Tag: ALDE

  • Nachrichten 15.07.2019

    Nachrichten 15.07.2019

    Die Sozialdemokratische Partei PSD, die wichtigste Partei der Regierungskoalition in Rumänien, wird einen eigenen Kandidaten für die Präsidentschaftswahl im November haben, und der Kongress, der diesen Kandidaten bestätigen wird, wird am 3. August stattfinden, kündigte die Parteivorsitzende und Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă am Ende der Sitzung des Nationalen Exekutivkommitees der PSD an. Das PSD-Exekutivkomittee hat beschlossen, dass die Ämter des Innenministers und des Au‎ßenministers vom PSD-Senator Nicolae Moga, bzw. von Ramona Mănescu, vom Koalitionspartner ALDE, übernommen werden. Die Innenministerin Carmen Dan und der Au‎ßenminister Teosdor Melescanu haben die politische Unterstützung ihrer Parteien verloren, aufgrund der ungünstigen öffentlichen Wahrnehmung, sagte die Premierministerin Viorica Dăncilă. Die Innenministerin Carmen Dan, von der PSD, hatte bereits bekanntgegeben, dass sie ihr Amt niedergelegt hat. Ferner hat die Sozialdemokratische Partei den PSD-Exekutivpräsidenten Mihai Fifor für das Amt des Vizepremierministers für strategische Partnerschaften vorgeschlagen.



    Rumäniens Tennisliebling Simona Halep ist am Montag nach dem Sieg im Wimbledon-Turnier gegen Serena Williams wieder nach Rumänien zurückgekehrt und wurde am Flughafen von vielen Fans empfangen. In der am Montag veröffentlichten WTA-Wertung kletterte sie nach dem historischen Sieg um drei Plätze nach oben und liegt jetzt auf Platz vier. Präsident Klaus Iohannis beschloss, der Wimbledon-Siegerin Simona Halep die höchste Auszeichnung des rumänischen Staates, den Nationalorden Stern von Rumänien“ im Rittergrad, zu verleihen. “Durch ihr Engagement, ihre Hingabe und ihr Professionalismus, die sie sowohl auf dem Tennisplatz als auch au‎ßerhalb zeigte, förderte Simona Halep den Namen Rumäniens in der ganzen Welt. Simona Halep ist ein Vorbild für die junge Generation, und ihr Engagement bei der Tennis-Förderung unter Kindern ist ein gro‎ßer Gewinn für den rumänischen Sport“, steht in einer Pressemitteilung der Präsidialverwaltung.



    Die Mitglieder des Europäischen Parlaments sind am Montag in Stra‎ßburg im Plenum zusammengekommen, um über den neuen Präsidenten der Europäischen Kommission zu entscheiden, der am 1. November das Amt übernimmt. Die eigentliche Abstimmung ist für Dienstag geplant. Eine Möglichkeit für den Nachfolger von Jean-Claude Juncker ist die deutsche Verteidigungsministerin Ursula von der Leyen. Erhält sie mindestens 374 Stimmen von den Europaabgeordneten, würde sie als erste Frau die Kommission in den nächsten fünf Jahren leiten. Die rumänische Premierministerin Viorica Dancila wird am Dienstag auch vor dem Europäischen Parlament sprechen, um über die Ergebnisse Rumäniens beim EU-Ratsvorsitz zu berichten, der am 30. Juni endete. Ebenfalls diese Woche treffen sich die Vorsitzenden der Ausschüsse des Europäischen Parlaments zu einer Konferenz, bei der auch der Rumäne Ioan Mircea Pascu und die Estin Kadri Simson, Kandidaten für das Amt eines EU-Kommissars, angehört werden. Die beiden wurden Mitglieder der Europäischen Kommission, ohne jedoch einen bestimmten Aufgabenbereich zu übernehemen. Grund dafür ist ihre kurze Amtszeit, die am 31. Oktober endet.



    Das Leistungsbilanzdefizit Rumäniens ist in den ersten 5 Monaten des Jahres um 32,6% auf über 3,4 Milliarden Euro gestiegen. Das teilte die Zentralbank in Bukarest mit. Die ausländischen Direktinvestitionen kamen auf knap 1,5 Milliarden Euro, mehr als 10 Prozent weniger als im Vorjahreszeitraum. Die Auslandsschulden nahmen zwischen Januar und Mai um mehr als 4 Milliarden Euro zu und erreichten 103,5 Milliarden Euro.



    Mehr als 2.000 Soldaten aus 11 NATO-Mitgliedsstaaten – Albanien, Belgien, Bulgarien, Kanada, Griechenland, Frankreich, Italien, Polen, Rumänien, USA, Türkei – nehmen an der internationalen Militärübung Breeze 2019 teil, die bis zum 21. Juli in den bulgarischen Hoheitsgewässern im Schwarzen Meer stattfindet, informiert die bulgarische Nachrichtenagentur Novinite. An der Militärübung Breeze 2019 beteiligen sich 26 Kampf- und Hilfsschiffe, 10 Flugzeuge und Hubschrauber, die zweite Ständige Gruppe der NATO und das Ständige Minenbekämpfungsschiff der Reaktionstruppe der Allianz. Im Rahmen der Übung findet eine Simulation einer Operation zur Gefahrenabwehr auf See im Krisenfall statt. Hauptziel ist es, die Interoperabilität und Interaktion zwischen den Seestreitkräften der teilnehmenden Länder zu verbessern.

  • Accord politique pour une Roumanie européenne

    Accord politique pour une Roumanie européenne

    Les partis politiques de l’opposition – le
    Parti national libéral (PNL), l’Union sauvez la Roumanie (USR), le Parti PRO
    România et le Parti du mouvement populaire (PMP) – ont signé, à Bucarest, l’Accord
    national proposé par le président Klaus Iohannis pour consolider le parcours
    européen de la Roumanie. C’est le président qui a proposé cet accord à tous les partis
    parlementaires qui ont participé récemment à des consultations au sujet du
    référendum sur la justice validé par le vote des électeurs le 26 mai dernier. Les partis se sont mis d’accord pour
    soutenir l’inscription dans la législation nationale du résultat de la consultation
    populaire et, aussi, pour corriger les modifications controversées apportées
    ces deux dernières années au système judiciaire.

    Les partis au pouvoir, le Parti
    social-démocrate (PSD) et l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE), ont
    refusé de signer le pacte. Le président Klaus Iohannis a de nouveau attaqué les
    sociaux-démocrates et a précisé que ces derniers avaient exigé un nombre d’amendements
    supérieur au nombre même d’articles composant l’accord. Néanmoins, le président
    a assuré que la liste des signataires restait ouverte. Klaus Iohannis : « Cette
    cérémonie de signature n’est pas une manière d’en exclure certains, il est
    possible qu’avec le temps d’autres reconsidèrent leur position. Je souhaite que
    l’on garde la porte ouverte à tous les hommes politiques qui veulent construire
    une Roumanie meilleure. »


    Le président du PNL, le principal parti d’opposition,
    a déclaré que le document posait les bases de la création d’une démocratie authentique
    en Roumanie. Ludovic Orban : « Pour
    la Roumanie, il n’existe d’autre moyen qu’une intégration encore plus sérieuse
    et profonde, qui lui permettrait de profiter de toutes les opportunités et de
    tous les avantages dont elle dispose. »


    L’Union sauvez la Roumanie a signé l’accord en
    question car il soutient d’Etat de droit et une justice indépendante, affirme
    le président du parti, Dan Barna : « Cet
    accord national est la première étape dans un processus de construction qui
    doit aussi intégrer l’initiative
    « Pas de condamnés dans les fonctions de responsabilité publique ». »



    Le leader PRO România et ancien premier
    ministre social-démocrate Victor Ponta, a aussi donné les raisons qui l’ont
    poussé à signer le pacte politique : « J’ai signé ce pacte aux côtés de mes
    collègues de PRO România pour une raison très simple : les principes y
    figurant sont correctes et sont dans l’intérêt de notre société. »



    De son côté, le président du Parti du mouvement
    populaire, Eugen Tomac, espère que les hommes politiques comprennent que la
    Roumanie est profondément attachée aux valeurs européennes : « Notre
    attachement aux valeurs telles que la démocratie, la liberté, la paix et l’Etat
    de droit, qui sont aux fondements de l’UE, ne peut être remis en question. »



    La présidente par intérim du PSD, la première
    ministre Viorica Dăncilă, a refusé de signer le document car les amendements demandés
    par les sociaux-démocrates n’y figuraient pas. Viorica Dăncilă : « Je
    n’ai pas été invitée, probablement aussi à cause de la déclaration que j’ai
    faite à ce sujet. J’avais dit que ce pacte supposait un consensus de toutes les
    forces politiques, que c’était un projet pouvant être amendé par les partis
    politiques. Nous avions demandé certaines modifications et tant qu’elles ne se
    retrouvent pas dans l’accord, il n’y a aucune raison pour nous de le signer. »





    Par ailleurs, l’Union démocrate des Magyars de
    Roumanie, ancien alliée parlementaire au sein de la coalition PSD-ALDE, a
    annoncé qu’elle allait signer l’accord la semaine prochaine. (Trad. Elena
    Diaconu)



  • 12.06.2019 (mise à jour)

    12.06.2019 (mise à jour)

    Motion – En Roumanie, l’opposition de droite a présenté mercredi, au Parlement, une motion de censure contre le gouvernement de coalition formé du Parti Social – Démocrate (PSD) et de l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE). Le document sera voté mardi prochain. Pour destituer l’Exécutif dirigé par la sociale-démocrate Viorica Dancila, il faut que la motion soit votée favorablement par 233 sénateurs et députés. Pour réunir ce nombre de voix, les principaux partis de l’opposition – le Parti national libéral, l’Union Sauvez la Roumanie et le Parti du Mouvement Populaire – ont besoin du soutien du parti Pro Romania dirigé par l’ancien premier ministre Victor Ponta, de l’Union démocrate magyare de Roumanie et des autres représentants des minorités nationales. Par ailleurs, la première ministre Viorica Dancila a demandé aux parlementaires sociaux-démocrates d’être présents dans la salle pendant le vote pour assurer le quorum, mais de ne pas voter.

    DIICOT – La Direction d’enquête sur le crime organisé et le terrorisme, DIICOT et le Parquet général bulgare ont signé mercredi, à Bucarest, un accord de coopération judiciaire bilatérale. Y ont été présents le chef de la DIICOT, Felix Banica, le procureur général du Parquet auprès de la Haute Cour de Cassation et de Justice, Bogdan Licu et Sotir Tsatsarov du Parquet général de la Bulgarie. L’accord conclu à Bucarest servira d’instrument supplémentaire dans le démantèlement des groupes criminels transfrontaliers, en assurant un échange continu de données et d’informations entre les deux parties.


    Moldova – Dans une
    lettre envoyée mercredi aux chefs du Conseil européen, Donald Tusk et de la
    Commission européenne, Jean-Claude Juncker, le président roumain, Klaus
    Iohannis, appelle Bruxelles à trouver des solutions pour mettre un terme à la
    crise politique que traverse la République de Moldova, voisine. Une telle crise
    aux frontières de la Roumanie et de l’UE représente un enjeu significatif pour
    la stabilité et la sécurité régionales que l’Union ne devrait pas ignorer. Le
    Groupe du Parti populaire européen, le plus nombreux de l’Assemblée législative
    européenne, a annoncé mercredi soutenir à 100% les décisions adoptées par le
    Parlement de Chisinau, parmi lesquelles la mise en place d’un gouvernement de
    coalition ayant à sa tête la pro-européenne, Maia Sandu.

    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Elena Gabriela Ruse, 211ème dans le classement mondial, s’est qualifiée mercredi dans les huitièmes de finale du tournoi WTA de Nottingham, en Grande Bretagne, après une victoire contre la Russe, Evghenia Rodina, 76ème mondiale. Le prochain match que la Roumaine disputera sera soit contre la Russe, Liudmila Samsonova soit contre la Suisse, Viktorija Golubic.

    Météo – Les météorologues annoncent de l’instabilité atmosphérique et de l’inconfort thermique jusqu’à vendredi dans la soirée sur la plupart du territoire de la Roumanie. On attend des pluies à verse et du vent fort, voire de la grêle. Temporairement, les précipitations pourraient dépasser les 40 litres par mètre carré. Le ciel sera variable et partiellement couvert. En même temps, le risque des inondations persiste. Le niveau du Danube est lui aussi à la hausse, le fleuve étant placé en alerte jaune et orange aux inondations jusqu’à samedi.

  • Misstrauensantrag gegen Außenminister Teodor Meleşcanu gescheitert

    Misstrauensantrag gegen Außenminister Teodor Meleşcanu gescheitert

    Die rumänischen Senatoren haben den Misstrauensantrag gegen den Au‎ßenminister der PSD-ALDE-Regierung, Teodor Meleşcanu, abgewiesen. Ihm wird vorgeworfen, die Abstimmung der Auslandsrumänen bei der Europawahl und dem Referendum in vergangenem Monat schlecht verwaltet zu haben.



    Die Opposition der Nationalliberalen Partei (PNL), der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegung (PMP) bezichtigen den Au‎ßenminister, den Flaschenhals bei den Wahlen am 26. Mai im Ausland angelegt zu haben, damit möglichst wenig Stimmen abgegeben werden. Mihai Goţiu, Senator der Union Rettet Rumänien (USR), ist der Meinung, Meleşcanu müsse die Verantwortung für die stundenlangen Warteschlangen vor den Wahllokalen übernehmen. Viele Rumänen haben es nicht geschafft, ihre Stimme abzugeben. Meleşcanu habe es hingegen vorgezogen, die Schuld auf Botschaften und Diplomaten abzuwälzen. Mihai Goţiu:



    “Sie haben entschieden, dass die Rumänen in den Gro‎ßstädten, in denen bekannterweise viele leben, bestraft werden müssen, und haben dort Wahllokale geschlossen. Es gibt keinen Zweifel, dass es sich um Absicht handelt und, dass sie die Anzahl der Wahlurnen und der Stimmzettel absichtlich falsch angegeben haben.”



    Diesem erwiderte der ALDE-Vorsitzende, Călin Popescu-Tăriceanu: Es hat nicht die geringste Absicht der Regierung gegeben, die Abstimmung zu behindern. Die Anzahl der Wahllokale erfolgte aufgrund der Bedarfskalkulation der rumänischen Vertretungen im Ausland.“ Er behauptete weiter, es gebe keine Angaben über die Zahl und die Wohnorte der im Ausland lebenden Rumänen.



    Der liberale Senator Florin Cîţu wies darauf hin, dass diese Vorgehensweise der Regierung in Zukunft Schule machen könnte und sagte: Minister Meleşcanu und die PSD-ALDE-Regierung haben absichtlich die gleichzeitige Durchführung der beiden Abstimmungen boykottiert, und zwar indem sie ihren gesetzlichen Pflichten nicht nachgekommen sind. Die einzige Behörde, die laut Gesetz befähigt war, mehr Wahllokale im Ausland zu eröffnen und die Logistik für die Abstimmung am Referendum bereitzustellen, war das Au‎ßenministerium. “



    Der Au‎ßenminister verteidigte sich, indem er erklärte, dass die Durchführung des Referendums gleichzeitig mit den Europawahlen die Abstimmung erschwert habe und dass zig Vertreter der Parteien am Wahltag nicht in den Lokalen erschienen seien. Er versucht auch, die Diskussion auf eine andere Schiene zu leiten, nämlich die der Änderung des Abstimmungsverfahrens im Ausland. Teodor Meleşcanu:



    Mit der jetzt gültigen Gesetzgebung können wir nichts Weiteres tun und wir sind bereit, uns der parlamentarischen Kommission, die einberufen werden soll, zur Verfügung zu stellen. Wir schlagen eine vorgezogene, verlängerte Wahl, die von 3 bis 7 Tage dauern könnte, vor, die jedwede Form von Bürokratie entbehren würde und die sehr nützlich bei der Beschleunigung des Wahlverfahrens sein könnte. “




    Das Parlament in Bukarest hat einen gemeinsamen Ausschuss eingesetzt, der über Änderungen am Wahlverfahren für die Auslandsrumänen beraten soll.

  • Pact politic pentru traseul european al României

    Pact politic pentru traseul european al României

    După două zile de consultări, preşedintele Klaus Iohannis a anunţat
    că a propus tuturor partidelor încheierea unui pact politic pentru România
    europeană. Potrivit documentului, semnatarii acordului se angajează ca toate
    acţiunile să fie îndreptate în direcţia respectării pe deplin a principiilor
    valorilor europene, a drepturilor şi libertăţilor fundamentale, a democraţiei
    şi a statului de drept. Iniţiator al referendumului de pe 26 mai, preşedintele
    a explicat care sunt paşii următori semnării pactului politic.


    Klaus Iohannis: Transpunerea în legislaţie a
    interdicţiei privind amnistia şi graţierea pentru infracţiuni de corupţie,
    transpunerea în legislaţie a interdicţiei adoptării de către guvern a
    ordonanţelor de urgenţă în domeniul infracţiunilor, pedepselor, al organizării
    judiciare, corelată cu dreptul altor autorităţi constituţionale de a sesiza
    direct Curtea Constituţională cu privire la ordonanţe, dar şi transpunerea în
    legislaţie a măsurilor necesare asigurării integrităţii în funcţiile publice,
    revizuirea legilor justiţiei numai cu respectarea deplină a recomandărilor
    Comisiei de la Veneţia şi Comisiei Europene.


    PSD susţine că a aflat de intenţia şefului statului din conferinţa
    acestuia de presă, şi nu în timpul discuţiilor. Purtătorul de cuvânt al partidului,
    Mihai Fifor, a declarat la un post de televiziune că o decizie se va lua
    vineri, în conducerea partidului.


    Mihai Fifor: PSD caută formula pentru aplicarea referendumului. PSD a înţeles foarte
    bine dorinţa românilor şi votul românilor la referendum, dar, punctual, despre
    un pact, la întâlnirea noastră nu s-a discutat. O astfel de decizie o s-o
    discutăm în forurile de conducere ale partidului nostru, în speţă în Comitetul
    Executiv pe care o să îl avem vineri.


    Şi liderul ALDE, Călin
    Popescu-Tăriceanu, al cărui partid face parte din coaliţia la guvernare, s-a
    declarat suprins de propunerea făcută de şeful statului, în condiţiile în care,
    spunea el, la consultări nu s-a discutat despre un pact. El spune că ideea
    reprezintă o deturnare a sensului referendumului.


    Călin Popescu-Tăriceanu: Acest anunţ nu face, şi din ceea ce a
    spus preşedintele, decât să deturneze sensul referendumului. Referendumul a
    fost clar, referitor la teme legate de justiţie, şi nu a fost în niciun fel
    vorba despre parcursul european al României sau orientarea pro-europeană, pe
    care nu cred că a pus-o cineva în discuţie, şi România este una din ţările care
    are cea mai ridicată cotă de susţinere pentru proiectul european. Deci,
    subliniez, este o deturnare a sensului referendumului.


    Pe de altă parte, PNL a anunţat că va semna pactul
    politic pentru o Românie europeană şi va milita ca acest acord să fie pus în
    practică. Preşedintele PNL, Ludovic Orban: Susţinem total toate ideile din acest pact şi toate soluţiile pe care
    le propune preşedintele României pentru a transpune în fapt voinţa exprimată de
    cetăţenii români. Facem apel către toate forţele politice din România să suţină
    acest pact, iar către unii, care până astăzi au fost agresorii independenţei
    justiţiei şi ai valorilor şi principiilor europene, ai statului de drept în
    România, trebuie să înţeleagă că s-a terminat.


    Să mai spunem că USR
    consideră că reforma legii fundamentale ar trebui să fie mai amplă, în timp ce
    UDMR propune ca instituţia ordonanţei de urgenţă să fie eliminată din
    Constituţie.


    Amintim că peste 18 milioane de români au fost chemaţi pe 26 mai la
    urne, în acelaşi timp cu alegerile europarlamentare, pentru a se pronunţa cu
    privire la modificările propuse de şeful statului în domeniul justiţiei. Din
    cei peste 7 milioane de români care au votat în cadrul referendumului, 6,5
    milioane s-au pronunţat în favoarea acestuia, respingând modificarea legislaţiei
    cu ajutorul ordonanţelor de urgenţă, precum şi graţierile şi amnistiile pentru
    fapte de corupţie.

  • Amendments to the electoral legislation

    Amendments to the electoral legislation


    Next year Romania will be seeing local elections, when citizens are to cast their ballot for mayors and members of local and county councils. The presidents of the county councils are to be again elected through direct voting in the local election, under an emergency ordinance the government endorsed on Monday


    .


    According to the executive, the move is meant to increase the legitimacy and representation and implicitly the responsibility of the county council presidents who at present are named by councilors, upon negotiations between parties. Here is Social-Democratic Deputy Prime Minister Dan Suciu with more on the new amendments.



    Dan Suciu: “We would like to bring citizens closer to the decision-making process. So, one of the most important and representative positions at county level, that of County Council President, must be elected directly, through uninominal secret voting by all citizens, in order to legitimize and render responsible any local official elected in any county. “



    In support of this measure the left-wing PSD-ALDE executive has invoked a request coming, as they say, from 30 county council presidents, including from the opposition, a figure accounting for three quarters of their total. Another Social Democrat, Marcel Ciolacu, president of the Chamber of Deputies, explained the amendment could be adopted only through an emergency ordinance in order to be applied in the coming election.



    The quickly-endorsed amendments to the election law have been vehemently criticized in their form as well as in their essence. The presidents of county councils are among the most important people in the county and fund distribution towards a certain city or town hall largely hinges on them.



    All the political groups are vying for this position and the newly-endorsed amendments are presently benefiting the incumbent council presidents, as the countrys president Klaus Iohannis has pointed out. Its a concession, Prime Minister Viorica Dancila has made to the local PSD tycoons, Madalina Dobrovolschi, a spokeswoman for the Romanian presidency has said.



    Madalina Dobrovolschi: “The PSD didnt understand anything from the all out defeat they suffered in the latest election for the European Parliament and is again resorting to the method of emergency ordinances, trying to change the rules of the game, right in the middle of it. And thats unacceptable.”



    The new emergency ordinance has also enraged the Liberals who have already announced they have called on the Ombudsman to challenge it at the Constitutional Court. Victor Ponta, president of PRO Romania party shares the same position adding that the PSD fails to understand that people are fed up with these strategies of arranging things through emergency ordinances.



    We recall that at the latest referendum on justice, summoned by the countrys president, which unfolded concurrently with the latest European Parliament elections, the voters overwhelmingly pronounced themselves against amnesties and pardons for those convicted of corruption as well as against emergency ordinances in the field of justice.



    This government decision comes shortly after the European Parliament elections, which the ruling Social Democrats lost to the Liberals. The victors will have 10 MEP seats, PSD 9, the opposition 2020 USR-PLUS Alliance 8, whereas PRO Romania, The People Movements Party and UDMR each have won two seats in the European Parliament.


    (translated by bill)




  • Reaktionen auf die EU-Wahl am Sonntag in Rumänien

    Reaktionen auf die EU-Wahl am Sonntag in Rumänien

    Die Rumänen, die häufig für ihr politisches Desinteresse und ihre mangelhafte Bürgerinitiative kritisiert wurden, waren die Überraschung des gestrigen Wahltages. Die Präsenz bei der Europawahl lag in Rumänien auf Rekordniveau. 49% der rumänischen Wähler haben bei der Europawahl die Stimme abgegeben und 41%, also weit über die 30% Hürde hinaus, haben dem Aufruf des Präsidenten Folge geleistet und an dem Justiz-Referendum teilgenommen. Die Wähler wurden aufgefordert, folgende Fragen mit JA“ oder NEIN“ zu beantworten: Sind Sie mit dem Verbot von Amnestie und Begnadigung bei Korruptionsdelikten einverstanden?“, und Sind Sie damit einverstanden, die Verabschiedung von Eilverordnungen durch die Regierung im Bereich von Straftaten, Strafen und gerichtlicher Organisation zu verbieten und das Recht zu erweitern, Regierungsverordnungen direkt an das Verfassungsgericht anzufechten?“ Über 80% der Befragten, die an der Volksbefragung teilnahmen, haben mit Ja geantwortet.



    Vor vielen rumänischen Konsulaten im Ausland gab es am Sonntag riesige Warteschlangen. Die Wähler standen stundenlang Schlange, um ihr Wahlrechtausüben zu können. Die Bilder davon sind um die Welt gegangen. Zahlreiche Wähler konnten nicht mehr abstimmen, da die Wahllokale um punkt 21 Uhr (Ortszeit) geschlossen wurden. Laut Korrespondenten von Radio Romania in Rom, Madrid oder London klagten die empörten Rumänen über schlechte Organisation. Der rumänische Außenminister Teodor Melescanu entgegnete, er habe sich nichts vorzuwerfen. Eine ähnliche Situation hat es bereits bei den Präsidentschaftswahlen im Jahre 2014 gegeben, nicht jedoch in diesen Ausmaßen. Aus diesem Grund haben Präsident Klaus Iohannis und die wichtigsten Oppositionsparteien, die PNL und die Allianz 2020 USR PLUS, den Rücktritt der PSD-ALDE-Regierung gefordert. Landespräsident, Klaus Iohannis, hat den Rumänen für die hohe Beteiligung an den Wahlen und dem Referendum gedankt. Er unterstrichen, dass die Rumänen bei der Wahl eine deutliche Botschaft übermittelt haben. Klaus Iohannis: Sie haben eine klare, entschlossene Botschaft übermittelt, die von keinem Politiker ignoriert werden kann. Sie haben für korrekte Politik und faire und politisch unabhängige Justiz gestimmt sowie für eine gute Regierung für Rumänien und die Rumänen.“



    Die Europawahlen haben die Parteienhierarchien in Rumänien verändert. Die oppositionelle National-Liberale Partei PNL liegt auf dem 1. Platz, gefolgt von der regierenden Sozialdemokratisxchen Partei PSD. Fast gleichauf, auf dem 3. Platz liegt die Allianz 2020 USR PLUS, die bevorzugt von den Auslandsrumänen und den Einwohnern der Landeshauptstadt Bukarest gewählt wurden. Alle drei politischen Parteien liegen in der Marge zwischen 20% und 30%. Vertreter in das Europäische Parlament werden auch die Partei Pro România, die Volksbewegungspartei PMP und der Ungarn-Verband schicken. Die Sozialdemokraten verlieren nicht nur 20% im Vergleich zu den Parlamentwahlen im Jahre 2016, sondern auch den Regierungspartner, ALDE, der die 5% Hürde nicht erreicht hat.



    Der Vorsitzende der PSD, Liviu Dragnea dankte am Sonntagabend denjenigen, die noch an das Regierungsprogramm glauben und räumte ein, dass die Partei kein erfreuliches Ergebnis erzielt hat. Liviu Dragnea:



    Wir müssen die Wahlen schnell und gründlich analysieren. Ich habe am dem Referendum teilgenommen. Wie ich bereits vorher schon gesagt habe, bin ich nicht gegen das Referendum und auch nicht gegen die Fragen des Referendums. Es hat keine Diskussion über die Bekämpfung der Korruption in der rumänischen Gesellschaft gegeben.“



    Der Vorsitzende der Liberalen Partei, Ludovic Orban, zieht die Lehren aus dem Wahltag:



    Von heute an darf kein Politiker mehr über Amnestie oder Begnadigung für Korruptionsdelikte sprechen oder versuchen, die Justiz mittels Eilverordnungen zu zerstören.“



    Der Vorsitzende der Partei PLUS, Dacian Ciolos, erklärte, die Wahl am Sonntag verdeutliche Rumäniens Wiedergeburt, während Dan Barna, der Vorsitzende der Union Rettet Rumänien USR, der anderen Partei der Allianz 2020, das Wahlergebnis als einen großen Sieg für Rumänien deutete. Dan Barna:



    Auf dieses Ergebnis können wir die Zukunft aufbauen. Das Referendum verdeutlicht, dass die anständigen Kräfte unserer Gesellschaft, der Präsident, die Oppositionsparteien, die an die Unabhängigkeit der Justiz glauben, gemeinsam viel erreichen können. Sie sehen ja, das Referendum ist gültig, die Justiz muss unabhängig und Rumänien ein europäisches Land bleiben.“



    Gemäß der vorläufigen Ergebnisse liegt die Partei Pro România auf dem 4. Platz. Deren Vorsitzender, der ehemalige sozialdemokratische Premierminister Victor Ponta glaubt, die Ergebnisse zeigen, dass Rumänien sich eine Veränderung wünscht.

  • Political reconfiguration in the European Parliament

    Political reconfiguration in the European Parliament

    The European Parliament elections are
    shaping a configuration with less numbers of seats for the centre-right and
    centre-left blocs, which were predominant in the legislature until now but lost
    terrain to smaller parties.






    The main political groups, the Socialists
    and people’s parties remain the largest political forces in the European forum
    – the Group of the European People’s Party remains the most numerous, followed
    by the Progressive Alliance of Socialists and Democrats, each losing about 40 seats
    in the new legislature.






    With 30 more mandates obtained ALDE
    has registered a significant increase as compared to five years ago. The group
    of the Greens have obtained about 70 seats followed by the Conservatives and reformists.
    According to the returns, the far-right extremists are making their entry into
    the European Parliament right on the fifth position.






    A birds-eye-view over the returns shows
    that although the elections saw an increasing number of votes mustered by the Euro-skeptic
    parties, the pro-Europeans are still a majority in the European Parliament. Journalists
    believe the new Parliament will be more fragmented, and that could make the
    task of shaping the European legislation a more difficult one.








    The election turnout at EU level has
    been estimated at 50.5%, being the highest in the past two decades. Now with
    the election completed, large-scale political negotiations are to commence,
    given that the nomination of the future European Commission president depends
    on these talks.






    And we should not forget that the new
    president is in charge of forging the new College of Commissioners. A first
    round of talks will be taking place on Tuesday within an informal meeting of
    the European leaders, summoned by European Council president, Donald Tusk.




    (translated by bill)



  • April 27, 2019 UPDATE

    April 27, 2019 UPDATE

    EASTER Orthodox believers who are a majority in Romania, together with
    their Greek-Catholic counterparts on Sunday celebrate Easter, the Resurrection
    of Lord Jesus Christ, the most important event of Christianity. On Saturday in
    Jerusalem, the Greek Patriarch held the Ceremony of the Holy Light, a regular
    Orthodox service during which the Patriarch goes out of the Holy Sepulchre and
    share light with the believers. A delegation of the Romanian Orthodox Church went
    to Jerusalem to bring into Romania the Holy Light by means of a charter plane.
    At midnight, churches all over Romania saw special services devoted to Christ’s
    Resurrection. Roman Catholics and Protestant believers celebrated Easter on
    April 21st. In his Easter address, Romanian Patriarch Daniel urges
    believers that ‘through good words and deeds they bring joy and light in the
    hearts of the orphans, the sick, the needy, the old, to those in mourning and
    those alone’. Also ‘we shouldn’t forget the Romanians abroad and pray for them
    and their salvation’ the Patriarch went on to say. Florentin Crihalmeanu, the
    bishop of the Greek-Catholic eparchy in Cluj, north-western Romania, has
    reminded believers that the Christian life is a permanent fight, a beautiful
    one, which allows us to celebrate every moment when Christ wins in our life. He
    again hailed the visit Pope Francis is going to pay to Romania in a month, when
    he is going to beatify the 7 Greek-Catholic martyrs who died in the communist
    prisons.








    CAMPAIGN An election campaign for the European Parliament, whose elections
    are due on May 26th, kicked off in Romania on Saturday. Out of the
    13 political groups vying for seats in the European Parliament, there are the
    ruling PSD and ALDE, UDMR, the Union of Ethnic Hungarians in Romania, as well
    as the opposition PNL, the USR-PLUS alliance, PMP and ProRomania, a group
    formed by PSD dissidents. There are also other extra-Parliament parties in this
    election race, such as the National Unity Bloc, UNPR and the United Romania
    Party, PRODEMO, the Romanian Socialist Party, and the Independent Social
    Democratic Party. There are also three independent candidates vying for seats
    in the European Parliament. Romania will have 33 members in the future European
    Parliament, but under a European Council decision, the 33rd mandate
    will commence only after Britain’s withdrawal from the bloc has produced
    judicial effects. 441 polling stations have been set up for the Romanians
    abroad, most of them in Italy, Spain and the neighboring Republic of Moldova.
    Concurrently with the aforementioned elections, the Romanians are expected to
    have their say in a referendum on justice, initiated by the country’s president
    Klaus Iohannis.

    TABLE TENNIS Romanian Ovidiu Ionescu and Spanish Alvaro Robles on Saturday won
    the silver medals in the double match of the World Table Tennis Championship in
    Budapest Hungary. The two conceded defeat in the finals to Chinese Long Ma and
    Chuqin Wang. In another development, the board of the European Table Tennis Federation decided
    that Romania host the 2021 edition of the European Table Tennis Team
    Championships. Romania hosted the European Cadet and Junior Table Tennis
    Championship in 2018.








    FREQUENCIES Dear friends,
    Radio Romania International has operated new changes into the frequencies of
    its transmissions due to come into effect on April 27th. So, the RRI
    broadcast at 3:00 UTC to North America, (the West Coast) can be received on the
    frequency of 7375 kHz in the analogue system, while our programmes to India are
    carried by 13630 kHz in the DRM system.


    (translated by bill)

  • Rumänien gerät erneut in die Aufmerksamkeit des EU-Parlaments

    Rumänien gerät erneut in die Aufmerksamkeit des EU-Parlaments

    Im vergangenen November hat das Europäische Parlament eine Resolution angenommen, in der es seine Besorgnis über die jüngsten Änderungen im rumänischen Justizsystem zum Ausdruck brachte, die von der linksgerichteten Regierungskoalition PSD-ALDE befürwortet wurden. Besagte Gesetzesänderungen könnten die Gewaltenteilung im Staat gefährden und den Kampf gegen Korruption untergraben, hieß es in der Resolution. Nach 6 Monaten fand im EU-Parlament eine neue Debatte über den Stand der Rechtsstaatlichkeit in Rumänien statt, aber die europäischen Partner konnten dabei nichts Neues und insbesondere nichts Gutes über Rumänien sagen. Im Gegenteil, ihre Warnung wurde erneuert: Die Macht in Bukarest muss dringend erneut auf den Weg der Reformen kommen und den Kampf gegen die Korruption fortsetzen. Die EU-Kommissarin für Justiz Věra Jourová:



    Der Reformprozess muss dringend vorangehen, nicht zurückgehen. Wenn notwendig, wird die EU-Kommission die ihr zur Verfügung stehenden Mittel nutzen. Die gegenwärtige Situation in Rumänien birgt das ernste Risiko eines Rückschritts im Bereich der Rechtsstaatlichkeit, insbesondere im Hinblick auf die Unabhängigkeit der Justiz und die Bekämpfung der Korruption. Was bei der Ernennung eines Generalstaatsanwalts für die künftige Europäische Staatsanwaltschaft geschah, war keineswegs eine Stellungnahme, die die Situation hätte klären können.



    Kommissarin Jurova verwies auf den Fall der ehemaligen DNA-Chefin Laura Codruta Kövesi, deren Kandidatur für die Leitung der künftigen Europäischen Staatsanwaltschaft stark vom EU-Parlament unterstützt wird, jedoch von den Behörden in Bukarest bekämpft wurde. Die juristischen Schikanen gegen die rumänische Kandidatin Kövesi waren dem wachsamen Auge in Brüssel nicht entgangen.



    Der EU-Parlamentarier Dan Nica, von der regierenden Sozialdemokratischen Partei erklärte, warum Laura Codruta Kövesi nicht würdig sei, den hochrangigen Posten des EU-Staatsanwaltes zu bekommen:



    2009 unterzeichnete der rumänische Generalstaatsanwalt das erste Geheimprotokoll mit den Geheimdiensten. Überraschenderweise war damals Laura Codruta Kövesi die Generalstaatsanwältin Rumäniens. Seit zwei Jahren ist nun eine lange Reihe von Geheimprotokollen mit den Geheimdiensten ans Licht gekommen. Die Rumänen konnten feststellen, dass diese Protokolle zu abscheulichen Amtsmissbräuchen und Ungerechtigkeiten führten.



    Cristian Preda, ein rumänischer EU-Abgeordneter aus der Opposition, warf der Bukarester Regierung Amtsmissbrauch gegenüber der Justiz vor:



    Das Bukarester Regime ist kein Rechtsstaat mehr, weil die seit 2016 herrschende Regierungskoalition die Richter, die Staatsanwälte und alle Justizbeamte unter Druck setzt, um sie zu zwingen, ihre endgültigen Entscheidungen und Urteile zu ändern und die Korruptionstaten nicht zu verfolgen.



    Von den EU-Abgeordneten kamen kritische Stimmen gegen das Fehlen eines Vertreters der rumänischen Regierung bei der Tagung des EU-Parlaments, da Rumänien die sechsmonatige EU-Ratspräsidentschaft innehat. Anders als im vergangenen November gab es beim Abschluß der Debatte im EU-Parlament am Montag, den 15. April, keine Resolution gegen Rumänien.

  • Réactions après les consultations du Président avec les partis

    Réactions après les consultations du Président avec les partis

    Un référendum sur le thème de la justice est
    nécessaire et il aura lieu le 26 mai, en même temps que les élections
    européennes. C’est la déclaration du président Klaus Iohannis à la fin de ses
    consultations avec les partis parlementaires. Le référendum vise à interdire l’amnistie
    et le pardon des infractions de corruption, mais aussi à bannir l’adoption de décrets
    gouvernementaux pour ce qui est des infractions, des sanctions et de l’organisation
    judiciaire. Les consultations avec les partis ont été convoquées
    dans le contexte des fréquentes modifications législatives dans le domaine
    judiciaire. Ces modifications controversées, promues par la majorité parlementaire
    et par l’exécutif de coalition entre le Parti social démocrate et l’Alliance des
    libéraux et des démocrates, sont suivies avec attention et critiquées par les
    partenaires européens de la Roumanie.

    Déroulées sur deux jours, les discussions
    entre le président roumain et les partis politiques n’ont pas causé des
    surprises. Les partis d’opposition ont été les premiers à rencontrer le
    président Iohannis – le Parti National libéral, l’Union sauvez la Roumanie et
    le Parti du mouvement populaire, ainsi que l’Union démocrate magyare de
    Roumanie et le groupe des minorités nationales autres que la minorité magyare.
    L’opposition a salué l’organisation de ce référendum : « Il est vital
    pour la Roumanie que ses citoyens décident qu’ils n’acceptent plus l’agression systématique
    contre l’indépendance de la justice, contre les droits et libertés des citoyens,
    menée par la coalition au pouvoir » a déclaré Ludovic Orban, le leader du Parti
    National libéral, le principal parti d’opposition.


    Le deuxième et dernier jour dédié aux
    consultations des partis parlementaires, seule une délégation du Parti social
    démocrate s’est présentée aux discussions. Le chef de l’Etat roumain considère
    le PSD coupable pour la situation présente dans le domaine de la justice : « Le
    PSD donne un assaut constant et intense sur la justice depuis le début de son
    mandat. Le PSD est coupable que l’on discute sur la justice avec beaucoup d’inquiétude
    et de préoccupation. Les Roumains sont inquiets, ils ont peur que le PSD soumettra
    politiquement la justice roumaine. C’est parce que les Roumains doivent donner
    une réponse à l’assaut social démocrate sur la justice que je convoque ce
    référendum le 26 mai. »


    Le représentant du PSD lors des consultations,
    Eugen Nicolicea, également vice-président de le Chambre des députés, a annoncé
    que le Parlement avisera favorablement la demande du président Klaus Iohannis
    de démarrer un référendum consultatif, qui n’aura donc pas d’effet décisionnel.
    Le partenaire au gouvernement des sociaux démocrates, l’Alliance des libéraux et
    des démocrates, a refusé de participer aux discussions et accuse le président
    Klaus Iohannis qu’il se sert du référendum du 26 mai pour « prendre une
    longueur d’avance » dans la course pour les élections présidentielles qui
    se dérouleront plus tard cette année. Le président avait déjà rencontré, à la
    fin du mois de mars, les représentants de la société civile, de l’autorité judiciaire
    et des associations professionnelles des magistrats pour échanger autour du
    référendum et de la situation actuelle du système judiciaire en Roumanie. (Trad.
    Elena Diaconu)



  • Nachrichten 14.04.2019

    Nachrichten 14.04.2019

    Kabul: Die vier rumänischen Soldaten, die am Samstag bei einem Bomben-Angriff in Afghanistan verwundet wurden, sind jetzt au‎ßer Gefahr. Die Soldaten des Bataillons 300 befanden sich während einer Patrouille in Minen widerstehenden und Hinterhalt geschützten Fahrzeugen, als sie mit einer unkonventionellen Sprengvorrichtung und mit leichten Infanteriewaffen angegriffen wurden. Die rumänischen Infanteristen haben Boden-und Luftunterstützung von ihren US-amerikanischen Kollegen erhalten und wurden im stabilen Zustand aber mit Knochenbrüchen und zahlreichen Verletzungen ins Krankenhaus des Luftstützpunktes in Kandahar gebracht. 2019 soll Rumänien laut Angaben des Verteidigungsministeriums 780 Soldaten in Afghanistan stationieren. Die NATO-Mission, an der sich die Soldaten des Bataillons 300 beteiligen, zählt über 16.000 Soldaten aus 40 Ländern. Mit den grö‎ßten Staffeln beteiligen sich an der internationalen Mission: die USA- rund 8.500 Soldaten, Deutschland – 1.300 und Italien — 900.



    Bukarest: Die national-liberale Partei aus der Opposition schätzt die Beteiligung an der, für den 26. Mai geplanten Europawahl auf 50%. Zeitgleich mit der Europawahl wird in Rumänien am 26. Mai ein Referendum über Justiz organisiert. Der Chef der Liberalen Ludovic Orban ist der Ansicht, dass das Au‎ßenministerium auch bei der Europawahl zu wenige Wahllokale für Auslandsrumänen eröffnen wird und äu‎ßerte seine Besorgnis darüber. Laut Orban hätten die meisten Auslandsrumänen ihr Land wegen mangelnder Perspektive und wegen der Art und Weise, in der die Sozial-Demokraten das Land regieren verlassen, daher würden die meisten Auslandsrumänen für die National-Liberalen oder andere Oppositionsparteien stimmen. Sollten die Auslandsrumänen von ihrem Wahlrecht nicht Gebrauch machen können, würde das auch das Wahlergebnis deutlich beeinflussen, sagte Orban. Darüber hinaus, erklärte der Vorsitzende des Juniorpartners der sozial-demokratischen Partei in der Regierung, die Allianz der Demokraten und Liberalen ALDE, Călin Popescu-Tăriceanu, dass der bürgerliche Staatschef Klaus Iohannis das besagte Referendum über Justiz nutze, um einen Frühstart im Wahlkampf für die Präsidentschaftswahl hinzulegen. Laut Klaus Iohannis werden die Rumänen bei der Volksbefragung zum Thema Rechtsstaat befragt, beispielsweise Verbot von Amnestie und Begnadigung für Korruptionsdelikte sowie Verbot von Eilverordnungen für Straftaten, Strafen und gerichtliche Organisation, zusammen mit dem Recht anderer Behörden, das Verfassungsgericht zu solchen Themen anzurufen.



    Washington: Auf der Frühjahrstagung des Internationalen Währungsfonds haben Finanzminister aus 22 Ländern eine Klimakoalition geschmiedet. Künftig wollen sie für den Umweltschutz besser zusammenarbeiten. In der gemeinsamen Erklärung der Finanzminister hei‎ßt es weiter, die Folgen des Klimawandels sollten künftig auch in der Haushalts- und Finanzpolitik transparenter gemacht werden, indem sie schon bei der Haushaltsaufstellung und bei öffentlichen Investitionen stärker berücksichtigt werden. Die von der Weltbank koordinierte Klimakoalition“ will zudem private Investitionen in Erneuerbare Energien und Energieeffizienz stärker fördern. Rumänien wird auf der Frühjahrstagung vom Finanzministrer Eugen Teodorovici vertreten.

  • 06.04.2019

    06.04.2019

    Consultations – Le président roumain Klaus Iohannis a invité les partis politiques à des consultations sur le thème de la justice, les 11 et 12 avril prochain. Jeudi, ce sera aux représentants de l’opposition parlementaire de droite issus du PNL, de l’USR et du PMP et à ceux de l’UDMR et des minorités nationales de discuter avant le président roumain. Les deux partis de la coalition au pouvoir – le PSD et ALDE- sont attendus vendredi, pour des consultations avec le chef de l’Etat. Pour sa part, ALDE a affirmé décliner l’invitation. Quant au PSD, même si son leader, Liviu Dragnea, a affirmé ne pas s’y rendre, une délégation du parti sera quand même présente pour des consultations en marge de la justice. Rappelons-le, cette semaine, Klaus Iohannis a annoncé les thèmes du référendum qu’il organisera le 26 mai, jour des élections européennes. Il s’agit d’interdire l’amnistie et la grâce dans le cas des infractions de corruption et de ne plus permettre au gouvernement d’adopter des décrets d’urgence en matière pénale, corroborée avec le droit d’autres autorités de saisir directement la Cour constitutionnelle au sujet de ces décrets. Le chef de l’Etat a demandé à la coalition au pouvoir de ne plus adopter de décrets d’urgence dans le domaine de la Justice et de la politique pénale d’ici la tenue de cette consultation populaire.

    Elections – Le Bureau électoral central de Bucarest a admis les candidatures de neuf formations politiques et d’un seul indépendant aux élections européennes. Selon les décisions rendues publiques sur le site de l’institution, les représentants du Bureau ont validé les candidatures avancées par le Parti Social Démocrate, Parti National libéral, l’Alliance 2020 Union Sauvez la Roumanie- PLUS, l’Alliance des libéraux et des démocrates, l’Union démocratique des magyars de Roumanie, le parti Pro Roumanie, le Parti du Mouvement populaire, l’Union Nationale pour le Progrès de la Roumanie et le Parti de la Roumanie Unie. Le BEC a également accepté la candidature de l’indépendante Gregoriana Tudoran de l’Association Ensemble pour A8 qui milite pour la construction de l’autoroute reliant Iasi à Targu Mures. Les contestations peuvent être avancées d’ici le 12 avril et les candidatures restent définitives le 16 avril. La campagne électorale démarre le 27 avril.

    Réunion – Une réunion informelle des ministres européens des Finances se poursuit ce samedi, à Bucarest, dans le contexte de la présidence roumaine de l’UE. A l’agenda de la journée de vendredi ont figuré la réunion de l’Euro-groupe, en présence des ministres des Finances de la zone euro et la première session de travail de la réunion informelle des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales, présidée par le ministre roumain de tutelle, Eugen Teodorovici. Les membres de l’Euro-groupe ont examiné des questions liées à la situation du secteur bancaire dans la Zone Euro, à l’inflation et au taux de change, ainsi qu’à la situation en Grèce. A ce dernier sujet, le président de l’Euro-groupe, Mario Centeno, a fait savoir que le rapport concernant la Grèce avait permis de constater qu’Athènes avait fait les pas nécessaires pour obtenir une nouvelle aide financière de près d’un milliard d’euros de la part de l’Union européenne.

    Handball – Les Françaises de Metz se sont imposées en Roumanie, devant les Tricolores du CSM Bucarest, lors du quart de finale aller de la Ligue des Champions (31-26). Une avance de 5 buts qu’il faudra préserver dans sa salle des Arènes lors du match retour, le 13 avril prochain, pour espérer figurer dans le Final Four pour la première fois de son histoire. Par ailleurs, pour la première fois de ces 4 dernières années, les Roumaines risquent de rater leur qualification au Final Four qui se déroulera à Budapest, les 11 et 12 mai.

    Tennis – Les duo Horia Tecau/Florin Mergea et Benjamin Lock/Courtney Lock se rencontrent ce samedi, à Piatra-Neamţ (nord-est) au deuxième jour de la rencontre de Coupe Davis, comptant pour le premier tour du Groupe 2 de la zone Europe-Afrique. Dans les premiers matchs de simple, Marius Copil a perdu affrontera Takanyi Garanganga et Dragos Dima jouera contre Benjamin Lock. La Roumanie et le Zimbabwe sont à égalité après la victoire de vendredi, de Dima face à Garanganga et celle de Lock contre Copil. Les deux équipes se sont déjà rencontrés dans la compétition de Coupe Davis, à Harare, en 2000, lorsque les Roumains se sont imposés au score de 3 à 2.

    Météo – En Roumanie, les températures approchent la normale saisonnière. Le ciel est plutôt couvert dans le sud-ouest du pays où les météorologues annoncent des pluies éparses. Les températures maximales vont de 10 à 22 degrés. 10 degré et du vent à midi, dans la capitale roumaine.

  • Die Themen des Referendums vom 26. Mai

    Die Themen des Referendums vom 26. Mai

    In derselben Woche, in der die Europäische Kommission, das EU-Parlament, die Partnerstaaten und die Alliierten, einschließlich der USA, die linksgerichtete Regierung in Bukarest aufgefordert haben, die Justizreform zu korrigieren, um nicht mit der Rechtsstaatlichkeit zu kollidieren, kündigte Präsident Klaus Iohannis die Themen an, die Gegenstand des Referendums vom 26. Mai sein werden. Besagte Referendumsthemen sind das Verbot der Amnestie und Begnadigung von Korruptionsdelikten und das Verbot der Annahme von Eilverordnungen der Regierung in den Bereichen Korruptionsdelikte, Strafurteile fur Korruptionsdelikte und Gerichtsorganisation, korreliert mit dem Recht anderer Behörden, das Verfassungsgericht direkt auf diese Verordnungen zu verweisen.



    Der Präsident warnte die Regierung PSD-ALDE, bis zum Referendum keine Eilverordnung im Bereich Justiz- und Strafgesetzpolitik zu erlassen; nach seiner Auffassung wäre jede von der Exekutive erlassene Eilverordnung unrechtmäßig und würde gegen den Geist der Verfassung verstoßen. Die rumänischen Bürger müssten entscheiden, ob sie damit einverstanden sind, dass in den Fällen der wegen Korruption Verurteilten die Auswirkungen der Verurteilungen auslöscht werden, und dass die Exekutive in sensiblen Bereichen wie Strafrecht und Organisation der Justiz Eilverordnungen erlassen kann. Klaus Iohannis:



    Die Nulltoleranz gegenüber Korruption durch das Verbot von Amnestie und Begnadigung für Korruptionstraftaten ist der richtige Weg, um den Kampf gegen Korruption fortzusetzen. Die Eilverordnungen der Regierung haben unmittelbare Auswirkungen, und in Strafsachen sogar rückwirkende Auswirkungen, und können einzig und allein vom Ombudsmann beim Verfassungsgericht angefochten werden. Es ist höchste Zeit, dass die Bürger entscheiden, ob nicht auch andere Verfassungsbehörden das Recht haben sollten, Klage beim Verfassungsgericht einzureichen, um die Auswirkungen der verfassungswidrigen Eilverordnungen zu stoppen.



    Die wichtigste Oppositionspartei, die Nationalliberale Partei PNL, die den Staatspräsidenten Klaus Iohannis bei seinem Versuch, ein neues Präsidentenmandat zu erhalten, unterstützt, äußerte sich positiv über die Absicht des Präsidenten, ein Referendum zum Thema Justiz zu organisieren. Der PNL-Vorsitzende Ludovic Orban erklärte sich davon überzeugt, dass die meisten rumänischen Bürger sich dem Präsidenten Iohannis und der PNL anschließen werden.



    Die regierende Sozialdemokratische Partei PSD, die eine ständige Zielscheibe von Präsidentenkritik ist, erklärte in einem Communique, sie sei nicht gegen das Referendum und würde auf die genaue Formuliwerung der Fragen warten. Die Sozialdemokraten erklärten jedoch, sie könnten nicht akzeptieren, dass Rumänien wegen falscher Angelegenheiten im Justizbereich angegriffen wird.



    Der Vorsitzende der mitregierenden Partei ALDE, Calin Popescu-Tariceanu, interpretiert die vom Präsidenten am Tag der Europawahl einberufene Volksbefragung in Verbindung mit dem Wahlkampf für die Präsidentschaftswahl in Rumanien. Präsident Iohannis interessiere sich weniger für die Justiz; sein Hauptanliegen sei, ein zweites Präsidentenmandat zu gewinnen, er nutze das Referendum als Springbrett aus, um im politischen Spiel einen Vorteil zu haben und wolle bei der Präsidentschaftswahl einen Frühstart hinlegen.



    Der Vorsitzende des Ungarnverbandes, Kelemen Hunor sagte, dass mit den vorgeschlagenen Themen Staatspräsident Iohannis erwartungsgemäß direkt auf die Eilverordnungen der Regierung abziele und sie vollständig beseitigen wolle.

  • Consultations politiques pour le référendum

    Consultations politiques pour le référendum

    La
    semaine dernière, le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a annoncé qu’un
    référendum sur le thème de la justice aura lieu le 26 mai, en même temps que
    les élections européennes. Pourquoi cette consultation populaire? Car la
    justice subit l’assaut permanent du Parti social-démocrate, a expliqué le
    président, dans l’opinion duquel le dilettantisme et l’incompétence du pouvoir actuel,
    joints à l’intention de légiférer dans l’intérêt des infracteurs, ont des
    effets désastreux pour le pays.

    Lundi, le président a surenchéri et annoncé
    qu’il consulterait le législatif pour élargir le champ du référendum, qu’il
    souhaite porteur d’un message plus fort. Klaus Iohannis a critiqué l’Exécutif
    de coalition Parti social démocrate – l’Alliance des libéraux et des démocrates
    pour leur manière opaque de gouverner par décrets. Le chef de l’Etat a demandé au
    gouvernement de renoncer à ce type d’actes normatifs, dans le domaine pénal,
    avant le référendum : « Je solliciterai une nouvelle
    consultation au Parlement roumain, pour élargir le champ du référendum, pour le
    rendre plus efficace et plus puissant. J’averti le gouvernement, renoncez à adopter
    des décrets dans ces domaines – justice, droit pénal – avant que le peuple ne s’exprime,
    avant de connaître la volonté souveraine des Roumains. »


    Le
    Parti social démocrate a annoncé, en retour, qu’il n’exprimerait aucun point de
    vue sur le référendum avant que le président n’énonce la question qu’il
    souhaite adresser aux Roumains. Les sociaux-démocrates accusent le président
    Iohannis d’orienter le débat vers des thématiques liées à la justice, pour
    détourner l’attention publique des problèmes comme l’économie, les revenus des
    citoyens ou la manière dont le pays devrait être défendu au Parlement européen.
    Le député PSD, Cătălin Rădulescu, a même déclaré que le chef de l’Etat devait
    arrêter de transmettre des avertissements au parlement et au
    gouvernement : « Même si la Constitution
    garantie l’immunité de la fonction présidentielle, il est possible qu’il la
    perde un jour. Le gouvernement n’est ni la boîte à outils, ni l’annexe de la
    présidence et qu’il renonce à ce genre de menaces, car, en premier lieu, elles
    ne sont pas constitutionnelles. »


    Le
    Parti national libéral, principal parti d’opposition en Roumanie, assimile le
    référendum à une motion de censure contre le gouvernement et, pour cette
    raison, soutient la démarche du président Iohannis. Raluca Turcan, la leader
    des députés libéraux a déclaré « Le Parti national libéral
    soutiendra l’initiative du président, de la même manière dont notre parti a
    montré, pendant toute cette période, sa solidarité avec tous ceux qui ont été
    trompés, abusés, avec tous ceux qui ont vu leurs espoirs d’une vie honnête et
    prospère en Roumanie brisés à cause du Parti social démocrate et de l’Alliance
    des libéraux et des démocrates. »


    Le
    président Klaus Iohannis a annoncé qu’il allait également consulter les partis politiques
    quant au référendum prévu le 26 mai. La semaine dernière, il avait rencontré à
    ce même sujet les représentants de la société civile roumaine, majoritairement
    favorables au référendum, ainsi que les magistrats. (Trad. Elena Diaconu)