Le prix des jeunes écritures

Toute histoire
commence un jour, quelque part. C’est cette petite phrase qui ouvre le
roman « Les exilés meurent aussi d’amour » d’Abnousse Shalmani, qui
devra servit d’incipit à tous les textes inscrits dans la compétition « Le
prix des jeunes écritures » lancée début décembre par l’Agence
Universitaire de la Francophonie en partenariat avec RFI. Un défit à relever
par tous les passionnés de la langue française et de la littérature, comme
l’affirme Mohamed Ketata, directeur de l’AUF pour l’Europe centrale et
orientale en dialogue avec Ioana Stancescu.