Tag: UE

  • 09.12.2022 (mise à jour)

    09.12.2022 (mise à jour)

    Schengen – L’admission de la Roumanie et de la Bulgarie au sein de l’espace de libre circulation Schengen pourrait figurer, sur demande du président roumain, Klaus Iohannis, la semaine prochaine, à l’ordre du jour du Conseil de l’UE, auquel participeront les chefs d’Etat et de gouvernement des 27 » ont fait savoir des sources politiques de Bucarest. « Ce sera la priorité de mon mandat, faire en sorte que la Roumanie et la Bulgarie soient admises au sein de Schengen », a déclaré, à son tour, la commissaire européenne aux Affaires Intérieures, Ylva Johansson. Cette déclaration survient dans le contexte où jeudi, lors du Conseil Justice et Affaires Intérieures, l’Autriche s’est opposée à l’admission de la Roumanie dans l’espace de libre circulation, alors que l’unanimité des voix était nécessaire pour y être accepté.

    Ambassadeur – Le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest annonce que vu la décision de l’Autriche de voter contre l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen, l’ambassadeur roumain à Vienne, Emil Hurezeanu a été rappelé en Roumanie pour des consultations, à l’ordre du ministre Bogdan Aurescu. Selon un communiqué du ministère des Affaires Etrangères, la direction de l’Ambassade sera assurée par un chargé d’affaires par intérim. Conformément aux coutumes diplomatiques, la décision est en fait un geste qui souligne la position de la Roumanie de désaccord au comportement de l’Autriche, étant aussi un indicateur de la réduction du niveau actuel des relations avec ces Etat.

    UE – L’UE investira plus de 600 millions d’euros via le mécanisme d’interconnexion de l’Europe dans huit projets transfrontaliers d’infrastructure énergétique afin d’atteindre les objectifs prévus dans le plan REPowerEU et dans le Pacte vert européen, lit-on dans un communiqué de l’exécutif communautaire. Ces fonds financeront des projets dans des domaines tels l’électricité, les réseaux de CO2, le stockage souterrain du gaz, ainsi qu’un terminal de gaz naturel liquéfié en haute mer. Neuf Etats membres y bénéficieront : la Roumanie, la Belgique, la Croatie, la France, l’Irlande, l’Italie, l’Autriche, la Pologne et la Slovénie auxquels s’ajoute la Tunisie. « La résilience de l’infrastructure énergétique est essentielle pour sécuriser l’approvisionnement de l’UE et pour réaliser notre engagement d’arrêter les importations de gaz russe au plus vite », a déclaré le commissaire en charge de l’énergie, Kadri Simson.

    Budget – Le budget d’Etat et celui de la sécurité sociale ont été approuvés par le Gouvernement de Bucarest et se retrouvent maintenant sur la table du Législatif. Parmi les ministères qui bénéficieront de davantage de fonds figurent la Défense, le Développement, l’Agriculture, les Transports et l’Education. Au pôle opposé, l’Energie, la Justice et la Santé verront leurs budgets diminuer. Parmi les mesures envisagées mentionnons aussi la majoration de 10 % des salaires bruts dans le secteur public, la croissance de 12,5 % du point de retraite et l’augmentation du SMIC à 3 000 lei (610 euros). Dans l’opposition, le parti ultra-nationaliste l’Alliance pour l’Union des Roumains (AUR) a déjà fait part de son intention de de déposer des amendements, n’étant pas d’accord avec les projets de budget proposés par l’Exécutif.

    Investissements – Au cours du 3e trimestre de cette année, les investissements nets dans l’économie roumaine se sont chiffrés à plus de 39 milliards de lei (près de 8 milliards d’euros), soit une croissance de 13,3 % par rapport à la même période de l’année dernière, constate l’Institut national de la statistique. Parmi les domaines ayant connu les croissances les plus importantes, l’Institut mentionne les outillages (y compris les moyens de transport), ainsi que les nouvelles constructions du BTP. Emploi – 100 000 nouveaux ressortissants étranges provenant de pays non membres de l’UE pourront entrer sur le marché de l’emploi de Roumanie l’année prochaine. Ce chiffre fixé lors de la séance gouvernementale de ce vendredi est similaire à celui approuvé pour l’année 2022. Cette décision a été prise compte tenu du déficit de la main d’œuvre dans des domaines tels le BTP, la restauration, la protection et le gardiennage, les transports routiers de marchandises et le commerce.

    Gaudeamus – La foire du live Gaudeamus Radio Roumanie se poursuit à Bucarest. Au programme : de nombreux lancements de livres, rencontres avec les écrivains, tout cela en dehors des milliers de volumes vendus à des prix intéressants. D’ici dimanche, 200 participants proposent aux publics de tous âges des produits des plus divers, concernant tous les domaines d’intérêt, sans oublier la musique, ni les jeux éducatifs. Pour la première fois, deux espaces destinés aux activités interactives pour les plus jeunes visiteurs ont été aménagés à l’intérieur du salon. Les livres proposés et les maisons d’édition présentes sur place à Gaudeamus, sont aussi à retrouver en ligne, sur le site de la foire : gaudeamus.ro . Précisons aussi que ce salon initié et organisé par Radio Roumanie est financé par le ministère de la Culture et que l’entrée y est libre.

    Météo – Le ciel reste couvert en Roumanie, toutefois il fait un peu plus chaud ce weekend avec des maximas dépassant les 10 degrés et frôlant même les 18 degrés. On s’attend à des maximas de 13 degrés à midi à Bucarest

  • Strategia de sănătate globală a Uniunii Europene

    Strategia de sănătate globală a Uniunii Europene

    Recent, Comisia Europeană a adoptat strategia de
    sănătate globală a Uniunii Europene. Ea are ca scop îmbunătățirea securității
    sanitare globale și furnizarea de sănătate pentru toți într-o lume cu multe
    provocări. Strategia consideră sănătarea globală ca fundament al politicii
    externe a blocului european. Ea va ghida acțiunile externe ale Uniunii în fața
    celor trei mari provocări ale lumii actuale: o mai bună sănătate pentru toate
    ființele umane, sisteme de sănătate cu asigurări pentru toți și prevenirea și
    combaterea amenințărilor. Strategia de sănătate globală a Uniunii Europene
    încearcă să recupereze terenul pierdut până acum, până la pandemia de covid 19
    și în timpul ei, și să poată impune existența unei asigurări de sănătate
    accesibilă tuturor. Strategia are în vedere și contracararea unor amenințări la
    adresa sănătății umane cum ar fi schimbările climatice, degradarea mediului,
    securitatea alimentară, conflictele și alte crize umanitare.


    Înaltul repezentant al Uniunii
    Europene pentru politică externă Josep Borrell a spus că strategia de sănătatea
    globală a Uniunii Europene este una gândită să promoveze cooperarea și
    parteneriatul cu instituțiile internaționale. Pe ea se va construi tot ce va
    merge înainte și tot ce va combate amenințările actuale și viitoare.

    În strategie există câteva
    priorități importante din perspectiva mea. Prima este întărirea
    multilateralismului prin care vrem să susținem o architectură a sănătății
    globale împreună cu Organizația Mondială a Sănătății la nivel central. Apoi,
    trebuie să construim o abordare cooperată care să asigure mobilitatea internațională
    de călătorie. Trebuie să învățăm din experiența pozitivă a certificatului covid
    european. A treia este întărirea capacității de prevenire, detectare și
    supraveghere a amenințărilor la adresa sănătății globale, inclusiv amenințările
    biologice, care are mult de-a face cu securitatea sanitară. Sănătarea a fost
    transformată într-o armă și trebuie să ne ridicăm împotriva încercărilor de a
    face din sănătate o armă și trebuie să luptăm atât împotriva acestei încercări,
    cât și împotriva acestei informații. Am văzut cum a fost exploatată pandemia de
    covid de actori străini, gata să-și promoveze interesele lor proprii în
    detrimentul altora.


  • Flash – 08.12.2022

    Flash – 08.12.2022

    Schengen – Le Conseil Justice et Affaires intérieures de l’Union a rejeté jeudi l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace européen de libre circulation Schengen, avec deux voix contre alors que l’unanimité était nécessaire. Sur les 27 Etats membres, l’Autriche et les Pays-Bas sont les deux Etats à se prononcer contre. Les Pays-Bas ont précisé que son opposition visait uniquement la Bulgarie. La raison invoquée par Vienne était la migration illégale. En échange la Croatie a reçu le feu vert à l’adhésion ce 1er janvier 2023. La commissaire européenne aux Affaires européennes, Ylva Johansson, a félicité la Croatie pour son adhésion et a déclaré que la Bulgarie et la Roumanie méritaient bien d’être admises à l’espacez Schengen. A Bucarest, le président du PSD, membre de la coalition gouvernementale, Marcel Ciolacu, a affirmé que l’unité et la stabilité européennes avaient reçu un coup dur de la part de l’Autriche qui a choisi durant cette période difficile d’abandonner ses camarades européen et de servir en échange aux intérêts de la Russie. « Le véto de l’Autriche à l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen constitue une attitude « incorrecte, immorale, dépourvue d’arguments solides » a également affirme le vice-premier ministre roumain Kelemen Hunor, leader de l’Union démocrate magyare de Roumanie. En opposition, le président de l’USR, Cătălin Drulă, affirme que la décision du Conseil Justice et Affaires intérieures est « profondément injuste » et que la position du gouvernement autrichien restera dans l’histoire comme un acte de discrimination.

    Fermiers – Les fermiers roumains bénéficieront de quelque 16 milliards d’euros par le biais du Plan national stratégique 2023 – 2027, approuvé mercredi par la Commission européenne. Près de 10 milliards d’euros sont des paiements directs et des interventions sectorielles, et 6 milliards d’euros seront alloués au développement rural. Le ministre de l’agriculture, Petre Daea a déclaré que ce nouveau document prévoit aussi un instrument d’appui aux fermiers qui enregistrent des pertes par afin d’accorder des dédommagements en cas de calamité. L’enveloppe accordée s’élève à 400 millions d’euros.

    Budget – Le projet du budget d’Etat pour l’année prochaine, aux côtés de celui des assurances sociales figurent à l’ordre du jour de la réunion d’aujourd’hui du gouvernement de Bucarest. Conformément au calendrier décidé par la coalition gouvernementale Parti social-démocrate – Parti national libéral – Union démocrate magyare de Roumanie, ces documents ainsi que tous les actes législatifs qui les accompagnent seront rendus vendredi au Parlement pour des débats et le vote final. Parmi les ministères qui devraient bénéficier de moins d’argent se retrouvent l’Energie, la Justice et la Santé, alors que la Défense, le Développement, les Transports et l’Education bénéficieront d’enveloppes plus généreuses. Le budget prévoit aussi la majoration à compter du 1er janvier du salaire brut des fonctionnaires de 10%, la majoration du point de retraite de 12,5%, ainsi que la hausse du salaire minimum à quelque 600 euros par mois. L’Alliance pour l’unité des Roumains a annoncé déjà déposer des amendements, puisqu’elle s’oppose à ce projet de budget. Le leader des députés de l’AUR, Antonio Andruşceac, a affirmé que la Défense et les services de renseignement reçoivent des fonds généreux, alors que l’Education dispose du budget le plus réduit de son histoire récente.

    Gaudeamus – Poursuite aujourd’hui de la 29e édition du Salon du livre « Gaudeamus », organisé par la Radio publique roumaine. Jusqu’à dimanche, quelque 200 participants proposent au public une large série de produits éditoriaux, sur différents supports, pour tous les âges et les domaines d’intérêt dont la musique et les jeux éducatifs. Plus de 600 événements et autres projets figurent à l’affiche de l’édition de cette année du Salon Gaudeamus. Le salon propose aussi pour la première fois deux espaces consacrés aux activités interactives destinés aux jeunes visiteurs. Tous les stands se retrouvent aussi en format virtuel sur le site gaudeamus.ro. Cet événement est finance par le ministère de la Culture. La présidente honoraire de l’édition de cette année est l’écrivaine Ana Blandiana.

    Météo – Temps généralement morose en Roumanie. Des pluies sont signalées sur tout le territoire, mais surtout sur la moitié ouest, alors que des précipitations mixtes sont signalées sur le relief. Des pluies verglaçantes sont également possibles sur certaines régions plus hautes. Les maxima iront de 2 à 10 degrés.

  • 08.12.2022

    08.12.2022

    Schengen – Les ministres de l’Intérieur de l’UE se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour un vote très attendu au sujet de l’élargissement de l’espace Schengen par l’admission de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie. S’il n’y a pas de doutes quant au vote favorable pour la Croatie, la situation Bucarest et de Sofia n’est pas tout aussi claire. La veille de la réunion, l’Autriche a annoncé maintenir son opposition quant à l’admission de la Roumanie et de la Bulgarie au sein de l’espace de libre circulation, en raison de la croissance de la migration illégale. Le chancelier conservateur Karl Nehammer a aussi proposé un nouveau calendrier d’adhésion pour les deux pays, au printemps. A Bucarest, le premier ministre Nicolae Ciuca a réitéré par téléphone à son homologue autrichien, que la Roumanie remplissait tous les critères nécessaires pour être admise au sein de Schengen et qu’elle bénéficiait aussi du soutien de tous les autres Etats membres. En même temps, à Vienne, des voix de la classe politique autrichienne, tant de l’opposition sociale-démocrate et libérale, que du Parti Conservateur, à la gouvernance, ont critiqué l’opposition de leur Exécutif face à l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie. Un tel blocage ne fera pas diminuer le nombre des demandes d’asile et n’a rien à faire directement avec cette question, a déclaré le conservateur Othmar Karas, vice-président du Parlement Européen. A son avis, superposer ces deux sujets est une attitude « irresponsable et inexplicable ». Le Conseil Justice et Affaires Intérieurs démarre cet après-midi, le résultat du vote est donc attendu dans la soirée. Précisons qu’il faut avoir l’unanimité des voix pour être admis au sein de Schengen.

    Fermiers – Les fermiers roumains bénéficieront de quelque 16 milliards d’euros par le biais du Plan national stratégique 2023 – 2027, approuvé mercredi par la Commission européenne. Près de 10 milliards d’euros sont des paiements directs et des interventions sectorielles, et 6 milliards d’euros seront alloués au développement rural. Le ministre de l’agriculture, Petre Daea a déclaré que ce nouveau document prévoit aussi un instrument d’appui aux fermiers qui enregistrent des pertes par afin d’accorder des dédommagements en cas de calamité. L’enveloppe accordée s’élève à 400 millions d’euros.

    Budget – Le projet du budget d’Etat pour l’année prochaine, aux côtés de celui des assurances sociales figurent à l’ordre du jour de la réunion d’aujourd’hui du gouvernement de Bucarest. Conformément au calendrier décidé par la coalition gouvernementale Parti social-démocrate – Parti national libéral – Union démocrate magyare de Roumanie, ces documents ainsi que tous les actes législatifs qui les accompagnent seront rendus vendredi au Parlement pour des débats et le vote final. Parmi les ministères qui devraient bénéficier de moins d’argent se retrouvent l’Energie, la Justice et la Santé, alors que la Défense, le Développement, les Transports et l’Education bénéficieront d’enveloppes plus généreuses. Le budget prévoit aussi la majoration à compter du 1er janvier du salaire brut des fonctionnaires de 10%, la majoration du point de retraite de 12,5%, ainsi que la hausse du salaire minimum à quelque 600 euros par mois. L’Alliance pour l’unité des Roumains a annoncé déjà déposer des amendements, puisqu’elle s’oppose à ce projet de budget. Le leader des députés de l’AUR, Antonio Andruşceac, a affirmé que la Défense et les services de renseignement reçoivent des fonds généreux, alors que l’Education dispose du budget le plus réduit de son histoire récente.

    Gaudeamus – Poursuite aujourd’hui de la 29e édition du Salon du livre « Gaudeamus », organisé par la Radio publique roumaine. Jusqu’à dimanche, quelque 200 participants proposent au public une large série de produits éditoriaux, sur différents supports, pour tous les âges et les domaines d’intérêt dont la musique et les jeux éducatifs. Plus de 600 événements et autres projets figurent à l’affiche de l’édition de cette année du Salon Gaudeamus. Le salon propose aussi pour la première fois deux espaces consacrés aux activités interactives destinés aux jeunes visiteurs. Tous les stands se retrouvent aussi en format virtuel sur le site gaudeamus.ro. Cet événement est finance par le ministère de la Culture. La présidente honoraire de l’édition de cette année est l’écrivaine Ana Blandiana.

    Météo – Temps généralement morose en Roumanie. Des pluies sont signalées sur tout le territoire, mais surtout sur la moitié ouest, alors que des précipitations mixtes sont signalées sur le relief. Des pluies verglaçantes sont également possibles sur certaines régions plus hautes. Les maxima iront de 2 à 10 degrés.

  • Păradz europeni tră fermierlli româñi

    Păradz europeni tră fermierlli româñi

    După cama di unu an și giumitati tru cari Ministerlu ali Agricultură di București s-consultă cu reprezentanţălli a organizaţiilor publiţi şi private ditu domeniu și angrăpsi 1.900 di frăndză tră Planul Naţional Strategic 2023 – 2027, fermierllii români și agricultura românească va s’aibă hăiri di agiutoru. Comisia Europeană aprobă Planlu tru valoare di aproapea 16 di miliardi di euro. Ditu aeşţă păradz, aproapea 10 miliardi di euro suntu plăţ directi şi intervenţii sectoriale, iara artimaia va s’hibă alocată tră dizvoltarea horloru.


    Uidisitu cu ministrulu Agriculturăllei, Petre Daea, Planlu ali Românie mutreaşti făţearea ma cu hăiri a mijloacelor di subzistenţă a fermierlor şi a competitivitatillei a lor. România ufiliseaşti aproaopea 40% ditu bugetul a llei tră dizvoltare rurală tră s’da curayiu a practicălli ecologice tru zonele cu valoare naturală analtă, cu scupolu ti protejarea a biodiversitatillei. Iara tra s’ţănă ma largu atractivitatea a zonilor rurale ditu România, planlu va s’ndrupască thimilliusearea cama di 12.000 di locuri di lucru tru aesti zoni, cu finanţari tră ntreprindiri şi infrastructură. Ma multu, fermierllii va s’hibă agiutaţ s’adoptă năi inovaţii, di la agricultura di precizie la metodile di producţie agroecologhiţi – tăxeaşti ministrul.


    Petre Daea nica declară că tru năulu document fu băgatu un instrumentu di andrupari tră fermierllii cu kireari, pritu cari s’da dispăgubiri tru caz di calamităţ, suma totală ahărdzită hiinda di aproapea 400 di milioane di euro. Uidisitu cu năsu, aestu instrument di agiutoru lipseaşti si s’facă ntrăoară, pritu ună călindari multu strictă, iara vadelu di bitiseari pruvidzutu easti trimestrul al treilea a anlui yinitor.


    Până tru bitisita-a anlui, ama, Petre Daea tăxeaşti că va s’hibă păltiti a fermierlor româñi dispăgubirli tră culturile zñiipsiti di xearea siminati tru toamna anlui tricut. El pricunuscu că anlu agricol 2021/2022 fu multu greu, cari lă adusi mari kindinu a fermierloru români, tru condiţiile tru cari “xerea pedologică băgă stăpuiri pi tută văsilia”.


    Aestu lucru s’veadi și tru producția di misuru ali Românie, cari easti nai ma ñîcă tru aeşţă ditu soni 15 di añi. Cu tuti aestea, da asigurări ministrul, producţia amintată va lu asiguripsească consumlu internu, lugursitu la aproapea 7 milioane di tonuri, existânda şi disponibilitatea tră exportu. Altă turlie eralucărli tru 2021, cându uidisitu cu datili a Institutlui Naţional di Statistică, România eara pi protlu loc tru UE ahătu ditu videala ali suprafeţă siminată cu misuru, cât şi ali producţie, cari s’aprikea di 15 milioane di tonuri.


    Tru atea ţi mutreaşti gărnulu, România eara tru anlu anul tricut pi loclu patru tru UE ditu videala ali suprafeţă cultivată, ama şi ali producţie, cu pisti 10 milioane di tonuri, tru condițiile tru cari consumlu internu di gârnu easti lugursitu la 2,5 – 3 milioane di tonuri tru anu.


    La producţia și suprafața siminată di floarea-soarlui, România easti constantu, ditu anlu 2015, pi protlu loc tru UE — uidisitu cu datili a Institutlui Național di Statistică.




    Autoru: Daniela Budu


    Armânipsearea: Taşcu Lala

  • Bani europeni pentru fermierii români

    Bani europeni pentru fermierii români

    După mai bine de un an și jumătate în care ministerul Agriculturii de la București s-a consultat cu reprezentanţii organizaţiilor publice şi private din domeniu și a redactat 1.900 de pagini pentru Planul Naţional Strategic 2023 – 2027, fermierii români și agricultura românească vor beneficia de ajutor. Comisia Europeană a aprobat Planul în valoare de aproape 16 miliarde de euro. Din această sumă, aproximativ 10 miliarde de euro reprezintă plăţi directe şi intervenţii sectoriale, iar restul vor fi alocaţi pentru dezvoltare rurală.


    Potrivit ministrului Agriculturii, Petre Daea, Planul României urmăreşte îmbunătăţirea mijloacelor de subzistenţă ale fermierilor şi a competitivităţii lor. România utilizează circa 40% din bugetul său pentru dezvoltare rurală pentru a încuraja practici ecologice în zonele cu valoare naturală ridicată, în scopul protejării biodiversităţii. Iar pentru a menţine atractivitatea zonelor rurale din România, planul va sprijini crearea a peste 12.000 de locuri de muncă în aceste zone, cu finanţare pentru întreprinderi şi infrastructură. În plus, fermierii vor fi sprijiniţi să adopte noi inovaţii, de la agricultura de precizie la metodele de producţie agroecologice – promite ministrul.

    Petre Daea a mai declarat că în noul document a fost introdus un instrument de sprijin pentru fermierii cu pierderi, prin care se acordă despăgubiri în caz de calamităţi, suma totală alocată fiind de aproape 400 de milioane de euro. Potrivit lui, acest instrument de sprijin trebuie să se realizeze urgent, printr-un calendar foarte strict, iar termenul de finalizare prevăzut este trimestrul al treilea al anului viitor.

    Până la finalul anului, însă, Petre Daea promite că vor fi plătite fermierilor români despăgubirile pentru culturile afectate de secetă însămânţate în toamna anului trecut. El a recunoscut că anul agricol 2021/2022 a fost unul dificil, care i-a pus la grea încercare pe fermierii români, în condiţiile în care seceta pedologică a pus stăpânire pe întreaga ţară.

    Acest lucru se vede și în producția de porumb a României, care este cea mai mică din ultimii 15 ani. Totuși, dă asigurări ministrul, producţia obţinută va asigura consumul intern, estimat la aproximativ 7 milioane de tone, existând şi disponibilitatea pentru export. Altfel stăteau lucrurile în 2021, când potrivit datelor Institutului Naţional de Statistică, România ocupa primul loc în UE atât din punct de vedere al suprafeţei cultivate cu porumb, cât şi al producţiei, care se apropia de 15 milioane de tone.

    În ceea ce priveşte grâul, România a ocupat anul trecut locul patru în UE din punct de vedere al suprafeţei cultivate, dar şi al producţiei, cu peste 10 milioane de tone, în condițiile în care consumul intern de grâu este estimat la 2,5 – 3 milioane de tone pe an.

    La producţia și suprafața cultivată de floarea-soarelui, România ocupă constant, din anul 2015, primul loc în UE – potrivit datelor Institutului Național de Statistică.

  • Securitatea alimentară globală – acțiuni în urma reuniunii miniștrilor agriculturii G20

    Securitatea alimentară globală – acțiuni în urma reuniunii miniștrilor agriculturii G20

    Securitatea alimentară este în prezent principala provocare la
    nivel mondial. Actuala criză alimentară globală este întreţinută de războiul
    Rusiei împotriva Ucrainei. Pe 28 septembrie a avut loc în Bali, reuniunea
    miniştrilor agriculturii G20. Discuţiile purtate reflectă faptul că în toate
    domeniile substanțiale, de la tranziția către sisteme alimentare durabile până
    la importanța comerțului deschis, membrii G20 au obținut un consens și chiar
    progrese în comparație cu anii precedenți. Miniștrii agriculturii din G20 au
    subliniat importanța abordării crizei alimentare actuale într-un mod durabil și
    au subliniat urgența transformării sistemelor globale alimentare. Asigurarea
    securităţii alimentare globale rămâne însă un subiect deschis, subiect abordat
    şi în Parlamentul European.

    Cu această ocazie, eurodeputatul Dacian Cioloş, a
    atras atenţia asupra necesităţii promovării investiţiilor Uniunii Europene în
    domeniul alimentar.


    Criza alimentară a
    început înainte de izbucnirea războiului în Ucraina. Războiul nu face decât să
    accentueze o criză alimentară care era deja prezentă în mai multe regiuni din
    lume. De altfel, în ultimii ani, din 2015 încoace, vedem că ne îndepărtăm de
    obiectivul de a pune capăt foametei și securității alimentare, obiectiv pe care
    ni l-am fixat. Și asta arată că sistemul alimentar pe care încercăm să îl
    construim și la nivel global este unul fragil. În politica noastră de
    parteneriat, faptul de a furniza doar input-uri țărilor partenere nu o să ne
    ajute să eradicăm foamea pe termen lung. Evident, în situații de criză, cum e
    cea prezentă, trebuie să intervenim cu ajutoare alimentare acolo unde este urgent
    nevoie. Însă, pe termen mediu, pe termen lung, trebuie să ne gândim la o
    politică de investiții în primul rând coerentă, să recunoaștem faptul că, așa
    cum noi, în Uniunea Europeană avem o diversitate de modele agricole, așa există
    și în țările partenere și să recunoaștem și să integrăm această diversitate în
    politica noastră de cooperare și de parteneriat și, în același timp, să ne
    asigurăm că avem coerență între politicile noastre europene, între politica
    agricolă, politica de mediu. Trebuie să permitem agricultorilor să producă și
    să ne gândim și la durabilitate, dar și politica comercială și politica de pe
    lanțul alimentar trebuie să fie coerente, altfel nu o să ne atingem obiectivul.


    Acțiunile coordonate ale țărilor
    Uniunii Europene pentru a combate criza alimentară mondială se axează pe patru
    direcții de acțiune: solidaritate, producție durabilă, comerț şi
    multilateralism.


  • 07.12.2022

    07.12.2022

    Justice – Le ministre roumain de la Justice, Cătălin Predoiu, participera à Bruxelles du 7 au 14 décembre aux travaux du Conseil Justice et Affaires Intérieures et aux travaux du Conseil Affaires générales de l’Union européenne. Selon un communiqué du conseil Justice et affaires intérieures en marge des deux conseils et durant la période entre ceux-ci, le ministre de la Justice aura à Bruxelles et au Luxembourg une série de rencontres bilatérales avec des homologues d’autres Etats membres et de responsables de l’UE. Dans le cadre du Conseil Justice et affaires intérieures, M Predoiu présentera la position de la Roumanie au sujet des instruments juridiques et politiques européens dans le domaine de la Justice figurant à l’agenda du Conseil. Rappelons-le, c’est dans la section Affaires intérieures du Conseil que l’admission de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie à l’espace Schengen sera décidée.

    Budget – Le ministère des finances de Bucarest a publié le projet du budget de la Roumanie pour l’année prochaine. Le document repose sur une croissance économique de 2,8% du Produit intérieur brut, sur un taux annuel d’inflation de 8%, sur un nombre de salariés à la hausse et sur un taux de chômage à la baisse de seulement 2,7%. Parmi les ministères qui devraient bénéficier de moins d’argent se retrouvent l’Energie, la Justice et la Santé, alors que la Défense, le Développement, les Transports et l’Education bénéficieront d’enveloppes plus généreuses. Le gouvernement roumain de la coalition constituée par le Parti social démocrate, le Parti national libéral et l’Union démocrate magyare de Roumanie souhaite approuver le projet du budget demain pour qu’il soit rendu le lendemain au Parlement qui devrait le débattre la semaine prochaine.

    Roumanie – Turquie – La Roumanie a été constamment préoccupée à identifier des solutions pour renforcer la sécurité dans la région de la mer Noire a affirmé mardi le ministre des Affaires Etrangères, Bogdan Aurescu, à Ankara, où il a rencontré son homologue turc, Mervlut Cavusoglu. Les deux responsables ont évoqué les meilleurs moyens de coopérer, tant sur le plan bilatéral que dans un cadre allié. Ils ont achevé et approuvé le texte de la déclaration politique par laquelle est fondé un Conseil de coopération stratégique à haut niveau entre la Roumanie et la Turquie, organisé sous la forme d’une réunion commune permanente des deux gouvernements sur des domaines stratégiques d’intérêt commun et qui sera lancé en 2023. Les participants à la réunion ont également évoqué la coopération dans le domaine de l’énergie reconnu par les deux interlocuteurs comme prioritaire surtout dans la perspective des défis actuels. Les effets multidimensionnels de la guerre en Ukraine, avec une attention spéciale sur la crise des réfugiés et sur la sécurité alimentaire ont également été analysés par les deux responsables.

    Gaudeamus – Coup d’envoi aujourd’hui de la 29e édition du Salon du livre « Gaudeamus », organisé par la Radio publique roumaine. Jusqu’à dimanche, quelque 200 participants proposent au public une large série de produits éditoriaux, sur différents supports, pour tous les âges et les domaines d’intérêt dont la musique et les jeux éducatifs. Plus de 600 événements et autres projets figurent à l’affiche de l’édition de cette année du Salon Gaudeamus. Le salon propose aussi pour la première fois deux espaces consacrés aux activités interactives destinés aux jeunes visiteurs. Tous les stands se retrouvent aussi en format virtuel sur le site gaudeamus.ro. Cet événement est finance par le ministère de la Culture. La présidente honoraire de l’édition de cette année est l’écrivaine Ana Blandiana.

    Visas – Les citoyens de la République de Moldova pourront toujours voyager sans visas en Union européenne puisque la Commission européenne a constaté que les autorités de Chisinau avaient entrepris toutes les mesures demandées auparavant par les européens. C’est la conclusion du 5e rapport sur le Mécanisme de l’Union européenne de suspension du régime de voyages sans visa publié par la Commission européenne. Selon l’agence Moldpres, lors des huit ans de fonctionnement du régime sans visas pour les voyages de courte durée des citoyens de la République de Moldova, les possesseurs de passeports biométriques, dans l’espace Schengen, près de 2 millions et demi de ressortissants moldaves ont bénéficie de ce régime.

    Pétrole- Le prix du pétrole au niveau mondial a baissé au niveau le plus bas de cette année. Cette baisse des prix a eu lieu malgré les estimations de spécialistes internationaux qui s’attendaient à une perturbation des marchés, après l’entrée en vigueur de l’embargo de l’UE et du Groupe des G7 sur le pétrole russe, et le plafonnement de son prix. En Roumanie aussi l’essence la moins chère coute 1 euro 30 centimes le litre et le litre du diesel est d’un euro 50. En échange, la Hongrie voisine se confronte à une crise des carburants provoquée, selon l’AFP, par le plafonnement des prix imposés par le gouvernement dirigé par Viktor Orbán, il y a un an. La pénurie de carburants intervient sur la toile de fond d’une baisse de 30% des importations, déficit provoqué par la décision des compagnies étrangères de réduire les livraisons à la Hongrie, suite au plafonnement des prix, comme l’affirme l’Association des stations service indépendants de ce pays.

    Météo – Temps généralement morose en Roumanie, avec despluies sur le sud et le sud-ouest. Les maxima vont de 2 à 13 degrés. 9 degrés à Bucarest.

  • Dernières négociations pour l’adhésion à l’espace Schengen de libre circulation européenne. 

    Dernières négociations pour l’adhésion à l’espace Schengen de libre circulation européenne. 

    Présent au sommet Union européenne – Balkans de l’Ouest à Tirana, en Albanie, le président roumain Klaus Iohannis a déclaré que les négociations sur l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen ne se sont pas achevées et que les pourparlers devraient se dérouler jusqu’au dernier moment afin d’obtenir un résultat favorable au pays. Le chef de l’Etat a soutenu devant les participants au sommet que la Roumanie était prête à soutenir les efforts de l’Union européenne de combattre la migration illégale sur la route des Balkans de l’Ouest même si le pays ne se trouve pas sur cette route et qu’il n’est toujours pas une source de flux migratoires à l’intérieur de l’UE. Il a confirmé que les ministres de la Justice et de l’Intérieur de l’UE avaient mis à l’ordre du jour de la réunion de jeudi l’adhésion de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie à l’espace européen de libre circulation. D’ici là, assure le président roumain, les pourparlers et les négociations se poursuivent. Klaus Iohannis: « Ce sujet se retrouvera sur la table du Conseil des ministres de l’Intérieur et de la Justice. Il sera amplement débattu. Mais d’ici là il faut toujours négocier. Le texte de cette décision est toujours un sujet de débats et nous nous sommes engagées à rester déterminés jusqu’au dernier moment et de porter la décision là où nous le souhaitons. » a déclaré le président roumain.

    Malgré le voyage des responsables roumains à Vienne pour illustrer le fait que la Roumanie est prête à adhérer à Schengen, le chancelier autrichien Karl Nehammer, déclare que son pays n’est toujours pas d’accord avec l’admission de la Roumanie et qu’il faut plus de temps pour une telle décision. Il invoque le problème de la migration et affirme que 75 000 migrants illégaux existent actuellement dans son pays et qu’il faut d’abord trouver des réponses à toutes ces questions sécuritaires. Les problèmes de la migration ne peuvent pas être imputés à la Roumanie, a déclaré le ministre de l’intérieur, Lucian Bode, réaffirmant que Bucarest accomplissait toutes les conditions techniques pour adhérer à l’espace Schengen et a expliqué que le flux migratoire ne passait pas par la Roumanie.


    « Le refus d’une adhésion serait une situation profondément injuste pour la Roumanie » est d’avis aussi le ministre des projets européens, Marcel Boloş. Rappelons-le aussi que le gouvernement néerlandais qui s’était opposé également à l’adhésion a donné vendredi le feu vert à l’adhésion de la Roumanie à Schengen. La récente proposition de la Commission européenne sur la conclusion du mécanisme de coopération et de vérification a également pesé dans cette décision. Ce mécanisme suit l’évolution des réformes dans le domaine de la Justice en Roumanie depuis 2007, suite à l’adhésion à l’Union.

    Après une position similaire, le parlement de la Suède a également voté favorablement à l’adhésion de la Roumanie à l’espace européen de libre circulation. Et lundi, la Commission européenne a souligné à nouveau que la Roumanie, la Bulgarie et la Croatie accomplissent « en totalité toutes les demandes » pour être membres à plein droits de l’espace Schengen et s’attend à ce que les 27 Etats membres donnent le feu vert jeudi à l’entrée de ces trois pays à l’espace de libre circulation européenne.

  • 06.12.2022

    06.12.2022

    Sommet – Le président roumain Klaus Iohannis participe ce mardi au sommet Union européenne – Balkans occidentaux qui se tiendra à Tirana en Albanie. Selon l’administration présidentielle, c’est le premier évènement de ce genre organisé dans une capitale de la région, ce qui confirme l’engagement de l’Europe auprès des pays des Balkans de l’ouest. Les participants au sommet adopteront la déclaration de Tirana, qui illustre le soutien de l’Union et des Etats membres face à la perspective européenne des Balkans de l’Ouest. Le président Klaus Iohannis présentera la position de la Roumanie de soutenir le processus d’élargissement de l’Union européenne, en fonction des mérités des candidats. Egalement à l’agenda, les hauts responsables évoqueront aussi le besoin de consolider la résilience des partenaires ainsi que le soutien européen dans des secteurs tels celui énergétique, de la transformation numérique, de la cyber-sécurité et de la gestion de la migration.

    Gaudeamus – Coup d’envoi demain de la 29e édition du Salon du livre « Gaudeamus », organisé par la Radio publique roumaine. Jusqu’à dimanche, quelque 200 participants proposent au public une large série de produits éditoriaux, sur différents supports, pour tous les âges et les domaines d’intérêt dont la musique et les jeux éducatifs. Plus de 600 événements et autres projets figurent à l’affiche de l’édition de cette année du Salon Gaudeamus. Tous les stands se retrouvent aussi en format virtuel sur le site gaudeamus.ro. Cet événement est finance par le ministère de la Culture.

    Bruxelles – La Commission européenne a présenté lundi un plan de mesures sur la gestion de la migration illégale à travers les Balkans de l’ouest, trois jours avant une réunion ministérielle décisive à l’adhésion de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie à l’espace Schengen. Le plan se propose de répondre aux inquiétudes de certains Etats tels l’Autriche au sujet du problème de la migration. Parmi les mesures énoncées par la Commission figurent aussi l’amélioration de systèmes de gestion des frontières, des procédures d’asile accélérées ou l’alignement des politiques de visas. La solution a été saluée par le gouvernement roumain qui par la voix de son porte parole Dan Cărbunaru, a exprimé sa disponibilité de contribuer à l’application de ce plan.

    Pétrole – L’embargo sur les importations de pétrole russe par voie maritime, entré en vigueur ce lundi ne touchera pas la Roumanie, vu que les compagnies pétrolières roumaines ont identifié des sources alternatives et n’importent plus du pétrole russe. C’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Energie, Virgil Popescu, qui a rappelé que dès la semaine dernière les compagnies pétrolières et les raffineries de Roumanie utilisent uniquement du pétrole issu d’autres sources que la Russie.

    Budget – Le budget pour l’année prochaine repose sur un volume des investissements historique de quelque 22,7 milliards d’euros, soit 7,2% du PIB a déclaré aujourd’hui le ministre roumain des Finances, Adrian Câciu, lors d’un débat à ce sujet. Il a également déclaré que de nouvelles taxes ne seront pas introduites. A son avis, l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen produira une avancée de l’économie roumaine de 0,5% durant les 10 prochaines années, alors que l’adhésion à l’Organisation de coopération et de développement économique se traduira par une croissance économique moyenne sur le même laps de temps. Selon le ministre, l’économie roumaine s’est avérée résiliente et les compagnies autochtones sont beaucoup plus compétitives.

    Défense – Le ministère roumain de la Défense organise d’aujourd’hui à jeudi plusieurs activités de coopération roumano-américaine sur le thème « la femme, la paix et la sécurité ». Les événements sont organisés en marge de la visite que fait en Roumanie la délégation de la Garde nationale de l’Etat américain de l’Alabama, commandée par le général majeur Sheryl Gordon. Le Ministère de la défense de Bucarest rappelle que la résolution du Conseil de sécurité des nations unies sur les femmes, la paix et la sécurité adoptée en octobre 2 000 affirme le rôle important des femmes dans la prévention et la solution des conflits dans les négociations de paix, la consolidation et le maintien de la paix, les actions humanitaires, la réponse et la reconstruction post-conflit.

    Météo – Maximas à la hausse aujourd’hui en Roumanie, supérieures aux moyennes pluriannuelles pour cette période. Les températures iront en fait de 1 à 11 degrés. Ciel couvert et des précipitations sur l’ouest et le nord-ouest. Il neige en haute montagne, à plus de 1 500 mètres d’altitude. 5 degrés et une météo morose aujourd’hui à Bucarest.

  • Armonizarea politicilor din diferite domenii cu Politica Agricolă Comună

    Armonizarea politicilor din diferite domenii cu Politica Agricolă Comună

    Comisia pentru Agricultură și Dezvoltare Regională din
    Parlamentul European a dezbătut recent o problemă extrem de importantă în contextul actual având
    în vedere provocările prezente în
    agricultura țărilor membre. Dezbaterea s-a numit: 60 de ani de Politica Agricolă Comună: Cum s-a schimbat
    rolul Parlamentului European? Politica Agricolă Comună a evoluat de-a lungul
    deceniilor și a fost îmbunătățită constant pentru a răspunde nevoilor atât a
    consumatorilor cât și a fermierilor care au fost profund afectați de-a lungul
    deceniilor de evenimente și fenomene care nu au putut fi din păcate controlate.

    Europarlamentarul Daniel Buda a susținut
    în discursul său din cadrul dezbaterii că în
    anul în care sărbătorim 60 de ani de PAC, în fața războaielor, secetei,
    foametei, dezvoltarea unor instrumente solide absolu necesare care să reprezinte pentru
    fermieri puncte de sprijin, rămâne una din prioritățile UE.




    60 de ani de Politică Agricolă Comună și se
    pune întrebarea de către unii sau de către alții : Ce ar fi însemnat UE fără 60
    de ani de Politică Agricolă Comună? Cu siguranță putem spune că acești 60 de
    ani de Politica Agricolă Comună a însemnat stabilitate în ceea ce înseamnă
    securitatea alimentară, deoarece cu siguranță, fără PAC nu am fi putut vorbi de
    un acces la alimente de calitate și la prețuri rezonabile pentru consumatori.

    Domnule comisar, am reținut două aspecte pe care le-ați verbalizat, respectiv
    faptul că avem nevoie de mai mulți bani pentru agricultură. Și noi, aici, în
    Parlamentul European, spunem mereu că este nevoie de mai mulți bani pentru
    agricultură, deoarece astăzi creșterea prețurilor a redus foarte mult
    veniturile fermierilor. Și v-ați pus întrebarea firească ce se va întâmpla
    după 2027? Depinde de noi toți dacă vom reuși să dezvoltăm un sector agricol
    durabil, astfel încât într-adevăr să putem vorbi de o agricultură durabilă în
    viitor. Dar în același timp atrag atenția asupra unei chestiuni foarte
    importante legat de ceea ce înseamnă politicile Comisiei Europene, și anume
    nevoia de a avea politici armonizate la nivelul Comisiei Europene cu Politica
    Agricolă Comună.

    Nu putem asista la faptul că avem o directivă privind
    reducerea emisiilor de carbon, care vine și creează dificultăți majore
    sectorului agricol sau un regulament privind utilizarea pesticidelor, care, de
    asemenea, vine și pune dificultăți fermierilor.

    De aceea, rugămintea mea este
    să avem în vedere această armonizare a politicilor agricole de nivelul Comisiei
    Europene cu Politica Agricolă Comună.


  • 05.12.2022

    05.12.2022

    Sommet – Le président Klaus Iohannis participera mardi au sommet Union européenne-Balkans occidentaux qui se tiendra à Tirana en Albanie. Selon l’administration présidentielle, c’est le premier évènement de ce genre organisé dans une capitale de la région, ce qui confirme l’engagement de l’Europe auprès des pays des Balkans de l’ouest. A cette occasion, le chef de l’Etat va réaffirmer que la Roumanie entend continuer à soutenir les efforts et les actions concrètes visant à l’intégration des pays de la région dans l’Union européenne. En même temps, Klaus Iohannis va rappeler la nécessité de consolider la résilience des partenaires et le soutien européen dans les secteurs de l’énergie, de la transformation numérique, de la cyber-sécurité et de la gestion de l’immigration. Les participants au Sommet, adopteront la déclaration de Tirana par laquelle l’UE et les Etats membres renouvellent leur soutien envers les perspectives européennes des Balkans occidentaux.

    Réunion – Le ministres des finances de la zone euro se réunissent aujourd’hui à Bruxelles lors de leur dernière réunion de cette année. Les pourparlers se déroulent après la récente annonce de l’Eurostat selon lequel le taux annuel d’inflation dans les Etats qui utilisent la monnaie unique a enregistré le mois dernier une légère baisse par rapport au niveau record enregistré en octobre de 10,6%. Selon les chiffres toujours provisoires présentés par le bureau européen des statistiques, le mois dernier le taux annuel d’inflation est déjà arrivé à 10%. La baisse s’explique surtout par le fait que le cout de l’énergie avait augmenté moins qu’en octobre. En début de semaine, la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde annonçait que le taux d’inflation dans la zone euro n’avait pas encore atteint son niveau maximum. La réunion des ministres des finances de la zone euro sera suivie mardi par celle des responsables de toute l’UE.

    Corruption – Le Parlement de Bucarest doit décider aujourd’hui de la révocation de Niculae Badalau, de ses fonctions de vice-président de la Cour des Comptes. L’ex membre du PSD est accusé par la DNA de trafic d’influence et de corruption active. Le PSD qui a demandé cette révocation affirme que la suspension de ses fonctions de M Badalau intervient uniquement si celui-ci est déféré à la Justice et souligné que maintenir Niculae Badalau dans ses fonctions toucherait sérieusement à la crédibilité de l’institution. L’opposition a également demandé le déclenchement des procédures de révocation. La Cour d’Appel de Bucarest a décidé de placer en détention provisoire M Badalau pour une période de 30 jours, pour des faits de corruption active et trafic d’influence, puisqu’il est accusé d’avoir offert un pot de vin de 170 000 euros à un maire du département de Giurgiu, en échange de plusieurs contrats de marché publics.

    Météo – Les températures sont asses élevées pour ce début décembre en Roumanie dans les régions à l’extérieur de l’arc des Carpates et assez normales sur le reste du territoire. Sur le sud et l’est, des pluies sont signalées alors que les nuages couvrent presque l’intégralité du territoire. Des précipitations mixtes sont signalées sur l’est alors qu’il neige déjà en montagne. Les maximas iront de -1 à12 degrés. Météo morose à Bucarest où le ciel est couvert. Les maximas ne dépasseront pas les 5 degrés dans la Capitale.

    Handball – Le club de handball vice-champion de Roumanie, CSM Bucarest a battu l’équipe hongroise du Ferencvaros, sur le score de 30 à 24, dimanche à domicile dans un match du groupe A de la Ligue des Champions. Le CSM est seulement deuxième dans son groupe à égalité de points avec le leader Vipers Kristiansand, de Norvège. Le 10 décembre, l’équipe bucarestoise doit jouer le retour contre le Ferencvaros. Samedi, les championnes de Rapid ont souffert leur première défaite dans le groupe B de la Ligue des Champions au handball féminin 30 à 32 contre une autre équipe Hongroise, Gyor. Rapid est 4e et recevra la visite du Gyor le 11 décembre à Bucarest.

    Sanctions – De nouvelles sanctions économiques appliquées par l’Union européenne et le Groupe des G7 à l’encontre de la Russie entrent aujourd’hui en vigueur. Il s’agit du plafonnement du prix des exportations russes de pétrole et d’un embargo européen sur le pétrole russe importé par voie maritime. Les mesures visent à réduire les revenus de la Russie, qu’elle utilise pour financer sa machine de guerre. Même si les experts craignent une déstabilisation du marché mondial, la décision de Bruxelles inclut aussi une marge de réserve, pour que la Russie ne se voie obligée à couper toutes ses exportations. Le plafonnement est une mesure rejetée par la Russie qui affirme vendre du pétrole uniquement aux Etats qui n’appliquent pas cette mesure. Hier, l’organisation des pays producteurs de pétrole a décidé de maintenir le niveau de la production soulignant qu’il était trop tôt pour évaluer l’impact des nouvelles sanctions antirusses.

    Foot – Japon – Croatie et Brésil – Corée du sud, voici les matchs du jour dans les huitièmes de la Coupe du Monde de foot au Qatar. Dimanche, également en huitièmes, la France a batuu la Pologne 3 à 1 et rencontrera dans les quarts de finale l’Angleterre qui a disposé du Sénégal 3 buts à 0. Les deux derniers matchs des huitièmes de finale sont prévus pour mardi : Maroc – Espagne et Portugal – Suisse.

    Budget – Les projets de budget de l’Etat et des assurances sociales pour 2023 vont être soumis cette semaine au Parlement. La coalition Parti social-démocrate, Parti national libéral et Union démocrate magyare de Roumanie souhaite que les deux projets soient votés avant les vacances de Noël. Pour la première fois, le budget a été calculé en fonction du programme économique et social et c’est également la première fois que le budget de la défense atteindra les 2.5% du PIB. Ce budget construit à partir des programmes économiques et sociaux devrait permettre un meilleur suivi des dépenses publiques, du degré d’exécution des mesures prises et de leur impact réel sur l’économie. Plus de détails après le journal.

  • Comisia Europeană susține aderarea României, Bulgariei și Croației la Schengen

    Comisia Europeană susține aderarea României, Bulgariei și Croației la Schengen

    Comisia
    Europeană solicită Consiliului să ia fără întârziere deciziile necesare pentru
    a permite Bulgariei, României și Croației să participe pe deplin la spațiul
    Schengen. Într-o comunicare adoptată în noiembrie, Comisia face un bilanț al
    rezultatelor solide ale celor trei state membre în ceea ce privește aplicarea
    normelor Schengen și evidențiază faptul că de ani de zile aceste țări au
    contribuit în mod semnificativ la buna funcționare a spațiului european de
    liberă circulație, inclusiv în timpul pandemiei și, mai recent, în confruntarea
    cu consecințele fără precedent ale războiului din Ucraina.

    În timp ce cele trei
    state sunt deja obligate parțial de regulile Schengen, controalele la
    frontierele interne cu aceste state membre nu au fost ridicate și, prin urmare,
    nu se bucură de toate beneficiile pe care le presupune a fi parte a spațiului
    Schengen. Bulgaria și România au finalizat cu succes procesul de evaluare
    Schengen încă din 2011, fapt recunoscut de Consiliu, care, în decembrie 2021, a
    confirmat că și Croația a îndeplinit condițiile necesare. Asemenea
    Bucureștiului și Sofiei, Zagrebul așteaptă și el unda verde pentru aderare. Iar
    Comisia Europeană consideră că acest moment a venit pentru cele trei țări.

    În Schengen sunt 22 de state membre și patru țări asociate, iar acum este
    momentul să mai intre încă trei, e momentul să spunem Bine ați venit! Bulgariei, României și
    Croației
    , spune comisarul pentru
    afaceri interne Ylva Johansson:

    Schengen înseamnă Europa. Aceste trei state membre merită să se simtă
    pe deplin europene. Ca să ai privilegiul de a fi membru trebuie să respecți
    acquis-ul Schengen, care înseamnă, printre altele, o gestionare eficientă a
    frontierelor externe, vize Schengen uniforme, cooperare cu autoritățile de
    aplicare a legii din alte țări și conectarea la sisteme de informații precum
    sistemul de informații Schengen. Toate acestea pentru a menține securitatea în
    interiorul spațiului Schengen pe linia drepturilor fundamentale. Bulgaria,
    România și Croația au dat dovezi solide că au îndeplinit toate aceste condiții.
    Au instrumentele, structurile și procedurile necesare pentru a gestiona
    frontierele externe, inclusiv posibile amenințări de securitate. Au personal extrem
    de bine instruit, tehnologie, o infrastructură de vârf și know-how.

    Schengen
    reprezintă cea mai mare zonă de liberă circulație din lume. Sunt 3,5 milioane
    de oameni care în fiecare zi trec frontierele pentru a munci, studia sau în
    scopuri recreative. O treime din populație trăiește în regiuni de frontieră. În
    fiecare an sunt făcute 24 de milioane de călătorii de afaceri. În fiecare an,
    de asemenea, oamenii fac 1,25 de miliarde de călătorii. Sunt 420 de milioane de
    oameni conectați astfel. Legăturile acestea fac să crească piața internă și
    economia. Și, de asemenea, fac să crească standardul de viață al oamenilor, mai
    spune comisarul Ylva Johansson.


  • Spécialités roumaines protégées par l’Union européenne

    Spécialités roumaines protégées par l’Union européenne

    Bonjour
    et soyez les bienvenus à une nouvelle rencontre culinaire sur les ondes de RRI.
    Vous êtes en compagnie d’Alex Diaconescu qui vous propose une édition spéciale
    consacrée aux produits alimentaires roumains ayant obtenu les labels européens
    Appellation d’origine protégée et Indication géographique protégée. Sachez que
    depuis l’adhésion de la Roumanie à l’UE en 2007, le nombre de produits
    alimentaires roumains à avoir obtenu les labels européens vient d’arriver à dix
    cet automne après la certification de la salade traditionnelle de caviar de
    carpe en septembre 2021. Je vous propose de faire un tour de ces spécialités
    qui peuvent se retrouver sur une table de fête à l’occasion de la fête
    nationale de la Roumanie par exemple.

    Fromages, saucisses, salami et produits
    de la pêche mais aussi une confiture, voilà autant de spécialités que l’on peut
    combiner pour créer des mets authentiques extrêmement savoureux. Commençons par
    les poissons et mentionnons la scrumbia de Danube et le novac fumé de la
    contrée de Bârsa. Il s’agit donc de l’alose, une sorte de hareng qui vit
    normalement en mer Noire mais qui migre ensuite an amont sur le Danube et
    respectivement de la carpe marbrée ou carpe asiatique ou bien carpe à grosse
    tête. Ce qui est spécifique pour l’alose de la mer Noire c’est qu’elle ne peut
    pas être exploitée en élevages, mais uniquement en état sauvage dans les eaux
    du Danube, alors que la carpe marbrée utilisée dans la recette reconnue par
    l’UE est issue d’élevages situés à une altitude plus grande, qui produisent des
    poissons avec moins de graisses. Les poissons fumés s’accompagnent normalement
    à merveille avec des oignons rouges et un ou plusieurs verres d’eau de vie de
    prunes. Et si on vient d’évoquer les poissons fumés, ceux-ci sont
    indissociables des salades d’œufs de poissons. Deux tels produits portent les
    labels européens : la salade d’œufs de carpe avec ou sans oignons et la
    salade d’œufs de brochet de Tulcea, dans le delta du Danube. Il n’est pas
    obligatoire d’acheter ces deux produits puisque vous pouvez les préparer
    vous-mêmes en utilisant des œufs de poisson et de l’huile végétale. Avec un
    fouet ou bien un mixeur préparez une sorte de mayonnaise avec ces deux
    ingrédients avant d’y ajouter du jus de citron, un peu d’eau gazeuse et des
    oignons finement hachées.

    Passons maintenant aux fromages et en ce cas il y a
    la telemea d’Ibanesti et le cascaval de Saveni. La telemea est un fromage
    national roumain. Ce caillé peut être transformé à partir de laits de vache, de bufflonne, de
    chèvre, de brebis ou un mélange de ceux-ci. il est conservé en bidons
    métalliques ou en futailles de bois remplies de saumure ou de petit-lait salé.
    Il y a toute sorte de variétés qui dépendent de l’origine du lait et la période
    d’affinage dans la saumure. La telemea s’accompagne normalement de tomates en
    été lorsqu’elle est aussi râpée dans des salades similaires à la salade grecque
    alors qu’en hiver elle est mélangée à la polenta chaude, sur laquelle on y met
    aussi de la crème. Enfin, le cascaval est un fromage affiné à croute lacée et à
    pâte semi-dure fabriqué à partir de lait de brebis et de vache. Il peut être
    aussi fumé. La spécificité du cascaval de Saveni est le fait qu’il est
    recouvert d’une couche de cire qui contribue à son affinage. Polyvalent, il est
    ajoute à toute sorte de plats, sur des frites, avec de la polenta ou bien frit
    en pané, mais aussi il est aussi consommé tel quel en entrée.


    Enfin,
    deux autres charcuteries roumaines sont protégées au niveau européen : le
    salami de Sibiu
    , dans le centre et les saucisses de Plescoi. Dans le cas du
    Salami de Sibiu, connu et archiconnu à travers la Roumanie, sachez
    qu’historiquement il n’est pas issu de cette ville, mais de la ville de Sinaia
    où on produisait en hiver un salami à base de viande porc qui était ensuite
    distribué dans les troquets et les bistrots de tout le pays. Selon la recette
    enregistrée, le salami de Sibiu doit être affiné pendant 90 jours avant d’être
    commercialisé. Les saucisses de Plescoi ont également une place à part dans
    l’héritage culinaire roumain. Ce sont
    des saucisses à base de viande de chèvre, de mouton, épicées au piment de la
    sarriette et à l’ail, la viande préparée est introduite dans des intestins de
    mouton, puis les saucisses sont séchées et fumées dans le fumoir ou suspendues
    au vent. Elles sont produites traditionnellement dans le village de Pleșcoi,
    dans le département de Buzău dans l’est de la Roumanie. Et nous voilà enfin au
    dessert.

    Pour la magiun de Topoloveni, dans le centre-sud de la Roumanie, une
    confiture traditionnelle confectionnée à partir de prunes et sans aucun ajout
    de sucre, les possibilités sont assez nombreuses. Je vous propose de préparer
    une sorte de beignets fourrés de ce type de confiture. Il vous faut un kilo de
    pommes de terre, 50 grammes de beurre, 250 grammes de chapelure, 150 grammes de
    sucre, 2 cuillerées de cannelle, 2 cuillerées d’huile, 2 œufs, 350 grammes de
    farine et un bocal de magiun de prunes de Topoloveni. Faites bouillir les
    pommes de terre. Faites fondre le beurre dans une poêle et puis faites dorer la
    chapelure avant d’ajouter la chapelure et la cannelle et mélanger pendant une
    minute avant de coupez le feu et de le verser dans un bol. Ecrasez les pommes
    de terre et mélangez-les avec les œufs, la farine et l’huile. Salez. Avec cette
    pâte vous devez former des boulettes qui contiennent à l’intérieur une belle
    cuillerée de confiture. Plongez-les ensuite dans une casserole avec de l’eau en
    ébullition et lorsqu’elles s’élèvent en surface, retirez-les pour les passer
    par le mélange de sucre, chapelure et cannelle. Et voilà un dessert originaire
    de Transylvanie à l’intérieur duquel on retrouve une confiture spécifique à la
    Valachie. Bon appétit !

  • Laboratorul virtual de învăţare şi alte poveşti

    Laboratorul virtual de învăţare şi alte poveşti

    În ultimii doi ani viaţa s-a mutat mult în
    online. Aşa că nu mare este surpriza faptului că până şi dansul a trebuit să
    înveţe să existe în online, deşi pare mai greu de înţeles cum se poate face
    asta. Astăzi evidenţiem un proiect unicat, în felul său, un parteneriat
    strategic în domeniul educaţiei vocaţionale şi formării porfesionale,
    cofinanţat prin Programul Erasmus + al Uniunii Europene: Teachers for SwanZ.
    Un proiect iniţiat de Liceul de coregrafie Floria Capsali , din Bucureşti, în
    parteneriat cu Şcoala Naţională de Arte Prof. Vesselin Stoyanov, din Ruse,
    Bulgaria, Compania Attitude, din Viena, Austria şi Uniunea Elenă din România.


    Proiectul a început la 1 decembrie 2020,
    cu focus pe aşa-numita generaţie Z, despre care ne-a vorbit Alina Munteanu, psiholog la Liceul de Coregrafie și Liceul de Muzică din Lipatti. Generația
    Z este formată din copii care s-au născut între anii 1996 și 2010. În general,
    ei sunt puțin deosebiţi, pentru că au traversat un mileniu deci au o parte din
    caracteristicile pe care le avem și noi, generația X și sunt cei care pun bază
    acum pe legătura cu tehnica. Se adaptează foarte bine dispozitivlor și lucrului
    pe dispozitive, sunt foarte bine orientați spre a face mai multe lucruri
    deodată. Spre exemplu, elevii noștri fac și teme în același timp, ascultă
    muzică, dau mesaje pe tiktok, mai dau câte un like. Este fascinant să-i vezi pe
    copii cum reușesc să vorbească cum ați auzit foarte bine în limba engleză, cum
    reușesc să exprime cultura românească prin dans, prin propriul lor mod de a se
    comporta și de a dansa împreună cu grecii, dansurile lor populare, cu bulgarii,
    de a cunoaște cultura austriacă și de a promova cultura românească în lume. A
    fost o experiență fascinantă și sunt convinsă că un început pentru liceul de
    coregrafie.



    Denitsa Krastanova, director adjunct al
    Şcoalii Naţionale de Arte Prof. Vesselin Stoyanov, din Ruse, ne-a vorbit
    despre participarea la proiect: Vă rog să-mi
    permiteți să vă prezint pe scurt școala noastră. Ea oferă educație în
    discipline generale la nivel primar și secundar, precum și pregătire
    profesională în arte pentru următoarele specializări – Instrumente muzicale, Canto
    clasic, Canto popular, Canto pop și
    jazz, Dans clasic, Dansuri populare bulgare, Arte plastice, Publicitate Design
    și actorie pentru spectacole de teatru. Ca școală vocaţională, am considerat
    foarte atractivă invitația Liceului de Coregrafie Floria Capsali de a ne
    alătura proiectului Teachers for SwanZ în cadrul Erasmus+, şi asta din mai
    multe motive. După ce ne-am familiarizat cu obiectivele și esența proiectului,
    am estimat beneficiile pe termen lung și impactul pozitiv al acestuia. Teachers
    for SwanZ a fost o modalitate alternativă de îmbunătățire a competențelor
    profesionale, schimb de bune practici și stimulare a creativității în domeniul
    pedagogiei dansului și al competențelor sociale.


    Laura
    Cristinoiu, profesor de balet și director al Attitude Balet Studios din Viena,
    ne-a spus cumn se vede acest proiect la încheierea lui Mă bucur foarte
    mult după cei 2 ani de activitate, dintre care unul s-a petrecut online, fapt
    foarte ciudat pentru un proiect de dans. Vorbim de dans, de profesori de balet,
    de profesori de dans clasic, de profesori de dans tradițional, dans de
    caracter, dans modern. Mă bucur să avem 3 produse intelectuale, mă refer la un
    mini-ghid adresat profesorilor de materii care predau română, matematică, toate
    celelalte materii la licee de stat, de balet. Mă refer la un manual de dans
    pentru profesorii de dans care predau dans clasic și tot ce ține de zona
    clasică predate la licee de stat și în școli particulare. Și cea mai mare
    realizare pe care o avem (zice cel mai mare achievement – n.r.) este platforma virtuală teachersforswanz.eu,
    unde puteți regăsi toate atelierele și tot ceea ce am lucrat în ultimii 2 ani,
    mai ales că este un mijloc de a avea o acreditare din partea acestui proiect
    pentru viitorii profesori de dans clasic și dans, în general.



    Diana Zăvălaș, profesor de pian și
    corepetitor la Liceul de Coregrafie Floria Capsali și coordonator al
    proiectului ne-a spus de ce s-a simţit nevoia acestui proiect Profesorii au acces la metodologii învechite, nu există cursuri de
    formare continuă a profesorilor de de dans și ne-am gândit să le venim în
    ajutor, să facă și ceva workshop-uri de comunicare și de relaționare, dialog
    intercultural și coaching pentru a-și îmbunătăți relațiile cu elevii, cu
    colegii și cu părinții. Am aplicat la programul Erasmus Plus în această idee pe
    care tocmai am spus-o și am găsit 3 parteneri care aveau și ei același scop,
    își doreau aceleași lucruri, îmbunătățirea metodologiilor și dezvoltarea
    competențelor profesorilor. Întâlnirea cu alte culturi, cu alte tipuri de
    metode, este importantă și ești îmbogățit atunci când participi la o astfel de
    experiență internațională.



    Un demers unic în special prin acest
    caracter internaţional, după cum a semnalat şi Ileana Racoviceanu, responsabil
    comunicare al agenţiei din România a Erasmus: Proiectul este un
    proiect finanțat prin programul Erasmus al Uniunii Europene. Proiectul a fost
    aprobat și avizat pentru finanțare în 2020, apoi s-a lucrat online la cele 2
    produse intelectuale, respectiv manualul pentru liceele coregrafice și școli
    din mediul public și privat, pe de o parte partenerii și pe de o parte, urmând
    apoi să fie multiplicate către alte instituții de profil. Ce este foarte
    important? Este important pentru copii, pentru că au putut să meargă și să
    lucreze în alte țări, cu copii de vârsta lor, să vadă ce se întâmplă acolo și
    să se poziționeze, să își valideze cumva pregătirea de care au parte în
    România.



    Dincolo de publicul de specialitate,
    Teachers for SwanZ, respectiv Laboratorul virtual de învăţare se adresează
    şi iubitorilor dansului în general, celor ce sunt interesaţi să se
    perfecţioneze în diferite tipuri de dans: balet clasic, dans de caracter,
    tradiţional, contemporan.