Tag: PSD

  • 7.09.2021 (mise à jour)

    7.09.2021 (mise à jour)

    Coronavirus – La Roumanie a rapporté mardi 2033 cas de
    contamination au nouveau coronavirus sur plus de 45.000 testes effectués et 48
    décès des suites de l’infection enregistrés en 24 heures. 3 527 malades sont
    hospitalisés dans le pays, dont 101 mineurs. Sur ce total, 426 patients dont 6
    enfants se trouvent dans des unités de Réanimation, Soins Intensifs. Presque
    9000 personnes ont été immunisées ces 24 dernières heures dont plus de 6300
    d’une première dose ou d’une dose unique. A présent, la Roumanie recense 5,2
    millions de personnes entièrement vaccinées contre la Covid-19, soit un peu
    moins d’un tiers de la population en âge d’être vaccinée. Selon le rapport
    hebdomadaire de l’Institut national pour la santé publique, le variant Delta
    devient dominant en Roumanie aussi.

    Motion – Le
    président de la Chambre des députés de Bucarest, le leader libéral Ludovic
    Orban, a déclaré mardi qu’il avait l’obligation de respecter la Constitution et
    donc, il était censé respecter le déroulement du calendrier de la motion de
    censure déposée contre le premier ministre Florin Cîtu par USR-PLUS et le parti
    nationaliste, AUR. La déclaration survient après que les bureaux permanents du
    Sénat et de la Chambre des députés ont manqué, pour la quatrième journée de
    suite, de quorum pour décider du calendrier de la motion et du vote. Seuls
    neufs des 26 sénateurs et députés à la direction du Parlement ont été présents
    à la réunion. Les représentants du PSD, en opposition et du PNL se sont
    absentés. Réuni en urgence pour fixer sa stratégie, le PSD a fait savoir par la
    voix de son premier vice président, Sorin Grindeanu, qu’il voterait en faveur
    de la motion, si c’est le cas d’exprimer son vote. Mardi encore, le chef de
    l’Etat, Klaus Iohannis, a rencontré le co-président de l’Alliance USR-PLUS, Dan
    Barna, après que tous les ministres USR ont déposé lundi, leurs démissions.

    Collectif
    budgétaire
    – Malgré la démission en masse des ministres issus de l’alliance
    USR-PLUS, le premier ministre Florin Cîtu a annoncé que le gouvernement a
    adopté mardi le premier collectif budgétaire de l’année. Du coup, des
    enveloppes plus consistantes seront allouées aux ministères de la Santé, des
    Finances et du Développement et des Investissements. En revanche, le Ministère
    du Travail, le Sénat et la Cour des Comptes se verront diminuer le budget.

    Diplomatie – Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, a appelé mardi
    les diplomates roumains à poursuivre leurs démarches pour répondre aux engagements
    européens de Bucarest, tels l’adhésion à l’Espace Schengen. A l’occasion de la
    Réunion annuelle de la diplomatie roumaine qui a débuté mardi, à Bucarest,
    Iohannis a demandé aux chefs des missions diplomatiques et des consulats
    roumains de l’étranger à s’impliquer dans les négociations au sujet d’un
    nouveau Concept stratégique de l’OTAN. Les diplomates roumains devraient, selon
    le président roumain, soutenir une série de priorités telles le renforcement du
    rôle de l’Alliance sur le Flanc Est et dans la région de la Mer Noire, un
    soutien consolidé accordé aux partenaires orientaux et le développement de
    leurs capacités de défense. Aux dires du ministre roumain des Affaires
    étrangères, Bogdan Aurescu, l’actuelle crise politique de Roumanie ne porte pas
    atteinte à la politique étrangère menée par le pays. La résilience est le thème
    principal de cette édition 2021, un concept qui gagne en importance dans le
    contexte de la crise sanitaire. D’autres thématiques retiendront l’attention du
    corps diplomatique roumain : le changement climatique, la transition
    numérique, le rôle croissant des nouvelles technologies et la cybersécurité.




    PIB – La Roumanie a connu au deuxième
    semestre de l’année en cours une croissance économique en dessous de la moyenne
    européenne, mais de 1,8% de plus par rapport au semestre précédent, selon des
    données fournies mardi par Eurostat. Par rapport à la même période de l’année
    2020, le PIB de la Roumanie a enregistré une avancée de 13%.


































    Consommateur – La Chambre des députés de
    Bucarest a adopté mardi en qualité de chambre décisionnelle, le projet de la
    Loi du consommateur vulnérable qui entrera en vigueur à partir du 1 novembre
    prochain. Le projet soutient les familles démunies à payer leurs factures de
    gaz et d’électricité. Pour bénéficier de cette aide, il faut que les membres
    d’une famille gagnent moins de 280 euros par personne ou moins de 493 euros
    dans le cas des ceux vivant seuls.



    Tennis – Les joueuses roumaines de tennis Monica Niculescu
    et Gabriela Ruse se sont qualifiées pour les quarts de finale de l’épreuve de
    double dames de l’US Open, après une victoire en trois sets contre Leylah
    Fernandez de Canada et Erin Routliff de Nouvelle Zélande. Les Roumaines
    rencontreront mercredi le duoAlexa Guarachi de
    Chili – Desirae Krawczyk des Etats-Unis.






    Football – L’équipe de Roumanie de football rencontre jeudi, à Skopje,
    la Macédoine du Nord, dans les matchs préliminaires au sein du groupe J comptant
    pour la Coupe du monde de football 2022. Les Tricolores ont grimpé en troisième
    position après une victoire contre la sélection du Liechtenstein. Ce fut la
    deuxième victoire consécutive de l’équipe roumaine après celle de jeudi dernier
    contre l’Islande. A l’heure actuelle, c’est l’Allemagne qui domine le groupe,
    suivi par l’Arménie.










    Météo – Il fera frisquet mercredi, en Roumanie,
    notamment dans les régions septentrionales et centrales. Le ciel sera variable,
    plutôt couvert dans le sud. Le vent soufflera légèrement sur l’ensemble du
    territoire et plus fort sur la côte roumaine à la Mer Noire. Le brouillard fera
    son apparition dans le nord et le centre du territoire. Les températures
    maximales de la journée de mercredi iront de 20 à 26 degrés.



  • 06.09.2021 (mise à jour)

    06.09.2021 (mise à jour)




    Politique – Les ministres de l’Union Sauvez la
    Roumanie-PLUS se retirent du cabinet dirigé par Florin Cîţu- ils déposeront
    leurs démissions mardi 7 septembre au matin – c’est l’annonce faite lundi soir
    par le coprésident d’USR-PLUS et vice-premier ministre Dan Barna. Il s’agit de
    Cristian Ghinea, ministre des Investissement et des projets européens, de Cătălin
    Drulă, ministre des Transports, de Claudiu Năsui, ministre de l’Economie, de Ciprian
    Teleman, ministre de la Recherche et d’Ioana Mihăilă, ministre de la Santé.
    Lundi dans la journée, faute de quorum, les Bureaux permanents du Parlement de
    Bucarest n’ont pas réussi à fixer le calendrier des débats et du vote de la
    motion de censure avancée vendredi par les parlementaires d’USR-PLUS et de l’Alliance
    pour l’unité des Roumains contre le cabinet du libéral Cîţu. USR-PLUS affirme
    vouloir maintenir la coalition avec le Parti national libéral et l’Union
    démocrate magyare de Roumanie, mais sans Florin Cîţu à la tête du
    gouvernement. L’Union Sauvez
    la Roumanie-PLUS reproche à M Cîtu la révocation intempestive, la semaine
    dernière, du ministre USR de la Justice Stelian Ion. Pour sa part, l’Alliance
    pour l’unité des Roumains affirme que l’actuelle motion a pour seul but la
    destitution de Florin Cîţu et rejette la possibilité d’une
    alliance avec le Parti social-démocrate, en opposition, ou avec USR-PLUS. Le
    président Klaus Iohannis avait appelé samedi l’Union Sauvez la Roumanie-PLUS à reprendre
    le dialogue avec ses partenaires de coalition et à trouver une solution viable
    et raisonnable pour débloquer la situation.




    Décès – Le grand comédien
    roumain Ion Caramitru est décédé dimanche soir, à l’âge de 79 ans. Directeur du
    Théâtre National de Bucarest et président de l’Union théâtrale de Roumanie, Ion
    Caramitru a interprété des centaines de rôles sur scène, au micro ou encore sur
    le grand écran. Metteur en scène, professeur des universités, ancien ministre
    de la Culture, il a aussi été une des figures centrales de la révolution
    anti-communiste de 1989. Son décès est intervenu quelques heures seulement
    après la mort de l’ancien céiste roumain Ivan Patzaichin, quadruple-champion
    olympique de course en ligne, décédé à 71 ans.Sept fois médaillé aux Jeux
    Olympiques, dont quatre fois d’or et trois fois d’argent, Ivan Patzaichin a
    participé à cinq éditions successives des JO, entre 1968 et 1984. « La
    Roumanie doit dire adieu à deux des Roumains les plus aimés – Ivan Patzaichin
    et Ion Caramitru » a écrit le chef de l’Etat roumain dans un post Facebook,
    en continuant « par leur disparition, les Roumains se retrouvent aujourd’hui
    appauvris, consolés seulement par le souvenir de la gloire que les deux hommes
    ont offerte à la Roumanie à travers leur énergie, leur talent et leurs efforts
    de rester les meilleurs. Mes plus sincères condoléances à leurs proches » a
    conclu le président Iohannis.






    Diplomatie – Les chefs des diplomaties moldave,
    grecque, italienne et indienne sont les invités spéciaux de l’édition 2021 de
    la Réunion annuelle de la diplomatie roumaine. L’événement démarre mardi à
    Bucarest et porte sur « Le rôle de la diplomatie au service de la résilience
    de la Roumanie ». Organisé, comme à l’accoutumé, à quelques jours de la
    Journée de la diplomatie roumaine, l’événement réunira également, en système de
    visioconférence, les chefs des missions diplomatiques et des consulats roumains
    de l’étranger. Des interventions en ligne auront aussi la vice présidente de la
    Commission européenne chargée de la démocratie et de la démographie, Dubravka
    Šuica, et la secrétaire générale de l’Organisation pour la sécurité et la
    coopération en Europe, Helga Schmid.






    Le chef de l’Etat
    roumain, Klaus Iohannis, se rendra jeudi en Suisse, sur invitation de son homologue
    Guy Parmelin. La visite marque 110 ans de relations diplomatiques bilatérales
    entre la Suisse et la Roumanie. Les deux chefs d’Etat parleront du renforcement
    de la coopération économique bilatérale, notamment en ce qui concerne les
    investissements, en sachant que la Suisse est le 10e investisseur
    étranger en Roumanie. Les pourparlers toucheront également à la politique
    internationale, notamment les enjeux de sécurité à la frontière Est de l’Union
    européenne et dans les Balkans d’Ouest, ainsi qu’à la coopération
    roumano-suisse dans le cadre des organisations internationales.






    Covid – La Roumanie a rapporté lundi 1 000 cas
    de contamination au nouveau coronavirus sur presque 18.000 testes effectués et
    25 décès des suites de l’infection enregistrés en 24 heures. 3 300 malades sont
    hospitalisés dans le pays, dont 400 dans les unités de soins intensifs. La
    plupart des nouvelles contaminations sont recensées dans la capitale, Bucarest.
    Plus de 4000 personnes se sont fait vacciner ces 24 dernières heures dont 2 700
    avec une première dose ou avec une dose
    unique. A présent, la Roumanie recense 5,1 millions de personnes entièrement vaccinées
    contre la Covid-19, soit un peu moins d’un tiers de la population en âge d’être
    vaccinée.




    Météo – Temps généralement beau en Roumanie en
    ce début de septembre, avec toutefois des matinées bien fraîches. Le ciel est
    variable, partiellement couvert en montagne, où on attend aussi quelques pluies
    éparses. Le vent est faible à modéré, avec quelques intensifications dans le
    sud-ouest du pays, en altitude et sur le littoral de la mer Noire. Les
    températures minimales iront, dans les prochaines 24 heures, de 3 à 13°C et les
    maximales de 18 à 26°C.



  • 04.09.2021

    04.09.2021

    Politique – Politique – Le président Klaus Iohannis a déclaré samedi que l’entente entre USR-PLUS, membre de la coalition gouvernementale, et le parti ultranationaliste l’Alliance pour l’unité des Roumains, était un affront infligé aux Roumains. Le président a demandé à l’Union sauvez la Roumanie-PLUS de mettre fin aux gestes politiques qu’il a qualifié d’irresponsables, de respecter ses électeurs et de reprendre le dialogue, afin de trouver une solution viable et rationnelle avec les partenaires de coalition et de débloquer la situation actuelle. Le chef de l’Etat estime qu’en s’associant avec un parti qui ne respecte pas les valeurs occidentales, USR-PLUS trahit la volonté des citoyens ayant mis leurs espoirs dans une coalition de centre droit œuvrant pour le développement de la Roumanie. La destruction de la coalition et le fait de compromettre de manière irrémédiable toutes les réformes assumées par le gouvernement actuel risquent de placer la Roumanie dans une profonde crise économique et sociale, a avertit le président. Les parlementaires de l’Union sauvez la Roumanie-PLUS et de l’Alliance pour l’unité des Roumains ont déposé vendredi une motion de censure contre le cabinet dirigé par le libéral Florin Cîţu, après le refus de ce dernier de démissionner et de celui du Parti national libéral de retirer le soutien politique au premier ministre. USR-PLUS avait réclamé le départ de Cîţu après que celui-ci avait révoqué de façon inopiné Stelian Ion, ministre de la Justice et membre de l’USR-PLUS, pour avoir bloqué la mise en œuvre d’un vaste plan d’investissements dans l’infrastructure locale. Le premier ministre a déclaré que l’actuelle formule politique était la seule solution pour diriger le pays, opinion partagée par l’Union démocrate magyare de Roumanie, le troisième membre de la coalition.

    Coronavirus – Samedi, les autorités roumaines
    ont rapporté 1568 contaminations au nouveau coronavirus et 28 décès des suites
    de l’infection dans les dernières 24 heures. 358 malades de Covid-19 sont
    hospitalisés en soins intensifs. 5,1 millions de Roumains sont à présent
    entièrement vaccinés, soit un peu moins d’un tiers de la population éligible.

    Diplomatie – La cellule de crise interinstitutionnelle dirigée par le ministère roumain des Affaires étrangères a réussit à obtenir aujourd’hui l’évacuation de 45 citoyens afghans, des magistrats et leurs famille, a annoncé le ministre Bogdan Aurescu au Forum de sécurité en mer Noire et dans les Balkans, qui est en plein déroulement à Bucarest. Le chef de la diplomatie roumaine a précisé que les jours précédents 11 ressortissants afghans – des juges, des médecins et des journalistes – avaient été évacués de Kaboul avec le soutien de l’Etat roumain. En tout, les autorités roumaines ont contribué à l’évacuation de 61 citoyens afghans, auxquels s’ajoutent 49 ressortissants roumains et 7 ressortissants des pays partenaires. Par ailleurs, le président Klaus Iohannis s’est entretenu hier avec le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg par rapport à l’Afghanistan. « La Roumanie reste inquiète quant à la situation critique en Afghanistan et elle se tient prête à contribuer aux efforts de l’OTAN pour aborder cette crise. L’unité des alliés est essentielle – l’Afghanistan ne doit pas devenir à nouveau un lieu de refuge pour les terroristes » – a écrit le président roumain sur Twitter. A son tour, le secrétaire général de l’Alliance a parlé sur le même réseau social de ses discussions avec le président roumain et avec les premiers ministres des Pays-Bas et de l’Espagne par rapport à la situation en Afghanistan. « Les alliés de l’OTAN continueront à évacuer les gens en toute sécurité et nous restons décidés et unis contre le terrorisme international » a écrit Stoltenberg.

    Tennis – Simona Halep s’est qualifiée pour les huitièmes de finale de l’US Open de tennis, après une victoire en trois sets contre la Kazakhe Elena Rîbakina. Demain, Halep, actuellement numéro 12 au classement WTA, rencontrera l’Ukrainienne Elina Svitolina, numéro 5 mondiale. Les deux sportives ont disputé jusqu’à présent dix rencontres directes, dont chacune en a remporté cinq. La meilleure performance de la joueuse roumaine à l’US Open est une demi-finale disputée en 2015.

    Météo – Les températures, plutôt basses ce matin, repartent à la hausse en Roumanie. Dans la deuxième partie de la journée elles approcheront les normales de saison et iront de 19° à 28°C. Des pluies de courte durée sont attendues en montagne et dans le nord-est du pays, où le vent connaît aussi quelques intensifications. Ciel bleu et 23°C à midi à Bucarest.

  • Rumänisches Parlament nimmt Sitzungen wieder auf

    Rumänisches Parlament nimmt Sitzungen wieder auf

    Laut Angaben der Spitzenpolitiker der Regierungskoalition (PNL-USRPLUS-UDMR) ist die Oberste Priorität auf der Agenda der Legislative die Verabschiedung eines Gesetzes zum Schutz der sogenannten vulnerablen Verbraucher. Im Senat wurde der Gesetzentwurf bereits verabschiedet, nun soll die Abgeordnetenkammer darüber beraten. Mit dem neuen Gesetz soll Familien mit geringen Einkommen geholfen werden, die seit der vollständigen Liberalisierung des Energiemarktes am 1. Juli erhöhten Strom- und Gasrechnungen zu bezahlen, da man im Winter eine regelrechte Preisexplosion erwartet. Die in der Opposition befindlichen Sozialdemokraten (PSD) fordern eine beschleunigte Verabschiedung, zudem sollte das Gesetz schon in diesem Winter wirken, und nicht erst ab nächstes Jahr, wie die Regierung plant. Die PSD möchte zudem eine Preisdeckelung, falls die Energiepreise aus dem Ruder laufen.



    Im Senat, der Oberkammer des rumänischen Parlaments, sollen indessen die Diskussionen über die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft für Ermittlungen gegen Richter und Staatsanwälte (SIIJ) fortgeführt werden. Experten aus dem In- und Ausland sind einhellig der Meinung, dass diese von der ehemaligen PSD-Regierung auf den Weg gebrachte Behörde völlig überflüssig und nur dafür geschaffen worden sei, um ermittelnde Staatsanwälte einzuschüchtern und damit die Bekämpfung der Korruption zu unterbinden. Die Spitzenpolitiker der derzeitigen Regierungskoalition sind sich zwar auch einig, dass die Sonderstaatsanwaltschaft abgeschafft werden muss, es herrscht aber kein politischer Konsens, wie man dabei vorgehen soll.



    Die PSD möchte im Senat auch die Verabschiedung eines Gesetzes durchboxen, mit dem Politikern, gegen die strafrechtliche Verurteilungen vorliegen, der Zugang zu öffentlichen Ämtern verwehrt werden soll. Nachdem die PSD sich der korrupten Führungsriege um den kürzlich aus dem Gefängnis entlassenen Liviu Dragnea einigerma‎ßen entledigt hat, pocht sie damit nun auf ein Thema, das jahrelang im Diskurs des bürgerlichen Politikspektrums Vorrang hatte. Die Sozialdemokraten möchten ferner auch einen Misstrauensantrag gegen die Regierung des Liberalen Florin Cîţu auf den Weg bringen.



    Die PSD befindet sich laut jüngsten Umfragen in einer komfortablen Position. Nervosität und Frustration sind allgegenwärtig in der rumänischen Gesellschaft, und zwei Drittel der Bürger erachten, dass Rumänien sich in die falsche Richtung bewegt. Sollten nächsten Sonntag Wahlen stattfinden, so würden 35% der Befragten für die PSD und nur 21% für die PNL stimmen. Auf den dritten Platz in der Wahlgunst der Rumänen landet mit 15% laut Umfragen die nationalistisch-konservative Allianz für die Einheit der Rumänen (AUR). Der Juniorpartner der Koalition (USRPLUS) bewegt sich im 5%-Bereich, ebenso der Ungarnverband (UDMR), was in etwa dem Anteil der wahlberechtigten Bürger ungarischer Nationalität entspricht.



    Auch innerhalb der Regierungskoalition herrscht alles andere als Friede, Freude, Eierkuchen“. Mit den endlosen Querelen um die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft und der bislang missglückten Initiative der USR, die Bürgermeisterwahlen wieder in zwei Wahlgängen stattfinden zu lassen, haben die bürgerlichen Parteien einen Teil ihrer Stammwählerschaft verprellt. In diesem Herbst werden Liberale (PNL) und USR-PLUS ihren jeweiligen Parteitag veranstalten, bei dem eine neue Führungsspitze gewählt werden soll. Bis dahin bleibt alles in Wahlkampfmodus, was mitunter zu seltsamen Situationen und manchmal auch zu Schlägen unter der Gürtellinie führt, über die sich wiederum die Boulevardpresse freut.

  • Energiemarkt: Liberalisierung bringt Teuerungswelle

    Energiemarkt: Liberalisierung bringt Teuerungswelle

    Laut Angaben des staatlichen Energieförderungsunternehmens Transelectrica sei der erhöhte durchschnittliche Energieverbrauch von zusätzlich rund 1000 MW pro Tag in den letzten Wochen aus Importen gedeckt worden. Die wichtigsten Energieerzeuger sind nach wie vor Wasserkraftwerke, gefolgt von Kohlekraftwerken, dem AKW in Cernavodă und weiteren Kraftwerken mit fossilen Brennstoffen. Photovoltaik, Windenergie und Biomasse stellen nur einen Bruchteil der rumänischen Energieproduktion dar. Rumänien verfügt nur über geringe Kapazitäten für die Erzeugung von kostengünstigem Strom, in den letzten sechs Jahren wurden keine Investitionen in neue, moderne und umweltschonende Energiequellen getätigt.



    Kurzfristig wird sich das auch nicht ändern, die Rumänen sind daher gut beraten, auf den Energieverbrauch zu achten, um keine überteuerten Stromrechnungen bezahlen zu müssen. Die Energiepreise sind in ganz Europa in die Höhe geschnellt, denn die allmähliche Wiederankurbelung der Volkswirtschaften hat auch den Energiebedarf erhöht. In Rumänien wurde darüber hinaus der Markt für Gas und elektrischen Strom am 1. Juli komplett liberalisiert — für Endverbraucher hei‎ßt das nun höhere Ausgaben — und nicht allein für die Stromrechnung. Dem Nationalen Statistikinstitut (INS) zufolge betrug die Inflationsrate im Juli 5%, Notenbankchef Mugur Isărescu geht in seiner Prognose von 5,6% bis Jahresende aus.



    Mit den angestiegenen Energiepreisen geht auch eine Teuerungswelle einher. Elektrizität kostet nun um 25% mehr, für Gas bezahlt man auch um 20% mehr als vor der Liberalisierung, Autofahrer müssen an der Tanksäule nun auch um 13% mehr für Treibstoff hinblättern. Das hat auch die Preise der sogenannten Non-Food-Produkte um 8% verteuert, in den kommenden Wochen ist eine generelle Erhöhung der Preise für sämtliche Handelswaren und Dienstleistungen zu erwarten.



    Der liberale Ministerpräsident Florin Cîțu sieht allerdings keinen Grund zur Besorgnis — die Verteuerung sei nur eine temporäre Erscheinung und z.T. auch auf die gestiegenen Einkommen der Bevölkerung zurückzuführen. Die sozialdemokratische Opposition ist da ganz gegensätzlicher Meinung: Die rücksichtslose“ Liberalisierung des Energiemarktes habe zum explosionsartigen“ Anstieg der Preise geführt, was besonders sozial schwache Endverbraucher wie Rentner, Geringverdiener und kinderreiche Familien belastet. Der Sozialdemokratischen Partei (PSD) zufolge, die sich auf das Nationale Statistikinstitut beruft, konfrontieren sich 41% der Haushalte in städtischen Ballungsräumen und 36% der Haushalte im ländlichen Bereich mit Zahlungsrückständen bei der Begleichung der üblich anfallenden Rechnungen. Die PSD fordert daher die Erarbeitung und Verabschiedung eines Gesetzes zum Schutz der sozial gefährdeten Endverbraucher.

  • Venedig-Kommission: grünes Licht zur Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft für Justizbeamte

    Venedig-Kommission: grünes Licht zur Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft für Justizbeamte

    Für deren Kritiker stellt diese Sonderstaatsanwaltschaft (SIIJ) eine Einmischung in die unabhängige Gerichtsbarkeit dar, sie gehöre daher abgeschafft. Befürworter der speziellen Gerichtsbarkeit hingegen erachten sie als ein Garant der Unabhängigkeit der Justiz und als notwendiges Instrument zum Schutz gegen Missbrauch und Korruption im Justizwesen.



    Nun hat die Venedig-Kommission, die die EU-Staaten in Sachen Rechtsstaatlichkeit berät, die Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft ausdrücklich empfohlen. Es sei an der Zeit, die Superimmunität“ der Richter und Staatsanwälte abzuschaffen, und der Oberste Rat der Richter und Staatsanwälte (CSM), die hiesige Regulierungsbehörde der hohen Justizbeamten, dürfe nicht zu einem Hemmnis in der strafrechtlichen Verfolgung von Richtern und Staatsanwälten werden. Der rumänische Justizminister Stelian Ion teilt diese Auffassung — die sogenannten Garantien“, derer sich Richter und Staatsanwälte erfreuen würden, seien eine Art Immunität“, die Zweifel“ an der Unabhängigkeit der Justiz aufkommen lie‎ßen. In seiner Auffassung gebe es keine haltbaren Argumente mehr gegen die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft — eine entsprechende Entscheidung könnte kommende Woche im Senat, der Oberkammer des rumänischen Parlaments, getroffen werden. Zuvor hatte die Abgeordnetenkammer entschieden, dass künftig nur noch der Oberste Rat der Richter und Staatsanwälte (CSM) grünes Licht für strafrechtliche Ermittlungen gegen hohe Justizbeamte geben soll. In Frage kämen dabei sowohl gewöhnliche Delikte als auch Korruptionsvorwürfe, sagt der Justizminister:



    Wenn eine unabhängige Institution des Europäischen Rates wie die Venedig-Kommission mit ihren Experten in Verfassungsrecht uns diese Entscheidung nahelegt, sehe ich überhaupt kein Hindernis mehr, das der Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft im Weg stünde, ungeachtet des innenpolitischen Tumults, der Debatten und Streitigkeiten um dieses Thema. Ich danke daher auch den Vertretern und Berichterstattern der Venedig-Kommission für die Zügigkeit, mit der sie sich dieses Themas angenommen haben“, sagt Justizminister Stelian Ion.



    Iulia Scântei, Senatorin der regierenden Nationalliberalen Partei (PNL) und Vorsitzende des parlamentarischen Justizausschusses, stimmt dem Minister zu — die Empfehlung der Venedig-Kommission habe gezeigt, dass der Vorsto‎ß der Liberalen zur Aufhebung der Superimmunität“ für Richter und Staatsanwälte korrekt gewesen sei. Durch die Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft würde ein beschämendes Kapitel in der rumänischen Justiz abgeschlossen sein, denn in den letzten Jahren sei die Unabhängigkeit der Richter und Staatsanwälte ständig unter Beschuss gestanden.



    Auch das Bündnis USR-PLUS, der Juniorpartner der Liberalen, findet den Schritt richtig. Die Empfehlung der Venedig-Kommission sei keine Überraschung, schlie‎ßlich haben alle europäischen Institutionen die Gründung einer Sonderstaatsanwaltschaft für strafrechtliche Ermittlungen gegen Justizbeamte einhellig kritisiert. Gegen Korruption zu ermitteln — auch im Falle von Richtern und Staatsanwälten –, liege ausschlie‎ßlich im Kompetenzbereich der Antikorruptionsstaatsanwaltschaft (DNA) und bedürfe keiner speziellen Gerichtsbarkeit.



    Die in der Opposition befindlichen Sozialdemokraten (PSD) sind nach wie vor gegen jegliche Änderungen im Justizwesen, so lange es keinen Konsens unter Richtern und Staatsanwälten gebe, wie sie gegen Druck und Missbrauch geschützt werden könnten. Mehrere Berufsverbände der Richter und Staatsanwälte seien der Meinung, dass der Vorsitzende des Selbstregulierungsgremiums der hohen Justizbeamten (CSM) infolge der Empfehlung der Venedig-Kommission zurücktreten sollte, argumentiert die PSD. Die derzeitige Regelung, laut welcher der CSM der Aufnahme von strafrechtlichen Ermittlungen gegen Richter und Staatsanwälte zustimmen muss, sei eine verfassungswidrige Hürde im Kampf gegen die Korruption und würde das öffentliche Vertrauen in die Justiz schmälern, so die Meinung mehrerer Berufsverbände im Justizwesen, auf die sich die Sozialdemokraten berufen.

  • Moţiunea di cenzură, nu fu aprukeată tru Parlamentu

    Moţiunea di cenzură, nu fu aprukeată tru Parlamentu



    Guvernul cumănduisitu di liberalu Florin Cîțu tricu, marță, testul a protăllei moțiuni di cenzură, inițiată di prinţipalu partid di opoziție, PSD, niifharistusitu di misurli a Executivului di București tru domeniile clleaie di lucru şi di turlia tru cari fu adratu Planul Naţional di Redresare şi Rezilienţă. 234 di voturi eara ananghi tră atea că demersul a social-democrațlor s-ducă la cădearea a cabinetlui ţi easti pi ipotisi di giumitati di anu, ama tra s’treacă moțiunea votară maş 201 parlamentari – inițiatorllii și reprezentanțăllii AUR, ultranaţionalist.



    Parlamentarlli a putearillei tiñisiră apofasea a coaliţiillei di ţentru-dreapta aflată la guvernari: armasiră tru sala di şedinţă a plenlui comun, ma nu ş-exprimară votlu. Pritu misurli adoptate, actuala guvernare PNL-USR/PLUS-UDMR nu tiñiseaşti ndreptul la educaţie şi sănătati, nu acaţă tu isapi pruviderli constituţionale şi promoveadză politiţ economiţi cari duc la scădearea-a nivelui di bană, spusiră social-democrațllii tru kirolu a debaturloru.



    Liderlu PSD, Marcel Ciolacu: “Miliardi di euro împărmutati nu agiumsiră niţi la cilimeañi, niţi la pensionari, niţi la mediul privat. Agiumsiră tut la soţlli a dumniillei a voastră di partid. Ici ţiva la români! Ici ţiva la agricultură! Ici ţiva la educaţie şi sănătate! Ici tiva la firmili româneşti! Tuti la voi! Asparsitu sistematic iţi toru di pistipseari şi credibilitate a campaniillei di vacţinari.”



    Economia ali Românie putu tra s’treacă pisti nai cama marea criză tu aeşţă ditu soni 100 di ani, a deapoa coaliţia easti vărtoasă şi ndreaptă s’guverneadză ma largu, acă PSD ambudyiusi ditu Parlament reformele iniţiate di Guvern, vini cu apandisea aţelu tra cari eara băgată moțiunea, Florin Cîţu: “Alli mintitu şi ălli aspăreatu româñilli şi ahătu! Ia că economia neadzi multu ghini. Rata ali inflaţie easti ma ñică andicra di iţi altă perioadă tru cari România eara guvernată di socialişti, tocurli idyealui. Amintatiţli a românilor crescu cu aproapee diplo andicra di rata ali inflaţie. Tocuri ma ñiţ, amintatiţi cari crescu ma au ma aoñea di rata ali inflaţie — matimă di economie. Aşi creaşti puterea di ancupărari! Şi locuri di lucru.”



    Stepsuri arcati a guvernului adusi și co-prezidentulu AUR, George Simion. CFR-iştii suntu multu di multu niifharistusiţ di atea că nu ari niţi ună viziuni tră transportul feroviar ditu România, spusi el, idyea, transportatorllii, nicukirlli di restauranti, cari spun că nu fură agiutaţ niţi nă turlie, ñiclu producător român nu easti protejat, nu ari acces tru hipermarketuri, tu kirolu anda păhadzlli criscură, a deapoa bana easti tutu ma greauă.


    “Moţiunea di cenzură contra a Guvernului cădzu. Revoluţia a bunăllei guvernari neadzi ma largu. Andicra di atelli ţi simnară exerciţiulu di dimagogie ipocrită di adză – spusi, di alantă parti, viţepremierlu Dan Barna, co-prezidentulu USR PLUS – noi cilăstăsimu ca v4silia aesta s’hibă ma bună. Planlu a aluştui Guvern şi ali coaliţie easti ta s’bagă tu lucru niscănti reformi pi lungu kiro, niscănti reformi vărtoasi tră România”.



    Autoru: Corina Cristea


    Armânipsearea: Taşcu Lala


  • Moţiunea de cenzură, respinsă în Parlament

    Moţiunea de cenzură, respinsă în Parlament

    Guvernul condus de liberalul
    Florin Cîțu a trecut, marți, testul primei moțiuni de cenzură, inițiată de
    principalul partid de opoziție, PSD, nemulțumit de măsurile Executivului de la
    București în domeniile cheie de activitate şi de modul în care a fost întocmit
    Planul Naţional de Redresare şi Rezilienţă. 234 de voturi erau necesare pentru
    ca demersul social-democraților să ducă la căderea cabinetului aflat în funcție
    de o jumătate de an, dar în favoarea moțiunii au votat doar 201 parlamentari -
    inițiatorii și reprezentanții AUR, ultranaţionalist.


    Parlamentarii puterii au
    respectat decizia coaliţiei de centru-dreapta aflată la guvernare: au rămas în
    sala de şedinţă a plenului comun, dar nu şi-au exprimat votul. Prin măsurile
    adoptate, actuala guvernare PNL-USR/PLUS-UDMR nu respectă dreptul la educaţie
    şi sănătate, ignoră prevederile constituţionale şi promovează politici
    economice care duc la scăderea nivelului de trai, au susținut social-democrații
    în timpul dezbaterilor.


    Liderul PSD, Marcel Ciolacu: Miliarde de euro împrumutate nu au ajuns
    nici la copii, nici la pensionari, nici la mediul privat. Au ajuns tot la
    prietenii dumneavoastră de partid. Nimic la români! Nimic
    la agricultură! Nimic la educaţie şi sănătate! Nimic la firmele româneşti!
    Totul la voi! Aţi distrus sistematic orice urmă de încredere şi credibilitate a
    campaniei de vaccinare.


    Economia
    României a reuşit să treacă peste cea mai mare criză din ultimii 100 de ani,
    iar coaliţia este puternică şi pregătită să guverneze în continuare, deşi PSD a
    boicotat din Parlament reformele iniţiate de Guvern, a venit replica celui
    direct vizat de moțiune,
    Florin Cîţu: Aţi panicat românii şi atât! Uite că economia merge foarte bine. Rata
    inflaţiei este mai mică decât în orice altă perioadă în care România era
    guvernată de socialişti, dobânzile la fel. Veniturile românilor cresc cu
    aproape dublu faţă de rata inflaţiei. Dobânzi mai mici, venituri care cresc mai
    repede ca rata inflaţiei – lecţie de economie. Aşa creşte puterea de cumpărare!
    Şi locuri de muncă.


    Acuze la adresa guvernului a adus și co-președintele
    AUR, George Simion. CFR-iştii sunt foarte nemulţumiţi de faptul că nu există
    nicio viziune pentru transportul feroviar din România, a spus el, la fel,
    transportatorii, proprietarii de restaurante, care spun că nu au fost ajutați
    în niciun fel, micul producător român nu este protejat, nu are acces în
    hipermarketuri, în timp ce preţurile au crescut, iar viaţa e din ce în ce mai
    grea.

    Moţiunea de cenzură împotriva Guvernului a picat. Revoluţia bunei
    guvernări merge mai departe. Spre deosebire de semnatarii exerciţiului de
    demagogie ipocrită de azi –
    a spus, de cealaltă parte, vicepremierul Dan Barna,
    co-pre
    ședinte USR PLUS – noi încercăm să facem ţara asta mai bună. Planul acestui Guvern şi al coaliţiei este de a
    implementa nişte reforme pe termen lung, nişte reforme robuste pentru România.


  • Avocatul Poporului revine în funcţie

    Avocatul Poporului revine în funcţie

    Renate Weber îşi va relua calitatea de Avocat al
    Poporului, după ce Curtea Constituţională a României a invalidat, cu
    unanimitate de voturi, revocarea ei de către Parlament, acum două săptămâni. CCR
    a admis sesizarea Partidului Social Democrat şi a decis că Renate
    Weber trebuie să-şi continue mandatul de cinci ani, pentru care a fost numită în 2019.


    Magistraţii explică, într-un
    comunicat, că hotărârea prin care legislativul a revocat-o pe aceasta din
    funcţie încalcă principiul statului de drept şi principiul legalităţii şi al
    supremaţiei Constituţiei, dar şi prevederi ale legii privind organizarea şi funcţionarea
    instituţiei Avocatului Poporului.


    Amintim că Renate Weber a fost demisă pe 16
    iunie de către parlamentarii puterii, într-o ședință la care PSD a refuzat să
    participe. Preşedinta Comisiei juridice din Senat, reprezentanta PNL, Iulia
    Scântei, declara atunci că Avocatul Poporului este numit în această funcţie
    pentru apărarea drepturilor şi libertăţilor fundamentale ale cetăţenilor și
    spunea ce i se reproșează Renatei Weber:

    Avocatul Poporului nu a
    acţionat în mod constant în raporturile cu Parlamentul şi cu celelalte
    autorităţi, cu respectarea principiului cooperării loiale. Nici în anul 2020 Avocatul Poporului nu şi-a
    îndeplinit rolul şi obligaţiile sale legale în ceea ce priveşte apărarea,
    protecţia, promovarea dreptului copilului, puternic afectaţi de restricţiile
    adoptate pe durata pandemiei
    .

    În replică, Renate Weber spunea că nu are ce
    să îşi reproşeze în acest mandat de Avocat al Poporului.


    Din opoziție, liderul
    social democraților, Marcel Ciolacu, a acuzat ceea ce a numit atacul acestei
    coaliții toxice asupra statului de drept.


    Marcel Ciolacu: Avocatul
    Poporului are activitatea de a monitoriza puterea să nu încalce libertăţile
    cetăţeneşti şi drepturile noastre, ale tuturor. Un Avocat al Poporului nu are
    în atribuţii să laude un guvern, dimpotrivă. Deci, să vii tu, putere, guvern,
    şi să aduci acuze Avocatului Poporului că te-a monitorizat şi a spus unde ai
    încălcat legea în ceea ce priveşte drepturile şi libertăţile cetăţeneşti, mi se
    pare pur şi simplu sfidător într-o ţară europeană.

    Și Comisia de la
    Veneţia a cerut explicaţii preşedinţilor Camerelor Senatului și Deputaților,
    Anca Dragu şi Ludovic Orban, în legătură cu revocarea Avocatului Poporului. Săptămâna trecută, comisiile juridice ale celor
    două Camere adoptaseră, cu majoritate de voturi, aviz favorabil pentru ca
    Fabian Gyula din partea UDMR să preia funcţia de Avocat al Poporului. Demersul
    se dovedeşte acum inutil. Amintim că, între altele, Avocatul Poporului poate
    bloca ordonanțele de urgență emise de Guvern prin atacarea lor la Curtea
    Constituțională.



  • Motion de censure contre le gouvernement Cîţu

    Motion de censure contre le gouvernement Cîţu

    Constituée après les élections législatives de décembre dernier, la coalition entre le Parti national libéral (PNL), l’Union Sauvez la Roumanie-PLUS (USR-PLUS) et l’Union démocrate magyare de Roumanie (UDMR) a réussi deux tests ce mardi. Celui de constitutionnalité, elle l’a raté. La Cour constitutionnelle a statué que Renate Weber reprendrait sa qualité d’Avocat du peuple (l’équivalent du Défenseur des droits). Selon la Cour, la décision de l’Assemblée législative de la révoquer enfreint le principe de l’État de droit et celui de légalité et de suprématie de la Constitution ainsi que des dispositions de la loi portant organisation et fonctionnement de l’institution de l’Avocat du peuple. Lorsqu’ils l’ont destituée, les parlementaires du pouvoir lui ont reproché d’avoir transgressé la Constitution et d’avoir été plutôt un défenseur du PSD, qui l’avait installée à ces fonctions en 2019, lorsqu’il était au pouvoir. La plupart préparaient déjà l’installation d’un successeur, mais Mme Weber revient et pourra à nouveau exercer son droit de contester les lois et les ordonnances du gouvernement devant la Cour constitutionnelle.



    En revanche, la majorité parlementaire a passé le test de la cohésion à un moment où tant le PNL que l’USR-PLUS préparent des congrès qui auront lieu bientôt pour élire de nouveaux chefs. Pendant ce temps, les relations entre les deux partis ne sont pas du tout cordiales. En avril dernier, les dirigeants d’USR-PLUS annonçaient au premier ministre libéral Florin Cîţu le retrait de leur soutien politique, parce qu’il avait limogé leur collègue du ministère de la Santé, Vlad Voiculescu. Finalement, un successeur a été trouvé pour Voiculescu, Cîţu est resté premier ministre et USR-PLUS – au gouvernement.



    Et ce mardi, tous les députés du pouvoir sont restés assis et n’ont pas exercé leur droit de vote de la motion de censure déposée par le PSD. Elle a été votée uniquement par l’autre parti d’opposition nationaliste, le parti Alliance pour l’unité des Roumains (AUR). Les initiateurs avaient besoin de 234 voix pour, soit la moitié plus un du nombre des sénateurs et députés. Ils n’en ont recueilli que 201. Les analystes affirment que le résultat était prévisible et que la motion n’était qu’un exercice d’image pour la gauche, qui a eu l’occasion de faire un réquisitoire des politiques sociales et salariales du gouvernement. Le PSD accuse le cabinet en place de conduire l’économie roumaine au bord du gouffre à une vitesse vertigineuse. Les sociaux-démocrates affirment que si pour la plupart des Roumains le pouvoir d’achat diminue chaque seconde, la coterie politique et les entreprises du parti engrangent des bénéfices faramineux. Ils considèrent le Plan national de relance et de résilience — pas encore approuvé par la Commission européenne – aussi comme un échec.



    En réplique, les membres de la majorité parlementaire ont rappelé aux opposants les politiques hallucinantes des années dernières, lorsque l’homme fort de la politique roumaine était l’ancien chef du PSD Liviu Dragnea, maintenant emprisonné pour corruption. Les commentateurs estiment que, quelle que soit la couleur des protagonistes, les jeux politiques au Parlement ont de moins en moins d’échos dans la société. Lors des dernières élections législatives, les deux tiers de l’électorat ne s’étaient même pas rendus aux urnes. Et un vaste sondage d’opinion, publié ce mois-ci, révèle que 68,1 % des Roumains estiment que les choses dans ce pays vont dans la mauvaise direction, et seulement 25 % pensent que la direction est juste.


    (Trad. : Ligia)


  • Moțiune de cenzură împotriva guvernului Cîțu

    Moțiune de cenzură împotriva guvernului Cîțu

    Constitută după alegerile parlamentare din decembrie, actuala coaliţie PNL-USRPLUS-UDMR a avut de trecut, marţi, două teste. Pe cel al constituţionalităţii l-a picat. Curtea Constituţională a decis că Renate Weber îşi va relua calitatea de Avocat al Poporului.

    Potrivit Curţii, hotărârea Legislativului de a o revoca încalcă principiul statului de drept şi principiul legalităţii şi al supremaţiei Constituţiei, precum şi prevederi ale legii privind organizarea şi funcţionarea instituţiei Avocatului Poporului.

    Când au demis-o, parlamentarii puterii i-au reproşat că a încălcat Constituţia şi că a fost mai degrabă un avocat al PSD, cel care o pusese în funcţie în 2019, pe când era la putere. Majoritatea pregătea, deja, instalarea unui succesor, dar Weber revine şi va putea să-şi exercite din nou dreptul de a contesta legile și ordonanțele de guvern la Curtea Constituţională. Majoritatea a trecut, în schimb testul coeziunii, într-un moment în care atât în PNL, cât şi în USRPLUS urmează congrese pentru alegerea unor şefi noi, iar relaţiile dintre cele două partide nu sunt defel cordiale.

    În aprilie, useriştii îl anunţau pe premierul liberal Florin Cîţu că i-au retras susţinerea politică, fiindcă le-a demis colegul de la ministerul Sănătăţii, Vlad Voiculescu. În cele din urmă, lui Voiculescu i s-a găsit succesor, Cîţu a rămas prim-ministru, iar USRPLUS în guvern. Iar marţi toţi parlamentarii puterii au rămas în bănci şi nu şi-au exprimat votul asupra moţiunii de cenzură depusă de PSD şi votată doar de celălalt partid de opoziţie, AUR, naţionalist. Iniţiatorii aveau nevoie de 234 de voturi pentru, adică jumătate plus unu din totalul senatorilor şi deputaţilor. N-au adunat decât 201.

    Analiştii spun că rezultatul era previzibil şi că moţiunea a fost doar un exerciţiu de imagine pentru stânga, care a a avut ocazia să facă un rechizitoriu politicilor sociale şi salariale ale Guvernului. Actuala guvernare, acuză PSD, conduce economia României spre prăpastie cu o viteză uluitoare. În timp ce pentru majoritatea românilor puterea de cumpărare se reduce în fiecare secundă, camarila politică şi firmele de partid au profituri grase – mai spun social-democraţii, care consideră un eşec şi Planul Naţional de Redresare şi Rezilienţă, încă neomologat de Comisia Europeană. În replică, membrii majorităţii le-au amintit opozanţilor despre politicile halucinante din anii trecuţi, când omul forte al politicii româneşti era fostul şef PSD Liviu Dragnea, aflat acum, după gratii, pentru fapte de corupţie. Comentatorii consideră că, indiferent de culoarea protagoniştilor, jocurile politice din Parlament au tot mai puţin ecou în societate.

    La ultimele alegeri legislative, două treimi din electorat nici n-a mers la urne. Iar un amplu sondaj de opinie, publicat luna acesta, relevă că 68,1% dintre români apreciază că lucrurile în ţară se îndreaptă într-o direcţie greşită şi doar 25 de procente cred că direcţia e corectă.

  • 29.06.2021

    29.06.2021

    Coronavirus en Roumanie – Les autorités roumaines entament les derniers préparatifs en vue de l’introduction le 1er juillet du certificat vert numérique, document qui facilitera les voyages à l’intérieur de l’Union européenne sur la toile de fond de la pandémie. Les détails techniques ont été mis au point et la législation roumaine devrait être harmonisée à la législation communautaire. Ceux qui souhaitent voyager dans les pays de l’Union pourront télécharger ce document à partir du 1er juillet. Entre temps, les autorités cherchent des solutions pour stimuler la campagne nationale de vaccination par l’emploi d’équipes mobiles censées arriver dans les zones rurales isolées. Lundi, la Roumanie a dépassé le seuil de seulement 4,7 millions de personnes vaccinées, dont la majorité au schéma complet. Parallèlement, les autorités cherchent des solutions pour vendre une partie des doses de vaccin inutilisées ou pour les offrir en don. Seulement 73 cas d’infection au SARS Cov 2 ont été rapportés ce mardi. La vaste majorité des quelque 300 décès rapportés au cours des dernières 24 heures datent d’avant ce laps de temps. Un peu plus de 500 malades sont actuellement hospitalisés à travers le pays, dont 80 en réanimation, soit le plus bas nombre de cas graves depuis début avril.

    Motion de censure – Le plénum de la Chambre des Députés et du Sénat de Bucarest doit débattre et voter aujourd’hui de la première motion de censure initié par le principal parti de l’Opposition, le Parti social démocrate à l’encontre du gouvernement de la coalition de centre-droit dirigé par Florin Cîtu. Les sociaux-démocrates critiquent les mesures de l’exécutif dans des secteurs clé d’activité et la manière dans laquelle a été élaboré le Plan national de redressement et de résilience. Les partis de l’arc gouvernemental participeront aux débats sur le document, mais ne voteront pas, a annoncé le premier ministre libéral Florin Cîtu. Pour que la motion de censure soit adoptée et le gouvernement limogé, la motion devrait obtenir les voix favorables de 234 membres du Parlement. L’opposition constituée par le PSD et par l’Alliance de l’Union des Roumains et le groupe des élus indépendants réunissent 205 voix seulement.

    Commémoration – Mercredi à Bucarest, une réunion solennelle du Parlement sera consacrée à la commémoration des victimes du pogrom d’Iasi, dans le nord-est, perpétré du 28 au 30 juin 1941 et au cours duquel 13 mille Juifs roumains ont été tués. La haine non-dissimulée, la violence atroce, le mépris absolu à l’égard de la dignité humaine ont été seulement une partie des instruments utilisés par les autorités de l’époque pour mettre en pratique un plan abominable – le nettoyage de la ville des Juifs. Ceux-ci ont été arrachés de force de leurs maisons, séparés des personnes qui leur étaient chères, frappés sauvagement et jetés ensuite dans le trains de la mort ou bien tués par les balles des mitrailleuses. Des représentants de la Police, de l’armée et des services de renseignements ont attaqué et humilié les membres de la communauté juive, ils ont pillé leurs maisons, ils ont commis des meurtres, répondant ainsi aux ordres d’un régime criminel, a rappelé le président. Il a souligné que le pogrom d’Iasi ne constitue pas uniquement la tragédie des Juifs de la ville qui à celle des Juifs tués durant la rébellion des membres de la Légion de l’archange Michel, d’extrême droite, au début de la même année, mais elle est aussi le drame et la responsabilité à laquelle se confronte depuis la nation roumaine. Lorsque les institutions de l’Etat non seulement échouent d’une manière lamentable dans la réalisation des obligations normales envers leurs propres citoyens, mais discriminent, persécutent et tuent sans aucune pitié, le règle du mal absolu et de l’arbitraire s’installe, a également dit M Iohannis. La mémoire des souffrances de ces jours et la commémoration des victimes constituent la principale réparation morale que la génération actuelle et les prochaines générations ont l’obligation de suivre, affirme le président de la Roumanie. Il a averti que dernièrement, le négationnisme, le discours de la haine, les tentatives de modifier l’histoire, le populisme et l’antisémitisme sont de plus en plus présents dans l’espace public et là où ceux-ci trouvent le terrain fertile de l’ignorance, s’enracinent dangereusement.

    Cour Constitutionnelle – La Cour Constitutionnelle de Roumanie a décidé mardi que la décision du Parlement de révoquer Renate Weber de ses fonctions d’Avocat du peuple, équivalent roumain du défenseur des droits de France n’était pas conforme à la Constitution, selon Agerpress, qui cite des sources au Tribunal Constitutionnel. Celui-ci a admis ainsi la saisine du PSD d’opposition. Conformément à la Cour, par la décision de révoquer Mme Weber, le Parlement a transgressé la Constitution et les normes d’indépendance de l’Institution de l’avocat du peuple. Les représentants de la coalition majoritaire ont reproché à Mme Weber d’avoir enfreint la loi afin de servir le PSD, qui l’avait nommée, alors que les élus de ce parti ont caractérisé cette révocation d’exécution publique.

    Météo
    Les météorologues roumains ont émis mardi deux nouvelles alertes code jaune
    et code orange à l’inconfort thermique et respectivement à l’instabilité,
    valables sur une grande partie du pays. Aujourd’hui, il y a une alerte Code
    Jaune au mauvais temps dans la région des Carpates orientales et dans l’est des
    Carpates méridionales, ainsi que dans des régions de l’est, du sud et du
    sud-est, où des pluies torrentielles et des orages avec de la grêle sont possibles. Les quantités d’eau dépasseront
    les 20 à 40 litres par mètre carré. Une autre alerte Code jaune sera valable
    jusqu’à demain dans l’après midi sur le nord-ouest, le sud-ouest, le sud et le
    centre, où l’inconfort thermique sera accentué avec un indicateur Humidex
    dépassant le seuil critique des 80 unités. La canicule sévit sur la plupart du
    territoire avec des températures maximales allant généralement de 33 à 36
    degrés à l’ombre. Une alerte code orange à la canicule sera valable mardi et
    mercredi dans les départements de l’ouest, où la vague de chaleur s’intensifie,
    le mercure des thermomètres allant jusqu’à 38 degrés. Aujourd’hui les maximas
    vont de 27 à 37 degrés. 30 degrés et du soleil en ce moment à Bucarest.

    Foot – L’Espagne et la Suisse se rencontreront dans les quarts de finale de l’Euro 2020 de Foot après les résultats enregistrés ce lundi dans les huitièmes de finale de la compétition. A Copenhague, l’Espagne a battu la Croatie suite à un match dramatique, après prolongations sur 5 buts à 3 alors qu’à Bucarest, la Suisse a eu raison des champions du Monde, la France sur 5 buts à 4, suite aux tirs aux buts, lors d’un match terminé sur le score de 3 partout après les prolongations. Ce soir dans les huitièmes de finale toujours, l’Angleterre affronte l’Allemagne à Londres et la Suède rencontre l’Ukraine à Glasgow. Rappelons que le match entre la Suisse et la France a été le dernier de cette édition de l’Euro accueilli par la Capitale roumaine.

    Baccalauréat – La première session de cette année de l’examen de Baccalauréat se poursuit aujourd’hui en Roumanie par l’épreuve obligatoire du profile. Plus de 130 mille lycéens et collégiens en terminale se sont inscrits à ces épreuves. Le ministre de l’Education, Sorin Câmpeanu a déclaré que seulement 77% des personnes ayant terminé le lycée se sont inscrits au Bac, en baissé par rapport à 2020. Tout comme l’année dernière, à cause de l’épidémie de coronavirus, les jeunes roumains seront soumis uniquement à des épreuves écrites, alors que les compétences linguistiques et numériques seront soumises à des équivalences. Les premiers résultats de l’examen de baccalauréat seront affichés le 5 juillet et les résultats finaux seront 9 juillet. La deuxième session du baccalauréat se déroulera durant la deuxième moitié du mois d’août.





  • Erster Misstrauensantrag gegen Kabinett Cîțu im Parlament verlesen

    Erster Misstrauensantrag gegen Kabinett Cîțu im Parlament verlesen

    Die Sozial-Demokraten werfen der Regierung vor, Ma‎ßnahmen umzusetzen, die zur Verarmung der Bevölkerung und zum freien Fall der Wirtschaft geführt hätten. Sie beziehen sich auf das Einfrieren von Renten, Gehältern und Kindergeld und kritisieren die Art und Weise, wie die Exekutive den Nationalen Aufbau- und Resilienzplan entworfen hat, nach dem, wie sie sagen, die Bevölkerung mehr zahlen soll, um von europäischen Fonds zu profitieren. Es gebe auch so gut wie keine Ma‎ßnahmen für den Wirtschafts-, Gesundheits- und Bildungssektor, wirft die sozial-demokratische Partei dem Kabinett Cîțu vor. Senator Lucian Romaşcanu: Die PNL-USR-UDMR-Regierung führt die rumänische Wirtschaft mit einer erstaunlichen Geschwindigkeit in den Abgrund. Rumänien lebt von einem Tag auf den anderen von massiven Krediten, die zu astronomischen Zinssätzen aufgenommen wurden. Die Preise sind gestiegen, die Rechnungen haben sich verdoppelt, Grundnahrungsmittel sind zum Luxus geworden, lebenswichtige Medikamente sind entweder nicht verfügbar oder sehr teuer. Der Euro-Leu-Kurs hat 5 Lei erreicht, der Liter Benzin hat 6 Lei überschritten. Es passieren einfach fantastische Sachen!”



    Die Sozial-Demokraten behaupten hingegen, dass viele Interessengruppen zum Text des Antrags beigetragen hätten, darunter Gewerkschaften, Klein-und mittlere Unternehmen und Arbeitgeberverbände. Das Dokument wurde am Mittwoch in der Plenarsitzung des Parlaments verlesen und die Debatte und die Abstimmung sind für die nächste Woche geplant, wenn die beiden Kammern wieder zusammenkommen. Die Sozial-Demokraten sind der Meinung, dass der Antrag Chancen auf Erfolg habe und sagen, dass sie derzeit mit Abgeordneten anderer Parteien verhandeln, um den Antrag zu unterstützen. Auf die Äu‎ßerungen des Parteivches der Sozial-Demokraten Marcel Ciolacu, laut dem derzeit Verhandlungen u.a. mit mehreren Parlamentariern der Regierungskoalition laufen, antwortet der Co-Vorsitzende der Allianz USR-PLUS Dan Barna, dass kein Senator oder Abgeordneter seiner Partei den Antrag unterstützen wird.



    Dan Barna: Ich bezweifle, dass Marcel Ciolacu die Hoffnung hat, dass irgendein USR-PLUS-Parlamentarier diesen Antrag unterstützen würde, au‎ßer als Scherz. Das ist die Rolle der PSD, in der Opposition zu bleiben, immer bereit, und ich stimme mit dieser Linie überein.” Die national-liberale Partei hat ihre Abgeordneten mobilisiert, bei der Abstimmung anwesend zu sein, aber sie werden ihr Stimmrecht nicht ausüben und der liberale Ministerpräsident Florin Cîţu sagt, er sei überhaupt nicht besorgt, weil der Antrag keine Chance habe, angenommen zu werden.



  • Motion of no confidence in Government

    Motion of no confidence in Government

    Six months after its inauguration, the Florin Cîțu Government faces the first motion of no confidence filed by the main opposition party in Romania. The Social Democrats accuse the government of implementing measures that have led to the impoverishment of the population and a free fall of the economy. They recall the freezing of pensions, salaries and child allowances and criticize the way in which the executive drafted the National Recovery and Resilience Plan, under which, they say, the population will pay more to benefit from European funds. The Social Democratic Party also accuses the lack of effective measures for the economic, health-care and education sectors.

    Senator Lucian Romaşcanu: The PNL-USR-UDMR government is leading the Romanian economy into the abyss at an astonishing speed. Romania lives from one day to the next on massive loans taken at astronomical interest rates. Prices have exploded, Romanians’ pockets have emptied. Invoices have doubled, staple food has become a luxury, essential medicines are either not available or are very expensive. The euro-leu exchange rate has reached 5 lei, and the liter of gasoline exceeded 6 lei. Only fantastic things happening!

    The Social Democrats say that many stakeholders contributed to the text of the motion, including trade unions, SMEs and employers’ associations. The document was read on Wednesday in Parliament plenary session, and the debate and the vote are scheduled for next week, when the two chambers will convene again. The leadership of the Social Democratic Party considers that the move has chances of success and says that, currently, they are negotiating with parliamentarians from other parties to support the motion. In response to the statements made by the Social Democrat leader Marcel Ciolacu, according to which negotiations are underway, including with several parliamentarians from the governing coalition, the USR-PLUS co-president Dan Barna says that no senator or deputy of his party will support the motion.

    Dan Barna: We have not been contacted and I doubt that Mr. Ciolacu has any hope, other than as a joke, that any USR-PLUS parliamentarian would support this motion that they have announced. This is the role of the PSD, to remain in opposition , always ready, and I agree with this line.

    The Liberal leader Ludovic Orban too has stated that he does not believe that MPs from the governing parties will support the Social Democrats.The National Liberal Party has mobilized its parliamentarians to be present when the motion is voted, but they will not exercise their right to vote, and the Liberal Prime Minister Florin Cîţu says he is not worried at all, because the motion stands no chances of passing. (MI)

  • 23.06.2021

    23.06.2021

    Avocat du peuple – La commission de Venise, organe consultatif du Conseil de l’Europe composé d’experts indépendants en droit constitutionnel, a envoyé aux présidents des deux Chambres du parlement roumain une lettre dans laquelle elle demande des précisions supplémentaires sur la révocation de Renate Weber de ses fonctions d’Avocat du Peuple. La lettre porte la signature du président de la Commission de Venise, Gianni Buquicchio. Le parlement de Bucarest a commencé ce mercredi les procédures de nomination d’un nouvel Avocat du peuple, l’équivalent du défenseur des droits de France. L’unique candidat, Fabian Gyula (de l’Union démocrate magyare de Roumanie) soutenu par la coalition de centre-droit au pouvoir à Bucarest a été auditionné par les commissions juridiques du Législatif qui ont déjà donné leur avis favorable à sa candidature. C’est le plénum des deux Chambres du Parlement qui devrait désigner un nouveau défenseur des droits le plus probablement lundi. Rappelons-le, le Parlement de Bucarest a révoqué la semaine dernière Renate Weber de ses fonctions d’Avocat du peuple. Les élus de la majorité lui avaient reproché d’avoir transgressé la Loi Fondamentale afin de servir les intérêts du parti qui l’avait nommé : le PSD, qui est actuellement en opposition. En échange, les sociaux-démocrates accusent le Pouvoir de vouloir nommer un avocat du peuple qui n’attaque plus les décrets du gouvernement de coalition. Le PSD a contesté la décision du Législatif à la Cour Constitutionnelle, qui discutera de cette saisine le 29 juin. Les sociaux-démocrates affirment que conformément aux critiques de la Commission de Venise, la majorité parlementaire devrait attendre la décision de la Cour Constitutionnelle de Roumanie avant de procéder à un vote sur un nouvel Avocat du peuple.

    Motion – Le Parti social démocrate d’opposition, a déposé aujourd’hui au Législatif une motion de censure à l’encontre du Cabinet roumain de la coalition de centre – droit dirigé par le libéral Florin Cîtu, document qui sera soumis au vote la semaine prochaine. Le leader social-démocrate, Marcel Ciolacu, affirme que la motion de censure, la première de l’actuelle législature a toutes les chances d’être adoptée. Le PSD affirme que six mois après les élections parlementaires, le Cabinet Cîtu est inefficace, et la direction que celui-ci suit est erronée. Les sociaux-démocrates accusent l’exécutif de porter l’économie roumaine au précipice et lui reprochent la baisse du niveau de vie des Roumains. L’échec de la campagne de vaccination et le Plan national de relance et de résilience sont d’autres critiques à l’encontre de l’actuel pouvoir. Le premier ministre Florin Cîtu se déclare confiant et compte sur un échec de la motion. Le leader libéral Ludovic Orban a annoncé que les élus du PNL, principale formation de la coalition gouvernementale, participeront aux débats sur la motion de censure, mais n’exerceront pas leur droit de vote.

    Avocat du peuple – La commission de Venise, organe consultatif du Conseil de l’Europe composé d’experts indépendants en droit constitutionnel, a envoyé aux présidents des deux Chambres du parlement roumain une lettre dans laquelle elle demande des précisions supplémentaires sur la révocation de Renate Weber de ses fonctions d’Avocat du Peuple. La lettre porte la signature du président de la Commission de Venise, Gianni Buquicchio. Le parlement de Bucarest a commencé ce mercredi les procédures de nomination d’un nouvel Avocat du peuple, l’équivalent du défenseur des droits de France. L’unique candidat, Fabian Gyula (de l’Union démocrate magyare de Roumanie) soutenu par la coalition de centre-droit au pouvoir à Bucarest a été auditionné par les commissions juridiques du Législatif qui ont déjà donné leur avis favorable à sa candidature. C’est le plénum des deux Chambres du Parlement qui devrait désigner un nouveau défenseur des droits le plus probablement lundi. Rappelons-le, le Parlement de Bucarest a révoqué la semaine dernière Renate Weber de ses fonctions d’Avocat du peuple. Les élus de la majorité lui avaient reproché d’avoir transgressé la Loi Fondamentale afin de servir les intérêts du parti qui l’avait nommé : le PSD, qui est actuellement en opposition. En échange, les sociaux-démocrates accusent le Pouvoir de vouloir nommer un avocat du peuple qui n’attaque plus les décrets du gouvernement de coalition. Le PSD a contesté la décision du Législatif à la Cour Constitutionnelle, qui discutera de cette saisine le 29 juin. Les sociaux-démocrates affirment que conformément aux critiques de la Commission de Venise, la majorité parlementaire devrait attendre la décision de la Cour Constitutionnelle de Roumanie avant de procéder à un vote sur un nouvel Avocat du peuple.

    Coronavirus en Roumanie – Les autorités de Bucarest ont rapporté ce mercredi 66 nouveaux cas de contamination au virus SARS Cov 2 en 24 heures sur quelques 32 mille tests de dépistage effectués. 16 décès des suites de la Covid 19 ont été rapportés en 24 heures auxquelles s’ajoutent 150 antérieurs, introduites dans la base de données à la demande du ministère de la Santé. 141 malades sont actuellement en réanimation. Par ailleurs, le Sénat de Bucarest a adopté deux décisions qui approuvent les propositions de règlement du Parlement européen sur le cadre législatif gérant l’émission, la vérification et l’acceptation des certificats numériques verts. Les documents seront valables dans l’espace communautaire à partir du 1er juillet. Ces règlements seront suspendus à la fin de la pandémie et s’appliqueront à nouveau en cas de nouvelle pandémie.

    Accord intergouvernemental – Le plenum du Sénat de Bucarest a adopté en tant que chambre décisionnelle le projet de loi visant la ratification de l’Accord entre les gouvernements roumain et américain qui visent la coopération dans des projets du secteur du nucléaire civil en Roumanie. Selon l’accord, le côté américain s’impliquera dans la construction des 3e et 4e réacteurs de la centrale nucléaire de Cernavoda, dans le sud-est et de la remise à neuf de l’unité numéro 1. Il s’agit d’un projet d’une valeur de 8 milliards de dollars coordonné par une des sociétés de constructions les plus importantes des Etats Unis. Y participent aussi des entreprises de Roumanie, mais aussi de France et du Canada. L’accord restera en vigueur pour une période de 30 ans et sera automatiquement prolongé pour des périodes successives de 5 ans si une des deux côtés le demande.

    Incendie – Un incendie s’est produit mardi dans la soirée à l’Hôpital des urgences pédiatriques « Sfânta Maria » d’Iasi, dans le nord-est. Le feu a été éteint en une demi-heure et n’a pas fait de victimes. Il s’était propagé dans un salon non-utilisé de la section de soins intensifs/réanimation. Le personnel médical avait déconnecté les sources d’énergie et d’oxygène et évacué toutes les personnes se trouvant dans cet espace. L’incendie, dont la cause est actuellement inconnue, s’est produit après deux autres tragédies dans le système sanitaire roumain : novembre dernier, un incendie a ravagé la section de réanimation de l’hôpital des urgences de Piatra Neamt, dans le nord-est. Le feu a ravagé cette année, fin janvier plusieurs salons de l’hôpital bucarestois « Matei Bals ». Les deux incendies ont fait des victimes et aucun responsable n’a été identifié jusqu’ici.

    Météo – Une alerte code orange aux températures élevées et à l’inconfort thermique entre en vigueur aujourd’hui sur la moitié est de la Roumanie, où les températures iront de 37 à 39 degrés. Parallèlement, une alerte jaune à la canicule et à l’inconfort thermique est valable sur tout le territoire du pays jusqu’à ce soir. Les températures maximales iront de 33 à 37 degrés, avec 29 degrés en ce moment à Bucarest. Sur l’ouest, le nord-ouest et le sud-ouest, une alerte rouge à la canicule est désormais en vigueur ces jeudi et vendredi. Dans ces régions le mercure des thermomètres grimperont jusqu’à 41 degrés à l’ombre. Une alerte code orange à la canicule est également valable pour cette intervalle sur le sud et le centre du pays, où les températures iront de 37 à 39 degrés. Par ailleurs, deux personnes sont décédées à cause des inondations produites par des pluies torrentielles des derniers jours alors que plusieurs localités ont rapporté des dégâts significatifs. Les inondations menacent toujours la moitié est du pays.