Tag: chisinau

  • 13.03.2023

    13.03.2023

    Education – Un quart des collégiens roumains qui auraient dû achever cette étape d’enseignement en 2021 ne se sont pas présentés aux examens finaux. Une recherche publiée par le Centre national de politiques et d’évaluation de l’Education illustre le fait que les principales raisons sont l’abandon scolaire, les exclusions de l’école pour des raisons d’absentéisme ou de comportement et écore le manque de notes durant l’année. Les autorités ont annoncé des mesures pour remédier ces problèmes.

    Iohannis – La Roumanie n’est ni source de migration, ni pays de transit, a déclaré à plusieurs reprises le président Klaus Iohannis, qui se rendra cette semaine en Bulgarie afin de parler de l’adhésion à l’espace Schengen de libre circulation européenne avec son homologue de Sofia. Nous savons protéger nos frontières mais le problème est européen et donc il est claire que nous souhaitons participer à l’identification des meilleurs solutions, a également dit le chef de l’Etat roumain. Entre temps, la Bulgarie redouble d’efforts pour sécuriser la frontière avec la Turquie en coopération avec non seulement les autorités européennes, mais aussi avec celle d’Ankara. Le ministre bulgare de l’Intérieur, Ivan Demergiev a expliqué que les participants à la réunion du Conseil européen n’avaient pas accepté l’idée de la construction d’un mur de protection, mais que l’Europe pourrait fournir des équipements tels des drones et des radars et renforcer la présence Frontex sur le terrain. Rappelons-le, le 8 décembre 2022, lors du Conseil JAI à Bruxelles la Roumanie s’est vue refuser l’admission à l’Espace Schengen de libre circulation européenne, à cause de l’opposition de l’Autriche et des Pays-Bas. Alors que les responsables autrichiens ont voté contre, ceux des Pays-Bas ont décidé d’accepter une éventuelle adhésion de la Roumanie, mais non pas de la Bulgarie. Les deux pays sont pourtant candidates à Schengen dans le cadre du même dossier.

    Vilnius – Le ministre roumain des AE, Bogdan Aurescu, fait ces lundi et mardi une visite à Vilnius en Lituanie, pour des pourparlers avec son homologue lituanien Gabrielius Landsbergis et avec la présidente du parlement de ce pays, Viktorija Cmilyte-Nielsen, sur l’adhésion de la Roumanie à l’Espace Schengen, sur la guerre en Ukraine et sur l’impact de celle-ci dans la région. Selon un communiqué du ministère des AE de Bucarest les consultations permettront d’identifier de nouvelles opportunités d’approfondir les relations bilatérales. L’appui pluridimensionnel accordé par les deux Etats à l’Ukraine et le futur processus de reconstruction de cet Etat sera évidemment à l’ordre du jour des réunions qui viseront également l’impact de la guerre sur d’autres Etats de la région, la situation sécuritaire en République de Moldova et les mesures visant à contrecarrer les actions déstabilisatrices de la Russie.

    Chisinau – Les autorités de Chisinau affirment avoir démantelé un réseau coordonné par Moscou qui visait à déstabiliser la situation en République de Moldova. Il s’agirait de 10 groupes de 5 à 10 personnes, qui auraient du créer du chaos dans le cadre des actions de protestations qui ont eu lieu ce weekend à Chisinau. Ces groupes étaient coordonnés par un représentant de services spéciaux de la Fédération russe et recevaient des instructions visant à déstabiliser l’ordre public via des personnes à double nationalité, ruse et moldave, venues spécialement depuis Moscou. Les protestations ont été organisées par le parti politique du controversé homme d’affaires Ilan Şor.

    Météo – Il fait beau en Roumanie mais les températures sont assez basses le matin et dans la soirée. Le ciel est variable, avec quelques nuages sur le nord-ouest et le nord. Les maxima iront de 6 à 14 degrés. 10 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Tense situation in Chișinău

    Tense situation in Chișinău

    Part of Moscow’s sphere
    of influence not long ago, the Republic of Moldova is being presently ruled by
    authorities firmly oriented towards the country’s European integration.


    Protest actions, which
    have invoked social aspects such as poverty or the latest price hikes, have
    been directed against these pro-European authorities for months now. However,
    the aforementioned protest actions aren’t large-scale events, involving the
    participation of a large number of people, but according to investigators,
    those involved do not believe in the principles they sustain, but are actually paid.


    The money they get is
    suspected to have been provided by the party of the controversial pro-Russian
    oligarch, Ilan Shor, who in 2017 got a 7 years-and-a-half prison sentence for
    fraud and money-laundering and is allegedly hiding in Israel.


    Several suchlike meetings
    have been staged since last autumn, and the latest took place on Sunday, the
    day when the authorities in Chisinau announced they had dismantled a network
    coordinated from Moscow, whose aim was to destabilize the situation in the
    Republic of Moldova. The network consisted of 10 groups of up to 10 people, who
    were supposed to create chaos during the protest rallies held in Chisinau
    during the weekend. The groups were coordinated by a representative of the
    special services from the Russian Federation and got orders through people with
    double citizenship, Russian and Moldovan. The head of the General Police
    Commissioners’ Office in the Republic, Viorel Cernăuţeanu, presented several
    video and audio recordings as well as fragments of correspondence in an attempt
    to prove the involvement of Russian nationals in the process of destabilizing the
    mass demonstrations in Chişinău. 25 suspects have been questioned and seven
    detained. According to Cernăuţeanu, there is a direct connection between Moscow
    coordinators, the Russian private military company Wagner and the
    recently-dismantled network. Only a day before the Sunday’s protests, the
    anti-corruption prosecutors in Chişinău announced that following the searches
    conducted at the headquarters of Shor’s party, the equivalent in local currency
    of 230 thousand euros have been sized, money for paying the protesters. The
    searches have been conducted in several localities and at the houses of those suspected
    of being involved in actions aimed at destabilizing the political situation in
    the Republic of Moldova and instating of a pro-Russia government.


    During the searches,
    policemen have also discovered handcuffs, marijuana-based substances,
    communication and data-storage devices.


    Those under investigation
    are men with ages between 23 and 50, who had previously served various court
    sentences. Some of these have recently returned from Turkey, where, according
    to the Moldovan secret services, were trained how to oppose the riot police and
    use pyrotechnical materials and weapons during the protest rallies. The
    aforementioned investigations have been carried out amid the latest allegations
    from Washington that Moscow has been trying to destabilize the Republic of
    Moldova with a view to instating a more Russian-friendly administration.


    (bill)

  • Une situation tendue à Chișinău

    Une situation tendue à Chișinău


    La
    République de Moldova, qui avait fait partie jadis de la sphère d’influence de
    Moscou, est aujourd’hui dirigée par des autorités fermement orientées vers
    l’intégration européenne. Depuis plusieurs mois, elles font l’objet d’actions
    de protestation, les manifestant invoquant notamment des aspects sociaux, tels
    la pauvreté ou la hausse des prix. Cependant, les actions n’ont pas un
    caractère massif, et les enquêtes ont montré, selon les autorités, que les
    manifestants ne participaient pas par conviction, mais en échange pour une rémunération.
    C’est le parti de l’oligarque pro-russe controversé Ilan Şor, qui est soupçonné
    de payer les participants. Pour rappel, Ilan Şor, qui se cache actuellement en
    Israël, a été condamné en 2017 à 7 ans et demi de prison ferme pour escroquerie
    et blanchiment d’argent,.


    Depuis
    l’automne 2022, plusieurs rassemblements de ce type ont été organisés à
    Chisinau. Le plus récent a eu lieu dimanche, le même jour où les autorités de
    Chișinău ont annoncé la destruction d’un réseau coordonné depuis Moscou, qui
    visait à déstabiliser la situation en République de Moldova. Il s’agit d’un
    réseau de 10 groupes de 5 à 10 personnes, chacun ayant dû semer de chaos lors
    des actions de protestation qui ont eu lieu ce samedi. Les groupes ont été
    coordonnés par un représentant des services spéciaux de la Fédération de Russie
    et avaient, parai-t-il, reçu comme instruction de déstabiliser l’ordre public
    par l’intermédiaire de personnes ayant la double nationalité, russe et moldave,
    venues à cet effet de Moscou.


    Le
    chef du Commissariat général de la police de la République de Moldova, Viorel
    Cernăuțeanu, a présenté plusieurs enregistrements vidéo et audio, ainsi que des
    fragments de correspondance destinés à démontrer l’implication de plusieurs
    personnes de Russie dans la préparation des troubles de masse à Chișinău. 25
    suspects ont été interrogés, dont sept ont été arrêtées. Viorel Cernăuțeanu a
    également déclaré qu’il y avait un lien direct entre le coordinateur à Moscou
    et la société militaire privée russe Wagner, mais aussi entre le réseau que la
    police et les organisateurs des manifestations à Chișinău ont démantelé.


    D’ailleurs,
    la veille des manifestations de dimanche, les procureurs anti-corruption de Chișinău
    avaient annoncé qu’à la suite des perquisitions menées contre des représentants
    du Parti Șor, ils avaient confisqué plus de 2,5 millions de lei
    moldaves, l’équivalent de près de 230 000 euros, argent qui aurait servi à
    payer les participants aux manifestations. Les perquisitions ont eu lieu simultanément
    dans plusieurs localités, chez des personnes soupçonnées de préparé des
    désordres de masse pour déstabiliser de la situation politique en République de
    Moldova et mettre en place à Chișinău un gouvernement fidèle à Moscou.


    De
    plus, lors de ces perquisitions, des menottes, des substances à odeur
    spécifique de marijuana, ainsi que des dispositifs de communication et de
    stockage d’informations ont également été retrouvés.


    Les
    personnes enquêtées sont des hommes âgés de 23 à 50 ans, antérieurement
    condamnés. Certains d’entre eux sont récemment revenus de Turquie où, selon les
    services secrets moldaves, ils ont été formés à résister aux forces de l’ordre,
    à utiliser des articles pyrotechniques et des armes lors de manifestations. Les
    perquisitions ont également eu lieu dans le contexte où Washington avait accusé
    Moscou de tenter de déstabiliser la République de Moldova dans le but probable
    d’installer une administration plus favorable à la Fédération de Russie. (trad.
    Andra Juganaru)



  • Situație tensionată la Chișinău

    Situație tensionată la Chișinău

    Aflată anterior în sfera de influenţă a Moscovei, Republica Moldova este condusă în prezent de autorităţi ferm orientate spre integrarea europeană. Împotriva acestora se îndreaptă de luni bune acțiuni de protest în cadrul cărora sunt invocate aspecte sociale, precum sărăcia sau creșterea prețurilor. Acțiunile nu au însă un caracter masiv, iar investigațiile au arătat, spun autoritățile, că protestatarii nu participă din convingeri, ci contra cost. Iar suspectat că plătește participanții este partidul controversatului oligarh pro-rus Ilan Șor, Condamnat în 2017 la 7 ani şi jumătate de închisoare pentru escrocherie şi spălare de bani, acesta se ascunde în Israel.

    Încă din toamna lui 2022, mai multe astfel de mitinguri au fost organizate, iar cel mai recent a avut loc chiar duminică. Zi în care autorităţile de la Chişinău au anunţat că au destructurat o reţea coordonată de la Moscova care urmărea să destabilizeze situaţia din Republica Moldova. Este vorba de o reţea de 10 grupuri a câte cinci până la 10 persoane care ar fi trebuit să creeze haos la acţiunile de protest care au avut loc şi sâmbătă la Chişinău. Grupurile erau coordonate de către un reprezentant al unor servicii speciale din Federaţia Rusă și primeau instrucţiuni pentru destabilizarea ordinii publice prin persoane cu dublă cetăţenie, rusă şi moldovenească, venite în acest scop de la Moscova.

    Șeful Comisariatului General de Poliţie din republică, Viorel Cernăuţeanu, a prezentat mai multe înregistrări video şi audio, dar şi fragmente de corespondenţă menite să demonstreze implicarea unor persoane din Rusia în pregătirea dezordinilor în masă la Chişinău. 25 de persoane suspecte au fost interogate, iar şapte au fost reţinute. Viorel Cernăuţeanu a mai spus că există legătură directă între coordonatorul de la Moscova şi compania militară privată rusă Wagner, dar şi între reţeaua pe care au destructurat-o poliţiştii şi organizatorii protestelor de la Chişinău. Cu doar o zi înaintea protestelor de dumincă, Procuratura anticorupţie de la Chişinău a anunţat că, în urma percheziţiilor efectuate la reprezentanţi ai Partidului Şor, a confiscat peste 2,5 milioane de lei moldoveneşti, echivalentul a aproape 230.000 euro, bani cu care ar fi urmat să fie plătiți participanţii la proteste.

    Percheziţiile au avut loc în mai multe localităţi, concomitent, la persoane suspectate că ar fi pregătit dezordine în masă pentru destabilizarea situaţiei politice din Republica Moldova şi instaurarea la Chişinău a unei guvernări loiale Moscovei. De asemenea, în cadrul percheziţiilor au fost depistate cătuşe, substanţe cu miros specific de marijuana, dispozitive de comunicare şi stocare a informaţiei. Persoanele cercetate sunt bărbaţi cu vârste cuprinse între 23 şi 50 de ani, anterior judecaţi. Unii dintre aceştia recent au revenit din Turcia, unde, potrivit serviciilor secrete moldoveneşti, au fost instruiți cum să opună rezistenţă forţelor de ordine, să folosească articole pirotehnice şi arme în timpul protestelor. Percheziţiile au avut loc şi în contextul în care Washingtonul acuzase Moscova că încearcă să destabilizeze Republica Moldova cu scopul instalării probabil a unei administraţii mai prietenoase Federaţiei Ruse.


  • Jurnal românesc – 07.03.2023

    Jurnal românesc – 07.03.2023

    Simpatizanţi ai
    socialiştilor şi comuniştilor din Republica Moldova au protestat la Chişinău,
    în faţa sediului Curţii Constituţionale, faţă de intenţia parlamentului de a
    înlocui sintagma limba moldovenească cu limba română în
    toată legislaţia, inclusiv în Constituţie.
    Protestatarii, între care şi
    deputaţi ai celor două formaţiuni politice pro-ruse de opoziţie, i-au acuzat pe
    reprezentanţii puterii că atentează la ceva ce este sfânt pentru fiecare
    moldovean şi că o astfel de modificare ar necesita organizarea unui
    referendum şi votul a două treimi dintre parlamentari.

    În replică, şefa
    Comisiei juridice, numiri şi imunităţi, Olesea Stamate, a declarat că instanţa
    supremă şi-a expus deja poziţia în 2013 referitor la limba vorbită în Republica
    Moldova. Atunci, Curtea Constituţională a decis că limba oficială este limba
    română şi nu cea moldovenească. Poziţia a fost susţinută şi de Academia de
    Științe a Republicii Moldova care a cerut restabilirea adevărului științific
    şi înlocuirea limbii moldoveneşti cu cea română.

    Totodată,
    iniţiatorii proiectului legislativ, deputaţi ai Partidului Acţiune şi
    Solidaritate, au arătat că schimbările propuse nu constituie o iniţiativă
    ordinară de modificare a Constituţiei, ci una tehnică, drept pentru care nu
    este necesară organizarea unui plebiscit. Proiectul de lege privind limba
    română a trecut deja, în primă lectură, de votul Parlamentului de la Chişinău.
    Dacă va fi adoptat, documentul mai prevedere ca Sărbătoarea Naţională Limba
    noastră îşi va schimba denumirea în Limba română.




    Asociaţia Românilor din
    Croaţia, în parteneriat cu Ambasada României în Croaţia şi Asociaţia pentru
    Educaţie Digitală Bigger Picture au organizat, la Zagreb, Festivalul
    Primăverii Româneşti.
    Cu acest prilej, a fost inaugurată expoziţia tematică
    Românce de poveste, care a prezentat poveştile a 6 românce
    emblematice pentru istorie: Ecaterina Teodoroiu, singura femeie prezentă pe o
    bancnotă românească, Smaranda Brăescu, prima femeie paraşutist a României,
    Sofia Nădejde, o voce importantă a feminismului românesc în secolul al 19-lea,
    Hariclea Darclee, prima cântăreaţă de operă pentru care s-a compus în mod
    special un rol, Ana Maria Brânză, campioană olimpică la scrimă, şi Nadia
    Comăneci, prima gimnastă din lume care a obţinut nota 10. Membrii comunităţii
    româneşti, ai altor minorităţi din Croaţia şi reprezentanţi ai Catedrei de
    limba română din cadrul Facultăţii de Filosofie din Zagreb au avut ocazia să
    viziteze şi expoziţia de mărţişoare tradiţionale, iar copiii au participat la
    un atelier de creaţie. Comunitatea românească din Croaţia este formată, în
    majoritate, din cetăţeni români care s-au stabilit în Croaţia după anul 1990,
    românii fiind una din cele 22 de minorităţi naţionale recunoscute în această
    ţară.




    Violonista Andreea Nistor va
    susţine, la 8 martie, un recital la sediul Institutul Cultural Român de la
    Londra, în cadrul seriei Concertele Enescu.
    Aceasta va fi
    acompaniată de pianista Clementina Ristea Ciucu. Cele două vor interpreta
    lucrări de Beethoven, Ceaikovski, Dumitru Capoianu şi, bineînţeles, George
    Enescu. Andreea Nistor este elevă în clasa a 12-a la Colegiul Național de
    Muzică George Enescu din București. A participat la masterclass-uri
    cu maestrul Remus Azoiței, profesor de vioară la Academia Regală de Muzică din
    Londra. Clementina Ristea Ciucu este absolventă a Liceului de Artă George
    Enescu și a Universității Naționale de Muzică din București. În prezent,
    este lector universitar doctor în cadrul Facultății de Interpretare Muzicală a
    Universității Naționale de Muzică din București. Programul Concertele
    Enescu este organizat de ICR Londra cu scopul de a promova muzica
    românească în spaţiul britanic, precum și pe muzicienii români consacrați sau
    aflați la început de carieră.




    Expoziţia de artă
    contemporană Instantanee de pe Planeta Roz a artistului Vladimir
    Păun – Vrapciu este deschisă la galeria Institutului Român de Cultură şi
    Cercetare Umanistică de la Veneţia.
    Manifestarea cuprinde 16 lucrări de
    pictură, grafică, instalaţie şi artă video, care au fost prezentate, în
    premieră, la Muzeul Judeţean Buzău. Vladimir Păun-Vrapciu este şi arhitect. În
    acest rol a câştigat realizarea unui proiect constând într-un aşezământ
    destinat copiilor defavorizaţi din Suceava. Proiectele sale arhitecturale au
    fost selectate în ultimii ani pentru diverse Anuale şi Bienale din România şi
    din străinătate. Este membru al Ordinului Arhitecţilor din România, al Uniunii
    Arhitecţilor din Romania, al Uniunii Artiştilor Plastici din România şi al
    Asociaţiei Internaţionale a Artelor Vizuale. Expoziţia Instantanee de pe
    Planeta Roz poate fi vizitată până pe 12 martie.


  • Transnistria, miză și simbolu

    Transnistria, miză și simbolu

    Dinăoară, ama nu pi napandica, Transnistria agiumsi tu menga ali opinie publică și a sinferlui internațional.


    Nu poati s’hibă ti niacăţari tru isapi, di itia că aestu subiectu easti di multu tru menga a strategilor. Tra s’akicăsească catandisea, lipseaşti s’nă turnămu, ama aoa şi dauă secole. Tru 1812, cându expansiunea rusă băga zori pi linia a Dunărăllei, călcânda sumu cizme aţeali daauă principate române, Moscova llia teritoriul ali Moldovă anamisa di Prut și Nistru. Condițiile di atumţea suntuu studiate, nica, di istorţ, ama să ştie ghini ţi s’feaţi. După un secol, tru 1918, aestă parte ali Moldovă, fostă gubernie arusească, tru aestu interval, și stat independentu, tră şcurtu kiro, s’faţi ună cu România.



    Moscova, capitală comunistă, ș-u-ndreadzi revanșa. Pisti Nistru, tru un spațiu cu ună prezență aoa şi aclo a etniţloru români, moldoveni, easti athimilliusitu un stat artificial, ună ripublică autonomă tru ncurpilleaticlu ali Ucraină sovietică, neise un laborator tru cari s’ndridzea aputrusearea di cătră aruși a Moldovăllei anamisa di Prut și Nistru. Aesta avea să s’facă tru 1940, dupu ultimatlu stalinist, ţi avea la thimelliu acordurli mistico anamisa di bolșevici și naziștilli ghirmañi, cari băga zori ali Românie s’evacueadză ayoñea locurli moldave. Sovietiţlli adară ună malefică tăllitură teritorială pritu cari sudlu și nordul ali provincie românească arăchite suntu dati ali Ucraină sovietică iara a Ripublicăllei Sovietică Socialistă Moldova, nău thimilliusită, ălli si alikeaşti Transnistria, ună cumată di locu di anaparti di Nistru. Cu kirolu, aest spațiu agiumsi un avanpostu cu tendinţa expansivă a imperiului sovietic, idyealui cu atelu țaristu.



    Când, tru 1991, Moldova sovietică ș-proclamă independența, cum avea faptă cata tuti ripubliţli unionale a marilui colos comunistu, rusofoñilli ditu Transnistria mută hlambura ti aribilipsirea contra a năiloru autorităț di Chișinău. Au ca agiutor ună askeri sovietică, cunuscuta Armată a XIV-a, kindurită di mult multu kiro tru Transnistria. Tru kirolu anda năulu stat independentu Moldova minduea s’anvărtuşeadză, niavânda ună askeri funcțională, aribelli miza pi ndruparea totală aliştrei askeri aruse. Cu zori s’feaţi iriñe tru aestu conflictu. Neise, s’agiumsi la dănăsearea alumtiloru și la nglliţarea aluştui conflictu. Easti un di multili conflicte ngllițate arăspândite pi teritoriul a fostăllei Uniuni Sovietică, ufilisită tora ca fuvirseari di cătră regimlu revanșard di Moscova.



    Pindzearea alargu ali Ucraină di linia rusă, după celebra Revoluție portocalie, ălu mută ţentrulu ali menga și adusi ună agărşeari relativă a problemăllei transnistrene. Tru aţelu kiro, Rusia eara acăţată cu alti conflicti, maxus cu fuga ali Ucraină ditu strimtura arusă, ama la Chișinău eara un regim comunistu acutotalui devotat ali Moscovă. Problema s-mută pi mealu di nandreapta a Nistrului, la cumăndusearea ofiţială ali Ripublică Moldova. Arăsturnarea faptă nu di multu tu aestă catandisi, kirearea a alidzerloru di cătră liderlu di Chișinău pro-rus și priloarea a ipotisillei di cătră ună tiniră politiciană cu studii tru SUA adusi un alt discurs geostrategic, ama fără năstriţearea a limitilor impuse di neutralitatea practicată di Ripublica Moldova și declarată limbidu tru Constituția statului.



    Declanșarea invaziillei aruse tru Ucraina, aoa şi un an, și relațiile privilegiate anamisa di România și Moldova, fac ca Transnistria a regimului separatist pro-rus sa’giungă un caz interesantu ama nilimbidu. Multi declarații apreasi s’facu anvărliga aliştei cumată di locu mardzina di mealu di nastănga a Nistrului, acăţatu di pisti trei decenii di forțe separatiste, ama nu easti limbidu cari easti miza a sinferlui tră aprinderea diznău a conflictului transnistrean. Anaparti di iţi naeţ di sţenariu absurdu, ţi implică România, ca stat membru al NATO și ali UE, nu lipseaşti s’hibă agărşită luguria că Transnistria easti teritoriu legal ali Ripublică Moldova ţi nu poate s’hibă ocupată niţi di Rusia și niţi di Ucraina.



    Autoru: Marius Tiţa


    Armânipsearia: Taşcu Lala




  • Transnistria, miză și simbol

    Transnistria, miză și simbol

    Brusc,
    dar nu pe neașteptat, Transnistria s-a ridicat în centrul atenției opiniei
    publice și a interesului internațional. Nu poate fi neașteptat, pentru că acest
    subiect este de mult în atenția strategilor. Pentru a înțelege situația,
    trebuie să ne întoarcem, totuși, în urmă cu două secole. În 1812, când
    expansiunea rusă presa linia Dunării, călcând sub cizme cele două principate
    române, Moscova ia teritoriul Moldovei dintre Prut și Nistru. Condițiile de atunci
    sunt studiate, încă, de istorici, dar se știe bine ce s-a întâmplat. După un
    secol, în 1918, această parte a Moldovei, fostă gubernie rusească, în acest
    interval, și stat independent, pentru scurt timp, se reunește cu România.

    Moscova, capitală comunistă, își pregătește revanșa. Peste Nistru, într-un
    spațiu cu o oarecare prezență a etnicilor români, moldoveni, este creat un stat
    artificial, o republică autonomă în cuprinsul Ucrainei sovietice, de fapt un
    laborator în care se pregătea reocuparea de către ruși a Moldovei dintre Prut
    și Nistru. Asta avea să se întâmple în 1940, în urma unui ultimatul stalinist,
    bazat pe acordurile secrete dintre bolșevici și naziștii germani, care impunea
    României să evacueze în mare grabă pământurile moldave. Sovieticii realizează
    un malefic decupaj teritorial prin care sudul și nordul provinciei românești
    răpite sunt date Ucrainei sovietice iar Republicii Sovietice Socialiste
    Moldova, nou înființată, i se alătură Transnistria, o bandă de pământ de
    dincolo de Nistru. În timp, acest spațiu a devenit un avanpost al tendinței
    expansive a imperiului sovietic, asemenea celui țarist.

    Când, în 1991, Moldova
    sovietică își proclamă independența, cum făcuseră mai toate republicile
    unionale ale marelui colos comunist, , rusofonii din Transnistria ridică
    steagul rebeliunii armate împotriva noilor autorități de la Chișinău. Au ca
    ajutor o armată sovietică, celebra Armată a XIV-a, staționată de mult timp în
    Transnistria. În timp ce noul stat independent Moldova încerca să se
    consolideze, neavând o armată funcțională, rebelii mizau pe susținerea totală a
    acestei armate ruse. Cu greu s-a făcut pace în acest conflict. De fapt, s-a
    ajuns la încetarea focului și la înghețarea acestui conflict. Este unul dintre
    multele conflicte înghețate răspândite pe teritoriul fostei Uniuni Sovietice,
    folosite acum ca amenințare de către regimul revanșard de la Moscova.

    Îndepărtarea Ucrainei de linia rusă, după celebra Revoluție portocalie, a mutat
    centrul atenției și a adus o uitare relativă a problemei transnistrene. În acel
    moment, Rusia era ocupată cu alte conflicte, mai ales cu fuga Ucrainei din
    strânsoare rusă, dar la Chișinău era un regim comunist total devotat Moscovei. Problema
    s-a mutat pe malul drept al Nistrului, la conducerea oficială a Republicii
    Moldova. Răsturnarea recentă a situației, pierderea alegerilor de către liderul
    de la Chișinău pro-rus și preluarea funcției de către o tânără politiciană cu
    studii în SUA a adus un alt discurs geostrategic, dar fără depășirea limitelor
    impuse de neutralitatea practicată de Republica Moldova și declarată clar în
    Constituția statului.

    Declanșarea invaziei ruse în Ucraina, în urmă cu un an,
    și relațiile privilegiate dintre România și Moldova, fac ca Transnistria
    regimului separatist pro-rus să devină un caz interesant dar neclar. Multe
    declarații inflamante se fac în jurul acestei limbi de pământ de-a lungul
    malului stâng al Nistrului, ocupat de peste trei decenii de forțe separatiste,
    dar nu este clar care este miza interesului pentru reaprinderea conflictului
    transnistrean. Dincolo de orice intenții de scenariu absurd, ce implică
    România, ca stat membru al NATO și al UE, nu trebuie uitat că Transnistria este
    teritoriu legal al Republicii Moldova ce nu poate fi ocupată nici de Rusia și
    nici de Ucraina.

  • 02.03.2023

    02.03.2023

    Protestations – Les syndicalistes du système de l’Education nationale entament aujourd’hui une série de protestations et demandent la majoration des salaires et des bonus. La première ville à accueillir ces protestations est Iasi, dans l’est, où plus de 500 protestataires membres de la Fédération des syndicats libres de l’Enseignement sont attendus. Ils demandent au gouvernement d’identifier des solutions pour majorer les revenus du personnel didactique auxiliaire et pour le paiement des heures supplémentaires réalisées. Les syndicats exigent également d’appliquer les règlements relatifs aux bonus pour des conditions difficiles de travail puisque les salariés de l’Education nationale constituent la seule catégorie de salariés de l’Etat à ne pas bénéficier de ces bénéfices.

    Moldova – Les autorités de Bucarest soutiendront sans aucune réserve les autorités de Chisinau afin d’atteindre l’objectif de la République de Moldova d’adhérer à l’UE. C’est le message du président roumain, Klaus Iohannis à destination du premier ministre moldave, Dorin Recean, qui a visité la Roumanie. Le responsable de Chisinau a été reçu aussi par son homologue roumain, le premier ministre Nicolae Ciucă. Le président de la Chambre des Députés, Marcel Ciolacu, a également rencontré le premier ministre Dorin Recean. Lors de cette entrevue, le responsable roumain a déclaré que la Roumanie pouvait assurer une partie de la consommation de gaz de la République de Moldova par l’intermédiaire du contrat d’importation signé avec l’Azerbaïdjan.

    Grèce – L’impact entre deux trains en Grèce mardi dans la soirée, accident qui a fait plus de 40 morts a été provoqué par une « tragique erreur humaine » a déclaré le premier ministyre grec Kyriakos Mitsotakis. Le ministre des transports, Kostas Karamanlis, a déjà annoncé sa démission suite à cet accident entre un train de voyageurs qui reliait Athènes à Salonique dans le nord et un convoi de fret. Il a déclaré avoir hérité une infrastructure « inadaptée au 21e siècle », lorsqu’il fut nommé ministre des transports en 2019. La majoprité des victimes sont des jeunes a souligné le premier ministre Mitsotakis. Il s’agit surtout d’étudiants de retour à Salonique après un weekend prolongé puisque lundi c’était une journée fériée en Grèce.

    Energie – Nous devons investir dans toutes les sources d’énergie aux basses émissions carbone afin d’atteindre les objectifs de décarbonation assumés au niveau européen, mais aussi l’indépendance énergétique a affirmé le ministre roumain de l’énergie Virgil Popescu. Il participe à Zagreb aux travaux de la quatrième réunion ministérielle du Partenariat pour la coopération Transatlantique dans les domaines de l’énergie et du climat. Le ministre roumain de l’énergie a également souligné que les bénéfices sociaux et économiques du nucléaire et de toute autre source d’énergie devraient être toujours pris en compte. Le nucléaire civil assure de nouveaux emplois et contribue considérablement au PIB d’un Etat, a précisé Virgil Popescu.

    Théâtre – Le ministre roumain de la Culture, Lucian Romaşcanu, a salué le coup d’envoi des travaux de construction, à Bucarest, de Griviţa 53, le premier théâtre privé de Roumanie bâti à zéro, après près de 80 ans. Le projet est financé par son ministère à hauteur de 1,9 millions d’euros, issus de fonds norvégiens. S’y ajoutent de nombreux contributeurs privés qui ont acheté une par une les briques dont sera construit ce théâtre, qui est une initiative de l’écrivaine et metteuse en scène Chris Simion-Mercurian et de son mari, Tiberiu Mercurian. Le ministre Romaşcanu a d’ailleurs félicité les deux pour avoir réussi l’impossible, en réunissant l’argent nécessaire au projet, après 6 ans de lutte contre l’inertie, la bureaucratie et les entraves en tout genre. Le théâtre Griviţa 53, qui bénéficie déjà de l’appui de nombreuses personnalités, devrait ouvrir ses portes au public en 2024.

    Ukraine – L’armée ukrainienne contrôle la situation de tous les fronts du pays, assure le président ukrainien, Volodymyr Zelensky – cité par l’agence de presse DPA. Dans un message vidéo à la population, il a précisé que les civils situés derrière la ligne du front continuaient à souffrir. « Terreur délibérée » a déclaré M Zelensky au sujet des attaques à l’artillerie contre les villes et les villages du sud et de l’est du pays, où les forces de Moscou tentent constamment de détruire les possessions des citoyens. Selon Volodymyr Zelensky, les forces ukrainiennes redoublent d’efforts pour restaurer la sécurité de ces personnes. Rappelons-le, le 24 février l’Ukraine le monde a marquée une année depuis l’agression militaire de la Fédération de Russie contre l’Ukraine, une guerre qui a fait jusqu’ici des dizaines de milliers de victimes. Plusieurs villes ont été complètement détruites et quelque 8 millions de personnes ont été forcées de chercher refuge ailleurs, dont en Roumanie.

    Météo – Temps morose en Roumanie, où le ciel est couvert et il fait assez froid. Des pluies isolées sont signalées sur le sud-ouest, mais aussi sur le sud et le centre, alors qu’en montagne les précipitations sont mixtes. Les maximas vont de 3 à 14 degrés. 6 degrés sous un ciel de plomb à l’heure actuelle à Bucarest.

  • Jurnal românesc – 28.02.2023

    Jurnal românesc – 28.02.2023

    România
    este un candidat care este gata să adere la Schengen, a declarat
    prim-ministrul Marelui Ducat al Luxemburgului, Xavier Bettel, în cadrul unei
    conferinţe de presă comune cu preşedintele român Klaus Iohannis. Oficialul
    luxemburghez a mulţumit statului român pentru modul în care a gestionat
    frontierele şi pentru solidaritatea pe care cetăţenii au arătat-o faţă de
    refugiaţii ucraineni. Sunteţi dovada că reuşim să gestionăm frontierele
    externe ale spaţiului Schengen fără să construim fortăreţe şi ziduri, a
    spus Bettel, care a precizat că, pentru Luxemburg, România este un aliat
    fiabil. Klaus Iohannis a mulţumit pentru susţinerea oferită de Luxemburg
    în dosarul Schengen şi pentru cei 25 de militari luxemburghezi care se vor
    alătura, în curând, Grupului de Luptă NATO de la Cincu. Preşedintele României
    s-a aflat, la 27 februarie, la Luxemburg, unde a participat, în calitate de
    vorbitor principal, la ediţia inaugurală a Forumului Grupului Băncii Europene
    de Investiţii.




    Deputaţi ai
    Partidului Acţiune şi Solidaritate din Republica Moldova au înregistrat în
    Parlamentul de la Chişinău un proiect de lege ce prevede ca în textele legilor,
    inclusiv în Constituţie, sintagma limba moldovenească să fie
    înlocuită cu limba română, transmite Moldpres. Iniţiatorii au
    afirmat că proiectul, destinat să corecteze ceea ce numesc o nedreptate
    istorică, urmează să implementeze decizia din 2013 a Curţii
    Constituţionale, care a decis că textul Declaraţiei de Independenţă primează în
    faţa Constituţiei. În Declaraţia de Independenţă a Republicii Moldova, din
    1991, limba de stat este cea română. Astfel, sintagmele limba de
    stat, limba oficială şi limba maternă vor fi
    înlocuite cu limba română. În nota informativă a proiectulului se
    menţionează că limba română ca limbă de stat şi
    reintroducerea alfabetului latin sunt primele elemente de
    identificare ale statului incluse în Declaraţia de Independenţă, de unde
    rezultă că au fost considerate esenţiale în definirea identităţii constituţionale
    a noului stat şi a populaţiei acestuia, fiind puse alături de drapel, stemă şi
    denumirea oficială a statului şi având un rol cheie în sistemul valoric creat
    prin proclamarea independenţei Republicii Moldova. Partidul Acţiune şi
    Solidaritate a precizat că schimbările propuse nu constituie o iniţiativă
    ordinară de modificare a Constituţiei, ci una tehnică, care rezultă din
    obligativitatea executării sau implementării actelor Curţii
    Constituţionale.




    Ambasada României în Italia
    anunţă că a organizat recent prima videoconferinţă cu tema pensiilor
    comunitare, la care au participat Casa Naţională de Pensii Publice, Casele
    Teritoriale de Pensii din România şi Institutul Naţional de Protecţie Socială
    Terni, polul de competenţă în Italia pentru cererile de pensionare adresate de
    cetăţenii români care au lucrat în Italia şi ulterior s-au restabilit în
    România. Reprezentanţa diplomatică transmite că discuţiile au urmărit găsirea
    de soluţii comune la situaţiile identificate de părţi, în contextul trecerii la
    schimbul electronic european de informaţii. În acest sens, a fost decisă
    organizarea periodică de reuniuni comune de coordonare în vederea soluţionării
    cât mai rapide a cererilor de pensie comunitară depuse de cetăţenii români.
    Ambasada subliniază importanţa depunerii cererii de pensionare la autoritatea
    competentă din ţara unde românii au reşedinţa, precum şi obligaţia de a le
    transmite rapid instituţiilor competente informaţii actualizate referitoare la
    schimbarea domiciliului. Pentru semnalarea unor situaţii punctuale pe teme de
    muncă şi sociale, cetăţenii români din Italia au la dispoziţie adresele de
    e-mail: roma.social@mae.ro şi roma.social1@mae.ro.




    Violoncelistul Andrei
    Cavassi va susține un recital de 1 martie, la sediul Institutului Cultural
    Român de la Londra, în cadrul seriei Concertele Enescu. Programul
    include lucrări clasice, semnate de Bach, Bartók şi Piazzola, piese din coloana
    sonoră a unor filme cunoscute şi hituri semnate de Aerosmith, Coldplay și
    Trooper. Andrei Cavassi a studiat violoncelul la București, Zürich, Hamburg şi
    Luxemburg. De-a lungul anilor, a concertat pe scene de pe trei continente. În
    2010, s-a stabilit în Japonia, iar în 2019 a obținut medalia de aur la
    Concursul internațional de interpretare de la Viena. În 2021, a concertat la
    Olympiada de la Tokyo şi a participat la evenimente organizate în parteneriat
    cu Primăria din Tokyo, în cadrul proiectului Unplugged by Andrei
    Cavassi, care a marcat împlinirea a 100 de ani de relații diplomatice
    România-Japonia.


  • Transnistria, motiv de îngrijorare

    Transnistria, motiv de îngrijorare

    Diplomaţia română condamnă alegaţiile, lipsite de fundament,
    conţinute în comunicatul ministerului rus de Externe privind regiunea
    secesionistă pro-rusă Transnistria, din estul Republicii Moldova (ex-sovietică,
    majoritar românofonă), precum şi retorica ameninţătoare şi provocatoare
    utilizată. Potrivit unui comunicat al Ministerului de Externe de la Bucureşti,
    propagarea intenţionată de informaţii fără corespondenţă în realitatea de pe
    teren reprezintă o abordare extrem de periculoasă, în contextul actual de
    securitate, în care Federaţia Rusă îşi intensifică războiul de agresiune
    împotriva Ucrainei. Este inacceptabilă această încercare de creare artificială
    de tensiuni şi destabilizare – avertizează Bucureştiul, care face apel la
    responsabilitate, la abandonarea retoricii agresive şi provocatoare, precum şi
    la abţinerea de la orice declaraţii şi acte care pot afecta stabilitatea
    regiunii şi a Republicii Moldova.

    În stil caracteristic, Rusia amenințase,
    prin ministerul său de Externe, că va răspunde
    oricărei provocări militare ucrainene în Transnistria. Şi ministerul
    rus al Apărării a emis un comunicat în care susține că are informații
    potrivit cărora ucrainenii pregătesc o provocare în regiune, la care vor
    participa forțele armate ale Kievului, inclusiv regimentul naționalist Azov.
    Ca pretext pentru invazie, ar fi planificată organizarea unei presupuse
    ofensive a trupelor ruse de pe teritoriul Transnistriei. Pentru a face acest
    lucru, ucraineni care participă la acțiune vor fi îmbrăcați în uniforma
    Forțelor Armate ale Federației Ruse
    – pretinde ministerul de la Moscova.

    Or, situația din
    zonă este calmă, fără schimbări față de perioada anterioară – anunță
    delegația Republicii Moldova în Comisia Unificată de Control din Transnistria.
    Și ministerul Apărării de la Chișinău menționează că nu există amenințări
    directe la adresa securității militare a statului. În ajun, autoritățile au
    făcut apel la calm și au invitat publicul să urmărească sursele oficiale și
    credibile ale Republicii Moldova. Instituțiile noastre cooperează cu
    partenerii străini și, în cazul unor pericole (…), vor informa neîntârziat
    opinia publică
    – a precizat Guvernul de la Chișinău.

    Transnistria a ieşit, de
    facto, de sub controlul autorităţilor centrale după un conflict armat soldat cu
    sute de morţi şi tranşat odată cu intervenţia trupelor Moscovei de partea
    rebelilor secesionişti, în 1992, la nici un an de când Chișinăul își
    proclamase independența. Fostul preşedinte rus, Boris Elţîn, s-a angajat
    să retragă trupele din Transnistria încă de la summitul OSCE de la Istanbul,
    din 1999. Circa 1.500 de militari şi importante arsenale ruseşti s-ar mai afla
    acolo. Potrivit analiştilor, secesiunea Transnistriei a inaugurat scenariul
    pentru separarea
    ulterioară, tot cu sprijin rusesc, a Osetiei de Sud şi Abhaziei de Georgia şi
    a Donbasului de Ucraina.


  • 20.02.2023 (mise à jour)

    20.02.2023 (mise à jour)

    Diplomatie – Bucarest propose à l’Union Européenne d’adopter une
    série particulière de mesures restrictives à l’encontre des entités ou des
    personnes qui soutiennent la Russie dans ses tentatives de déstabiliser de la
    République de Moldova. Lundi, le ministre roumain des Affaires Etrangères, Bogdan
    Aurescu, a déclaré à Bruxelles que ces mesures s’imposaient suite aux informations
    les plus récentes obtenues via les officiels de Chişinău, qui prouvaient les
    intentions de Moscou de déstabiliser la République de Moldova, des intentions faisant
    partie du plan pour la guerre en Ukraine. La proposition de la Roumanie a été
    faite dans le contexte des discussions tenues par les représentants de l’Union
    Européenne sur l’adoption de la dixième série de sanctions à l’encontre de la
    Russie.




    Kiev – Lundi, le président américain Joe Biden a effectué une
    visite surprise à Kiev, au cours de laquelle il a rencontré son homologue,
    Volodymyr Zelensky, et a promis une aide supplémentaire de 500 millions de
    dollars et ainsi que de nouvelles sanctions contre Moscou. A son tour, le
    président Zelensky a déclaré avoir discuté avec le responsable américain de la
    livraison d’armement de longue portée. La visite n’a pas été annoncée pour des
    raisons de sécurité. Depuis Bucarest, le premier ministre roumain, Nicolae Ciucă, a
    déclaré que cette visite était très importante et qu’elle transmettait un
    message de solidarité, témoignant du fait que la communauté internationale
    continuera d’appuyer l’Ukraine, quelle que soit l’évolution de la guerre. Après
    Kiev, Joe Biden s’est rendu à Varsovie, en Pologne (allié-clé des Etats Unis). Mardi,
    il s’exprimera à Varsovie, en même temps que Vladimir Poutine qui devrait prononcer
    mardi un grand discours annuel, trois jours avant le marquer une année depuis
    l’invasion russe en Ukraine. Mercredi, le chef de l’administration américaine
    rencontrera à Varsovie les leaders du groupe Bucarest 9 dont le chef de l’Etat
    roumain, Klaus Iohannis. Le B9 est formé de plusieurs alliés de l’OTAN de
    l’Europe de l’Est, à savoir la Roumanie, la Bulgarie, la République Tchèque,
    l’Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et la Slovaquie. Ce
    sommet a lieu dans le contexte où l’on marque cette semaine une année depuis le
    déclenchement de la guerre en Ukraine. Son objectif est d’assurer la
    coordination entre les alliés sur le flanc est de l’OTAN et les Etats-Unis, sur
    toile de fond des défis sécuritaires engendrés par cette guerre, note
    l’administration présidentielle de Bucarest.




    Chişinău – Les défis géopolitiques suite à l’agression russe en
    Ukraine, la sécurité énergétique et la lutte contre la propagande et la
    désinformation dont se fait responsable la Russie, voilà les principaux sujets
    qui dominent la dixième session de la Réunion commune du Parlement européen et
    de ses partenaires orientaux, qui se déroule à Chişinău, du 19 au 21 février.
    Dans le cadre de la Commission chargée de la sécurité énergétique de
    l’Assemblée parlementaire Euronest, le secrétaire d’Etat moldave, Constantin Boroşan
    a fait savoir que la connexion de la République de Moldova au système roumain
    d’approvisionnement en gaz, via le gazoduc Iaşi-Chişinău et à celui européen ENTSO-E,
    d’approvisionnement en électricité, a permis à Chişinău de surmonter la plus
    grave crise énergétique jamais vécue. L’Assemblée parlementaire Euronest a été
    fondée en 2011 par l’UE et les pays du Partenariat oriental, la République de
    Moldavie, l’Ukraine, la Géorgie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan.




    Timişoara – Capitale Européenne de la Culture en 2023, Timisoara
    regarde avec confiance vers le spectacle impressionnant qui sera en place
    jusqu’à février 2024, a fait savoir le maire de la ville, Dominic Fritz, lors
    des manifestations ayant marqué l’ouverture officielle du programme. Trois
    jours durant, Timisoara a été prise d’assaut par des concerts, des expositions,
    des débats, des spectacles, des visites auxquels ont participé des centaines
    d’invités de marque dont des dizaines d’ambassadeurs et responsables politiques
    de Roumanie et d’ailleurs.




    Dubaï – Lundi, la joueuse roumaine de tennis, Ana Bogdan (75
    WTA), s’est qualifiée au deuxième tour du tournoi WTA 500 de Dubaï (aux Emirats
    Arabes Unis. Elle a battu la joueuse Allemande Laura Siegemund (n° 130 WTA) sur
    le score de 7-5, 6-3 Une autre Roumaine, Sorana Cîrstea (n° 70 WTA), a vaincu
    la Brésilienne Beatriz Haddad Maia (n° 12 WTA), au premier tour du même
    concours, par 4-6, 7-6, 7-5.





    Météo – Dans les 24 prochaines heures les températures
    seront à la hausse en Roumanie, avec de maxima qui iront, mardi de 9 à 19
    degrés. Le vent soufflera avec force sur la plupart du territoire. O attend 19
    degrés à Bucarest.

  • 20.02.2023

    20.02.2023

    Séismes – Des
    centaines de répliques dont la plus significative de magnitude 4,3 sur
    l’échelle ouverte de Richter se sont produites ces derniers jours en Roumanie,
    dans le département de Gorj, après le séisme de 5,7 qui a secoué la région
    mardi dernier. Aux dires des sismologues roumains, les répliques se
    poursuivront un mois durant. Les autorités ont lancé aujourd’hui une campagne
    nationale d’information de la population sur les choses à faire en cas de
    tremblement de terre. Le gouvernement s’apprête à approuver d’ici la fin de la
    semaine une décision par laquelle le site « Sois préparé » devienne
    accessible à tous les citoyens et soit promu dans toutes les institutions.












    Timisoara – Capitale Européenne de la Culture en 2023, Timisoara
    regarde avec confiance vers le spectacle impressionnant qui sera en place
    jusqu’en février 2024, a fait savoir le maire de la ville, Dominic Fritz, lors
    des manifestations ayant marqué l’ouverture officielle du programme. Trois
    jours durant, Timisoara a été prise d’assaut par des concerts, des expositions,
    des débats, des spectacles, des visites auxquels ont participé des centaines d’invités
    de marque dont des dizaines d’ambassadeurs et responsables politiques de
    Roumanie et d’ailleurs.


    Diplomatie – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu,
    participe ce lundi à Bruxelles, à la réunion de ses homologues européens,
    réunis dans le cadre du Conseil Affaires Etrangères. Les pourparlers visent
    l’agression russe contre l’Ukraine, la situation en Afghanistan et la
    diplomatie climatique et énergétique. Autres sujets à l’agenda des
    discussions : la situation en Iran et sa coopération avec la Russie dans
    le domaine militaire. Le responsable de Bucarest réitérera la solidarité de la
    Roumanie avec son voisin ukrainien et plaidera pour le maintien du soutien
    européen accordé à Kiev, aussi longtemps que nécessaire. En marge de leur
    réunion de Bruxelles et sur proposition de Bogdan Aurescu, les ministres
    européens des Affaires Etrangères auront un échange d’opinions avec le chef de
    la diplomatie moldave, Nicu Popescu.


    Chisinau – Les défis géopolitiques suite à l’agression russe en
    Ukraine, la sécurité énergétique et la lutte contre la propagande et la
    désinformation dont se fait responsable la Russie, voilà les principaux sujets
    qui dominent la dixième session de la Réunion commune du Parlement européen et
    de ses partenaires orientaux, qui se déroule à Chisinau, du 19 au 21 février.
    Dans le cadre de la Commission chargée de la sécurité énergétique de
    l’Assemblée parlementaire Euronest, le secrétaire d’Etat moldave, Constantin Boroşan
    a fait savoir que la connexion de la République de Moldavie au système roumain
    d’approvisionnement en gaz, via le gazoduc Iasi-Chisinau et à celui européen ENTSO-E,
    d’approvisionnement en électricité, a permis à Chisinau de surmonter la plus
    grave crise énergétique jamais vécue. L’Assemblée parlementaire Euronest a été
    fondée en 2011 par l’UE et les pays du Partenariat oriental, la République de
    Moldavie, l’Ukraine, la Géorgie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Sorana Cîrstea,
    rencontre ce lundi la Brésilienne Beatriz Haddad Maia, au premier tour du
    tournoi WTA 500 de Dubai, aux Emirats Arabes Unis. Une autre Roumaine, Ana
    Bogdan, affrontera l’Allemande, Laura Siegmund, au tableau du même concours.
    Dans la compétition de double dames, la Roumaine, Monica Niculescu et la Belge,
    Kimberley Zimmermann joueront contre le duo russe, Anastasia Potapova et Iana
    Sizikova.




















    Météo – Des alertes jaune et orange au vent très fort sont en
    place ces jours-ci en Roumanie, notamment à plus de 1700 mètres d’altitude, où
    les rafales risquent de souffler à plus de 110 à 130 km/heure. Parallèlement,
    les températures sont à la baisse, tout en dépassant les normales saisonnières.
    Le ciel demeure couvert et des précipitations mixtes tombent sur les sommets de
    Carpates orientales. Les températures maximales vont de 3 à 12 degrés.

  • 13.02.2023

    13.02.2023

    République de Moldova – Les autorités de Moscou tentent de forcer dans la période suivante le changement du pouvoir politique à Chisinau par des actions violentes censées déstabiliser la République de Moldova. La présidente pro-occidentale Maia Sandu a déclaré que la Russie souhaitait d’utiliser des diversions, des attaques contre des institutions et des prises d’otages. Le plan a été déjoué aussi avec l’aide des informations reçues depuis Kiev, a également dit Maia Sandu. « Le but de ces actions est de renverser l’ordre constitutionnel, le changement du pouvoir légitime de Chisinau avec un pouvoir illégitime, qui puisse mettre ce pays à la disposition de la Russie, afin d’arrêter le processus d’intégration européenne, mais aussi pour que la République de Moldova puisse être utilisée par la Russie dans la guerre contre l’Ukraine », a affirmé Maia Sandu. Jeudi dernier, à Bruxelles, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a évoqué devant les leaders de l’UE d’un tel plan de la Russie.

    Séismes – Une semaine après les séismes dévastateurs de Turquie et de Syrie, le nombre des victimes ne fait qu’augmenter alors que les corps des personnes décédées sont récupérés dans les ruines des immeubles écroulés. Le bilan provisoire du désastre a dépassé les 33 000 morts, selon l’ONU qui estime le total des décès à plus de 50 000. Selon les différents bilans, les séismes auraient fait jusqu’ici quelque 29 000 décès en Turquie et plus de 3 500 en Syrie. Martin Griffiths, responsable des problèmes humanitaires de l’ONU a reconnu que l’organisation n’avait pas réussi à aider la population civile du nord-ouest de la Syrie, région contrôlée par l’Opposition qui mené depuis 2011 une guerre contre l’armée du président syrien Bashar al-Assad. Selon le ministère syrien des Transports, 62 avions chargés d’aides humanitaires se sont posées jusqu’ici en Syrie, en provenance notamment d’Arabie Saoudite.

    Aide Roumanie – Turquie – La Roumanie continue d’aider la Turquie, dévastée par les tremblements de terre de la semaine dernière, où elle a déjà déployé plusieurs équipes de secouristes et des produits de première nécessité. La Société roumaine des chemins de fer vient d’annoncé le chargement d’un deuxième train contenant une vingtaine de wagons de tels produits qui seront envoyés dans ce pays. La Roumanie a déployé en Turquie des médecins et des soignants mais aussi des officiers du Département des situations d’urgences, aux côtés d’autres équipes de recherche et sauvetage. De nombreux Roumains ont répondu aux appels d’aide lancés par l’ambassade de Turquie. A Constanta, les autorités locales et la communauté musulmane se sont directement impliquées dans ces efforts. Le ministre de la Santé, Alexandru Rafila, a déclaré que 500 médecins et soignants se sont organisées dans des équipes prêtes à être déployées en Turquie. Des quantités importantes de médicaments seront également envoyées dans les endroits où ils sont demandés.

    Consolidation – Plusieurs mesures visant à accélérer l’implémentation du Plan national de consolidation des immeubles à haut risque sismique, dont la plupart sont à retrouver à Bucarest, figurent cette semaine à l’ordre du jour de la réunion du gouvernement. Les autorités affirment que les programmes de consolidation visent tant les immeubles résidentiels que ceux publics, notamment les écoles, les maternelles et les hôpitaux.

    Strasbourg – Le parlement européen se réunit aujourd’hui à Strasbourg en France, avec à l’agenda, la réponse humanitaire à la Turquie et à la Syrie après les tremblements dévastateurs et la déclaration marquant une année depuis le déclenchement de l’invasion russe en Ukraine. Les eurodéputés devraient approuver le plan REPowerEU, qui contient des investissements massifs avec des fonds européens censés réduire la dépendance des Etats membres des combustibles fossiles en provenance de Russie à l’horizon 2030 et réaliser la transition écologique des économies. Le plan REPowerEU est estimé à 20 milliards d’euros de fonds non-remboursables, ouvert à tout Etat membre. La Roumanie bénéficiera d’une allocation de 1,4 milliards d’euros pour le financement de projets dans le domaine énergétique, des financements qui devraient être utilisés jusqu’en 2026. La Roumanie doit présenter à la Commission européenne son propre projet d’investissements avant le 30 avril.

    Economie – L’économie roumaine devrait enregistrer une progression de 2,5% en 2023 et de 3% en 2024, alors que le taux d’inflation sera de 9,7% cette année et de 5,5% l’année prochaine, selon les prévisions économiques de cet hiver publiées lundi par la Commission européenne. Selon la commission européenne, l’implémentation du Plan national de relance et de résilience devrait contribuer à l’implémentation d’investissements importants en Roumanie, qui seront le principal moteur de croissance cette année. La consommation privée, même si gravement touchée par le taux élevé d’inflation, devrait augmenter suite à la majoration du salaire minimum, des retraites et des salaires du secteur public et prolonger le seuil maximal de l’énergie jusqu’en 2025. Selon les prévisions européennes, les exportations nettes de la Roumanie devraient rester négatives, sur la toile de fond d’une monnaie puissante et d’une demande relativement basse sur les marchés d’exportation.

    Bavarois – Le premier ministre du land de Bavière, Markus Soder, en visite à Bucarest a réaffirmé lundi son soutien à l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen de libre circulation européenne, soulignant que ces dernières années, le pays a fait des progrès importants dans la lutte contre la corruption et dans les réformes structurelles. « Nous soutenons la Roumanie sur son chemin vers l’adhésion à l’espace Schengen. Il est très important pour nous en Europe, de comprendre que surtout ici, vu la situation avec l’Ukraine et la Russie, les défis s’élèvent à un tout autre niveau », a déclaré ce responsable. Il a également exprimé son appréciation pour le soutien que la Roumanie a accordé et accorde toujours aux citoyens réfugiés en Ukraine. A l’occasion de cette visite, une déclaration commune a été signée visant la consolidation des relations bilatérales entre la Roumanie et le land de Bavière.

    ONU – Le ministre roumain des Affaires Etrangères, Bogdan Aurescu, participe ce mardi à New York en tant que principal orateur à la réunion ouverte du Conseil de sécurité de l’ONU, sur le thème des menaces à l’adresse à la paix et à la sécurité internationale. La hausse du niveau des mers et des océans, une conséquence directe des changements climatique et les moyens par lesquels le Conseil de Sécurité peut gérer ces risques dans le cadre de l’architecture globale de sécurité figurent à l’ordre du jour des débats. Selon un communiqué du Ministère des Affaires Etrangères, la présence de la Roumanie à la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU consolide les efforts de Bucarest de promouvoir l’ordre international reposant sur les normes, ainsi que le rôle d’acteur impliqué dans la gestion des problèmes du Monde.

    Timisoara – Capitale européenne de la culture 2023 – C’est la dernière ligne droite pour l’inauguration du programme « Timisoara – Capitale européenne de la culture 2023 ». Un millier d’événements culturels figurent à l’affiche de ce programme, dans toutes les formes d’expression. L’événement central de l’inauguration du programme « Timisoara – Capitale européenne de la culture 2023 » est prévue vendredi, lorsque des concerts et un spectacle d’acrobatie avec 21 danseurs est prévu. Timisoara est une des trois villes qui se partagent cette année le titre de Capitale européenne de la culture, aux côtés de Veszprèm en Hongrie et d’ Éleusis en Grèce.

    Météo – Le ciel est variable sur le sud de la Roumanie, avec des nuages de plus en plus denses sur le reste du territoire. Il neige sur le relief et sur le nord, alors que sur le nord-est et probablement sur l’ouest les précipitations sont mixtes – pluie/neige. Des pluies verglaçantes sont également possibles. Les maxima iront généralement de -2 à 8 degrés. 6 degrés et du soleil à Bucarest.

  • Change of government in Chișinău

    Change of government in Chișinău

    The Prime Minister of the Republic of Moldova, the pro-Western Natalia Gavrilița, has announced her resignation. President Maia Sandu thanked her for what she called the enormous sacrifice and efforts to lead the republic in a period marked by so many crises. Gavrilița had been at the helm of the Moldovan government since August 6, 2021, after the Action and Solidarity presidential party (PAS) had won the early parliamentary elections by a considerable margin, obtaining 63 of the 101 deputy mandates. With the resignation announcement, Gavrilița said that the republic was entering a new stage, in which security would be a priority. She will be replaced by the presidential advisor for security issues, Dorin Recean. A former interior minister between 2012 and 2014, Recean is the secretary general of the Supreme Security Council of the Republic of Moldova.



    The political change comes against the background of the Russian invasion of neighboring Ukraine and of the hybrid war that decision-makers in Chișinău say Russia is waging against their republic. ‘All the teams subordinated to the Interior Ministry are prepared to intervene in case of contextual changes, in the border area or inside the Republic of Moldova’ the Interior Minister Ana Revenco said just before the prime minister resigned, and also after the president of Ukraine, Volodymyr Zelensky, had stated in Brussels that Russia was planning to destabilize the political situation in Chișinău.



    All the elements of a hybrid war, such as false bomb alerts, cyber-attacks, illegally financed protests, energy blackmail, were, last year, a great challenge for the entire Internal Affairs system, minister Revenco told Radio Chișinău. She also adds that these threats continue in 2023, ‘which is why we are always on duty, 24 hours a day, 7 days a week.’ The pro-war propaganda, incitement to hatred, disinformation, parts of the same hybrid war, are meant to weaken the resilience of citizens – warns the interior minister of the pro-Western Government of the Republic of Moldova. And the Security and Intelligence Service (SIS) announced that it had detected destabilizing activities.



    “Based on the information presented by our Ukrainian partner and on internal data, we confirm that we have identified activities aimed at weakening and destabilizing (the Republic of) Moldova”, the SIS says in a statement, specifying that it cannot give more details, so as not to compromise the ongoing investigations. The Republic of Moldova is, like Ukraine, a candidate for joining the European Union, a condition that requires the implementation of extensive reforms. And the political analysts in Chișinău write that, beyond the security stakes of the change of government, there are indications that the real causes of the change are related to the slow pace of the reforms carried out by the Gavriliţa team and to the internal tensions within the Power. (LS)

  • Românii de lângă noi

    Românii de lângă noi

    Teatrul
    Național Mihai Eminescu din Chișinău, în Turneul Unirii -Teatru românesc la
    Bucureşti, Iaşi şi Chişinău. Interviu cu regizorul Petru Hadârcă,
    directorul TNME.