils s’étaient chiffrés à plus de 7 milliards d’euros. Klaus Iohannis a mentionné que les discussions avaient également visé la sécurité à la mer Noire et en général celle du Flanc est, mais aussi les priorités pour le Sommet de l’OTAN prtévu cette année. A son tour, le président de la Pologne, Andrzej Duda, a affirmé qu’il souhaitait une amélioration de la coopération militaire entre Bucarest et Varsovie, avec une référence à la modernisation des forces armées des deux pays. Mardi, les présidents roumain et polonais participeront à l’exercice militaire Justice Sword 21, en déroulement à Smârdan (est), auquel la Pologne prend part avec ses forces et ses moyens techniques déployés en Roumanie, dans le cadre de la Présence adaptée sur le flanc est de l’Alliance.



    Journée de la Royauté — Le trône du Roi Carol Ier de Roumanie est exposé pour la première fois ces 70 dernières années, ce 10 mai, à l’occasion de la Journée de la Royauté, fait savoir le Musée national d’art de la Roumanie. Cette journée marque les 155 ans écoulés depuis le 10 mai 1866, lorsque le prince allemand Carol de Hohenzollern-Sigmaringen devenait roi de Roumanie, à Bucarest, et donc le fondateur de la dynastie qui allait construire la Roumanie moderne. Pour rappel, le 9 mai, les Roumains ont marqué une triple fête : la Journée de l’Europe, la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, en 1945, et la proclamation d’indépendance de la Roumanie face à l’Empire ottoman, en 1877.



    FMI — Une équipe du Fonds Monétaire International (FMI) dirigée par le chef de la mission pour la Roumanie, Jan Kees Martijn, aura jusqu’au 28 mai des pourparlers en ligne avec les autorités roumaines. Trois semaines durant, les experts du FMI débattront des politiques et des évolutions économiques avec des officiels du ministère des Finances, de la Banque centrale de Roumanie, avec des représentants de différentes agences gouvernementales et des représentants du milieu des affaires et des ONG. A présent, la Roumanie n’a pas d’accord de financement en déroulement avec le FMI, mais l’institution financière fait annuellement une évaluation de l’économie roumaine.



    Relance et résilience — Le premier ministre roumain, Florin Cîţu, se rendra cette semaine à Bruxelles pour présenter les projets de développement figurant dans la dernière variante du Plan national de relance et de résilience (PNRR) conçu par Bucarest. Selon les responsables roumains, après les dernières négociations avec les représentants de la Commission européenne, aucun projet n’a été abandonné, mais certains montants ont été réduits. Pour mémoire, la première variante prévoyait des projets d’une valeur totale de 42 milliards d’euros, soit 12 milliards de plus par rapport aux sommes proposées par Bruxelles. Dans sa nouvelle forme, le Plan national de relance et de résilience table entre autres sur un budget de 3,7 milliards d’euros pour l’éducation et se propose de financer plusieurs projets, dont un tronçon d’autoroute entre les villes de Ploiesti (sud) et Buzău (est).

  • Afghanistan: Rumänien zieht seine Truppen ab Mai 2021 ab

    Afghanistan: Rumänien zieht seine Truppen ab Mai 2021 ab

    Vor fast 20 Jahren schickten die USA kurz nach den Terroranschlägen auf New York und das Pentagon Truppen nach Afghanistan. Washington beschuldigte die Taliban, Osama bin Laden und die für die Anschläge verantwortliche Dschihadisten-Terrororganisation Al Qaida Unterschlupf gewährt zu haben, und entmachtete sie. Es folgten fast zwei Jahrzehnte Missionen der NATO-Truppen in der Region, die von zahlreichen Anschlägen geprägt waren.



    Doch dann, im April dieses Jahres, erklärte US-Präsident Joe Biden: Angesichts der Terrorbedrohung, die jetzt an vielen Orten herrscht, macht es für mich und unsere politischen Führer wenig Sinn, Tausende von Truppen am Boden zu halten und in nur einem Land zu konzentrieren, was jedes Jahr Milliarden kostet. (…) Es ist an der Zeit, Amerikas längsten Krieg zu beenden. Es ist Zeit, dass die amerikanischen Truppen nach Hause kommen.“



    Die Vereinigten Staaten werden mit ihren NATO-Verbündeten für einen koordinierten Abzug aus dem asiatischen Land arbeiten, nach dem von Anfang an festgelegten Prinzip: Wir gehen gemeinsam hinein, wir passen uns gemeinsam an und gehen gemeinsam raus. Anschlie‎ßend gab die Nordatlantische Allianz bekannt, dass die notwendigen Bedingungen für die Beendigung ihrer Resolute Support“-Mission in Afghanistan erfüllt seien und es nicht mehr notwendig sei, die 9.600 Soldaten aus 36 Ländern dort zu halten.



    Rumänien ist Teil der Koalition gegen den Terrorismus. Die ersten rumänischen Soldaten wurden kurz nach den Anschlägen vom 11. September nach Afghanistan geschickt und Rumänien gehört seitdem ständig zu den wichtigsten Partnern der NATO-Mission. Im Einvernehmen mit seinen Partnern in der Allianz hat Rumänien beschlossen, seine Streitkräfte ab dem 1. Mai 2021 aus Afghanistan abzuziehen, eine Entscheidung, die vom Obersten Verteidigungsrat des Landes getroffen wurde. Der Einsatz in Afghanistan wird für das Verteidigungsministerium erst dann enden, wenn alle rumänischen Soldaten sicher nach Hause zurückgekehrt sind, sagte Verteidigungsminister Nicolae Ciucă:



    Als einer der wichtigsten Beiträger zur Resolute Support Mission, mit über 600 Soldaten im Einsatzgebiet, wird Rumänien in Übereinstimmung mit den Alliierten laut Abzugsplan handeln. Rumänien hat vor zwei Jahrzehnten die Entscheidung getroffen, Teil der Anti-Terror-Koalition zu werden und sich seinen strategischen Verbündeten anzuschlie‎ßen, um einen Feind zu bekämpfen, der den Frieden und die Sicherheit seiner Bürger bedroht. In den fast 20 Jahren haben zehntausende rumänische Soldaten Missionen im afghanischen Einsatzgebiet erfüllt und wesentlich dazu beigetragen, die Sicherheitslage in der Region zu verbessern.“



    Dabei handelt es sich um zwei Missionen. Die erste war die International Security Assistance Force“ (ISAF), der 2015 die Resolute Support“ folgte, deren Ziel es war, die afghanischen nationalen Sicherheitskräfte auszubilden, zu beraten und zu unterstützen. Im Gespräch mit Radio Rumänien zeichnete Nicolae Ciucă, Kommandeur des ersten rumänischen Bataillons in Afghanistan, ein Bild der Situation aus rumänischer Sicht:



    Für die rumänische Armee bedeutete das Jahr 2002 Hoffnung und Bemühungen, im Herbst desselben Jahres zum Beitritt zur Allianz eingeladen zu werden, was auch geschah. Zwei Jahre später erfüllte die rumänische Armee weiterhin ihre Missionen in Afghanistan, aber auch im Irak, und wurde aufgrund des Beschlusses des NATO-Gipfels Vollmitglied der Nordatlantischen Allianz. All diese Elemente der Analyse lassen sich auf zwei Ebenen beschreiben — der Wille, der Enthusiasmus und der Geist, zu beweisen, dass wir in der Lage sind, über die menschlichen Ressourcen verfügen, und, warum nicht, den Opfergeist haben, um Mitglied des Nordatlantischen Bündnisses zu werden. Danach haben wir bewiesen, dass wir ein glaubwürdiges Mitglied dieses Bündnisses sind. Und weil ich von Opfer gesprochen habe, möchte ich an die 27 rumänischen Soldaten, die in Afghanistan ihr Leben verloren haben, und an die über 200 Menschen, die dort verwundet wurden, erinnern und ihnen unsere Dankbarkeit aussprechen. Das ist der Einsatz, den die rumänische Armee in diesen 20 Jahren geleistet hat.“



    Wie sieht Afghanistan heute aus und inwieweit wurden die Probleme gelöst? Afghanistan ist immer noch kein perfektes Land, aber es ist kein Vergleich zu dem Afghanistan der Enthauptungen und Folterungen vor zwei Jahrzehnten. Afghanistan hat jetzt Dutzende von diplomatischen Vertretungen in der ganzen Welt, eine Verfassung, einen rechtmä‎ßig gewählten Präsidenten und eine Regierung, ein gewähltes Parlament und lokale Räte, in denen auch Frauen vertreten sind. Parteien, NGO und zivilgesellschaftliche Organisationen wurden wieder gegründet. Die meisten Afghanen haben Zugang zu einer medizinischen Grundversorgung, und Millionen von Kindern sind gegen epidemische Krankheiten geimpft. Dennoch bleiben gro‎ße Herausforderungen in Bezug auf Regierung, Drogen, Armut und Korruption. Die Zukunft ist immer noch ungewiss.



    Liviu Mureşan, Präsident der EURISC-Stiftung sagte dazu:



    Nach zwei Jahrzehnten geht diese Operation, die so viele Menschenleben und riesige Geldsummen gekostet hat und das Problem ungelöst lie‎ß, zu Ende. Wir wissen nicht, wie sich die Dinge in der kommenden Zeit entwickeln werden. Es ist sehr wichtig, dass wir, da wir von Anfang an an diesem Einsatz in Afghanistan beteiligt waren, möglichst alle unsere Soldaten und wenn möglich auch die dazugehörige Ausrüstung wieder zu Hause haben. Afghanistan wird ein Lehrstück dafür bleiben, wie die Infrastruktur über das Schicksal, das Leben und das gute Funktionieren eines Einsatzes entscheidet. Ein Land, das keinen Zugang zum Meer hat, ist ein Land, das nicht erobert, kontrolliert und wirklich verändert werden kann, besonders mit der Geographie, die Afghanistan hat.“



    Der Vorsitzende des afghanischen Parlaments, Mir Rahman Rahmani, hat davor gewarnt, dass der Abzug ausländischer Truppen aus dem Land unter den derzeitigen Umständen zu einem Bürgerkrieg führen wird.



    Audiobeitrag hören:



  • Fudzearea ditu Afganistanu

    Fudzearea ditu Afganistanu



    Prezidentulu agiumsi pi isapea şi easti dukimăsitu că suntu părinţă şi ficiorlli a loru cari alumtară tru idyiulu polimu, aţelu ditu Afganistan. Şi suntu tiniri americañi cari activeadză tru Afganistan şi niţi barimu nu eara amintaţ tru kirolu ali atacă ţi s’feaţi contra a piryurloru WTC di New York, cari feaţi ta s’ahurhească polimlu. Cadealihea, acăţaţ cu pandemia şi len turlii di ecuaţii internaţionali di puteari, agărşimu că, ti di toamna aesta, va s’umplă 20 añi di la lăhtăroasili şi ti nipistipseari atacuri teroristi contra ali SUA, ditu 11 di yismăciuni 2001. Să zbură multu ti aţeali dzăli, fură fapti isăki cabaia multi, a deapoa, aoa şi 10 añi fu vătămatu şi duşmanlu numirlu ună, lăhtăroslu Osama bin Laden, aţel cari fu cumăndarlu a aluştoru atacuri. După 20 añi, aesti momenti tricură tut ma multu tru istorie şi tru agărşeari, a deapoa lă loară loclu alti evenimente greali. Tru tutu aestu kiro, polimlu a SUA şi a aliaţloru NATO tru Afganistan dusi ma largu. Vahi nu cu alumti pi scară largă, i cu urdinări lăryurii di askeri, ama cu ună axizeari ţi ma largu adusi victimi şi zñii. Acă nu poati s’hibă zborlu ti agiundzearea năpoi la iriñe, tru Afganistan easti pi lucru ună sţenă politică niacumtinată, tru cari prinţipiili democratiţi s’bagă tru practico, multu zorlea andicra di cum nă aştiptam ama tu ună cadealihea evoluţie.



    Zborlu ţi ălu ţănu prezidentulu Biden, tu cari feaţi ună di nai cama bunili isăki a aluştoru dauă dechenii di polimu, fu părăstisitu tru salonea di la Casa Albă iu, tru sumedru 2001, prezidentulu George W. Bush dimănda ahurhita-a operaţiuñilor militari contra-a Afganistanlui. Scupolu a acţiunillei di atumţea eara anihilarea alu Ben Laden şi a organizaţiillei a lui teroristă şi niagiundzearea tu catastisea tu cari Afganistanlu năpoi putea ta s’hibă bază ti alti eventuali atacuri contra-a SUA. Doilli scupadz fură agiumţă, fură băgaţ tu practico spuni prezidentulu. Nica ş-ma multu, după anihilarea al Ben Laden, mintearea-a americañilor tru Afganistan agiundzea s’hibă cama zorlea cu ndriptati, kiro tru cari fuvirsearea teroristă eara pi len turlii, s’alăxea tu un polimu asimetric şi numata avea ligătură cu veacllea bază afgană.



    Prezidentulu Biden cundille că easti paturlu prezidentu american cari lucreadză cu dosarlu dişcllisu a mintearillei militară tru Afganistan şi nu vrea să-lu da ma largu. El avu clirunumie, ama, şi un acordu americanu cu talibañilli cari pruveadi, ntră altili, fudzearea ditu Afganistan a askeriloru SUA. Data invocată easti 1 di maiu 2021 şi aestă fu hăbărisită ca hiindalui oara anda va s-ahurhească ritrădzearea.



    Nu ună fudzeari iruşi, tru hao, ama ună responsabilă, tru sigurlăki şi tru simfunie cu aliaţlli şi partenerlli ditu Afganistan, cari, declară prezidentulu Biden, au ma multi forţi implicate tru Afganistan andicra di americañilli.



    Cadealiha că, americañilli nu eara maş elli tru opearaţiunea nkisită tru sumedru 2001, tru Afganistan. Ditu ahurhită, eara deadunu şi loară parti la acţiuni aliaţlli ditu NATO, ama şi alţă parteneri.



    România lo parti la aestă opearaţiuni ditu ahurhită, ditu 2001, cându nica nu eara membră NATO. Atumţea să spusi că România cilăstăseaşti ca un membru “di facto” al NATO, aderarea ufiţială hiinda faptă tru marţu 2004. Parlamentul ali Românie votă tru andreu 2001 participarea la Forţa Internaţională di Asistenţă tră Securitate (ISAF), opearaţiuni NATO vulusită di Consiliulu di Securitati ONU.



    Prezidentulu Biden scoasi tu migdani pricunuştearea-a popului american tră participanţălli la aestă vărtoasă gaereti şi adusi aminti partiţiparea-a forţiloru aliati şi parteneri la opearaţiuni. Dănăsearea-a mintearillei militară nu nsimneadză ñicurarea-a vigilenţăllei antiteroristă, a deapoa prezidentulu Biden căftă şi a statilor ditu reghiuni s’ndrupască Afganistanul. Fură adusi aminti Pakistanlu, Rusia, China, India şi Turchia. După 20 añi, sţena internaţională easti acutotalui alăxită, fuvirsearea teroristă cănăscu multi turlii di alumtă şi s-teasi şi tru alti craturi, pi alti continenti. Tora, ama, nai cama nmdilicată problemă cu cari s’ampuliseaşti SUA şi duñeaua tută easti, dealithea, pandemia di COVID-19, cu cari s’faţi unu polimu niaştiptatu di asimetric şi niconvenţionalu.


    Autor: Marius Tiţa


    Armânipsearea: Taşcu Lala



  • Plecarea din Afganistan

    Plecarea din Afganistan

    Preşedintele observă că sunt părinţi şi copiii lor care au servit
    în acelaşi război, cel din Afganistan. Şi sunt tineri americani care activează
    în Afganistan şi nici măcar nu erau născuţi în timpul atacului asupra
    turnurilor WTC din New York, care a declanşat războiul. Într-adevăr, luaţi cu
    pandemia şi diferite ecuaţii internaţionale de putere, am uitat că, în toamnă,
    se împlinesc 20 de ani de la incredibilele atacuri teroriste împotriva SUA, din
    11 septembrie 2001. S-a vorbit mult despre acele momente, au fost descusute şi
    analizate, acum 10 ani a fost lichidat şi inamicul numărul 1, infamul Osama bin
    Laden, cel care a coordonat aceste atacuri. După 20 de ani, aceste momente au
    trecut tot mai mult în istorie şi în uitare, fiind înlocuite de alte evenimente
    de dură realitate. În tot acest timp, războiul SUA şi al aliaţilor NATO în
    Afganistan a continuat. Poate nu cu acţiuni pe scară largă, sau cu deplasări
    ample de forţe, dar cu o rutină care a continuat să provoace victime şi pagube.
    Deşi nu se poate vorbi de revenirea totală a păcii, în Afganistan funcţionează
    o scenă politică activă, în care principiile democratice se implementează, mult
    mai greu decât ne aşteptam dar într-o reală evoluţie.

    Discursul preşedintelui
    Biden, una dintre cele mai bune analize ale acestor ultime două decenii de
    război, a fost prezentat în sala de la Casa Albă unde, în octombrie 2001,
    preşedintele George W. Bush anunţa începerea operaţiunilor militare împotriva
    Afganistanului. Scopul acţiunii de atunci era anihilarea lui Bin Laden şi a
    organizaţiei sale teroriste şi evitarea situaţiilor în care Afganistanul ar mai
    fi putut să fie bază pentru alte eventuale atacuri împotriva SUA. Ambele aceste
    scopuri iniţiale au fost îndeplinite, spune preşedintele. Mai mult, după
    anihilarea lui Bin Laden, implicare americanilor în Afganistan devenea mai greu
    de justificat, în timp ce ameninţarea teroristă se diversifica, se transforma
    într-un război asimetric şi nu mai avea legătură cu vechea bază afgană.

    Preşedintele
    Biden a subliniat faptul că este al patrulea preşedinte american care lucrează
    cu dosarul deschis al implicării militare în Afganistan şi nu vrea să îl dea
    mai departe. El a moştenit, însă, şi un acord american cu talibanii care prevede,
    printre altele, plecare din Afganistan a trupelor SUA. Data invocată este 1 mai
    2021 şi aceasta a fost anunţată ca fiind momentul în care începe retragerea.

    Nu
    o plecare rapidă, în debandadă, ci responsabilă, în siguranţă şi în coordonare
    cu aliaţii şi partenerii din Afganistan, care,     declară preşedintele Biden, au
    mai multe forţe implicate în Afganistan decât americanii.

    Într-adevăr,
    americanii nu au fost singuri în operaţiunea declanşată în octombrie 2001, în
    Afganistan. De la început, au stat alături şi au participat direct la acţiune
    aliaţii din NATO, dar şi alţi parteneri.

    România a participat la această
    operaţiune de la început, din 2001, când încă nu era membră a NATO. Atunci s-a
    spus că România acţionează ca un membru de facto al NATO, aderarea oficială având
    loc în martie 2004. Parlamentul României a votat în decembrie 2001 participarea
    la Forţa Internaţională de Asistenţă pentru Securitate (ISAF), operaţiune NATO
    aprobată de Consiliul de Securitate al ONU.

    Preşedintele Biden a evocat
    recunoştinţa poporului american pentru participanţii la acest uriaş efort şi a
    menţionat participarea forţelor aliate şi partenere la operaţiune. Încetarea
    implicării militare nu înseamnă reducerea vigilenţei antiteroriste, iar
    preşedintele Biden a cerut şi statelor din regiune să sprijine Afganistanul. Au
    fost menţionate Pakistanul, Rusia, China, India şi Turcia. După 20 de ani,
    scena internaţională este total schimbată, ameninţarea teroristă a cunoscut
    forme inedite şi s-a intins şi în alte ţări, pe alte continente. Acum, însă,
    cea mai complicată problemă cu care se confruntă SUA şi întreaga omenire este,
    desigur, pandemia de COVID-19, împotriva căreia se duce un război neaşteptat de
    asimetric şi neconvenţional.

  • Vizita lui Blinken în Europa. Priorități bilaterale

    Vizita lui Blinken în Europa. Priorități bilaterale

    Prioritatea momentului, atât pentru Uniunea Europeană cât și pentru Statele Unite o reprezintă pandemia de coronavirus, cu tot ceea ce implică aceasta – accelerarea campaniei globale de vaccinare, gestionarea consecințelor economice, pregătirea pentru posibila apariție a unor tulpini mai periculoase. Dincolo de aceasta, însă, există un întreg set de teme comune de interes, trecute în revistă de șefa Comisiei Europene, Ursula von der Leyen.

    La începutul acestei luni, președintele Biden și cu mine am fost de acord să suspendăm, timp de patru luni, toate tarifele impuse în contextul disputelor Airbus-Boeing. Acesta este un pas pozitiv și important, dar există alte tarife încă în vigoare și probleme mai largi de abordat, cum ar fi, de exemplu, reforma sistemului comercial multilateral și aștept cu nerăbdare să discut cum să ne modelăm agenda comercială și tehnologică și cum să valorificăm potențialul comun.

    Un alt subiect important va fi legat de schimbările climatice. Schimbările climatice rămân provocarea definitorie a epocii noastre. Îl felicităm din toată inima pe președintele Biden pentru revenirea la Acordul de la Paris. Și așteptăm cu nerăbdare să pregătim etapele cheie ale acestui an – mai întâi Ziua Pământului la sfârșitul lunii aprilie, COP15 la Kunming în octombrie și COP26 la Glasgow în noiembrie. Uniunea Europeană și Statele Unite trebuie să găsească soluții adevărate, să consolideze inovația, să stabilească obiective ambițioase și să lucreze împreună pentru a le atinge.Nu în ultimul rând, aștept cu nerăbdare să discut cu dumneavoastră, Tony, problemele cheie de politică externă și securitate. Desigur, subiectele referitoare la NATO – UE și NATO au o relație excelentă – dar și subiecte care variază de la China la Rusia, relația noastră cu Turcia, dar și relația noastră cu Balcanii de Vest și prietenii noștri din parteneriatul estic și sudic – multe subiecte a aborda. Suntem preocupați de aceleași probleme și ar trebui să căutăm oportunități de a lucra împreună dincolo de granițele noastre. Eforturile comune mai puternice sunt esențiale pentru a face față acestor provocări în mod eficient.


    Vizita lui Antony Blinken în Europa a avut loc în contextul în care administrația Biden a făcut mai mult pași pentru a reface relațiile transatlantice, care au avut de suferit în perioada în care la Casa Albă s-a aflat predecesorul său, Donald Trump, din cauza stilului mai abrupt al acestuia.


  • Début de mandat présidentiel à Washington

    Début de mandat présidentiel à Washington

    C’est sur la toile de fond de mesures de sécurité exceptionnelles que la capitale américaine a suivi la fin de règne du républicain Donald Trump et célébré l’avènement du démocrate Joe Biden, qui entend faire retrouver le rôle de leadership mondial à son pays. Selon les experts pourtant, le nouveau président devrait concentrer l’essentiel de ses efforts pour rétablir la paix sociale aux Etats-Unis, troublés par les déclarations et les actions belliqueuses de Donald Trump qui n’a eu de cesse de dénoncer de prétendues fraudes électorales lors de la dernière élection présidentielle, à l’issue de laquelle il s’était retrouvé perdant. Jamais étayées par de vraies preuves, les accusations de l’ancien président ont malgré tout trouvé écho chez bon nombre de ses partisans, jusqu’à déboucher sur les événements violents du 6 janvier dernier, soldés par la perte de cinq vies humaines. Une explosion de violence inouïe dans le Panthéon même de la démocratie américaine, le Capitole, siège du Congrès américain. Selon Ovidiu Nahoi, rédacteur en chef de la rédaction roumaine de Radio France Internationale, présent sur les ondes de Radio Roumanie, l’ironie de tout cela est que celui qui s’était promis de rendre la grandeur à l’Amérique n’a réussi qu’à la diminuer et la jeter dans le dérisoire. Ovidiu Nahoi :



    « La nouvelle administration américaine aura besoin de temps, de beaucoup de temps, pour réconcilier l’Amérique avec elle-même, parce qu’il s’agit d’une société très divisée. Et cela fait qu’il lui restera moins de temps pour s’occuper des grands problèmes du monde. Pendant un an ou deux, sinon pas durant l’intégralité du mandat présidentiel de Joe Biden, les Etats-Unis s’occuperont à combler le fossé creusé par Donald Trump dans la société américaine, et à panser les blessures internes. La puissance américaine rétrécit donc, cette Amérique que l’ancien président avait promise à la grandeur, et qu’il était arrivé à rendre moins importante au niveau global. La conséquence de ces événements, c’est que l’Amérique aura besoin de temps pour réparer ce qui a été gâché or, sur le plan mondial, cela signifie moins de disponibilité, une présence quelque peu diminuée, une capacité moindre à s’investir dans les problématiques du monde ».



    Le président Joe Biden doit rétablir la crédibilité, sur le plan intérieur et à l’international, de la démocratie américaine en matière de respect des droits de l’homme, considère le directeur de l’ONG Human Rights Watch, dont le siège est à New York, et qui pense que nous avons assisté à 4 longues années d’abus des principes du jeu démocratique. Dans une interview accordée à l’agence Reuters juste avant la diffusion de son rapport annuel sur le respect des droits de l’homme, Kenneth Roth a affirmé que le président Donald Trump, encore en exercice à l’époque, avait violé les droits de l’homme dans son propre pays, et qu’il n’est dès lors pas en mesure d’invoquer le respect de ces mêmes droits pour critiquer le bilan d’autres Etats de la planète. Pourtant, Donald Trump a nié à cor et à cri toute responsabilité à l’égard des violences commises par ses partisans au Capitole, tout comme toute violation des droits de l’homme. L’ancien président n’a cependant eu de cesse de clamer jusqu’à la fin sa victoire à l’élection présidentielle, invoquant des fraudes supposées, censées l’empêcher, selon lui, de mener à bien son dessein visant à faire « America Great Again » et « America First ». En dépit des dénégations présidentielles, la Chambre des représentants avait mis Donald Trump sous accusation d’avoir encouragé l’assaut de ses partisans sur le Capitole, juste une semaine avant la fin de son mandat. Il est ainsi devenu le premier président américain sur lequel a plané à deux reprises la menace de la destitution imminente.



    Monsieur Roth a profité de son entretien à l’agence Reuters pour recommander au nouveau président de faire revenir les Etats-Unis au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU de Genève, dont Donald Trump avait claqué la porte en juin 2018. Le nouvel occupant de la Maison Blanche s’était d’ailleurs penché sur quelques domaines prioritaires et qui ne pouvaient pas attendre, telles les crises épidémiologique, économique, climatique et raciale, et cela dès les premiers jours de son mandat. Les décisions prises par le nouveau leader de la Maison Blanche avaient été préparées et annoncées bien à l’avance par son administration, dans sa tentative d’annuler quelques-unes des politiques les plus décriées de l’administration précédente. Il faut dire que la politique de M Trump avait ratissé large, depuis l’établissement d’une liste d’Etats, musulmans pour la plupart, et dont il interdisait l’entrée sur le territoire américain de leurs ressortissants, et jusqu’au retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris sur le climat.



    Avant son investiture, Joe Biden avait d’ailleurs déjà présenté son paquet pour la stimulation de l’économie américaine, lourdement frappée par la crise du Covid-19, paquet qui s’élève à 1,9 trillions de dollars. Mais au-delà des défis soulevés par la crise sanitaire et par la situation économique, la nouvelle administration devra surtout pouvoir combler les failles béantes creusées au sein de la société américaine, affirment de concert les analystes. Le degré de cohésion sociétale est presqu’au plus bas de toute l’histoire des Etats-Unis, un pays qui avait pourtant été confronté dans son passé aux luttes raciales, à l’esclavage et au ségrégationnisme. Iulian Chifu, président du Centre pour la prévention des conflits, opine que :



    « Nous sommes dans la situation où il faut recoller les morceaux, où il faut reconstruire la cohésion sociale, rebâtir la confiance dans les institutions, dans la démocratie, dans la justice. Il faut que les Américains retrouvent leur confiance dans ces valeurs et dans leurs institutions, et cela ne peut pas se faire uniquement par des gestes politiques. Il faudrait étudier les causes profondes de ce malaise éviter les extrêmes en tout genre, qu’ils soient de droite ou de gauche, réfléchir pour pouvoir accompagner et aider les laissés-pour-compte, il faudrait réfléchir sur la manière dont la révolution numérique, l’utilisation excessive de la technologie et des réseaux sociaux favorisent l’aliénation de l’individu et son décrochage de la société réelle et du débat public. »



    La beauté de la démocratie, la force du système démocratique réside justement en sa capacité à s’adapter, à rebondir et à panser et guérir ses plaies, ajoute le Pr Iulian Chifu.


    (Trad. Ionut Jugureanu)


  • Relația UE-SUA după schimbarea administrației de la Washington

    Relația UE-SUA după schimbarea administrației de la Washington

    Uniunea Europeană este pregătită să îmbunătățească dialogul cu SUA, odată
    cu schimbarea administrației de la Washington. De altfel, imediat după ce a
    fost confirmat ca învingător, Joe Biden a primit invitația oficială de a
    participa la o reuniune specială cu liderii Uniunii, ce va fi organizată în
    aceste an, la Bruxelles. Europa crede
    într-o colaborare mult mai eficientăîn lupta cu pandemia de coronavirus, și dorește o
    revitalizare a relațiilor comerciale cu Statele Unite, spune eurodeputatul
    Nicolae Ștefănuță:


    Trebuie să lucrăm cu Statele Unite să ieșim din criză împreună. Fiecare ne
    zbatem acumsă implementăm strategia de vaccinare. Vreau să reamintesc că
    noi suntem printre fericiții 10% din întreaga lume care au acces la vaccin -
    Europa, Statele Unite, ale state bogate ale lumii – și, practic, prin
    implementarea strategiei de vaccinare vom putea ieși din această neagră criză
    economică. Atât noi, cât și Statele Unite, am pus foarte mulți bani deoparte
    pentru investiții, pentru revitalizarea economiei, pentru că de ea depind
    viitorul nostru și viețile noastre. Trebuie să ne re-împrietenim cu SUA, deoarece
    în fosta administrație au fost foarte multe blocaje tarifare care au adus sânge
    rău relației economice UE-SUA. Eu susțin deschiderea acestei piețe
    transatlantice, consider că Statele Unite sunt un aliat esențiali, sunt similari
    și trebuie să fim aproape de ei.



    O altă prioritate a Europei este combaterea schimbărilor climatice, de acea
    liderii UE se așteaptă ca sub noua conducere, SUA să redevină parte din pactul
    pentru mediu de la Paris, semnat în 2015, și să fie un partener important în
    lupta pentru protejarea mediului înconjurător.


    Președintele Trump a părăsit Acordul pentru mediu de la Paris, spunând că,
    prin această mișcare,dă din nou
    viață cărbunelui sau altor industrii. Era o minciună, de aceea oamenii din
    acele state cărora le-a promis că face această schimbare adică Wisconsin sau
    Pennsylvania nu l-au mai ales de data asta. Populismul este seducător dar costă.
    Președintele Biden a afirmat că, din prima zi, va reveni în Acordul de la
    Paris. În plus, și-a numit un om foarte cunoscut și foarte capabil în mediile
    politice de la Washington – John Kerry, fost candidat prezidențial – ceea ce
    este o dovadă de seriozitate. Eu mă aștept ca Statele Unite să sesizeze această
    oportunitate pentru că a face investiții, sustenabile, prietenoase cu mediul
    pentru că este business-ul viitorului, de aceea cred că SUA se vor bate să fie
    lider și pe această piață. Până acum noi, Europa, suntem lider pe această
    piață, deci mă aștept să avem concurență din partea americanilor, dar e bine
    pentru că vom duce împreună această revoluție ecologică în lume și suntem mereu
    mai puternici dacă Statele Unite sunt alături de noi.


  • La semaine du 18 au 24 janvier

    La semaine du 18 au 24 janvier

    La campagne nationale de vaccination anti-Covid

    La campagne nationale de vaccination anti-Covid en est à sa deuxième étape. Après une première phase destinée au personnel soignant, le programme national d’immunisation s’adresse actuellement aux personnes âgées de plus de 65 ans et aux malades chroniques. S’y ajoutent les salariés des secteurs clé, les membres du personnel navigant, maritime et fluvial, les diplomates, les sportifs inscrits dans des compétitions internationales, les personnes en situation de handicap et les sans-abris. Au terme d’une nouvelle règle mise en place, 75% des places disponibles chaque jour pour l’immunisation seront réservées aux personnes vulnérables et le reste de 25% aux salariés des domaines essentiels. A l’heure où l’on parle, quelque 300 centres de vaccination fonctionnent au total à travers la Roumanie et leur nombre augmentera au fur et à mesure que de nouvelles doses de vaccin Pfizer ou Moderna arriveront dans le pays. Aux dires du premier ministre Florin Cîţu, la Roumanie s’est assuré un stock de 2,4 millions de doses d’ici fin mars, en sachant que chaque jour, quelque 30 milles en sont administrées à la population concernée.

    Pourtant, l’actuelle campagne de vaccination n’est pas sans faille, comme le démontrent les critiques d’une partie de la population et de certains membres de l’opposition politique parlementaire. Depuis sa mise en ligne, la plateforme gouvernementale est tombée en panne à plusieurs reprises. Du coup, une partie des bénéficiaires potentiels ont dû faire appel aux médecins traitants ou aux employeurs pour se faire inscrire pour la vaccination. Même démarche dans le cas de ceux qui n’ont pas d’ordinateur ou de connaissances informatique. En plus, certains malades chroniques ne figurent pas comme tels dans les registres de la Sécurité sociale, ce qui leur a posé des problèmes au moment où ils ont essayé de se faire enregistrer sur la plateforme. Sur l’ensemble des départements nationaux, il y en a plusieurs où les places disponibles dans les centres de vaccination se sont vite épuisées. Le représentant de la Roumanie auprès de l’OMS, le médecin et député social-démocrate Alexandru Rafila, garde ses réserves quant à la décision des autorités d’inclure sur la liste des bénéficiaires de cette deuxième phase de vaccination plusieurs catégories de population, sans priorisation aucune. Ajouté aux problèmes techniques de la plateforme, cela risque d’empêcher une immunisation correcte des Roumains, estime M. Rafila. Par ailleurs, les leaders européens ont décidé, jeudi, de laisser ouvertes les frontières à l’intérieur de l’UE, parallèlement à la mise en place de nouvelles restrictions dans le cas des voyages considérés comme non essentiels.

    Mécontentements salariaux

    Dès les premiers jours de l’année en cours, un certain nombre de catégories professionnelles ou sociales ont choisi de crier leur mécontentement dans la rue et protester ainsi contre la manière dont le gouvernement de centre-droit gère les problèmes apportés par la pandémie de Covid-19. Celle-ci a d’ailleurs sérieusement déstabilisé l’économie roumaine. Rassemblés devant les sièges de la présidence de l’Etat, de l’exécutif, de différents ministères, des préfectures ou même des formations politiques de la coalition au pouvoir, des Roumains de tout le pays présentent leurs revendications. Cartel Alfa, l’une des principales confédérations syndicales de Roumanie, a lancé des actions de protestation le 14 janvier, qui devraient durer jusqu’au 28 février. Leurs principales revendications sont un niveau décent du salaire minimum, des retraites équitables, des services publics de qualité, la reprise des négociations collectives, une fiscalité équitable et la mise en place correcte de la législation en vigueur. Selon le vice-premier ministre Dan Barna (Alliance Union sauvez la Roumanie-Plus), une partie des revendications – sans autre précision – pourraient être solutionnées bientôt. Et lui d’ajouter qu’il y a aussi des demandes qui doivent être pesées dans le contexte d’une économie en crise et d’un budget qui ne doit pas dépasser un déficit de 7% du PIB. Depuis l’opposition, le Parti social démocrate se range du côté des syndicalistes mécontents et considère qu’il est possible de majorer des les revenus et les pensions de retraite, sans dépasser la cible de déficit donnée par le gouvernement. Le 27 janvier, les sociaux-démocrates devraient présenter leur propre proposition de budget à l’attention du premier ministre Florin Cîțu, du vice premier ministre Dan Barna, du ministre des Finances Alexandru Nazare et de celui des Projets européens Cristian Ghinea. Tous ceux-ci ont été à nouveau convoqués par le chef de l’Etat, pour des discussions. Le projet du budget de l’Etat devrait être soumis au Parlement début février.

    La Roumanie félicite le nouveau président américain

    Le chef de l’Etat roumain a félicité le nouveau président américain Joe Biden et sa nouvelle vice-présidente Kamala Harris. Dans un message posté sur Twitter, Klaus Iohannis s’est dit « convaincu qu’ensemble, nous continuerons à développer et à renforcer le Partenariat stratégique au bénéfice de nos deux peuples et dans l’esprit des véritables valeurs transatlantiques ». La Roumanie a été représentée à la cérémonie d’investiture du 46ème président américain par son ambassadeur à Washington,George Cristian Maior. Durant le mandat de l’actuel leader américain, les deux pays vont réitérer leur engagement en faveur de l’élargissement et du développement du Partenariat bilatéral, qui fêtera, cette année, dix ans d’existence, a précisé l’Ambassade roumaine aux Etats-Unis dans un communiqué officiel. (Trad. Ioana Stăncescu)

  • Retrospectiva săptămânii 17.01 – 23.01.2021

    Retrospectiva săptămânii 17.01 – 23.01.2021

    Campania națională de
    vaccinare anti-Covid continuă


    Campania
    din România de vaccinare împotriva noului coronavirus a intrat, de o săptămână,
    în etapa a doua. După o primă fază destinată personalului din domeniul sănătății,
    la sfârșitul săptămânii trecute a început a doua etapă, care îi vizează, în
    principal, pe vârstnici și pe bolnavii cronici, indiferent de vârstă. Acestora
    li se adaugă și angajații unor sectoare de activitate esențiale pentru
    funcționarea statului. Ulterior, Guvernul a adăugat pe listă personalul
    navigant, maritim şi fluvial, membrii misiunilor diplomatice, sportivii care
    participă la întreceri internaţionale, precum și persoanele fără locuinţe şi
    cele cu dizabilităţi

    Potrivit
    unor noi reguli decise, 75% din programările dintr-o zi vor fi rezervate
    persoanelor de peste 65 de ani și celor cu boli cronice și doar 25% angajaților
    din domeniile esențiale. În țară funcționează circa 300 de centre de imunizare
    în care se administrează cam 30 de mii de vaccinuri zilnic, însă numărul
    centrelor va crește pe măsură ce în România vor sosi mai multe doze de la
    Pfizer sau Moderna. Potrivit premierului Florin Cîțu, România are asigurat un
    stoc de 2,4 milioane de vaccinuri până la sfârşitul lunii martie.

    Nu totul merge,
    însă, strună, de unde și nemulțumirile apărute printre oamenii de rând, dar și
    printre politicienii din opoziția parlamentară! De când a fost lansată,
    platforma guvernamentală online pentru programarea în vederea vaccinării a
    întâmpinat probleme tehnice în mai multe rânduri, de aceea persoanele care au
    dorit nu s-au putut înscrie direct, ci numai apelând la medicul de familie sau
    al angajatorului. La aceste din urmă două soluții au apelat și cei care nu au
    computer acasă, nu au cunoștințe de informatică și nici rude să îi ajute.

    În
    plus, unii bolnavi cronici nu figurează în evidența Casei Naţionale de
    Asigurări de Sănătate, prin urmare întâmpinând și ei greutăți. Sunt, totodată,
    județe în care nu mai există locuri pentru programare, în contextul în care vaccinarea
    depinde de numărul de doze disponibile. Reprezentantul României la OMS,
    doctorul Alexandru Rafila, deputat social-democrat, consideră că funcționarea
    defectuoasă a platformei de programare sau includerea în etapa a doua de
    imunizare a unor categorii de persoane fără prioritizarea lor ar putea
    împiedica o vaccinare corespunzătoare a cetățenilor. Pe de altă parte, liderii
    europeni au decis, joi, prin videoconferință, să nu închidă graniţele interne
    ale Uniunii Europene, dar să impună noi restricţii pentru călătoriile
    neesenţiale, ca să limiteze nu doar răspândirea Covid-19, ci şi a mutaţiilor
    acestuia.



    Nemulțumiri sindicale


    Categorii
    profesionale sau sociale au continuat, săptămâna aceasta, să iasă în stradă,
    nemulțumite de felul în care actualul Guvern de centru-dreapta gestionează
    problemele în contextul pandemiei de Covid-19, care a destabilizat serios
    economia României. Strânși în fața sediilor președinției, al Executivului, ale
    diverselor ministere, ale prefecturilor județene sau chiar ale formațiunilor
    politice din coaliţia la putere, români din toată țara și-au prezentat
    revendicările. Cartel Alfa – unul dintre principalele sindicate din România – a
    declanșat acțiuni de protest care, începute pe 14 ianuarie, sunt prevăzute să
    se întindă până pe 28 februarie. Principalele solicitări sunt un salariu minim
    decent, pensii echitabile, servicii publice de calitate, deblocarea negocierii
    colective, taxare justă și aplicarea corectă a legislației.

    Potrivit
    vicepremierului Dan Barna, o parte din revendicări ar putea fi rezolvate în
    perioada următoare. El a mai spus că sunt, în egală măsură, solicitări care
    trebuie privite în contextul unei economii în criză şi al unui buget care
    trebuie să se încadreze în deficitul de 7% din PIB.PSD,
    în opoziție, este de partea sindicaliştilor nemulţumiţi de deciziile în
    domeniul salarizării şi spune că este posibilă majorarea veniturilor
    angajaţilor şi a pensiilor cu menţinerea deficitului propus de actualul Guvern
    Cîţu. Social-democraţii ar urma să prezinte, pe 27 ianuarie, o variantă
    alternativă de proiect de buget. Între timp, proiectul de buget pe anul acesta
    a fost în atenția premierului Florin Cîţu, a vicepremierului Dan Barna, a
    ministrului de finanţe Alexandru Nazare şi a celui al proiectelor europene, Cristian
    Ghinea, convocați, din nou, pentru discuții de președintele țării, Klaus
    Iohannis. Proiectul de buget ar putea să ajungă în Parlament la începutul lunii
    viitoare.



    România îl felicită pe noul
    președinte al SUA


    Preşedintele
    Klaus Iohannis le-a transmis felicitări lui Joe Biden şi Kamalei Harris, care,
    miercuri, au depus jurământul în funcţia de preşedinte, respectiv
    vicepreşedinte al Statelor Unite ale Americii. ‘Sunt convins că împreună vom
    continua să dezvoltăm şi să aprofundăm Parteneriatul Strategic în beneficiul
    popoarelor noastre şi să lucrăm în adevăratul spirit al valorilor
    transatlantice’ – a scris Klaus Iohannis pe Twitter. La
    ceremonia de inaugurare a celui de-al 46-lea preşedinte al SUA, România a fost
    reprezentată de ambasadorul la Washington, George Cristian Maior. Într-un
    comunicat, Ambasada română în Capitala americană își exprimă convingerea că, în
    mandatul noului preşedinte al SUA, va fi reiterat angajamentul ambelor părţi de
    aprofundare şi dezvoltare a Parteneriatului Strategicpentru
    Secolul XXI dintre România şi Statele Unite, de la a cărui semnare se
    împlinesc, în 2021, zece ani.

  • Nach Amtseinführung Bidens: Wie gespalten bleiben die USA?

    Nach Amtseinführung Bidens: Wie gespalten bleiben die USA?

    Vor dem Hintergrund au‎ßergewöhnlicher Sicherheitsma‎ßnahmen ist die Amtszeit des Republikaners Donald Trump zu Ende gegangen — es beginnt die des Demokraten Joe Biden, der verspricht, dass Amerika unter seiner Regierung wieder bereit sein wird, eine Führungsrolle in der Welt zu übernehmen. Vielen Experten zufolge muss sich der neue Präsident auf die Lage in den USA selbst konzentrieren, wo Millionen von Anhängern Donald Trumps überzeugt sind, dass die Wahl manipuliert wurde. Diese nie belegten Vorwürfe waren von Trump, der vier Jahre lang in Washington durch kontroverse Entscheidungen und Aussagen auffiel, hartnäckig wiederholt. In ihnen wurzelten praktisch auch die gewaltsamen Ereignisse vom 6. Januar, bei denen das Kapitol gestürmt wurde und fünf Menschen ums Leben kamen. Donald Trump wollte Amerika wieder gro‎ßartig mache und schaffte das Gegenteil davon, bemerkte in einer Analyse bei Radio Rumänien der Chef der hiesigen Redaktion von Radio France Internationale Ovidiu Nahoi, der auch die Konsequenzen ansprach:



    Die neue Regierung wird vor allem lange brauchen, um Amerika mit sich selbst zu versöhnen — es ist eine sehr gespaltene Gesellschaft. Und Amerika wird nicht mehr die Zeit haben und die Energie, sich um die gro‎ßen globalen Probleme zu kümmern, wo amerikanische Werte gefragt sind. Die neue Verwaltung wird nicht die Zeit haben und die Energie, um sich zu engagieren, weil Amerika für eine lange Zeit mit sich selbst beschäftigt sein wird. Ein Jahr, zwei, bestenfalls eine halben Amtszeit, wenn nicht eine volle Amtszeit von Joe Biden wird es dauern, bis diese inneren Wunden heilen, und Amerika an sich arbeitet und sich mit sich selbst versöhnt. Die USA werden also zu einer kleineren Macht, das gro‎ßartige Amerika, das Donald Trump versprochen hat, wird global kleiner und weniger wichtig. Global ist es ein etwas schwächeres Amerika mit weniger Macht, sich auf die gro‎ßen globalen Probleme einzulassen.“



    Präsident Biden muss im In- und Ausland die Glaubwürdigkeit in Bezug auf die Menschenrechte wiederherstellen, so der Direktor von Human Rights Watch, einer in New York ansässigen Institution, die beklagt, dass seit vier Jahren demokratische Grundsätze missbraucht werden. In einem Interview mit Reuters vor der Veröffentlichung des Jahresberichts der internationalen Menschenrechtsgruppe sagte Kenneth Roth, dass der damals noch amtierende Präsident Donald Trump die Menschenrechte in seinem eigenen Land verletzt habe und die Bilanz anderer Länder nicht kritisieren könne. Trump hat die Verantwortung für die Gewalt beim Kapitol sowie die Vorwürfe von Menschenrechtsverletzungen abgelehnt und bis zur letzten Minute daran festgehalten, dass die Wahlen manipuliert wurden, um seine politischen Leitlinien Make America Great Again“ und America First“ zu blockieren.



    Donald Trump wurde jedoch beschuldigt, den Angriff seiner Anhänger auf das Kapitol eine Woche vor Ende seiner Amtszeit gefördert zu haben und im Repräsentantenhaus wurde ein Amtsenthebungsverfahren angestrebt. Trump ist der einzige Präsident in der Geschichte der USA, gegen den zwei solche Verfahren eingeleitet wurden. Kenneth Roth gibt dem neuen Staatschef auch mehrere Empfehlungen auf den Weg — die USA sollten dem UN-Menschenrechtsrat wieder beitreten, nachdem Trump im Juni 2018 den Austritt aus dem Genfer Forum veranlasst hatte.



    Um auf den epidemiologischen und wirtschaftlichen Notstand, die Klimakrise oder das Rassismusproblem zu reagieren, erlie‎ß die neue Verwaltung gleich am Anfang mehrere Verordnungen, die einige der umstrittensten sachpolitischen Entscheidungen von Donald Trump zurückdrehen: angefangen vom Einreiseverbot für Bürger aus hauptsächlich muslimischen Ländern bis hin zum Rückzug der Vereinigten Staaten aus dem Pariser Klimaabkommen.



    Auf der anderen Seite hat Joe Biden bereits vor der Amtseinführung einen Vorschlag für ein Konjunkturpaket im Wert von 1,9 Billionen US-Dollar vorgelegt, das der Wirtschaft helfen soll, sich zu erholen und die Reaktion der USA auf die Coronavirus-Pandemie zu beschleunigen. Abgesehen von den wirtschaftlichen und gesundheitlichen Herausforderungen bleibt das Problem bestehender Spaltungen in der amerikanischen Gesellschaft angesichts des neuen Chefs im Wei‎ßen Haus nach Ansicht von Analysten weiterhin sehr wichtig. Der soziale Zusammenhalt in den Vereinigten Staaten befindet sich auf einem historischen Tiefpunkt — obwohl es sich um einen Staat handelt, der immerhin Segregation, Rassismus und Sklaverei durchgemacht hat, sagt Universitätsprofessor Iulian Chifu, Präsident des Zentrums für Konfliktverhütung:



    Wir befinden uns in einer Situation, in der diese Trennungsgräben zugeschüttet werden müssen. Der gesellschaftliche Zusammenhalt und das Vertrauen in Institutionen, Demokratie und Gerechtigkeit müssen wieder hergestellt werden, und dies kann nicht nur durch politische Gesten geschehen, sondern auch durch eine gesellschaftlichen Untersuchung der Ursachen, durch die Vermeidung von Extremen — auch aus der umgekehrten Sicht der progressiven Positionen und der extremen Linken. Dabei muss mit einem äu‎ßerst sensiblen psychologischen Instrumentarium Unterstützung für Menschen gefunden werden, die sich durch den übermä‎ßigen Einsatz von Technologie und sozialen Medien sowie durch Distanz zur Gesellschaft und zur öffentlichen Debatte entfremdet haben.“



    Das Schöne an der Demokratie, die Stärke des demokratischen Systems ist aber genau die Fähigkeit, sich neu zusammenzusetzen, zu genesen, die eigenen Wunden zu heilen, sagt Professor Chifu.

  • Nachrichten 21.01.2021

    Nachrichten 21.01.2021

    Rumänien hat einen Vorrat von 2,4 Millionen Dosen des Impfstoffs Covid bis Ende März gesichert, so Premierminister Florin Cîţu am Donnerstag. Die Regierung hat beschlossen, in der zweiten Phase der Impfkampagne, die am 15. Januar begonnen hat, neue Kategorien der Bevölkerung einzuführen: Behinderte und ihre Betreuer, Flug- und Schiffspersonal, Diplomaten und Sportler, die für internationale Wettkämpfe registriert sind. Ältere und krankheitsanfällige Personen sollen prioritär geimpft werden. Auf der Internetplattform für die Terminplanung der Impfungen werden entsprechende Änderungen vorgenommen: 25% der Impfdosen sollen Angestellte aus den wesentlichen Lebensbereichen erhalten, die restlichen 75% erhalten die anfälligen Personen. Die aktuellen Infektionszahlen: fast 2900 neue Fälle bei über 30.000 Tests sowie 69 Tote. Die meisten Neuinfektionen der letzten 24 Stunden meldeten Bukarest sowie die Landkreise Temesch und Klausenburg.



    Rumäniens Justizminister Stelian Ion hat sich am Donnerstag in einer Videokonferenz mit dem EU-Justizkommissar Didier Reynders ausgetauscht. Ion teilte seinem Gegenüber die Entscheidung der Regierung mit, vorrangig bis Ende Februar den Entwurf zur Abschaffung der umstrittenen Abteilung für die Untersuchung von Straftaten in der Justiz zu verabschieden. Weitere Diskussionsthemen betrafen den Rechtsstaatlichkeitsmechanismus und seine Verbindung zum Kooperations- und Überprüfungsmechanismus, die Operationalisierung der Europäischen Staatsanwaltschaft, die Umsetzung von EU-Richtlinien sowie die Digitalisierung der Justiz in Rumänien. Kommissar Reynders erklärte sich bereit, mit den rumänischen Behörden zusammenzuarbeiten, um die Vorhersehbarkeit und Nachhaltigkeit des Justizreformprozesses sicherzustellen. Die Stabilität, Berechenbarkeit und Kohärenz der Justizgesetze stellten für das Justizministerium Prioritäten dar, wobei die korrekte und vollständige Umsetzung aller EU-Richtlinien eine Priorität des Regierungsprogramms sei, so Justizminister Stelian Ion.



    Die Polizei hat am Donerstag in der Hauptstadt und in Călăraşi, einer Stadt im Süden Rumäniens, die Wohnungen mehrerer Personen durchsucht, die der Leistungserschleichung in der Covid-Pandemie verdächtigt werden. Die Ermittlungen haben ergeben, dass 11 Personen fast ein Jahr lang mit falschen Dokumenten von der Agentur für Sozialleistungen Zulagen in Höhe von 4.500 Lei (etwa 900 Euro) pro Monat beantragt und erhalten haben. Nach Angaben der Polizei muss die genaue Höhe des Schadens noch ermittelt werden.



    Der Demokrat Joe Biden ist seit Mittwoch der 46. Präsident der Vereinigten Staaten. Er legte den Amtseid im Rahmen einer untypischen Zeremonie ab: Angesichts der Pandemie wurden die Menschenmengen, die normalerweise zu einem deartigen Anlass in Washington präsent sind, durch fast 200.000 Flaggen ersetzt. Rumäniens Spitzenpolitiker gratulierten Biden und äußerten in ihren Botschaften die Überzeugung, dass Bukarest und Washington die für beide Länder vorteilhafte strategische Partnerschaft im Geiste wahrer transatlantischer Werte weiterentwickeln werden. Wir werden unsere Allianzen reparieren und zur Weltgemeinschaft zurückkehren, versprach Präsident Biden in seiner Antrittsrede.



    Die Zentrale Kommission für die Volks- und Wohnungszählung 2021 verschiebt die für dieses Jahr geplante Volkszählung wegen der Covid-19-Pandemie um ein Jahr, teilte das Nationale Institut für Statistik mit. Vom 1. Februar bis zum 31. März 2021 findet eine Probezählung statt, und vom 1. Februar bis zum 17. Juli 2022 wird die Bevölkerungs- und Wohnungszählung durchgeführt. Die endgültigen Ergebnisse werden nach dem Zeitplan von Eurostat im Dezember 2023 veröffentlicht. Nach Angaben des Nationalen Statistischen Instituts wird dies die erste Volkszählung sein, die hauptsächlich online durchgeführt wird.



    Am Donnerstag ist der Opfer des Bukarester Pogroms vom Januar 1941 gedacht worden. Das Bukarester Pogrom, bei dem vor 80 Jahren 125 Juden ermordet wurden, war der Höhepunkt des Aufstandes der Eisernen Garde im Antonescu-Regime. Die sogenannten Legionäre verhafteten, folterten und ermordeten Juden, stahlen ihr Eigentum, plünderten ihren Besitz, schändeten und zerstörten Gräber und Synagogen.

  • Réactions roumaines après l’installation de Joe Biden à la tête de l’administration américaine

    Réactions roumaines après l’installation de Joe Biden à la tête de l’administration américaine

    Le début du mandat du démocrate Joe Biden à la Maison Blanche a soulevé une vague d’optimisme et de confiance parmi les responsables politiques de Roumanie, qui se sont empressés de féliciter le nouveau leader américain. Dans un message sur Twitter, le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, s’est dit persuadé que Washington et Bucarest continueront à renforcer leur partenariat stratégique au bénéfice des deux peuples, dans l’esprit des véritables valeurs transatlantiques. Les Etats-Unis représentent un modèle pour la Roumanie qui partage « les valeurs fondamentales américaines, telles la liberté, la suprématie de la loi et la démocratie », a affirmé pour sa part le vice-premier ministre roumain, Dan Barna, leader de l’USR. Le début du mandat de Joe Biden a également été salué par Marcel Ciolacu, à la tête du PSD, principal parti d’opposition. Il a plaidé en faveur d’un élargissement du Partenariat bilatéral stratégique afin qu’il reste bénéfique aux deux parties.

    Des messages optimistes et pleins d’espoir ont été formulés à travers le monde entier. « Les Etats-Unis sont de retour et l’Europe est prête à renouer avec un ancien partenaire de confiance pour donner une nouvelle vie à notre précieuse alliance, a transmis, via Twitter, la cheffe de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui s’est dit impatiente de commencer à collaborer avec Joe Biden. « Une Amérique unie et engagée avec l’OTAN, l’Europe et le monde représente une garantie de paix, de démocratie, de sécurité et de prospérité commune » a affirmé pour sa part, l’adjoint au secrétaire général de l’Alliance de l’Atlantique Nord, le roumain Mircea Geoana.

    « C’est le jour de l’Amérique. C’est le jour de la démocratie. Une journée d’histoire et d’espoir, de renouveau et de détermination. Aujourd’hui, nous célébrons le triomphe non pas d’un candidat mais d’une cause, la cause de la démocratie. Nous avons appris à nouveau que la démocratie est précieuse, que la démocratie est fragile et, à cette heure, mes amis, la démocratie l’a emporté.» a lancé Joe Biden lors de la cérémonie d’investiture. « On reconstruira nos alliances et on reviendra au sein de la communauté internationale non pas pour relever les défis d’hier, mais pour tenir bon face aux défis d’aujourd’hui et de demain. On gouvernera non seulement à travers notre puissance, mais aussi à travers la force de notre exemple », a déclaré le nouveau leader de la Maison Blanche.

    Dès son installation, le 46ème président américain a voulu respecter ses promesses de campagne et revenir sur certaines politiques controversées adoptées par son prédécesseur. Il a donc signé entre autres, un ordre qui permet le retour des Etats-Unis dans l’accord de Paris sur le climat. Il a également décidé de bloquer le retrait de son pays de l’OMS et il a révoqué un décret migratoire controversé, adopté par son prédécesseur pour interdire aux ressortissants de pays en majorité musulmans d’entrer aux Etats-Unis. Sur les 17 décrets signés le premier jour de son mandat figure également un qui suspend les travaux de construction d’un mur à la frontière avec le Mexique, un projet en tête de l’agenda de l’ancien président, Donald Trump. (Trad.Ioana Stancescu)

  • Reacții din România la inaugurarea noului președinte american

    Reacții din România la inaugurarea noului președinte american

    Preluarea mandatului la Washington de către democratul Joe Biden a fost primită cu optimism și încredere la București, de unde liderii politici au transmis mesaje de felicitare noului preşedinte al SUA. Într-o postare pe Twitter, preşedintele Klaus Iohannis și-a exprimat convingerea că Bucureştiul şi Washingtonul vor continua să dezvolte Parteneriatul Strategic, în beneficiul celor două popoare, care vor lucra în spiritul unor veritabile valori transatlantice.



    Statele Unite reprezintă un model pentru România, iar “valorile fundamentale americane – precum libertatea, domnia legii şi democraţia – sunt şi ale noastre”, a declarat, la rândul său, vicepremierul Dan Barna, liderul USR. Preluarea mandatului de către Joe Biden a fost salutată și de Marcel Ciolacu, liderul principalului partid de opoziție, PSD, care a afirmat că doreşte ca parteneriatul dintre România şi SUA să fie extins şi benefic ambelor ţări.



    Reacţii de optimism şi uşurare au fost, de altfel, în întreaga lume după învestirea lui Joe Biden. “SUA s-a întors. Şi Europa este pregătită. Pentru a relua legăturile cu un partener vechi şi de încredere, pentru a da viaţă nouă alianţei noastre preţioase. Aştept cu nerăbdare să colaborez cu Joe Biden” — a transmis pe Twitter preşedinta Comisiei Europene, Ursula von der Leyen.



    “O Americă unită în interior şi implicată în NATO, Europa şi în lume reprezintă o garanţie pentru pacea, democraţia, securitatea şi prosperitatea noastre comune”, a apreciat pe pagina sa de Facebook și secretarul general adjunct al Alianţei Nord-Atlantice, românul Mircea Geoană.



    “Democraţia a învins. Aceasta este ziua Americii. Aceasta este ziua democraţiei. O zi de istorie şi speranţă. Astăzi sărbătorim un triumf nu al unui candidat, ci al unei cauze. Voinţa poporului a fost auzită. Am învăţat din nou că democraţia este preţioasă şi că democraţia este fragilă”, a afirmat Joe Biden, în momentul învestiturii. “Ne vom repara alianţele şi vom reveni în comunitatea mondială, nu pentru a face faţă provocărilor de ieri, ci pentru a face faţă celor de astăzi şi de mâine şi vom conduce nu numai prin exemplul puterii noastre, ci prin puterea exemplului nostru”, a declarat noul lider de la Casa Albă.



    Al 46-lea preşedintele american a ţinut să îşi respecte chiar din prima zi promisiunile făcute în campanie privind anularea unora dintre cele mai controversate politici ale lui Donald Trump. El a semnat, între altele, un ordin executiv de reintrare a Statelor Unite în acordul climatic de la Paris, a decis să pună capăt retragerii SUA din Organizaţia Mondială a Sănătăţii şi a revocat interdicţia călătoriei în America a cetăţenilor unor state, în majoritate musulmane.



    Între cele 17 ordine executive semnate în chiar prima zi de mandat se numără și unul care pune capăt construcţiei zidului la graniţa dintre SUA şi Mexic, zid care a fost una dintre piesele centrale ale agendei fostului preşedinte Trump.

  • Lideri români l-au felicitat pe noul preşedinte american

    Lideri români l-au felicitat pe noul preşedinte american

    Mai mulţi lideri români l-au felicitat pe noul preşedinte american, Joe Biden. Preşedintele României, Klaus Iohannis, le-a transmis felicitări omologului său american, Joe Biden, şi vicepreşedintelui Kamala Harris. Sunt convins că împreună vom continua să dezvoltăm şi să aprofundăm Parteneriatul Strategic în beneficiul popoarelor noastre şi să lucrăm în adevăratul spirit al valorilor transatlantice, a scris Iohannis pe Twitter.



    Preşedintele Senatului, Anca Dragu, a transmis şi ea felicitări administraţiei Biden – Harris, odată cu depunerea jurământului celor doi în funcţia de preşedinte, respectiv vicepreşedinte al SUA. O nouă etapă pentru democraţia americană începe azi. O nouă şansă apărută în lupta împotriva schimbărilor climatice şi pentru promovarea creşterii economice sustenabile şi incluzive, a scris Dragu pe Facebook.



    Vicepremierul Dan Barna a scris că România şi SUA au un parteneriat strategic pe care îl dorim continuat şi dezvoltat, avem relaţii economice cu potenţial de a creşte la un nivel mult mai mare şi mai ales avem de cultivat o prietenie pe care să o lăsăm moştenire celor care vor veni după noi. Valorile fundamentale americane precum libertatea, domnia legii şi democraţia sunt şi ale noastre, a scris Barna pe Facebook.



    Liderul PSD, Marcel Ciolacu, a salutat preluarea de către Joe Biden a mandatului de preşedinte al SUA şi s-a arătat convins că parteneriatul cu România va fi extins. Sunt convins că noua majoritate democrată va permite Statelor Unite să continue să rămână un model de democraţie şi ne dorim ca parteneriatul cu România să fie extins şi benefic ambelor părţi, a declarat preşedintele PSD.