Tag: PSD

  • 17.06.2020

    17.06.2020

    Visite – Le président roumain Klaus Iohannis continue sa visite d’Etat en Estonie. Aujourd’hui, des pourparlers sont prévus avec le premier ministre Kaja Kallas et avec le président du parlement estonien, Jüri Ratas. Le chef de l’Etat roumain va également déposer une couronne de fleurs au Mémorial à la Guerre d’indépendance et va visiter l’hôtel de ville de Tallinn, le Centre d’information e-Estonia et le siège du start-up Unicorn Squad, qui offre des formations en robotique. Hier, Klaus Iohannis a rencontré son homologue Kersti Kaljulaid et a annoncé qu’il avait invité l’Estonie à prendre part au Centre euro-atlantique pour la résilience de Bucarest. « La Roumanie et l’Estonie partagent des visions et des intérêts communs au niveau de l’Union européenne, ce qui facilite la coopération étroite entre nos deux pays sur les priorités actuelles et futures de l’Union » – a déclaré le président Iohannis. Les discussions, a-t-il ajouté, ont visé à renforcer la coopération bilatérale dans le domaine numérique, de la cyber sécurité et de l’intelligence artificielle, étant donnée l’expérience de l’Estonie en la matière et le fait que la Roumanie accueille le nouveau cyber centre de l’Union européenne.

    Coronavirus – Le président de la campagne nationale de vaccination Valeriu Gheorghiţă a annoncé jeudi que près de 25% des Roumains étaient déjà vaccinés contra la Covid-19. Ce pourcentage s’applique à la population éligible au vaccin, c’est-à-dire les personnes âgées de plus de 12 ans et celles n’ayant pas de contre-indication à recevoir le vaccin. Les taux de couverture les plus importants sont rapportés par Bucarest, avec près de 45% de sa population éligible vaccinée, et Cluj – avec plus de 41%. Andrei Baciu, secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Santé, déclarait que la vaccination était la solution à portée de main jusqu’à la possible apparition d’un traitement efficace contre la maladie. Les autorités ont fait état de 87 nouveaux cas de contamination au Sars-Cov-2 ces dernières 24 heures. 87 décès ont également été rapportés, mais 82 datent de l’année dernière et de la première moitié de cette année et n’avaient pas été rapportés.

    Justice – Un nouvel Avocat du peuple
    sera nommé par le Parlement de Bucarest mercredi prochain, selon le calendrier
    établi jeudi par la président du Parlement, a annoncé le président de la
    Chambre des Députés et leader du Parti national libéral, Ludovic Orban. Il a
    précisé que les groupes parlementaires pourront proposer leurs candidats jusqu’au
    mardi 22 juin et le vote des deux chambres réunies aura lieu le mercredi 23 juin.
    Le Parti social-démocrate, en opposition, a annoncé jeudi qu’il allait contester
    auprès de la Cour constitutionnelle de la Roumanie la révocation de Renate
    Weber de ses fonctions d’Avocat du peuple, décidé mercredi par la majorité de
    centre droit constituée par le Parti national libéral, l’Union sauvez la
    Roumanie-PLUS et l’Union démocrate magyare de Roumanie.

    Colectiv – La Cour d’appel Bucarest a fixé au 22 septembre le nouveau terme pour le dossier « Colectiv », du nom du club de Bucarest où, fin 2015, un incendie a coûté la vie à 64 personnes. En début de semaine, le dossier avait été partagé en deux dossiers distincts, d’un côté les patrons du club et les pyrotechniciens qui avaient installé le feu d’artifices qui a déclenché l’incendie et de l’autre l’ancien maire, des responsables municipaux et des sapeurs-pompiers. Les juges sont revenus sur leur décision et ont finalement décidé de juger l’affaire comme une seule et unique affaire. A l’automne prochain, trois juges vont décider s’ils changent l’accusation d’abus de pouvoir en négligence pour une partie des accusés, y compris l’ancien-maire du Secteur 4 de Bucarest. Les inculpés avaient fait appel à la sentence de décembre 2019, où tous avaient été condamnés par le Tribunal de Bucarest à des peines comprises entre 8 et 12 ans de prison ferme et à verser plus de 50 millions d’euros de dommages et intérêt aux victimes de l’incendie.

    Economie – Le gouvernement roumain a approuvé
    un mémorandum qui permettrait à la Roumanie de revaloriser sa participation au
    combinat de Krivoï Rog en Ukraine, un projet datant des années ’80 entre
    plusieurs pays socialistes de l’Europe de l’Est. La Roumanie avait payé à l’époque
    plus d’un milliard de dollars pour la construction du complexe sidérurgique et
    aurait dû recevoir de la matière première pour produire de l’acier. Mais le
    projet n’a jamais abouti, à cause de la dissolution de l’Union soviétique et de
    la Tchécoslovaquie. La gestion de l’usine a été reprise par l’Ukraine, en tant
    qu’Etat indépendant, et les seuls autres pays impliqués dans le projet à
    présent sont la Roumanie et la Slovaquie. Le site est à présent une ruine,
    selon le ministre roumain de l’Economie Claudiu Năsui, pour laquelle la Roumanie paye chaque
    année près d’un million d’euros pour la conservation et le gardiennage. De
    nombreuses tentatives de résoudre cette situation ont existé ces 30 dernières
    années, y compris des offres de reprise, mais pour le moment aucune solution n’a
    été trouvé pour permettre à la Roumanie de récupérer son investissement.

    Migrants – La Police roumaine aux frontières a arrêté 16 migrants originaires d’Irak, de Somalie, de Turquie et de Syrie qui essayaient de traverser illégalement la frontière avec la Hongrie, à l’ouest de la Roumanie, cachés à l’intérieur d’un camion chargé de meubles. Le poids lourd, conduit par un chauffeur turc, avait pour destination finale la France. Les 16 personnes arrêtées, âgées de 15 à 31 ans, étaient toutes demandeurs d’asile en Roumanie.

    Foot – Bucarest accueille tout à l’heure la rencontre entre l’Ukraine et la Macédoine du Nord, comptant pour le groupe C de l’Euro de foot 2020. Aujourd’hui encore, les Pays-Bas affrontent l’Autriche, toujours dans le groupe C, et le Danemark rencontre la Belgique, dans le groupe B. L’Italie est la première équipe qualifiée pour les huitièmes de finale de la compétition, après avoir vaincu la Suisse hier, 3 buts à 0, à Rome, dans un match du groupe A.

    Météo – Temps plutôt mauvais en Roumanie, avec des averses, des orages et localement de la grêle dans le sud, l’est et le centre du pays, et des pluies de courte durée ailleurs sur le territoire. Les températures maximales vont de 21 à 31°C dans la journée, avec 25° et de belles éclaircies à midi à Bucarest.

  • The Priorities of Romania’s Recovery and Resilience Plan

    The Priorities of Romania’s Recovery and Resilience Plan

    The centre-to-right coalition government in
    Bucharest on June 2nd made public the National Recovery and
    Resilience Plan PNRR – about 12 hundred pages sent to the EU with measures,
    which would allow Romania to attract 29 billion euros worth of EU funds. This
    money, which Romania can get as loans or subsidies is part of a major plan of
    672 billion euros designed by Brussels so that all the member states can
    overcome the economic impact of the Covid-19 pandemic. Authorities in Romania
    want to use some of the money to build over 400 kilometers of motorway,
    hundreds of schools and kindergartens and refurbish many hospitals.




    In fact, the transport infrastructure,
    Education and Healthcare are going to receive most of the funds. The plan also
    contains provisions for some environment activities such as reforestations or
    an improved waste management. According to Prime Minister Florin Citu, all the
    loans Romania is going to get by means of PNRR will be used for investment.




    Florin Citu: We must get loans to
    invest in Romania as we need to build motorways, hospitals, schools, and the
    loans we get by means of this PNRR are at a low interest rate, close to zero.
    Germany, Spain, Italy, countries from the Eurozone, are getting loans at this
    rate. The fact that we can get loans at such a low interest rate and invest
    them is a good thing for Romania.




    Deputy prime
    ministers Dan Barna and Kelemen Hunor have underlined that key sectors will
    significantly change and that all communities, irrespective of the region will
    be equitably and fairly supported. On the other hand, Lucian Romascanu,
    spokesman for the opposition PSD, believes that on the contrary, the projects
    included in the PNRR will be causing new imbalances.




    Lucian Romascanu: We don’t have anything when it comes to motorways, rail
    roads, irrigation systems or gas networks, and that situation is condemning
    Romania to underdevelopment. We are going to have a country which is developed
    unequally, right at a time when we can give it a new look by properly using
    these funds.




    The plan also contains a series of reforms in
    terms of pensions, justice, state companies and the payment of the personnel in
    the public system. While the government says that it wants to recalculate
    pensions, the opposition PSD has referred to the former’s intention to increase
    the pension age, implement austerity measures and freeze incomes.




    According to the Social-Democrats, the poverty
    of the Romanians and the dropping standard of living are the only certitudes of
    the National Plan of Recovery and Resilience. According to the Minister of Investment and
    European Projects, Cristian Ghinea in the next period Bucharest is waiting for the
    official assessment of this plan in Brussels and for its approval. From that
    moment on the ways of implementing the aforementioned plan belong exclusively
    to Romania.


    (bill)





  • Nachrichten 28.05.2021

    Nachrichten 28.05.2021

    Rumänien hat es geschafft, zum ersten Mal auf der Tagesordnung eines EU-Außenministertreffens, das am Donnerstag in Lissabon zu Ende ging, das Thema der eingefrorenen Konflikte der östlichen Nachbarschaft der EU einzuführen. Rumäniens Außenminister Bogdan Aurescu sagte gegenüber Radio Rumänien, die vorgeschlagenen Maßnahmen konzentrierten sich auf die Einrichtung der Slelle eines EU-Sonderbeauftragten für eingefrorene Konflikte und die Widerstandsfähigkeit der Staaten in der östlichen Partnerschaft, die Idee der Verhängung von Sanktionen in Gebieten wie Transnistrien, einer abtrünnigen Region in der benachbarten, ex-sowjetischen rumänischsprachigen Republik Moldau, sowie die Bereitstellung von Hilfe nach einer Pandemie. Der Chefdiplomat in Bukarest hat erklärt, dass sich der gesamte Block der Gefahr bewusst ist, die von den eingefrorenen Konflikten ausgeht, und dass Russland hinter all diesen Konflikten steckt. Ganz oben auf der Tagesordnung des jüngsten informellen Gymnich-Treffens in Lissabon standen außerdem die erweiterte Schwarzmeerregion, die EU-Afrika-Beziehungen und die strategische Vision der EU für den indisch-pazifischen Raum.



    Der Bau des postpandemischen Rumäniens bedeutet keine Rückkehr zum vorherigen Staat, sondern einen bedeutenden Fortschritt in Richtung einer neuen Phase, und dieses Ziel kann durch den Nationalen Wiederaufbauplan erreicht werden, sagte Präsident Klaus Iohannis am Freitag. Er rief einige Tage vor seiner Vorlage durch die rumänische Regierung bei der Europäischen Kommission zur allgemeinen Mobilisierung und Solidarität auf, um den Plan zu unterstützen und umzusetzen. Investitionen können ohne Reformen nicht funktionieren, erklärte das Staatsoberhaupt und wies darauf hin, dass Rumänien über rund 80 Milliarden Euro verfügt. Jetzt ist es an der Zeit, dass alle verantwortlichen politischen Kräfte aus der Parteilogik herauskommen, Solidarität und Verantwortung zeigen und diese nationalen Bemühungen unterstützen, fügte Klaus Iohannis hinzu. PSD erklärte dagegen, dass die Exekutive durch das Dokument Sparmaßnahmen ergriffen habe. Die Sozaldemokraten gaben bekannt, sie werden einen Misstrauensantrag einreichen. Am Donnerstag haben die Parlamente Österreichs und Polens den europäischen Corona-Wiederaufbauplan im Wert von 672 Milliarden Euro gebilligt, der es ermöglicht, den Ratifizierungsprozess auf EU-Ebene abzuschließen. Jeder Mitgliedstaat muss einen Investitionsplan in Brüssel vorlegen. 19 Länder haben sie bereits eingereicht.



    Der stellvertretende NATO-Generalsekretär Mircea Geoana wird Rumänien am Montag einen Besuch abstatten, um das Kommando der multinationalen Division Südost zu besuchen, die an der Übung Steadfast Defender 21“ der NATO teilnimmt, teilte die Nordatlantische Allianz am Freitag in einer Pressemittelung mit. Der stellvertretende Generalsekretär wird zusammen mit dem Vorsitzenden des NATO-Militärausschusses, Luftwaffengeneral Stuart Peach, mit dem rumänischen Verteidigungsminister Nicolae Ciuca und dem Chef des rumänischen Verteidigungsstabs, Generalleutnant Daniel Petrescu, zusammentreffen. Er wird auch an einer Diskussion auf dem Atlantik-Schwarzmeer-Sicherheitsforum teilnehmen, das vom Aspen Institute in Rumänien veranstaltet wird. Während des Besuchs wird Mircea Geoana zusammen mit dem rumänischen Präsidenten Klaus Iohannis, dem Außenminister Bogdan Aurescu und dem EU-Kommissar für interinstitutionelle Beziehungen und Prognosen das Euro-Atlantische Zentrum für Resilienz (E-ARC) Maros Sefcovic, Vizepräsident der Europäischen Kommission eröffnen. Der stellvertretende NATO-Generalsekretär wird auch bilaterale Treffen mit Präsident Iohannis und Minister Aurescu abhalten. Mircea Geoana, ehemaliger Botschafter in Washington und ehemaliger sozialdemokratischer Politiker des Landes, war zwischen 2000 und 2004, als Rumänien in die NATO aufgenommen wurde, rumänischer Außenminister.



    Die Zahl der mit Sars-CoV-2 infizierten Menschen in Rumänien ist seit geraumer Zeit rückläufig. Die Behörden gaben am Freitag 321 neue Fälle von über 33 Tausend durchgeführten Tests bekannt. Die Hauptstadt Bukarest und alle anderen Regionen befinden sich nun in der sogenannten grünen Zone. Seit dem Start der Impfkampagne in Rumänien Ende Dezember wurden 3,3 Millionen Menschen vollständig geimpft. Über 1.000 Ärzte, Krankenschwestern und Verwaltungsmitarbeiter haben sich für die zweite Auflage des Impfmarathons gemeldet, der in Bukarest noch bis zum 31. Mai andauert. Ab dem 1. Juni sollen neue Lockerungsmaßnahmen in Kraft treten. Die Regierung hat festgelegt, unter welchen Bedingungen das Tragen von Masken in Innenräumen nicht mehr vorgeschrieben ist, wie viele Personen an einer Veranstaltung teilnehmen können und welche Unterhaltungsmöglichkeiten geöffnet werden können.



    Die Regierung in Bukarest hat eine neue humanitäre Hilfe für die benachbarte Republik Moldau gebilligt, um den dortigen Behörden bei der Eindämmung der Coronavirus-Pandemie zu helfen. Laut einem Kommuniqué des Gesundheitsministeriums besteht die Hilfe aus 100 Tausend Dosen des Impfstoffs von AstraZeneca. Der Staatssekretär im rumänischen Außenministerium Dan Neculaescu befindet sich derzeit zu einem Arbeitsbesuch in Czernowitz, um auch der Ukraine humanitäre Hilfe zu leisten. Bei dieser Gelegenheit wird Neculaescu mit Vertretern der rumänischen Gemeinde in der Ukraine zusammentreffen und voraussichtlich Gespräche mit dem ukrainischen Außenminister Vasyl Bodnar und mit Beamten der regionalen Staatsverwaltung in Czernowitz führen.

  • 20.05.2021

    20.05.2021

    Coronavirus en Roumanie – Le premier ministre Florin Cîţu assure que d’autres assouplissements des restrictions en vigueur pour combattre l’épidémie de Covid 19 sont prévues en Roumanie. Le chef du gouvernement de Bucarest a déclaré que cela ne dépendait pas nécessairement de la réalisation de la cible de 5 millions de personnes vaccinées avant le 1er juin. D’ailleurs, le coordinateur de la Campagne nationale d’immunisation contre la Covid 19, Valeriu Gheorghita, affirme qu’il était peu probable que cet objectif soit atteint avant la fin du mois, mais s’attend à ce que la cible soit atteinte dans la première moitié du mois prochain. Plus de 4 millions de Roumains se sont fait immuniser contre la Covid 19, la Roumanie se situant en 7e position en Europe pour ce qui est des personnes entièrement immunisées et 19e dans le monde. A présent, pour se faire vacciner il faut tout simplement se rendre dans un centre sans aucune programmation et muni uniquement d’une pièce d’identité. Des dizaines de milliers de personnes ont été vaccinées au volant ou bien dans le cadre de soi-disant « marathons » de la vaccination déroulés à travers le pays. Par ailleurs, 4 137 malades de Covid 19 sont hospitalisés dans en Roumanie dont 663 en réanimation. 628 nouveaux cas de Covid 19 ont été rapportés ces dernières 24 heures en Roumanie sur quelque 31 mille tests, a annoncé aujourd’hui le Groupe de communication stratégique. Durant la même période 61 personnes infectées sont décédées des suites de la maladie portant le nombre total des décès à 29 777. Depuis le début de la pandémie, 190 ressortissants roumains sont officiellement décédés à cause de la maladie à l’extérieur des frontières nationales.

    Plan de relance – Le premier ministre roumain, Florin Cîţu, doit s’entretenir aujourd’hui par visioconférence avec la vice-présidente exécutive de la Commission européenne, Margaret Vestager et rencontrer aussi les responsables du principal parti d’opposition, le PSD, au sujet du Plan national de relance et de résilience. Les sociaux-démocrates ont expressément demandé qu’ils soient consultés au sujet du document et que le chef de l’exécutif le présente devant le Parlement. Le leader social-démocrate Marcel Ciolacu a annoncé qu’il serait accompagné de plusieurs spécialistes du parti, ainsi que de représentants des PMEs et des syndicats. Le PSD souhaite imposer une série de changements dans le plan roumain et menacé de ne pas voter en faveur du traité européen à la base de l’application de tous les plans nationaux de redressement des Etats européens. Le document et de résilience a été analysé en détail au cours de la réunion gouvernementale d’hier. L’exécutif de Bucarest a promis de déposer à Bruxelles le plan de redressement avant la fin du mois.

    Eurostat – La population urbaine devrait progresser dans 15 Etats membres de l’UE entre 2019 et 2050 et baisser dans neuf autres, y compris en Roumanie, selon les prévisions les plus récentes sur l’évolution démographique de l’UE rendues publiques jeudi par l’Eurostat. Malte, l’Irlande et la Suède enregistreront la croissance de la population urbaine la plus importante à l’horizon 2050. Au pôle opposé se trouvent aux côtés de la Roumanie, la Lettonie, la Grèce et la Pologne. Durant la même période, la population rurale devrait accroitre en Irlande, Suède, au Danemark et en Belgique. Par ailleurs, la Roumanie compte parmi les 20 Etats qui devraient enregistrer un déclin aussi de la population rurale – selon l’Eurostat. Dans le cas de la Roumanie, les chiffres publiés par l’Institut national de la statistique illustrent le fait que ce 1er janvier, d’après le domicile, la population de la Roumanie se chiffrait à 22 millions de personnes, dont 12,5 millions de personnes résidentes du milieu urbain.

    Météo – Temps frisquet et météo instable en Roumanie, avec un ciel couvert et des pluies à verse et des orages sur la plupart des régions. Des pluies torrentielles sont également signalées. Les maxima de la journée vont de 12 à 21 degrés. Jusqu’à vendredi matin une alerte code orange aux pluies abondantes est valable dans 19 départements de l’ouest et de la région de l’arc des Carpates. Un code jaune aux précipitations visant le nord, le centre et les collines du sud et de l’est, ainsi que le nord des Carpates Orientales est en vigueur jusqu’à vendredi matin. Par ailleurs, les hydrologues ont émis des codes orange et jaune aux inondations concernant plusieurs rivières du centre, de l’ouest et de l’est du pays. Des dizaines de localités de plusieurs départements ainsi que de la Capitale, ont été touchées par les pluies torrentielles la nuit dernière.

  • Liviu Dragnea, ein neues Verfahren

    Liviu Dragnea, ein neues Verfahren

    Die juristische Saga desjenigen, der die PSD-Kräfte bis zur Verurteilung vor 2 Jahren mit der Hand geführt hat, scheint endlos zu sein. Während er in Haft war, erhielt Liviu Dragnea eine weitere schlechte Nachricht: Er wurde von den Staatsanwälten der Nationalen Antikorruptionsdirektion in einem neuen Fall vor Gericht gestellt, in dem er des Handels mit Einfluss und der Nutzung von Einfluss oder Autorität im Zusammenhang mit seiner Anwesenheit bei der Einweihungszeremonie von Präsident Donald Trump Anfang 2017 beschuldigt wird. Damals war Dragnea Präsident der Abgeordnetenkammer und Chef der wichtigsten Regierungspartei, und die Bilder, auf denen er den stärksten Mann der freien Welt begrü‎ßt, ebneten den Weg für alle möglichen Spekulationen nach Bukarest.



    Die Staatsanwaltschaft behauptet nun, dass der frühere Vorsitzende der Sozialdemokraten sich der Einflussnahme und des Gebrauchs von Einfluss oder Autorität durch eine Person, die eine Führungsposition in einer Partei innehat, schuldig gemacht hat, um für sich oder andere unverdiente Vorteile zu erlangen. Angeklagt sind neben Dragnea drei Geschäftsleute, denen das Verbrechen des Einflusskaufs bzw. der Mittäterschaft am Einflusskauf vorgeworfen wird. Liviu Dragnea soll von einem der Geschäftsleute unverdiente Vorteile für sich und die Partei erhalten haben, die darin bestanden, dass er sich Zugang zu den Veranstaltungen der Inaugurationsfeier des US-Präsidenten vom 17. bis 21. Januar 2017 in Washington verschaffte und ein Vorteilspaket von 250.000 Dollar erhielt.



    Der Zugang wurde angeblich durch einen amerikanischen Politiker und Geschäftsmann, Vizepräsident des Presidential Inaugural Committee, verschafft. Mit Hilfe der beiden anderen Geschäftsleute wurden angeblich $ 30.000 an Lobbying- und politischen Beratungsleistungen für die Partei, der er angehörte, erbracht. Das Geld wurde angeblich im Mai 2017 von einer Offshore-Gesellschaft mit Sitz auf den Britischen Jungferninseln und Bankkonten in Zypern bezahlt, so die Antikorruptionsbehörde. Der Angeklagte Liviu Dragnea soll zugunsten eines rumänischen Geschäftsmannes seinen realen Einfluss auf den Premierminister und andere Mitglieder der rumänischen Regierung verschleiert haben, indem er ihnen versprach, sie zu bestimmen, um seine Geschäftsinteressen, insbesondere im militärischen und geheimdienstlichen Bereich, die er in Rumänien hatte, sicherzustellen.



    Liviu Dragneas erste Verurteilung war eine Gefängnisstrafe mit Bewährung wegen Wahlbetrugs. Die zweite, von dreieinhalb Jahren, erhielt er wegen Anstiftung zum Amtsmissbrauch in der Zeit, als er Präsident des Kreisrates von Teleorman (Süd) war. Er möchte nun früher aus dem Gefängnis entlassen werden. Sein politisches Vermächtnis wurde für die PSD zu einer wahltaktischen Belastung. Die Partei verlor reihenweise die Europaparlament- und die Präsidentschaftswahlen 2019, kam bei den Legislaturperioden 2020 auf den ersten Platz, wurde aber von der Regierungsgleichung ausgeschlossen und konnte nur auf lokaler Ebene einen wichtigen Anteil halten.



    Die Misserfolge der PSD sind grö‎ßtenteils auf den ehemaligen Vorsitzenden zurückzuführen, dem vorgeworfen wird, einen gefährlichen Prozess der politischen Unterordnung der Justiz eingeleitet zu haben, nur um kriminelle Probleme loszuwerden.

  • Liviu Dragnea, un nou proces

    Liviu Dragnea, un nou proces

    Saga judiciară a
    celui care a condus cu mână forte PSD până în momentul condamnării, în urmă cu
    2 ani, pare fără sfârşit. Aflat în detenţie, Liviu Dragnea a mai primit o veste
    proastă: a fost trimis în judecată de procurorii Direcţiei Naţionale
    Anticorupţie într-un nou dosar, în care este acuzat de trafic de influenţă şi
    de folosire a influenţei sau autorităţii în legătură cu prezenţa sa la
    ceremonia de inaugurare a preşedintelui Donald Trump de la începutul anului
    2017. La acea vreme, Dragnea era preşedintele Camerei deputaţilor şi şeful principalului
    partid la guvernare, iar imaginile cu el salutându-l pe cel mai puternic dintre
    liderii lumii libere au deschis calea tuturor speculaţiilor posibile la
    Bucureşti.


    Procurorii susţin, acum, că fostul şef social-democrat s-ar face
    vinovat de trafic de influenţă şi folosire a influenţei sau autorităţii de
    către o persoană care deţine o funcţie de conducere într-un partid, în scopul
    obţinerii pentru sine sau pentru altul de foloase necuvenite. Inculpaţi,
    alături de Dragnea, sunt trei oameni de afaceri, în sarcina cărora s-au reţinut
    infracţiunile de cumpărare de influenţă, respectiv complicitate la cumpărare de
    influenţă. Liviu Dragnea ar fi primit de la unul dintre oamenii de afaceri
    foloase necuvenite pentru sine şi pentru partid, constând în asigurarea accesului
    la evenimentele din cadrul Ceremoniei de învestire a preşedintelui SUA, din
    perioada 17 – 21 ianuarie 2017, desfăşurate la Washington, în baza unui pachet
    de beneficii în valoare de 250.000 dolari. Accesul ar fi fost obţinut prin
    intermediul unui om politic şi de afaceri american, vicepreşedinte al
    Comitetului Prezidenţial de Inaugurare. Cu ajutorul celorlalţi doi oameni de
    afaceri, ar fi fost asigurate şi servicii de lobby şi consultanţă politică în
    valoare de 30.000 USD, în favoarea partidului din care făcea parte. Banii
    respectivi ar fi fost plătiţi, în luna mai 2017, de o societate offshore cu
    sediul în insulele Virgine Britanice şi conturi bancare în Cipru, arată DNA.


    Inculpatul
    Liviu Dragnea ar fi traficat, în favoarea unui om de afaceri român, influenţa
    reală pe care o avea faţă de prim-ministrul şi alţi membri ai Guvernului
    României, promiţându-i că îi va determina pe aceştia să îi asigure interesele
    de afaceri, în special din domeniile militar şi intelligence, pe care
    respectivul le avea în România.


    Prima condamnare a lui Liviu Dragnea a fost la
    închisoare cu suspendare pentru fraudă electorală. A intrat în puşcărie, însă,
    după cea de-a doua, de 3 ani şi jumătate, primită pentru instigare la abuz în
    serviciu în perioada în care era preşedinte al Consiliului Judeţean Teleorman.
    Acum doreşte eliberarea mai devreme din închisoare.


    Moştenirea sa politică s-a
    transformat în povară electorală pentru PSD.
    Partidul a
    pierdut, în serie, europarlamentarele şi prezidenţialele din 2019, a iesit primul la legislativele din 2020
    dar a fost exclus din ecuaţia guvernării şi a reuşit doar să-şi menţină o
    pondere importantă pe plan local. Eşecurile PSD sunt imputabile în bună măsură
    fostului lider, acuzat că a iniţiat un periculos proces de subordonare politică
    a justiţiei numai pentru a scăpa de problemele penale.



  • 21.04.2021 (mise à jour)

    21.04.2021 (mise à jour)

    Gouvernement -
    La nouvelle ministre de la Santé, Ioana Mihăilă, a prêté serment lors d’une
    cérémonie d’investiture qui a eu lieu mercredi au Palais de Cotroceni. A cette
    occasion, le président Klaus Iohannis a souligné la difficulté de sa tâche en
    pleine pandémie et a demandé au gouvernement de la soutenir dans ses missions. Ioana
    Mihăilă a été proposée pour le fauteuil de ministre par l’Union sauvez la
    Roumanie-PLUS, après la révocation intempestive de Vlad Voiculescu. Médecin
    endocrinologue, elle était secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Santé depuis
    janvier 2021. Ioana Mihăilă déclare vouloir mettre en place des mesures concrètes
    afin de soutenir les hôpitaux et afin de résoudre la crise sanitaire. Elle vise
    également à dépolitiser le système roumain de santé. Mardi soir, les leaders de
    la coalition de centre-droit sont parvenus à un accord censé mettre fin à la
    mini-crise politique déclenchée par le limogeage de Vlad Voiculescu. Ils ont
    signé un acte additionnel au protocole de gouvernance qui stipule que la
    prérogative constitutionnelle permettant au chef du cabinet de révoquer un
    ministre devait être exercée après en avoir informé le parti qui avait proposé
    le ministre en question. Par ailleurs, selon le document, la vaccination contre
    la Covid-19 reste une priorité du gouvernement.

    Vaccination
    – Et justement, « la Roumanie approche l’objectif de 100.000 personnes
    vaccinées quotidiennement ». C’est une déclaration du président Klaus
    Iohannis qui assistait, ce matin, à l’inauguration d’une unité de vaccination mobile
    dans une commune près de Bucarest. Le chef de l’Etat s’est déclaré très
    satisfait du déroulement de la campagne de vaccination anti-Covid dans le pays.
    Au rythme de plus de 80.000 doses administrées chaque jour, plus de 2,7
    millions de Roumains ont reçu jusqu’ici au moins une dose de vaccin. Enfin, le Groupe de communication stratégique
    faisait état, aujourd’hui, de 3.000 nouveaux cas de contamination au Sars-Cov-2
    et de 175 décès des suites de l’infection
    au cours des dernières 24 heures. 1.436 patients sont hospitalisés en soins
    intensifs.






    Corruption -
    Le Sénat roumain a approuvé le lancement des poursuites pénales à l’encontre de
    l’ancien ministre social-démocrate de la Santé Florian Bodog. Lors du vote
    secret, 98 sénateurs se sont prononcés en faveur de la demande formulée par le
    Parquet roumain anticorruption, 24 ont voté contre et un sénateur ou une
    sénatrice s’est abstenu.e. Selon les procureurs anticorruption, à l’époque où
    il était ministre, Florian Bodog aurait agit pour qu’un de ses conseillers
    personnels soit rémunéré durant toute une année sans se rendre au travail et
    sans déployer aucune des activités stipulées dans son contrat. Par ailleurs, le
    premier ministre libéral Florin Cîţu a fait savoir qu’il avait accepté la
    démission de son collègue de parti Gelu Puiu de ses fonctions de secrétaire d’Etat
    auprès du ministère de l’Environnement. La
    démission vient après que la publication « Recorder » a dévoilé des
    enregistrements montrant comment plusieurs chefs de directions sylvicoles, sans
    étiquette politique, avaient été limogés à la suite d’une campagne de chantage
    coordonnée depuis le ministère. Les personnes en question ont ensuite été
    remplacées par des membres du parti, certains n’ayant aucune compétence
    professionnelle dans la sylviculture. Les enregistrements de Recorder indiquent
    l’ex-secrétaire d’Etat Gelu Puiu comme exécutant de l’opération.


    Handball -
    L’équipe de Roumanie féminine de handball s’est qualifiée au Championnat du monde 2021 après avoir vaincu,
    mercredi soir, la Macédoine du Nord 35 à 20, à Skopje, lors du match retour des
    qualifications. Samedi dernier, lors du match aller disputé à Bucarest, les
    Roumaines avaient remporté la partie 33 à 22. La compétition finale aura lieu
    du 1er au 19 décembre, en Espagne. La Roumanie est le seul pays à
    avoir participé à toutes les 24 éditions du Championnat du monde de handball
    féminin et a remporté quatre médailles : l’or – en 1962, l’argent – en 1973 et en
    2005, et le bronze – en 2015. Lors de la précédente édition de la Coupe du
    monde, en 2019, au Japon, la Roumanie s’est classée 12e.








    Météo
    – Les températures continuent de grimper en Roumanie, mais le temps devient
    instable. On attend des pluies et localement de la grêle dans le nord et le
    nord-ouest du pays. En haute montagne, on signale des précipitations mixtes.
    Les températures maximales iront, dans les prochaines 24 heures, de 13°à 21°.

  • 14.04.2021

    14.04.2021


    Gouvernement – Le ministre de la Santé Vlad Voiculescu et la secrétaire d’Etat
    auprès du ministère de la Santé Andreea Moldovan ont été démis de leurs
    fonctions, après plusieurs semaines de tensions croissantes sur la gestion de
    la pandémie de Covid-19 en Roumanie. Cela fait un an que la Roumanie mène une
    bataille difficile contre la pandémie de Covid-19 et pour gagner cette bataille
    nous avons besoin de pouvoir faire confiance aux institutions de l’Etat, a
    déclaré le premier ministre Florin Cîţu peu après avoir annoncé les destitutions.
    Je crois fermement dans cette coalition entre le Parti national libéral, l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS et l’Union démocrate magyare de Roumanie, car elle est fondée
    autour de valeurs et d’idées, et non pas autour de personnes, a-t-il ajouté. La
    destitution du ministre de la Santé a été décidée par le chef de l’exécutif
    après une discussion avec Dan Barna, vice-premier ministre et co-président de l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS, le parti de Vlad Voiculescu. Dan Barna assume à
    présent le poste de ministre de la Santé par intérim. L’autre co-président de l’USR-PLUS,
    Dacian Cioloş, a qualifié d’inacceptable le fait que le premier ministre ne s’était
    pas consulté avec les leaders des partis partenaires avant d’envoyer la demande
    de destitution au président Klaus Iohannis. Le vice-premier ministre et
    président de l’Union démocrate magyare de Roumanie, Kelemen Hunor, a quant à
    lui précisé que son parti acceptait la décision et que la coalition devait aller
    de l’avant. Du côté de l’opposition, le président du Parti Social-démocrate
    Marcel Ciolacu a déclaré que la destitution de Vlad Voiculescu de ses fonctions
    arrivait « trop tard pour beaucoup de Roumains ayant perdu la vie ou dont
    la santé est ruinée ». Suite aux annonces du chef de l’exécutif, le leader
    des députés sociaux-démocrates, Alfred Simonis, a annoncé lui aussi le retrait
    de la motion simple déposée contre Vlad Voiculescu, déclarant que la motion avait
    produit ses effets dans la démission du ministre.

    Coronavirus – 4.000 nouveaux cas de contamination au SARS-CoV-2 ont été recensés mercredi
    en Roumanie et 164 personnes sont décédées des suites de l’infection ces dernières
    24 heures. 1.521 malades sont hospitalisés en réanimation. Par ailleurs, les
    règles de l’institution du confinement viennent d’être modifiées en Roumanie.
    Chaque commune se verra accorder un nombre de points, en fonction du taux d’incidence
    cumulé sur 14 jours, des tendances observées pour les contaminations, du nombre
    de tests effectués ou encore du degré d’occupation des lits d’hôpital. Le
    confinement sera recommandé au-delà de 60 points pour les villes de plus de
    100.000 habitants et au-delà de 70 points pour les petites villes et les
    villages. A présent, près de 50 communes roumaines sont confinées.
    Par ailleurs, l’enquête pénale sur l’accident
    de l’hôpital Victor Babeş de Bucarest est en cours. Trois malades de Covid-19 sont décédés il y
    a deux jours à cause d’un dysfonctionnement de l’installation d’oxygène de
    l’unité mobile de réanimation de l’hôpital en question.




    Protestations – Un rassemblement anti-gouvernemental aura lieu aujourd’hui devant le
    siège de l’exécutif avec, en première, la participation concomitante des cinq
    plus importantes confédérations du pays – Cartel Alfa, Le bloc national
    syndical, Fraternité, Méridien et la Confédération des syndicats démocratiques
    (Cartel Alfa, Blocul Naţional Sindical, Frăţia, Meridian şi Confederaţia
    Sindicatelor Democratice). Les protestataires se rassembleront au même moment
    devant le Palais Victoria, toute en gardant la distance entre les groupes pour
    respecter les restrictions anti-Covid-19 en place en Roumanie. Toutefois, les
    revendications des syndicats sont communes : la majoration du salaire
    minimum jusqu’à un niveau correcte, des pensions de retraite équitables, des
    services publics de qualité, la réouverture des négociations collectives, la
    taxation juste et l’application correcte des lois en vigueur. Les
    syndicalistes, mécontents des mesures prises par l’actuel gouvernement et de
    son refus constant du dialogue social, demandent la démission du cabinet Cîţu.
    La gendarmerie rappelle, dans ce contexte, que seulement 100 personnes peuvent
    participer légalement à une manifestation, et recommande aux protestataires de
    respecter les mesures sanitaires liées au port du masque et de la distanciation
    physique.






    Gymnastique – Six sportifs, trois femmes et trois hommes, représenteront la Roumanie
    aux Championnats d’Europe de gymnastique artistique qui auront lieu du 21 au 25
    avril, à Basel, en Suisse. La compétition tient un double enjeu pour les gymnastes
    roumains : la qualification de deux sportifs supplémentaires pour les Jeux
    olympiques, un homme et une femme, et, bien évidemment, les médailles aux
    épreuves individuelles et d’équipe. Jusqu’à présent, seulement deux gymnastes
    roumains sont qualifiés aux JO de Tokyo – Maria Holbură (pour le concours
    complet femmes) et Marian Drăgulescu (pour l’épreuve de saut de cheval hommes).




    Météo – Nouvelle chute des températures en Roumanie, qui se fixeront en
    dessous des normales de saison dans la plupart du pays. Le ciel est couvert et
    on signale des pluies de courte durée sur la moitié nord et des averses
    orageuses localement sur le sud. Il neige en montage au-delà de 1500 m d’altitude
    et les rafales de vent peuvent dépasser les 70 à 80 km/h. On attend des
    intensifications du vent ailleurs aussi, notamment dans le sud et le sud-est du
    pays. Les températures maximales de la journée iront de 4 à 13°C, avec 10° et
    pluie à midi à Bucarest.

  • La semaine du 29 mars au 4 avril

    La semaine du 29 mars au 4 avril

    Vaccination accélérée de la
    population, restrictions sanitaires renforcées et protestations en Roumanie


    Le président Klaus Iohannis a de
    nouveau exhorté ses compatriotes à se faire vacciner contre la Covid-19 et à
    faire confiance aux bénéfices apportés par les vaccins. Il a aussi rappelé que
    la Roumanie se verrait livrer prochainement un nombre important de doses, ce
    qui lui permettrait d’accélérer la campagne d’immunisation de la population. D’ailleurs,
    plus de trois millions de doses de vaccin ont été administrées à plus de deux
    millions de personnes, depuis le début de la campagne, le 27 décembre 2020, ce
    qui veut dire qu’environ un million de gens ont aussi reçu les injections de
    rappel. Dans le même temps, de nouvelles tranches de vaccins arrivent en
    Roumanie et les autorités annoncent l’ouverture de nouveaux centres de
    vaccination. Sur un autre plan, le pays approche le million de personnes
    infectées par le nouveau coronavirus et rapporte plus de 6 000 nouveaux cas
    dépistés quotidiennement cette semaine. Le taux d’infection reste très élevé
    dans la capitale, Bucarest, mais surtout dans le département voisin d’Ilfov.
    Environ un tiers des départements de la Roumanie annoncent plus de trois cas de
    Covid-19 pour mille habitants. Le bilan des décès et des malades en réanimation
    monte lui aussi, dépassant des records, jour après jour, et les autorités
    appellent la population à respecter les règles d’hygiène. A l’instar d’autre Etats
    européens, la Roumanie a mis en place de nouvelles restrictions pour combattre
    la Covid-19. Là où le taux d’incidence est supérieur à quatre personnes
    infectées pour mille habitants, un couvre-feu est imposé à partir de 20 heures
    et les magasins ferment à 18 heures pendant le weekend
    (vendredi-samedi-dimanche). Si le taux est de plus de 7,5, ces mesures
    s’appliquent tous les jours de la semaine. Dans ce contexte, des manifestations
    contre les mesures prises par les autorités ont eu lieu à Bucarest et dans
    d’autres villes roumaines tout au long de la semaine. Les participants ont
    protesté contre le port du masque, la fermeture des établissements scolaires et
    des salles de sport. Les autorités insistent sur le fait que la Roumanie est en
    pleine troisième vague de la pandémie et que ces mesures sont nécessaires pour
    endiguer la propagation du nouveau coronavirus.


    Pourparlers diplomatiques
    roumano-américains


    Le ministre roumain des Affaires
    étrangères, Bogdan Aurescu, et le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, ont
    eu, mardi, une conversation téléphonique au cours de laquelle ils ont abordé,
    entre autres, la contribution de la Roumanie à l’Alliance de l’Atlantique Nord,
    la sécurité énergétique et l’Etat de droit. Le chef de la diplomatie de
    Bucarest a assuré son interlocuteur que la Roumanie continuerait à être un
    partenaire stratégique fort et fiable des Etats-Unis ainsi qu’un allié solide
    de l’OTAN. Selon le Département d’Etat des Etats-Unis, Antony Blinken « a
    félicité la Roumanie en tant qu’allié solide de l’OTAN et pour son engagement
    dans la consolidation de la sécurité dans la région de la mer Noire ». Le MAE
    de Bucarest a fait savoir que le secrétaire d’Etat américain avait exprimé
    l’appréciation de Washington pour les progrès enregistrés par Bucarest en
    matière d’Etat de droit, de réforme de la justice et de lutte contre la
    corruption, progrès pertinents y compris à l’échelle régionale. Toutefois, le
    premier rapport du Département d’Etat sur la situation des droits de l’homme en
    2020, publié par l’administration Biden, critique la corruption présente en
    Roumanie. Le document souligne, entre autres, l’existence d’une corruption
    largement répandue parmi les décideurs. Même si le système judiciaire a pris
    des mesures pour punir les personnes officielles auteurs de faits illégaux, les
    autorités ne détiennent pas des mécanismes efficaces d’exécution des peines et
    elles ont reporté le déclenchement des procédures dans des cas d’abus et de
    corruption de policiers, ce qui a souvent entraîné l’acquittement des personnes
    en question. Le rapport du Département d’Etat des Etats-Unis indique également
    que de nombreuses institutions locales ou nationales de Roumanie sont
    contrôlées, directement ou indirectement, par des personnes avec des connexions
    politiques et que la population perçoit la police comme étant corrompue et
    inefficace. Le rapport retient aussi le fait que les violences faites aux
    femmes et aux enfants constituent un problème grave qui persiste en Roumanie.


    Rejet au Parlement d’une motion contre le ministre de l’Agriculture


    Les députés de Bucarest ont rejeté
    mercredi, avec 115 voix pour et 166 contre, la motion contre le ministre de
    l’Agriculture, Adrian Oros, déposée par l’opposition sociale-démocrate. En
    faveur de la motion s’étaient également exprimés les élus de l’Alliance pour
    l’Union des Roumains (AUR, ultranationaliste, populiste, d’opposition). Le PSD accusait
    le ministre d’être responsable, par son incompétence, de « la période la
    plus sombre » jamais traversée par l’agriculture roumaine, et aussi de ne
    pas avoir pris des mesures pour dédommager les agriculteurs dont les
    exploitations ont été touchées par la sécheresse. Le ministre de l’Agriculture
    a répliqué que la Roumanie perdait un million d’euros par an à cause des
    mesures prises précédemment par le pouvoir social-démocrate. C’est la troisième
    motion déposée par le PSD pendant la session parlementaire en cours et aussi la
    troisième à être rejetée, après celles contre les ministres de la Santé et de
    l’Economie.


    Pas de victoires pour le foot
    roumain


    La sélection de football de Roumanie
    a subi une défaite devant la sélection d’Arménie, dans le cadre du Groupe J de
    qualification pour la Coupe du monde de l’année prochaine. Le match disputé à Erevan
    mercredi s’est terminé sur le score final de 3 à 2 en faveur des Arméniens, qui
    ont remporté ainsi leur première victoire sur les tricolores roumains. Avec une
    victoire contre la Macédoine du Nord et deux défaites, devant l’Allemagne et
    l’Arménie, la Roumanie occupe actuellement la 4e place dans son
    groupe. Par ailleurs, la sélection roumaine espoirs a échoué dans son sa
    tentative de se qualifier dans les quarts de finale du Championnat européen de
    football Espoirs, après l’égalité enregistrée à la fin du match contre
    l’Allemagne. (Trad. Ileana Taroi)

  • Le feu vert du Sénat sur deux initiatives importantes

    Le feu vert du Sénat sur deux initiatives importantes

    Le Sénat roumain a adopté lundi deux initiatives importantes par lesquelles le PNL et l’USR souhaitent modifier des dispositions législatives ayant donné lieu à des controverses lors de leur adoption. La première initiative abroge une disposition mise en place par le PSD en 2018, au pouvoir à l’époque, qui autorisait la retraite anticipée des juges et des procureurs à partir de l’âge de 45 ans et au bout de 20 ans de carrière seulement. Cette disposition, se révolte le PNL, était une insulte à l’adresse des Roumains puisqu’elle allait créer une nouvelle catégorie privilégiée de jeunes retraités dans un pays où la plupart des salariés prennent leur retraite à l’âge de 65 ans. Du coup, expliquent les libéraux, par l’abrogation de cette démarche sociale- démocrate, le pays retourne à la normale, en permettant aux magistrats de prendre leur retraite à partir de l’âge de 60 ans et au bout de 25 ans de travail. Pour des critères d’ordre personnel, tels des maladies, d’autres dispositions de la loi sont en place, ont tenu à rassurer les libéraux.

    Selon eux, si l’initiative du PSD était restée en place, elle aurait bientôt débouché sur un nombre important de demandes de départ à la retraite dans les rangs des magistrats. Une situation qui aurait certainement perturbé le bon fonctionnement des tribunaux. En plus, en l’absence d’un nombre suffisant de magistrats, l’acte de justice aurait perdu de son efficacité, tandis que les délais de jugement auraient été repoussés. D’ailleurs, ce fut justement cet aspect qui a fait que la prévision législative ne soit jamais mise en place, les autorités décidant de sa prorogation année après année. Le Sénat est l’assemblée décisionnelle dans cette affaire.

    Lundi encore, le même Sénat a abrogé la disposition législative interdisant la vente, par l’Etat, des actions qu’il détient dans des compagnies et sociétés nationales, des institutions de crédit et de toute autre société d’Etat. Les sénateurs ont également annulé l’article permettant la suspension, pour une période de deux ans, de toute opération d’aliénation des actions détenues par l’Etat, en cours de réalisation.

    Initié par le gouvernement de centre-droit, ce projet est censé permettre la valorisation des actions afin d’éviter la dégradation des relations sociales en rapport avec la liberté économique des opérateurs au sein desquels l’Etat est actionnaire. Par ailleurs, à travers la diversification de l’actionnariat, on espère revigorer la compétitivité et la performance sur le marché. Depuis l’opposition, les sénateurs PSD et AUR ont rejeté cette initiative, en répliquant que ce n’était pas le bon moment pour que les actions des compagnies publiques soient cotées en Bourse. Ils ont reproché au Gouvernement de vouloir vendre la participation de l’Etat dans les entreprises publiques les plus importantes. Le projet de loi sera soumis au vote de la Chambre des Députés, qui a le dernier mot dans cette affaire.
    (Trad. Ioana Stncescu)

  • Decizii în dosare de răsunet

    Decizii în dosare de răsunet

    Încă
    din 2009, de la alegerile prezidențiale care l-au declarat învingător, pentru
    un al doilea mandat, pe Traian Băsescu, asupra corectitudinii campaniei
    electorale şi scrutinului au planat unele semne de întrebare care nu și-au
    găsit, însă, un răspuns clar. Până marți! Când, după mulți ani de intrumentare,
    justiția română a pronunțat sentințe grele, de condamnare la închisoare cu
    executare, într-un dosar privind finanţarea campaniei electorale a fostului șef
    de centru-dreapta al Statului. Protagonistele sunt fostul ministru al
    Dezvoltării, Elena Udrea, colaborator apropiat al ex-președintelui şi
    coordonator informal al campaniei lui prezidenţiale, şi Ioana Băsescu, notar
    public – însăși fiica cea mare a omului politic. Elena Udrea a primit 8 ani de
    închisoare, iar Ioana Băsescu – 5, pentru acuzaţii de spălare de bani şi instigare
    a altor persoane la luare de mită.

    Anchetele desfăşurate de procurorii
    anticorupţie au scos la iveală fapte de abuz de putere, fraudă şi atribuirea de
    contracte de stat în schimbul mitei pentru susţinerea campaniei prezidenţiale.
    Ar fi fost obţinuți, în acest fel, aproximativ 1,6 milioane de lei
    (echivalentul a peste 300 de mii de euro). Cele
    două acuzate au negat permanent învinuirile, iar, marți, fostul ministru al
    Dezvoltării s-a declarat profund şocată de verdictul pe care îl consideră
    nedrept: nu am omorât, nu am violat, nu am fugit cu banii acasă! -
    a spus Elena Udrea. Sentința nu este definitivă și poate fi atacată cu apel.
    După ce motivarea va fi redactată pe larg, dosarul va ajunge la Instanța
    supremă, unde va fi luată decizia finală.

    Nu același lucru se poate spune
    despre un al dosar de pe masa Justiției – cel al protestului de la București,
    din 10 august 2018, împotriva Guvernului PSD de atunci. Printr-o decizie
    definitivă, Tribunalul Bucureşti a respins cererea DIICOT de redeschidere a
    urmăririi penale, dosarul fiind clasat, astfel că şefi ai Jandarmeriei
    de la acea vreme nu vor fi urmăriţi penal pentru intervenţia, considerată de
    unii disproporționată, împotriva manifestanţilor la acel miting. Iniţial, în
    iunie anul trecut, DIICOT a clasat dosarul privind protestul din 10 august -
    atât partea în care erau cercetaţi şefii Jandarmeriei, cât şi sesizarea privind
    o tentativă de lovitură de stat. Ulterior, fostul procuror-şef al DIICOT a
    infirmat parţial soluţia de clasare şi a dispus redeschiderea urmăririi penale
    doar în cazul foştilor şefi ai jandarmilor. Acum, după decizia de marți a
    Tribunalului Bucureşti, reprezentanţi nemulțumiți ai unor asociaţii civice
    anunţă că vor da România în judecată la CEDO.

  • Last adjustments to the draft budget

    Last adjustments to the draft budget

    The centre-to-right coalition government in Bucharest
    has made the last adjustments to the state budget and of social securities in
    2021, before sending it to Parliament for approval. This yearly budget had a
    difficult birth, and came into being only upon heated talks between the ruling
    coalition made up of PNL-USR/PLUS and UDMR and the opposition PSD on the fair
    distributions of funds whose shrinking has been caused by the pandemic and the
    conditions aimed at curbing the budget deficit.






    While political leaders in the ruling coalition have
    refrained from bringing fresh amendments in Parliament in an attempt to speed
    up approval procedures, the opposition Social Democrats have come up with a
    series of amendments, which they say could contribute among other things to rises
    in pensions and wages, frozen by their political opponents. In fact, the Social
    Democrats on Monday blamed the country’s Liberal Prime Minister Florin Citu for
    having endorsed an austerity budget.
    ‘The budget this year is balanced, credible, accepted by our international
    partners and focused on investment’ the Prime Minister replied lashing out at
    the PSD representatives, whose latest
    budget amendments account for 6% of the GDP, funds which Romania could
    contribute to the European budget.






    Florin Citu: A budget
    focusing on investment, because we have made it clear that only investment can
    lead to Romania’s development; but it is a budget, which is pushing reforms and
    this is scary, isn’t it? You’re afraid the move is going to put an end to the
    well-paid jobs of some of your supporters in high positions. I can tell you,
    this year we are going to see reforms being implemented.






    UDMR has referred to a post-crisis investment-oriented
    budget while the USR has described it as a budget of solidarity and responsibility
    aimed at kick-starting the country’s economy. Here is USR leader with the
    Chamber of Deputies Ionut Mosteanu with more on the present budget.




    Ionuţ Moşteanu: This budget is
    focusing on development and investment. Today the government comes with an investment
    budget of 12 billion euros, the biggest in history.






    ‘The Prime Minister is the absolute champion of hatred’,
    PSD leader Marcel Ciolacu retorted, adding that ‘Florin Cîțu hates the
    employees in state-owned institutions, as he is slashing their salaries and
    jobs’. According to Ciolacu, the Prime Minister hates the private sector as
    well because he has constantly failed to fulfil his pledges to this sector in
    the past year.






    Marcel Ciolacu: Instead of
    endorsing a budget aimed to repair, you have taken the axe in your hands and
    started slashing the incomes of the Romanians. You don’t give a fig that prices
    in energy, food and medicine are higher!






    PSD believes that Romania is a country adrift because
    the government has allotted the smallest financial package in the EU to the fight
    against the pandemic and to the process of kick-starting the economy.




    (bill)

  • A first step towards eliminating special pensions

    A first step towards eliminating special pensions

    A recent survey on Romanians trust in institutions shows that the hierarchy is dominated by the Church, the Army and the Academy, ending with the Government (trusted by only 13.7% of the respondents), Parliament (9.5%) and political parties (9.1%). From the right or the left of the political spectrum, from power or from the opposition, long-lived or ephemeral in politics, there have been dozens of deputies and senators who were the protagonists of notorious criminal cases. The most famous such politicians are the former speakers of the Chamber of Deputies, the Social Democrats Adrian Năstase and Liviu Dragnea and the liberal Bogdan Olteanu, all three imprisoned on corruption charges.



    Switching political parties according to interests, nepotism, incompetence, failure to go to work are some of the sins that the press and public opinion frequently associate with MPs, which actually makes even more unpopular their privileges, namely their high salaries and special pensions that do not actually observe the contribution principle. Introduced in 2015 by the Social Democratic Party-PSD which, at the time, was led by Liviu Dragnea, a very generous person when it came to public money, the MPs’ special pensions were the first category abrogated, on Wednesday, by the Parliament formed after the December 2020 elections. At present, there are about 800 former senators and deputies who receive special pensions, which reach over 10 million Euros cumulatively per year.



    The abrogation of special pensions was initiated also by PSD, now in opposition, which, under the leadership of Marcel Ciolacu, is trying to build a new image. Parliament also adopted an amendment proposed by USR PLUS alliance (in the governing coalition), which stipulates that when the law takes effect, the payment of age-limit benefits ceases. The alliance co-president Dan Barna says that eliminating special pensions is a moral victory, the MPs thus “washing away some of their sins.”



    The leader of the National Liberal Party – PNL, the main party in the governing coalition, Ludovic Orban, also announced that the current coalition is committed to clarifying and adjusting the entire pension legislation. In an attempt to return to a fair and just system for all pensioners, as the MPs stated during the vote, all political forces, including the ultranationalist opposition party AUR- the Alliance for the Union of Romanians, voted in favor of eliminating MPs’ pensions.



    The Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania UDMR (in the governing coalition) abstained from voting, as they claim the move is incomplete and does not also target the other socio-professional categories whose pensions do not observe the contribution principle such as the magistrates, the military, the intelligence service officers and the police. UDMR representatives say they cannot vote superficial decisions which are apparently popular but which do not solve the problem itself. The problem per se, as experts also noticed, is that there are many Romanians who have very high pensions, of over 9 thousand lei (the equivalent of almost 2,000 Euros), many of whom have not reached the retirement age or have not paid the entire retirement contributions, while five million pensioners have pensions worth an average of only 1,500 lei, that is 300 Euros. (tr. L. Simion)

  • February 17, 2021

    February 17, 2021

    CAMPAIGN According to the head of the National
    Committee coordinating Romania’s vaccination operations, physician Valeriu
    Gheorghita, only two months into the anti-Covid vaccination campaign, its
    beneficial results are visible. According to official data, roughly 90% of the
    eligible medical personnel have got the first dose and the booster, while 98%
    of them got the first dose. Since the campaign kicked off on December 27th,
    nearly 716 thousand people have been immunized. 1.2 million doses have been
    used mostly produced by Pfizer/BioNTech giant, but also by Moderna and
    AstraZeneca. In another development, since the onset of the pandemic, 766
    thousand infections have been registered in Romania with a death toll over
    19,500.








    PROTESTS Trade unionists from the capital and other major Romanian cities are
    mounting fresh protests in front of the government building in Bucharest.
    Several trade union associations from police, public administration, social
    assistance and finances are taking to the streets of Bucharest to protest the
    austerity measures imposed by the ruling coalition, which they believe is going
    to prolong the economic crisis caused by the pandemic. On Tuesday, hundreds of
    policemen from Bucharest and other Romanian cities protested in front of the government
    building. Employers and employees from Romania’s hospitality industry and the
    country’s railway system have also protested the government’s austerity
    measures.








    BRANCUSI The Romanian Cultural Institute is these days staging in Bucharest,
    Brussels, Chisinau, Lisbon, London, Madrid and Paris online events devoted to
    the personality of Romania’s greatest sculptor Constantin Brancusi as we
    celebrated his 145th birthday on 19th of February. A
    special concert is to be given on his birthday with illustrations from his
    works provided by Romania’s National Art Museum. A pioneer of modern abstract
    sculpture with exquisite works in marble, bronze and wood often of traditional
    inspiration, Brancusi is considered one of the main sculptors of the 20th
    century.






    NATO Defence Ministers from NATO countries are having online talks on
    Wednesday and Thursday over the future of this alliance in Afghanistan, where
    roughly 10 thousand of its servicemen have been deployed. NATO secretary
    general Jens Stoltenberg is expected to ask for additional funds for various
    joint defence and deterrence operations. According to him these funds will
    enable the deployment of troops to the eastern flank, air police missions as
    well as joint naval and military operations. Furthermore, the move is expected
    to balance costs among the member countries, Stoltenberg went on to say. If the
    proposals are rallying support from the ministers attending the event, they
    could be adopted by the leaders of NATO countries during the summit this year.








    MOTION Romanian MPs on Wednesday rejected the first simple motion this year in
    which the opposition PSD was calling for the resignation of the country’s
    Health Minister Vlad Voiculescu whom they blame for his inability to properly
    handle the anti-Covid vaccination and testing campaign and take the right
    measures to prevent fires in some medical units. Another party in opposition,
    AUR, backed the motion, which was debated upon on Monday when Voiculescu
    pointed out that the real author of the disaster in Romania’s healthcare system
    in the past 30 years was the Social Democratic Party. According to regulations,
    a simple motion against a minister even if passed, does not necessarily imply
    his resignation.














    bill



  • Proteste şi reformă în sistemul sanitar

    Proteste şi reformă în sistemul sanitar

    Vitregit
    ani la rând, sistemul medical românesc trebuie reformat. Pandemia de Covid-19 nu
    a făcut decât să scoată la iveală cu și mai mare acuitate neajunsurile:
    subfinanțare, locuri insuficiente pentru pacienți, condiții adesea neprielnice
    actului medical, personal insuficient … Este motivul pentru care, luni,
    aproximativ 100 de reprezentanţi ai Federaţiei Sanitas -
    atât cât le permite, în prezent, legea – s-au adunat în faţa Guvernului pentru
    a-și striga nemulțumirile. Sindicaliștii acuză autorităţile de indiferență la
    problemele din sistem și cer de la creşterea salariilor și repararea inechităților,
    până la deblocarea posturilor. Ei vor, totodată, o strategie naţională de
    investiţii în sistemul sanitar.

    Printre protestatari s-a aflat și Aurelia
    Constantin, vicepreşedintele Organizaţiei Spital Sfânta Maria: Din fericire lucrez într-un spital care are aproximativ totul, dar
    uitaţi-vă că sunt, de 30 de ani, spitale în care nu s-a investit mai nimic.

    La rândul său, Viorel Huşanu, de la Sanitas
    București, a punctat: Suntem sub normativul de personal, adică ar
    mai fi nevoie de mult personal care să îngrijească măcar acest tip de pacienţi
    Covid, pentru că, atunci când îngrijeşti un pacient Covid, ştim cu toţii,
    trebuie să te îmbraci în combinezon şi trebuie să stai maxim patru ore în acel
    costum. Nu poţi să rezişti mai mult.
    Nimic nu se repară, nimic nu se ia în
    considerare și iată cum ajung să moară oameni în spitale – a mai spus Viorel Huşanu,
    făcând trimitere la tragediile care au zguduit România la numai câteva luni
    distanță. Este vorba de tragicul incendiu din luna noiembrie, de la secția de
    terapie intensivă a Spitalului Județean de Urgență din Piatra Neamț,
    urmat, săptămâna trecută, de incendiul la cel mai modern spital de boli
    infecţioase din România – ʹMatei Balșʹ de la București. În ambele tragedii, oameni
    au murit arși de vii!

    Pe fondul cererilor din partea Partidului Social Democrat
    și a Alianței pentru Unirea Românilor (AUR), din opoziția parlamentară, de a-și
    da demisia, actualul ministru al Sănătății, Vlad Voiculescu, a anunțat unele
    măsuri: O să încercăm să flexibilizăm cadrul de
    personal şi să revizuim normele de personal, în special pentru secţiile în care
    sunt trataţi pacienţi Covid-19, considerăm că asta este, în continuare, o
    urgenţă. Vom crea fondul national pentru siguranţa pacienţilor în spitale. Asta
    înseamnă un fond dedicat pentru anumite acţiuni, de anumite investiţii, şi nu
    numai investiţii, ci ne gândim la finanţare separată pentru anumite tipuri de
    mentenanţă. Lucrurile acestea sunt, încă, în discuţie.
    Tot potrivit
    ministrului Voiculescu, proiectele de construire a spitalelor regionale de la
    Iaşi, Cluj şi Craiova vor fi accelerate.