Tag: USR

  • 21.11.2019

    21.11.2019

    Diplomatie – A l’occasion de la réunion des ministres de AE de l’OTAN, à Bruxelles, le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, a précisé que la Roumanie ne partageait pas les opinions selon lesquelles l’Alliance serait en crise, soulignant que le processus d’adaptation de l’OTAN devait se poursuivre. A l’issue de la réunion, le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg a réaffirmé, à son tour, que l’OTAN restait le seul garant de la sécurité européenne et transatlantique. En marge de la réunion de Bruxelles, Bogdan Aurescu a eu une rencontre avec le secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo. L’occasion pour le ministre roumain de confirmer que la Roumanie continuera d’allouer 2% du PIB à la défense et de participer à des missions militaires à l’étranger, sans oublier de rendre opérationnels les deux mémorandums signés récemment en matière de coopération dans le domaine nucléaire civil et de l’infrastructure 5G.

    USR – Dan Barna reste le chef de l’Union Sauvez la Roumanie. C’est ce qu’ont décidé par vote en ligne les membres de la 3e formation politique au sein du Parlement de Bucarest. 75% ont voté pour, alors que les autres auraient aimé voir M Barna quitter son poste. Avant le vote, celui-ci avait déclaré qu’il allait se soumettre à la décision de la majorité des membres de son parti. Ces débats sont survenus dans le contexte où Dan Barna n’a obtenu que 15% des suffrages au premier tour du scrutin présidentiel, alors que lors des élections europarlementaires de mai dernier, l’alliance entre l’USR et le nouveau parti Plus, avait réuni 22% des voix.

    Intoxication – Une équipe du ministère de la Défense s’est rendue à Timisoara (ouest), pour aider les autorités locales à investiguer sur la présence substances chimiques toxiques industrielles dans un immeuble dont le processus de dératisation a causé la mort de 3 personnes. Jusqu’ici l’autopsie n’a pas établi de liaison directe entre ces décès et la poison utilisée ; les médecins légistes étant en train de faire des investigations supplémentaires. Entre temps, 5 autres personnes habitant le même immeuble présentent des symptômes similaires aux victimes et ont été hospitalisés. Au total 45 personnes, dont 32 enfants, ont été hospitalisées pour les mêmes raisons cette semaine à Timisoara. Les recherches menées jusqu’ici ont constaté que les substances utilisées pour faire la dératisation de deux immeubles de cette ville avaient été procurées sur le marché noir et qu’elles étaient extrêmement toxiques. Le ministère de l’Intérieur a demandé que toutes les sociétés qui vendent des substances toxiques soient vérifiées afin de déterminer si elles disposent oui ou non d’autorisations spéciales. De même, le patron de la société qui a effectué la dératisation de deux immeubles de Timişoara a été placé en détention provisoire, pour 30 jours. Il est accusé d’homicide involontaire et de trafic de substances toxiques.

    Foire du livre – La 26e édition de la Foire du livre Gaudeamus se poursuit à Bucarest. Ce jeudi au programme : lancements de livres, rencontres avec des écrivains, des historiens et des spécialistes de différents domaines, ainsi que des débats portant sur la poésie contemporaine et sur les écrivains face à la dictature. Organisée par Radio Roumanie, la foire accueille 5 jours durant plus de 250 exposants, et près de 900 événements. Cette édition est dédiée aux 30 ans écoulés depuis la révolution anticommuniste de décembre 1989. Le poète Mircea Dinescu et l’acteur Ion Caramitru, deux visages emblématiques de la révolution, seront co-présidents d’honneur de Gaudeamus 2019.

    Handball – Le club champion de handball masculin de la Roumanie, Dinamo Bucarest, se classe premier au sein du Groupe D de la Ligue des Champions, après avoir battu mercredi soir l’équipe russe de Cekovskie Medvedi, sur le score de 34 buts à 23 .Déjà qualifié dans les play-offs de la Ligue, Dinamo Bucarest a cumulé 15 points, étant suivi par Orlen Wisla Plock, de Pologne et par GOG Gudme du Danemark. Le dernier match des Roumains est prévu le 1er décembre contre le Danemark. Par ailleurs, rappelons-le, le club champion de handball féminin de la Roumanie, SCM Ramnicu Valcea, et le club vice-champion, CSM Bucarest, sont qualifiés dans les groupes principaux de la Ligue de Champions, dont les matchs sont prévus l’année prochaine.

    Météo – Le temps est instable en Roumanie, et il fera assez froid jusqu’à samedi, selon les météorologues. Il pleut notamment sur le sud, alors que des précipitations mixtes sont signalées dans l’est et le sud aussi. A la montagne il neige à plus de 1500 m d’altitude où le vent souffle avec des rafales allant jusqu’à 80 km/h. Les températures maximales de la journée ne dépasseront pas les 11 degrés. 10 degrés et de la pluie à midi à Bucarest.

  • 18.11.2019 (mise à jour)

    18.11.2019 (mise à jour)

    Présidentielle — Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest a finalisé l’envoi du matériel nécessaire au vote à l’étranger pour le second tour du scrutin présidentiel roumain. Selon un communiqué, 4.608.175 bulletins de vote ont été envoyés pour les 835 bureaux de vote organisés dans la diaspora, un chiffre supérieur de 100.000 à celui qui avait été demandé au premier tour. Le ministère des Affaires étrangères rappelle qu’à l’étranger, le vote pour le second tour de la présidentielle aura lieu pendant trois jours : le vendredi, 22 novembre, entre 12h00 et 21h00, et les samedi 23 et dimanche 24 novembre, entre 7h00 et 21h00. Au pays, l’élection aura lieu le dimanche 24 novembre. Le président sortant, Klaus Iohannis, soutenu par le Parti national libéral, au pouvoir, affronte la cheffe de file du PSD, Viorica Dancila, ancienne première ministre. Au premier tour, M Iohannis a remporté près de 38% des voix, et son adversaire – 22%.



    Tourisme — La Foire de tourisme la plus importante de Roumanie a fermé ses portes dimanche à Bucarest. L’évènement a réuni agences de voyage, tour-opérateurs, autorités locales et associations des professionnels du domaine. 230 entreprises de 16 pays ont proposé des offres pour toutes les saisons, les goûts et les bourses et des rabais dépassant même les 50%. Les plus recherchés ont été les séjours pour les fêtes d’hiver en Roumanie et à l’étranger, mais aussi les vacances d’été sur la côte roumaine et bulgare, les voyages au delta du Danube, les cures dans les stations thermales et les séjours dans des villes touristiques de Roumanie.



    USR — Les membres de l’Union Sauvez la Roumanie, troisième parti du Parlement de Bucarest, sont appelés à voter en ligne jusqu’à mercredi s’ils souhaitent que le président du parti, Dan Barna, démissionne ou pas de ses fonctions. Il a déclaré qu’il avait déjà écrit sa démission, suite aux mécontentements provoqués par son faible résultat au scrutin présidentiel. Rappelons que M Barna a raté l’accès au second tour du scrutin, décrochant quelque 15% des voix. Ce score est inférieur à celui de 22% obtenu par l’Alliance USR-Plus au précédent scrutin, celui pour le Parlement européen du 26 mai.



    Commissaires — La Commission Affaires étrangères du Parlement européen a approuvé, lundi, le candidat de la Hongrie, Olivér Várhelyi, désigné à l’Elargissement et à la Politique de voisinage. A présent ambassadeur de Hongrie auprès de l’UE, M Várhelyi était le dernier des 27 candidats qui devait être approuvé par les députés européens. Après l’audition ratée du 14 novembre, ces derniers avaient demandé au candidat hongrois de répondre par écrit à certaines questions supplémentaires. En revanche, les candidats proposés par la Roumanie et par la France, Adina Valean aux Transports et respectivement Thierry Breton au Marché intérieur, ont déjà reçu l’avis positif des commissions spécialisées. S’il n’y a pas de surprises, la validation de la nouvelle équipe de la présidente élue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, sera soumise au vote du législatif communautaire en session plénière le 27 novembre, afin de démarrer son activité le 1er décembre.



    Marché de Noël — Le marché de Noël ouvrira ses portes le 28 novembre à Bucarest, et les illuminations de Noël commenceront à fonctionner aussi. Le marché de Noël, à sa 13e édition, pourra être visité jusqu’au 26 décembre. Dans les plus de 130 maisonnettes en bois décorées pour la fête, les bucarestois et les touristes pourront trouver des produits traditionnels roumains — allant des gâteaux faits maison, confitures, galettes, vin bouilli ou fromages jusqu’aux décorations de saison, aux costumes traditionnels et aux jouets. Des ateliers de création pour les enfants et une Maison du Père Noël attendent les petits. Parmi les attractions — spectacles de musique donnés par des chanteurs appréciés de musique pop et folklorique, des chorales ou des ensembles d’us et coutumes de toutes les régions roumaines. Plus d’un million de visiteurs roumains et étrangers vont voir le marché de Noël de Bucarest chaque année.



  • 18.11.2019

    18.11.2019

    Campagne – C’est la dernière semaine de campagne électorale pour le second tour du scrutin présidentiel roumain. Le président sortant, Klaus Iohannis, soutenu par le Parti national libéral, au gouvernement affronte la cheffe de file du PSD, Viorica Dancila. Au premier tour, M Iohannis a décroché quelques 38% des voix alors que son adversaire a remporté 22% des voix. En Roumanie, les élections sont prévues pour ce dimanche le 24 novembre alors qu’à l’extérieur du pays, le scrutin se déroulera le long de trois jours vendredi, samedi et dimanche selon le modèle du premier tour des élections présidentielles.

    Agriculture – Le ministre roumain de l’agriculture, Adrian Oros, participe ce lundi à Bruxelles à la réunion du Conseil de l’UE sur l’Agriculture et la pêche, dont le sujet principal est le paquet de réformes de la Politique agricole commune d’après 2020. Selon le ministère de l’agriculture de Bucarest, la réunion vise aussi le règlement relatif aux plans stratégiques dans le domaine de la Politique agricole commune, le plan visant le financement, la gestion et le monitoring de la PAC, ainsi que le règlement gérant l’organisation commune des marchés des produits agricoles. Depuis la tribune du parlement roumain, le ministre de l’agriculture déclarait le mois dernier que la priorité de son mandat était le programme national stratégique parce qu’au cours des sept prochaines années, les 20 milliards d’euros offerts à la Roumanie via la Politique agricole commune, constitueront la principale source de financement de l’agriculture autochtone.

    Eurodéputés – Les eurodéputés ont jusqu’à jeudi pour décider des récentes propositions de commissaires européens faites par la Roumanie, par la France et par la Hongrie. Le Royaume-Uni qui a refusé de désigner un commissaire aurait dû donner une réponse officielle jusqu’à vendredi dernier, selon la correspondante de la radio publique roumaine à Bruxelles. Le président du Parlement européen et les leaders des groupes politiques réaliseront une dernière évaluation des trois candidats et décideront de la fin des auditions durant la réunion du 21 novembre. Les candidats désignés par la Roumanie et par la France, Adina Valean aux transports et respectivement Thierry Breton au marché intérieur ont déjà reçu l’avis positif des commissions spécialisées. Le candidat hongrois, Olivér Várhelyi, désigné à l’élargissement et à la politique de voisinage devra répondre ce lundi en écrit aux questions supplémentaires des eurodéputés. Un deuxième refus du candidat hongrois pourrait provoquer de nouveaux retards dans la validation de la nouvelle Commission européenne qui risque de ne pas démarrer son activité comme prévu ce 1er décembre. D’autres problèmes concernent le Royaume-Uni qui a décidé de en pas désigner un candidat, contrairement aux obligations résultant du Traité de l’UE. Et pourtant, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen peut proposer un exécutif communautaire à 27 commissaires en vertu d’un avis juridique selon lequel l’absence d’un commissaire britannique n’empêcherait pas sa nouvelle équipe à assumer ses attributions.

    Washington – Le sénat américain doit voter aujourd’hui de la nomination d’Adrian Zuckerman au poste d’ambassadeur des Etats-Unis en Roumanie, lit-on dans un communiqué paru sur le site de l’institution. M Zuckerman, avocat américain d’origine roumaine, nominé par le président Donald Trump pour ces fonctions, a déjà reçu l’avis du Comité des relations extérieures du Sénat des Etats-Unis. Selon la présentation publiée sur le site de la Maison Blanche, Adrian Zuckerman a émigré aux Etats-Unis à l’âge de 10 ans et il est un locuteur natif de langue roumaine. Il a été admis au barreau newyorkais en 1984 pour devenir ensuite partenaire dans une maison internationale d’avocats.

    Tourisme
    La foire de tourisme la plus importante de Roumanie a fermé ces portes
    dimanche à Bucarest. L’évènement a réuni agences de voyage, tour-opérateurs,
    autorités locales et associations des professionnels du domaine. 230
    entreprises de 16 pays ont proposé des offres pour toutes les saisons, les
    goûts et les portefeuilles et des rabais dépassant même les 50%. Les plus
    recherchés ont été les séjours pour les fêtes d’hiver en Roumanie et à
    l’étranger, mais aussi les vacances d’été sur la côte roumaine et bulgare, les
    voyages dans le delta du Danube, les cures dans les stations thermales et les
    séjours dans des villes touristiques de Roumanie.

    USR – Les membres de l’Union sauvez la Roumanie, troisième parti du Parlement de Bucarest sont appelés à voter enligne jusqu’à mercredi s’ils souhaitent que le président du parti Dan Barna démissionne de ses fonctions. Il a déclaré qu’il avait déjà écrit sa démission, suite aux mécontentements provoqués par son faible résultat au scrutin présidentiel. Rappelons que M Barna a raté l’accès au second tour du scrutin, décrochant quelques 15% des voix. Ce score est inférieur à celui de 22% obtenu par l’Alliance USR-Plus au précédent scrutin, celui pour le parlement européen du 26 mai.

    Marine – La frégate roumaine Regele Ferdinand (Roi Ferdinand) participe jusqu’au 20 novembre à un exercice multinational de lutte anti-sous-marine, organisé en Méditerranée par les forces navales turques, fait savoir l’État-major des Forces navales roumaines. L’équipage du bâtiment de guerre roumain mène des activités d’instruction spécifiques dans les eaux territoriales de la Turquie et dans les eaux internationales adjacentes, aux côtés de camarades de plusieurs pays : Bulgarie, Canada, Grèce, Jordanie, Italie, Mexique, Pakistan, Espagne, Etats-Unis et Turquie. Selon les Forces navales roumaines, la participation de la frégate Regele Ferdinand à cet exercice contribue à l’accroissement de l’interopérabilité entre les marins roumains et ceux des pays partenaires, ainsi qu’à promouvoir le professionnalisme de l’Armée roumaine en milieu international.

    Foot – La sélection nationale de foot de Roumanie affronte ce soir l’Espagne dans son dernier match du groupe F préliminaire de l’Euro 2020. Vendredi, les Roumains se sont inclinés sur le score de 0 à 2 à Bucarest contre la Suède. Les Espagnols et les Suédois se sont déjà qualifiés alors que les Roumains se situent en troisième position. Ils gardent pourtant l’espoir d’une qualification après le barrage du mois de mars de la Ligue des Nations. Le tirage aux sorts pour l’Euro de foot 2020 aura lieu à Bucarest ce 30 novembre. La capitale roumaine accueillera d’ailleurs quatre matchs du tournoi final, trois dans la phase des groupes et un dans les huitièmes de finale. Par ailleurs, mardi, la sélection des moins de 21 ans de Roumanie rencontre l’Irlande du Nord, dans le 8e groupe des préliminaires de l’Europe 2021.

    Météo – Températures assez élevées pour cette période de l’année en Roumanie. Pourtant la météo est assez morose, avec des pluies sur les Carpates Méridionales et du vent fort sur le relief. Les maxima de la journée vont de 11 à 21 degrés. 16 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Nachrichten 16.11.2019

    Nachrichten 16.11.2019

    In Rumänien läuft der Wahlkampf für die zweite Runde der Präsidentschaftswahl, die am Sonntag, den 24. November, stattfindet. Der amtierende Präsident Klaus Iohannis, unterstützt von der regierenden National-Liberalen Partei PNL, und die Vorsitzende der Sozialdemokratischen Partei PSD, die ehemalige Premierministerin Viorica Dăncilă, treten gegeneinander an. In der ersten Runde erreichte Klaus Iohannis 37,82% der abgegebenen Stimmen; Viorica Dăncilă erhielt 22,26%, wie aus den am Donnerstag vom Zentralen Wahlbüro veröffentlichten Endergebnissen hervorgeht. Die Wahlbeteiligung auf nationaler Ebene lag bei 47,66%. Im Ausland haben während der drei Tage der ersten Wahlrunde mehr als 675.000 Rumänen ihr Wahlrecht ausgeübt. Auch im zweiten Wahlgang der Präsidentschaftswahl wird in den Wahllokalen außerhalb der Landesgrenzen drei Tage lang abgestimmt: am Freitag von 12:00 bis 21:00 Uhr Ortszeit, und am Samstag und Sonntag zwischen 7:00 und 21:00 Uhr Ortszeit, mit der Möglichkeit, das Abstimmungsprogramm bis Mitternacht zu verlängern.



    Die Mitglieder der Union Rettet Rumänien USR, der drittgrößten Partei im rumänischen Parlament, stimmen online bis Mittwoch ab, ob der Parteivorsitzende Dan Barna im Amt bleiben soll, oder nicht. Dan Barna hat angekündigt, dass er zurücktreten werde, wenn die USR-Mitglieder ihm das Vertrauen entziehen würden. Die Konsultation erfolgt nach dem ersten Wahlgang der Präsidentschaftswahlen, bei dem Dan Barna, der Kandidat der Allianz USR-PLUS, auf dem 3. Platz landete und sich damit nicht in der entscheidenden Runde qualifizieren konnte. Dan Barna hat im ersten Wahlgang der Präsidentschaftswahlen 15% der Stimmen erhalten. Bei der Europawahl am 26. Mai hatte die Union Rettet Rumänien USR 22% der abgegebenen Stimmen bekommen.



    Der ehemalige Finanzminister Sebastian Vlădescu ist von der Nationalen Antikorruptionsbehörde DNA in einem Korruptionsverfahren wegen Annahme von Bestechung und Einflussnahme auf die Instandsetzung einiger Eisenbahnstrecken angeklagt worden. Im gleichen Verfahren wurde auch der ehemalige rumänische Abgeordnete Cristian Boureanu, dem Einflusshandel vorgeworfen wird, vor Gericht gestellt. Laut einer DNA-Mitteilung geht es um Korruptionsdelikte, die zwischen 2005 und 2017 begangen wurden, bzw. um Zahlungen eines ausländischen Unternehmens in Höhe von rund 20 Millionen Euro als Provision an rumänische Beamte für Verträge zur Instandsetzung von Eisenbahnstrecken.



    Die rumänische Polizei hat in der letzten Woche Einsätze durchgeführt, um 13 international verfolgte Personen in das Land zu bringen, teilte das Generalinspektorat der rumänischen Polizei am Samstag mit. Es wurden 5 Personen aus dem Vereinigten Königreich, 2 aus Deutschland, 2 aus Belgien sowie je eine Person aus Frankreich, Italien, Österreich und Slowenien ausgeliefert. Um die Vollstreckung der Strafe in Rumänien fortzusetzen, wurden 7 Verurteilte aus dem Ausland nach Rumänien gebracht: 2 aus der Slowakei, 1 aus Belgien, 2 aus Deutschland und 2 aus Österreich. Außerdem wurden 11 international gesuchte Personen an internationale Partner Rumäniens ausgeliefert: 3 in Österreich, 2 in Belgien, 2 in der Republik Moldau und je eine Person in Frankreich, Deutschland, Ungarn und im Vereinigten Königreich.



    20 ausländische Staatsbürger sind von der rumänischen Grenzpolizei nach einer Kontrollaktion an der Grenze zu Ungarn entdeckt worden. 11 von ihnen stammten aus Afghanistan, dem Iran und Somalia und wurden in einem nicht bewohnten, noch im Bau befindenden Gebäude gefunden. Die Migranten im Alter zwischen 17 und 37 Jahren beabsichtigten, illegal über die Grenze nach Ungarn zu gehen, um dann einen westeuropäischen Staat zu erreichen. In einer weiteren Kontrollaktion fanden die rumänischen Grenzschutzbeamte 9 Staatsbürger der Türkei und des Irak, darunter zwei Minderjährige, die versuchten, illegal in den Westen zu gelangen.



    230 Tourismusunternehmen aus 16 Ländern sind bis Sonntag auf der größten Tourismusmesse Rumäniens vertreten, die in Bukarest stattfindet. Die Touristikmesse bringt Reisebüros, Reiseveranstalter sowie Tourismusgebiete zusammen, die durch Profilverbände oder Landkreisräte vertreten sind. Die Besucher können Ferienaufenthalte für den Winter 2019, aber auch für die Sommersaison 2020 buchen; die Aussteller sagten, sie werden bei bestimmten Ferienpaketen bis zu 45% Rabatt anbieten.

  • 15.11.2019 (mise à jour)

    15.11.2019 (mise à jour)

    Election présidentielle — Début, en Roumanie, de la campagne électorale pour le second tour du scrutin présidentiel, prévu le 24 novembre. La campagne, elle, prendra fin le 23 novembre, à 7 heures du matin. Les deux candidats qui restent en lice sont l’actuel président, Klaus Iohannis, soutenu par le PNL, et la cheffe de file du PSD et ex-première ministre, Viorica Dancila. Selon le résultat final communiqué jeudi par le Bureau électoral central, Klaus Iohannis a remporté le premier tour du scrutin présidentiel avec 37,82% des voix, suivi par Viorica Dancila avec 22,26%. Comme au premier tour de scrutin, les Roumains de l’étranger auront 3 jours à leur disposition pour voter : à commencer par le vendredi 22 novembre de midi à 21h, heure locale, puis le samedi 23 et le dimanche 24 novembre de 7h du matin à 21h, heure locale.



    USR — Le membres de l’Union Sauvez la Roumanie, la 3e formation politique au Parlement de Bucarest, doivent décider si leur actuel leader, Dan Barna, reste — oui ou non — à la tête du parti. Le vote commence ce vendredi et s’étalera sur 5 jours. Pour sa part, Dan Barna a fait part de son intention de se retirer s’il perd la confiance des membres de l’USR. Cette consultation survient après le premier tour du scrutin présidentiel, lors duquel le leader de l’USR s’est classé 3e, ratant la qualification au second tour.



    Justice — En Roumanie, l’ancien ministre des Finances Sebastian Vlădescu a été renvoyé devant la justice par le Parquet national anticorruption (la DNA) pour pots-de-vin et trafic d’influence, dans une affaire de corruption relative à la réhabilitation de certains tronçons de voie ferrée. Accusé de trafic d’influence, l’ancien député Cristian Boureanu a également été renvoyé devant la justice dans la même affaire. Selon un communiqué de la DNA, le dossier a trait à des infractions de corruption perpétrées entre 2005 et 2017, respectivement des paiements d’environ 20 millions d’euros par une compagnie étrangère à titre de commissions à des responsables roumains en lien avec la conclusion et l’exécution de contrats de réhabilitation de la voie ferrée.



    Commémoration — Les souffrances que les héros de la lutte anticommuniste de Roumanie ont connues ne doivent pas être oubliées, a souligné le premier ministre roumain Ludovic Orban dans un message à la cérémonie de commémoration des victimes de la révolte ouvrière anticommuniste éclatée il y a 32 ans à Brasov (centre). Nous tous, la société, les institutions, la classe politique, nous avons le devoir et la responsabilité de les apprécier et de les défendre, a ajouté le chef du cabinet de Bucarest. Rappelons-le, le 15 novembre 1987, les ouvriers d’une usine de Brasov ont protesté contre la direction et ont scandé des slogans contre le dictateur Nicoale Ceausescu. La révolte a été étouffée par la violence. Dans les jours qui ont suivi, des centaines de personnes ont été arrêtées, plusieurs n’étant jamais rentrées dans la ville. Le Parquet militaire a enquêté sur la répression qui a suivi après la révolte ouvrière. En 2018, le dossier des tortionnaires des ouvriers de Brasov a été transféré à la Section spéciale d’investigation des magistrats. Incluses dans le dossier appelé « Les crimes du communisme », les investigations des procureurs portent sur des infractions contre l’humanité, commises par les personnes qui ont agi de manière répressive systématique contre les manifestants.



    Foire — Huit compagnies roumaines ont exposé des produits et des services dans les domaines de l’électronique, des logiciels et de l’automatisation à la plus grande foire mondiale dans le domaine du développement et de la production de produits électroniques, Productonica. Elle a eu lieu à Munich du 12 au 15 novembre. Selon un communiqué du ministère de l’Economie, les hommes d’affaires roumains ont eu des rencontres avec des représentants de compagnies de production et de distribution d’Allemagne, de pays de l’UE, mais aussi non communautaires, avec des associations de profil et des représentants de la presse de spécialité. Les compagnies roumaines ont exposé aux côtés d’environ 2500 sociétés d’une cinquantaine de pays.



    Marché de Noël — Ouverture, ce vendredi, à Sibiu (centre), de son traditionnel Marché de Noël considéré comme le plus bel événement de ce type de Roumanie. Une centaine de maisonnettes en bois proposeront aux visiteurs de la Grand Place de Sibiu des cadeaux spécifiques à la saison et des plats traditionnels. Les enfants sont invités à un mini-parc d’attractions et à l’Atelier de Père Noël mais aussi sur la patinoire artificielle aménagée sur place. Arrivé à sa 13e édition, le Marché de Noël de Sibiu est devenu une véritable marque touristique du pays, attirant chaque année plus de 100.000 visiteurs de Roumanie et de l’étranger.

  • Accords politiques pour un nouveau gouvernement

    Accords politiques pour un nouveau gouvernement

    Les
    commissions spécialisées du législatif roumain ont démarré ce mardi l’audition
    des candidats aux fonctions de ministres du gouvernement monocolore proposé par
    le premier ministre désigné, le libéral Ludovic Orban. S’étendant sur deux
    jours, les auditions seront suivies par le vote d’investiture du plénum du
    Législatif, prévu pour ce lundi le 4 novembre.

    Le premier candidat à répondre
    aux questions des sénateurs et députés membres des commissions parlementaires a
    été celui nominé au poste de ministre des Fonds européens. Mardi également, au
    programme des auditions figurent aussi les candidats aux portefeuilles de la
    Santé, de la Culture et de la Défense. L’intérêt
    pour l’audition du candidat aux fonctions de ministre des Finances est majeur, étant
    donné les rumeurs apparues dernièrement sur l’introduction imminente par le
    gouvernement libéral de mesures sévères d’austérité : baisse des salaires
    et licenciements collectifs dans le secteur public.

    Entre temps, le premier
    ministre désigné, Ludovic Orban est convaincu que son exécutif bénéficiera de l’appui
    nécessaire au Parlement, après la signature, justement, d’accords politiques
    avec plusieurs partis parlementaires. Le cabinet libéral devrait obtenir ainsi
    les 233 votes nécessaires pour remplacer le gouvernement social-démocrate de
    Viorica Dancila, destitué ce 10 octobre par motion de censure. Après avoir
    signé des accords avec l’Union Sauvez la Roumanie, l’Union démocrate magyare de
    Roumanie, le Parti du mouvement populaire, l’Alliance des libéraux et des
    démocrates, ainsi qu’avec les minorités nationales, Ludovic Orban a précisé que : « Nous
    avons dépassé le cible de 233 élus nationaux à soutenir l’investiture du
    gouvernement. Certes, les négociations se poursuivent parce que nous voulons obtenir
    une certaine marge, en cas d’absence inattendue de sénateurs et députés à la
    réunion du Législatif »
    a déclaré Ludovic Orban.


    Aux
    termes de l’accord politique entre le Parti national libéral et l’Union Sauvez
    la Roumanie, les deux partis s’engagent, entre autres, à soutenir l’adoption de
    l’initiative citoyenne de l’Union Sauvez la Roumanie qui vise à interdire la nomination
    dans des fonctions publiques de
    personnes ayant de démêlées avec la Justice. Un retour à l’élection des maires
    suite à deux tours de scrutin est également prévu dans l’accord entre les deux
    partis. Par ailleurs, le Parti national libéral a promis à l’Union démocrate
    magyare de ne pas adopter des décrets d’urgence ni dans le domaine de la Justice,
    ni dans celui du système électoral. L’Alliance des libéraux et des démocrates
    souhaite que la législation relative à la Justice soit modifiée uniquement par
    débat au Parlement et que le nouveau gouvernement interdise la migration des
    élus nationaux et locaux.

    Enfin, le Parti du mouvement populaire exige en
    échange de son appui au gouvernement libéral l’élimination des pensions de
    retraite des dignitaires, à l’exception des militaires et la relance d’une relation particulièrement serrée avec la République
    de Moldova. Enfin, le parti Pro România, formé surtout d’anciens membres du PSD
    attend jusqu’à la fin de l’audition des candidats aux fauteuils ministériels
    pour annoncer s’il participe, oui ou non, au vote d’investiture. Pour sa part,
    le PSD promet de ne pas transformer l’audition des éventuels ministres libéraux
    en une vendetta politique, mais annonce que se élus nationaux ne
    participeraient pas à la réunion plénière du Parlement.

    En l’absence d’un
    quorum, la réunion des deux chambres du Parlement sera suspendue et le gouvernement
    automatiquement rejeté. L’avis des commissions spécialisées a un caractère
    purement consultatif et une décision finale au sujet du gouvernement dirigé par
    Ludovic Orban sera prise le 4 novembre.

  • 28.10.2019

    28.10.2019

    Gouvernement – Les
    bureaux permanents des deux chambres du Parlement du Bucarest ont décidé lundi
    le calendrier d’investiture du futur cabinet du libéral Ludovic Orban. Les audiences
    des ministres auront lieu mardi et mercredi et le Sénat et la Chambre des
    députés se réuniront le 4 novembre pour voter la composition du nouveau
    gouvernement et son programme de gouvernance. Le premier ministre désigné, Ludovic
    Orban, a proposé un cabinet composé de 16 ministres, un vice-premier ministre
    et un secrétaire général du gouvernement. Son programme de gouvernance prévoit,
    parmi d’autres mesures, le maintien du taux unique d’imposition, ainsi que la
    correction des lois du domaine économique et judiciaire. L’Union sauvez la
    Roumanie et l’Alliance des libéraux et des démocrates ont déclaré être parvenus
    à un accord politique avec le Parti national libéral, dont ils soutiendront le
    gouvernement. Les minorités nationales semblent incliner aussi du côté du libéral
    Orban, l’Union démocrate magyare de Roumanie devant confirmer sa position dans
    le courant de la journée. Le Parti du mouvement populaire a également annoncé
    son soutien, sous certaines conditions. Les représentants du Parti social-démocrate
    et de PRO România se sont, eux, exprimés contre le cabinet Orban. Rappelons que
    le nouveau gouvernement a besoin de 233 votes pour être validé et succéder alors
    au cabinet social-démocrate de Viorica Dăncilă, destituépar
    motion de censure.




    Brexit – Les ambassadeurs des 27 Etats
    membres de l’Union européenne ont accepté la demande de la Grande Bretagne de
    prolongation du terme de sortie du pays de l’espace communautaire. Le premier
    ministre britannique Boris Johnson demandera aujourd’hui au Parlement du Royaume-Uni
    l’accord pour organiser des élections anticipées à la mi-décembre. L’opposition
    avait annoncé qu’elle acceptera l’organisation d’élections anticipées
    uniquement dans le cas d’un report du Brexit par l’Union européenne. Aujourd’hui
    sans majorité dans la Chambre des communes, le premier ministre Boris Johnson
    espère un changement de cap avec ces élections. Mais, remarquent les agences de
    presses, c’est un objectif difficile à atteindre dans un Parlement divisé et
    peu disposé à accepter des compromis. Selon la loi anglaise, il faut le vote des
    deux tiers des députés pour déclencher les élections anticipées. Mais, de leur
    côté, les Travaillistes réclament une extension plus longue du Brexit, pour exclure
    toute possibilité de départ du bloc communautaire sans accord. Selon eux,
    accepter l’organisation d’un scrutin dans le futur proche serait une énorme
    erreur.










    Armée – Le drapeau de la Roumanie sera arboré au plus haut point du pays, le
    sommet Moldoveanu des Monts Făgăraş, qui s’élève à 2544m d’altitude. L’expédition, formée
    d’employés du ministère de la Défense nationale et du ministère de l’Intérieur secondés
    par une équipe d’alpinistes, se déroulera dans les deux jours à venir. Elle clôture
    les activités dédiées à la Journée de l’armée roumaine – fêtée le 25 octobre -
    et à la Journée des chasseurs de montagne. Plus de 30 militaires et agents de
    police participent à cette opération.






    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Simona Halep (5 WTA) jouera aujourd’hui son
    premier match au Tournoi des championnes à Shenzhen en Chine. Elle affrontera la
    Canadienne d’origine roumaine Bianca Andreescu (4 WTA). L’actuel système du Tournoi
    des championnes prévoit la participation des huit meilleures joueuses au monde,
    partagéee dans deux groupes. Dans le groupe de Simona Halep, aux côtés de Bianca
    Andreescu, il y a aussi Karolina Pliskova (2 WTA) de République tchèque et Elina
    Svitolina (8 WTA) d’Ukraine. Dimanche, lors du premier jour de la compétition, dans
    l’autre groupe du tournoi, l’Australienne Ashleigh Barty (1ère WTA) a vaincu la
    Suisse Belinda Bencic (7 WTA) et la japonaise Naomi Osaka (3 WTA) a battu la
    Thcèque Petra Kvitova (6 WTA).






    Météo – Temps maussade sur le nord-ouest et le nord de la Roumanie, où
    l’on signale des pluies faible. Ailleurs dans le pays, le ciel est variable. Le
    vent est faible à modéré, avec des intensifications en altitude. Les températures
    baissent légèrement par rapport à hier, mais restent toujours au-dessus des
    moyennes saisonnières dans la plupart du pays, avec des maximales allant de 16
    à 23°C. Les météorologues annoncent néanmoins une masse d’air polaire qui
    gagnera l’Europe, d’est en ouest, à partir de ce soir. En Roumanie, le
    refroidissement se fera sentir à partir de mardi dans le nord-ouest, le nord et
    le centre du pays, pour couvrir tout le territoire jusqu’à mercredi. 16°C à
    midi à Bucarest.



  • Nachrichten 19.10.2019

    Nachrichten 19.10.2019

    Die sterblichen Überreste der Königin Mutter Elena sind am Samstag in der königlichen Nekropole im Kloster Curtea de Argeş im Süden des Landes bestattet worden. Die aus der griechischen Königsfamilie stammende Königin Elena heiratete 1921 Prinz Carol von Rumänien, den späteren König Carol II. Die Ehe wurde sieben Jahre später aufgrund der Untreue ihres Ehemannes geschieden. Königin Elena widmete sich der Erziehung ihres einzigen Sohnes, König Michael I. Während der sieben Jahren als König Michael I. der Herrscher Rumäniens war, war die Königin Mutter Elena die engste Beraterin und Vertraute des Königs. Januar 1948 verließen Königin Elena und Ihr Sohn Michael Rumänien für immer. Unter dem Druck und den Drohungen der in Bukarest etablierten neuen kommunistischen Macht war König Michael gezwungen, abzudanken. In einer Erklärung des Königshauses von Rumänien heißt es, dass die Königin Mutter Elena nun nach sieben Jahrzehnten für immer nach Rumänien zurückkehrt.



    Der designierte Premierminister Rumäniens und Vorsitzende der National-Liberalen Partei PNL, Ludovic Orban, führte diese Woche eine erste Gesprächsrunde mit den Parteien, die das Misstrauensvotum gegen die sozialdemokratische Regierung unterstützt haben, um genügend Stimmen für ein neues Kabinett zu erhalten. Notwendig sind 233 von insgesamt 465 Stimmen. Der Vorsitzende der Union Rettet Rumänien USR, Dan Barna, hat am Freitag nach Verhandlungen mit Vertretern der National-Liberalen Partei PNL erklärt, dass es eine ausdrückliche Offenheit des designierten Premierministers Ludovic Orban für die von der USR unterstützten Maßnahmen gebe und dass dies eine erste Diskussion sei. Nächste Woche werde eine weitere Runde von Konsultationen stattfinden, weil die USR sehen möchte, wie sich die Liberalen in Bezug auf mehrere Vorschläge der Union Rettet Rumänien positionieren werden. Der designierte Premierminister Ludovic Orban hat seinerseits darauf hingewiesen, dass die beiden Parteien alte Partner sind und er auf die Unterstützung der USR für die neue Regierung zählt. Am Donnerstag hatten die National-Liberalen Konsultationen mit der Allianz der Liberalen und Demokraten ALDE, der Demokratischen Union der Ungarn in Rumänien UDMR und der Partei Pro-Rumänien Pro Romania. Die Abgeordneten, die die Gruppe der ethnischen Minderheiten vertreten, haben bereits gesagt, dass sie ein mögliches Orban-Kabinett unterstützen werden. Am Mittwoch fanden Gespräche mit der Partei Volksbewegung PMP statt, die Ludovic Orban als ermutigend bezeichnete, da auch die Möglichkeit diskutiert wurde, dass diese Partei in der Regierung vertreten sein könnte. Nächste Woche wird der designierte Premierminister weitere Gespräche mit Vertretern der politischen Parteien, der Zivilgesellschaft und der wichtigsten staatlichen Einrichtungen führen. Es wird erwartet, dass Ludovic Orban im Parlament die Liste der Minister und das Regierungsprogramm vorlegt. Die Soziademokraten von der PSD sollen laut eigenen Angaben bei der Abstimmung nicht im Parlament anwesend sein, damit das notwendige Quorum nicht erreicht wird.



    Der spanische Innenminister Fernando Grande-Marlaska hat angekündigt, dass gewalttätige Demonstranten in Katalonien nach spanischem Recht Haftstrafen von bis zu 6 Jahren riskieren könnten, berichtet die Nachrichtenagentur Reuters. Nach Angaben der Stadtpolizei kamen am Freitag rund 525.000 Menschen in Barcelona an. In der Region Katalonien, im Nordosten Spaniens, gab es in den letzten 5 Tagen gewalttätige Demonstrationen. Der jüngste offizielle Bericht gibt bekannt, dass bei den Protesten am Freitag etwa 200 Menschen verletzt und fast 100 verhaftet wurden. Die Revolte wurde durch die Verurteilung von 9 katalanischen separatistischen Führern zu Freiheitsstrafen von 9 bis 13 Jahren durch die spanische Justiz ausgelöst. Bei den Verurteilungen ging es um die Rolle, die die Separatisten bei dem seit Herbst 2017 gescheiterten Versuch, die regionale Unabhängigkeit zu verkünden, gespielt haben. Zu den verurteilten separatistischen Führern gehören mehrere Mitglieder der ehemaligen Regionalexekutive, die nach einem Referendum, das von den Madrider Behörden für illegal erklärt wurde, entlassen wurden.



    Die Fregatte König Ferdinand mit einem Hubschrauber der Puma Naval und einer Gruppe von Marinekräften für Sondereinsätze an Bord beteiligt sich bis zum 7. November an einer neuen NATO-Mission im Mittelmeer. Nach einer Erklärung der rumänischen Seestreitkräfte besteht das Hauptziel der Operation Sea Guardian 19 darin, illegale Aktivitäten an der Südflanke der NATO und der EU durch Maßnahmen zur Überwachung des Seeverkehrs zu verhindern. Während der Mission hält die Fregatte König Ferdinand an den Häfen von Aksaz (Türkei), Alexandria (Ägypten), Haifa (Israel) und Limassol (Zypern). Zum ersten Mal luden die rumänischen Seestreitkräfte Mitglieder der lokalen rumänischen Gemeinschaften aus Ägypten, Israel und Zypern zu einem Besuch der Fregatte ein. Vom 9. bis 20. November nimmt König Ferdinand an der von der Türkei organisierten multinationalen Übung Dogu Akdeniz teil.

  • 15.10.2019

    15.10.2019

    Consultations – Le président roumain, Klaus Iohannis reçoit aujourd’hui aussi les représentants des partis parlementaires en vue de la nomination d’un premier ministre et de la création d’un nouveau gouvernement. Les consultations ont commencé vendredi, le lendemain de la destitution du cabinet Viorica Dancila par motion de censure et se sont poursuivies ce lundi. Aujourd’hui le chef de l’Etat doit rencontrer les leaders de l’Union sauvez la Roumanie, de l’Union démocrate magyare de Roumanie et du Parti national libéral. Suite aux négociations déroulées jusqu’ici le futur cabinet sera issu des rangs ou créé autour du Parti national libéral, qui envisage une équipe gouvernementale formée de 16 ministres tout au plus. D’ailleurs, les libéraux ont déjà annoncé qu’ils étaient prêts à assumer la gouvernance du pays et proposent pour les fonctions de premier ministre le leader de leur parti, Ludovic Orban. L’USR souhaite organiser des élections anticipées et évoque certaines conditions en échange de l’appui du futur gouvernement, parmi lesquelles l’introduction d’un deuxième tour de scrutin aux élections municipales. Cette mesure est contestée par l’Union démocrate magyare de Roumanie qui souhaite toujours que les maires des villes et des communes soient élus suite à un seul tour de scrutin. Pro Romania, le parti de l’ex premier ministre Victor Ponta affirme qu’il soutiendrait tous les projets bénéfiques du prochain gouvernement. Le Parti du mouvement populaire se dit prêt à faire partie d’une coalition gouvernementale, uniquement si celle-ci exclut dès le début toute participation de l’Alliance des libéraux et des démocrates et de Pro România. Enfin, l’Alliance des libéraux et des démocrates ne souhaite pas faire partie d’un nouveau gouvernement et promet de soutenir un gouvernement constitué exclusivement par le Parti national libéral. L’unique parti à ne pas participer aux consultations avec le chef de l’Etat a été le Parti social-démocrate, qui votera contre le futur gouvernement, selon la cheffe des sociaux-démocrates, Viorica Dancila.

    Prix – Un moniteur des prix des denrées alimentaires a été lancé aujourd’hui en Roumanie. Il s’agit d’une plate-forme censée aider les Roumains à comparer les prix affichés par certains supermarchés à travers le pays. Le public aura la possibilité de choisir parmi quelque 30 mille produits, soit la moitié des produits alimentaires commercialisés actuellement. Ce projet est similaire à celui qui compare le prix des carburants, lancé en juin dernier. Cette plate forme est aussi à retrouver en tant qu’application mobile et enligne sur le site : monitorulpreţurilor.info

    Défense – Les représentants des ministères de la défense de l’Europe du sud-est se réunissent mercredi à Bucarest. Selon un communiqué du ministère roumain de la défense, dans le cadre de cet évènement Bucarest reconfirme son engagement de participer aux projets déroulés au sein de cette initiative qui devrait devenir la principale formule de coopération militaire en Europe du Sud-est. Cette plate-forme facilite le dialogue politique et militaire et la participation à des projets pratiques du domaine de la sécurité et de la stabilité régionale.

    Foot – La sélection nationale de foot de Roumanie affronte aujourd’hui à Bucarest la Norvège, dans le groupe F des préliminaires de l’Euro 2020. L’Espagne domine le groupe avec 19 points, suivie par la Suède avec 14 points et par la Roumanie avec 13 points. Les deux premiers pays de chaque groupe auront accès au tournoi final. Par ailleurs, la sélection des moins de 21 ans de Roumanie a disposé ce lundi dans la soirée de l’Irlande du nord sur le score de 3 buts à 0 dans le 8e groupe des préliminaires du Championnat d’Europe de football espoirs qui se déroulera en 2021. Jeudi, la Roumanie avait battu l’Ukraine sur le même score 3 à 0.

  • 10.10.2019 (mise à jour)

    10.10.2019 (mise à jour)

    Motion de censure – Le président Klaus Iohannis a annoncé l’organisation ce vendredi d’un premier round de consultations avec les partis parlementaires en vue de la création d’un nouveau gouvernement, après l’adoption ce jeudi d’une motion de censure contre le gouvernement de la premier ministre social-démocrate Viorica Dancila. Elle a demandé d’ailleurs au chef de l’Etat de nominer au plus vite un nouveau premier ministre, à même d’assumer la gouvernance. 238 sénateurs et députés ont voté pour la motion et six seulement contre sur les 399 élus nationaux présents. Sous le titre « Pour reconstruire la Roumanie le gouvernement Dancila doit être destitué d’urgence », la motion porte la signature de 237 Sénateurs et Députés membres du Parti national libéral, de l’Union sauvez la Roumanie, du Parti du mouvement populaire, de l’Union démocrate magyare de Roumanie, de Pro Romania et de l’Alliance des libéraux et des démocrates. Deux députés du groupe des minorités nationales, un député indépendant et même quatre élus sociaux-démocrates ont également signé la motion. Le cabinet Dancila serait le gouvernement le plus nocif des 30 dernières années, affirment les initiateurs de la motion, qui précisent qu’après sa destitution, ils comptent adopter un programme de gouvernance responsable, ciblé sur le développement et la modernisation du pays et qui vise une réelle prospérité pour chaque roumain. Par ailleurs, la cheffe du cabinet de Bucarest et les autres leaders du PSD accusent l’Opposition de ne pas proposer de solutions alternatives.

    Statistiques – L’Institut national de la statistique a révisé à la baisse de 4,6 à 4,5 % ses estimations sur la croissance du Produit intérieur brut durant le deuxième trimestre de cette année par rapport à la période similaire de l’année dernière. La Banque Mondiale a pourtant amélioré ses estimations sur l’évolution de l’économie roumaine pour les années à venir. L’institution tire la sonnette d’alarme quant au risque d’une progression des inégalités salariales. Sur la liste des priorités du gouvernement devrait figurer aussi la réduction du taux de chômage parmi les jeunes et parmi les ouvriers à faible qualification et toute une série de réformes dans l’administration publique et au sein des compagnies d’Etat.

    Holocauste – La Roumanie a fait un pas important par la création d’un musée national des Juifs et de l’Holocauste, a affirmé aujourd’hui l’ambassadeur américain à Bucarest, Hans Klemm. L’institution sera un symbole du développement constant de la Roumanie en tant que nation et société démocratique, une raison de fierté pour tous les Roumains, a ajouté le diplomate américain. Il a déploré pourtant le fait que malgré cet accomplissement historique, la rhétorique antisémite et anti-rom soit toujours présente dans le discours public. Ce qui plus est, la commémoration de figures historiques antisémites et fascistes se déroule toujours dans les villes et les villages de Roumanie, alors que les lieux sacrés des Juifs sont périodiquement vandalisés a rappelé M Klemm, soulignant pourtant que l’antisémitisme n’était pas une réalité spécifiquement roumaine. Mardi, le président roumain Klaus Iohannis a promulgué une loi portant sur la création d’un Musée national de l’histoire des Juifs et de l’Holocauste en Roumanie.

    Documents – A la fin septembre 280 mille ressortissants roumains avaient déposé leurs dossiers en vue de l’obtention d’un statut de résident post-Brexit au Royaume Uni, fait savoir le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest. Il s’agit d’environ 64% du nombre total de citoyens roumains qui habitent en Grande Bretagne, selon les estimations. Les Roumains seraient ainsi la deuxième communauté de ressortissants européens la plus nombreuse à déposer de telles demandes. L’exécutif de Bucarest maintient un dialogue permanent tant avec les autorités britanniques qu’avec les institutions européennes et les Etats membres pour que les droits des citoyens roumains soient respectés après le Brexit.

    Foot – La sélection nationale de foot de moins de 21 ans reçoit aujourd’hui à Ploiesti, dans le sud, la visite de l’Ukraine dans un match du 8e groupe des préliminaires de l’Euro 2021. Lundi, les roumains affrontent l’Irlande. La Roumanie s’était inclinée face au Danemark 1 but à 2. Côté séniors, la sélection nationale de foot affronte samedi les Iles Féroé et la Norvège mardi dans le groupe F des préliminaires de l’Euro 2020. La capitale roumaine accueillera d’ailleurs quatre matchs dans le cadre de cette compétition.

    Météo – Températures à la baisse à l’intérieur de l’arc des Carpates où le ciel est plutôt couvert avec quelques pluies. Ciel variable sur le reste du territoire avec quelques pluies et phénomènes orageux. Les températures vont de 15 à 26 degrés avec 20 degrés en ce moment à Bucarest.

  • 10.10.2019

    10.10.2019

    Motion de censure – A Bucarest, les sénateurs et députés roumains ont débattu et sont en train de voter la motion de censure déposée par l’opposition libérale contre le gouvernement social-démocrate de la première ministre Viorica Dancila. Le cabinet est désormais minoritaire après le passage aux rangs de l’opposition de l’Alliance des libéraux des démocrates, partenaire jusqu’au mois dernier des sociaux-démocrates, au pouvoir depuis 2016. Sous le titre « Pour reconstruire la Roumanie le gouvernement Dancila doit être destitué d’urgence », la motion porte la signature de 237 Sénateurs et Députés membres du Parti national libéral, de l’Union sauvez la Roumanie, du Parti du mouvement populaire, de l’Union démocrate magyare de Roumanie, de Pro Romania et de l’Alliance des libéraux et des démocrates. Deux députés du groupe des minorités nationales, un député indépendant et même quatre élus sociaux-démocrates ont également signé la motion. Le cabinet actuel serait le gouvernement le plus nocif des 30 dernières années, affirment les initiateurs de la motion, qui précisent qu’après sa destitution, ils comptent adopter un programme de gouvernance responsable, ciblé sur le développement et la modernisation du pays et qui vise une réelle prospérité pour chaque roumain. Par ailleurs, la cheffe du cabinet de Bucarest et les autres leaders du PSD accusent l’Opposition de ne pas proposer de solutions alternatives. Ils se disent persuadés que le cabinet survivra à la motion. D’ailleurs, pour qu’elle soit adoptée, la motion devrait recenser 233 voix.

    Statistiques – L’Institut national de la statistique a révisé à la baisse de 4,6 à 4,5 % ses estimations sur la croissance du Produit intérieur brut durant le deuxième trimestre de cette année par rapport à la période similaire de l’année dernière. La Banque Mondiale a pourtant amélioré ses estimations sur l’évolution de l’économie roumaine pour les années à venir. L’institution tire la sonnette d’alarme quant au risque d’une progression des inégalités salariales. Sur la liste des priorités du gouvernement devrait figurer aussi la réduction du taux de chômage parmi les jeunes et parmi les ouvriers à faible qualification et toute une série de réformes dans l’administration publique et au sein des compagnies d’Etat.

    Holocauste – La Roumanie a fait un pas important par la création d’un musée national des Juifs et de l’Holocauste, a affirmé aujourd’hui l’ambassadeur américain à Bucarest, Hans Klemm. L’institution sera un symbole du développement constant de la Roumanie en tant que nation et société démocratique, une raison de fierté pour tous les Roumains, a ajouté le diplomate américain. Il a déploré pourtant le fait que malgré cet accomplissement historique, la rhétorique antisémite et anti-rom soit toujours présente dans le discours public. Ce qui plus est, la commémoration de figures historiques antisémites et fascistes se déroule toujours dans les villes et les villages de Roumanie, alors que les lieux sacrés des Juifs sont périodiquement vandalisés a rappelé M Klemm, soulignant pourtant que l’antisémitisme n’était pas une réalité spécifiquement roumaine. Mardi, le président roumain Klaus Iohannis a promulgué une loi portant sur la création d’un Musée national de l’histoire des Juifs et de l’Holocauste en Roumanie.

    Documents – A la fin septembre 280 mille ressortissants roumains avaient déposé leurs dossiers en vue de l’obtention d’un statut de résident post-Brexit au Royaume Uni, fait savoir le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest. Il s’agit d’environ 64% du nombre total de citoyens roumains qui habitent en Grande Bretagne, selon les estimations. Les Roumains seraient ainsi la deuxième communauté de ressortissants européens la plus nombreuse à déposer de telles demandes. L’exécutif de Bucarest maintient un dialogue permanent tant avec les autorités britanniques qu’avec les institutions européennes et les Etats membres pour que les droits des citoyens roumains soient respectés après le Brexit. Foot – La sélection nationale de foot de moins de 21 ans reçoit aujourd’hui à Ploiesti, dans le sud, la visite de l’Ukraine dans un match du 8e groupe des préliminaires de l’Euro 2021. Lundi, les roumains affrontent l’Irlande. La Roumanie s’était inclinée face au Danemark 1 but à 2. Côté séniors, la sélection nationale de foot affronte samedi les Iles Féroé et la Norvège mardi dans le groupe F des préliminaires de l’Euro 2020. La capitale roumaine accueillera d’ailleurs quatre matchs dans le cadre de cette compétition.

    Météo – Températures à la baisse à l’intérieur de l’arc des Carpates où le ciel est plutôt couvert avec quelques pluies. Ciel variable sur le reste du territoire avec quelques pluies et phénomènes orageux. Les températures vont de 15 à 26 degrés avec 20 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Die Opposition stellt Misstrauensantrag gegen die Regierung Dăncilă

    Die Opposition stellt Misstrauensantrag gegen die Regierung Dăncilă

    Mehr als einen Monat ist es her, dass die Allianz der Liberalen und Demokraten ALDE die Regierungskoalition mit der Sozialdemokratischen Partei PSD gebrochen hat, und die Oppositionsparteien haben erst jetzt ihre Drohung in die Tat umgesetzt, einen Misstrauensantrag gegen das Regierungskabinett der PSD-Vorsitzenden Viorica Dăncilă zu stellen.



    Die National-Liberalen von der PNL, Initiatoren des Misstrauensantrags mit dem Titel Um Rumänien wieder aufzubauen, muss die Regierung Dăncilă dringend entlassen werden, erhielten 237 Unterschriften, 4 mehr als die für die Entlassung der Exekutive erforderlichen Stimmen. Den Misstrauensantrag unterzeichneten Parlamentsmitglieder aus dem gesamten politischen Spektrum – PNL, USR, PRO Romania, PMP und ALDE. Auf der Liste stehen auch Vertreter der nationalen Minderheiten, die in der Regel an der Seite der Regierung stehen, und sogar Mitglieder der Sozialdemokratischen Partei PSD.



    Der PNL-Vorsitzende Ludovic Orban erklärte, warum das Kabinett Dăncilă gehen muss:


    Wir haben derzeit keine Regierung, sondern einen Regierungsrest, der nicht über die Fähigkeit, Autorität und Kompetenz verfügt, Missstände und Herausforderungen, mit denen Rumänien konfrontiert wird, zu lösen.



    Die Sozialdemokraten ihrerseits sind zuversichtlich, dass der Misstrauensantrag im Parlament scheitern wird, weil die Oppositionsparteien kein Regierungsprogramm und keinen Premierminister vorschlagen. Die PSD behauptet, sie sei bereit, die Opposition zu stoppen. Viorica Dăncilă warnte ihre eigenen Parlamentarier, nicht in das gegnerische Lager zu gehen:



    Diejenigen, die für den Misstrauensantrag abstimmen werden, verraten die Sozialdemokratische Partei, sie verraten die Hoffnung der Bürgermeister, die ihre Projekte umsetzen wollen, sie verraten die Stabilität dieses Landes, und das kann man nicht verzeihen.



    Es ist ein heikler Moment für die Minderheitsregierung der PSD, die nach dem Ausscheiden der Liberaldemokraten von ALDE nur wegen des Zögerns der Oppositionsparteien an der Macht bleiben konnte. Die Nationalliberale Partei PNL hat sich bemüht, möglichst viele Unterschriften zu sammeln, weil sie bei früheren Versuchen, die Regierung zu entlassen gescheitert war. Die PNL hatte damals am Ehrenwort von Parlamentariern geglaubt, die versprochen hatten, für den Misstrauensantrag zu stimmen, aber dies schließlich nicht taten. Auch diesmal könnten Überraschungen auftauchen, aber nach Ansicht von politischen Kommentatoren gibt es keinen besseren Zeitpunkt, das Regierungskabinett von Viorica Dăncilă zu entlassen. Was tatsächlich passieren wird, kann niemand voraussehen.



    Noch komplizierter wird die gesamte Situation durch die bevorstehenden Präsidentschaftswahlen, deren zwei Wahlgänge für den 10. und den 24. November geplant sind. Die Variante einer vorgezogenen Parlamentstwahl wird von den wichtigsten Oppositionsparteien PNL und USR, unterstützt, die sagen, sie wollen die Regierung durch die Abstimmung des rumänischen Volkes übernehmen. In den drei Jahrzehnten der postkommunistischen Demokratie gab es jedoch in Rumänien keine Parlamentswahlen vor Ablauf der Frist. Die Parlamentswahlen sind für das nächste Jahr geplant. Es gibt auch die Variante einer politisch unterstützten Technokratenregierung. Einen Präzedenzfall gab es im Herbst 2015, ein Jahr vor der Legislaturperiode, als die damalige Exekutive unter der Leitung von Victor Ponta, der ebenfalls der PSD angehörte, zurückgetreten war und die Regierung an das Kabinett von Dacian Cioloş übertragen hatte.

  • Une motion de censure pas comme les autres

    Une motion de censure pas comme les autres

    Un mois après le divorce des deux partis membres de la coalition gouvernementale, PSD et ALDE, l’Opposition met en œuvre ses menaces de déposer une motion de censure contre le gouvernement. « Reconstruisons la Roumanie ! Le gouvernement Dancila doit être destitué d’urgence », c’est le titre du document initié par les libéraux et signé par pas moins de 237 députés et sénateurs, soit quatre signatures de plus par rapport au nombre de voix nécessaires à la destitution de l’Exécutif. Il s’agit d’élus nationaux de toute couleur politique : à commencer par le Parti national libéral et de l’Union sauvez la Roumanie, en passant par Pro Romania et par le Parti du mouvement populaire et jusqu’à l’Alliance des libéraux et des démocrates. S’y ajoutent cette fois-ci des représentants des minorités nationales, qui appuient traditionnellement le gouvernement et même des représentants du PSD.

    Ludovic Orban, président du Parti national libéral a clairement expliqué pourquoi l’actuel cabinet doit absolument quitter le pouvoir : « A présent, nous n’avons pas un vrai gouvernement, mais plutôt une relique de cabinet qui n’a ni la capacité, ni l’autorité et ni même la compétence de résoudre les grands défis auxquels se confronte la Roumanie », déclare Ludovic Orban.

    Les sociaux-démocrates tablent, eux, sur l’échec de la motion de censure, puisque l’Opposition ne propose aucun programme de gouvernance et n’annonce pas le nom d’un éventuel nouveau premier ministre. Les représentants du PSD affirment être prêts à arrêter cette démarche, alors que Viorica Dancila a transmis plusieurs messages aux sénateurs et députés sociaux-démocrates susceptibles de soutenir la motion. « Ceux qui votent en faveur de la motion de censure, ne font que trahir le Parti Social Démocrate, trahir les espoirs des maires qui veulent mettre en œuvre leurs projets, menacer la stabilité de ce pays et à mon sens cette situation ne devrait pas être ignorée. » a affirmé la première ministre roumaine.

    C’est un moment délicat pour le gouvernement minoritaire du Parti social démocrate qui a préservé le pouvoir après le départ de l’Alliance des libéraux et des démocrates, uniquement grâce aux nombreuses hésitations des partis de l’Opposition. Le Parti national libéral a récolté un nombre si grand de signatures en raison notamment de ses précédentes tentatives de renverser le gouvernement. A l’époque, plusieurs membres du parlement avaient promis de voter en faveur de la motion et on fini par ne pas s’exprimer. De telles surprises peuvent toujours apparaitre, mais de l’avis des commentateurs politiques, c’est le meilleur moment pour destituer le gouvernement Dancila. Pourtant, il est impossible d’anticiper le dénouement d’un tel scénario, d’autant plus que les deux tours du scrutin présidentiel, du 10 et du 24 novembre, ne font que compliquer la situation.

    La possibilité d’organiser des élections législatives est soutenue par les principales forces de l’opposition, soit le PNL et l’USR qui affirment vouloir assumer un gouvernement en vertu d’un vote populaire. Néanmoins, au cours des 3 décennies de démocratie postcommuniste roumaine, aucun scrutin législatif anticipé n’a été tenu. D’ailleurs les élections législatives sont prévues pour l’automne 2020. Il existe aussi la possibilité de former un gouvernement technocrate, soutenu pourtant par une majorité parlementaire. Il existe un précédent : en 2015, une année avant le scrutin législatif, l’exécutif du premier ministre Victor Ponta, à l’époque membre du PSD, a démissionné étant remplacé par le cabinet de l’indépendant Dacian Ciolos.

  • Uncertainties over Romania’s European Commission candidate

    Uncertainties over Romania’s European Commission candidate

    Social-Democrat Rovana Plumb,
    minister in several PSD-controlled governments and a leading figure of the
    Social-Democratic Party (PSD) has been contested by the right-wing opposition
    as early as her nomination as future European Commissioner from Romania.






    The reason invoked was her lack of
    integrity and competence. Mrs. Plumb could not prove her competence in the
    field of Transport, she was supposed to take over, because she failed the
    integrity test during the interview with the Legal Affairs Committee of the
    European Parliament.






    The Committee has briefed the
    Executive over an existing conflict of interest as far as the Romanian
    appointee is concerned. The same happened to the Fidesz candidate of Hungary.
    The unprecedented move is a fair one as the Committee’s spokesperson has
    pointed out, because under the European treaties, the appointee to the position
    of Commissioner must be beyond reproach, independent and committed to the
    European general interest.






    According to Rovana Plumb,
    different stipulations created discrepancies between the assets and wealth
    declaration submitted to Brussels and the one in Romania. The explanation
    provided by the Committee is superfluous. The presidency and opposition in
    Bucharest have reacted immediately. The rejection of Rovana Plumb’s candidacy
    by the Legal Affairs Committee represents another major failure of the PSD
    ruling, which exports incompetence through repeated political moves that are
    deeply affecting Romania’s image, the country’s president Klaus Iohannis has
    said.






    Iohannis has called on Prime
    Minister Viorica Dancila to urgently withdraw Mrs. Plumb’s candidacy and
    appoint a new person only after they have been endorsed by the Romanian
    president and by Parliament. The opposition National Liberal Party (PNL) has
    adopted the same stand, while the USR believes that Romania’s reputation is at
    stake and called on the Romanian president to get involved and endorse a new
    appointee.






    Anticipating that the present
    Executive is not going to survive the imminent no-confidence vote, PMP believes
    that Romania’s proposal for the future European Commissioner must come from the
    future cabinet. The Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania (UDMR) believes
    that Rovana Plumb must take a step back, while Romania should produce a
    candidate with integrity, who is going to understand what is actually going on
    in the European Union and get political support for the position of European
    Commissioner.






    Currently under intense criticism,
    the ruling PSD says that not all the steps for Rovana Plumb’s confirmation have
    been taken and that the party also has backup alternatives if need be. What the
    Social Democrats will not find that easily is an answer to the pundits’
    question: how come that the Social-Democratic government who has so vehemently
    opposed the candidacy of Romania’s chief prosecutor, Laura Codruta Kovesi as
    head of the new European Public Prosecutor’s Office, over alleged legal issues,
    proposed for the position of European Commissioner and even called for national
    support in this case, a candidate facing integrity issues?



  • Diskussionen über einen möglichen Misstrauensantrag

    Diskussionen über einen möglichen Misstrauensantrag

    Das Schicksal des Bukarester Kabinetts schien, Ende August, nach der Trennung der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) von der Sozialdemokratischen Partei und besiegelt worden zu sein. Dennoch, die Regierung ist, trotz der kriegerischen Rhetorik der Opposition, nicht unverzüglich in Gefahr.



    Die Zierlichkeit der Opposition kommt Premierministerin Viorica Dăncilă zugute, die es nicht eilig zu haben scheint, ein Vertrauensvotum der Legislative einzuholen, wie es im Falle einer Änderung der politischen Struktur der Regierung in der Verfassung vorgesehen ist. Der Vorsitzende der Liberalen, Ludovic Orban kündigte an, dass er den Text des Misstrauensantrags bereits mit Vertretern der Union Rettet Rumänien, der Partei der Volksbewegung und der Demokratischen Union der Ungarn Rumäniens besprochen hat. Ludovic Orban: Wir halten an der Bedingung fest, dass wir alle gewählten Vertreter der politischen Parteien, die die Regierung nicht unterstützen, für diesen Antrag gewinnen. Es gilt das Ziel, 233 Unterschriften zur Unterstützung des Antrags zu sammeln, um seinen Erfolg zu sichern.“



    Für die Einreichung des Antrags sind 117 Unterschriften erforderlich. Der Vorsitzende der Abgeordneten der Union Rettet Rumänien, Stelian Ion, hat die Allianz der Liberalen und Demokraten und die Partei Pro Rumänien aufgefordert klare Kante zu zeigen. Stelian Ion: Die einzige Lösung für diese Krise besteht darin, einen Misstrauensantrag einzureichen und darüber abzustimmen. Darüber hinaus müssen diejenigen, die behaupten, der Opposition beigetreten zu sein, ihre Position zu diesem Misstrauensantrag sehr deutlich machen. Sie können nicht so tun, als würden sie sich der Dăncilă-Regierung widersetzen, wenn sie alle möglichen absurden Bedingungen für die Unterzeichnung und Unterstützung dieses Misstrauensantrags stellen, und ich beziehe mich hier hauptsächlich auf die Kollegen von ALDE und Pro Rumänien.”



    Die ALDE droht nach dem Verlassen der Regierungskoalition zu zerfallen. Es war eine Entscheidung, über die nicht alle Mitglieder glücklich waren. Wichtigstes Ziel dieser Partei ist gegenwärtig, Ma‎ßnahmen zur Vermeidung einer Implosion ergreifen.



    Die Parlamentarier der Partei Pro Rumänien versprechen ihrerseits, für den Misstrauensantrag zu stimmen, wenn die Premierministerin dem Plenum des Parlaments nicht die Umstrukturierung ihres Kabinetts vorlegt. Der Vorsitzende der Partei Pro Rumänien, der ehemalige sozialdemokratische Ministerpräsident Victor Ponta: Wir warten darauf, dass Frau Dăncilă uns am Mittwoch den Umstrukturierungsvorschlag der Regierung präsentiert. Andernfalls werden wir neben den Ressorts Umwelt, Energie, Beziehungen zum Parlament und Inneres am Mittwoch oder Donnerstag auch für Bildung keinen Minister haben. Dann wird es offensichtlich sein, dass es keine Alternative gibt. Wir haben alles getan, was wir konnten, und versucht, eine rationale Lösung zu finden. Alle gewählten Vertreter von Pro Rumänien werden dann für den Misstrauensantrag stimmen, den die PNL und die USR hoffentlich einreichen werden.“



    Der Sozialdemokrat Marcel Ciolacu, Vorsitzender der Abgeordnetenkammer, sagte, er sei überzeugt, dass die Regierung unabhängig vom Szenario, nämlich einem Vertrauensvotum oder einem Misstrauensantrag, durchhalten werde. Marcel Ciolacu: Ich bin fest davon überzeugt, dass der Misstrauensantrag keine 233 Stimmen erhalten wird und, dass wir die Hälfte plus 1 der notwendigen Stimmen haben werden, um die politische Zusammensetzung der Regierung zu ändern.“



    Die PSD-Führung erwartet auch Unterstützung vom Verfassungsgericht, so wie es in letzter Zeit fast immer geschehen ist. Dieser soll am Mittwoch über den Rechtsstreit zwischen der Regierung und dem Landespräsidenten entscheiden, der sich weigerte, Interimsminister für die bisher von der ALDE besetzten Ressorts zu ernennen.