Tag: PIB

  • 09.12.2014 (mise à jour)

    09.12.2014 (mise à jour)

    Négociations — Le cabinet de Bucarest et les représentants du FMI, de la Banque Mondiale et de la Commission européenne, ont abouti ce mardi à un accord sur le budget 2015. Aux dires du premier ministre Victor Ponta, les deux parties ont décidé de fixer le déficit budgétaire à 1,83% du PIB. Le chef du cabinet de Bucarest a assuré que le budget 2015 ne prévoyait aucune majoration de taxes et d’impôts. Les mesures déjà entrées en vigueur, aussi bien celles de stimulation de l’économie roumaine que celles à portée sociale figurent également dans la loi du budget 2015. La croissance économique est estimée à 2,5% du PIB, soit à un taux égal à celui de 2014. Le projet du budget d’Etat 2015 reposera sur l’accord conclu ce mardi. Il sera soumis au vote du Parlement de Bucarest le 21 décembre, à également déclaré Victor Ponta. La mission des bailleurs de fonds devrait être de retour en Roumanie en janvier 2015.



    Présidence — Le premier ministre britannique, David Cameron, a félicité le nouveau chef dEtat roumain élu, Klaus Iohannis, pour sa victoire aux élections présidentielles du mois dernier, peut-on lire dans une lettre publiée sur le compte Facebook de lAmbassade britannique de Bucarest. David Cameron met en exergue les thématiques promues par Klaus Iohannis, durant sa campagne, à savoir la lutte contre la corruption, la responsabilisation et la transparence accrue des institutions du pays en matière de décisions importantes. La Grande Bretagne est prête à appuyer vos démarches pour accomplir ces changements, précise le chef du gouvernement britannique dans sa lettre au président roumain élu. De même, David Cameron attend collaborer avec Klaus Iohannis sur plusieurs dossiers sensibles pour les Européens, dont la crise en Ukraine ou encore les réformes à mettre en oeuvre dans lespace communautaire.



    Hélicoptères — A Brasov, dans le centre de la Roumanie, les usines Eurocopter Roumanie ont achevé un contrat de modernisation d’hélicoptères Puma appartenant à la Royal Air Force. La valeur du contrat s’est chiffrée à 300 millions d’euros.



    Justice – 3 jours durant, des experts de la Commission Européenne examinent à Bucarest les progrès enregistrés par la Roumanie en matière de réforme de la justice et de lutte contre la corruption. Cette mission fait partie du Mécanisme de Coopération et de Vérification. Plusieurs dossiers restent sous la loupe des experts : la lutte contre la corruption, la levée de l’immunité et de cadre législatif relatif aux incompatibilités. Le prochain rapport du Mécanisme de Coopération et de Vérification sera publié à Bruxelles en janvier ou février 2015. Les représentantions diplomatiques à Bucarest des Etats-Unis, de la Grande Bretagne et des Pays Bas ont par ailleurs publié lundi un message d’encouragement à la Roumanie, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre la corruption. Les signataires estiment que la Roumanie dispose de systèmes bien mis au point, de législation et d’institutions qui servent à prévenir et à punir les actes de corruption. Toutefois, le pays doit toujours relever des défis considérables, estiment-ils encore, soulignant que les Roumains devraient s’impliquer davantage dans la vie sociale et politique afin de consolider l’Etat de droit.



    Météo — Le temps reste très morose en Roumanie. Une dizaine de départements du sud de la Roumanie sont, jusquà jeudi, en vigilance orange aux inondations, tandis quune vigilance jaune aux pluies, verglas, chutes de neiges et vent concerne une trentaine dautres départements du sud, du nord-est et des régions montagneuses. Les pluies et les crues ont déjà endommagé des milliers dhectares de terre agricole et des centaines dhabitations. Elles ont également provoqué des glissements de terrains et perturbé le trafic routier. Les températures doivent sencadrer entre moins 4 et 6 degrés.

  • 04.12.2014 (mise à jour)

    04.12.2014 (mise à jour)

    Visite — Le président élu de la Roumanie, Klaus Iohannis, effectue, du 4 au 11 décembre, une visite privée aux Etats-Unis. Après le scrutin de novembre, l’administration de Washington la félicité pour sa victoire électorale, soulignant que les relations entre les Etats-Unis et la Roumanie devraient rester solides, vu que Bucarest est un « partenaire stratégique important ». Le vice-président américain Joe Biden a félicité par téléphone Klaus Iohannis, soulignant que l’importante présence aux urnes enregistrée cet automne témoignait de la solidité et de la santé de la démocratie roumaine. La semaine dernière, Klaus Iohannis s’est rendu en République de Moldova, où il a rencontré le président Nicolae Timofti.



    Budget — Le Fonds monétaire international et la Commission européenne soutiennent le rectificatif budgétaire approuvé mercredi par le cabinet de Bucarest, a précisé le ministre chargé du budget, Darius Vâlcov. Conformément à ce rectificatif, la santé et la défense se verront allouer davantage de fonds. D’autres sommes d’argent seront accordées pour couvrir les arriérés de salaires dues au personnel du secteur budgétaire. Ce rectificatif a été possible grâce à une meilleure absorption des fonds européens et à des recettes budgétaires supplémentaires, affirme l’Exécutif. Une mission du FMI et de la Commission européenne se trouve à Bucarest pour des pourparlers avec les autorités roumaines en marge du projet de la loi du budget d’Etat 2015.



    Economie — L’économie grise de la Roumanie est estimée à près de 29% du PIB national, un taux supérieur à la moyenne européenne de 19%, selon une étude réalisée par les sociétés PricewaterhouseCoopers et Mastercard. Le document propose aussi une série de mesures censées réduire l’évasion fiscale, qui ont déjà été adoptées dans d’autres pays. Parmi eux, limiter les paiements quotidiens en liquide, organiser des loteries fiscales et obliger les commerçants à utiliser des caisses fiscales connectées aux systèmes des autorités fiscales. En Roumanie, la masse monétaire en circulation qui favorise le développement de l’économie grise compte pour 60% du PIB, soit six fois de plus que la moyenne de l’UE.



    Programme spatial — La Roumanie deviendra co-propriétaire de la Station spatiale internationale et contribuera au développement de la plus récente fusée européenne Ariane 6, a annoncé le ministre roumain chargé de la recherche, Mihnea Costoiu. Il a précise que la participation de la Roumanie à ce programme, aux côtés de 11 autres Etats, était une chance pour l’industrie spatiale roumaine, qui pourra démontrer sa compétitivité. La Roumanie deviendra co-propriétaire de la station, aux côtés d’autres pays européens et partenaires internationaux (Etats-Unis, Canada, Russie et Japon). L’Europe a décidé d’allouer 8 milliards d’euros au développement de fusées porteuses durant les 10 années à venir. La moitié de cette somme sera allouée à la fusée Ariane 6, qui devrait s’envoler en 2020.



    Visas – Le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest a salué l’annonce des autorités américaines au sujet de la baisse du taux de rejet des demandes de visas déposées par les citoyens roumains. Durant l’année fiscale 2013 — 2014, moins de 10% des demandes de visas ont été rejetées à Bucarest. Selon un communiqué de la diplomatie roumaine, cette évolution ne fait que consolider la tendance à la baisse enregistrée entre 2010 et 2014. Le ministère roumain des Affaires étrangères espère que cette tendance se maintiendra l’année prochaine aussi, vu qu’elle témoigne des progrès enregistrés par la Roumanie en vue de son inclusion au programme Visa Waiver, d’élimination des visas de voyage aux Etats-Unis.



    Réunion — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu, s’est entretenu jeudi avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry, en marge de la réunion du Conseil ministériel de l’OSCE, organisé à Bâle, en Suisse. L’occasion pour l’officiel roumain de réaffirmer l’engagement de la Roumanie à développer le Partenariat stratégique avec les Etats-Unis, considéré comme un pilier central de la politique étrangère de Bucarest. Le chef de la diplomatie roumaine a adressé à John Kerry l’invitation d’effectuer une visite officielle à Bucarest en 2015, dans le contexte, notamment, du 135e anniversaire des relations diplomatiques roumano-américaines. Les deux hommes ont également abordé la question des préparatifs à la base militaire de Deveselu (dans le sud de la Roumanie), qui va accueillir des éléments du bouclier américain antimissile en Europe, ainsi que la situation politique en République de Moldova, après les élections législatives organisées dimanche dernier. Par ailleurs, dans son discours prononcé à la réunion de l’OSCE, le chef de la diplomatie roumaine a fait référence à la sécurité européenne, sur la toile de fond du conflit ukrainien et de la persistance des conflits gelés dans la région de la Mer noire. A l’agenda du ministre roumain des affaires étrangères ont également figuré des entrevues avec ses homologues hongrois, Peter Szijjarto, et géorgien, Tamar Beruchashvili.


  • 04.12.2014

    04.12.2014

    Budget — Le Fond monétaire international et la Commission européenne soutiennent le rectificatif budgétaire approuvé ce mercredi par le cabinet de Bucarest, a précisé le ministre chargé du budget Darius Vâlcov. Conformément à ce rectificatif, la santé et la défense se verront allouer davantage de fonds. D’autres sommes d’argent seront accordées pour couvrir les arriérés de salaires dues au personnel du secteur budgétaire. Ce rectificatif a été possible grâce à une meilleure absorption des fonds européens et d’arrivée de recettes budgétaires supplémentaires, affirme l’exécutif. Une mission du FMI et de la Commission européenne se trouve à Bucarest pour des pourparlers avec les autorités roumaines en marge du projet de la loi du budget d’Etat 2015.



    Economie — L’économie grise de la Roumanie est estimée à près de 29% du PIB national, un taux supérieur à la moyenne européenne de 19%, selon une étude réalisée par les sociétés PricewaterhouseCoopers et Mastercard. Le document propose aussi une série de mesures censées réduire l’évasion fiscale, qui ont déjà été adoptées dans d’autres pays. Parmi eux, limiter les payements quotidiens en liquide, organiser des loteries fiscales et obliger les commerçants d’utiliser des caisses fiscales connectées aux systèmes des autorités fiscales. En Roumanie, la masse monétaire en circulation, qui favorise le développement de l’économie grise compte pour 60% du PIB, soit six fois de plus que la moyenne de l’UE.



    Visite — Le président élu de la Roumanie, Klaus Iohannis, fera du 4 au 11 décembre une visite privée aux Etats-Unis. Après le scrutin de novembre, l’administration de Washington a félicité Iohannis pour sa victoire électorale, soulignant que les relations entre les Etats-Unis et la Roumanie devraient rester solides, vu que Bucarest est un « partenaire stratégique important ». Le vice-président américain Joe Biden a félicité par téléphone M Iohannis soulignant que l’importante présence aux urnes enregistrée cet automne témoignait de la solidité et de la santé de la démocratie roumaine. La semaine dernière, Klaus Iohannis s’est rendu en République de Moldova, où il a rencontré le président Nicolae Timofti.



    Spatial — La Roumanie deviendra co-propriétaire de la Station spatiale internationale et contribuera au développement de la plus récente fusée européenne Ariane 6, a annoncé le ministre roumain chargé de la recherche, Mihnea Costoiu. Il a précise que la participation de la Roumanie à ce programme, aux côtés de 11 autres Etats, était une chance pour l’industrie spatiale roumaine, qui pourra démontrer sa compétitivité. La Roumanie deviendra co-propriétaire de la station, aux côtés d’autres pays européens et partenaires internationaux (Etats-Unis, Canada, Russie et Japon). L’Europe a décidé d’allouer 8 milliards d’euros au développement de fusées porteuses durant les 10 années à venir. La moitié de cette somme sera allouée à la fusée Ariane 6, qui devrait s’envoler en 2020.



    Visas – Le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest a salué l’annonce des autorités américaines au sujet de la baisse du taux de rejet des demandes de visas déposées par les citoyens roumains. Durant l’année fiscale 2013 — 2014, moins de 10% des demandes de visas ont été rejetées à Bucarest. Selon un communiqué de la diplomatie roumaine, cette évolution ne fait que consolider la tendance à la baisse enregistrée entre 2010 et 2014. Le ministère roumain des Affaires Etrangères espère que cette tendance se maintient l’année prochaine aussi, vu qu’elle témoigne des progrès enregistrés par la Roumanie en vue de son inclusion au programme Visa Waiver, d’élimination des visas de voyage aux Etats-Unis.



    Américain — Le secrétaire américain d’Etat John Kerry est à Bâle, en Suisse, pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov, en marge de la conférence ministérielle annuelle de l’OSCE en Europe. Le responsable américain s’est déjà entretenu avec le président suisse Didier Burkhalter qui occupe également le fauteuil de président de l’organisation en 2014. La conférence de Bâle se déroule deux jours après une réunion ministérielle de l’OTAN à Bruxelle, où la Russie a été critiquée pour avoir soutenu les rebelles séparatistes dans l’est de l’Ukraine. A la réunion de l’OSCE à Bâle, la Roumanie est représentée par son ministre des Affaires Etrangères Bogdan Aurescu.

  • 03.12.2014 (mise à jour)

    03.12.2014 (mise à jour)

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration des taxes et impôts lors des discussions avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Vâlcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l’année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur de la Communication et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les intermédiations financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse de 0,5% du PIB.



    Corruption — Le député démocrate-libéral Cătălin Teodorescu fera l’objet de poursuites pénales sous contrôle judiciaire. La mesure du contrôle judiciaire a été imposée après que la Chambre des députés eut rejeté la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à sa mise en détention provisoire. Par contre, les députés ont approuvé la demande similaire qui concerne un représentant de l’Union Démocratique des Magyars de Roumanie, à savoir Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans une affaire relative au dédommagement accordé pour un terrain surévalué situé dans la capitale, Bucarest. Dans ce même dossier, l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica, a été accusée et placée en détention provisoire. Le manque à gagner pour l’Etat roumain est estimé à plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, ce sont le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine sont confrontées, toutes les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International, qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant – Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euros le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, s’est entretenu mercredi à Bruxelles avec le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. L’officiel roumain a déclaré que l’Alliance Nord-atlantique devait continuer à prêter attention à la sécurité dans la région de la Mer noire, y compris en poursuivant les exercices conjoints, l’échange d’informations et les évaluations. Bogdan Aurescu a également réitéré la disponibilité de Bucarest à accueillir sur le sol roumain des éléments otaniens de commandement et de contrôle. Le ministre roumain des affaires étrangères a également eu une entrevue avec son homologue français, Laurent Fabius. Les deux hommes ont décidé de la mise en place d’un mécanisme de consultations régulières entre les ministères qu’ils dirigent sur des questions européennes et de sécurité. Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a participé à Bruxelles à la première réunion de la coalition internationale de lutte contre l’organisation djihadiste Etat Islamique. La Roumanie s’est engagée à soutenir les efforts de la coalition notamment par des mesures d’aide humanitaire, sa participation ne comportant donc pas de volet militaire.



    Nucléaire — Le ministre roumain de l’environnement, Attila Korodi, a convoqué mercredi le Comité ministériel pour les situations d’urgence, afin d’examiner toutes les informations relatives à l’incident survenu à la centrale nucléaire de Zaporojie, dans le sud-est de l’Ukraine, à près de 500 km de la frontière avec la Roumanie. Cette centrale nucléaire, la plus grande d’Europe, avait subi une défaillance technique le 28 novembre dernier, mais il n’y a aucune menace démission de matières radioactives, selon le ministre ukrainien de lénergie, Volodymyr Demtchichine. La centrale devrait retrouver sa pleine puissance le vendredi 5 décembre. L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire de France a lui aussi fait savoir que l’incident ne posait aucun danger pour la population ni pour l’environnement. L’Ukraine été le théâtre de la pire catastrophe nucléaire de lhistoire en 1986, lorsqu’une explosion à la centrale de Tchernobyl a relâché un nuage radioactif sur lEurope et lUkraine, la Russie et la Biélorussie.








  • 03.12.2014

    03.12.2014

    Budget — La partie roumaine ne formulera aucune proposition de majoration de taxes et d’impôts à loccasion des pourparlers avec les grands bailleurs de fonds, a déclaré le ministre délégué au Budget du gouvernement roumain, Darius Valcov. Une mission commune d’experts du FMI et de la Commission Européenne se trouve à Bucarest jusqu’au 10 décembre pour des discussions avec les autorités roumaines au sujet du projet de la loi du budget 2015. Avant son élaboration, le gouvernement roumain a annoncé un dernier collectif budgétaire d’ici la fin de l’année.



    Economie — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,8% au troisième trimestre de l”année en cours par rapport au trimestre précédent et une avancée du PIB de 2,8% sur les neuf premiers mois de l’année, selon les données préliminaires fournies ce mercredi par l’Institut national de la Statistique. Selon cette source, les contributions les plus importantes à la majoration du PIB sont dues à l’industrie – 30% du PIB et au secteur des Communications et de l’Information – 5,2%. Par ailleurs, les transactions financières, les assurances et la diminution du volume des activités dans le secteur du Bâtiment ont eu un impact négatif sur le PIB. Selon les données fournies à la mi-novembre par l’Institut national de la Statistique, l’économie roumaine a évité la récession technique, suite à une hausse du PIB de 0,5%.



    Corruption — Les députés roumains décident ce mercredi s’ils approuvent ou non la demande formulée par la Direction nationale anticorruption de consentement à la mise en détention provisoire de leurs collègues Catalin Teodorescu er Marko Attila. Les deux sont poursuivis dans le cadre d’une affaire de rétrocession illégale dans laquelle l’ex procureure en chef de la Direction d’investigation du crime organisé et du terrorisme, Alina Bica a été accusée et placée en détention provisoire. Selon les procureurs, le préjudice porté à l’Etat dans ce dossier a été de plus de 60 millions d’euros.



    Classement – La Roumanie reste en 2014 aussi le pays européen le plus corrompu, selon le 20e rapport annuel de lONG Transparency International. Notre pays se situe 69ème dans le classement de 175 pays pris en compte, à égalité avec le Brésil, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie et le Sénégal. Au niveau mondial, c’est le Soudan, la Corée du Nord et la Somalie qui figurent en queue du classement, tandis qu’au pôle opposé se trouvent le Danemark, la Nouvelle Zélande et la Finlande. Malgré une croissance économique en flèche, la Turquie et la Chine se confrontent, les deux, à un niveau élevé de corruption, avertit Transparency International qui insiste dans son rapport sur les difficultés auxquelles se heurtent les pays émergeants dans leur lutte contre le fléau de la corruption.



    Carburant — Selon une étude publiée par Bloomberg, la Roumanie pointe en tête de classement concernant le prix du carburant, classée 30e sur 61 pays à travers le monde. Elle est toutefois le onzième pays où lessence est la plus chère compte tenu du rapport entre le niveau de vie de ses habitants et les prix à la pompe. La Norvège est le pays en tête du classement, où lessence est la plus chère (2 euro le litre), tandis que le Venezuela est le pays où le carburant est meilleur marché, où le litre dessence ne coûterait quun centime deuro le litre. Des prix inférieurs à ceux pratiqués en Roumanie se trouvent en Bulgarie, Lituanie, Estonie et Hongrie.



    Coalition — La coalition internationale contre le groupe Etat islamique se réunit aujourd’hui, en première, à Bruxelles. Les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la coalition et le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, discutent ce mercredi de la stratégie politique et militaire, de la participation des combattants étrangers aux côtés des forces djihadistes de Syrie et Irak, tout comme de l’aide humanitaire destinée aux réfugiés. La Roumanie est représentée à Bruxelles par le chef de sa diplomatie, Bogdan Aurescu. Rappelons que Bucarest a rejoint la coalition internationale contre le groupe Etat islamique pour offrir du soutien humanitaire et logistique.



    Moldova – Les leaders des partis pro-européens du Parlement de la République de Moldova poursuivent leurs négociations en vue de former un nouvel exécutif. Au scrutin législatif de dimanche, les partis libéral démocrate, démocrate et libéral, membres de la coalition gouvernementale en place, ont obtenu ensemble 55 mandats de député sur les 101 que compte le Parlement de Chisinau. Le gouvernement moldave espère obtenir pour la République de Moldova le statut de candidat à l’UE en 2017 et celui de pays membre, en 2020. Les 46 autres mandats de parlementaire ont été remportés par les socialistes et communistes pro-russes. Les communistes exigent la renégociation des accords d’association et de libre échange avec l’UE, tandis que les socialistes souhaitent abandonner définitivement le trajet européen au profit de l’union douanière contrôlée par la Russie.



    Intempéries – En Roumanie, il continue à faire froid. Le ciel est variable sur le nord-est et le centre du pays et plutôt couvert sur le reste du territoire. Il pleut sur le sud-ouest et il neige à la montagne. La vitesse du vent devra atteindre les 70, voire 80 km/h, et monter jusqu’à 90 km/h en haute montagne. En raison des fortes rafales de vent, des dizaines de navires restent bloqués sur le Danube, tandis que les manœuvres sont suspendus dans le port de Midia. Les maxima du jour vont de moins 4 à 11 degrés.

  • A la une de la presse roumaine – 2.12.2014

    A la une de la presse roumaine – 2.12.2014

    Dans une Roumanie enneigée, les échos de la présidentielle et l’avenir du pays sont les thèmes qui préoccupent le plus la presse bucarestoise du jour.


  • Jurnal românesc – 27.11.2014

    Jurnal românesc – 27.11.2014

    La Bucureşti sunt în plină desfăşurare pregătirile pentru parada militară de pe 1 Decembrie, de Ziua Naţională a României. Anul acesta, ea va avea loc în zona Palatului Parlamentului. Aproximativ 2.500 de militari din cadrul ministerelor Apărării şi de Interne, de la SRI şi SPP, cu peste 280 de mijloace tehnice, au efectuat, miercuri, o primă repetiţie. În ziua paradei vor zbura şi 40 de aeronave militare. Vor participa, totodată, cinci detaşamente cu militari din Polonia, SUA, Turcia, Franţa şi Republica Moldova.



    Guvernul de la Bucureşti a adoptat, miercuri, o hotărâre menită să faciliteze exercitarea dreptului la vot al elevilor şi studenţilor moldoveni aflaţi la studii în România în contextul în care, duminică, în Republica Moldova vor avea loc alegeri parlamentare. Astfel, elevii şi studenţii vor beneficia de o călătorie gratuită dus-întors pe calea ferată în ziua scrutinului pentru a se putea deplasa la una din cele 11 secţii de vot de pe teritoriul românesc. De rezultatul alegerilor de duminică, din Republica Moldova, depinde încotro se va îndrepta ţara. În competiţia electorală sunt înscrise partide pro-europene, cu un uşor avantaj în sondajele de opinie, precum şi formaţiuni politice care ar prefera o mai mare apropiere de Federaţia Rusă sau chiar reorientarea ţării către Uniunea vamală euro-asiatică.



    Deşi dificultăţile din zona euro nu vor permite o revenire la nivelul înregistrat înaintea crizei, ritmul redresării economiei româneşti îl va depăşi pe cel al majorităţii statelor din Europa emergentă în următorii doi ani, deoarece România se îndreaptă spre un model de creştere bazat mai mult pe cererea internă — potrivit unui raport al publicaţiei Emerging Europe Monitor. Aceasta prognozează că PIB-ul României va înregistra o creştere de 3,4% în 2015 şi de 3,6% în 2016. În octombrie, Fondul Monetar Internaţional a revizuit în creştere, la 2,4%, estimările referitoare la avansul din acest an al Produsului Intern Brut. În 2013, economia românească a înregistrat o creştere de 3,5%, una din cele mai ridicate din Europa.



    Deţinuţii români care execută pedepse în Europa vor citi cărţi în limba română prin grija Administraţiei Naţionale a Penitenciarelor şi a Institutului Eudoxiu Hurmuzachi pentru românii de pretutindeni. Cele două instituţii şi-au propus, prin derularea proiectului Carte pentru deţinuţii români aflaţi în sistemele penitenciare din alte ţări, să colecteze cărţi în limba română pentru crearea, prin donaţie, a unui fond de carte destinat realizării de biblioteci. Până în prezent, au fost colectate aproximativ 4.800 de volume. O parte din acestea vor ajunge, în perioada următoare, în sistemul penitenciar spaniol, prin intermediul preoţilor misionari desemnaţi de Mitropolia Ortodoxă a Europei Occidentale şi Meridionale – Episcopia Ortodoxă Română a Spaniei şi Portugaliei. Vor primi cărţi în limba maternă şi deţinuţii români din Grecia, Italia, Belgia şi Marea Britanie.



    În incinta Complexului Sportiv Lia Manoliu din imediata apropiere a Arenei Naţionale din Bucureşti s-a deschis Academia de Tenis. Construită pe o suprafaţă de 11.700 mp, la standarde internaţionale, Academia dispune de trei tipuri de suprafeţe de joc — zgură, acrilic multistrat cu baza cauciucată şi prefabricat din cauciuc. Are şase terenuri de tenis cu gradene care asigură 1.152 de locuri, precum şi nocturnă, plus infrastructura logistică necesară desfăşurării în cele mai bune condiţii a sportului de masă şi competiţional. Academia de Tenis se adresează, în principal, elevilor şi şcolilor sportive care pot încheia cu Municipalitatea protocoale de colaborare. După terminarea cursurilor, Academia de Tenis este deschisă publicului larg. În toamna anului viitor se va instala şi un balon pentru toate suprafeţele de joc, astfel încât Academia să poată fi funcţională pe tot parcursul anului.

  • La semaine du 10 au 15 novembre 2014

    La semaine du 10 au 15 novembre 2014

    1. Ce dimanche a lieu le second tour du scrutin présidentiel en Roumanie



    Le second tour du scrutin présidentiel roumain en Roumanie opposera, ce dimanche, le premier ministre social-démocrate Victor Ponta, représentant de l’alliance formée par le Parti Social Démocrate, l’Union nationale pour le progrès de la Roumanie et le Parti Conservateur à Klaus Iohannis, leader de l’Alliance Chrétienne — libérale et maire de la ville de Sibiu, du centre du pays. Rappelons que Victor Ponta a remporté le premier tour de la présidentielle, du 2 novembre, avec 40,44% des voix, contre 30,37% pour son rival, Klaus Iohannis. Les autorités de Bucarest ont pris des mesures afin d’écarter les difficultés rencontrées dans certains bureaux de vote ouverts à l’extérieur du pays, plus précisément en Europe. Les milliers de Roumains qui n’ont pas réussi alors à exercer leur droit de vote ont dénoncé entre autres le nombre insuffisant des bureaux de vote et du personnel des commissions électorales. C’est sur cette toile de fond est survenue la démission du ministre roumain des affaires étrangères, Titus Corlăţean. L’ancien directeur du Service roumain des renseignements extérieurs, Teodor Meleşcanu, a pris la tête de la diplomatie roumaine. Afin d’optimiser le processus électoral au sein de la diaspora, au second tour du scrutin présidentiel du 16 novembre chacun des 294 bureaux de vote aménagés à l’étranger disposera de 7 isoloirs et de 7 cachets, soit le nombre admis par la loi. Tous les matériels nécessaires au processus de vote, dont 800.000 bulletins de vote, ont déjà été envoyés à l’étranger. .



    2. Le Législatif européen a ratifié l’Accord d’association entre l’ UE et la République de Moldova



    Le Parlement européen a ratifié jeudi à Bruxelles l’Accord d’Association de la République de Moldova à l’UE. Selon les eurodéputés, la ratification du document, qui s’accompagne aussi d’un accord de libre échange, représente la reconnaissance des réformes politiques et économiques mises en œuvre par Chisinau. Le ministère roumain des affaires étrangères a salué cette décision. Il a souligné que Bucarest continuerait à appuyer, y compris par des moyens financiers et techniques, la mise en place par les autorités moldaves de l’Accord d’Association, de sorte que la République de Moldova puisse atteindre, dans un proche avenir, l’objectif stratégique fondamental de la pleine intégration européenne du pays. Rappelons que la Roumanie a été le premier pays communautaire à ratifier cet accord, qui entrera en vigueur après sa validation par les Parlements des 28.



    3. Le social- démocrate Ioan Mircea Pasca élu au poste de vice président du Parlement européen



    L’eurodéputé social – démocrate, Ioan Mircea Pascu, a été élu à la majorité des voix au poste de vice – président du Parlement européen. Vice – président de la Commission chargée des Affaires Etrangères, Ioan Mircea Pascu s’est porté candidat à cette fonction après que la roumaine Corina Cretu a été désignée à la politique régionale au sein de la commission Juncker.



    4. La Commission européenne annonce des mesures de soutien des fermiers touchés par l’embargo russe



    Les ministres de l’agriculture de 21 Etats de l’UE, dont la Roumanie, ont demandé à la Commission européenne de garantir l’allocation dans le budget pour l’année prochaine de fonds suffisants pour aider les agriculteurs affectés par l’embargo russe, ainsi que pour d’autres crises qui pourraient apparaître. Il s’agit de compensations de 450 millions d’euros financées par le budget de la Politique agricole commune. La Commission européenne souhaite pourtant garder cette somme pour couvrir les déficits de l’actuel budget 2014 et financer les mesures de crise dans le secteur agricole (estimées à 344 millions d’euros) à partir de la réserve de crise spécifique. Une décision sera prise dans le cadre des négociations sur le budget de l’Union pour l’année prochaine, qui doit être finalisé la semaine prochaine.



    5. La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,9% sur le troisième trimestre de l’année



    Le PIB a augmenté de 0,9 % au troisième trimestre 2014 par rapport au trimestre antérieur, tandis que l’économie roumaine a affiché une croissance de 3,3% par rapport à la même période de l’année dernière, informe l’Institut National de la Statistique. Le FMI a révisé à la hausse ses estimations du PIB à 2,8%, en 2014, après qu’en 2013, le produit intérieur brut eut grimpé à 3,5%, l’un des taux les plus élevés d’Europe. Par ailleurs, les autorités de Bucarest tablent sur une croissance économique de 2,8% pour l’année en cours, alors qu’en 2013, celle-ci a été de 3,5%, l’une des plus grandes de l’Europe. D’autre part, une croissance de 2,4% de sa production industrielle en septembre par rapport au mois d’août a propulsé la Roumanie en cinquième position sur l’ensemble des autres Etats européens. Selon l’Eurostat, la production industrielle de l’UE et de la zone euro ont connu un bond de 0,6% au mois de septembre 2014, par rapport au mois précédent. Conformément à ces chiffres, au mois de septembre, la production industrielle a notamment augmenté en Croatie, en République Tchèque, en Irlande, en Hongrie et en Roumanie.

  • 14.11.2014

    14.11.2014

    Scrutin — Aujourd’hui c’est le dernier jour de campagne électorale pour le second tour du scrutin présidentiel. Plus de 18 millions d’électeurs sont attendus dimanche aux urnes pour décider qui sera le président de la Roumanie pour les 5 années à venir. Au premier tour, le 2 novembre, le candidat de l’alliance formée par le Parti social-démocrate — l’Union nationale pour le progrès de la Roumanie et le Parti Conservateur, l’actuel premier ministre social-démocrate Victor Ponta a remporté 40,44% des voix, alors que le représentant de l’Alliance Chrétienne-libérale (l’opposition de centre-droit), le maire de la ville de Sibiu, Klaus Iohannis a obtenu 30,37% des voix. Le premier a ciblé sa campagne sur l’idée de refaire l’unité du pays, après 10 ans de mandat présidentiel de Traian Basescu, responsable, selon Victor Ponta, d’avoir miné l’unité des Roumains. Pour sa part, Klaus Iohannis affirme être l’homme des actions et non pas des paroles, l’unique capable de garantir l’indépendance de la justice et l’Etat de droit. Les citoyens roumains domiciliés à l’étranger peuvent voter dans les 294 bureaux de vote organisés à l’extérieur du pays. Afin de remédier aux problèmes du premier tour du scrutin, les autorités ont pris des mesures censées simplifier le processus électoral, sans ouvrir pourtant de nouveaux bureaux de vote, comme l’avaient demandé certaines associations des Roumains de la diaspora.



    Statistiques — La Roumanie a enregistré une croissance économique de 1,9% durant le troisième trimestre de cette année par rapport au trimestre précédent et de 3,3% par rapport à la même période de l’année dernière, selon les estimations rendues publiques par l’Institut national de la statistique. Durant les neuf premiers mois de l’année, le PIB a progressé de 2,8%, un chiffre supérieur de 0,4% à celui enregistré au mois de juin, selon l’INS. Selon les chiffres publiés par l’Institut, l’économie roumaine a évité l’entrée en récession technique, puisqu’au premier trimestre de 2014, le PIB a augmenté de 0,5% après une baisse de 0,1%, alors que la régression du deuxième trimestre de l’année en cours a été de 0,3% seulement.



    Finances — Le ministère roumain des finances a expliqué dans un communiqué que l’institution n’a jamais imaginé de scénarios au sujet de l’élimination du taux unique d’imposition et de la possibilité d’augmenter l’impôts sur la propriété. Le ministère affirme que les impôts sur les bâtiments, les terrains et les moyens de transport seront maintenus à leurs niveaux actuels, si les conseils locaux ne décident pas de les majorer. La réaction du ministère intervient suite à des informations parues dans la presse, selon lesquels le gouvernement était sur le point d’éliminer le taux unique d’imposition de 16% et d’appliquer des taux progressifs de 15, 25 et 35% à partir de 2016, mais aussi d’augmenter les taxes locales de 25% à compter de l’année prochaine et de 25% en 2016.



    Foot — A Bucarest, la sélection nationale de foot rencontre ce vendredi dans la soirée l’Irlande du Nord, leader du groupe F des qualifications pour l’Euro 2016, qui se tiendra en France. C’est le quatrième match des footballeurs roumains qui ont jusqu’ici vaincu la Grèce et la Finlande et terminé à égalité face à la Hongrie. En cas de victoire, la Roumanie deviendra leader du groupe. C’est le premier match de l’équipe nationale après le retour de son sélectionneur, Anghel Iordanescu, le meilleur coach roumain du siècle dernier, par les résultats enregistrés dans les années 1990. Anghel Iordanescu remplace Victor Piturca qui a renoncé au poste de sélectionneur en faveur d’un contrat en Arabie Saoudite.



  • Estimations sur l’économie roumaine

    Par exemple, l’agence de notation STANDARD&POORS a récemment a estimé que la Roumanie a entamé une récession technique pendant la première moitié de 2014 avec deux trimestres consécutifs de contraction économique provoquée surtout par le niveau réduit des investissements déterminé, à son tour, par le bas niveau d’absorption des fonds européens. C’est la raison pour laquelle l’agence anticipe que la croissance économique de la Roumanie va ralentir cette année à 2,2%.



    Pourtant, pour la période 2015-2017, S&P estime une croissance moyenne du PIB de 2,7% avec une amélioration de la demande intérieure malgré le déclin de la population et des facteurs qui inhibent la croissance ainsi que l’infrastructure lacunaire. L’agence estime également que la Roumanie va attendre la cible du déficit budgétaire de 2,2% du PIB et le niveau de la dette publique continue de se maintenir en dessous de 40% pendant les trois années suivantes. A son tour , FITCH estime pour cette année une croissance économique de 2,2% tout en prévoyant une accélération de 2015 à 2016 jusqu’à un niveau de 3% chaque année sur la toile de fond de la reprise des investissements. Pour sa part, le Fonds Monétaire International a réduit son estimation visant la croissance économique de la Roumanie à 2,4% cette année, vis-à-vis d’une avance de 2,8% anticipé au mois de juin.



    Pour 2015 la prévision du FMI demeure inchangée — 2,5%. Il n’y a pas longtemps, l’Institut National des Statistiques a rendu publiques le prévisions à bref terme des gestionnaires des sociétés commerciales selon lesquels il y a une tendance de croissance modérée de l’activité dans l’industrie de transformation et dans les services, une stabilité relative dans le secteur du commerce de détail et une baisse modérée dans le secteur du bâtiment.



    En même temps, le nombre d’emplois serait légèrement inférieur dans le bâtiment, une croissance modérée dans le commerce de détail et une relative stabilité dans l’industrie de transformation et dans les services. L’analyste économique Aurelian Dochia dit que les gestionnaires des sociétés commerciales ont modifié leur perception à l’égard de la situation de cette année après l’évolution plutôt lente de certains pays de l’Union Européenne par rapport aux attentes du début de 2014 :”Il y a, en Roumanie aussi, une certaine relation par rapport à ce qui se passe en Europe en matière d’indicateurs nationaux car il est évident que bonne partie des entreprises roumaines dont la production est destinée à l’exportation sont influencées par ce qui se passe en Europe. C’est la raison pour laquelle je pense que ces indicateurs manifestent, généralement , une tendance de stagnation tandis que le secteur commercial montre un correction vis-à-vis des perspectives plus optimistes qui dominaient quelques lois auparavant, l’évolution est un peu plus tempérée actuellement. Si nous prenons ces indicateurs pour repère on ne saurait plus compter jusqu’à la fin de l’année sur un saut positif de la performance de croissance de notre économie. A la suite des deux premiers trimestres de baisse , l’ainsi dite récession technique dont on a discuté si amplement , on aura à faire , probablement, à un troisième trimestre plutôt stagnant. Il n’est pas question d’avoir une croissance très importante et, le plus probablement, sur l’ensemble de 2014 on aura une croissance vers 2% ou, même, en dessous de 2%.”



    On estime pour l‘année courante des exportation excédant le seuil de 50 milliards d’euros et Constantin Nità, ministre de l’économie, déclare que la Roumanie devra diversifier ses marchés d’exportation et qu’il s’attend à ce que dans les années suivantes, notre pays devienne un exportateur important d’énergie dans sa région. Pour intégrer le club des économies avancées, la Roumanie aurait besoin d’un rythme de croissance de 5%. Pour le moment, néanmoins, l’évolution économique se stabilise à un niveau de 2 à 3% : Pour le moment je ne crois pas avoir une croissance supérieure à 2 à 3%. Le contexte économique ne nous est pas favorable. Certes , il y a des variations. Il est bien possible que l’année prochaine soit meilleure. Deuxièmement , on ne peut pas faire de la performance et se présenter sur la marché extérieur lorsqu’il y a des endroits qui utilisent des équipements vieux de 40 ou 50 ans. » Conformément aux opinions de l’ONG intitulée Société Académiques Roumaine qui a consulté plusieurs analystes économiques, l’année 2014 sera conclu avec une croissance modeste, un peu en dessus de 2%. »



    Ràzvan Ogàsanu , représentant de cet ONG confirme : Cette croissance économique réduite que nous estimons à 2,09% ne voudra pas dire la diminution significative du chômage ou la reprise des investissements immobilières et, non plus , une croissance significative de la bourse. En dépit des craintes à l’égard des dérapages macroéconomiques pendant une année électorale, les analystes ne tablent pas des déficits budgétaires échappés au contrôle. Dans la plupart des cas on croit qu’on va s’encadrer dans les lignes générales de l’accord avec le FMI et, à une seule exception, tous ceux que nous avons consulté ont déploré la modalité dont on réussit à collecter les revenus au budget. Vis-à-vis de la moyenne de collecte de la TVA en Europe qui est de 80%, en Roumanie le taux de collecte effective n’est que de 58%. »



    La plupart des analystes consultés à l’égard des estimation des évolutions économiques étaient pessimistes sur les chiffres à la suite du contexte politique de l’année avec deux périodes électorales ainsi que par comparaison avec les résultats excellents de l’année 2013.

  • Résultats économiques positifs

    Résultats économiques positifs

    Le budget général consolidé est l’ensemble des composantes du système budgétaire. Quant à l’exécution du budget, elle représente l’activité d’encaissement des recettes publiques et de remboursement des dépenses approuvées par le biais du budget.



    Le ministère des finances de Bucarest a fait savoir lundi que l’exécution du budget général consolidé de la Roumanie s’était achevé fin septembre sur un excédent de 0,06% du PIB. Dans le contexte d’un taux de change de 4,5 lei pour un euro, les recettes ont totalisé 155,4 milliards de lei, soit l’équivalent de 23,5% du PIB. Cela représente, en termes nominaux, un montant supérieur de 5,5% à celui enregistré dans la même période de l’année dernière.



    L’explication réside dans le volume plus grand des rentrées provenant des cotisations de sécurité sociale, des accises, des taxes et impôts sur la propriété et l’utilisation des biens, des impôts sur le profit ou de la TVA. Ce résultat a également été influencé par les revenus issus de la vente des certificats verts émis par le ministère de l’économie, ainsi que de la deuxième tranche de l’impôt institué sur les constructions spéciales.



    L’argent européen reçu à titre de remboursement pour les paiements effectués continue d’enregistrer un faible niveau, respectivement 0,8% du PIB. Il est pourtant supérieur de 9,6% à celui rapporté à la même époque de 2013.



    En ce qui concerne les dépenses, elles ont été de 155 milliards de lei. Un volume moindre que celui de l’année passée, de 0,3%, en termes nominaux. En termes réels, le poids de ces dépenses a été inférieur de 1,3 % du PIB par rapport à la même période de référence.



    Les frais de personnel ont augmenté, suite à la hausse du SMIC brut, qui est passé à 850 lei, le 1er janvier 2014, et à 900 lei, à compter du 1er juillet dernier. Par contre, les dépenses à intérêt et celles liées aux biens et aux services ont baissé.



    Les dépenses afférentes aux investissements, qui incluent celles de capitaux, ainsi que celles destinées aux programmes de financement de sources internes et externes se sont montées à 16,5 milliards de lei, soit 2,5% du PIB, contre 19,4 milliards de lei dans le même intervalle de l’année dernière.



    Bref, de l’avis des spécialistes, l’actuel contexte économique et financier représente une situation favorable qui permettra à la Roumanie d’atteindre, sur l’ensemble de l’année en cours, la cible de déficit de 2,2% du PIB, convenue avec le FMI.



    Notons qu’en 2013, le déficit du budget général consolidé du pays s’est situé à 2,5%. Les autorités de Bucarest comptent rattraper le décalage qui sépare la Roumanie des pays développés de l’UE par le maintien de la discipline financière et une croissance économique de 5 à 6% annuellement. (Trad. Mariana Tudose)

  • Rezultati icunumiţi hairlatiti

    Rezultati icunumiţi hairlatiti

    Prit buget general anvartusit s-achicaseasti singirlu a bugetilor componenti a sistemlui bugetar. Tu ti mutreasti execuţia bugetară, aesta reprezintâ activitatea di adunari a amintatitlor bugetari şi di palteari a hargilor aprucheati si vulusiti tru buget. Unaoara ateali daua zboara zurapsiti, Ministerlu di Finanţi di Bucureşti dimanda, luni, că execuţia a bugetlui general anvartusit ali Românie s-bitisi, tru insita a a meslui yismaciuni, cu un excedentu di 0,06% dit Produslu internu brut. Tru contextul a unei paritati leu-euro di aproapea 4,5, amintatitli ti au una tin’ie di 155,4 miliardi di lei, reprezentândalui 23,5% dit PIB, fura cu 5,5% ma mari tru termen’i nominali andicra di idyiul chiro a anlui ti tricu. S-agiumsi pi una creastiri la adunarea paradzlor dit contribuţiili di asiguripseri sutiali, accize, impoziti şi taxi pi nicuchirata ş-pi ufilisearea a bunurlor, impozit pi profit ica TVA.



    Rezultatlu fu influenţat, tutunaoara, di adunarea a amintatitlor dit certificatili tra emisiili di gazi cu efectu di seră apufusiti di Ministerlu ali Economie, cata cum şi di tranşa a doaua dit impozitlu pi construcţii spetiali. Paradzl’i loat di la Uniunea Europeană tru contul a palterlor efectuati înreghistreadză ma largu un nivel relativ scădzut, reprezentândalui 0,8% dit PIB, ama suntu, şi eali, cu 9,6% ma mari andicra di idyiul chiro a anlui 2013. Tu ti mutreasti hargili, fapti isapi la 155 miliardi di lei, aesti s-n’icsurara tru termen’i nominali, cu 0,3% andicra di idyiul chiro a anlui ti tricu, ama ş-tru termen’i reali, hiindalui ma nghios cu 1,3 puncti protentuali ca fortuma tru PIB. Criscura hargili di personal di furn’ia a criştearil’ei la tin’ia di cafi mes nai cama n’ica bruta la 850 di lei, di la 1 di yinar 2014, şi la 900 lei, di la 1 alunar 2014. S-nreghistra, ama, n’icsurarea a hargilor cu tocurli, catacum şi a atilor cu bunuri şi servitii. Hargili tra investiţii, cari acata tru isapi hargili di capital, cata cum şi ateali aferenti cu programili di dizvultari finanţati dit izvuri interne şi externi, fura di 16,5 miliardi di lei, respectiv di 2,5% dit PIB, andicra di 19,4 miliardi di lei tru idyiul chiro a anlui ti tricu.



    Tru un zbor, specialiştil’i ved tru actualu contextu economico-financiar una catastisi favorabilă cari va s-da izini ali Românie s-hiba tru mardzin’ili a scupolui di ixichi di 2,2% dit PIB pi ansamblu a anlui 2014, aşi cum s-agiumsi pi achicaseari, tru prealabil, cu Fondul Monetar Internaţional. Aesta după ti România bitisi 2013 cu un deficit a bugetlui general consolidat di 2,5%. Autorităţli di Bucureşti au nadie că prit tanearea tru idyea scara a praxil’ei fiscala, coroborată cu una ţintă di creaştiri economică di 5-6% tru an, România va s-poata, cu chirolu, s-anvaleasca decalajlu ti u amparti di vasiliili dizvultati ali Uniuni Europeana.


    Armanipsearea: Tascu Lala

  • Rezultate economice pozitive

    Rezultate economice pozitive

    Prin buget general consolidat se înţelege ansamblul bugetelor componente ale sistemului bugetar. Cât despre execuţia bugetară, aceasta reprezintă activitatea de încasare a veniturilor bugetare şi de efectuare a plăţii cheltuielilor aprobate prin buget. Odată cei doi termeni definiţi, Ministerul de Finanţe de la Bucureşti a anunţat, luni, că execuţia bugetului general consolidat al României s-a încheiat, la finele lunii septembrie, cu un excedent de 0,06% din Produsul intern brut.



    În contextul unei parităţi leu-euro de circa 4,5, veniturile, în valoare de 155,4 miliarde lei, reprezentând 23,5% din PIB, au fost cu 5,5% mai mari în termeni nominali faţă de aceeaşi perioadă a anului trecut. S-au înregistrat creşteri la încasările din contribuţiile de asigurări sociale, accize, impozite şi taxe pe proprietate şi pe utilizarea bunurilor, impozit pe profit sau TVA. Rezultatul a fost influenţat, de asemenea, de încasarea veniturilor din certificatele pentru emisii de gaze cu efect de seră emise de Ministerul Economiei, precum şi de tranşa a doua din impozitul pe construcţii speciale.



    Sumele primite de la Uniunea Europeană în contul plăţilor efectuate înregistrează în continuare un nivel relativ scăzut, reprezentând 0,8% din PIB, dar sunt, şi ele, cu 9,6% mai mari faţă de aceeaşi perioadă a lui 2013. În privinţa cheltuielilor, cuantificate la 155 miliarde lei, acestea s-au redus atât în termeni nominali, cu 0,3% faţă de aceeaşi perioadă a anului precedent, cât şi în termeni reali, fiind inferioare cu 1,3 puncte procentuale ca pondere în PIB. Au crescut cheltuielile de personal ca urmare a creşterii salariului minim brut la 850 lei, de la 1 ianuarie 2014, şi la 900 lei, de la 1 iulie 2014.



    S-a înregistrat, însă, reducerea cheltuielilor cu dobânzi, precum şi a celor cu bunuri şi servicii. Cheltuielile pentru investiţii, care includ cheltuielile de capital, precum şi cele aferente programelor de dezvoltare finanţate din surse interne şi externe, au fost de 16,5 miliarde lei, respectiv de 2,5% din PIB, faţă de 19,4 miliarde lei în aceeaşi perioadă a anului trecut.



    Într-un cuvânt, specialiştii văd în actualul context economico-financiar o situaţie favorabilă care va permite României să se încadreze în ţinta de deficit de 2,2% din PIB pe ansamblul lui 2014, aşa cum a fost convenit, în prealabil, cu Fondul Monetar Internaţional. Aceasta după ce România a încheiat 2013 cu un deficit al bugetului general consolidat de 2,5%. Autorităţile de la Bucureşti speră că prin menţinerea disciplinei fiscale, coroborată cu o ţintă de creştere economică de 5-6% pe an, România va putea, în timp, să recupereze decalajul ce o desparte de ţări dezvoltate ale Uniunii Europene.

  • Le Salon de l’Automobile de Bucarest 2014

    Le Salon de l’Automobile de Bucarest 2014

    Le salon Auto Bucarest & Accessoires a pour motto « SABrampe de lancement des automobiles «. Ses quatre premières éditions ont été organisées de 1993 à 1996. Depuis 1997, toutes les deux années, le Salon a été présenté sous la houlette de l’Association des Producteurs et Importateurs d’Automobiles (APIA) faisant partie jusqu’en 2007 du calendrier international de l’Organisation Internationale des Constructeurs d’Automobiles (OICA) sous le nom de Salon International Auto Bucarest.



    2011 a pourtant signifié le retour à SAB & Accessoires , édition nationale. 10 journées durant, le Salon actuel présente plus de 200 modèles de voitures, certaines en première mondiale, ainsi que des modèles déjà présents dans l’offre des importateurs. Absence notable du constructeur national DACIA qui vient de lancer au Salon International de Paris les versions Steppway des modèles Dokker et Lodgy. Une exposition de voitures classiques et autres moments spéciaux ont le rôle d’accroître l’attractivité de l’événement.



    Lors de SAB & Accessoires se déroulera, cette année aussi, le projet social « De Zéro à Zorro » lors duquel on va intégralement démonté , puis rassemblé et mis en fonction , un véhicule, les montants collectés de la vente de ce véhicule étant donnés afin de construire des foyers pour enfants orphelins.



    Les organisateurs comptent sur 80 000 visiteurs. De la liste des marques exposantes remarquons les américains de FORD qui produisent des voitures à Craiova (dans le sud) ou les constructeurs allemands OPEL et VOLKSWAGEN qui ont les meilleures chiffres de vente en matière de voitures d’occasion en Roumanie. Les producteurs d’accessoires et équipements, segment important et en ascension sur le marché mondial sont , eux aussi, présents au Salon car ils représentent un des moteurs de l‘économie roumaine à travers les plus de 600 compagnies qui fournissent, avec la production de voitures, 11% du PIB et un quart des exportations roumaines.



    Cette hausse a lieu sur la toile de fond de l’intérêt accru des Roumains vis-à-vis du secteur auto concrétisé par le total des livraisons de voitures qui a enregistré pendant les 9 premiers mois de l’année 2014 une hausse de 27% vis-à-vis de la même période de l’année précédente ce qui place la Roumanie sur une 4-ème position en Europe. A l’échelon européen, aussi, on remarque une évolution positive puisque les pays principaux ont eu une croissance qui confirme la tendance ascendante en 2014 : +2,1% en France, +2,9% en Allemagne, +3,6% en Italie, +17,2% en Espagne et +9,1% en Grande Bretagne.

  • Jurnal românesc – 08.10.2014

    Jurnal românesc – 08.10.2014

    Biblioteca “Pietro Ceretti” din Verbania, Italia, va găzdui, pe 18 noiembrie, prezentarea proiectelor “Te iubeşte mama!” şi “Abecedarul”, care fac parte dintr-un eveniment mai amplu – “Sărbătoarea românească în Verbania”, a anunţat Asociaţia Femeilor Românce din Peninsulă. Programul “Te iubeşte mama!” îşi propune facilitarea comunicării, prin aplicatii de tip social media, între copiii rămaşi în România şi părinţii acestora aflaţi la muncă în Italia. Scopul principal este acela de a preveni şi diminua numărul cazurilor sociale în rândul copiilor rămaşi în ţară. De asemenea, duminică, 19 octombrie, va fi sărbătorit Hramul Bisericii Ortodoxe Române din Verbania şi va avea loc vernisajul expoziţiei itinerante de fotografie “Romania – imagini dallanima al sogno”. La evenimente vor participa, între alţii, ambasadorul României în Italia, Dana Constantinescu, consulul general al Consulatului României la Torino, Tiberiu Mugurel Dinu, ministrul consilier în cadrul Consulatului General al României la Milano, Adrian Georgescu, si primarul orasului Verbania, Silvia Marchionini.




    Angajaţii români au câştigat cu 5% net în plus la salariu în luna august a acestui an faţă de luna similară din 2013, ajungând la un venit mediu lunar net de 1.683 de lei potrivit datelor Institutului Naţional de Statistică (INS). Cei mai câştigaţi au fost salariaţii din industria de producţie a tutunului. De altfel, ei sunt printre cei mai scumpi oameni de pe piaţa muncii din România, salariul mediu din acest sector ajungând la aproape 4.100 de lei net, mai mult decât dublul venitului de la nivelul întregii economii. Printre salariaţii care au beneficiat de mari creşteri de salariu se mai numără cei din industria de fabricare a produselor de cocserie şi a celor obţinute din prelucrarea ţiţeiului, cei care fac activităţi de editare în domeniul informaţiilor şi al comunicaţiilor şi cei din sectorul asigurărilor.



    Fondul Monetar Internaţional a revizuit în creştere, la 2,4%, de la 2,2%, estimarea privind avansul PIB-ului României în acest an, potrivit raportului World Economic Outlook, publicat marţi. Pe de altă parte, în prognoza de toamnă, FMI a lăsat nemodificată estimarea pentru 2015, când România ar urma să înregistreze o crestere a PIB de 2,5%. Amintim că autorităţile de la Bucureşti se aşteaptă la o creştere a PIB de 2,8% în acest an.




    În premieră europeană, două destinaţii turistice din România, oraşul Zărneşti, din judeţul Braşov, şi zona Creasta Cocoşului, din judeţul Maramureş, au primit diplome de excelenţă ca zone ecoturistice. Evenimentul a avut loc la Braşov, cu ocazia desfăşurării celei de-a 88-a Adunări Generale a Comisiei Europene pentru Turism. La manifestare a fost prezent si ministrul delegat pentru IMM-uri, mediul de afaceri şi turism, Florin Jianu. Zonele care obţin statutul de “Destinaţie de Ecoturism” beneficiază de o promovare la nivel naţional şi internaţional a valorilor culturale şi a atracţiilor naturale.